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SAUVER LES

ABEILLES
(et votre santé)

en choisissant le BON miel.


Guillaume Chopin

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Introduction : Association Santé Naturelle,
qui somme nous ?
L’Association Internationale pour une Santé Naturelle, Humaniste et Scientifique est née au début de
l’année 2016.
Guillaume Chopin et Cécile Favre se sont rencontrés à la sortie d’une conférence sur la Santé et
l’Environnement à Paris.
Ils discutent et se rendent vite compte qu’ils partagent une même inquiétude sur l’évolution
actuelle de la médecine « officielle », qui s’éloigne de plus en plus du serment d’Hippocrate, sous la
pression des lobbys pharmaceutiques.
Tous les deux savent qu’il vaut mieux prévenir que guérir : ce qui exige un environnement sain et
naturel et donc une lutte contre les dérives de l’industrie agro-alimentaire : pesticides à outrance,
aliments ultra-transformés, etc.
Et tous les deux partagent une conviction scientifique : les médecines naturelles, alternatives et
complémentaires présentent le meilleur bénéfice/risque pour la plupart des maladies chroniques.
Le problème, c’est que cette vérité-là, vous ne la lisez pas – ou rarement – dans les grands médias.
Poussé par Cécile, Guillaume Chopin a décidé de créer cette Association basée à Genève – où il
travaille depuis 4 ans – pour dire la vérité, essayer de faire ouvrir les yeux au plus grand nombre et
peser sur les décisions publiques au niveau français, suisse et européen.
L’association a donc un pied en Suisse, et un autre à Paris, où habite Cécile Favre, l’autre fondatrice.
Pour mener sa mission, l’association utilise principalement deux moyens de communication
moderne :

• La lettre d’information électronique, écrite par Guillaume Chopin – avec rigueur et en toute
indépendance, il vous révèle le « dessous des cartes », que vous ne lirez nulle part
ailleurs ;
• Et l’arme de la pétition électronique, pour convaincre les responsables politiques de
respecter la volonté des citoyens plutôt que de se soumettre au poids des lobbys.

Tout le monde est invité à rejoindre ce mouvement pour la vérité et la santé naturelle !

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Comment sauver les abeilles – à votre niveau
La survie des abeilles est menacée, à l’échelle de la planète.

Depuis 20 ans, des milliards et des milliards d’abeilles sont mortes.

Dans certaines régions d’Europe, 80 % des abeilles ont tout simplement disparu !!

Ce drame est dû en grande partie à une famille d’insecticides lancé dans les années 1990.

Ce sont les « néonicotinoïdes », des pesticides qui regroupent des substances aux noms peu
rassurants : clothianidine, imidaclopride et thiaméthoxame. Ils sont TRES utilisés dans les cultures de
maïs, colza ou tournesol…

…et leur mode de fonctionnement est assez terrifiant :

Avant de mettre la graine en terre, on enrobe cette graine de ces substances chimiques ;

Résultat : quand elle grandit, la plante entière en est imprégnée… ce qui a l’avantage de
repousser les insectes nuisibles aux récoltes, comme les pucerons.

Problème : la fleur de ces plantes est, elle aussi, « empoisonnée »… ce qui est fatal aux abeilles
qui viennent les butiner innocemment !

Ces pesticides ont été créés pour s’attaquer au cerveau (système nerveux) des insectes.

Mais ces substances chimiques ne font pas la différence entre les pucerons et les abeilles butineuses.

Résultat, cela fait des années qu’on sait que ces produits massacrent les abeilles en masse.

En février 2018 un rapport officiel de l’agence européenne EFSA l’a confirmé :

« La plupart des utilisations des pesticides néonicotinoïdes posent


un risque pour les abeilles sauvages et pour les abeilles
domestiques »

Ont conclu les experts.

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La bonne nouvelle, toutefois, c’est que le cauchemar est peut-être en
train de se terminer :

Enfin des interdictions !


Dès 2016, une loi française courageuse a interdit l’utilisation de ces
néonicotinoïdes au 1er septembre 2018.
Et tout récemment, l’Union européenne a suivi.
Le 27 avril dernier, les 28 États de l’Union européenne ont voté
l’interdiction de ces produits tueurs d’abeille pour toutes les cultures en
plein champ.
« C’est une décision très importante prise par l’Europe, on ne s’y attendait
pas, mais j’en suis très heureux », a déclaré l’euro-député Eric Andrieu.
Tout n’est pas encore parfait, loin de là. Par exemple, le combat reste à
mener pour interdire les « nouveaux néonicotinoïdes » de type
sulfoxaflor.
Mais en attendant, il est possible de faire quelque chose de très simple
pour sauver les abeilles.
C’est choisir le BON miel !

4 secrets pour choisir du miel « bon pour les


abeilles »… et bon pour VOUS !

Si vous ou l’un de vos proches consommez du miel, voici les 4 règles à


connaître:
1. Évitez à tout prix le miel « Origine non UE »
Hors de l’Union européenne, le miel vient généralement de Chine. Or
le miel de Chine est souvent gravement trafiqué (coupé avec du
sucre)… et la réglementation sur place est très laxiste vis-à-vis des
pesticides tueurs d’abeille.
Donc, comme toujours, choisissez « local » !
2. Privilégiez le miel « polyfloral »
Sur le marché, vous trouvez du miel « monofloral » : d’acacia, ou de
colza, ou de lavande, ou de thym… etc., ou bien du miel « polyfloral »
(toutes fleurs). C’est le « polyfloral » qu’il vaut mieux choisir.
L’un des défauts des miels monofloraux est que les apiculteurs ont
tendance à déplacer les ruches (transhumance) afin de trouver la
fleur unique, ce qui perturbe le cycle biologique des abeilles.
3. Votre miel doit être récolté au printemps et pendant l’été
En automne et en hiver, les fleurs se font rares… et les abeilles
survivent grâce au miel que l’apiculteur laisse dans la ruche.
Problème : certains apiculteurs « productivistes » continuent de
récolter à l’automne (récolte tardive) et assèchent la ruche de son miel.

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Et pour éviter que les abeilles ne meurent de faims, ils les « gavent » de sirops sucrés pendant
l’automne et l’hiver.

Financièrement, c’est gagnant (hélas !), car les abeilles créent à nouveau du miel à partir de ces
sirops… et ce miel peut alors être récolté l’hiver (récolte précoce).

Mais comme vous l’imaginez, ce miel-là n’a rien à voir avec celui produit à partir de nectar de fleurs.

Donc pour la qualité du miel et la santé des abeilles, vérifiez bien que votre miel est produit pendant
le printemps et l’été, lorsque la Nature entière est en fleurs !

4. Et votre miel ne doit pas être chauffé !

Si vous chauffez votre miel au-delà de 37°, vous risquez de perdre ses vitamines et toutes ses vertus
pour la santé !

C’est pourtant ce que font parfois les gros apiculteurs « professionnels ».

Ils chauffent le miel pour le rendre à nouveau liquide (s’il a cristallisé entre-temps), pour qu’il soit
plus facile à transporter en tonneau.

Donc veillez bien à ce que votre miel n’a pas été chauffé, et encore moins pasteurisé à 72°…

Le petit « plus » pour choisir votre miel « santé »

Savez-vous pourquoi certains miels sont « liquides » et d’autres « cristallisés » ?

Le miel d’acacia ou de châtaigner est souvent liquide, alors que le miel de colza, de trèfle ou de
bruyère a tendance à se cristalliser assez vite. La raison est simple : plus un miel contient de fructose,
plus il restera liquide longtemps.

Or même si ce fructose est « naturel », il ne faut pas en abuser, car c’est un nutriment assez toxique
à hautes doses.

Voilà pourquoi je recommande plutôt les miels cristallisés que les miels parfaitement liquides !

Et bien sûr, comme vous pouvez l’imaginer, il vaut toujours mieux choisir votre miel :

- Labellisé bio
- Ou, encore mieux, fabriqué par un apiculteur artisanal de votre région !

Et voilà comment faire du bien à vous et aux abeilles !

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