la résistance ne change pas. Ces lois classiques d’Amontons et de Coulomb ont suscité de nombreuses études : les physiciens ont cherché à les expliquer en considérant la rugosité des
surfaces ou l’adhérence moléculaire (l’at-
traction entre les molécules des surfaces en contact). Toutefois, vers le milieu des
années 1950, les physiciens comprirent
que la rugosité n’expliquait pas la plu- part des frottements usuels. Les construc-
teurs automobiles et les fabricants de
roulements à billes trouvèrent que, contre
toute attente, le frottement est parfois réduit quand une des surfaces est plus
rugueuse que l’autre ; pis encore, le frot-
tement augmente quand les surfaces sont plus lisses. En soudure à froid, par