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PRÉPARATION POUR LE TECFÉE

(TEST DE CERTIFICATION EN FRANÇAIS ÉCRIT POUR L’ENSEIGNEMENT)

MOTS & DÉFINITIONS

Agglomérer : Unir en un tout compact


Ourdir : Organiser en secret, machiner, combiner
Chimère : Illusion, imagination vaine
Engoncé : Qui rentre le visage dans le corps
Allégation : Affirmations
Dubitatif : Exprime le doute
Prépondérant : Qui  l’emporte  en  autorité,  en  influence,  en  importance
Paradoxe : Opinion  qui  va  à  l’encontre  de  l’opinion communément admise.
Évoquer : Éveiller, souvenir, remémoré
Invoquer : Prier,  conjurer,  réclamer  de  l’aide
Bancal : Manque  de  rigueur,  d’équilibre,  de  fondement
Congruent : Qui  convient,  s’applique  bien.  
Béret : Coiffure de laine souple, sans bord, ronde et plate.
Vénéneuse : Qui  contient  un  poison  dont  l’ingestion  empoisonne  (plante)
vs. Venimeuse : Qui a du venin ; un serpent.
Retors, retorse : Qui a été retordu, tordu en plusieurs tours *au bec retors (plein de ruse, malin, habileté tortueuse)
Baliverne : Propos futile et creux (histoires, sornettes)
Digression : Dév. oral ou écrit qui  s’écarte  du  sujet
Tacite : Non exprimé, sous-entendu entre plusieurs personnes, implicite.
Coercitif : Pouvoir  de  contraindre  quelqu’un  à  se  soumettre  à  la  loi, qui exerce une contrainte
Indulgent : Qui excuse, pardonne facilement, tolérant
Exubérant : État de ce qui est très abondant (profusion), avec vivacité, enthousiasme.
Entacher : Marquer  d’une  tache morale (image), salir moralement
Embrigader : Réunir en brigade, recruter
Élocution : Manière dont on exprime les sons en parlant,  exprimer  sa  pensée  oralement,  façon  d’articuler
Indigent : Qui manque les choses les plus nécessaires à la vie (pauvre, misérable, malheureux)
Harassé: accablé de fatigue, épuiser, exténué, à bout de force
Dissident : Opposé, désaccord, être en désaccord. *propos dissidents
Contusion : Lésion produite par un choc (bleu), sana déchirure de la peau, ecchymose
Aparté : Mot  ou  parole  que  l’acteur  dit  à  part  soi  (seul  le  spectateur  entend), entretien particulier (ou tout bas)
Acabit : Manière  d’être (de même nature, de même genre)
Abhorrer : Avoir en horreur, détester au plus haut point
Balade : Marche, promenade
Ballade : Écouter une musique douce
Éclectique : Ne se consacre pas à une seule chose, Qui ne se limite pas à un seul objet. * variés
Darne : Tranche de poisson.
Stator : Partie  fixe  d’un  moteur

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Morose : Humeur maussade, triste
Acolyte : Serviteur,  servant,  compagnon…  complice  qu’une  personne  traine toujours à sa suite.
Idiome : Langue parlée,  moyen  d’expression, propre à une communauté.
Polémique : Une attitude critique qui vise une discussion vive, querelle. (controverse)
Infime : Rang plus bas, minuscule ou très petit *une infime majorité
Hypocondrie : Maladie dépressive,  tendance  à  ne  penser  qu’à ses maladies (imaginaires)
Allitération : Répétitions des mêmes consonnes dans des mots voisins
Panacée : Remède qui guérit toutes les maladies
Élocution : Manière  d’exprimer  sa  pensée  oralement.  Façon  d’articuler. (faire une élocution en classe)
Fauteur de troubles : Fomenteur, agitateur.
Confortable : Présente et procure du confort, bienêtre,  bourgeois…  
Autodidacte : Qui  s’instruit  lui-même, sans maitre.
Disparité/disparate : Absence  d’accord,  d’harmonie  entre  les  éléments  (disparité  d’âge,  entre  couleurs,  caractères,  créé  
un déséquilibre)
Métamorphoser : Changer  complètement  quelqu’un  ou  quelque  chose.  
Probant : Qui  prouve  sérieusement,  argument  probant,  concluent,  convaincant,  éloquent…  (une  pièce  probante)
Prototype : Modèle premier, premier type.
Sigle : Initiale  servant  d’abréviation.  
Téméraire : Aventureux, imprudent, audacieux.
Ultérieur : Arrivera dans le futur, date ultérieure.
Permuter : Changer, échanger, intervertir (déplacer deux choses)
Séquelles : Traces, conséquences, répercussions.
Apparier : Assortir par pair, par couple, *chaussettes, chevaux, oiseaux.
Éloquence : Facilité  à  bien  s’exprimer,  don  de  la  parole.  
Impunément : Sans être puni, tuer impunément, sans risque.
Nervation : Qui  constitue  les  nervures  d’une  feuille.  
Grammage : Mesure  du  poids  d’une  feuille
Convers : Une personne qui se consacre aux travaux manuels dans un monastère.
Starets : Sage,  pèlerin  de  l’ancienne  Russie.  
Éroder : Dégrader lentement.
Précurseur : Celui qui innove, qui ouvre la voie.
Dithyrambique : Très  élogieux,  parfois  à  l’excès.  
Immunité : Privilège  des  diplomates  auxquels  seules  les  lois  de  leur  pays  d’origine  s’appliquent.  
Impavide : Qui ne manifeste aucune crainte, aucune peur.
Éphéméride : Livre énumérant les évènements importants  survenus  le  même  jour  de  l’année  à  différentes  époques.  
Acerbe : aigre, âpre.
Sémantique : Étude du sens des mots.
Obséquieux : qui exagère les marques de politesse par servilité ou par hypocrisie.
Jauger : Évaluer  les  capacités  d’une  personne.  
Esclandre : Scandale, éclat.
Flegme : Art de cacher parfaitement ses sentiments.
Frontispice : Grand  titre  d’un  ouvrage  imprimé  placé  sur  la  première  page.  
Galimatias : Langage obscur, charabia
Borborygmes : gargouillis
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Paronyme : Mots presque homonymes qui peuvent être confondus.
Parturiente : Femme qui accouche.
Logorrhée : Flux de paroles inutiles.
Calleux : À la peau dure, épaisse.
Embargo : Mesure  de  contrainte  tendant  à  empêcher  la  libre  circulation  d’un  objet.  
Vétilles : Bagatelle, chose de peu de conséquences.
Impondérable : Se  dit  de  ce  qu’il  est  impossible  de  prévoir;  dont  l’importance  peut  difficilement  être  évaluée  
Goinfre : personne qui mange avec excès et salement
Hédonisme : doctrine qui prend pour principe de la moral  la  recherche  du  plaisir,  satisfaction  et  l’évitement  de  la  
souffrance (maximum de satisfaction avec le moindre effort)
Égérie : Conseillère  inspiratrice  d’un  homme  politique,  d’un  artiste,  d’un  créateur  
Policé : dont  les  mœurs  sont  adoucies  par  la civilisation
Viduité : État de veuve, de veuf

EXPRESSIONS & SIGNIFICATIONS

Être aux abois : Situation désespérée


Pierre  d’achoppement : Obstacle à la réussite
Défrayer la chronique : Faire parler de soi en mal
Rendre la monnaie de sa pièce : Se venger
Les dés sont pipés : Il y a de la tricherie
Secret de polichinelle : Faux secret vite connu de tous
Avoir  le  compas  dans  l’œil : Juger des distances avec justesse
Image  d’Épinal : Représentation simpliste et excessivement optimiste de la réalité
Faire des gorges chaudes : Insulter, se moquer de quelque chose,  s’en  régaler,  plaisanteries  malveillantes.  
Rouler la mécanique : Faire son prétentieux
Donner carte blanche : Donner ou avoir plein pouvoir ou toute liberté pour entreprendre quelque chose.
Chercher de midi à 14h : chercher des difficultés là où il y en a pas
De but en blanc : Brusquement, directement, sans préparation, sans être prévenue
En catimini : En cachette, discrètement
Loi du charbonnier : Croire de façon naïve comme un homme simple
Mettre la charrue avant les  bœufs : Faire les choses dans le désordre, commencer par la fin.  (faire  d’abord  ce  qui  devait  
être fait ensuite, après)
Faire la pluie et le beau temps : Tous les pouvoirs, être très influent.
Mettre les points sur les i et les barres sur les t : Expliquer clairement, brutalement ses intentions.
Il y a du pain sur la planche : Beaucoup de tâches devant soi
Guerre lasse : en renonçant à résister, à combattre…  céder,  accepter
Mentir comme un arracheur de dents : Mentir effrontément
Cueillir des lauriers : Remporter plusieurs victoires, succès.
Avoir voix au chapitre : Être écouté, influence
Avoir le vent en poupe : Avoir de la chance
Avoir la foi du charbonnier : Naïve
Vers  d’oreille : Chanson qui reste en tête

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Sans tambour ni trompette : Partir, déloger discrètement, sans bruit,  sans  attirer  l’attention.  
Tenir le cap : Ne pas  changer  de  stratégies  ni  d’objectifs  
Marcher  sur  des  œufs : Toucher  le  sol  avec  précaution,  d’un  air  mal  assuré,  agir  avec  prudence.  
Prendre le taureau par les cornes : Prendre de front les difficultés.
Casser  du  sucre  sur  le  dos  de  quelqu’un : En médire, taper, critiquer.
Balayer devant sa porte : Voir et régler ses propres erreurs avant de critiquer les autres.
Ne pas faire de quartier : Être impitoyable (cruel, méchant)
Épater le bourgeois : Choquer, scandaliser, en faisant impression. (troublant, saisissant)
Mordre à la grappe : Être dupe. (naïf)
À gogo : De façon abondante, à profusion.
Estomac dans les talons : Avoir très faim.
Avoir les pieds palmés : Paresseux, trainé.
Être de glace : Être indifférent (insensible).
Avoir des atomes crochus : Avoir des ressemblances mutuelles qui permettent la bonne entente.
Tomber de nues : Être spontanément surpris par rapport à quelque chose.
Tirer les marrons du feu : Se  donner  de  la  peine  pour  le  seul  profit  d’autrui.
Faire des ronds de jambes : Faire beaucoup  de  manières  afin  de  plaire  à  quelqu’un.  
Qui trop embrasse mal étreint : Qui  entreprend  trop  de  chose  à  la  fois  n’en  réussit  aucune.  
Se tirer la pipe : L’agacer.  
L’or  véritable  ne  craint  pas  le  feu  : Un homme de valeur sait résister à toutes les épreuves, y compris la critique.
Il  n’y  a  pas  de  fumée  sans  feu  : À l’origine  des  rumeurs,  il  y  a  toujours  quelque  chose  de  vrai.  
Veiller au grain : Être prudent. Faire mouche : Atteindre précisément son but.
Tenir  la  draguée  haute  à  quelqu’un  : Abuser d’une  situation  avantageuse.  
Tomber de charybde à Scylla : Échappé à un danger que pour se frotter à un autre encore plus grave.
Prendre des vessies pour des lanternes : Se tromper lourdement dans ses appréciations
Trouver chaussure à son pied : Trouver ce qui convient, ce dont on a besoin.
Tête de turc : Bouc-émissaire
Tirer au flanc : Paresser, ne pas vouloir travailler.
Tiré par les cheveux : Peu logique, difficile à croire.
Le  mieux  est  l’ennemi  du  bien  : On court le risque de gâter ce qui est bien en voulant obtenir mieux.
Des clous! : Rien du tout! (coûte rien du tout)
Tourner en eau de boudin : Échouer.
Avoir quelque chose dans le sang : Avoir un goût très prononcé (faire partie de moi)
Blanchir sous les harnais : Acquérir  de  l’expérience  (exercer  longtemps  le  même  métier)  
Quand les poules auront des dents : Jamais
De fil en aiguille : En  passant  d’une  chose  à  l’autre,  qui  lui  fait  suite  
Enfourcher son dada : Revenir à son sujet de conversation favori.
+ Expressions idiomatiques  (p.71  dans  le  cahier  d’exercices du TECFÉE)

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FAIRE ATTENTION! ERREURS FRÉQUENTES!
- Mord-il, vend-il ? (pas de T si le verbe se fini par
- Habiletés t/d)
- Accroc - Quelque vingt dollars (environ = adv.)
- Fascicule facicule - Des sarraus (un sarrau)
- Assortiment - Artichaut
- Des baux (un bail) - Hasard (PAS DE Z)
- De surcroit - Des pneus
- Remords (toujours un s) - Inclus (toujours S)
- Mettre  l’accent  (l’emphase) - Maintien (un maintien, mais je maintiens)
- Circonstanciel - Infarctus Infractus
- Des poux (un pou) - Des verrous (un verrou)
- Souci (sans S) - Un délai (sans S)
- Suscite - Pallier cette lacune / un palier (étage)
- Bouchée / pelletée / jetée - Ces poissons rouges là / ces poissons-là
- Le  chœur  chante  plus  fort (adv) (seulement  relier  d’un  trait  d’union  en  présence  
- tous les autobus (toutes les autobus) d’un  nom)
- des gens haut placés (adv) - Avoir la FOI en dieu (et FOIE = viande)
- Seuls Martine et Alex - Sur-le-champ, vis-à-vis
- Les élèves brillant par leur absence - Ancre (bateau) Encre (crayon)
- Qualité qualitée
- Barbarisme : cadran réveil / transfert
- S’occuper  s’occupper
- Il convainc mutation / brin de scie bran
- Il feint - Langage language
- Il rit (au présent) /  qu’il  rie (au subj.)

SUFFIXES (voir aussi p.121, 122 et 123 du cahier théorique du TECFÉE)


*ceux en gras étaient au TECFÉE

- Ite : Inflammation (cellulite, bronchite) - Drome : Champ de course


- Logie : Étude, science de, théorie (technologie, - Cratie (bureaucratie) :  influence  abusive  d’une  
philologie, zoologie, cardiologie, psychologie, administration
géologie) - Mancie (nécromancie) : science occulte
- Logue (allergologue) : science de - Manie (mythomanie) : tendance à la fabulation
- Ail : Instrument (éventail) - Lophie (philolophie) : belles lettres et études
- Aille : Collection historiques des textes
- Aison : Action de - Cide : Tuer (homicide)
- Iste : Profession - Cosme : Monde
- Itude : Qualité - Crate : Pouvoir, force (aristocrate)
- Aire : Qui a rapport à - Gamie : Mariage
- Âtre : Approximatif - Oïde : Qui a la forme de
- Algie : Douleur (nostalgie) - Gène : Homogène
- Céphale : Tête - Ée : bouchée, pelletée (quantité)
- Cole : Relatif à la culture (agricole) - Èdre : face tétraèdre, octaèdre
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- Ère : conifère - A (dans atonie) : diminution de la tonicité, de
- Pèdre (dans quadrupède) : qui a 4 pattes l’élasticité,  d’un  organe  contractile
- Cole (dans viticole) : culture du vin/vigne - Sophie (dans philosophie) : connaissance par la
- Graphie (dans calligraphie) : art de bien former raison
les caractères
- Asse (dans blondasse) : blond vilain

PRÉFIXES (voir aussi p.119 et 120 du cahier théorique du TECFÉE)


*ceux en gras étaient au TECFÉE

- Dys : Perte, diminution, difficulté - Vice : À la place de


- Géo : Terre - Hypo : en dessous de (hypoglycémie)
- Agro : Champ - Dis : dissymétrie, discrédit (séparation)
- Alter : Autre - Géo (géologie) : terre
- Archéo : Ancien - Patho (phatologie) : maladie
- Anthropo :  Relatif  à  l’humain - Poly (polygone) : figure plane formée de
- Cosmo : Monde plusieurs côtés
- Circon : Autour - Neuro (neurologie) : médecine du système
- Démo : Peuple nerveux
- Épi : Sur - In (odore) : sans odeur
- Hémi : Demi - Audio (audiologie) : audition
- Hémo : Sang - Ir (irréaliste) : utopie
- Hippo : Cheval - Hippo (hippomobile) : tirer par des chevaux
- Méta : Qui englobe - Api (apiculture) : élevage abeilles
- Mis(o) : Qui hait - Astro (astrologie) : célestes et terrestres
- Néo : Nouveau - Mésa (mésaventure) : mal tourné
- Pisci : Poisson - Erie (boulangerie) :  lieu  de…
- Rétro : En arrière - Aire (révolutionnaire) : qui concerne
- Syn : Avec (synthèse) - Théo (théocratie) : Dieu

Autres préfixes et suffixes

- Ée dans assiettée : Quantité de, contenir. - Logie dans psychologie : science de.
- Démo dans démocratie : Peuple. - Fique dans antisudorifique. Produire.
- Scopie dans gastroscopie : Voir, vision. - Gamie dans polygamie : Mariage.
- Ptère dans coléoptère : Aile. - Oïde dans humanoïde : Qui a la forme de.
- Grade dans rétrograde : qui marche, qui va vers. - Allo dans allopathie : autre
- Ana  dans  anachronisme  :  à  l’inverse.   - A dans arythmie : Souffrance, irrégularité
- Épi dans épiderme : sur. - Duc dans oléoduc : Conduire transport
- Ecto dans ectoplasme : en dehors. - Fuge  :  résiste  à  l’eau  
- Psycho : étude de la pensée

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MOTS QUI PRENNENT TOUJOURS UN « s »

Ténèbres Torticolis Précis


Brebis Volontiers Chaos
Concours Certes Remords
Corps Permis Pouls
Cours (d'eau ou leçon) Puits Intrus
Lilas Prémices Inclus
Secours Poids Cliquetis
Talus Héros Pala
Velours Harnais

MOTS QUI NE PRENNENT PAS DE « s »

Un abri Délai Exclu


Un souci Champ Fourmi
Désarroi Soutien
Essai Parmi
Tissu

MOTS DIFFICILES (voir aussi p. 63, chapitre  4  du  livre  d’exercice  du  TECFÉE)
Acuité Évènement Cortège
Alcôve Il décèle Excédent
Ammoniaque Langage À  l’arrivée
Ankylosé Sceptique Présentoir
Aphone Scythe Résonance
Apothéose Ultrason Attristé
Guignol Autosuggestion Terroir
Âpreté Je croîs (grandir) Absorption
Archaïque Laïc Illogique
Ascenseur Exigüité Marionnette
Cacophonie Ambigüité Familier
Câpre Exigüe Garant
Choléra Contigüe Eczéma (ou exéma)
Coïncidence Solennité Entonnoir
Guetter Substantiel Discerner
Gageüre Aromatique Emmitoufler
Exhiber Raffiné Hublot
Exhorter Tort Tintamarre
Hécatombe Exhausser un mur Colonel
Hérésie Bâiller Colonne
Cédille Absolument Étymologie
Cygne Probité Essor économique
Parasol Apparemment Concurrence
Montée, jetée, portée Carrefour Faculté de défendre
Balai, il balaie Taureau Loquace
Exaucer un souhait Acoustique Obscur (-ure)
Nombrable, innombrable Blessure
Exact, inexact Tympan
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ANGLICISMES & IMPROPRIÉTÉS (suivant la se trouve la bonne façon)
- Traffic Trafic - Coutellerie au service de couverts
- Suite à à la suite de - Raisons monétaires financières
- Feedback rétroaction - Cages pour la pêche casiers
- Construire une prolongation de quelques - Siège sur siège au
mètres prolongement - À pied levé au pied levé
- Misère difficulté - Logé un appel faire un appel
- Mesures drastiques draconiennes - Recouvrir sa liberté retrouver
- Demandent des questions posent - Trois dépendants à la maison personnes à
- Mettre  l’emphase   l’accent charge
- Avoir des contacts relations - Dépendant de en fonction de
- Réouvrira rouvrira - À  l’endos   au dos, au verso
- Serré tes jouets rangé - Biaisé (pas bon dans le sens de faux ami)
- Passé date périmé - Pamphlet dépliant, brochure, prospectus
- Brocheuse agrafeuse - Veuillez  agréer  (pas  je  vous  prie  d’agréer)  
- Déconnecté la télévision débranché - Tomber en amour tomber amoureux
- Qualifications compétences
- Cartes  d’affaires   Cartes professionnelles
- Prolongement pour remise de travaux
prolongation - Éligible = anglicisme (en français on dit un
- Lettre de référence recommandation candidat éligible ou un étudiant admissible)
- Pour éteindre la lumière : intercepteur - Dire un discours prononcer un discours
interrupteur - Les prochains deux jours les deux prochains
- Cueillette de données collecte jours
- Air climatisée conditionnée - Équipe sont sur un même pied (same foot)
- Cours privés particuliers - Connection connexion
- Batterie pile
- Conjecture économique conjoncture
- En ordre en règle *passeport

LES GENRES

FÉMININ
Une aberration Une canneberge Une enveloppe
Une armoire Une asperge Une hélice
Une apostrophe Une auto Une horloge
Une équivoque Une heure Une oasis
Une étagère Une affaire Une once
Une acné Toutes les années Une orbite
Une échelle Une autoroute Une orthographe
Une moustiquaire Une échappatoire Une oreille
Une acoustique Une entente

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MASCULIN
Un cyprès (conifère) Un autobus Un accident
Un orteil Un sandwich Un en-tête
Un pétale Un orchestre Un entracte
Du bel asphalte Un éclair Un hôpital
Un cantaloup Un ulcère Un incendie
Un avion Un ascenseur Un oreille
Un escalier Un horaire
Un intervalle Un exemple

DIVERS
Vengeur vengeresse / enchanteur enchanteresse / coi coite / favori favorite
Hébreu, des hébreux, des hébraïques / feu, des feus (défunt)
5 adjs. masculins : un bel homme, un nouvel ami, un vieil homme, un fol amour, un mol ingrédient.

VERBES

Formation des temps composés


Pour  former  le  … AUXILIAIRE AUX. CONJ. : être ou avoir
Passé composé Indicatif présent ai-as-avons / suis-es-sommes
Plus-que-parfait Imparfait avais-avions-aviez / était-
étions-étiez
Passé antérieur Passé simple eus-eut-eurent / fus-fut-
furent
Futur antérieur Futur simple aurai-aurons / serai-serons
Subj. Passé Subjonctif présent aie-ait-ayons / sois-soyons-
soyez
Conditionnel passé Conditionnel présent aurait-aurions-auriez /
serions-seriez-serais
Impératif passé Impératif présent (même  forme  qu’au  
subjonctif présent : aie-
ayons-soyez…)
Participe passé composé Participe présent ayant-étant

Classe des verbes :


Verbes attributifs : besoin  d’un  élément  qui  caractérise  le  sujet
o ÊTRE, PARAITRE, PASSE POUR, RESTER, SEMBLER, DEVENIR, DEMEURER
Verbes trans. directs : sans préposition
o REGARDER  QUELQUE  CHOSE,  ÉCOUTER  QUELQU’UN,  MANGER  QUELQUE CHOSE, RAPPELER.

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Verbes trans. indirects : avec préposition
o PARLER  DE  QUELQUE  CHOSE,  NUIRE  À  QUELQU’UN,  SE  SOUVENIR  DE  QUELQUE  CHOSE,  ETC.  

Verbes trans. à deux compléments : CD + CI ou CI+CI


o DONNER  QUELQUE  CHOSE  À  QUELQU’UN  (CD+CI),  PARLER  DE  QUELQUE  CHOSE  À  QUELQU’UN  (CI+CI)
Verbes intransitifs : Verbes qui expriment une action limitée au sujet.
o SANGLOTER, BÊLER, DORMIR, ETC.
Verbes impersonnels : verbes dont le sujet est le pronom impersonnel IL. (verbes météorologiques)
o FALLOIR, NEIGER, PLEUVOIR,  S’AGIR, IL Y A,
** Verbes qui permettent la forme impersonnel : ARRIVER, COURIR, VENIR, SORTIR, ÉMANER, RÉGNER,
SE PASSER, ENTRER.
Il est venu beaucoup  d’enfants  à  ta  fête.  Il  s’ajoutera quelques étudiants au groupe.

Les compléments :
o COMPLÉMENT DIRECT (CD) = Le,  la,  les,  l’  cela,  en  ou  en…  un.  
o COMPLÉMENT INDIRECT (CI) = lui, leur, en, y

Choix  de  l’auxiliaire :


o AVOIR : majorité des verbes non pronominaux, verbe transitifs et intransitifs (la plupart), verbes TJRS
impersonnels.
o ÊTRE : verbe  pronominaux,  certains  verbes  intransitifs  (naitre,  mourir,  devenir  =  changement  d’état,  sortir,  
arriver, partir, rester, aller, venir, entrer et tomber = mouvement terminé), phrases de forme impersonnelle
(il est entré trois garçons) et de formes passives.

Ordre des pronoms personnels :


Lorsque pronominalisés = CI + CD. (sauf si en présence de deux pronoms compléments à la 3e personne = CD +CI)
Jean donne ce livre à Paul. Jean le lui donne. (CD+CI)
Des histoires, il nous en a racontées.

Quelques erreurs courantes :


*On  s’en  attendait.   On  s’y  attendait.  (y  =  nom  inanimé)
*J’y  parle  souvent  à  Jean.   Je lui parle souvent à Jean. (nom animé = lui)
*Cela va lui empêcher de visiter New York. Cela  va  l’empêcher  de  visiter  New  York.  

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Bonnes façons :
Elle a expliqué la solution de ce problème à Marie. Elle la lui a expliquée.
Je vais offrir ce cadeau à Béatrice. Je vais le lui offrir.
J’ai  donné  ce  magnifique  livre  aux  élèves.  Je  le  leur  ai  donné.  

ATTENTION! Complément du verbe passif :


*La client a-t-elle été répondu par un de nos vendeurs. (verbe trans. indirect donc il ne permet pas la forme passive, ce
sont seulement les verbes qui demandent un CD qui peuvent devenir à la forme passive)
*Un employé a été téléphoné par le patron. (Le patron a téléphoné un employé)
Un de nos vendeurs a-t-il répondu à la cliente?
La souris est mangée par le chat. (le chat mange la souris)
Le gazon est recouvert de ces feuilles mortes. (ces feuilles mortes recouvrent le gazon)

Emploi obligatoire du subjonctif :


Pour  vérifier  s’il  faut  absolument  l’utiliser,  faire  le  test  avec  le  verbe  SAVOIR  qui  change  au  subjonctif.  
Ex : Il faut que tu vois un médecin. il  faut  que  tu  saches…  (donc  =  voies,  au  subj.  présent)

RÈGLES  AVEC  L’ACCORD  DES  VERBES

Participe passé SANS auxiliaire : considéré  comme  adjectif,  s’accorde  donc  avec  le  nom.  

Fatiguée, Naholi ira se coucher très tôt. Cette bâtisse construite au 18ème siècle…  Les  murs  blanchis…  

ATTENTION :  certains  P.P  seuls  restent  INV  lorsqu’ils  sont  DEVANT  un  GN,  car  ils  sont  considérés  comme  des  ADV  OU  
PREP selon le cas.

Attendu, entendu, excepté, passé, supposé, vu, y compris, non compris, ci-joint, ci-inclus, etc.
o Excepté Henriette et Marie, tous étaient là. (prep)
o Marie et Henriette exceptées, tous étaient là. (adj.)
o Vous trouverez ci-joint copie de mon bulletin. (adv.)
o Ci –joint les lettres.
o Les lettres ci-jointes.

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Participe passé avec auxiliaire ÊTRE ou autre verbe attributif : s’accorde  avec  sujet.  

Elles sont sorties très tard hier.

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Participe passé avec aux. AVOIR : s’accord  avec  son  CD  si  ce  dernier  est  placé  devant  le  verbe.  Sinon,  reste  
INVARIABLE.

Les CD possibles : que,  le,  la,  l’,  les,  me,  te,  se,  nous,  vous, pronoms interrogatifs laquelle, lequel, lesquelles, lesquels et
déterminants quel, quelle, quels, quelles, combien de, que de, et du pronom en.

o Il    y  a  trois  possibilités  pour  qu’il  y  ait  un  accord  avec  CD (AVOIR)
Si on retrouve être : a été essuyé (accorde avec être)

1. Dans les interrogatives ou exclamatives avec : QUEL, QUELLE, QUELLES, QUELS, LEQUEL, LESQUELS, LAQUELLE,
LESQUELLES, QUE DE, COMBIEN DE où le CD est placé en tête de phrase. Ex : Quelles grammaires avez-vous
consultées? Laquelle avez-vous  lue?  Que  de  pommes  j’ai  mangées!  Combien  de  livre  as-tu achetés?

2. Dans les phrases où le CD est un pronom personnel, placé devant le P.P : LE,  LA,  LES,  L’,  ME,  M’,  TE,  NOUS,  
VOUS,  T’.  ex : Il nous a vus. Je range les grammaires dès que je les ai consultées.

3. Dans les relatives où le pronom relatif est le CD (QUE ou  QU’) Ex :  Les  grammaires  que  j’ai  achetées  sont  bien  
présentées.

4. Pour les pronoms réfléchis (pronominaux) : il faut analyser plus loin car ça peut être un CD, un CI ou un sans
fonction.

o Les  fleurs  que  j’ai  achetées  sont  très  jolies.  (cd=  que  =  antécédent de fleurs)
Cette  lettre,  je  l’ai  gardée.  (cd=  l’  =  antécédent  de  lettre)  

o Si  le  CD  est  un  pronom  dont  l’antécédent  est  une  P  = pronom neutre, donc accord à la 3e personne du sing.
Elle  est  aussi  belle  que  je  l’avais  imaginé.  (j’avais  imaginé  quelque  chose,  j’avais  imaginé  qu’elle  était  belle)

o Lorsque le pronom EN précède le P.P = peut  parfois  être  un  CD  et  l’usage  permet  de  le  laisser  INV.  
Il a cueilli des fraises et il en a mangées/mangé. (2 possibilités)

ATTENTION : Par contre, si le pronom en remplace  qu’une  partie  du  CD,  le  P.P  reste  INV :

Il a cueilli des fraises, et il en mangé une tonne. (de fraises = sous-entendu, cd = après, donc INV.)
J’ai  vu  plusieurs  belles  cravates;  j’en  ai  acheté  trois.  
Des  livres,  j’en  ai  lu  un  grand  nombre.  

ATTENTION : Le complément de mesure à ne  pas  confondre  avec  des  CD.  Les  P.P  avec  avoir  ne  s’accordent  jamais  avec  
des compléments de mesure. Verbes qui prennent souvent un compl. de mesure : couter, peser, valoir, mesurer,
marcher, courir, vivre, dormir, régner, durer, etc. Souvent, repérable par poids, durée, distance, prix, etc.

Les deux-cents dollars que  ce  vélo  m’a couté étaient bien investis.

Les années qu’elle  a vécu ont été bien remplies.

Les cinquante kilomètres que Jean a couru l’ont  épuisé.  

MAIS Les efforts que  ce  travail  m’a  coutés étaient soutenus.
Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)
L’aventure qu’elle  a  vécue est extraordinaire.

Les oranges que Marie a pesées étaient énormes.

Les dangers que Michel a courus l’ont  rendu  plus  brave.  

Ne pas oublier que le P.P des verbes impersonnels reste INVARIABLE. (Te souviens-tu de la tempête qu’il  y  a  eu?)

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Accord du P.P. des verbes pronominaux : NE  S’ACCORD  PAS  TJRS AVEC LE SUJET MÊME SI TJRS AVEC ÊTRE.

On doit déterminer si le verbe est transitif direct ou indirect et donc présence  d’un  CD  ou  non.  

Étape 1 : Y-a-t’il  un  CD  ? LORSQU’IL  Y  A  PRÉSENCE  D’UN  CD,  NE PAS TENIR COMPTE DU PRONOM RÉFLÉCHI CAR LE CD
DÉCIDE DE TOUT!

Si   oui,   c’est   le   CD   qui   décide   de   l’accord. (on doit mettre le verbe avec avoir pour faire le test) S’IL   Y   A   UN   CD   ON  
ACCORDE  COMME  AVEC  AVOIR.  Si  pas  de  CD,  on  n’est  pas  dans  un  verbe  transitif  direct,  il  faut  donc  pousser  l’analyse.  

Exemple :  si  on  prend  le  verbe  laver.  Habituellement  on  lave  quelqu’un  ou  quelque  chose.  (transitif  direct)  Le  verbe  
devrait donc avoir un CD à trouver :
Elles se sont lavé les cheveux. (CD = les cheveux, après le verbe = invariable)
Elles se les sont lavés. (CD = les, placé devant le verbe = accorde au M.P. signifiant les cheveux)
Elles se sont lavées. (CD = se, il est placé avant le verbe = accord avec se, qui représente « elles »)

Étape 2 : Le pronom réfléchi est-il un complément indirect ?

Il reste à vérifier si le pronom réfléchi (me, te, se, nous, vous) est un CI.

Si le pronom réfléchi est un CI, le P.P reste invariable. Il  s’agira  d’un  de  ces  verbes  transitifs  indirects : plaire à, déplaire
à, mentir à, nuire à, ressembler à, sourire à, succéder à, suffire à, en vouloir à, téléphoner à, parler à, écrire à, répondre à.

MAIS si  le  pronom  réfléchi  n’est  pas  un  CI,  il  est  alors  SANS  FONCTION  logique,  le  P.P  s’accorde  donc  avec  le  sujet  
(contexte très fréquent).

Exemples :
Elle se sont nui. (se =  CI  nuire  à  quelqu’un  =  invariable)  
Il  s’en  sont  voulu.  (se  =  CI  en  vouloir  à  quelqu’un  =  invariable)  
Les  rois  et  les  reines  se  sont  succédé.  (se  =  CI  succéder  à  quelqu’un  =  invariable)  
Ils  se  sont  parlé.  (se  =  CI  parler  à  quelqu’un  =  invariable)  
Ils se sont évanouis. (se = sans fonction logique : évanouir à eux ? impossible = accord avec le sujet)
Ils se sont enfuis. (se = sans fonction logique : enfuir à eux ? impossible = accord avec le sujet)
Ils  se  sont  méfiés  d’elle.  (se = sans fonction : méfiés à eux? Impossible = accord avec le sujet)
On  ne  pas  peut  ni  évanouir,  ni  méfier,  ni  enfuir  QUELQU’UN.  (pas de CD)
Il y a SIX exceptions :
PLAIRE, COMPLAIRE, SE DÉPLAIRE, SE RIRE =  TJRS  INVARIABLE  PEU  IMPORTE  L’ANALYSE.  
S’ÉCRIER ET  S’EXCLAMER = TJRS ACCORD AVEC LE SUJET.

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PP  avoir  suivi  d’un  verbe  à  l’infinitif : S’accorde  si  l’action  est  faite  par  le  sujet  du  verbe.    

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Exemples :
Les  diamants  que  j’ai  vus tomber (ce sont les diamants qui tombent).
Les  diamants  que  j’ai  vu tailler (Les diamants ne se taillent pas eux-mêmes)

FAIRE ET LAISSER :
Fait = invariable  lorsque  suivi  d’un  verbe  à  l’infinitif.  
Laisser = avec nlle orthographe  peut  rester  inv.  si  suivi  d’un  V  à  l’infinitif.  
Les  vases  que  j’ai  fait  tomber  étaient  gros.  
Les  vases  que  j’ai  laissé  tomber  étaient  magnifiques.  

LORSQU’UN  PRONOM  A  POUR  ANTÉCÉDENT  UNE  PHRASE  =  NEUTRE.  (masc.  sing) :


Comme les météorologues l’ont annoncé, il fera beau demain. l’  =  il  fera  beau  demain  (le  cd  L’  est  donc  neutre,  donc  
accord au masc. singulier)

ON / NOUS : ne pas mélanger les deux ensemble


*Mes amis et moi sommes allés au cinéma et on a mangé de la poutine.
Mes amis et moi sommes allés au cinéma et nous avons mangé de la poutine.
Utilisation du ON : déterminants SON, SA, SES et pronoms SE, SOI, SOI-MÊME.
Utilisation du NOUS : déterminants NOTRE, NOS et pronoms NOUS ET NOUS-MÊMES.
*On  ne  s’est  pas  rendu  compte de notre erreur. Nous ne nous sommes pas rendu compte de nos erreurs.
*Nous  n’avons  pas  eu  le  temps  de  se  laver.   Nous  n’avons  pas  eu  le  temps  de  nous  laver.  
*On  l’aurait  fait  nous-mêmes. Nous  l’aurions  fait  nous-mêmes.
*Dans la vie, on ne peut compter que sur nous-mêmes. Dans la vie on ne peut compter que sur soi-même.

TYPES ET FORMES DE PHRASES

Phrase emphatique : Phrase qui met en évidence un groupe de mots.


o La mise en évidence se fait par le détachement avec virgules et en le reprenant par un pronom;
o ou en encadrant  le  groupe  de  mots  par  C’EST  …  QUI,  CE  SONT  …  QUI,  C’EST  …  QUE,  CE  SONT… QUE (on ne met
pas de virgules dans ce cas)
J’en  ai vu passer, des surdoués dans les classes.
Ton frère, il range ses affaires.
Ses affaires, ton frère les range.
C’est  ton frère qui range ses affaires
Ce sont ses affaires que ton frère range.
Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)
Phrase impérative : Pour les verbes se terminant par E, on enlève le S de la 2e personne du sing. et pour le verbe
aller (regardes devient regarde), mais on les garde avec les pronoms Y et EN pour la liaison Donnes-en, Trouves-
en. Les pronoms compléments EN et Y sont placés après les autres pronoms. EN termine toujours la phrase.
Tu donnes des conseils à Jean. Donne-lui-en
Accordes-y-en (y doit précéder en)

Impérative de forme positive : pronoms  lié  au  verbe  par  traits  d’union  sauf  lors  d’un  apostrophe
Rends-les-moi / Donne-lui-en
Ordre des pronoms : Verbe  ou  auxiliaire      +      Le,  la  ,  les  l’        +        moi,  toi,  t’,  m’,  lui,  nous,  vous,  leur           + y + en

Impérative négative : (ou déclarative)


Elle me les a rendus (déclarative) / Ne lui en donne pas. (imp. négative)
Ordre des pronoms : Sujet + Me,  te,  se,  nous,  vous,  s’,  m’  t’     +        le,  la,  les,  l’      +        lui,  leur        +       y + en + verbe ou
auxiliaire

Exemples :
(avec LE, LA, LES) Tu me donnes le crayon. / Tu me le donnes. / Donne-le-moi. / Ne me le donne pas.
(avec EN, Y) Tu  me  donnes  du  pain.  /  Tu  m’en  donnes.  /  Donne-m’en.  /  Ne  m’en  donne  pas.  
PAS  DE  TRAIT  D’UNION  À  LA  FORME  NÉGATIVE.  

Emploi des formes élidées L’,  M’  T’  devant  EN  et    pour  éviter  LUI  Y.   l’y,  m’y,  t’y
Comme  il  y  a  un  casier  libre  et  que  ton  sac  est  lourd,  tu  l’y  déposes.  Dépose-l’y.
Ce matin, tu vas au centre-ville.  Tu  t’y  rends  à  pied.  Rends-t’y  à  pied.
Pour les  traits  d’union, savoir si le mot qui suit le verbe est un pronom ou un déterminant. Si pronom on met un trait
d’union,  sinon,  on  en  met  pas.  
Donne-moi le crayon. Fais le bien. (dét)
Donne-le-moi. Fais-le bien. (pronom)
Si  le  pronom  est  complément  du  verbe  à  l’infinitif  qui  le  suit,  on  ne  met  pas  de  trait  d’union.
Tu oses le faire. / Ose le faire. (Ose faire quelque chose le = CD du verbe faire)
Tu le laisses faire. / Laisse-le  faire.  (laisse  quelqu’un  faire…   le = CD du verbe laisser)

Phrase négative : on ne peut jamais jumeler PAS et un autre marqueur de négation.


Personne, nulle part, rien, aucun, aucune = négation
seulement ET ne  …  que = restriction (ne pas les utiliser ensemble)
Ils n’ont eu besoin que de  deux  jours…  /  Ils  ont  eu  besoin  de  seulement deux  jours…
Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)
Phrases complexes : juxtaposition,  coordination,  subordination,  l’insertion.

o JUXTAPOSITION , ; :
Je  suis  venu,  j’ai  vu,  j’ai  vaincu.  
J’ai  révisé  la  syntaxe  ;  je  suis  prêt  pour  l’examen.
Il est tard : allons nous coucher.

o COORDINATION mais- ou-est- car- ni-or- donc- cependant- d’abord- ensuite-


premièrement -non seulement- mais tantôt- tantôt, etc.
Je ne suis pas sorti, car j’étais  malade.  
J’ai  tenté  de  te  rejoindre,  mais tu étais absent.
D’abord j’ai  fait  mes  travaux,  ensuite je suis allée au cirque.
** Il ne mange ni champignon ni brocoli.
Denis est heureux, et Paul est triste.

o SURBORDINATION
Subordonnée relative : combiner deux phrases ayant un élément en commun
Phrase enchâssante La tempête a  surpris  l’équipage.  
Phrase à enchasser La tempête s’est  levée  en  peu  de  temps.  
Phrase complexe : La tempête [qui s’est  levée  en  peu  de  temps] a  surpris  l’équipage.  
** La sub. relative doit toujours être immédiatement à la suite de son antécédent.
*Les bonbons sont sucrés [que  j’ai  achetés  pour  les  enfants.] Les  bonbons  [que  j’ai  achetés  pour  les  
enfants] sont sucrés.

Le choix du pronom relatif se fait en fonction  du  genre,  nombre  et  de  la  fonction  de  l’élément  à  remplacer  dans  la  
phrase enchâssé :

Qui = SUJET :
Phrase enchâssante La tempête a  surpris  l’équipage.  
Phrase à enchâsser La tempête s’est levée en peu de temps. (SUJET)
Phrase complexe : La tempête [qui s’est  levée  en  peu  de  temps]  a  surpris  l’équipage.  
Élément commun des 2 phrases = tempête.
Dans la phrase à enchâsse, tempête est le sujet.
Dans  la  phrase  complexe,  on  remplace  tempête  par  le  pronom  relatif  qui  puisqu’il  est  le  sujet  du verbe endommager.

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


QUE = CD :
Phrase enchâssante La tempête a  surpris  l’équipage.  
Phrase à enchâsser Nous avons essuyé cette tempête. (CD du verbe essayer)
Phrase complexe : La tempête [que nous  avons  essuyée]  a  surpris  l’équipage.  

Complément introduit par de = DONT :


Phrase enchâssante La tempête a  surpris  l’équipage.  
Phrase à enchâsser L’annonce  de  la  tempête a été ignorée. (TEMPÊTE INTRODUIT PAR PREP DE)
Phrase complexe : La tempête [dont l’annonce  a  été  ignorée]  a  surpris  l’équipage.  

Subordonnée relative explicative : fournit une explication NON RESTRICTIVE donc elle est toujours détachée
par des virgules, car elle est FACULTATIVE.
Exemples :
Les lions, qui sont des félins, sont des prédateurs. (tous les lions sont des prédateurs)
Pedro  Almodovar,  dont  j’aime  les  films,  est  un  réalisateur  espagnol.  (nom propre = unique)

Subordonnée relative déterminative : restreint  ou  détermine  le  sens  du  nom  qu’elle  complète.    Jamais  
détachée  du  nom  par  des  virgules  puisqu’elle  ajoute  une  info  nécessaire au nom.
Le  chat  qu’Isabelle  a  trouvé  hier  dort  devant  le  foyer.  (pas  n’importe  quel  chat)
Les étudiants qui travaillent sérieusement réussissent. (signifie que ce sont uniquement ceux qui travaillent)
Subordonnée complétive :

En QUE : que, à ce, de ce que Je veux que tu trouves un emploi à la hauteur de tes attentes.
Elle peut occuper plusieurs fonctions grammaticales :
-Fonction sujet =[ Que tu rentres pour diner] me surprendrait énormément. (quelque chose)
-Fonction CD = Les enfants croient [que le père Noël vit au pôle Nord]. (quelque chose)
-Fonction CI = Je me souviens [que cette rencontre a eu lieu la semaine dernière.] (de quelque chose)
-Fonction  complément  du  nom  =  La  crainte  [qu’il  échoue  à  son  examen]  n’est  pas  justifiée.  (de quelque chose)
-Fonction  complément  de  l’adjectif  =  Je  suis  heureuse  [qu’il  demeure  à  mes  côtés.]  (de  quelque  chose)

Subordonnée complétive interrogative indirecte :


Je me demande quelque chose. Viendras-tu à ma fête? Je me demande [si tu viendras à ma fête.]
Je ne sais pas quelque chose. Qui viendra pour ma fête? Je ne sais pas [qui viendra pour ma fête.]
Je me demande quelque chose. À quelle vedette a-t-il parlé? Je me demande [à quelle vedette il a parlé.]
J’ignore  quelque  chose.  Quand  reviendra-t-il? J’ignore  [quand  il  reviendra.]

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Subordonnée circonstancielle (temps, but, manière, comparaison, cause, hypothèse, justification, concession,
opposition, conséquence) Pierre allait à la piscine [pendant que Paul faisait la sieste.]

Subordonnée participiale : verbe  est  un  participe  présent  ou  un  participe  passé,  le  sujet  n’est  pas  toujours  exprimé.  
(sous-entendu)

Paul[, arrivé de justesse,] a eu beaucoup de chance. (complément du nom)


J’aime  les  chiens  [ayant  le  poil  court.]  (complé.  nom)
Les enfants [étant  partis  à  l’école,]  la  maison  était  vide.  (compl.  de  phrase)  
* Marchant dans la campagne, les étoiles éclairaient Véronique. (les étoiles ne marchent pas)
Marchant dans la campagne, Véronique était éclairée par les étoiles.

DE QUOI = SEULEMENT POUR LES INTERROGATIVES.

o INSERTION

Phrase incise : apparait dans le discours direct pour indiquer qui est la personne qui parle, celle-ci est encadrée de
virgules, son sujet et son verbe sont tjrs inversés.
« Je pense que Natacha est prête », dit le commissaire.
Phrase incidente : marque de présence du locuteur; marque son avis, point de vue (commentaire). On encadre de
virgules. Il pleut, on le sait, il  n’est  pas  nécessaire  de  le  rappeler.  
Il est, je crois, un peu sourd. Il était, vous ne me croirez pas, déshabillé.

PONCTUATION

Point (.) : à  la  fin  d’une  abréviation   Hier,  j’ai  rencontré  M.  Jacques  Dumont.  
Mais  si  la  dernière  lettre  du  mot  est  conservée  on  ne  met  pas  de  point.  Pas  de  point  à  la  fin  d’une  unité  de  mesure.  
Mme Tremblay, Dr Allard, 3h30, 4 km.

Point  d’exclamation (!) : phrase  exclamative  +  à  la  suite  d’une  interjection  et  de  certaines  expressions toujours
exclamatives. Quelles jolies roses! Eh bien! Aïe! Quelle histoire! Hé! Ouf! Allo! Ah! Ah bon! Tant mieux!

… : énumération inachevée, phrase laissé en suspens. Nous  aurons  besoin  de  lait,  de  beurre,  de  café...  /  J’imagine  ce  
que  tu  veux  dire…  **JAMAIS  DE  …  APRÈS  ETC.  

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


« » les chevrons : Pour encadrer une citation directe ou un discours rapporté, pour encadrer une expression reprise
textuellement. ** Si la citation commence par une majuscule et a une ponctuation finale,  on  le  garde  à  l’intérieur.  
Confucius a dit : « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté. » / « Comment vas-tu? » lui a-t-il
demandé.  /  Il  m’a  dit  que  j’étais  son  «petit  canard en sucre ».

() : pour  détacher  une  précision  concernant  l’élément  précédent.   J’irai  à  l’université  mardi  (et  non  lundi).  /  Mardi  (et  
non  lundi),  j’irai  au  cinéma.  

- : Même usage que les parenthèses. J’irai  à  l’université  le  mardi  – et non lundi. / Mardi – et non lundi-,  j’irai  à  
l’université.  

La virgule (,) :
- Pour détacher un compl. de phrase déplacé en début de phrase, entre le sujet et prédicat ou entre le verbe et ses
compléments. Lorsqu’il  pleut, je…  /  Lucie,  lorsqu’il  pleut, ne  sort  pas.  /  Lucie  n’aime  pas,  lorsqu’il  pleut, faire du
vélo. *Si  le  complé.  de  phrase  est  déplacé  au  début  d’un  subordonnée,  il  faut  l’encadrer   Je sais que,  lorsqu’il  
pleut, Lucie  n’aime  pas  faire  du  vélo.    *****  S’il  se  trouve  en  fin  de  phrase  sub.,  il  n’a  pas  besoin  de  virgules   Ceux
qui  n’aiment  pas  rouler  à  vélo  lorsqu’il  pleut sont peureux.
- Pour  détacher  un  commentaire  de  l’auteur : Je sais, malheureusement, que je devrai partir.
- Pour détacher un marqueur de relation : Donc, il faudrait / Je crois que,  d’abord, il  faudrait…   On ne met pas de
virgules si le marqueur suit un verbe conjugué Je  devrai  donc…
- Pour séparer les éléments énumérés et devant car et mais : Je bois, je mange, mais je  n’ai  pas  faim.  /  J’ai  rencontré
Jean, Luc, Simon et Rémi. Généralement pas de virgules entre les deux derniers éléments si il y a ET et OU. Je
mange du chocolat, des bonbons ou des chips.
- Ni : pas de virgules si seulement deux éléments. Cela me fait ni chaud ni froid. Mais 3 ni et plus = virgules. Je
ne mange ni chocolat, ni bonbons, ni chips. / Je ne mange pas de chocolat, ni de bonbons, ni de tarte.
- Virgule devant ET, OU et NI dans 3 contextes : coordination  dont  les  sujets  sont  différent,  s’il  y  a  coordination  à  
l’intérieur  de  l’un  des  éléments  coordonnés,  pour  indiquer  qu’un  complément  n’est  pas  commun  aux  phrases  ou  aux  
groupes coordonnés. Mathieu achètera le vin, et Joëlle apportera du pain. / Mathieu achètera le vin ou la bière,
et  il  s’arrêtera  ensuite  à  la  boulangerie.  /  Mathieu  a  apporté  du lait, du beurre, du fromage, et une surprise pour
Joëlle. (seule la surprise est pour Joëlle)
- Détacher un élément mis en apostrophe : Je pense sérieusement, M. Dumais, que vous êtes dupe.
- Marquer  l’absence  d’un  verbe : Je vais à Québec; toi, à Vancouver.
- Détacher un élément en évidence et reprise par un pronom : Moi,  je  suis  allée…  /  De  la  pizza,  j’en  ai  mangé.  /  Ils  
sont beaux, tes souliers.
- Détacher une incise : « Je crois, dit-il,  que  tu  t’es  trompé. »

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Si  l’incise  est  à  la  fin  d’une  citation  qui  se  termine  par  un  simple  point,  le  point  est  enlevé  devant  le  guillemet  
fermant  et  est  remplacé  par  une  virgule  devant  l’incise   « Je  crois  que  tu  t’es  trompé », dit-il.
Pas de virgule si la citation se termine  par  un  signe  de  ponctuation  !  ?  …  (autre  que  le  point).   « Que tu es
gentille! » dit-il. « Je  ne  t’oublierai  jamais… »  m’a-t-il dit. « M’oublieras-tu? » lui demandai-je.
- Pour détacher, dans un GN, un complément du nom à la valeur non restrictive (une info pas nécessaire à la
compréhension)
Ma  sœur,  Joëlle,  est  venue  me  rendre  visite.  (j’ai  une  seule  sœur   nom  =  info  suppl)  /  Ma  sœur  Joëlle  est  venue  
me  voir.  (j’ai  plusieurs  sœurs,  mais  c’est  ma  sœur  Joël  qui  est  venue  me  voir…  essentiel  pour  savoir  quelle  sœur)
L’eau,  qui  gèle  à  0C,  est  essentielle  à  la  vie.  /  L’eau  qui  est dans ma piscine est chlorée.

Le point-virgule (;) :
- Juxtaposer 2 phrases logiquement liées : Je vais à Québec; toi, à Vancouver.
- Énumérer des éléments contenant déjà des virgules : Je pratique plusieurs sports : la voile, qui est un sport gracieux
;  le  vélo,  qui  est  un  sport  d’endurance  ;  et  le  ski,  qui  renforce  la  musculature.  
- Pour séparer une énumération verticale :
Je pratique :
-la voile;
-le ski;
-le surf.

Le deux-points :
-Introduire une énumération qui explicite un mot déjà mentionné devant le deux points :
Je pratique plusieurs sports : la voile, le vélo et le surf.    **si  l’énumération  ne  termine  pas  la  phrase,  il  est  mieux  
d’utiliser  les  ()   Je pratique pluseirs sports (le vélo, le surf et le ski) tous les jours de la semaine.
**Pas  de  deux  points  devant  des  mots  qui  introduisent  déjà  l’énumération  (tel  que,  comme,  etc.)
**Pas de deux points entre verbe et son CD même si énumération Je pratique le surf, le vélo et le ski
-Pour introduire une citation rapportée directement Il  m’a  dit : « Je te veux. »
** Pas de deux points si la citation est intégrée directement dans la phrase Il  m’a  demandé  quel  était  mon  dessert  
préféré.  Il  m’a  dit  que  j’étais  son  « petit canard en sucre ».
-Pour juxtaposer 2 phrases dont la seconde exprime la cause ou apporte une explication : (les deux points remplacent
les mots CAR, PARCE QUE) Je suis arrivée en retarde ce matin : le métro était en panne.
-Pour juxtaposer 2 phrases dont la seconde exprime un rapport de conséquence (ALORS, DONC) Le métro était en
panne ce matin : je suis arrivée en retard.

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


PLURIEL

Un coup de main
Des  troubles  d’apprentissage
Des patins à roues alignées (le nom désigne une réalité comptable et qui est multiple)
Un groupe de touristes
Non comptable : persil, peau, farine, beurre, neige, eau, honnêteté, etc.

Mots auxquels faire attention au pluriel : des prix, des nez, des avals, des bals, des chacals, des étals, des récitals, des
régals, des rorquals, des drapeaux, des joyaux, des boyaux, des noyaux, des sarraus, des landaus, des pneus, des bleus,
des émeus, des portails, des baux (bail), des coraux (corail), des soupiraux (soupirail), des fous, des bayous, des clous,
des verrous, des filous, des voyous, des bijoux, cailloux, choux (chou), genoux, hiboux, joujoux, poux (pou)
Aucun et aucune = au  pluriel  uniquement  en  présence  d’un  nom  qui  n’a  pas  de  singulier  

Mots tjrs au PLURIEL : Aucunes vacances, alentours, épousailles, NULLES funérailles,  mœurs,  ténèbres,  condoléances,  
fiançailles, gens, obsèques, pénates (divinité romaine qui garde le foyer et le garde-manger), entrailles, frais, honoraires,
félicitations, archives, fonds, les environs, représailles, NULS pourparlers, agissements.

Verbe et noms collectifs :


Monde, famille, équipe, classe, etc. = tjrs accorder au singulier puisque le nom lui-même  l’est.  

Tout le monde est venu à la fête.


Plusieurs nous tendront la main.
Aucun de ses collègues n’est  venu.  
Personne  d’autre  que  nous ne connaissait la réponse.
Beaucoup de phoques nagent.
Plus  d’un  étudiant est arrivé en retard.
Moins de deux ans ont passé depuis son retour.

Nom collectif + complément : dépend du sens de la phrase et ce que veut dire le locuteur.
(groupe, meute, ensemble, foule, tas, multitude, amas, peuple, une poignée, la majorité, etc.)
Un  troupeau  d’éléphants  se  promenait.  Un  troupeau  d’éléphants se promenaient.
Un tas de fleurs poussaient. *** exception car un tas ne peut pousser, ce sont les fleurs.
Une  foule  d’admirateurs  s’est  accrue.  (***foule qui grandit et non les admirateurs)

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


La plupart = pronom pluriel qui peut avoir un complément ou non.
Seul : La plupart viendront à la fête. (3e pers. pluriel)
Avec compl. = La plupart de amies sont venues. (accorde avec compl.)
La  plupart  de  l’eau  douce  d’Amérique  du  Nord  est  contenue  dans  les  Grands  Lacs.  (accorde avec compl.)

GN renferme une coordination ou une juxtaposition de GN :


Un  jour,  le  sapin  ou  l’épinette  pousseront dans le jardin.
Ni Paul, ni Pierre, ni Sarah n’ont  téléphoné au cinéma.
Parfois au singulier si on exprime une substitution (ou) : Une librairie ou un bureau de poste sera construit ici.
ADJ. avec un nom pluriel commandant un accord distributif : des communautés francophone et anglophone, les
gouvernements provincial et fédéral, les premier et deuxième chapitres, les forêts boréale et tropicale, etc.

ÉCRITURE DES NOMBRES ET DES FACRTIONS

Vingt et cent S’accorde  seulement en nombre lorsqu’ils  terminent le nombre. Invariable également  lorsqu’il  est  
question  d’ordre  ou  de  rang et lorsque synonyme de vingtième ou centième. (ex. la page trois-cent ou l’année  mille-
neuf-cent)
Vingt livres. La page quatre-vingt. (inv = quatre-vingtième)
Quatre-vingts livres. Deux-cents étudiants.
Quatre-vingt-deux livres. Deux-cent-un  bœufs.

Million, milliard, dizaine, centaine, millier sont variables.


J’ai  des  millions  de  dollars.  /  quatre-millions-huit-cent-mille habitants

Mille Invariable SAUF  s’il  s’agit  de  la  mesure. (ex.  j’ai  parcouru  10  milles  à  pied)

Fractions Aucun trait  d’union  entre  le  chiffre  du  numérateur  et  celui  du  dénominateur.  Accord  du  dénominateur  si  le  
numérateur est supérieur à 1. (330/5 = trois-cent-trente cinquièmes, 1/5 = un cinquième, 3/135 = trois cent-trente-
cinquièmes)

COULEURS

Les couleurs simples s’accordent en  genre  et  en  nombre  avec  le  nom  qu’il  qualifie  (rose, mauve, pourpre, écarlate,
fauve, jaune, rouge, bleu, vert, orangé, argenté, verdoyant, gris, blond, rouquin, rosé, brun blanc, noir, etc.)
Des fleurs gorge-de-pigeon.

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Exceptions Les couleurs qui proviennent de noms sont toujours INVARIABLES .
Or, chocolat, orange, marine, framboise, cerise, citron, caramel, lavande, turquoise, bronze, indigo, grenat, fuchsia,
marron, aubergine, prune, pêche etc.

Les couleurs composées sont INVARIABLES en tout temps.


Exemple : bleu-vert (trait  d’union  si  ce  sont  deux  couleurs  simples)
Vert pâle, rouge cerise, brun chocolat, bleu marine (JAMAIS MARIN), bleu verdâtre, noir de jais, vert olive, poivre et sel
etc.

PLÉONASMES (RÉPÉTITIONS INUTILES)

Ainsi par exemple Commémorer un anniversaire Tous sont unanimes


Prévoir  à  l’avance (fêter ou célébrer = oui) Monter en haut
Ajouter en plus Institution privée (institution = tjrs Voire même
Descendre en bas privée) Où y
Avoir un avenir devant soi Comparer ensemble Panacée universelle (remède à
Donc, par conséquent Redemander à nouveau toutes les maladies = universelle
But final Comparer entre eux en soi)
Environ quelque Répétition redondante Petite maisonnette
Car, en effet Depuis les deux derniers mois Pléonasme fautif
Enfin, pour finir Rouvrir à nouveau Première priorité
Comme, par exemple Je crois, selon moi Rafales de vent
Hasard imprévu Toujours encore
Monopole exclusif

Certains  pléonasmes  sont  acceptés  pour  intentionnellement  marquer  de  l’insistance :


Je  l’ai  vu de mes propres yeux. / Je l’ai  entendu  de  mes  oreilles. / Moi, je crois que cette histoire est fausse. (emphatique)

MAJUSCULES

Internet : i ou I (au choix)


Prénoms et noms de personne : Charlotte Ouellet
Continent, pays, ville, province, village, État : Amérique,  l’Inde,  l’Ohio,  Rimouski,  l’Antarctique  
Noms de lieux géographiques : mont Royal, rivière Morency, Quartier latin
Noms de rues, boulevards, avenues, rangs, point cardinal qui accompagne : boul. Saint-Laurent, la rue Mont-Royal Est
Signes du zodiaque : Bélier, Balancer, Vierge, Sagittaire
Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)
Noms de fêtes religieuses et congés fériés : Noël, Pâques, fête du Travail, Saint-Jean-Baptiste
Noms  d’une  population : les Européens, les Québécois ***attention aux adjectifs : parc montréalais, cours de français
Noms des organismes, de regroupements, de fédération, etc. (maj. au premier mot sauf quand il y a un nom propre)
Centre  d’aide,  Club  de  vacances  Henri-Julien, restaurant Chez Robert, fromage oka, Révolution tranquille, Faculté des
sciences  de  l’éducation, Bibliothèque nationale
ministère sans majuscule : ministère de la Famille et des Ainés, ministère des Ressources naturelles et de la Faune,
ministère  de  l’Immigration  du  Canada

HOMOPHONES

DEMI-SEMI-MI :
Invariables  +  suivis  d’un  trait  d’union  si  placés devant un nom ou un adj.
mi-décembre, au mi-temps, des demi-mesures, des armes semi-automatiques

Variables EN GENRE SEULEMENT après un nom : trois heures et demie, quatre mois et demi.
L’expression  à  demi  n’est  pas  suivie  d’un  trait  d’union quand elle signifie à moitié. (fenêtres à demi fermées)
À demi voilée. À demi-mot (exception pour  le  trait  d’union)
__________________________________________________________________________________________________
NU
INV.  et  suivi  d’un  trait  d’union  devant  un nom (nu-tête, nu-pieds)

Variable en GENRE et NOMBRE après un nom (tête nue, pieds nus)


__________________________________________________________________________________________________
POSSIBLE
Invariable  si  accompagné  d’un  superlatif (le plus de, le moins de, les plus, les moins, les pires, les meilleurs)
Ex : le moins de questions possible, les meilleurs soins possible, etc.

Variable  s’il  est  accompagné  d’un  superlatif,  mais  séparé  de  celui-ci par un GPREP formé de DES+NOM ; possible
s’accordera  donc  avec  le  nom : les meilleurs des soins possibles, le pire des résultats possibles.

Var. en genre et nombre sans superlatif : tous les soins possibles, les questions possibles, plusieurs solutions possibles.
__________________________________________________________________________________________________
DES PLUS, DES MOINS, DES MIEUX
Var.  en  genre  et  nombre  s’il  est  le  complément  d’un  nom  ou  d’un  pronom  dont  le  référent  est  précis : adj. est pluriel
et prend le genre du nom : voici un livre des plus intéressants, une personne des moins informées.

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


INVARIABLE dans les autres cas : (ADJ. PAS DANS UN GN) il est des plus agréable, faire entrer des inconnus chez soi est
toujours des plus risqué, lui répondre rapidement est des plus important.
__________________________________________________________________________________________________

QUELQUE (S), QUEL (S) QUE, QUELLE (S) QUE


QUELQUE : peut être un DÉT. ou ADV.
QUEL QUE : ADJ. accompagné de la conjonction que.

Lorsqu’il  est  DET : quelque  s’accorde  avec  le  nom  qu’il  détermine : quelques souvenirs. (dans le sens de plusieurs au
pluriel  de  d’un  quelconque  au  singulier)
Dans quelque temps (= dans un certain temps)
Le  chat  s’est  caché  sous  quelque  (un)  fauteuil  (quelconque, DÉT singulier)
Le chat s’est  caché  sous  quelques  coussins  (plusieurs  coussins,  DÉT  pluriel)

Lorsque QUELQUE est ADV : il est tjrs INVARIABLE et se trouve souvent devant un dét. numéral :
Quelque deux-cents personnes (environ = quelque est ADV.)
Il est possible de le trouver devant un adj., un P.P, ou un ADV. suivi de la conjonction que  et  d’un  verbe  au  subjonctif…  
Quelque sera alors remplaçable par SI OU AUSSI. (= adv.)
Quelque  prudent  qu’il  soit  (si  prudent  =  adv.)
Quelques efforts  qu’ils  fassent… (Dét. Littéraire ici, car on ne peut remplacer par «Si»)

QUEL  QUE  est  l’adj.  QUEL  accompagné de la conjonction que : IL EST TJRS DEVANT UN VERBE AU SUBJCONTIF. Il
s’accorde  en  genre  et  nombre  avec  le  sujet  du  verbe.  
Quelles que soient  vos  qualités,  …  (peu importe)
__________________________________________________________________________________________________
Homophones tout(es), tous, tout(s) :
Lorsque TOUT EST DET varie en genre et nombre (GN). *remplacer par un autre DET pour le savoir.

(complexe) Tous les étudiants. Toutes les réponses. Toute la tarte. Tout le temps.
(simple)  Tout  étudiant,  toute  personne…  

TOUT comme pronom : varie en genre et nombre


Cette soirée a plu à tous et à toutes.
Tout a un prix de nos jours.
Les écrivains se sont rassemblés. Tous on  lu…

TOUT comme nom : signifie  la  totalité.  (nom  masculin  et  variable  qu’en  nombre)
Tenter le tout pour le tout.
Ils ont réuni des touts complets.
Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)
Lorsque TOUT EST UN ADVERBE il  ne  varie  généralement  pas.  Pour  être  certaine  que  c’est  un  adverbe on remplace
par PARFAITEMENT OU COMPLÉTEMENT. (Signifie très, entièrement, tout à fait)

Jeans est tout rouge. Les enfants sont tout contents.

Par contre, le TOUT adverbe peut varier EN  GENRE  ET  NOMBRE  en  présence  d’un  adjectif  féminin qui commence par
une consonne ou un H aspiré (qui bloque la liaison).

Elle est toute rouge. Marie est toute honteuse. Les filles sont toutes contentes.
Elles ont des raquettes toutes décousues.

Autres adj. féminins dont le H est aspiré : haineuse, haletante, handicapée, harcelée, hasardeuse, hérissée, hideuse,
honteuse…

Ne  s’accord  pas  s’il  est  devant  une  voyelle  ou  un  H  muet.  
Jeanne est tout éblouie. Les filles sont tout heureuses. Elles sont tout honorables.
H muet : habituée, héroïque, hésitante, heureuse, honnête, honorable, horrible, hospitalière, etc.
__________________________________________________________________________________________________
MÊME (S)
Adjectif = variable ; les mêmes tâches, ce sont les mêmes termes, il  est  l’intégrité  et  la  sagesse  mêmes
Adverbe = INV. : même  les  intimes  ne  comprenaient  pas,  elles  sont  même  reconnues  mondialement,  aujourd’hui  même
Pronom = variable : Ce sont les mêmes que les miens, se renseigner eux-mêmes.
DANS LES LOCUTIONS : À MÊME, DE MÊME, QUAND MÊME, TOUT DE MÊME = même tjrs invariable car adverbe.

PLURIEL DES NOMS COMPOSÉS

o INVARIABLE :
verbe + verbe : des laissez-passer, ouï-dire;
verbe +pronom : des rendez-vous;
pronom + verbe : des on-dit;
pronom (s) + verbe + pronom :  des  qu’en-dira-t-on

Nom = variable dans :


Verbe + nom; des presse-citrons, des remonte-pentes, des garde-robes, des garde-mangers, garde-fous, taille-crayons,
chasse-neiges, tourne-disques, aide-mémoires, chauffe-eaux;
Prep + nom; des sans-cœurs,  des  avant-premières, des après-midis, avant-scènes;

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Deux noms dont le 2e est le complément du premier = premier mots tjrs variable
Nom + prep + nom ; des arcs-en-ciel, des chefs-d’œuvre,  des  hôtels  de  ville,  pots-de-vin, pommes de terre;
Nom + nom (prep sous-entendu); des timbres-poste (timbres de la poste), années-lumière.

LES DEUX MOTS SONT VARIABLES :


Adj. + nom ; des francs-tireurs;
Nom + adj. ; des coffres-forts;
Nom+nom (deux noms dont le 2e n’est  pas  complément  du  1er = apposition) ; des oiseaux-mouches, des choux-fleurs,
paquets-cadeaux, clairs-obscurs, biscuits sucrés-salés.

Les  noms  soudés  prennent  la  marque  du  pluriel  seulement  à  la  fin  (des  potpourris),  à  l’exception  des  mots :
Monsieur, messieurs Gentilhomme, gentilshommes
Madame, mesdames Mademoiselle, mesdemoiselles
Bonhomme, bonshommes

Pluriels particuliers :
Les yeux noisette Accessoires bleu turquoise Les portes-fenêtres
Chevaux de course Traverser la rue à pied sec Travaux menés de main de maitre
Remise de diplômes Plus  d’un  artiste  parviendrait Vote à main levée
Bâtons de ski Vos  secteurs  d’activité Dictée des Amériques sans fautes
Des plages de galets Un mur de briques Saisit à pleines mains
Des reflets vert doré Confiture de fraises Des hommes de main
Une  majorité  d’élèves  s’entend Raconte les grandes amours Prêté main-forte
Il devait 1.5 million de dollar Un  autre  ordre  d’idées Les tête-à-tête
Devant les tout-petits Moins de deux ans se sont écoulés Plusieurs antennes radio
On leur livrait La  bande  d’artistes se rassemble Des poignées de main
Murs de la charpente sont en Ses cartes de visite À  pied  d’œuvre
brique J’ai  une  estime  et  une  amitié  pour   Femme  d’affaires
Ses cheveux noir de jais vous toute particulière Produits qui sentent BON
Les Anglo-Canadiens (premier Des coups de pied Des appareils photo
élément en O = tjrs inv) Une  minorité  d’élèves ratent Saute à pieds joints
Ils  ont  été  à  même  d’effectuer… Les offres de service Des produits antirouille
Ce sont vraiment les années Un agent de voyages Cassettes vidéo
records Jus  d’orange Tous les lundis soir
Des arrière-boutiques Se présenter sans faute Des haut-parleurs
Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)
Des maisons témoins Recettes miracles Mardis matin
Éditions pirates Amuse-gueules Des cafés-crème
Les photos couleur Avant-gardistes Ci-joint les formulaire
Les pages-écrans Portraits types

PLURIEL DES NOMS PROPRES

Noms propres de lieux géographiques (peuvent prendre pluriel) :  la  Corée,  les  deux  Corées,  l’Amérique,  les  Amériques
Noms propres de personnes généralement pas : les Laplante, les Bougon.
Peuvent  être  au  pluriel  ou  non  lorsqu’ils  ont  le  sens  d’un  objet  ou  d’un  personnage  type : Les deux Klimts sont
magnifiques/  J’admire  les  Riopelles  que  tu  as  achetés  récemment.  

ADJECTIFS VERBAUX ET PARTICIPES PRÉSENTS

ADJ. VERBAUX = ACCORDE EN GENRE ET NOMBRE (peut être remplacé par un autre adj.)
Ces jeunes sont provocants. (remplacer par drôles = adj. verbal)
*Ces jeunes sont qui provoquent.
Ces bureaux sont communicants. (grands)
P. PRÉSENTS = INVARIABLE et se termine par –ANT  (peut  remplacer  par  QUI  +  verbe  conjugué  à  l’infinitif)
Ces jeunes, provoquant sans cesse leur professeur, sont très futés.
(Ces  jeunes  qui  provoquent  sans  cesse…  =  part.  présent)
La chambre communiquant avec  la  mienne  est  très  sale.  (qui  communique…)

Pour  savoir  comment  s’écrit  le  mot, on  détermine  s’il  s’agit  d’un  ADJ.  VERBAL  OU  UN  P.  PRÉSENT.  
Ensuite, on regarde  l’orthographe  du  verbe  à  l’infinitif  duquel  il  provient  si  c’est  un  participe  présent.  
Provoquer provoquant (+ant)
Converger convergeant (+ant)
S’il  s’agit  d’un  adj.  verbal : regarder le nom correspondant.
Excellence excellent
Adhérence adhérent
Vacances vacant

P.PRÉSENT VS. ADJ. VERBAUX :


Convainquant convaincant Vaquant vacant Influant influent
Suffoquant suffocant Coïncidant coïncident Différant différent
Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)
Équivalant équivalent Négligeant négligent Excédant excédant
Précédant précédent Convergeant convergent Manquant manquant
Naviguant navigant Divergeant divergent Coïncidant coïncident
Fatiguant fatigant Exigeant exigeant * Excellant excellent
Intriguant intrigant * Violant violent

PRÉPOSITIONS (voir page 83 livre théorique)

-Se rappeler quelque chose


-Se souvenir de quelque chose
Formes fautives :
*Je me rappelle de ce film. Je me rappelle ce film.
*Je me souviens ce film de ce film.
*Je téléphone mes parents tous les jours. à mes parents tous les jours.
*Je suis tombée en amour. tombée amoureuse.
* Je dois payer pour mes achats. payer mes achats.
MAIS…  
Il  s’est rappelé de payer ses comptes.
Il demande à partir.
Bien sûr, je me rappelle de toi.

Ne jamais mettre de préposition devant CHAQUE ET TOUS lorsqu’ils  marquent  la  périodicité.  (heure, jour, semaine,
mois, année, etc.)
*À tous les jours, tous les jours.
*à chaque jeudi soir chaque jeudi soir.
Choix de préposition : à, de, avec, en et pour
Toujours vérifier le contexte pour voir si le choix de la PREP est bon.
EN : lieu, manière, matière, moyen.
Je suis allée en Afrique ; Les enfants sont en colère ; table  en  bois  ;  je  vais  à  l’école  en  métro.  

À : appartenance, attribution, lieu.


Le  crayon  que  j’ai  emprunté  à  mon  collègue  ;  j’ai  acheté  un  toutou  à  ma  petite  sœur  ;  je  vais  souvent  à  Montréal.  

Exemple avec le verbe parler :


Mon ami parle le chinois.

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Je parle avec / à mon père.
Je ne parle jamais de fantômes.
Tu parles en français.

À TRAVERS ET AU TRAVERS DE :
Le fantôme passe à travers la porte / passe au travers de la porte.
Mais  en  travers  de  =  d’un  côté  à  l’autre. Il y a un arbre en travers du sentier pédestre.
ne jamais écrire à travers DE (mauvais usage)

FACE À (SOUVENT ABUSIF) : IL  EST  PRÉFÉRABLE  D’UTILISER  PAR RAPPORT À, POUR, QUANT À, RELATIVEMENT À,
SUR OU VIS-À-VIS.
Je me pose beaucoup de questions face à…  (quant  à)
Le balcon de mon appartement est situé face à un parc. (bon usage)

EN  RAPPORT  AVEC  (relation  avec  quelqu’un) :


Cet homme est en rapport avec ma  sœur  aînée.  
Mais…  Tu  es  très  grand  par rapport à moi.

PROCHE DE = FAMILIER. PRÈS DE = SOUTENUE.

Autres erreurs fréquentes :


*C’est  le  vélo  à mon frère de mon frère *Suite à votre  demande…   À la suite de votre demande…
*Porter des mitaines à four mitaines de four *Le nouveau-né est sous observation. en obersvation.
*Mon frère travaille à la compagnie…   pour la compagnie *Je me fie sur toi. Je me fie à toi.
*Il y aura huit à neufs convives pour souper. Il y aura huit *Marcher sur la rue. dans la rue
ou neuf… *est tenu responsable pour les erreurs de son frère. des
*J’ai  diné  avec une pizza. d’une pizza. erreurs de son frère.
*Je serai avec vous dans un moment. Je serai à vous…   *jouer sur la cour d’école   dans la  cour…
*Fachée après mon copain. contre mon copain. *Ma  sœur  est  toujours  sur le téléphone. au téléphone.
*Les enfants sont furieux envers leurs parents. contre *Sur  l’ordi   à  l’ordi
leurs parents. *sur le feu rouge au feu rouge
*difficultés au niveau des participes passés. pour ce qui *À tous les mois tous les mois
est des participes passés. *Train entre dans la gare en gare
*De nos jours, on voyage peu en mer. par mer. *de  d’autres   d’autres
*Mon père voyage souvent par affaires. pour affaires. *L’anniversaire  à  ma  cousine   de ma cousine
*Ce meuble mesure trois mètres par cinq mètres. trois
mètres sur cinq mètres.

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Utilisation  d’un  véhicule : À si on est sur le véhicule et EN si on est dedans.
Je  me  rends  à  l’école  à  vélo  ou  en  voiture.  

Préposition devant les noms géographiques :


PREP  placée  devant  le  lieu  où  l’on  est  ou  le  lieu  où  l’on  va : lié au genre du nom, au nombre de ce nom et sa première
lettre. (aussi pour les régions et pays).
Les noms qui finissent par E sont tous féminins, excepté Mexique, Mozambique, Cambodge.
Exemples :
Pays (à, aux, au, en) Aller  à  Cuba,  J’irai  aux  États-Unis,  Je  possède  un  chalet  aux  Bermudes,  J’habite  au  Canada,  Je  
demeure  au  Honduras,  J’habite  en  France/en Afghanistan/ à ou en Haïti.
Région (dans, en) J’habite  dans  les  Rocheuses,  dans  le  Sud,  en  Mauricie,  en  Aveyron.
Continents (en) en Afrique.
Villes (à) à Montréal, à Vancouver.
Devant  le  lieu  d’où  l’on  vient : différent.
Pays et régions (de,  d’,  du,  des)   reviennent de France, Je viens de Hongrie,  d’Anjou,  d’Espagne,  d’Haïti,  du  Japon,  du  
Honduras,  des  Caraïbes,  …
Continents (d’)   vient  d’Asie.  
Villes (de,  d’)   Tu  viens  de  Québec,  d’Alma.  

Coordination des GPREP : Mais, ou, est, car,  ni,  or…  


Choix de répéter ou non la PREP si celle-ci est pareil dans chacun des GPREP :
Il a marché sur le trottoir et la pelouse. (préférable) / Il a marché sur le trottoir et sur la pelouse. (moins accepté)
Généralement, on doit répéter les PREP à, de et en devant chacun des groupes :
Je suis allée au cinéma et à la  piscine.  /  J’ai  demandé  à ma meilleure amie et à mon conjoint.
Permis de ne pas répéter la PREP si les éléments coordonnés désignent une idée/groupe unique :
J’ai  téléphoné  à  mon  oncle et parrain. (oncle et parrain = même individu)
J’ai  téléphoné  à  mon  oncle  et  à  mon  parrain.  (deux  individus  distincts)  
Dans  les  PREP  formées  de  plusieurs  mots,  seul  l’élément  à ou de doit être répété :
J’y  suis  parvenu  grâce à mon père et à ma mère.

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


MARQUEURS DE RELATION

Opposition (contraste entre 2 éléments) : pourtant, mais, par contre, en contrepartie, néanmoins, etc.
Mais  nous  avait  promis  de  venir,  pourtant  nous  ne  l’avons  pas  vue  à  la  soirée.  
Restriction (le 2e élément vient entrer en opposition avec le 1er) : cependant, toutefois, mais, néanmoins, or,
nonobstant, etc. Je  ne  bois  jamais  d’alcool,  toutefois  j’aime  boire  du  vin  au  Nouvel  An.  
Explication (pour mieux comprendre ce qui a déjà été dit) : en effet, c’est-à-dire, ainsi, effectivement, à savoir,
autrement dit, etc. J’ai  vu  Batman  hier.  En  effet,  je  suis  allée  au  cinéma.
Illustration (exemplifier un énoncé) : notamment, par exemple, ainsi, comme, etc.
Maude adore les viennoiseries ; par exemple, elle raffole des chocolatines.
Addition (ajouter un élément au précédent) : de plus, en outre, également, et, aussi, etc.
Il ne travaille pas. De plus, il passe ses journées devant le téléviseur.
Cause (mettre  en  relief  les  raisons  expliquant  l’élément  précédent) : à cause de, car, puisque, parce que, du fait que, vu
que, etc. Mon  chat  est  mort  parce  qu’un  voiture  l’a  écrasé.  
Conséquence (suite  logique  d’un  élément  qui  en  est  la  cause) :  par  conséquent,  aussi,  c’est  pourquoi,  donc,  pour  cette  
raison, etc. Il  est  tard,  c’est  pourquoi  nous  devrions  aller  dormir.  

AUTRES

NOM INAMINÉ ET NOM ANIMÉ / INDÉFINI ET DÉFINI :


Gabriel ressemble à sa mère. (lui ressemble)
Ma lampe ressemble à cette sculpture. (y ressemble)
Notre réussite dépend de ce travail. (en dépend)
Notre réussite dépend de Pierre. (dépend de LUI)
Indéfini : du, de, la, des Antoine boit du vin. Antoine en boit.
Si défini : Antoine  a  bu  ce  vin.  Antoine  l’a  bu.  
On  s’attendait  à  cela.  On  s’y  attendait.  

ON  /  L’ON : On  peut  choisir  d’écrire  l’on ou on après ET, OÙ, QUE, SI et toutes les conjonctions qui se terminent par
QUE.  Mais  demeurer  constant  si  on  l’utilise.  (plus  soutenue  l’on)   Mettre  de  la  crème  solaire  lorsque  l’on  s’expose  au  
soleil.

Prolongement : espace (autoroute) / Prolongation : temps (jeu sportif)


Quoique concession  (même  si,  malgré  que,  bien  que…)
Quoi que quoi  qu’il  fasse  (peu  importe)

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Pour se faire : emploi pronominal
Pour ce faire : faire  cela  (nous  voulons  réussir  notre  examen…  pour  ce  faire)  

Exemples se retrouvant au TECFÉE :


- Entrer par effraction, et non infraction
- Tomates et concombres sont chers. (adj.)
- Partez  immédiatement,  par  contre  j’appelle  la  police  (mauvais  marqueur  de  rel.)
- Budjet Budget
- Ils  ont  mangé  toutes  les  patates  qu’ils  ont  pu. (cd = sub infinitive « manger des patates ») ils ont pu manger
toutes les patates (compl. verbe manger)
- Les fraises coûtent plus cher que les pommes. Pourquoi « cher »  ne  s’accorde  pas? Cher = adv.
- La  maison  sur  la  colline  que  j’ai  aimée  est  encore  loin  d’ici. (Que est une relative ayant pour fonction CD)
- Les souvenirs dont je m'en suis rappelé (dont je me suis rappelé)
- Gouvernement fédéral ,  qui  pense  …, (doit  encadrer  par  virgules,  car  c’est  une  sub.  explicative)
- Je demandis je demandai
- Les deux-cents  dollars  que  ce  produit  m’a  coûté (inv=complément de mesure)
- Les  histoires  qu’il  leur  a  racontées  (cd  =  que,  antécédent  d’histoires)
- Dans le parc de la vérendrie, qui est beau et blablabla, (mettre des virgules car il y a un seul parc = sub.
explicative)
- Toute autre réponse (peut remplacer par plusieurs donc DET = variable)
- Sub. circonstanciel :  Bien  qu’elles  aient…  (Conjonctive)  
- Il a fait venir un réparateur (le verbe suivant le semi-auxiliaire fait est  tjrs  à  l’infinitif)  
- Il  faut  que…  (complétive en que = subjonctif)
- Ce produit coûte cher (adv.)
- Les produits sont chers (adj.)
- Joue moins fort (fort = adv.)
- La fin des hostilités *suscitaient de  l’espoir  (SUSCITAIT)
- Leur leur dire quelque chose (leur = pronom personnel donc INV.)
- Ce *quand pensent  leur  parent  (qu’en)
- Ils *joigneront joindront
- *Ses jours-ci ces jours-ci
- *Je  n’en  ai  pas  vu  aucun  (3  adverbes  de  négation)
- P.P verbaux et adj. les qqc adhérent à autre chose (adhérant, pp et non adj)
- *Quelques puissent  être  vos…  (QUELLES  QUE)

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


LA RÉDACTION AU TECFÉE
Compte rendu réflexif de 350 mots d’un extrait audio d’une durée de 8 minutes. Apporter
son commentaire personnel sur une idée du discours entendue. Durée pour l’épreuve de
rédaction : 2 heures et demie. (en tout)

Droit à un ouvrage de référence durant l’épreuve. 60% de la note est calculée selon le
nombre de faute et 40% pour l’organisation du discours.

Comment faire ?

Pour le compte rendu :


-écrire à la troisième personne du sing. (il) pour rapporter l’essentiel des idées par la source
-cerner l’idée principale de la source
-avoir 2 ou 3 idées secondaires reliées à l’idée principales
-reformuler les idées et non un les recopier
-pas d’élément superflu!

Pour la réflexion :
-commentaires personnels et critiques sur les idées apportées par la source
-le commentaire est donc subjectif (je)
-le commentaire porte sur les idées principales et secondaires retenues
-s’appuie sur des faits, exemples, citations (s’appuyer par des arguments développés)
-inclus : références à des expériences personnelles, anecdotes, etc.
-ne pas se contredire…

Discours :
-cohérent, facile à comprendre, clair, fluide.
-structuré (connecteurs textuels, paragraphes)
-respecter la pensée de la source
-émettre des commentaires pertinents (en liens avec les idées)

Langue :
-bien soigner la calligraphie (surtout les accents)
-un même mot peut compter deux erreurs
-ne pas mélanger la nouvelle orthographe de l’ancienne dans un même texte
-But : rédiger un texte ayant le moins de fautes possible le simplement possible
-Écrire des phrases courtes et simples = moins de chance d’avoir des erreurs (qu’avec les
subordonnées)
-Pas nécessaire d’avoir de bonnes idées, ce n’est pas évalué (originalité)

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Étapes à suivre :

1. Préécriture : écoute de l’extrait audio deux fois


-prise de notes
-saisir l’essentiel du discours pour en relever le thème/sujet;;
-noter le nom de l’auteur ou de la personne interviewée (titre, profession), dates
importantes, statistiques et ton du discours (informatif, argumentatif, explicatif, etc.)
-pendant la petite pause on essaie de trouver le sujet du discours de façon précise;
-2ème écoute : choisir 3-4 idées principales que l’on pourrait développer ainsi que des idées
secondaires s’y rapportant;;
Ex : 1. Racisme causé par diversité culturelle (P)
80% d’immigrants différentes cultures (S)
Différents groupes ne se mélange pas à l’école (S)

2. Choix des idées principales et de votre commentaire / Rédaction du texte


- Choisir 2 idées principales, parmi le lot, qui nous inspirent le plus
- Tempête d’idées pour trouver des éléments pour la critique

Plan (Résumé entrecoupé de critiques)

Introduction (75 mots)

Sujet amené : avec anecdote, fait ou événement en lien avec le sujet (mettre en
contexte)

Dans la société actuelle, il n’est pas rare d’entendre parler d’incidents impliquant une forme
ou une autre de racismes.

Sujet posé : présenter le sujet de l’extrait sonore en mentionnant qui parle, quand et
de quoi.

Monsieur Untel, professeur de sociologie de l’Université d’Atlantis, s’intéresse à ce


phénomène. Il a révélé, lors d’une entrevue diffusée sur les ondes d’une radio locale, les
résultats d’une récente étude portant sur le racisme dans les écoles secondaires de la région
d’Atlantis.

Sujet divisé : plan du développement (énumération respective des éléments abordés


dans le texte, soit des deux idées principales et critiques s’y rattachant)

Dans ce texte, il sera question de résumer certains éléments apportés par cette recherche, tels
que l’appariation du racisme au secondaire du fait de la pluriethnicité des écoles et du
manque d’éducation à ce sujet, pour ensuite, les agrémenter d’une courte réflexion.

Développement

P1 Compte rendu idée principale #1 (50 mots)


Premièrement, …
En effet… (idée sec. #1)
Donc… (idée sec #2)

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


P2 Sa critique/réflexion (50 mots)
Concernant l’idée précédente, …
Effectivement…
Ainsi…

P3 Compte rendu idée principale #2 (50 mots)


Deuxièmement,
D’ailleurs… (idée sec. #2)
Par conséquent… (idée sec. #3)

P4 Sa critique/réflexion (50 mots)


Au sujet de l’aspect que nous venons d’aborder, …
De toute évidence, …
De ce fait…

Conclusion (75 mots) *pour conclure


Doit contenir un court rappel des 4 paragraphes de dév. et une ouverture. (en reprenant
une des idées principales de l’extrait que l’on n’a pas abordée) Environ 2 phrases. Donner
des pistes de réflexion au lecteur et non des questions. (Abordé une idée ou un concept qui
aurait pu être traité dans le texte, mais qui ne l’a pas été… comme une idée principale
non-abordée)

En somme, bien que le professeur Untel pense que le racisme au secondaire soit dû à la
pluralité ethnique et au manque d’éducation de certains jeune à ce sujet, il est clair que ses
affirmations sont facilement réfutables parce, entre autres, ma ville ne connait pas ces
problèmes même si elle multiethnique. Malgré cela, il aurait probablement été intéressant de
discuter plus en profondeur d’autres éléments avancés par M. Untel, parmi lesquels apparait
la prévalence important du racisme chez les jeunes garçons.
-En somme…
-Dans un autre ordre d’idées… (pour le sujet non traitée)

3. Révision (discours et langue)

Faire attention à …
-les compléments des verbes sont-ils tous là ? CD, CI, ATT. SUJET et avec bonne
préposition ?
-complément de P ailleurs qu’en fin de P = virgule
-pronom personnel, relatif selon fonction
-participes passés
-orthographe et sens des mots
-accents
-anglicismes

Informations utiles :

En lettres : chiffres inférieurs à 10, chiffres ronds, tout nombre en début de P, ne pas écrire
des chiffres et lettres dans une même phrase.
En chiffres arabes : sommes d’argent, pourcentages, mesures, dates.
Chiffres romains : siècles, rang, tomes…

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)


Sources du document de révision :

o CORDEAU K., DAVIAU M-J., DÉSAULNIERS J., MARCOTTE S. VINUESA M. et BEAUDRY N. (2010) Guide pour réussir
le  TECFÉE  (notions  théoriques  et  cahier  d’exercices). Test  de  certification  en  français  écrit  pour  l’enseignement.
Canada : ERPI.

o BOIVIN M-C., PINSONNEAULT R. (2008) La grammaire moderne. Description et éléments pour sa didactique.
Canada : Beauchemin Chenelière Éducation.

o REY, A. (2013) Le Petit Robert 2013. France : Société Dictionnaires Le Robert.

o Aussi,  plusieurs  exemples  sont  personnels  et  proviennent  de  connaissances  dans  le  milieu  de  l’enseignement.  

BON SUCCÈS!

Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM)

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