dans la route
Un convoyeur de fonds a été victime d'un braquage digne du grand banditisme, hier à Briatexte. Son
fourgon a été percuté par une première voiture avant que des hommes armés prennent la fuite avec le
butin dans un second véhicule.
Un convoyeur de fonds, seul à bord d'un véhicule banalisé, a été attaqué hier vers 15 h 30, sur la route de
Cabanès, au lieu dit L'Arnaude, commune de Briatexte. Le Ford Transit blanc circulait en direction de
Cabanès quand il a été percuté par une voiture venant en face. Le fourgon, une roue arrachée, a terminé
sa course dans le fossé. Une seconde voiture de grosse cylindrée suivait la première.
Des individus armés ont surgi de l'habitacle et se sont précipités vers le fourgon. Un scenario digne d'un
polar américain et qui a surpris le convoyeur, sorti indemne de l'accident. Les forces de l'ordre
procédaient hier soir à son audition pour déterminer ce qui s'est réellement passé.
Une jeune australienne décide de faire le tour du monde à pied pour une bonne cause
Il y a ces petits moments qui nous rappellent combien la vie est précieuse. Combien elle mérite d’être
vécue comme on l’entend, combien elle est belle si on décide d’y croquer à pleines dents. Cela peut venir
d’un livre qu’on aurait lu, d’un film qu’on aurait regardé, d’une rencontre ou d’un drame…
À un âge où l’on pense être invincible, Tom Turcich perd une amie d’enfance, AnneMarie, alors âgée de
17 ans. Dans ce malheur qui le plongera en dépression pendant plusieurs mois, Tom Turcich prend
fatalement conscience que la vie ne tient qu’à un fil.
Il se promet alors d’occuper chaque minute de chaque jour du reste de sa vie, pour se sentir vivant.
« Sa mort a réorganisé ma compréhension du monde. J’ai soudainement vu la vie comme quelque chose
de fragile et d’éphémère ».
Avec des économies en poche et la furieuse envie de parcourir le monde à la façon de Steve Newman,
premier homme à avoir fait un tour du monde ininterrompu à pied dans les années 80, il quitte son New
Jersey natal à 26 ans et se lance finalement dans l’aventure de sa vie : voir ce que les 7 continents ont à
lui offrir !
« Je savais que je voulais voyager. Je n’avais pas d’argent. Alors voyager à pied a semblé être la
meilleure solution ».
Un mois avant son départ, le propriétaire de la société Philadelphia Sign, qui connaissait AnneMarie, a
décidé de soutenir financièrement le projet de Tom. Depuis, la compagnie verse suffisamment d’argent à
Tom pour lui permettre de vivre son rêve.
Une coupure d'électricité dans super marché c'est la panique.
Avant-hier, une coupure d'électricité a touché des boutiques de Polygone Riviera. Un témoin raconte un
mouvement de foule. L'enseigne assure que l'évacuation s'est bien déroulée
La journée de shopping a viré au cauchemar pour Françoise, 70 ans, une habitante de Saint-Vallier-de-
Thiey, qui se trouvait dans le magasin Primark de Polygone Riviera, avant-hier, lors d'une longue coupure
d'électricité, qui a touché apparemment toutes les boutiques du premier étage. Car si l'incident peut
paraître anodin, ce qui s'est passé à l'intérieur de la vaste boutique l'est beaucoup moins.
Selon Françoise, qui se trouvait avec sa fille au premier étage du magasin quand les lumières se sont
éteintes, après un moment de flottement, un vent de panique a soufflé dans les rayons. La septuagénaire
raconte que « la lumière s'est éteinte, on a attendu que ça...
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On a dû quitter le magasin en laissant tout à l’intérieur », témoigne un client, sur le parking d’Ikea, à
Lomme ce mardi vers midi. Le magasin a été brièvement évacué, « pour des raisons de sécurité indique
Fabrice Fouquemberg, directeur. Il y a eu une petite coupure EDF, pendant quelques minutes, moins de
dix. On a préféré demander aux personnes présentes de quitter les lieux. »
Un singe qui est entré dans un supermarché et a causé beaucoup de dégâts.
«SURTOUT, ne sortez pas de votre bureau et fermez bien votre porte. » Les consignes fermes sont
prestement adressées au directeur du Franprix. Interloqué, le responsable du supermarché ne comprend pas
mais s'exécute. En face de lui, une petite armada de policiers et de pompiers s'active en désordre entre les
rayons, armés d'un étrange équipement. Y aurait-il un braquage ou une agression dans le magasin ? Non,
juste une interpellation qui s'annonce peu banale. La scène drolatique se passe samedi matin, à Gonesse,
dans le centre commercial du quartier de la Fauconnière. « J'ai vu brusquement un singe sauter du sol vers la
vitrine où sont rangées les bouteilles d'alcool, rapporte Cécile, une caissière. C'était une belle bête, à l'allure
impressionnante. » L'animal est en cavale. Prêt à tout pour déjouer la capture au lasso qui se prépare contre
lui. « Visiblement, la poursuite a commencé dans la cité, ajoute l'employée du Franprix. Tout le monde
pensait qu'il s'agissait d'un renard. » Malgré la ruse dont il a fait preuve, le fauteur de trouble était
vraisemblablement un singe magot, une espèce sauvage protégée qui, d'ordinaire, se prélasse en bandes
criardes sur le Rocher de Gibraltar ou en Afrique du Nord.
Conduit au commissariat
Le fugitif est donc entré par l'accès réservé aux clients. Son arrivée impromptue nécessite même l'évacuation
du supermarché pendant une vingtaine de minutes. Après un passage express à la boulangerie, il se réfugie
dans la salle de repos du personnel. La pause est courte et se conclut par un grand bond qui laisse sans voix
les témoins. Direction l'arrière du magasin. Le dernier round se dispute alors entre les palettes. Le macaque
termine finalement la lutte, enroulé dans une couverture bleue, sans faire de casse, ni de blessés. Ses
exploits étant salués à leur juste valeur, il s'est ensuite vu attribuer une cage plutôt spacieuse avant d'être
transporté au commissariat de Gonesse pour les vérifications d'usage. Le jeune propriétaire de ce curieux
animal de compagnie s'est, quant à lui, manifesté dans l'après-midi, auprès du directeur du Franprix. Il lui a
affirmé que le singe s'était échappé de son domicile lors d'un cambriolage. Depuis un an passé, plusieurs
singes ont été capturés dans le département. Le 29 janvier, un animal vêtu d'une couche-culotte avait été
repéré dans une BMW, devant la gare de Taverny. Victime d'un phénomène de mode, le magot est de plus
en plus importé illégalement en France. Leur détenteur finit généralement par craquer au bout de quelques
mois et par se débarrasser d'un animal peu sensible au genre humain.
Mais il y a eu aussi des jours plus doux. Comme ce matin où elles se sont réveillées entourées de cinq
dauphins, nageant gaiement autour du bateau, venus dire bonjour. "D'un coup, ils étaient près de 70 tout
autour de nous à nous saluer!", explique Jennifer Appel. Après 5 mois seuls en mer, les deux femmes sont
heureuses d'avoir pu retrouver la terre ferme. Loin des requins.
Un passager inhabituel : Les passagers d’un bateau ont eu un choc pendant leur croisière lorsqu’ils ont vu
un gros ours polaire passer tête par la fenêtre de la salle à manger
Arctique - Au cours d'un voyage en bateau en Arctique, des touristes ont pu voir un ours polaire de très
près : attiré par les odeurs de cuisine, celui-ci avait passé la tête par un hublot. Les passagers d'un bateau
ont eu un choc lorsqu’ils ont vu un ours polaire passer la tête par le hublot de la cuisine. Le navire s'était
arrêté au milieu des glaces afin d'offrir à ses passagers un déjeuner dans un décor spectaculaire. Un ours
polaire, attiré par l'odeur de la soupe a passé sa tête par le hublot de la cuisine, causant une bonne
frayeur aux passagers.
L'incroyable histoire d'Anton Pilipa s'apparente à celle d'un Robinson Crusoé des temps modernes. Ce
Canadien, qui a été retrouvé à plus de 10 000 kilomètres de Toronto, a rejoint lundi 6 février ses proches,
cinq ans après sa disparition. Comme le rapporte CBC News, cet ancien humanitaire de 39 ans, atteint
de troubles schizophrènes, était porté disparu depuis 2012 et vient d'être retrouvé au beau milieu de la
jungle amazonienne au Brésil. Pour survivre, Anton Pilipa se serait nourri de fruits qu'il cueillait, en
fouillant dans les ordures mais également à l'aide des visiteurs occasionnels qu'il croisait. Selon le Daily
Mail, sa maladie l'aurait poussé à entamer ce long périple tout d'abord en direction de l'Argentine,
obnubilé par l'idée de visiter la Bibliothèque nationale de la République située à Buenos Aires.
Un long voyage qu'il a alors entamé sans papiers d'identité, sans bagage, sans argent et, plus étonnant,
selon le témoignage de son frère, en grande partie sans chaussures. Alors qu'il parvient à relier Buenos
Aires en faisant du stop et en marchant, le Canadien à l'allure hirsute est alors refoulé à l'entrée du
bâtiment. Après les États-Unis, le Mexique, le Guatemala, le Costa Rica, le Panama, la Colombie,
l'Argentine et le Venezuela, le routard reprend son itinérance, direction le Brésil.
Fuite de l'hôpital
Fin novembre 2016, le Canadien est retrouvé errant au bord d'une route du pays. Les autorités, qui
réussissent à établir son identité, préviennent sa famille, soulagée d'apprendre qu'Anton Pilipa n'est pas
décédé. "J'étais abasourdi, je me disais qu'il était mort, c'était la seule chose qui pouvait expliquer son
absence", a témoigné son frère au Daily Mail. L'histoire pourrait s'arrêter là, mais Anton Pilipa parvient à
s'enfuir de l'hôpital. L'homme trouve alors refuge au cœur de la forêt amazonienneavant d'être de
nouveau interpellé en janvier. Afin de permettre son retour, sa famille lance alors une campagne de
financement participatif pour payer le billet d'avion d'Anton.
Son frère se souvient de ces émouvantes retrouvailles : "Il avait l'air un peu abîmé, on voyait les stigmates
de son périple sur son corps et son visage. Et il avait beaucoup plus de cheveux que la dernière fois que je
l'avais vu." Aujourd'hui placé dans un institut spécialisé au Canada, Anton Pilipa jure ne s'être "jamais
senti seul" durant son incroyable voyage. "J'ai réfléchi à beaucoup de choses, j'ai dormi en plein air. C'est
une façon très simple de vivre, on a besoin de peu pour vivre."
Mignon ! Une fillette de 8 ans est retrouvée dans un zoo
Une petite fille vivant parmi les singes a été retrouvée dans le nord de l'Inde
A mi-chemin entre Tarzan et Le livre de la jungle. Ce sont des élagueurs travaillant dans la réserve
naturelle de Bahraich dans le nord de l’ Inde qui ont donné l’alerte. Il y a deux mois, alors qu’ils coupaient
des branches, ils ont aperçu une petite fille émaciée parmi un troupeau de singes.
Selon l’officier de police DineshTripathi, interrogé par Time of India, les singessemblaient la considérer
comme une des leurs et ont tenté d’effrayer les policiers venus récupérer l’enfant qui « semblait faible et
était très affamée ». Malgré la peur de la fillette, « terrifiée par [les policiers] », l’officier « s’est dépêché
de partir avec elle dans sa voiture de police tandis que les singes leur faisaient la chasse », raconte-il.
Un homme s'endort au bureau et ses collègues lui font croire qu'il dort depuis trois jours. Un
homme, apparemment exténué, s'endort au bureau et ses collègues décident de profiter de la
situation. Ils se cachent pour lui faire une blague dont il se souviendra pendant longtemps. Une
fois réveillé, il se rend compte qu'il se retrouve seul à son bureau, tous ses collègues ont déserté
leur poste pour se cacher à quelques mètres de lui. L'homme prend son téléphone pour tenter de
comprendre ce qu'il se passe. Un de ses collègues décroche et lui apprend qu'il est dimanche !
Apparemment perdu, il décide de quitter la pièce pour chercher quelqu'un mais ses collègues en
profitent pour regagner leur place. Une fois de retour, il semble plus que jamais perplexe. Une
bonne leçon pour ceux qui prennent leur bureau pour un lit !
Ensuite, un tel objet ne pourra pas passer dans l’intestin, et sera bloqué. "Le patient se sentira très
malade, nauséeux, avec des maux d’estomac et des vomissements", détaille le Dr Emmanuel. "Lorsque
ces patients se présentent à l’hôpital, on détecte le problème sur les radios. Un tel événement est
une urgence médicale, puisque ces corps étrangers peuvent perforer l’estomac ou l’intestin. Le risque
infectieux et même mortel est conséquent", poursuit-il. Si les petits objets tels que des pièces de
monnaie ou des épingles peuvent être enlevés par endoscopie, les plus, tels qu’une brosse à dents,
doivent être retirés chirurgicalement
Avec un minibus maquillé aux couleurs de la régie de transports de la métropole niçoise, un homme n'a
pas eu beaucoup de difficultés à arnaquer les passagers qui attendaient aux arrêts officiels. Celui-ci a été
arrêté mercredi par la police.
Philippe Pradal, président de la régie métropolitaine de transports a indiqué que « nos équipes de
conducteurs et d'agents de contrôle ont repéré en début d'année le manège d'un chauffeur de minibus
qui sévissait entre le centre-ville et l'aéroport, sur un parcours desservi par une ligne à tarification
spéciale ». En effet, l'homme intervenait entre deux passages de bus officiels, et annonçait aux passagers
que les bus étaient en grève ou qu'ils arriveraient plus vite avec lui.
Un homme de 65 ans vu en uniforme de contrôleur SNCF entraine de contrôler les billets des passagers d’une
façon irrégulière
Pendant 5 ans, Jean-Pierre Tegakau, un Tahitien de 26 ans, a joué l'agent SNCF en dupant employés et
usagers du rail. Il a été condamné à 1 an de prison ferme.
Le voyage s'est arrêté net pour le passionné de trains. Terminus, vendredi, 17 heures, devant le tribunal
correctionnel qui a condamné Jean-Pierre Tegakau, 26 ans, à un an de prison ferme. Il avait passé 5 ans
dans les voitures SNCF avec la casquette d'un faux agent des rails. Absent à l'audience, il comparaissait
pour le vol de plusieurs tenues d'agent et pour escroquerie envers la SNCF, partie civile ( notre édition du
1er décembre 2014). Le 28 novembre 2014, son procès avait été renvoyé dans l'attente d'une expertise
psychiatrique, à laquelle il ne s'est pas soumis. Même son avocate, Me Stéphanie Calvet, n'a plus de
nouvelles de son client. Interpellé le 26 novembre 2014 alors qu'il circulait dans un train Narbonne-
Bordeaux vêtu d'un costume gris et violet des contrôleurs SNCF, Jean-Pierre Tegakau a été démasqué par
un employé. Il avait reconnu avoir pris le train «un millier de fois partout en France et au Luxembourg
depuis 5 ans». Habillé en agent de la SNCF l'homme avait expliqué, lors de l'audience du 28 novembre,
être passionné par les trains et avoir postulé il y a 5 ans pour être agent de maintenance, sans succès. «Je
me sens utile, c'est devenu une obsession», avait expliqué l'homme. Il arpentait les allées, aidait les
voyageurs à hisser leur bagage ou à trouver leur voiture. Allant jusqu'à contrôler les usagers. Un jour,
avec une poinçonneuse volée, Jean-Pierre a assuré un contrôle. «Mais il ne savait pas la faire fonctionner.
Un vrai contrôleur est passé et lui a demandé où il avait été formé !», avait expliqué la défense, le 28
novembre. «S'il s'est fait passer pour un contrôleur, ce n'était pas pour voyager gratuitement : c'est
simplement parce qu'il rêvait de l'être», avait plaidé son avocate. Un sentiment partagé par la partie civile
: «c'est quelqu'un qui a envie d'être agent SNCF mais il faudrait qu'à un moment il s'arrête !». La SNCF a
sollicité 1 000 € de dommages et intérêts pour le préjudice. L'homme avait volé plusieurs tenues d'agent
dans les casiers des employés mais aussi du matériel confidentiel comme les clés donnant accès aux
cabines de conduite des TGV. Le jeune homme s'était déjà fait démasquer et condamné à 11 reprises
pour les mêmes faits. Il était sorti de prison récemment. Le tribunal a décerné un mandat d'arrêt. Il devra
aussi payer 1000 € de dommages et intérêts à la SNCF.
Un patron qui part à la retraite fait une surprise a ses employés
Le PDG d'une société britannique d'assurance automobile a fait un don aux 8.000 salariés de son
entreprise dans le monde, soit 1.200 euros par personne. Plus d'une centaine d'employés sont concernés
dans le Nord.
Des employés chanceux. Henry Engelhardt, le PDG d'Admiral Group, une société britannique d'assurance
automobile (elle possède L'olivier et LeLynx), prend sa retraite et a décidé de fêter ça avec ses employés.
Il a donc fait un don aux 8.000 salariés de son entreprise dans le monde. Chaque employé va donc
recevoir un joli chèque d'environ... 1.200 euros (600 euros pour ceux en temps partiel ou présents depuis
moins d'un an) ! En France, 170 personnes vont toucher ce beau cadeau, rapporte La Voix du Nord. Ainsi,
40 collaborateurs du siège à Paris et 130 au centre de relation clients, situé à Marcq-en-Baroeul, près de
Lille, sont concernés.
"Nous voulons remercier du fond du cœur chacun d'entre vous". "Je remercie tous les employés
d’Admiral qui ont travaillé si dur tous les jours pour faire du groupe un endroit si particulier. Ce don est la
reconnaissance de tout le travail et l’esprit d’équipe qui sont à la base du succès d’Admiral une petite
start-up qui est devenue aujourd’hui une entreprise cotée au FTSE100 à la bourse de Londres et valorisée
à 5 milliards de livres (6,3 milliards d’euros). Mon épouse et moi-même, voulons remercier du fond du
cœur chacun d’entre vous", a déclaré Henry Engelhardt.
La Voix du Nord précise que les salariés recevront également des actions gratuites du groupe, deux fois
par an, pour environ 5.000 euros. Une entreprisedécidément bien généreuse.
Une touriste anglaise ,65A tente de rejoindre son mari parti en croisière sans elle,ennageant
Elle voulait vraiment prendre ce bateau. Une touriste anglaise a été secourue samedi soir alors qu’elle
était en train de se noyer à 500 mètres de la côte de Funchal, capitale de l’île portugaise Madère. La
sexagénaire a expliqué qu’elle tentait de rejoindre un paquebot parti sans elle.
Madame, excédée et visiblement très remontée, a profité de l'escale portugaise pour faire sa valise et
quitter le paquebot. Direction l'aéroport pour rentrer en Grande-Bretagne par le premier avion. Une fois
arrivée dans le hall d'embarquement vers 20 heures, sur la côte est de l'île, elle voit, fendant l'horizon, le
"Marco Polo" quittant Madère pour Lisbonne. Avec son sac à main, elle décide de se jeter à la mer pour
tenter de nager jusqu'au bateau. En vain.
Ce n'est que quatre heures plus tard que des pêcheurs, qui passaient par là, ont entendu des cris de
détresse d'une femme en hypothermie au milieu de l'Atlantique. Quand les autorités ont appelé le
paquebot pour prévenir son mari, on leur a expliqué qu'il n'était plus à bord. Il aurait pris le premier vol
pour rentrer chez lui. Le couple s'était raté à l'aéroport.
Un couple de retraites a gagné au loto, ils ont décidé de faire surprise à l’école du quartier
« Ah, si j’étais riche » nous chantait Ivan Rebroff dans les années 70… Tout le monde s’est en effet un jour
demandé ce qu’il ferait s’il gagnait au Lotto. Saviez-vous qu'un don à une oeuvre de bienfaisance se
trouve souvent sur la wishlist de nos gagnants Lotto?
1 665 263 million d’euros, tel est le montant exact que ces deux cinquantenaires ont remporté le 29 juin
dernier. Ces personnes, dont la Loterie ne peut révéler le nom, jouent régulièrement les mêmes numéros
au Lotto depuis des années. Et ils comptent bien ne pas changer leurs habitudes.
Certains gagnants achètent une nouvelle voiture, d’autres investissent ou donnent une partie de leur gain
à leurs enfants. La destination des gains varie d’une personne à l’autre. Mais un cadeau ou un don à une
oeuvre de bienfaisance est quelque chose que nos millionaires Lotto envisagent souvent. À quelle
association? La plupart des gagnants ne communique pas ce genre d'information. La seule chose qu’ils
nous ont révélée, c’est qu’ils allaient célébrer cela avec une bonne assiette de moules.
il distribue des pièces de l'euro pour fêter sa retraite, un passant appelé la police
Allemagne – Un homme, visiblement très content d’avoir enfin atteint la date de fin de sa vie
professionnelle, a décidé de fêter cela en distribuant des pièces de un euro dans la rue. Voilà un homme
qui attendait avec une réelle impatience le jour où il serait en retraite. Ainsi, un Allemand a décidé de
fêter cela en se rendant dans les rues piétonnes de la ville d’Aschaffenburg pour y distribuer des pièces
de un euro aux passants.
Et l’homme d’expliquer à l’AFP, panneau au cou et déguisé : "Je ne suis ni chômeur, ni sans domicile fixe.
Je suis marié. Je vais bien. C'est pourquoi je souhaite vous offrir un euro". Un passant effrayé a appelé la
police pour la prévenir de ce qui se passait, mais les forces de l’ordre n’ont rien fait : distribuer de l’argent
dans la rue n’a rien d’illégal.
Un couple veut célébrer son mariage au marathon de Montréal, mais les organisateurs ne voulaient pas que
les coureurs soutiennent le couple.
Attention : vous devez transformer le cheminement de l’exercice.
Partageant depuis plusieurs années la même passion, Joe et Kay O'Regans ont décidé de courir 42
kilomètres ensemble pour célébrer un événement bien particulier : leur anniversaire de mariage.
A 80 ans, Joe et Kay O'Regans forment un couple qui dure, et pour cause, ils viennent d'entamer leurs
58ème année de mariage. Pour marquer le coup, ils ont décidé de rompre leurs habitudes en s'attaquant,
ensemble cette fois, au marathon de Cork en Irlande. Ainsi, le 6 juin dernier, ils ont parcouru main dans la
main 42 kilomètres en 5 heures et 23 minutes. A chaque kilomètre effectué, le couple a démontré que
même dans la difficulté, ils restent soudés.
Un geste symbolique
500 mètres avant de franchir la ligne d'arrivée, Joe a saisi la main de Kay et comme portés par leur
amour, ils ont accéléré le pas. Non seulement, ils ont fini ensemble mais ils ont également gagné en
étant les plus rapides de leur catégorie.
"Il n'en a pas toujours été ainsi"
Kay est aujourd'hui une adepte des marathons, si bien qu'elle a couru dans les plus grandes villes du
monde. Elle voyait en chacun des 113 marathons auxquels elle a participé un véritable défi et elle
s'efforce encore aujourd'hui de repousser ses limites. Joe aussi se défend puisqu'il compte 29 marathons
à son actif. Mais si leurs performances nous laissent bouche bée, ils confient au magazine Today qu'il n'en
a pas toujours été ainsi. Kay et Joe se sont adonnés à ce sport sur le tard, à l'âge de 49 ans. Mais ils ont
vite rattrapé leur retard puisqu'en 1993, les capacités de Kay ont atteint leur paroxysme, lors du
marathon de Melbourne en Australie. Elle avait alors réalisé son meilleur temps personnel qui est de 3
heures et 35 minutes. Kay éprouve encore une grande fierté à raconter ce moment et parler de leur
passion qui ne les a pas quittés. Ils ont même fini par rejoindre un club en 1997 où ils y ont connu,
d'ailleurs, la plupart de leurs amis.
La der des ders ?
Ravis d'avoir pu partager ce moment ensemble, ils ont déclaré à Today : "Il n'y a pas meilleur frisson que
celui qu'on vient de vivre aujourd'hui". Cependant, avant d'entamer ce marathon, le couple avait convenu
que ce serait leur dernier. C'est pourquoi, ils avaient décidé d'immortaliser ce moment de la même
manière qu'ils l'avaient fait 30 ans plus tôt, en 1989, lors du marathon de Londres. Ilscélébreraientainsi la
fin d'une époque.
Mais juste avant le départ, Kay et Joe ont appris qu'ils étaient à 250 jours de battre un record, celui d'être
le plus vieux couple du monde à faire un marathon. Aussi, ils auraient déclaré qu'il ne faut jamais dire
jamais. On s'attenddonc à réentendreparlerd'euxd'ici 8-9 mois.
1. Deux pilotes s’endorment sur un vol San Diageo Minnesota, atterrissage retardé.
Propo a / PAR MOI :
Un boeing 737 relaint………….depasse sa destination de 240 avec 100 passagers à bord, Panique au sol, où
le contact avec l’avion a été perdu. Ni le commandant de bord ni le copilote n'étaient conscients lors
d’une discussion de la position de l'Avion avant l'intervention d'un steward cinq minutes avant l'heure
prévue d'atterrissage. C'est alors que le commandant a réalisé et pris contact avec la tour de contrôle de
Minneapolis afin de revenir vers l'aéroport pour se poser. Enfin, l'avion a atterri et les passagers n'ont pas
réalisé ce qu'il se passait.
Texte2 :
Le commandant de bord, 53 ans, et son copilote, 54 ans, ont été interrogés par le Bureau de la sécurité
des transports américain (NTSB) pendant plus de cinq heures au total sur cet incident qui les a amenés à
dépasser leur destination de 240 km.
Ils ont affirmé ne pas s'être endormis durant le vol entre San Diego (Californie, ouest) et Minneapolis
(Minnesota, nord) avec 144 passagers à bord et deux stewards.
Les deux hommes ont indiqué aux enquêteurs qu'il y avait eu "un moment de distraction dans le cockpit",
évoquant une "conversation" durant laquelle ils n'ont pas surveillé les instruments de l'appareil ou
répondu aux appels des contrôleurs aériens ni de leur compagnie aérienne, ce qui avait suscité la crainte
d'un détournement par des terroristes.
Ils ont précisé au NTSB qu'ils avaient commencé leur discussion, qui portait sur les nouveaux horaires de
travail résultant de la fusion de Northwest avec Delta, quand l'avion se trouvait déjà à une altitude de
croisière.
Les deux pilotes ont affirmé "avoir perdu la notion du temps" et admis avoir utilisé leur ordinateur
portable dans le cockpit, ce qui est interdit par leur compagnie.
Ni le commandant de bord ni le copilote n'étaient conscients de la position de l'Airbus avant
l'intervention d'un steward cinq minutes avant l'heure prévue d'atterrissage.
C'est alors que le commandant a réalisé la bévue et pris contact avec la tour de contrôle de Minneapolis
afin de revenir vers l'aéroport pour se poser.
Normalement, une procédure d'atterrissage se prépare près au moins 200 kilomètres avant d'atterrir,
selon les experts.
Texte 3
Une catastrophe a été évitée vendredi dernier. Un Boeing qui reliait Mumbai à Bruxelles a tout d'un coup
perdu de l'altitude. Les contrôleurs aériens ont immédiatement donné l'alerte.
L'avion de la compagnie Jet Airways, qui transportait 280 passagers, était manœuvré par un pilote et une
copilote peu conscients: pendant que l'un dormait, l'autre regardait sa tablette, raconte le
site 20Minutes, rapportant une information du Times of India.
Une chute de 1500 mètres
Si le commandant de bord dormait, une pause réglementaire autorisée sur les longs courriers, la copilote
aurait dû prendre les commandes à sa place. Sauf qu'elle était absorbée par son écran.
Survolant la Turquie lorsque l'avion a perdu de l'altitude, les contrôleurs aériens ont alerté les pilotes
pour remonter à 10'000 mètres. La copilote n'avait pas remarqué qu'ils étaient en train de descendre. Les
autorités pensent qu'elle dormait également.
Enquête ouverte
Une enquête a été ouverte. De son côté, la compagnie assure que «la sécurité est d'une importance
capitale pour Jet Airways, tout comme le bien-être de nos passagers et de notre équipage. La compagnie
prendra toujours les mesures appropriées pour s'en assurer».
«Un bouton a-t-il été activé par erreur et que faisait la copilote? Il faut prouver qu'elle était en train de
regarder quelque chose sur son iPad ou qu'elle s'est endormie», s'est questionnée la direction générale
de l'aviation civile indienne.
Si les deux pilotes ont pu continuer de voler après cet événement, ils ont été suspendus mardi. L'enquête
devrait durer entre quatre et cinq mois. (nxp)
Un couple de motards de retour de leur séjour en Allemagne s’arrête dans une pompe d’essence puis
reprend sa route. Après 120 km l’homme remarque que la femme n’est plus sur la moto.
Couple de motard : Un couple de motard de retour de leur séjour en Allemagne s’arrête dans une pompe
d’essence, reprennent leur route après 120km l’homme remarque que la femme n’est plus sur la moto. Avec
un cœur brisé, blâmes et plusieurs sentiments de culpabilité, l’homme a fait le retour vers la pompe en plein
vitesse. Larmes aux yeux, il l’a trouvé assise sur le sol, portant un sachet, elle l'a étreint en criant : comment
tu m’as laissé derrière, quelques minutes après l’excuse de son mari qui était sous l’effet d’alcool, ils ont
décidé de passer la nuit dans le motel du pompe pour se reposer, avant de poursuivre le séjour inoubliable.