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Ecole Nationale Supérieure National Advanced School
Polytechnique de Maroua of Engineering of Maroua
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Département des Sciences Department of
Environnementales Environmental Sciences
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UE : CHANGEMENT CLIMATIQUE
TPE
GROUPE II
THEME
PRESENTE PAR :
NOMS ET PRENOMS
MATRICULES
Encadreur : Dr ANGUESSIN
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 2
I. MATERIEL ET METHODE .................................................................................................................. 3
a. Matériel ....................................................................................................................................... 3
b. Méthode ...................................................................................................................................... 3
II. RESULTAT......................................................................................................................................... 4
III. DISCUTIONS DES RESULTATS ....................................................................................................... 7
IV. SUGGESTIONS .............................................................................................................................. 9
CONCLUSION ......................................................................................................................................... 10
1
INTRODUCTION
2
I. MATERIEL ET METHODE
a. Matériel
Ici, nous faisons appels à plusieurs équipements utilisés sur le terrain. La descente sur
le terrain pour une enquête précisément au quartier PALAR s’est déroulée de manière
hiérarchisée et pour ce faire, nous avons eu besoin entre autres des matériels telles que :
Il est 8h lorsque nous faisons notre descente sur le terrain au quartier PALAR III vers
les agriculteurs regroupant cette zone, constitué de cinq membres notre groupe, une fois arrivé
sur les lieux nous avons cheminé vers les agriculteurs qui étaient déjà en place de travail tant
dis que d’autres semait, d’autres cultivait ou arrosait les cultures. Nous avons dont ciblé
quelques ménages qui étaient précisément dans leur lieu de travail (champ). Alors on s’est
rapproché de chaque agriculteur pour leur posé des questions oralement. La plupart des
agriculteurs ne pouvant pas s’exprimé parfaitement en français, on était dans l’obligation de
s’exprimer en langue locale (fulfulde) pour être plus compréhensible dans la conversation lors
de l’enquête. Plusieurs ménages étaient touchés par le processus de changements climatiques
qui s’augmente de jour en jour.
b. Méthode
Pour mener à bien cette fiche d’enquête, nous avons d’abord commencé par établir :
Les groupes pour chaque zone de travail ; à travers une liste d’étudiant, les groupes
ont été repartis pour permettre à chaque étudiant de cibler sa zone de travail.
Fiche d’enquête ; elle était constituée de plusieurs étapes (les sexes, la tailles des
ménages, l’ethnie, la superficie des terres, les rendements…) à travers donc cette fiche
d’enquête, chaque groupe devra établir une comparaison des sexes afin de relever les
différentes productions.
Descente sur le terrain ; elle consistait à un échange sur le terrain avec plusieurs
paysans. Pour ce faire, il fallait savoir parler la langue locale fulfuldes, pour espérer
3
avoir des informations pertinentes car plusieurs paysannes n’avaient pas trop le désir
de répondre aux questions.
II. RESULTAT
Exploitant rencontré
Utilisation Biologique 1 4
d’engrais Chimique 39 6
4
Peuls
Mandara 2%
4% Daba les ethnies
Bambilékés 2%
2%
Fulbés
6%
Moudang
8%
Guidigas Moufous
16% 54%
Toupouri
6%
DIAGRAMME 1
Nous constatons selon le diagramme numéro1 des ethnies que les agriculteurs de la
localité de PALARIII sont en générale les Moufous qui sont fortement engagé dans
l’agriculture et ils pratiquent les cultures telles que l’oignon et tomates. En suite les Guizigas
qui sont aussi moyennement engagé dans l’agriculture. Puis les Moudangs qui sont peu
engagé dans l’agriculture, les fulbés et les Toupouris qui sont peu dans la pratique de
l’agriculture, les Mandara quant à eux ils sont très peu intéressés tant disque les peuls, Daba et
Bamilékés ont un nombre très insignifiant en termes de pratiquent de l’agriculture dans cette
localité de PALAR III.
SEXES
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Nombres Pourcentage
Masculin(M) Feminin(F)
DIAGRAMME 2
5
Nous constatons à travers ce deuxième diagramme qu’en termes d’agriculture, les hommes
sont plus concentrés que les femmes. Ceci dit, la femme contrairement aux hommes ne
pratique pas beaucoup l’agriculture dans cette localité.
DIAGRAMME 3
Nous apercevons dans ce troisième diagramme des aliments cultivés, que les agriculteurs de
PALAR III pratiquent beaucoup plus l’oignon que les autres cultures telles que : tomates,
carottes, aubergines, poireaux, mil, arachide, maïs, condiments verts, haricot, oseille de
guinée, légumes, piment, niébé.
ARBRES PLANTES
70
60
50
40
30
20
10
0
Agriculteurs agriculteurs agriculteurs
nombres pourcentage
DIAGRAMME 4
6
Selon le pourcentage obtenue dans ce diagramme des arbres plantés, nous pouvons nous en
rendre compte que la localité de PALAR III ne s’applique pas assez dans le reboisement, or
ces arbres leurs seront pourtant très efficace pour réduire l’effet de serre et même très
important dans l’entretien du sol.
La rotation de ces différentes cultures permet d’avoir un bon rendement. En effet, ces
produits sont cultivés par la quasi-totalité des agriculteurs de la zone. Leur souci est de
produire de façon équilibré et en toute saison (pluvieuse et sèche), d’accroitre en saison sèche
tout en utilisant la quantité d’eau disponible. La population de cette zone utilise l’irrigation
7
par aspersion. Les périodes de semis varient du mois de juin, juillet, et du mois de novembre,
décembre et janvier dès l’arrêt des pluies et le début de la fraicheur. D’après les agriculteurs,
ces périodes sont propices pour la culture des légumes, et de là, ils en profitent pour semer.
Cependant, bien que les terres cultivables soient abondantes dans cette localité, les
cultivateurs n’en disposent pas assez c'est-à-dire de grande parcelle à leur porté et de ce fait,
ils exploitent au mieux les parcelles qu’ils ont à leur disposition. La majorité dispose au
minime 01 à 02 quarts d’hectares, quelques un seulement en possèdent 01hectare pour un
rendement plus ou moins important qui varie entre 3 à 70 sacs pour l’oignon, 30 à 100 cartons
pour la tomate et 20 à 100 sacs pour la carotte. Notons également que tous les agriculteurs que
nous avons eu à rencontrer utilisent les deux types d’engrais (chimique et organique) mais le
plus utilisé est l’engrais chimique car pour eux les engrais biologiques sont meilleurs mais ils
ne pourront pas atteindre leurs objectifs d’un rendement élevé, c’est pour cette raison qu’ils
utilisent les engrais chimiques pour une croissance plus rapide. Quelques agriculteurs ont
planté des arbres pour la simple raison qu’ils ont besoin des bienfaits qu’apportent ces arbres
dans leurs champs et même chez eux. Le graphe illustré juste en dessous présente le nombre
d’agriculteurs qui utilisent les engrais chimiques d’une part et ceux qui utilisent les engrais
biologiques d’une autre part.
Hommes Femmes
DIAGRAMME 5
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IV. SUGGESTIONS
Ils doivent penser à planté des arbres que ce soit chez eux ou dans leurs champs pour
réduire l’expansion du dioxyde de carbone présent dans notre atmosphère et permettre
la régularisation du cycle de l’eau et enfin favoriser l’équilibre climatique. De même,
ils pourront bénéficier car les feuilles de ces arbres une fois tombé au sol, se
décomposeront sous l’action de la chaleur et feront accroitre les microorganismes dans
le sol pour une bonne fertilisation.
9
CONCLUSION
La descente sur le terrain au quartier PALAR pour une enquête sur les agriculteurs
s’est déroulé façon limpide. Il en ressort que la plupart des agriculteurs qu’on a eu à
rencontrer vivent au dépend de leurs produits agricoles. Raison pour laquelle ils y consacrent
tout leur temps et leurs efforts dans cette activité. Pour donc se relever face aux changements
climatiques, ils (elles) font appel aux intrants chimiques pour avoir un meilleur rendement, or
ces intrants chimiques ne font que détruire d’avantage le sol, pour ce faire, nous les avons
suggérées de réduire l’utilisation des engrais chimiques tout en faisant appel aussi à des
engrais biologiques telles que le compost, de pratiquer le reboisement d’avantage (…).
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