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Introduction

Situation

Historique

A Madagascar, c’est le Code Civil Français avant 1960 qui régit la classification des biens.
Son application est lassée à l’appréciation souveraine des juridictions. De plus, les
dispositions reproduites de ce présent code sont encore applicables en vertu de la loi n° 60-
009 du 9 juillet 1960 portant approbation des Accords paraphés le 2 avril 1960 et signés le 27
juin 1960 entre le Gouvernement de la République Française et le Gouvernement de la
République Malagasy, qui un accord de coopération en matière de justice qui stipule que : « A
défaut de textes malagasy, les dispositions législatives et réglementaires du droit français, en
vigueur à Madagascar à la date à laquelle prend effet le présent accord, continuent à être
appliquées par les juridictions malagasy ». Paru au Journal Officiel de la République
Française, du 20 Juillet 1960, à la page n°6616 ; et dans le Journal Officiel de la République
Malagasy n°107 du 09 Juillet 1960, à la page n°1163.

A Madagascar, grâce à l’accord de coopération en matière de justice, c’est le Code Civil


Français avant 1960 qui régit la classification des biens. Cet accord stipule qu’à défaut de
textes Malagasy, les dispositions législatives et règlementaires du droit français, en vigueur à
la date de l’

Intérêt

Aussi, l’intérêt du sujet se pose sur la raison d’être de la distinction de ses biens. Ou bien
encore, pourquoi opère-t-on une distinction entre ses biens?

Problématique

Ainsi, la question qui surgisse à l’esprit est : comment se fait cette distinction entre ses biens
en droit civil ? En quels sont les outils de distinction ?

Annonce du plan

Pour une bonne compréhension du devoir, il faut savoir que dans la classification des biens en
droit civil, il y a eu deux distinctions, qui opposent les choses fongibles et non fongibles (I)
et l’autre qui oppose les biens consomptibles et non consomptibles (II).
I. Chose fongible et chose non-fongible
Il convient de définir les notions de chose qu’elles soient fongible ou non fongible. Alors,
une chose est dite fongible (ou choses de genre) lorsqu’elle se définie au genre auquel elle
appartient. Elle peut sans inconvénient être remplacée le une par l’autre. Ces choses ont un
caractère interchangeable. Il s’agit de biens qui ne peuvent pas être individualisés. Tandis
qu’une chose est dite non fongible (ou corps certains) lorsqu’elle possède un caractéristique
bien distinct des autres. Donc, elle n’est pas susceptible d’être interchangée par d’autre et peut
être individualisée.
-----Phrase introduisant (A) et (B) : L’identification d’une chose, qu’elle soit fongible
ou non fongible repose sur un critère (A) car cela importe beaucoup par rapport au régime
applicable (B).
A. Critère de distinction
Le critère de distinction de ces biens se pose sur leur caractère interchangeable ou/et
leur caractère propre ou individuel. Ici, on parle de bien susceptible d’être interchangée par
d’autre de même genre. Il faut noter que ses biens seront désignés par leurs espèces et leurs
quantités. Aussi, les biens fongibles peuvent être restitués en même quantité et en même
nature sans que l'on demande qu'ils soient exactement ceux que l'on avait mis en dépôt,
comme le dépôt d'argent à la banque, on ne va pas demander à cette dernière nous restitue les
billets déposés, mais seulement la somme équivalente au dépôt.
Par contre, un bien qui possède des caractéristiques propres ou individuelles

B. Intérêt de la distinction

Sur la perte :

Ce qui importe dans cette distinction, c’est la restitution de ses biens. Aussi, le
caractère fongible de la chose permettra le remplacement de cette dernière par une chose
semblable et par là de la restituer. Par contre, la substitution est impossible lorsqu’il s’agit
d’un corps certain ou chose non fongible, aucun remplacement n’est concevable. Dans ce cas
donc la perte de la chose ne peut se résoudre qu’en dommages et intérêts.

Sur la vente :

L’autre intérêt de la distinction se révèle dans le cas de la vente de la chose.

----Phrase de transition vers (II)


II. Bien consomptible et non-consomptible

------Phrase introduisant (A) et (B)

A. Critère de distinction

B. Intérêt de la distinction

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