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1. La longueur du fil non enroulé est la différence entre la longueur initiale et la longueur
enroulé : l(t) = l0 − Rα(t) .
−−→ −−→ −−→
2. OM = OB + BM = R→
−
ur + l(t)−
→
uθ
−−→
d−
→ d−
→ d−
→ d−
→
3. →
−
v = dOM ur dl(t) −
→
dt = R dt + dt uθ + l(t) dt . Sachant que
uθ u
dt
r
= θ̇−
→ et
uθ
u
dt
θ
= −θ̇→
−
ur l’expression
devient :
→
−
v = −l(t)θ̇→
−
ur + (Rθ̇ + dl(t) −
→
dt )uθ
4. On considère le point matériel M de masse m dans le référentiel du laboratoire supposé
→
− →
−
galiléen. Le point matériel est soumis au poids P , à l’action du support R et à la tension
→
− →
−
du fil T . En l’absence de frottement, la force R est verticale et elle compense le poids
→
−
P . Le principe fondamental de la dynamique appliqué au point M conduit à : m→ −a =
→
− →
− → − −
→ →
−
m g + R + T = −T uθ . Nous constatons qu’il n’y a aucune force qui s’exerce suivant ur , la
tension du fil ne modifie que la direction du vecteur vitesse mais sa norme reste constante
à v0 suivant la direction →
−
ur .
5. D’après les deux questions précédentes on a vr = −l(t)θ̇ = cste = −v0 , soit v0 = l(t)θ̇ =
l(t)α̇. D’après la première question on a l(t) = l0 − Rα(t) soit en dérivant cette équation
dl(t) dl(t) l2 (t)
dt = −Rα̇. Nous obtenons alors dt = −R l(t) , ou encore l(t)dl(t) = −Rv0 dt = d( 2 ).
v0
l2 (t) l02
Cette équation s’intègre en tenant compte des conditions initiales, soit 2 − 2 = −Rv0 t.
On obtient alors l(t) = l02 − 2Rv0 t .
p
√
l0 − l02 −2Rv0 t
6. D’après la première question on déduit α(t) = R
l02
7. Le fil est entièrement enroulé quand l(t) = 0, soit tf = 2Rv0 = 10, 7 s et
l0
α(tf ) = R = 2, 66 rad = 153°
d−
→
8. D’après la question 4) on a maθ = −T avec →
−
a = v
dt = d →
−
dt (−v0 ur ) = −v0 θ̇−
→ et θ̇ =
uθ
dα
dt =
mv 2 /l mv02
− r v0 . On en déduit T = q 0 0 , soit T = √T0 avec T0 = l0 = 6, 2.10−4 N .
l0
2Rv t
1− 20 1− tt 1− τt
l0 f
1
B.2 Étude dynamique et énergétique
→
−
B.2.1 F M1 →M2 = − Gmr12m2 →
−
u.
→
− →
− →
− −
→ −
→ −
B.2.2 dEp = −δW = F M1 →M2 . dl et dl = dr→
−
u + rdu avec du ⊥ →
u d’où dEp = Gm1 m2
r2
dr soit
Ep = − Gmr1 m2 + cste et Ep (∞) = 0 soit Ep = − Gmr1 m2 .
B.2.3 La symétrie du dispositif permet d’affirmer que Rθ = 0
B.2.4 La bille est soumise uniquement au poids et à al réaction du support. Seul le poids
dérive d’une énergie potentielle. L’énergie potentielle de pesanteur est égale à Ep = mgz + cste =
− mgk mgk
r + cste et Ep (∞) = 0 soit Ep = − r .
B.2.5 On applique le principe fondamental de la dynamique à la bille dans le référentiel d’étude
−→
galiléen. On a alors m→
−
a = RN − mg −
→ soit en projetant
uz
m(r̈ − rθ̇2 ) = R
r
m 1 d (r2 θ̇) = 0
r dt
mz̈ = −mg + Rz
La projection du PFD suivant − → permet de déduire que C = r2 θ̇ est une constante du mouve-
uθ
ment.
B.2.6 L’énenergie cinétique s’exprime sous la forme Ec = 21 mv 2 et v 2 = ṙ2 + r2 θ̇2 + ż 2 avec
2 k2 2 C2
r2 θ̇2 = Cr2 et ż = dz k 1 1
dr ṙ = r2 ṙ. Soit Ec = 2 m(1 + r4 )ṙ + 2 m r2 . On en déduit l’expression de
2 2
l’énergie mécanique Em = Ec + Ep = 12 mα(r)ṙ2 + 21 m Cr2 − mgk k
r avec α(r) = 1 + r4 . L’énergie
mécanique est constante puisqu’il n’y a pas de frottement et que la puissance de la réaction du
support est nulle car perpendiculaire à la vitesse du point matériel.
2
B.2.7 Epef f (r) = 21 m Cr2 − mgk
r . On a Epef f (0) −→ +∞ et Epef f (∞) −→ 0. En dérivant l’énergie
potentielle effective par rapport à r, on constate que l’énergie potentielle effective passe par un
2
minimum pour rm = Cgk et Epef f (rm ) < 0. Lorsque l’énergie mécanique est strictement négative
le système est dans un état lié, et dans état de diffusion lorsque l’énergie mécanique est positive.
B.2.8 On a un mouvement circulaire lorsque E0 est égale au minimum d’énergie potentielle
C2
effective. On a alors rc = gk .
B.2.9 Pour avoir un mouvement circulaire, on doit avoir ṙ = 0 soit ż = 0, on alors uniquement
une vitesse orthoradiale (→ v0 = rc θ̇−
− →. De plus on sait que C est constant, on a alors C = r2 θ̇ =
uθ c
q
r v . Or r = C2
=
rc2 v02 2
. On en déduit v = gk →
−
soit v = ± gk −
→
u .
c 0 c gk gk 0 r0 0 r0 θ
2
4