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BIENVENUE 2 LA NAVIGATION 38
LES IMPERFECTIONS D’OUVERTURE 31 120 QUESTIONS SUR L’OUVERTURE ET LES INCIDENTS 128
TECHNIQUE DE PILOTAGE 36
BIENVENUE
La progression accompagnée en
Page 3
LE PREMIER JOUR
deux techniques.
suivant :
Le parachute.
Les éléments de sécurité.
sentez prêt.
Page 4
Le parachute.
C’est un ensemble qui comporte un sac-harnais, une voilure principale, une voilure de secours et un
déclencheur de sécurité. Un parachute pour débutant pèse environ une douzaine de kilos. On le saisit
par les sangles principales du harnais, pas par les poignées. La voilure principale est située en bas et la
voilure de secours en haut.
Le sac.
Le sac comprend :
Le harnais.
empêche le basculement
quand on s’équipe
Page 5
-
accroche dans l’avion. La SOA est lovée sur le sac. Quand on saute, la SOA se délove et extrait l’aiguille
ou le jonc, provoquant l’ouverture du conteneur de la voilure principale.
-
sure le déploiement de la voilure.
Mousqueton d’accrochage
SOA.
-
ment mais diminue le temps de chute.
Page 6
poignée
s’ouvre.
et assure le déploiement de la voilure.
-
mières chutes libres en ouverture commandée, après les sauts en
Un embout de préhension -
teur. Quand le parachute est plié, le hand deploy se trouve
le tenir longtemps.
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suspentes.
Le temps que met la voilure pour s’ouvrir (se déployer et s’épanouir) est variable ; généralement entre
2 et 4 secondes.
Page 8
Le ( ) est le vent que vous créez par votre
propre déplacement dans l’air.
-
zontale : 130 km/h environ).
-
SOA
assure le
sort
suspentes.
de la
Page 9
-
Les , au nombre de 4,
sont des sangles qui relient la voi-
lure (voile + suspentes) au harnais.
Page 10
.
Une aile souple n’a pas de moteur. Les suspentes avant sont plus courtes que les suspentes arrière,
de vol.
dessus.
Portance
-
portance.
Les commandes
de manœuvre sont
reliées au bord de
la largeur de l’aile.
Trajectoire.
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voilure principale mal ouverte et certainement instable et votre voilure de secours.
Système LOR
(ou Steven)
Poignée de
du conteneur de
secours
(Système de sécurité).
Page 12
-
1- 2-
passe dans le gros. Le câble de la poignée de
Page 13
La poignée d’ouverture du parachute de secours est logée sur le
Broches de verrouil-
lage (aiguilles)
C’est le même type de voilure que la principale. Comme sur celle-ci, les deux commandes de manœuvre
-
tage sont les mêmes.
Page 14
provoque l’ouverture du conteneur de la voilure de secours quand les élévateurs de la voilure princi-
pale se libèrent du harnais.
Le LOR.
dissymétrique.
C’est le même principe que le LOR. Mais avec une seule sangle montée sur l’une des deux paires d’élé-
Page 15
-
pas ouverte ou mal épanouie), l’appareil déclenche l’ouverture du conteneur du parachute de secours,
-
Page 16
du conteneur du parachute de secours.
de la broche de verrouillage
du conteneur de secours
m/s.
réglage
Sectionneur
pyrotechnique
parachute de secours.
réglage
de secours.
réglage
Sectionneur
pyrotechnique
Page 17
-
sement, perte de calories, etc.)
mobilité.
La sangle jugulaire
-
ter tout risque d’ac-
crochage avec une
suspente.
Indispensables :
en chute libre.
si vous portez des verres de contact.
-
-
néralement sur la main
gauche).
Page 18
Que le LOR ou le Stevens est verrouillé.
Que les poignées sont en place, non masquées par des plis de vêtements.
Page 19
C’est le vent que l’on crée par son propre déplacement dans l’air.
sont relâchées.
Le corps est cambré (au
niveau de la colonne lom-
baire), bassin en avant.
est symétrique.
se repérer.
-
suelles en chute.
La tonicité
on travaille avec un peu d’appuis sur les jambes et sur les mains.
Page 20
, on a l’impression de perdre l’équilibre. On tend
-
ler l’extension cuisses / bassin.
on
manque d’appuis et de
stabilité.
Page 21
le plus souvent, pendant la montée, le moniteur accroche les SOA dans l’avion. Au moment de sauter,
etc.).
Page 22
l’ouverture.
la hauteur du visage.
soient réussis.
s’écarter de l’avion.
On sort en se tenant au hauban. Suivant le type de marchepied, on place un ou deux pieds dessus. Il
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dure un peu plus de cinq minutes.
2) Découvrir la chute.
3) Chuter stable.
4) Gérer la hauteur.
-
gnées témoin.
l’ouverture.
À 1500 mètres ouvrir son
parachute.
Page 24
Un genou au sol.
Le pied d’appui sur le bord du plancher.
Les mains sur les genoux (ou devant
vous).
Regardez devant vous au-dessus de l’horizon (le bout d’aile par exemple).
Expirez avant de vous élancer.
Élancer-vous. L’impulsion doit être dirigée vers le bout d’aile ou l’horizon.
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signes ou interviennent directement, par exemple en replaçant un bras ou une jambe.
vers le bas.
Rapprochement et éloignement
du pouce et de l’index
(ou les genoux)
Ou
moniteur
montre
son
Page 26
L’ouverture est une des phases clé pour la sécurité du saut.
au sol, parce qu’en cas de problème, on dispose d’un temps limité pour agir (on donne en général cinq
secondes)
On ne ressent pas toujours la même chose. L’ouverture est plus ou moins rapide et s’accompagne par-
Vous devez :
Page 27
L’extracteur est derrière
rectangulaire. ou sur la voile.
Page 28
des deux poignées de commandes de manœuvre (photos ci-dessous). Cela met la voilure dans une
De plus, cela empêche de prendre tout de suite une vitesse élevée. Le risque de collisions lors de sauts
de groupe, s’en trouve diminué.
Page 29
Par rapport au terrain (zone de poser).
Page 30
la voile, etc.
-
cement les mains (recommencez si nécessaire). Avec plus
secours.
manœuvrant doucement.
secours.
Page 31
SE PASSE
vers le bas.
avec douceur.
Page 32
LA MISE EN ŒUVRE
PAR RAPPORT AU TERRAIN
AUTRES VOILURES
HAUTEUR
(bras haut)
EN FONCTION DU VENT
Lancer le désenroulement
bras en tenant les élévateurs.
-
cédure de secours.
Page 33
La descente parachute ouvert contraste avec la chute, c’est un retour au calme.
obstacle.
Page 34
La vitesse.
La vitesse sur trajectoire est la somme géo-
métrique de la vitesse horizontale et de
Page 35
Installez-vous bien dans le harnais, éventuellement un peu assis.
Les jambes sont sensiblement dans le prolongement du corps et non
marcher ou courir).
voile. Sans lâcher les poignées de commande vous pouvez saisir les élévateurs arrière et laisser ainsi
les muscles de vos bras se reposer un instant.
Le virage.
(l’amplitude du mouvement),
Page 36
Le freinage.
1)
2)
écart,
3)
Le décrochage.
-
Le point de décrochage se situe généralement mains en dessous des hanches. Il dépend du réglage
On risque de décrocher :
Page 37
1200 m
Point d’ouverture
1. Rejoindre et naviguer
dans la zone d’évolution.
2. Rejoindre le point de
rendez-vous (point d’entrée
du circuit d’atterrissage).
300 m
0m
Vent
Page 38
le déplacement de la masse d’air (le vent). C’est le même phénomène que dans l’eau : un nageur
subit le courant.
Prenons pour exemple une voilure dont la vitesse propre est de 8 m/s.
Vent de face.
vitesse par rapport au sol sera élevée.
Si la voilure rencontre un
Si la vitesse du vent est égale ou supé-
-
ner. La vitesse par rapport au sol est alors
de 11 m/s.
-
nage. Il sera alors impossible de s’arrêter complètement.
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Vent de travers.
Trajectoire sol
la zone B.
B A C
Page 40
-
ZONE D’ÉVOLUTION
Page 41
Il débute au point de rendez-vous, entre 200 et 300 m de hauteur.
Le point de rendez-vous
Vent arrière
Vent de travers&
6($%&'(&789(
&
Vent
P! oint de rendez-vous
(entre 200 et 300 mètres)
Vent arrière
Vent de travers
Vue de dessus
Vent
Page 42
Vent
Vue de dessus
Vent
Page 43
1) -
nez en priorité une trajectoire dégagée d’obs-
un obstacle).
2) -
5)
-
riez de vous blesser.
6) et
quelques pas.
Page 44
(voir page 35).
vigilant.
Page 45
Les règles de priorité ont pour but d’éviter les collisions en vol.
Approche de face
-
ment est de 20 m/s, soit plus de 70 km/h, ce qui laisse
peu de temps pour s’éviter. Si elles sont distantes de
percuter.
: s’éloigner
Page 46
décalez-vous.
En résumé.
Retenez
Page 47
La hauteur de prise de décision.
Dans les autres cas, essayez de revenir vers le terrain. On peut considérer que 500 m est une bonne
dégagée.
1) (champ, stade...).
2)
3)
Page 48
-
se protéger.
Corrigez légèrement la
possible.
Si vous constatez que vous risquez de vous poser dans l’eau (en mer par exemple) :
Page 49
Les incidents sont rares (environ 1/800 sauts) mais ils peuvent aussi survenir dès le premier saut. Soyez
La procédure de secours
d’urgence absolue.
semblera nécessaire.
Page 50
Libérer la voilure principale qui n’est pas opérante et ouvrir le parachute de secours.
1 2 3
4 5
4 5
nombril, puis lâchez-la.
Page 51
JE NE SUIS
NE SE PASSE PAS
MAIS MAUVAISE OUVERTURE
Balancements
Instabilités
Balancements
Instabilités
(ou le désenroulement) des torsades.
Page 52
AGIR IMMÉDIATEMENT
P
E
UNE TENTATIVE POUR RÉSORBER*
S
si possible.
Suivant votre voilure, votre poids et l’emplacement de la ou des suspentes cassées, il se peut que la vitesse soit
Page 53
poids et l’emplacement de la ou des suspentes cassées, il se peut que la vitesse de descente soit exces-
Page 54
-
Lorsque la voilure principale et la voilure secours sont ouvertes en même temps, bien que toutes les
premier).
le choc.
Page 55
Ne pas libérer la voilure principale (celle accrochée au harnais par le système trois
anneaux). Cela peut créer un risque d’accrochage des deux voilures.
-
ber une éventuelle mise en miroir ( ).
-
gèrement la commande intérieure au virage.
le décrochage).
Page 56
Page 57
Réponse
page
1) -
2) -
3) -
La procédure de secours.
Page 58
1. 9.
A. Je ne vais sauter que si je me sens prêt. A. Par l’avant.
B. C’est aux moniteurs de décider seuls. B. Par l’arrière.
C. Peu importe.
2.
A.
B. C’est sans importance.
A. Dans l’ordre des départs.
3. B. Dans l’ordre inverse des départs.
A. Je ne m’occupe pas de la météo. C. Peu importe.
B.
11.
C. Je me contente de regarder le vent au sol. A. -
ter au maximum du paysage.
4. B.
A. le centrage ou d’accrocher l’équipement.
B.
12.
5. A. Je ne me concentre pas pour être plus décontracté.
A. B.
B.
13.
6. A.
A. Je m’assure que le déclencheur de sécurité est en B.
perdre de temps.
B. C. Je me mets en place le plus lentement possible
C. Le déclencheur n’est pas obligatoire, donc je ne pour mieux réussir mon saut.
m’en occupe pas.
14.
7. A.
A. B.
B.
15.
8. A. En déséquilibre intérieur.
A. B. En équilibre.
B. C. En déséquilibre extérieur.
change tout le temps.
Page 59
16. - 25. Les mains sont.
A.
A. N’ont pas beaucoup d’importance. B. Ouvertes et placées le plus haut possible.
B. C. Le placement des mains n’a pas d’importance.
C.
26. Être bien cambré au niveau du bassin.
A.
17. B. Ne joue pas sur la stabilité.
A. Le sol. 27.
B. Devant soi, au-dessus de l’horizon.
C. Le regard n’a pas d’importance. A.
B.
18.
A. 28. Au cours du saut.
sécurité. A.
B. N’a jamais d’incidence sur la sécurité du saut. B.
19.
A. 29.
B. Se récupère rapidement si l’on cambre.
A.
secondes.
A. Cambré au niveau du bassin, bras ouverts, jambes B.
modérément écartées. C. On ne compte pas les secondes, donc le temps est
B. Cambré, bras et jambes écartés au maximum. sans importance.
C.
21. A.
A. Bloquer la tête pour ne pas créer d’instabilités. que l’on s’aperçoit que tout s’est bien passé.
B. Garder la mobilité de la tête pour augmenter le B. On ressent un choc violent.
champ visuel. C.
22. 31. -
A. Fléchies au maximum. mètres suivants.
B. A. La vitesse de la voile ne dépasse pas 12 m/s.
C. Tendues au maximum. B. On n’entend pas de bruit.
C. La voile est rectangulaire, suspentes non emmê-
23. lées, glisseur en bas, elle réagit aux commandes.
A. Serrées au maximum.
B. Écartées au maximum. 32.
C. Écartées de la largeur des épaules. A.
B.
24. Les bras sont.
A. Fléchis au maximum.
B. Écartés et souples. 33.
C. Tendus au maximum. A.
B.
C. Il n’y a jamais de torsades en OA.
Page 60
34. 42. En cas de rupture de suspentes.
A. A.
B. B.
beaucoup de suspentes cassées.
C. Cela n’arrive jamais. C. Je peux voler comme ça s’il y a une seule suspente
36. C.
A.
B. 44.
A.
C. B. C’est un incident, je dois réagir tout de suite.
C. -
37.
45.
est épanouie.
A.
A.
B. J’ai tout mon temps.
B.
46.
C. Je ne touche surtout pas les commandes.
A.
38.
ne se passe.
A. Je vole comme ça, c’est sans importance.
B. J’essaie avant tout de me stabiliser.
B.
47. Une mauvaise ouverture.
39.
A. -
A. Je ne m’en préoccupe pas, c’est sans importance.
ments ou des instabilités marquées.
B. Je peux voler comme ça en manœuvrant douce-
B. Elle en génère souvent.
ment et le moins possible.
48. En cas de mauvaise ouverture.
A.
B.
A.
une procédure de secours.
B.
49.
procédure de secours.
A.
B. Je peux prendre mon temps pour réagir.
41. Si une commande a cassé.
A.
B. Je peux essayer de voler comme ça, en pilotant
A. Quand j’ai compris les causes de l’incident.
avec l’autre commande ou les élévateurs arrière.
B. Si les critères de l’ouverture normale ne sont
C.
l’incident.
Page 61
51.
A.
B. A.
la sécurité. B. -
vement vers le terrain.
52. La procédure de secours consiste. C.
A. À libérer la voilure principale et ouvrir le para-
61.
B. À libérer la voilure principale avant d’ouvrir le pa-
rachute de secours. A. Je dégage par la droite.
B. Je dégage par la gauche.
53. C.
A. D.
B. C’est sans importance.
62.
54. Une fois parachute ouvert.
A. La priorité est de se décontracter un peu. A. Je dégage par la droite.
B. B. Je dégage par la gauche.
C. C.
55. 63.
A. A.
B. B. De largage.
C. C’est sans importance.
64.
56. A.
A. B. Ne concerne pas les élèves débutants.
B.
C. C’est sans importance. 65.
A.
57. B.
A. Je repère les autres voilures pour prévenir tout C.
risque de collision.
B. Je ne m’occupe pas des autres. 66.
A.
58. B. Je vole bras hauts quoi qu’il arrive car il est trop
A. tard pour manœuvrer.
B. Je viens tout de suite au point de rendez-vous.
C. Je viens tout de suite au-dessus du terrain quel 67.
que soit le vent. A.
champ.
59. B. Je repère une zone dégagée et j’essaie de me po-
est fort. ser dans la grande longueur du terrain.
A. C. Je me pose le plus près possible d’une route.
B. -
vement vers le terrain. 68.
C. est.
A.
B.
obstacles.
Page 62
69. 72.
A. Je me relève et je ramasse ma voilure
A. Je me protège le visage avec les mains. B.
B.
C. 73.
A.
B. Je me relève, je ramasse ma voile doucement puis
A. Je reste bras hauts pour ne pas décrocher. je dégage.
B. C. Je dégage le plus vite possible.
C. 74.
A.
71. B. Je rentre le plus vite possible.
A.
75.
B. A. J’essaie de me relever.
poser debout. B.
C. secours.
Page 63
Page 64
1 A 26 A 51 B
2 A 27 B 52 B
3 B 28 A 53 A
4 B 29 A 54 C
5 A 30 C 55 B
6 A 31 C 56 A
7 A 32 B 57 A
8 A 33 A 58 A
9 B 34 B 59 B
10 B 35 B 60 C
11 B 36 A 61 A
12 B 37 B 62 C
13 B 38 B 63 A
14 A 39 B 64 A
15 B 40 B 65 C
16 B 41 B 66 A
17 B 42 C 67 B
18 A 43 B 68 B
19 B 44 B 69 B
20 A 45 A 70 C
21 B 46 A 71 B
22 B 47 B 72 A
23 C 48 B 73 C
24 B 49 A 74 B
25 A 50 B 75 B
Page 65
Page 66
1)
2)
3) Premiers sauts en ouverture commandée.
4) Sauts en chute libre de plus en plus haut avec un temps de chute de plus en plus long.
5) -
pings et tonneaux.
base.
Page 67
apprendre le geste d’ouverture pour se
préparer au saut en ouverture commandée. parachute.
1) 1)
2) 2)
3)
elle est.
3)
poignée.
En OA, ne lâchez pas la poignée. Après l’ouverture, rangez-la dans votre combinaison pour ne pas
Page 68
Lâchez immédiatement.
Finissez la procédure de secours pour
Page 69
1) Ouvrir son parachute
2) Gérer le temps de chute (10 secondes maximum)
3) Chuter stable
H de larg. : 1500 m
(Phase
Page 70
La chute.
Après une ou deux secondes de chute, si vous avez l’impression de basculer vers l’avant, maintenez la
temps.
En chute, la perte de hauteur est en moyenne de 300 mètres pendant les 10 premières secondes (c’est
de sécurité.
Page 71
En cas de…
Passage dos. -
Poignée non trouvée. Tâtonnez avec la main paume bien ouverte (sans que cela dure trop longtemps)
Poignée dure.
secours.
Page 72
en chute
Faire un essai pour
Passage dos Je reste sur le dos
Je tourne toujours et
de plus en plus vite
Ouvrir sans
perdre de temps
ou
Je ne la trouve
Poignée non trouvée
toujours pas
dans le secteur de la poignée
La poignée est
Poignée dure ou
toujours dure
ou
Je ne suis
toujours pas
Page 73
Gérer la hauteur (en comptant ou en
Le programme du saut.
Essayez de trouver une bonne stabilité, épaules relâchées, cambrez au niveau du bassin,
saut.
Le temps de chute.
secondes puis 50 mètres par seconde. La correspondance entre temps de chute et perte de hauteur
est la suivante :
Perte de hauteur
2000 m 10’’ 300 m 1700 m
12’’ 400 m 1600 m
14’’ 500 m 1500 m
16’’ 600 m 1400 m
18’’ 700 m 1300 m
20’’ 800 m 1200 m
-
cement d’un bras ou d’une jambe). Le manque de cambrure augmente souvent la raideur quand on
débute. Si vous manquez d’envergure (mains trop près du visage), vous allez tourner d’autant plus vite.
Page 74
Page 75
L’écoulement de l’air autour du corps provoque :
Page 76
contraire) ou des tours très lents.
rapproche du visage).
1)
appuis.
2) -
mi-tours ou des tours complets.
3)
pouvez ouvrir.
Page 77
jambes pour augmenter les appuis.
extension.
-
peut parcourir 1 km de distance horizontale pour teur, d’autant plus que la vitesse augmente et
2500 m de chute. Espacez les départs.
quelques secondes de dérive lors des premiers
pour ne
-
pas de départ en piqué.
Le freinage.
-
sécurité).
Page 78
-
-
-
son ne s’enroule autour de la main. Si cela arrivait, dégagez la
immédiatement.
Page 79
Ce n’est pourtant pas le cas.
-
ture, le nombre de passages, le nombre de départs par passage, le type de saut, le type de voilure
prendre en compte (voir ci-dessus) nous montre qu’il n’en est rien.
Page 80
Avec les autres usagers de l’aérodrome.
Observer la météo.
Déterminer l’axe et le point de largage.
Déterminer l’ordre des départs.
sauter.
Page 81
2) Déterminer l’axe et le point de largage.
Page 82
La dérive.
La dérive
Dérive Dérive en
parachute ouvert chute
Hauteur d’ouverture
(1000 m)
Dérive totale
A B
Page 83
-
rain. On peut également prendre des axes vent de travers ou vent arrière.
Vent
Point de largage
Zone d’atterrissage
Suivant la dérive, on décale l’axe (si on largue vent de travers) ou le point de largage (si on largue vent
Page 84
la vitesse de l’avion par rapport
Vitesse propre
de l’avion
Si la
perd en vitesse.
conséquence.
Page 85
turbulentes.
La charge alaire est un paramètre important pour le calcul du point de largage, car elle joue sur le
temps de descente parachute ouvert (donc sur la dérive).
Assurer leur étagement pour qu’ils ne se posent pas tous en même temps.
Page 86
-
entre les départs, soit vitesse sol de l’avion x le temps entre les départs.
distance).
Quand la hauteur de largage est élevée (le temps de chute et la dérive augmentent).
Espacement de 8 ‘’
Vitesse Vent
Vitesse « sol »
« sol »
Espacement de 8 ‘’
Distance : 300 m
Distance : 140 m
Page 87
Avec deux minutes d’intervalle entre les passages,
d’ouvrir la porte.
largage.
opposé au dérapage.
Assurez-vous que l’axe de largage (la trajectoire de l’avion) passe par le point de
largage.
Page 88
-
ire
Trajecto
apparente apparente
Avion en montée :
horizontale.
Page 89
- -
-
cer de l’avion.
Elle est plus ou moins importante selon :
La vitesse de largage,
vitesse de largage : 35 m/s (70 kts). Temps de mise en place de l’élève : 4’’.
mise en place
Mise en place :
Page 90
incompréhension.
discerner.
Point de largage
« 45° à
gauche »
« 45° à
droite »
nécessaires.
Le GPS ne calcule pas le point de largage, il repère celui que vous avez vous-même
déterminé.
Il ne donne pas le nombre de passages, l’ordre et l’espacement des départs.
Il ne sait pas si l’espace aérien est dégagé.
Page 91
aériens. Il existe des phénomènes peu connus comme le givrage sur les avions, d’autres sont invisibles
-
sécurité.
ozone, etc.)
Les phénomènes météorologiques ont lieu dans les basses couches de l’atmosphère, la troposphère
Page 92
: C’est le poids de la colonne d’air située au-dessus du point de mesure s’étendant jusqu’aux
limites de l’atmosphère.
Unité
Il y a des zones :
De hautes pressions : ,
notés A (associés au beau temps).
De basses pressions : ,
notées D (associées au mauvais temps).
Sur des cartes, on trace des lignes isobares en reliant les points d’égale pression. Elles montrent les
La pression atmosphérique est liée au poids de la colonne d’air au-dessus de nos têtes. Plus on monte
Elle diminue beaucoup dans les basses couches puis de moins en moins. À 5600 mètres, elle a diminué
Page 93
La température.
: C’est la mesure de la chaleur d’un corps.
Le rayonnement
Page 94
Le vent.
C’est le déplacement horizontal d’une masse d’air.
Il se caractérise par :
Le manchon comporte cinq anneaux alternant trois rouges et deux blancs. Il est soulevé dans la direc-
Page 95
-
l’air des hautes vers les basses pressions (de A vers D). C’est le même phénomène que lorsqu’on perce
Force de pression
A
Haute pression
D
Basse pression
Trajectoire du vent
dans un repère tournant (c’est le cas de la terre). Lors de son déplacement des hautes vers les basses
pressions, l’air est dévié vers la droite dans l’hémisphère nord et vers la gauche dans l’hémisphère sud.
Force de pression
A
Haute pression
D
Basse pression
Force de Trajectoire
Coriolis du vent
Page 96
Force de pression
Force de Coriolis
Force de pression
Force de Coriolis
isobares.
Page 97
-
nique) et tourne autour des dépressions dans le sens inverse (en rentrant légèrement
vers le centre dépressionnaire).
-
A
Haute pression
D
Basse pression
Les brises
sol est chaud (c’est le cas des sols secs : hangars, parkings, zones caillouteuses ou sablonneuses, etc.),
Se soulever
(descendre) (monter)
On observe des phénomènes de brise en bord de mer, sur les pentes et dans les vallées.
Page 98
La brise de mer.
La brise de terre.
Page 99
Le jour, il se produit dans les vallées le même phénomène que pour les brises de pente. Il est d’ailleurs
possible de sauter.
Page 100
L’intensité de ces phénomènes est d’autant plus grande que :
-
lée, rue, hangars, etc.), il est obligé d’accélérer pour conserver le même débit qu’avant l’étranglement
(imaginez une rivière traversant une gorge).
-
ver le débit, l’air doit donc accélérer
A B
-
-
Page 101
peut être laminaire.
-
ments, haies d’arbres, etc.) sur le vent dans les basses couches.
Page 102
près du sol (sur quelques mètres de hauteur). Il
devient turbulent au contact du sol.
-
cend moins vite ou plus du tout) ou vers le bas.
dissymétrique.
Page 103
-
d’ensoleillement.
nécessaire.
Page 104
Les nuages.
-
Cirrus (Ci), Cirrocumulus (Cc), Cirrostratus (Cs), Altocumulus (Ac), Altostratus (As), Nim-
bostratus (Ns), Stratocumulus (Sc), Stratus (St), Cumulus (Cu), Cumulonimbus (Cb).
Page 105
Nuages
Etalés en voiles ou
nets, aspect cotonneux
Cs Ci Cc
Cumulonimbus Cb
Nimbostratus Ns
Altostratus Altocumulus
As Ac
Cumulus
Cu
Stratus Stratocumulus
St Sc
Nuage
sombre Nuage
des masses d’air stables des masses d’air ins-
Pluie d’orage
durable
La couverture nuageuse.
Nébulosité
0/8 Ciel serein
Peu nuageux
Très nuageux
8/8 Couvert
Page 106
Parachute ouvert ou en chute, sans visibilité, les risques de collision avec une autre voilure sont réels.
La brume
On parle de
-
ture du sol.
pas non plus voir les autres voilures qui, sans doute, convergent vers le même point que lui.
Le
Page 107
-
Si un avion traverse la zone de sauts sous la couche de nuages pendant qu’on largue au-dessus, aucun
instrument ne permet d’assurer la sécurité.
Page 108
Voler au-dessus d’une couche de nuages est d’autant plus dangereux que l’on se trouve en zone mon-
-
nuage pour ouvrir.
terrain.
Page 109
Un orage est un phénomène météorologique complexe caractérisé par des décharges brusques d’élec-
tricité accompagnées par une lueur brève et intense (l’éclair) et un bruit sourd (le tonnerre).
de l’humidité,
de l’ensoleillement,
Imaginons une bulle d’air chaud animé d’un mouvement ascendant. En montant, sa pression diminue
monte aussi longtemps qu’elle est plus chaude que l’air ambiant. Il y a peu d’échange de chaleur entre
la bulle et la masse d’air environnante.
d’enclume.
Page 110
Déplacement du nuage.
bombes nucléaires.
Page 111
mètres.
La couleur du nuage. Danger quand le nuage devient noir.
Des turbulences anormales.
brusquement.
La présence d’éclairs et de tonnerre. Quand on entend le tonnerre ou quand on voit
La foudre.
Le givrage. Il peut rendre l’avion impilotable.
Page 112
Page 113
-
1013,25 hPa
899 hPa
850 hPa
795 hPa
701 hPa
616 hPa
-
trique. Retenez que :
danger.
danger.
Page 114
La hauteur
pieds.
exemple.
1013,25 hPa.
Niveau de vol
(FL)
Altitude
Hauteur
Page 115
-
0"
Page 116
Page 117
Ne passez pas devant l’hélice.
par l’avant).
-
-
gouvernes de pilotage.
Page 118
urgence sont rares. Un instant de calme permet souvent de ne pas évacuer pour rien. Il arrive que le
Il ne s’agit pas de tous les cas possibles, mais de quelques principes pour réagir. Une même consigne
Page 119
Tête dans les épaules Ça va bien
Mains sur la nuque. se passer !
Coudes au corps
Si possible dos au sens de la marche.
Page 120
de queue).
-
gressant, vous êtes largués au même passage que l’ensemble de l’avion et vous ouvrez sensiblement
-
cédure de secours ; dans d’autres cas c’est impossible.
Vous pouvez être inconscients après le choc ou encore (et aussi) emmêlés dans une voilure. Vous
haut.
Plus on se rapproche du sol, plus le risque augmente car tout le monde converge vers un point de ren-
Page 121
Quand on est nombreux.
Soyez prévoyants.
-
de celui-ci s’il y a une zone dégagée. Le plus important est de se poser en sécurité même si ce n’est pas
Page 122
voilure.
sont espacées de 100 mètres, il ne se passera que 5 secondes avant la collision qui peut être brutale.
soient pas trop loin et que tout le monde puisse ainsi rentrer sur le terrain. Si vous êtes dans les pre-
rapidement vers celui-ci surtout si vous en êtes éloignés. Vous allez alors remonter l’axe de largage
ouverts.
Page 123
, vous serez largué
après vous.
4000 mètres!
Vent
1000 mètres!
-
chement seront ainsi plus lentes et vous disposerez d’un peu plus de temps pour réagir.
Page 124
-
Ou,
Page 125
Ne vous posez pas en sens contraire des autres. Suivez des trajectoires parallèles en
09
%"
27
'"
Piste "
1"
Le n° 3 raccourcit son circuit et se pose
long pour laisser le champ libre :
2"
Page 126
!
09
#"
27
%"
Piste"
1"
En faisant de larges « S » au milieu du terrain,
le n° 1 ferme l’axe d’entrée au n° 2.
Bâtiment
2"
Page 127
-
- -
ment dès le premier saut.
d’autres plus rarement. On classe les incidents en grandes Quand la voilure est ouverte, l’impression de calme
- contraste avec la chute.
-
Page 128
voir sa voile.
-
seur ne descend pas jusqu’en bas.
-
tement si une voilure se rapproche de vous.
ouvert loin.
résorber.
torsades).
Page 129
vitesse augmente légèrement. Quand on a un caisson Tâtonnez avec la main ou recommencez le geste. Suivant
son emplacement, vous pouvez regarder la poignée. Si
Si la voile décroche au moment de l’ouverture, elle subit par exemple. Si vous le pouvez, regardez la poignée avant
-
croche dans une suspente.
secours.
Page 130
Oui, mais ce sont les plus rares.
-
La procédure de secours.
-
rez la principale évite un risque d’emmêlage des deux
voilures. La procédure de secours est un tout. Quand on
-
rectangulaire. Les suspentes ou les commandes sont em-
ment le plus ample possible) et dans le bon ordre (libéra-
mêlées. Le glisseur est bloqué en haut.
l’autre.
Absolument pas. C’est celui qui est sous son parachute qui
-
en cas d’incident. En chute libre, on perd 250 mètres en -
cinq secondes.
-
cours. Cela permet d’avoir les mains libres pour agir plus
temps). du secours.
Page 132
-
principale, libérez le plus vite possible. Il y a a de grandes l’ouverture et de la mise en œuvre. Cela peut se produire
chances que tout se passe bien. sur une seule commande ou sur les deux. Comme pour
-
-
-
-
ser sur une zone dégagée ? Vais-je pouvoir arrondir sans
- -
-
pale n’est pas ouvert. S’il est ouvert, et même si la voi-
Quand la ou les aiguilles du parachute de secours sont
complètement.
Quand on accroche la poignée involontairement.
-
terrissage violent ; si l’on essaie de libérer la principale,
elle peut accrocher la voilure de secours.
Page 133
-
voilure principale.
-
impilotable.
-
ger l’avion et ses passagers.
Page 134
-
Quand on n’espace pas assez les départs
place.
lors du largage.
-
proche au cours d’un saut de groupe.
Quand plusieurs avions larguent en
porte quand elle est ouverte. même temps et que les largages sont mal
coordonnés.
-
portante de la voilure, vous n’aurez peut-être pas d’autre
-
anodin et s’interroger sur les circonstances et sur les
-
tacle dans une zone exiguë.
se donne du temps).
Page 136
possible.
En cas de problème sur l’avion rendant la poursuite du vol
dangereuse.
voilure au milieu de la piste. En premier lieu le pilote, mais en cas de problème grave,
vite possible.
Oui et non. Non dans l’absolu. Oui, parce que chaque an-
Page 137
-
1. 8.
A. Le bord avant de l’aile. est.
B. Le bord arrière de l’aile. A.
B.
2. C. Indépendante du vent.
A. Le bord avant de l’aile.
B. Le bord arrière de l’aile. 9.
A.
3. B.
A. C. Indépendante du vent.
B.
C. La cloison inter caissons.
A.
4. B.
A. C. Le rapport vitesse sur trajectoire / vitesse
B.
C. Le panneau stabilisateur.
11.
5. A. Au rapport perte de hauteur / distance parcourue.
A. Une dépression sous l’intrados. B. Au rapport distance parcourue / perte de hauteur.
B. Une dépression sur l’extrados.
C. Une surpression sur l’extrados. 12.
A. Vitesse horizontale dans la masse d’air / vitesse
6.
A. Les suspentes sont toutes de la même longueur. B. Vitesse sur trajectoire dans la masse d’air / vitesse
B. Les suspentes avant sont plus courtes que les sus-
pentes arrière. C. Vitesse sur trajectoire par rapport au sol / vitesse
C. Les suspentes arrière sont plus courtes que les
suspentes avant. D. Vitesse horizontale par rapport au sol / vitesse
7.
A. La vitesse horizontale.
B.
C. La vitesse qui a pour composantes la vitesse hori-
Page 138
13. 22.
A. A. Ne présente aucun danger.
B. B.
19. 28.
A. A. -
B. mandes de manœuvre.
C. B.
C.
En décrochage. de manœuvre, très doucement.
A.
les commandes de manœuvre. 29.
B. L’aile n’est plus pilotable normalement. A.
B.
21. Un décrochage. C.
A. Ne présente aucun danger. D.
B. Présente un risque d’accrochage de l’extracteur
-
mandes brusquement. A.
B.
C.
Page 139
D. 34.
A.
31. B.
A. Pour revenir sur le terrain par vent nul ou vent
arrière, si l’on est loin. C.
B. important.
C. En aucune circonstance. D.
important.
32.
35.
A. Pour revenir sur le terrain par vent nul ou vent A.
arrière, si l’on est loin. avec les commandes.
B. B.
C. En aucune circonstance. C. Il est le même.
33. 36.
A. Le point de décrochage est au même niveau que
A. lorsqu’on pilote avec les commandes.
B. B. Il est plus haut.
C. Il est plus bas.
C.
important. 37.
D. A.
important. B. On crée des phénomènes pendulaires.
38. -
B.
39.
A.
B.
C.
Page 140
47.
A. A. Le risque d’être déporté en dehors du terrain
calme. augmente.
B. B. Le risque d’être déporté en dehors du terrain
diminue.
41.
A. 48.
B. - A. -
gage et rentrer si l’on est ouvert loin du terrain.
C. - B.
largage et rentrer si l’on est ouvert loin du terrain.
42. 49.
A. Quand le pilote est bras hauts.
B. A. En ne tenant compte que du vent.
manœuvre. B. En tenant compte du vent, des zones survolées et
43.
A. Quand le pilote est bras hauts. Parachute ouvert.
B. - A. Ceux qui ont ouvert le plus haut doivent des-
mandes de manœuvre.
autres.
44. B. Ils doivent essayer de ne pas descendre trop vite
A. Le produit (temps de chute + temps de descente
parachute ouvert) x vitesse du vent. C.
B. La vitesse du vent.
C. Le temps de chute + le temps de descente para- 51. Parachute ouvert.
chute ouvert. A. -
gentes avec une autre voilure.
45. B. C’est possible si l’on passe juste derrière l’autre
voilure.
A.
B. 52.
C.
A. L’un des deux doit dégager sur sa gauche et l’autre
46. sur sa droite.
B. Les deux doivent dégager sur leur gauche.
A. C. Les deux doivent dégager sur leur droite.
B.
C. 53.
A.
de la plus rapide des deux voilures.
B.
voilures.
C.
voilures.
54.
au-dessus.
A. Vous avez la priorité parce que vous êtes le plus
bas.
Page 141
B. Il a la priorité parce qu’il ne vous voit pas.
A.
55. - B.
dégagée dans la grande longueur du terrain.
dessus de vous. C.
A. Il a la priorité et vous devez lui laisser la place
pour rentrer vers la zone de poser.
B. Vous avez la priorité car vous êtes en dessous. 61.
est de.
56. A. 50 m/s pendant toute la chute.
B. 300 m pendant les 10 premières secondes puis 50
m/s.
A. C’est le moins expérimenté qui a la priorité.
B. C’est le plus expérimenté qui a la priorité. 62.
A. De 50 m/s, elle peut dépasser 70 m/s en piqué ou
57. tête en bas.
A. B. De 50 m/s et ne dépasse jamais 60 m/s.
quelles que soient les circonstances.
B. Il est possible de se poser avec un léger vent de 63. -
travers.
C. Il vaut mieux se poser vent arrière que vent de A. 400 m de hauteur.
travers. B. 550 m de hauteur.
C. 700 m de hauteur.
58.
A. De se poser au centre de la zone prévue. 64.
B. De se poser en premier. A.
C. De se poser le plus près possible des autres. B.
D. De se poser avec une trajectoire dégagée en
gardant une distance de sécurité avec les autres 65.
voilures.
A.
B.
59.
A. 66.
B. Face au vent, éventuellement en sens contraire
A.
par rapport aux autres.
B.
C.
67.
observer.
A.
B. Surtout le vent au sol.
C.
Page 142
68. 74.
une séance de sauts sont.
A. Uniquement le vent au sol. A.
B. Uniquement le vent et le risque orageux. B. -
C.
D. C.
le risque orageux. espacer davantage les départs.
69. 75.
A. Au vent du terrain, d’autant plus loin que le vent
A.
B. Au vent du terrain, d’autant moins loin que le vent B. -
71. 77.
A. Partent généralement en premier de l’avion.
A. B. Partent généralement en dernier de l’avion.
B. Espacer un peu moins les départs pour compen- C. La hauteur d’ouverture n’a pas d’importance pour
ser la vitesse sol de l’avion. l’ordre des départs.
C.
78.
72. A. En premier.
A. Espacer un peu moins les départs que par vent B. En dernier.
C. C’est sans importance.
B.
C. - 79.
ner l’espacement des départs.
haut.
73. A.
B.
A. Espacer les départs au maximum de 5 secondes. l’axe de largage.
B. Espacer les départs d’au moins 7 secondes.
C.
entre chaque départ.
Page 143
A. Dans le sens des aiguilles d’une montre.
A. B. Dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.
B.
C. - 89.
A. Montantes.
81. B. Descendantes.
A.
B.
C. A. Montantes.
B. Descendantes.
82. 91.
A.
B. A. De la terre vers la mer.
C. B. De la mer vers la terre.
92.
83. A. De la brise de mer.
B. De la brise de terre.
A. -
menter l’espacement entre les départs. 93. Les brises sont des vents.
B. - A. Bien établis, qui changent lentement.
minuer l’espacement entre les départs. B.
C. -
menter l’espacement entre les départs. C.
D. - de temps.
nuer l’espacement entre les départs.
84.
A. Du nord vers le sud.
B. Du sud vers le nord.
85.
A. 0,5 km/h.
B. 2 m/s.
C. 1,8 km/h.
86.
87.
88.
des dépressions.
Page 144
94.
A. Ne présente aucun danger.
A. B. Est dangereux.
ensoleillé.
B.
ensoleillé. A.
C. B.
couvert. C. S’il y a une accalmie de vent, c’est que le risque
D. d’orage a disparu.
95.
A. A. On peut sauter tant qu’il ne pleut pas.
B. B. On peut sauter tant que le vent ne dépasse pas la
limite réglementaire.
96. C.
des éclairs ou du tonnerre.
A.
B.
A. En hiver.
97. B. Au printemps et en été.
A. La vitesse du vent augmente.
B. La vitesse du vent diminue.
C. A. La nuit.
B.
98. C. L’après-midi.
A. Au vent des obstacles.
B. Sous le vent des obstacles. En atmosphère standard.
A.
99. Par vent fort. B.
A. On risque de rencontrer des turbulences près du C.
sol.
B. Il n’y a jamais de turbulences si le vent est En atmosphère standard.
laminaire. A. La pression est de 1013 hPa au sol.
C. B. La pression est de 1013 hPa au niveau de la mer.
A. A. La hauteur.
B.
B. C. Un niveau de vol.
C.
Page 145
118.
secours est de.
A. La hauteur. A. 3 mois.
B. B. 6 mois.
C. Un niveau de vol. C. 1 an.
119.
A. Par tout le monde.
A. B.
B.
C. Pour sauter en parachute.
A.
111. obligatoire.
B.
A.
B. 121.
C. A. Doit pouvoir présenter ses brevets et
112. - B.
technique.
A. La pression a baissé.
B. La pression a augmenté. 122. Le carnet de sauts.
C. A.
B.
113. - qu’il soit signé.
C.
A. La pression a baissé.
B. La pression a augmenté.
C.
114.
séances de sauts sont de.
A.
B.
C.
115. -
A. Est obligatoire.
B.
C. Est obligatoire uniquement pour les moniteurs.
116.
A.
B.
117.
A. L’assurance uniquement.
B. Le carnet de sauts uniquement.
C. L’assurance, le carnet de sauts et le livret du
parachute.
Page 146
Page 147
1 A 42 A 83 D
2 B 43 B 84 A
3 B 44 A 85 C
4 A 45 B 86 A
5 B 46 A 87 A
6 B 47 A 88 B
7 C 48 A 89 A
8 C 49 B 90 B
9 A 50 B 91 B
10 B 51 A 92 B
11 B 52 C 93 C
12 D 53 C 94 A
13 A 54 B 95 A
14 A 55 A 96 B
15 A 56 A 97 A
16 A 57 B 98 B
17 A 58 D 99 A
18 B 59 A 100 C
19 C 60 B 101 B
20 B 61 B 102 B
21 B 62 A 103 C
22 B 63 B 104 B
23 B 64 B 105 C
24 B 65 A 106 B
25 B 66 C 107 B
26 B 67 A 108 A
27 A 68 D 109 B
28 C 69 A 110 C
29 C 70 B 111 A
30 D 71 C 112 B
31 B 72 B 113 A
32 A 73 B 114 C
33 A 74 C 115 A
34 D 75 C 116 B
35 B 76 A 117 C
36 B 77 B 118 C
37 B 78 A 119 B
38 B 79 B 120 A
39 C 80 B 121 A
40 A 81 A 122 A
41 B 82 A
Page 148
Emmanuel ARS : images 3D page 21.
Ainsi que toutes les personnes qui ont bien voulu en assurer la relecture.