Ministere de l’Agriculture et du Développement Rural

Institut technique de développement de l’Agronomie Saharienne (ITDAS)

Ferme de Démonstration et de Production de Semences (ouargla)

La conduite de la pomme de terre dans les zones sahariennes

 Présenté par :

 Ouamer mabrouk
Importance de la culture 1-Dans de monde Avec prés de 300 millions de tonnes, la pomme
de terre est la quatrième production mondiale après le blé, le mais et le riz

Production (millions de tonnes )

Chine
Inde
Etat-unis
Pologne

2-La pomme de terre en Algérie

La pomme de terre occupe une place alimentaire de plus en plus importante dans
l’agriculture et l’économie algérienne.

- La superficie réservée est de :

-Production :3,2 millions de tonnes (2010)

la pomme de terre de saison est la plus importante avec 62.7 % de la superficie globale
et une production de 66.5 % .

la campagne arrière saison (2010) : plus 51000 Ha réalisés

la campagne 2010 – 2011 à OUARGLA : 142 Ha( saison : 5 ha . arrière saison 137ha)

2012-2013 à Ouargla : 756 Ha ( saison : 118 ha . arrière saison 638ha)

2013-2014 à Ouargla : 1009 Ha arrière saison

Botanique

La pomme de terre cultivée est une solanacée (Solanum.tuberosum) à multiplication

végétative. Elle est originaire des zones tropicales de hautes altitude des Andes .

Elle est cultivée essentiellement pour ses tubercules très riches en amidon qui sont
principalement utilisés en alimentation humaine et animale.

Embranchement : Phanérogames

Sous- embranchement : Angiospermes

Classe : Dicotylédones

Ordre : Solanales

Famille : Solanacées

Genre : Solanum

Espèce : Solanumtuberosum

Sous espèce : Solanum.andigenum

Morphologie

Le système aérien se compose d’autant de tiges et de rameaux feuillés que le tubercule

mère à développé de germes.

Chaque feuille est composée de trois à cinq paires de folioles et d’une foliole terminale.

A l’aisselle d’une feuille de la tige peut apparaitre une inflorescence pouvant comporter de
huit à dix fleurs à corolle blanches ou violettes.

La fécondation est autogame. Le fruit est une baie sphérique, qui contient plusieurs graines.

Le tubercule de pomme de terre est l’extrémité tubérisée d’un stolon, donc d’une tige
souterraine.

L e s fle u r s L e s fe u ille s L e s tu b e rc u le s
Biologie

Le cycle de développement de la pomme de terre comprend trois phases principales à partir

de la récolte des tubercules :

A- Le repos végétatif du tubercule :

- Tubercules incapables de germer même placés en conditions optimales

- Ce repos est variable selon les variétés
- Un repos végétatif long est préférable a la pomme de terre de consommation , si le
repos est court , il faut bien les conserver (magasins ventilés ou frigorifiques à 2°C ou
bien utiliser divers traitements chimiques avec des produits dits inhibiteurs de
croissance sous forme de poudrage).

B – la croissance des germes

Commence au cours de la conservation (en germoir) et se poursuit après la plantation

C – la croissance et la tubérisation de la plante

Se réalise dans le sol, par l’élongation des stolons, la différenciation des tubercules fils aux
extrémités de ceux-ci et leur grossissement, à l’extérieur, par le développement des tiges
feuillés.

Cycle végétatif

Les périodes de croissance de la pomme de terre se résument ainsi :

Phase 1 : Installation (Plantation – Levée) : 15 – 25 jours

Phase 2 : Végétation (Levée – Développement) :

- Début végétation : 15 – 20 jours

- Stolonisation : 15 – 20 jours

Phase 3 : Tubérisation (Formation du produit) : 45 – 55 jours

Phase 4 : Murissement : 10 – 15 jours

Exigences thermiques

La température influe sur les rendements :

- Le zéro de végétation est assez élevé (16 – 18°C)

- La pomme de terre est sensible au gel(le feuillage est détruit au dessous de 0°C)
- Les moyennes journalières optimales sont de 18 à 20 °C
- Une température nocturne < 15°C est nécessaire pour le début de la formation des
tubercules
 - La température optimale du sol pour un bon développement des tubercules est de
15 – 18 °C
- Au dessous de 10°C et au dessus de 30°C, le développement des tubercules est
arrêtés.
- Les températures fraichesa la plantation ralentissent la levée (cycle végétatif
prolongé)

On peut grouper les variétés de pomme de terre en :

Variétés précoces : 90 – 120 jours

Variétés moyennes : 120 – 150 jours

Variétés tardives : 150 – 180 jours

Important : les essais de comportement variétal sont nécessaires pour l’identification des
variétés qui s’adaptent aux conditions locales.

Critères du choix variétal

Les variétés de pomme de terre sont des clones car cette plante se reproduit par
multiplication végétative.Elles sont très nombreuses et différent entre elles par un certain
nombre de caractéristiques :

- Forme du tubercule , couleur de la peau (jaune , rouge), couleur de la chair (blanche ,

jaune)
- Forme, pigmentation et pilosité du germe
- Port de l’appareil végétatif, forme des tiges, folioles et feuilles

Les éléments de choix variétal sur le plan cultural sont :

- La précocité de maturité et la précocité de tubérisation

- La productivité
- La résistance aux maladies et aux parasites

Les critères de choix variétal sur le plan commercial sont :

- Des caractéristiques morphologiques, comme la coloration de la chair (en France , on

préfère les variétés a chair jaunes) et la présentation des tubercules ( formes
régulières , aptitude a l’épluchage mécanique)
- La qualité de la chair (dimension des cellules), sa tenue a la cuisson, sa teneur en
fécule (amidon)
- Les aptitudes aux préparations industrielles de produits frites ( Chips, frites surgelées)
Exigences édaphiques

Ses exigences sont faibles et s’accommode de toutes les terres, a condition que celles-ci
soient suffisamment alimentées en eau. elle préfère cependant les terres légères,siliceuses
ou silico-argileuse au sous sol profond ;elle tolère des pH assez bas(5 à 6).

La pomme de terre est modérément sensible a la salinité du sol ;Les baisses de rendements
correspondant à différents niveaux de ECe sont les suivantes :0% a 1,7 ; 10% à 2,5 ; 25% à
3,8 ; 50% à 5,9 et 100% quand ECe égale 10 mmhos/cm.

Exigences hydriques

Les exigences hydriques de la pomme de terre sont élevées et constantes durant tout le
cycle végétatif.

Les besoins en eau de la culture (ETm) correspondant a des rendements élevés produits en
100 à 150 jours sont de 400 à 700 mm selon le climat. La relation entre l’ETm et l’ET0 est
indiquée par le coefficient cultural (kc) qui est de :

Stade initial : kc = 0,4 – 0,5 (20 – 30jours)

Stade de développement : kc = 0,7 – 0,8 (30 – 40jours)

Stade intermédiaire :kc = 1,05 – 1,2 (30 – 60jours)

Stade final :kc = 0,85 – 0,95 (25 – 35jours)

Stade maturité :kc = 0,7 – 0,75

Apport d’eau et rendement de la culture

La pomme de terre est sensible a des déficits de l’eau du sol.

Pour optimiser les rendements, la quantité d’eau totale du sol disponible ne doit pas baisser
de plus de 30 à 50%.

Au delà de 50% les rendements sont faibles.

Un déficit en eau durant la stolonisation , tubérisation nuit au rendement

Un déficit en eau durant les périodes de début de végétation et de murissement : la culture

est moins sensible.
Rendement et qualité du produit

L’apport d’eau et la programmation des applications ont beaucoup d’importance pour la

qualité.

Un déficit en eau a la première partie de la période de formation du produit augmente

l’apparition de tubercules en forme de toupie (défaut remarqué pour les variétés a forme
cylindriques).

Un déficit a cette même période suivi d’irrigation provoque des fissures dans les tubercules
ou donner des tubercules avec des cœurs noirs.

Mise en place et conduite de la culture

Préparation du sol

La préparation du sol est l’une des opérations les plus importantes pour la réussite de la
culture de pomme de terre. Elle a pour objectifs :

- D’assurer une levée rapide et homogène des plants

- De permettre aux racines de mieux valoriser les réserves en eau et en éléments
fertilisants.

Le labour

Les techniques et les moyens utilisés pour réaliser cette opération varient selon la nature et
l’état du sol. Le tableau suivant donnera un récapitulatif des travaux de labour.

Sol sablonneux
Epoque Quelques jours avant la plantation
Matériel Charrue a socs ou a disques
Profondeur de labour 25 à 30 cm
Vitesse de travail 5 à 7 Km / h
Aspect du labour Emietté
Travaux de reprises

Le but est de préparer le sol pour la plantation. ( cultivateur a dent ou rotavator)

Choix d’une semence de qualité et adaptée aux conditions locales

Pré-germination

C’est une technique très recommandée pour permettre au plant une meilleure expression
de ses potentialités agronomiques. Elle permet en effet de :

- Gagner du temps à la levée.

- Hâter la végétation.
- D’avoir un champ homogène
- Augmenter la précocité et le rondement.

Un champ homogène couvrant la totalité du sol permet de :

- Protéger la butte contre les coups de soleil

- Maintenir un taux d’humidité du sol en limitant les pertes d’eau par évaporation,
ainsi favoriser la fertilisation
- Limiter les fissures des buttes et donc la pénétration des parasites (teigne) et
maladies (mildiou)
Conséquences pratiques : Il faut planter des tubercules ayant atteint un degré optimale
d’incubation , celui-ci correspond au stade de croissance active des germes (2 à 3 cm de
long)

- Un seul germe = une seule tige = rendement faible

- Plusieurs germes = plusieurs tiges = rendement élevé

Comment réaliser la pré-germination

Les plants doivent être mis en clayettes ou en caisses ou en tas sous un hangar ou dans
bâtiment bien éclairé et bien aéré.

La lumière diffuse est une condition essentielle pour obtenir des germes bien régulier ,
trapus et colorés de longueur < à 2 cm

La durée de germination est en moyenne de 3 - 4 semaines. selon la température ambiante

Fertilisation

La pomme de terre est une culture présentant une croissance très rapide , de ce faite , elle a
besoin d’une fumure copieuse et rapidement assimilable.

Fumure organique de fond : Cette dernière est bien utilisée par la pomme de terre.

Quantité a apporter : 15 – 25 T / Ha en sol bien pourvu en humus

25 – 50 T / Ha en sol pauvre en humus

Fumure minérale de fond :

Quantité a apporter : 10 Qx / Ha

Fumure d’entretien ( en cours de végétation)

Cette fumure est généralement constituée par des apports d’engrais azotés (Urée) et
potassique (sulfate de potasse 50% ou solu-potasse)

Période d’apport : Avant le déclenchement de la tubérisation(En deux apports)

Doses a utilisées : 2 Qx / Ha d’urée

2 Qx / Ha de sulfate de potasse 50%

Epandage : Dans les inters-rangs et incorporation par passage de la bineuse- buteuse.

Plantation

La plantation doit suivre immédiatement les opérations de préparation de sol afin d’éviter le
desséchement du lit de plantation par le soleil ou son tassement par les pluies:

Densité de plantation : la densité à l’hectare ne doit pas être discutée à partir de tonnage de
semence, mais plutôt du nombre de tubercules nécessaires pour obtenir le meilleur
rendement. Toutes les planteuses sont d’ailleurs conçues pour un réglage, non sur le poids
mais sur la distance moyenne entre les rangs.

La distance entre les rangs à adopter entre les rangs sera de 0,75m

Distance entre plants : 30 cm

Profondeur de plantation : 3 à 5 cm.

Densité de plantation : 40000 à 45000 plants / hectare

Date de plantation : Elle est fonction de la zone de production, des conditions climatiques et
de la variété. (En zones sahariennes, les périodes de plantation sont : Septembre – Octobre
et Janvier – Février)
Méthodes de plantation

La plantation peut s’effectuer à la main ou à la planteuse semi-automatique

Planteuse semi automatique

Binage – buttage

Ce sont deux opérations réalisées le plus souvent en même temps

Buts du binage :

- Briser les mottes de terres durcie des inters- rangs

- Détruire les levées de mauvaises herbes
- Limiter les pertes en eau par évaporation

Buts du buttage :

- Apporter a la plante un volume suffisant de terre ameublie pour lui permettre de

former et développer ses tubercules sans qu’ils verdissent
- Faciliter la mécanisation
- Favoriser l’obtention des rendements élevés
- Protéger la culture contre la teigne

Matériel de binage – buttage :

Ces deux opérations sont généralement réalisées soit a la main soit par un matériel
spécialisé : la bineuse et la buteuse comportant :

• Des dents vibrantes, dont l’action est d’ameublir les inters – rangs
• Des éléments butteurs constitués par des disques ou par des socs
 Buteuse Bineuse

Irrigation :

La répartition des besoins totaux en eau d’irrigation varie selon le stade de développement
de la culture.

- Elles sont faible au début ( plantation – levée)

- Très élevées au moment de la formation des tubercules ( 45-60 jours après la plantation).

- Minimes lors de la maturation.

Remarque : Les quantités d’eau moyennes extraites par la pomme de terre à différentes
profondeurs du sol sont chiffrées comme suit :

0 – 30 cm : 60%

30 – 60 cm : 20%

60 – 90 cm : 15%

80% des besoins en eau de la culture est puisée dans la couche de sol comprise entre 0 et 60
cm.
Systèmes d’irrigation :

La réponse des rendements a des irrigations fréquentes est considérable car la culture a un
système radiculaire peu profond et ne tolère qu’un faible tarissement de l’eau dans le sol
(l’aspersion et le goutte a goutte donnent les meilleures rendements)
Pilotage des irrigations :

5 – 2 Objectif

Le but de cette étude est d’obtenir des résultats pratiques quant à la rationalisation et la
programmation des irrigations pour différentes conditions de gestion pour ensuite vulgariser
cette technique dans le milieu producteur.

5 – 3 Méthode choisie

La méthode choisie est programme conçue par la FAO (CROPWAT) amélioré par l’ACSAD
(prise en charge de la salinité de l’eau).

C’est un logiciel de calcul des besoins en eau des cultures et les besoins d’irrigation a partir
des données concernant le climat, le sol, les cultures, les systèmes d’irrigations et la salinité
de l’eau.

La formule utilisée dans le calcul des besoins en eau est la formule de Penman – Monteith.

Il permettra en outre le développement de recommandations pour une amélioration des

pratiques d’irrigation et la planification des programmes d’irrigation dans des situations
variées d’approvisionnement en eau.

5 – 4 – 2 Essai de démonstration sur pomme de terre

5 – 4 – 2 – 1 Description de la culture

Site : Benhadjira( Ouargla)

Espèce : Pomme de terre

Variété : Kondor

Distance de plantation : 0,3 x 0,75 m

Plantation : Début Octobre ( échéancier 2005 – 2007)

5 – 4 – 2 – 2 Situation de la parcelle

Sol : Texture sableuse, Ph alcalin et faible en matière organique

Topographie : plane

5 – 4 – 2 – 3 Système d’irrigation

Origine de l’eau : Forage mio-pliocène individuel

Salinité de l’eau : 3,8 g / l

Filtration : Sable + tamis

Goutteurs : De 02 l / h

5 – 4 – 2 – 4 Conduite des irrigations

Deux parcelles distinctes d’un demi hectare 20 chacune ont étés dotées de deux compteurs
volumétrique afin de comparer les quantités d’eau données aux deux parcelles (pilotée et
agriculteur).

- Pour l’agriculteur (témoin) : selon son savoir faire

- Pour l’institut (pilotée) : pilotage de l’irrigation au moyen d’un logiciel conçu par la
FAO et amélioré par l’ACSAD (Syrie)

5 – 4 – 2 - 5 Résultats obtenus (moyennes de trois campagnes)

5 – 4 – 2 – 5 - 1 Croissance et développement

Pilotée Agriculteur Submersion

Levée en % 98 95 73
Hauteur moyenne 40 35 22
des plantes en cm
Nombre de feuilles 45 39 30
moyenne / plante
Nombre de tiges 3–5 3–4 1–3
moyennes / plante

5 – 4 – 2 – 5 – 2 Composante de rendement et quantités d’eau utilisées

Pilotée Agriculteur Submersion

Poids moyen / plant 0,918 0,575 0,263
en Kg
Poids moyen / 138 115 71,6
tubercule en Gr
Nombre de 6,8 5 3,8
tubercules moyen /
plant
Rendement en 407,7 255,4 116,6
quintaux / ha
Classe de calibre 80 % 70 % 60 %
3 – 5 cm en %
Quantité d’eau 2796,7 13329 15071
utilisée en m3 / ha
Conclusion

Le pilotage d’irrigation a permis :

- Une meilleure croissance et développement par rapport au témoin et a la

submersion
- Un meilleur rendement (presque le double par rapport au témoin et quatre fois plus
par rapport a la submersion)
- Une économie d’eau (presque cinq fois moins de quantité d’eau utilisée par rapport
au témoin et plus de cinq fois moins par rapport a la submersion)
- Une meilleure valorisation de l’eau
- Préservation de l’environnement
- Amélioration du revenu de l’agriculteur

La récolte

Qu’elle soit effectuée manuellement ou mécaniquement, la récolte exige beaucoup de soins

afin de ne pas endommager les tubercules, pour cela il faut :

Bien régler l’arracheuse

Récolter de préférence le matin avant l’arrivée des grandes chaleurs de l’après midi

Placer la récolte a l’ombre, sous les abris (zribats par exemple)

Les rendements
Les rendements a l’hectare peuvent varier de 100 à 450 Qx selon les variétés , périodes de
production , techniques de productions , systèmes d’irrigation…..

Les variétés les performantes dans les zones sahariennes :

Lola ,spunta , florice , diamant (peau blanche)

Bartina ,condor , cardinal , cornado, desiré (peau rouge)

Stockage et conservation des plants

Le plant de la pomme de terre exige pour sa bonne conservation un local couvert , éclairé ,
sec , aéré et si possible bien ventilé.

Couvert : protection des plants contre les intempéries

Eclairé : la lumière a pour action de ralentir la germination et d’éviter les germes fileux

Sec : les plants humides sont sujets a des attaques de pourriture surtout s’il ya a présence de
blessures

Aéré : éviter l’échauffement des sacs par une bonne aération en vue d’assurer le
renouvellement de l’air et d’évacuerl’humidité et le gaz carbonique dégagé par les plants(
respiration – transpiration)

Ventilé : une bonne ventilation contribue a amplifier les facteurs de bonne conservation
cités plus haut et assure le maintien de la vigueur germinative des plants.

La conservation des plants de pomme de terre a pour but :

Maintenir la puissance germinative des plants ( capacité de production)

De limiter au maximum les pertes de poids ( respiration – transpiration)

D’empêcher le développement des maladies ( gangrène , fusariose , gale argentée ,

pourriture molle)

La durée de conservation peut atteindre six mois et plus

Accidents, Maladies et Ravageurs de la pomme de terre :

Sont nombreux. On peut citer :

- Les gelées
- Le mildiou
- L’alternaria
- Rhizoctonia
- La gangrène
- Les gales
- Les virus
- Vers blancs
- Teigne
- nématodes

alternaria

Gale argentée
mildiou

Viroide de la pomme de terre (allongement des tubercules accompagnés de deformation)

Gale commune
teigne

nématodes

Teigne ( larve et adulte)