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PCSI A
0ω t
− 2Q
régime critique et X = (At + B)e et en tenant compte des conditions initiales proposées ;
−ω0 t
X = V0 te 2Q .
ω t
0
ω0 t − 2Q
A.1.4 X passe par un maximum lorsque Ẋ s’annule. Ẋ = V0 (1 − 2Q )e s’annule pour
2Q 2QV0
t1 = ω0 = 0, 56 s . On en déduit la valeur maximale : Xmax = ω0 e . L’élongation X(t) est
toujours positive, elle tend vers 0 quand t tend vers 0 ou l’∞, l’extremum obtenu pour t = t1 est
donc un maximum. La vitesse étant la dérivée de X, elle est nulle à l’instant t1 .
ω t
0
ω0 t − 2Q
A.1.5 L’expression de la vitesse est v = V0 (1 − 2Q )e . On aura un extremum quand sa
ω0 t
− 2Q
dérivée v̇ = −V0 ωQ0 (1 − ω0
4Q t)e s’annule, ce qui se produit pour t2 = 2t1 . L’analyse des
variations de v(t) montre que c’est un minimum dont l’expression est Vmin = − Ve20 , on a alors
4Qv0
X(t2 ) = ω0 e2
.
A.1.6 Les allures de X et de Ẋ en fonction du temps sont données par la figure suivante et on
en déduit la trajectoire de phase.
1
A.2 Oscillations forcées
A.2.1 On ajoute la force supplémentaire liée au mouvement du boîtier mẌ + f Ẋ = mg −
k(X + leq − l0 ) + mω 2 zm cos ωt. En utilisant les notations de la première partie on en déduit la
forme demandée de l’équation différentielle.
A.2.2 On passe à la notation complexe en remplaçant les dérivations par des multiplications
zm ω 2
par jω et on obtient X = ω2 −ω 2 +j ω0 ω . Pour obtenir Xm on prend le module de X et on obtient
0 Q
u2
A.2.3 On pose f (x) = (u2 − 1)2 + Q2
. Sa dérivée f 0 (x) = 4u( 2Q
1
2 − 1 + u ) ne s’annule en
2
zm ω 2
A.2.5 On a X = ω0 ω , on détermine ϕ à partir de
ω02 −ω 2 +j Q
l’argument de X, ϕ = arg X =
− arg(ω02 − ω 2 + j Q ). Quelle que soit la valeur de ω, sin ϕ <
ω0 ω
0 donc ϕ ∈ [−π, 0] et
tan ϕ = ω0 ω
Q(ω 2 −ω02 )
. Lorsque ω −→ 0, ϕ −→ 0 et quand ω −→ ∞, ϕ −→ −π et pour ω = ω0 ,
ϕ = − π2
A.2.6 Si ω ω0 , Xm −→ zm et ϕ −→ −π, on a alors X/Rboitier = −zm cos ωt. Ce mouvement
est opposé à celui du boîtier donc par rapport au laboratoire, le point matériel est fixe.
2
4. On utilise la continuité de la norme de la vitesse v1+ = v1− = 2gL(1 − cos θ0 ) . En re-
p
q
3v +
vanche après la date t1 la longueur du pendule est de 2L
3 donc ω1+ = − 2L1 = − 9g(1−cos2L
θ0 )
.
q
5. On fait l’hypothèse que l’on reste sous l’hypothèse des petits angles, on a alors tII = π
2
2L
3g .
8. On utilise la propriété des oscillateurs harmoniques : le portrait de phase est un arc d’ellipse.
On trace donc les deux arcs d’ellipse des deux phases I et II, puis on complète par symétrie.
On observe la discontinuité de la vitesse angulaire, qui ne contredit pas la continuité de la
vitesse ; elle est provoquée par la variation brusque de la longueur du fil.
3
−
→
3. L’évolution est conservative puisque le poids et F1 dérive d’une énergie potentielle et que
→
− −
la puissance de la réaction du support est nulle ( R ⊥→ v ). L’énergie mécanique est donc
g
constante et est égale à : Em = 2 ma θ̇ +mga sin θ+ka (1+cos θ), dE
1 2 2 2 2
dt = ma θ̇(θ̈+ a cos θ−
m
g
k
m sin θ = 0 L’équation différentielle du mouvement s’écrit alors : θ̈ + a cos θ − k
m sin θ = 0
4. On considère de petites oscillations autour de la position d’équilibre θ2 . On pose θ(t) =
θ2 + (t) avec 1. L’équation différentielle du mouvement devient ¨ + ag cos(θ2 + ) −
m sin(θ2 + ) = 0 et cos(θ2 + ) = cos θ2 − sin θ2 et sin(θ2 + ) = sin θ2 + cos θ2 .
k