𝑔.sin 𝛼 𝑔 𝐿.𝑔
(1) et (2) ⟹ 𝜔 = √ = √ donc : 𝑣 = (√ ) . sin 𝛼
R.cos 𝛼 L.cos 𝛼 cos 𝛼
2. Equation horaire.
𝑔
Dans le cas de petites oscillations on a : sin 𝜃 ≈ 𝜃 ⟹ 𝜃̈ + .𝜃 = 0
𝐿
𝑔
La solution de cette équation est :𝜃(𝑡) = 𝜃𝑚 . cos(𝜔0 . 𝑡 + 𝜑) avec 𝜔0 = √
𝐿
EXERCICE : 3 :
1. Equation portant sur v(t).
On étudie la pièce sphérique dans le référentiel terrestre supposé galiléen. Ce système est soumis, à
l'intérieur du bassin, à trois forces :
• son poids : ⃗⃗⃗
𝑃 = 𝑚. 𝑔
4
• la poussée d'Archimède : 𝜋 ⃗ 𝐴 = −𝜇. .𝜋. 𝑎3 . 𝑔
3
⃗⃗⃗
• la force de viscosité : 𝑓 = −𝑘. 𝑣
4 ⃗
𝑑𝑣
La relation de la dynamique s'écrit : 𝑚. 𝑔 − 𝜇. .𝜋. 𝑎3 . 𝑔 − 𝑘. 𝑣 = 𝑚.
3 𝑑𝑡
La projection suivant l'axe Oz orienté verticalement vers le bas donne :
4 𝑑𝑧̇ 𝑑𝑧̇ 𝑘 4 𝜋
𝑚. 𝑔 − −𝜇. .𝜋. 𝑎3 . 𝑔 − 𝑘. 𝑧̇ = 𝑚. 𝑧̈ = 𝑚. ⟹ + . 𝑧̇ = 𝑔. (1 − 𝜇. . . 𝑎3 )
3 𝑑𝑡 𝑑𝑡 𝑚 3 𝑚
𝑘 𝑚.𝑔 4 𝜋 3
La solution de cette équation est : 𝑧̇ = 𝐶. 𝑒𝑥𝑝 (− . 𝑡) + (1 − 𝜇. . . 𝑎 )
𝑚 𝑘 3 𝑚
Le second terme de l'expression précédente correspond à la valeur de la vitesse limite car le
4 𝜋
terme (1 − 𝜇. . . 𝑎3 ) est positif, ce qui implique que pour toute date 𝑧̇ est égal à la valeur de la vitesse.
3 𝑚
𝑘
On obtient :𝑣 = 𝑧̇ = 𝐶. 𝑒𝑥𝑝 (− . 𝑡) + 𝑣𝐿
𝑚
𝑘
Comme à t = 0, on a : 𝑣(0) = 𝑣0 = 𝐶 + 𝑣𝐿 ⟹ 𝐶 = 𝑣0 − 𝑣𝐿 ⟹ 𝑣 = (𝑣0 − 𝑣𝐿 ). 𝑒𝑥𝑝 (− . 𝑡) + 𝑣𝐿
𝑚
2. Loi z(t).
𝑡 𝑡 𝑘 𝑡
𝑧(𝑡) = ∫0 𝑣. 𝑑𝑡 = (𝑣0 − 𝑣𝐿 ). ∫0 𝑒𝑥𝑝 (− . 𝑡) . 𝑑𝑡 + ∫0 𝑣𝐿 . 𝑑𝑡
𝑚
𝑚 𝑘
⟹ 𝑧(𝑡) = . (𝑣0 − 𝑣𝐿 ). (1 − 𝑒𝑥𝑝 (− . 𝑡)) + 𝑣𝐿 . 𝑡
𝑘 𝑚
3. Durée de chute.
𝑚 𝑘
A la date T, 𝑧(𝑡) = ℎ − 2𝑎, d'où : ℎ − 2𝑎 = . (𝑣0 − 𝑣𝐿 ). (1 − 𝑒𝑥𝑝 (− . 𝑇)) + 𝑣𝐿 . 𝑇
𝑘 𝑚
En opérant un développement limité à l'ordre 2 :
𝑚 𝑘 𝑘2
ℎ − 2𝑎 ≈ . (𝑣0 − 𝑣𝐿 ). (1 − 1 + .𝑇 − . 𝑇 2 ) + 𝑣𝐿 . 𝑇
𝑘 𝑚 𝑚2
2.𝑚.𝑣0 2.𝑚
On obtient en réorganisant suivant les puissances de T : 𝑇 2 + .𝑇 − . (ℎ − 2𝑎)
𝑘.(𝑣𝐿 −𝑣0 ) 𝑘.(𝑣𝐿 −𝑣0 )
𝑇 = 0,55 𝑠
EXERCICE : 4 :parabole de sureté
Choix du système étudié : la masse m.
Repère : On se place dans un référentiel galiléen, lié au sol.
On le munit d’un axe (OZ) dirigé vers le haut, avec un vecteur
unitaire 𝑒𝑧 dirigé vers le haut
Bilan des forces exercées sur le système :
poids : ⃗⃗⃗
𝑃 = 𝑚. 𝑔 = −𝑚. 𝑔. 𝑒𝑧
1. La relation fondamentale de la dynamique, appliquée à la
⃗⃗⃗ =−𝑚. 𝑔. 𝑒𝑧 = 𝑚. 𝑎
masse m, s’écrit : 𝑃
𝑑2𝑥 𝑑2𝑧
soit en explicitant les coordonnées de ces deux vecteurs,(𝑥̈ = 0; 𝑧̈ = −𝑔) ou( = 0; = −𝑔)
𝑑𝑡 𝑑𝑡
On intègre une première fois par rapport au temps :
(𝑥̇ = 𝐶 𝑡𝑒 = 𝑣0𝑥 = 𝑣0 . cos 𝛼 ; 𝑧̇ = −𝑔. 𝑡 + 𝐶 𝑡𝑒 = −𝑔. 𝑡 + 𝑣0𝑧 = −𝑔. 𝑡 + 𝑣0 . sin 𝛼)
On intègre de nouveau pour avoir la position :
1
(𝑥(𝑡) = 𝑣0 . cos 𝛼 . 𝑡 + 𝑥0 ; 𝑧(𝑡) = − . 𝑔. 𝑡 2 + 𝑣0 . sin 𝛼. 𝑡 + 𝑧0 ) avec
2
(𝑥0 = 0; 𝑧0 = 0)
Pour obtenir l’équation de la trajectoire (𝑧 en fonction de 𝑥), il faut
𝑥
éliminer 𝑡 , on peut exprimer 𝑡 en fonction de 𝑧 : 𝑡 = et remplacer
𝑣0 .cos 𝛼
−𝑔 2
dans l’expression de 𝑧, ce qui donne : 𝑧 = .𝑥 +tan 𝛼 . 𝑥
2.(𝑣0 .cos 𝛼)2
C’est l’équation d’une parabole :
2. La portée du tir est la distance au bout de laquelle le projectile atteint le sol. C’est la coordonnée 𝑥 = 𝑑
−𝑔 2
pour laquelle 𝑧 = 0 . Il faut résoudre 𝑧 = 0 , soit : 𝑧 = 0 = 2 .𝑑 +tan 𝛼 . 𝑑 2.(𝑣0 .cos 𝛼)
La solution 𝑑 = 0 ne nous intéresse pas, elle correspond au point de lancer du projectile, on sait déjà que la
−𝑔
trajectoire passe par ce point. En divisant par 𝑑 on trouve donc : 0 = 2 .𝑑+tan 𝛼. 2.(𝑣0 .cos 𝛼)
2.𝑣02 2.𝑣02 𝑣02
Soit : 𝑑 = . (cos 𝛼)2 . tan 𝛼 = . cos 𝛼 . sin 𝛼 = . sin 2𝛼
𝑔 𝑔 𝑔
𝜋
Cette portée est maximale lorsque le sinus est maximal, c.à.d. lorsqu’il vaut 𝛼 = et la portée maximale
4
𝑣02
vaut 𝑑𝑚𝑎𝑥 = .
𝑔
−𝑔
3. Connaissant la trajectoire : 𝑧 = .𝑥 2 +tan 𝛼 . 𝑥
2.(𝑣0 .cos 𝛼)2
On cherche la valeur maximale de 𝑧 (la flèche h) qui peut être atteinte. Pour cela, on cherche la valeur 𝑥 de
pour laquelle la dérivée de 𝑧 s’annule (il s’agit bien d’un maximum car l’équation précédente décrit une
parabole à la concavité tournée vers le bas). En dérivant l’équation précédente par rapport à 𝑥, on a :
𝑑𝑧 −𝑔 𝑣02 𝑣02
= 0 = (𝑣 .𝑥+tan 𝛼 soit : 𝑥 = . (cos 𝛼)2 . tan 𝛼 = . sin 2𝛼
𝑑𝑥 0 .cos 𝛼)2 𝑔 2.𝑔
On remarque que l’altitude maximale est atteinte à la moitié de la portée du tir, comme on pouvait s’y
attendre intuitivement. En reportant cette valeur dans la trajectoire, on trouve l’altitude au sommet de
2
−𝑔 𝑣02 𝑣02
la trajectoire parabolique : 𝑧𝑠𝑜𝑚𝑒𝑡 = ℎ = 2 .( . sin 2𝛼) +tan 𝛼 . ( . sin 2𝛼),
2.(𝑣0 .cos 𝛼) 2.𝑔 2.𝑔
𝑣02 𝜋
soit finalement : 𝑧𝑠𝑜𝑚𝑒𝑡 = ℎ = . (sin 𝛼)2 . Cette altitude est maximale lorsque le sinus vaut 1, pour 𝛼 =
2.𝑔 2
𝑣02
(tir à la verticale), 𝑧𝑚𝑎𝑥 =
2.𝑔
4. Soit un point de coordonnées (𝑋, 𝑍). Ce point peut-il être atteint par un lancer à la vitesse 𝑣0 ? Cette
question revient à se demander s’il existe une valeur de 𝛼 pour laquelle l’équation :
−𝑔 1
𝑍= .𝑋 2 +tan 𝛼 . 𝑋 est vérifiée, 𝑋 et 𝑍 étant fixés. En remarquant que : (cos = 1 + (tan 𝛼)2
2.(𝑣0 .cos 𝛼)2 𝛼)2
−𝑔.𝑋 2 𝑔.𝑋 2
l’équation à résoudre s’écrit : − . (tan 𝛼)2 + 𝑋. tan 𝛼 − 𝑍 = 0 où l’inconnue 𝛼 est ou mieux,
2.(𝑣0 )2 2.(𝑣0 )2
tan 𝛼. C’est une équation du second degré en tan 𝛼, récrivons-là de manière plus explicite,
𝑔.𝑋 2 𝑔.𝑋 2
− . (tan 𝛼)2 + 𝑋. tan 𝛼 − − 𝑍 = 0 . Elle n’a de solution que
2.(𝑣0 )2 2.(𝑣0 )2
𝑔.𝑋 2 𝑔.𝑋 2
si le discriminant ∆ est positif : ∆= 𝑋 2 − 4. 2 . ( + 𝑧) ≥ 0 Il
2.(𝑣0 ) 2.(𝑣0 )2
𝑔2 .𝑋 2 2.𝑔.𝑍
faut donc que : (1 − )− ≥0
𝑣04 𝑣02
Ceci est l’intérieur d’une parabole qu’on appelle parabole de sûreté,
𝑣02 𝑔
définie par : 𝑍 = − . 𝑋2
2.𝑔 2.𝑣02
Elle est représentée ci-contre, c’est l’enveloppe de toutes les trajectoires
ayant une vitesse initiale donnée.
On retrouve le fait que pour 𝑋 = 0, le point le plus haut qui puisse être
𝑣02
atteint est à 𝑍 = (ce qu’on avait trouvé à la question 3) De même, le
2.𝑔
𝑣02
point le plus lointain qui puisse être atteint en 𝑍 = 0 est à 𝑋 = (voir la question 2).
𝑔
EXERCICE : 5 :
𝑣0 = 0 ⃗ ⟹ (𝑣0𝑥 = 𝑥̇ 0 = 0, 𝑣0𝑦 = 𝑦̇ 0 = 0, 𝑣0𝑧 = 𝑧̇0 = 0)
1. conditions initiales(C.I) :{ }
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑀0 = 0 ⃗ ⟹ (𝑥0 = 0, 𝑦0 = 0, 𝑧0 = 0)
1.1. La relation de la dynamique s'écrit : 𝐹 = 𝑚. 𝑎 ⟹ 𝑞. (𝐸⃗ + 𝑣 Ʌ𝐵 ⃗ ) = 𝑚. 𝑎
Avec : 𝑎 = 𝑥̈ 𝑒𝑥 + 𝑦̈ 𝑒𝑦 + 𝑧̈ 𝑒𝑧 ; 𝐸⃗ = 𝐸𝑒𝑦 ; 𝑣 = 𝑥̇ 𝑒𝑥 + 𝑦̇ 𝑒𝑦 + 𝑧̇ 𝑒𝑧 ; 𝐵⃗ = 𝐵𝑒𝑧
D’ou (𝑣 Ʌ𝐵 ⃗ = 𝐵. 𝑦̇ . 𝑒𝑥 − 𝐵. 𝑥̇ . 𝑒𝑦 + 0. 𝑒𝑧 )
∗ selon (OZ) : 𝑚. 𝑧̈ = 0 ⟹ 𝑧̈ = 0 ⟹ 𝑧̇ = 𝐶 𝑡𝑒 = 𝑧̇0 = 0 ⟹ 𝑧 = 𝐶 𝑡𝑒 = 𝑧0 = 0
donc le m.v.t se fait dans le plan (OXY) c.à.d. perpendiculaire au champ 𝐵 ⃗
𝑞𝐵
𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 (𝑂𝑋): 0 + 𝑞𝐵𝑦̇ = 𝑚. 𝑥̈ 𝑥̈ = . 𝑦̇ 𝑥̈ = 𝜔. 𝑦̇ 𝑞𝐵
𝑚
∗{ }⟹{ 𝑞𝐵 𝑞𝐸 } ⟹ { 𝐸 } 𝑎𝑣𝑒𝑐: 𝜔 =
𝑠𝑒𝑙𝑜𝑛 (𝑂𝑌): 𝑞. 𝐸 − 𝑞𝐵𝑥̇ = 𝑚. 𝑦̈ 𝑦̈ = − . 𝑥̇ + 𝑦̈ = −𝜔. 𝑥̇ + 𝜔.
𝐵
𝑚
𝑚 𝑚
𝑑𝑥̇ 𝑑 2 𝑥̇ 𝑑𝑦̇ 𝑑 2 𝑥̇ 𝐸
𝑥̈ = = 𝜔. 𝑦̇ = 𝜔. = 𝜔. (−𝜔. 𝑥̇ + 𝜔. )
𝑑𝑡 𝑑𝑡 2 𝑑𝑡 𝑑𝑡 2 𝐵
{ 𝑑𝑦̇ 𝐸
} (𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑟𝑖𝑣𝑒) ⟹ {𝑑2 𝑦̇ 𝑑𝑥̇
} ⟹ { 𝑑2𝑦̇ }
𝑦̈ = = −𝜔. 𝑥̇ + 𝜔. = −𝜔. = −𝜔. (𝜔. 𝑦̇ )
𝑑𝑡 𝐵 𝑑𝑡 2 𝑑𝑡 𝑑𝑡 2
𝑑 2 𝑥̇ 𝐸
2 + 𝜔2 . 𝑥̇ = 𝜔2 . (1)
⟹ { 𝑑𝑑𝑡2 𝑦̇ } 𝐵
2
+ 𝜔 . 𝑦̇ = 0 (2)
𝑑𝑡 2
1.2. l’équation (2) : la solution s’écrit sous la forme : 𝑦̇ (𝑡) = 𝑎1 . cos 𝜔𝑡 + 𝑏1 . sin 𝜔𝑡
𝑏
C.I : 𝑦̇ (𝑡 = 0) = 𝑦̇ 0 = 0 = 𝑎1 d’ou 𝑦̇ (𝑡) = 𝑏1 . sin 𝜔𝑡 (𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑡è𝑔𝑟𝑒): 𝑦(𝑡) = − 1 . cos 𝜔𝑡+𝐶1
𝜔
𝑏1 𝑏1 𝑏1
(𝐶1 ≡constante) encore C.I : 𝑦(𝑡 = 0) = 𝑦0 = 0 = − + 𝐶1 d’ou 𝐶1 = donc 𝑦(𝑡) = . (1−. cos 𝜔𝑡)
𝜔 𝜔 𝜔
𝒃𝟏
Conclusion : (𝒚̇ (𝒕) = 𝒃𝟏 . 𝐬𝐢𝐧 𝝎𝒕) et (𝒚(𝒕) = . (𝟏−. 𝐜𝐨𝐬 𝝎𝒕))
𝝎
𝑑𝑥̇
Or = 𝜔. 𝑦̇ = 𝑏1 . 𝜔. sin 𝜔𝑡 ⟹ 𝑥̇ (𝑡) = −𝑏1 . cos 𝜔𝑡 + 𝐶2 (𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑚𝑒 𝐶2 ≡ constante)
𝑑𝑡
C.I : 𝑥̇ (𝑡 = 0) = 𝑥̇ 0 = 0 = −𝑏1 + 𝐶2 ⟹ 𝐶2 = 𝑏1 d’ou 𝑥̇ (𝑡) = 𝑏1 (1−. cos 𝜔𝑡)
1
(𝑜𝑛 𝑖𝑛𝑡è𝑔𝑟𝑒): 𝑥(𝑡) = 𝑏1 (𝑡 − . sin 𝜔𝑡)+𝐶3 (𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑚𝑒 𝐶3 ≡ constante)
𝜔
1 𝑏1
𝑥(𝑡 = 0) = 𝑥0 = 0 = 𝐶3 donc 𝑥(𝑡) = 𝑏1 (𝑡 − . sin 𝜔𝑡) = (𝜔. 𝑡 − sin 𝜔𝑡)
𝜔 𝜔
𝒃𝟏
Conclusion : (𝒙̇ (𝒕) = 𝒃𝟏 (𝟏−. 𝐜𝐨𝐬 𝝎𝒕)) et (𝒙(𝒕) = . (𝝎. 𝒕−. 𝐬𝐢𝐧 𝝎𝒕))
𝝎
𝑑𝑦̇ 𝐸
Revenons à l’équation (𝑦̈ = = −𝜔. 𝑥̇ + 𝜔. ) pour trouver l’expression de 𝑏1 :
𝑑𝑡 𝐵
𝐸 𝐸 𝐸
𝑏1 . 𝜔. cos 𝜔𝑡 = −𝜔. 𝑏1 (1−. cos 𝜔𝑡) + 𝜔. ⟹ 𝜔. 𝑏1 = 𝜔. d’ou 𝑏1 =
𝐵 𝐵 𝐵
𝑬
𝒙(𝒕) = . (𝝎. 𝒕−. 𝐬𝐢𝐧 𝝎𝒕)
𝑩.𝝎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ {
Finalement on trouve le vecteur position :𝑂𝑀 𝑬 } le m.v.t de l’électron est
𝒚(𝒕) = . (𝟏−. 𝐜𝐨𝐬 𝝎𝒕)
𝑩.𝝎
𝒛(𝒕) = 𝟎
cycloïde
1.3.
1 𝐸
𝑥(𝑡) = ( − 𝑣0 ) (𝜔𝑡 − sin 𝜔𝑡) + 𝑣0 . 𝑡
𝜔 𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Finalement on trouve le vecteur position :𝑂𝑀 1 𝐸
𝑦(𝑡) = ( − 𝑣0 ) . (1−. cos 𝜔𝑡)
𝜔 𝐵
{𝑧(𝑡) = 0 }
2.2. pour que le m.v.t de l’électron soit rectiligne uniforme selon l’axe (OX) c.à.d. 𝑥(𝑡) = 𝑣0 . 𝑡
𝐸 𝐸
Il faut que ( − 𝑣0 ) = 0 donc 𝑣0 = 𝑣0𝐶 =
𝐵 𝐵
2.3. d’après le principe d’inertie (ou 3é𝑚𝑒 loi de NEWTON : 𝑣 = 𝑣0 = 𝐶 𝑡𝑒 ⟹ 𝑎 = 0 ⃗)
𝐹 = 𝑞. (𝐸⃗ + 𝑣 Ʌ𝐵 ⃗ ) = ⃗0 ⟹ 𝐸⃗ + 𝑣0 Ʌ𝐵⃗ = ⃗0 ⟹ 𝐸 = 𝑣0 . 𝐵 = 𝑣0𝐶 . 𝐵