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INGENIERIE GÉNÉRALE
MAITRISE D’ŒUVRE
HOSPITALIER DE
ASSISTANCE MAITRISE D’OUVRAGE
EXPERTISE
BATIMENT
INDUSTRIE
MEAUX
CUISINES COLLECTIVES
PISCINES PUBLIQUES
Serveur d’appel
Tél. : 05 59 33 75 25 RESTRUCTURATION
Fax : 05 59 33 15 69
E-mail :
STOCKAGE PHARMACIE
gruet.ing@gruetingenierie.com
Web : EN SERVICES TECHNIQUES
www.gruetingenierie.com
Ile-de-France
183, av Georges Clémenceau
92000 NANTERRE
Aquitaine
Parc Innolin
3, rue du Golf
CCTP
33700 MÉRIGNAC
Côte Basque
Centre d’Affaire
International Aéroport
64200 BIARRITZ
ELECTRICITE – COURANTS
Midi-Pyrénées
FAIBLES ET FORTS
Le Maranel
19, rue Jean Borotra
81000 ALBI LOT 6
Caraïbes
OTG Lot Cabassou 1 AVRIL 2010 (n°209729)
Bât G – C22
97300 CAYENNE
I. - PRESCRIPTIONS GÉNÉRALES
Les installations devront être conformes aux règles de l'art, décrets, arrêtés, et normes en vigueur. En
conséquence, l'entrepreneur sera tenu de se conformer aux prescriptions contenues dans ces
documents, et en particulier :
Cette énumération, indicative et non limitative, n'exclut pas les textes ou règlements particuliers à des
spécialités déterminées, ou à des cas d'espèce.
Les documents, textes et règlements applicables au projet sont ceux à ce jour en vigueur à la date de
soumission. Dans le cas où un point du projet ne serait pas conforme à une publication en vigueur,
l'entreprise devra le signaler au Maître d'Oeuvre, avant la remise de son offre.
Tous les frais d'une modification du projet, une fois le marché passé, seront à la charge de
l'entreprise. Si, en cours de travaux, de nouveaux documents entraient en vigueur, l'entreprise devrait
établir un avenant correspondant aux modifications de façon à livrer à la mise en service une
installation conforme aux dernières dispositions.
Toute installation non conforme avec la nouvelle réglementation en fin de chantier serait totalement
refusée.
L'entrepreneur devra respecter les directives de la norme C.15.100. Les chutes de tension maximale
entre les bornes BT du transformateur et les points les plus éloignés de la distribution seront répartis
comme suit :
* 3 % pour l'éclairage
La détermination de la section des conducteurs sera élaborée en fonction : des chutes de tension ci-
dessus précisées, des directives des tableaux de la norme C.15.100.
A l'exception des installations à courant faible, en aucun cas la section des conducteurs ne sera
inférieure à :
1,5 mm² CU pour les circuits d'éclairage, circuits de commande, alimentations de faible puissance.
2,5 mm² CU pour les prises de courant 10/16 A.
4 mm² CU pour les prises de courant 20 A.
6 mm² CU pour les terminaux de branchement 32 A.
1.2.3. - PROTECTION - POUVOIR DE COUPURE
. Les surcharges
. Les courts-circuits
. Les défauts d'isolement
La protection sera omnipolaire, chaque conducteur actif étant protégé en fonction de sa section.
L'appareil choisi pour la protection devra, obligatoirement disposer du pouvoir de coupure au moins
égal au courant de court circuit susceptible de se développer en aval compte tenu de l'impédance de
ligne.
Si l'appareil retenu ne possède pas de pouvoir de coupure suffisant, il sera associé à un jeu de
fusibles à haut pouvoir de coupure. Si le circuit protégé aboutit à des machines tournantes, la fusion
d'un fusible entraînera l'ouverture de l'appareil de coupure omnipolaire.
Les petits disjoncteurs seront le cas échéant de courbe B, C, D, K, Z selon les indications des schémas
ou l'utilisation :
* Sélectivité
Le choix des disjoncteurs doit permettre la sélectivité totale entre le TGBT et une armoire divisionnaire
ou entre cette armoire divisionnaire et le coffret de zone.
L'entrepreneur s'attachera à obtenir une sélectivité la plus totale possible de telle façon qu'une
surcharge ou un court-circuit soient arrêtés au niveau de la protection située immédiatement en
amont.
L'entrepreneur soumettra une étude de sélectivité qui démontrera qui si, exceptionnellement, il ne
pouvait y parvenir, aucun appareil de coupure ne puisse souffrir d'un passage accidentel d'un courant
de court-circuit qui a pris naissance en aval de lui.
* Filiation
La filiation reste proscrite dans le choix des disjoncteurs. Chaque disjoncteur doit supporter seul
l'intensité de court-circuit à laquelle il est soumis.
L'éclairage devra être réalisé au moyen d'appareils de bonne conception, de fabrication robuste et
courante, faciles à nettoyer, de bon rendement, avec répartition convenable du flux lumineux
(éclairage direct ou semi-direct). Ils seront du type à incandescence ou fluorescence, montage duo
compensé, suivant l'usage des locaux à éclairer.
Les commandes d'éclairage seront individualisées par locaux et incluses dans ces locaux. Elles
pourront être assurées par l'intermédiaire d'un télérupteur, lorsqu'il y aura plus de deux points de
commande d'un même circuit ou lorsqu'il s'agira de commander tous circuits d'éclairage dans des
locaux situés en zone modulable.
NOTA : dans les locaux principaux, l'éclairage doit procurer aux utilisateurs, un confort leur permettant
d'exécuter de façon satisfaisante, l'ensemble des activités qui leur est demandé. La réalisation
pratique de ces conditions implique :
. un entretien assuré
Les niveaux d'éclairement seront ceux définis par les luminaires sur les plans d’implantation.
Sauf indication contraire, il y aura au maximum séparément par circuit terminal huit prises de courant
banalisées monophasées 10/16A, huit petits appareillages divers (ventilateurs, etc.) et un nombre de
points lumineux égal à huit en incandescent et égal en fluorescent à :
COURANTS FORTS
COURANTS FAIBLES
Avant réalisation des extensions, une identification des réseaux existants sera effectuée par le
présent lot. Un piquetage obligatoire de la zone avant intervention pour voir si présence de câble.
Pour les interventions sur ouvrages électriques, les interventions s’effectueront par du personnel
habilité conformément à la norme C 18 510. Une protection de 30 mA sera mise en place en tête de
disjoncteur. Un contrôle d’absence de tension sera effectué avant toute intervention
Le présent lot devra préalablement avoir repéré les tenants et aboutissants de manière à prévoir tous
les départs à créer dans le cadre du projet mais également la reprise des départs alimentant d’autres
secteurs non impactés par les travaux.
Les TD seront composés de matériel neuf, ils seront installés dans les gaines techniques respectives
par zone, ils répondront au descriptif et respecteront les éléments suivants :
La coupure d’urgence des TD sera placée à l’extérieur du local électrique et non accessible au
public,
CONSTITUTION TD :
L’enveloppe sera avec portes pleines fermant à clé et gaines à câbles, le tout intégrant du matériel
modulaire et autre.
Tous les départs de section inférieure à 6mm2 seront ramenés sur bornes avec une réserve
d’emplacement de 30% pour extensibilité.
Les TD sont chargés d’alimenter la totalité des besoins électriques éclairage, prises de courant et
alimentations de la zone qu’ils desservent.
- La coupure générale :
. 1 interrupteur général au calibre idem alimentation.
Equipé d’une bobine MX (coupure arrêt d’urgence),
Equipé des contacts auxiliaires position/défaut ramenés sur bornes (alarme
technique),
. Y compris toutes sujétions.
- La protection commandes :
. 1 disjoncteur protection commande générale 2x10A différentiel 300mA.
Equipé des contacts auxiliaires position/défaut ramenés sur bornes (alarme
technique).
. Y compris toutes sujétions d’asservissement et d’équipement divers.
Il sera compris les schémas de câblage dans une pochette de rangement avec la mention DOE
(Dossier d’Ouvrage Exécuté).
2.4. - DISTRIBUTION
2.4.1. - GENERALITES
Les courants forts et faibles chemineront séparément, en respectant une distance minimum de 30cm.
La distribution principale entre les divers tableaux divisionnaires, cheminera sur chemins de câbles
type galvanisé à chaud, et mis en œuvre soigneusement et attachés par des colliers.. La fourniture, la
pose et les raccordements des câbles d’alimentation type U 1000 R2V seront à la charge du présent
lot.
La distribution des circuits secondaires (éclairage, PC,. Terminaux divers...) sera réalisée par câbles
HO7 VU cheminant sous fourreaux encastrés en dalle ou cloison. Le cas échéant, il pourra être fait
usage de câbles pour les parcours en faux-plafond. Dans ce cas, il sera exclusivement utilisé du câble
de série U 1000 R2V qui chemineront sur chemins de câbles type galvanisé à chaud, et mis en œuvre
soigneusement et attachés par des colliers Rilsan.
Le titulaire devra mettre en œuvre des liaisons de télécommande entre les différents tableaux
divisionnaires. Ces câbles seront de type U 1000 R2V série télécommande (multipolaire) raccordés
sur borniers spécifiques. Leurs cheminements seront identiques aux câbles d’alimentations
électriques.
2.5. - APPAREILLAGE
GENERALITES :
=> La définition, l’implantation et le type des équipements sont définis sur les plans
d’équipements électriques.
L’appareillage sera de type encastré avec fixation des mécanismes par vis sur les boîtes, ceux
situés dans les parties extérieures ou locaux avec risque de projection d'eau, devront être étanches.
Dans le cas d’encastrement, l'entrepreneur évitera toutes superpositions d'appareillage dans les
cloisons minces, et respectera une distance minimale d'écartement de 10 cm d'axe en axe.
L’appareillage côte à côte apparent (Ex : PC+Inter+Divers...) sera habillé par une plaque commune
reprenant l’ensemble des mécanismes.
Les interrupteurs et boutons poussoirs des circulations ou déportés seront avec voyant témoin.
Les commandes d’éclairage (inter, va et vient, bouton poussoirs) et les prises de courant seront
installés à des hauteurs conformes à la réglementation en respectant tout particulièrement les
prescriptions spécifiques à l’accessibilité des personnes à mobilité réduite.
L’appareillage encastré mis en œuvre dans les cloisons de type placostill et dans les locaux non
humides sera de type courant de module 45mm.
Le coloris et la finition seront au choix de la maîtrise d’œuvre.
L’appareillage encastré mis en œuvre dans les locaux à détection automatique sera de type courant
de module 45mm. Détection par infrarouge, distance de détection 10 mètres, angle horizontale de
détection 180°, seuil de luminosité réglable de 3 à 100 lux, temporisation de 1 seconde à 16 minutes
avec recyclage, permettant la commande de lampes 40 à 300 Watt incandescente, halogènes 230 V
et halogène TBT à transformateur ferromagnétique. Appareillage à installer en lieu et place d’un
interrupteur simple sans câblage supplémentaire.
Le coloris et la finition seront au choix de la maîtrise d’œuvre.
L’appareillage mis en œuvre sur les plinthes électriques sera de type courant de module 45mm et
équipé de la plaque de finition appropriée.
Toutes les cloisons maçonnées seront équipées de plinthe pour les PC
Le coloris et la finition seront au choix de la maîtrise d’œuvre.
Colonne ALU :
L’appareillage mis en œuvre dans le centre des pièces sera installé sur des colonnes électriques à
doubles compartiments.
L’appareillage étanche en saillie (IP.55, IK.07) mis en œuvre dans les locaux techniques sera de
type courant.
Toutes les cloisons maçonnées seront équipées de plinthe pour les PC et inter
Le coloris sera de couleur grise dans les locaux techniques et de couleur blanche dans les locaux
courants.
L’appareillage étanche encastré (IP.44, IK.08) mis en œuvre dans les locaux humides non
techniques sera de type courant.
Le coloris sera de couleur blanche dans les locaux courants.
Chaque Arrêt d’Urgence sera inséré dans un coffret avec étiquetage gravé indiquant clairement leur
fonction.
A l’extérieur des locaux électriques, le titulaire du présent lot devra mettre en œuvre un coffret de
coupure d’arrêt d’urgence type coup de poing avec une étiquette dilophane gravée de la mention
« COUPURE GENERALE ELECTRIQUE » pour l’identifier et équipé de 2 voyants présence tension
(bobine MX).
Le coffret sera de type coup de poing à accrochage, déverrouillable par clé N°850, rouge avec 2
voyants (vert et rouge), en application de la norme NFX 08.003 sur les couleurs et signaux de
sécurité.
Dans les locaux cuisine, le titulaire du présent lot devra mettre en œuvre des coffrets de coupure
d’arrêt d’urgence type coup de poing avec une étiquette dilophane gravée des mentions « COUPURE
FORCES ELECTRIQUES » pour les identifier.
Le coffret sera de type coup de poing à déverrouillage par ¼ de tour. Le coffret sera équipé de
contact NO et NF, capot jaune, bouton rouge et avec étiquette.
NATURE DE L’APPAREILLAGE :
L’appareillage (prise de courant, interrupteurs, etc.) devra impérativement être de même marque et
de même type que l’appareillage (prise téléphone, etc.) courants faibles.
GENERALITES :
=> La définition, l’implantation et le type des équipements sont définis sur les plans
d’équipements électriques.
Les ballasts seront de type électronique, les tubes à cathodes chaudes et les lampes à basse
consommation d’énergie.
Les appareils doivent être fixés directement sous les planchers des niveaux ou suspendus
individuellement de manière constamment accessible et réglable, et de façon à éviter tout risque de
chutes dus aux vibrations ou à toute autre cause que ce soit.
MISE EN ŒUVRE :
Les appareils sont fournis avec leurs lampes et tubes de première utilisation.
La fixation des luminaires doit être autonome et totalement désolidarisée des prestations des autres
corps d'état (ossature de faux plafond par exemple).
La pose en encastré dans les faux plafonds comprend la découpe des faux plafonds.
En option, seront chiffrées des harnais de câbles optiques diffusants, fibres PMMA ainsi que
les protections, alimentations, commande et raccordement électriques dédiés.
ECLAIRAGE EXTERIEUR :
L’éclairage extérieur sera protégé et asservi, à partir du tableau général, par les équipements
suivants :
Inter Crépusculaire à seuil de luminosité réglable sur deux plages : 2/35 et 35/2000 lux.
Temporisation à l’enclenchement et à la coupure du contact >80 secondes.
Cellule photoélectrique étanche de type murale avec fixation.
GENERALITES :
L’ensemble des locaux sera équipé d’un éclairage de sécurité par des blocs autonome conforme à
la réglementation.
Les blocs d'éclairage de sécurité auront le même degré de protection IP (minimum) que ce qui est
demandé pour les appareils d'éclairage normal.
L’éclairage de Sécurité sera réalisé, conforme aux articles EC7 à EC15 et NFC 71-805, avec des
Blocs Autonomes de type Non permanent équipé d’un Système Automatique de test Intégré (SATI).
Le présent lot devra un éclairage de sécurité de type « remplacement » en cas de coupure secteur
d’autonomie assignée de 1 heures minimum BAES. Dans ces conditions, les blocs autonomes
d’éclairage de sécurité visés à l’article EC12 doivent être mis automatiquement à l’état de repos dès
l’absence de tension en provenance de la source normale, leur passage automatique à l’état de
fonctionnement étant alors subordonné au début du déclenchement du processus d’alarme.
ECLAIRAGE DE BALISAGE :
Le balisage est réalisé par des blocs autonomes ayant les caractéristiques suivantes :
Ils seront équipés d’une signalétique avec les inscriptions selon indications des plans et suivant
prescriptions Maîtrise d’Oeuvre en cours de chantier.
ECLAIRAGE D’ANTI-PANIQUE :
L’éclairage est réalisé par des blocs d’ambiance ayant les caractéristiques suivantes :
Le nombre et la répartition des luminaires, dédiés à cet éclairage d’ambiance, sera défini afin
d’assurer 5 lumens au m² et distance maximum entre deux blocs de 4 fois leur hauteur au-dessus du
sol.
Les blocs autonomes portables d’intervention (BAPI) sont à prévoir dans tous les locaux techniques
suivant plans.
CANALISATIONS ET TELECOMMANDE :
Commande d’un seul point la mise au repos de l’ensemble de l’installation ECS secteur
absent.
Mise au repos automatique de la fonction BAES d’évacuation en cas d’interruption de
l’alimentation générale.
Allumage de la fonction BAES d’évacuation du bloc BAES en cas d’alarme générale.
Signalisation locale par led rouge du déclenchement de l’alarme incendie.
Une télécommande universelle de ces blocs, afin d'en assurer la mise au repos à distance,
conformément à la réglementation est à prévoir : dans le Tableau Général Basse Tension « TGBT du
bâtiment rénové ».
Chaque tableau divisionnaire de zone sera équipé d’une télécommande universelle supplémentaire,
en cascade à la télécommande générale au Tableau général Bâtiment.
La signalisation locale par Led rouge sera asservie par le déclenchement de l’alarme incendie.
La prise de terre du bâtiment sera vérifiée et remise en état le cas échéant. Pour les extensions, elle
sera réalisée par une câblette de cuivre nue et piquets de terre en fond de fouille, raccordée sur une
barrette de coupure normalisée au droit du Tableau général Bâtiment, y compris interconnexion des
masses du bâtiment.
Une liaison spécifique dite "terre téléphonique et informatique" sera réalisée par le présent lot entre la
barrette de terre principale dans le local Tableau général Bâtiment, et la baie de brassage ou
répartiteur principal VDI.
Cette liaison sera réalisée en câble unipolaire U 1000 RO2V cuivre de section 35 mm² et aboutira sur
une barrette de coupure de terre clairement identifiée.
Une plaque de répartition de terre portant la même mention sera placée à côté de la barrette de terre
(par le présent lot) et permettra le raccordement des terres téléphoniques et informatiques des
matériels d'équipements. De cette plaque de répartition seront également issus les câbles de terre
isolés de liaison vers les installations téléphoniques et informatiques.
A partir de la prise de terre, le présent lot aura à sa charge toutes les sujétions de liaisons
équipotentielles en conducteur cuivre, pour la mise à la terre de toutes les masses métalliques telles
que carcasses d'appareils d'éclairage, armoires, tableaux, charpentes métalliques, tuyauteries,
gaines, chassis, encadrements, serruries.....etc.
2.9.1. - PREAMBULE
Généralités :
=> La définition, l’implantation et le type des équipements sont définis sur les plans
d’équipements électriques.
L’ensemble des locaux sera équipé d’un système de sécurité incendie conforme à la
réglementation.
Il sera réalisé une boucle dédiée à notre zone se reprenant sur le CMSI existant.
Projet :
¾ Une détection incendie automatique, appropriée aux risques, sera mise en place dans la
zone restructurée à l’exception des sanitaires. Tous les détecteurs situés à l’intérieur de
locaux clos devront comporter un indicateur d’action situé de façon visible dans la
circulation horizontale commune.
¾ Déclencheur manuel
¾ Sirène d’alarme (AG et AGS)
Une nouvelle boucle DI en câble CR1 sera mise en place dans le cadre de la restructuration afin de
reprendre l’ensemble de notre zone depuis le CMSI existant
• Détection dans tous les locaux (hors sanitaires) par éléments adressables, comprenant :
L'ensemble des câbles cheminera sur les chemins de câbles principaux prévus par le présent lot,
goulottes, plinthes ou fourreaux dans les faux plafond, gaines techniques et cloisons. Les distributions
électriques seront réalisées suivant :
RAPPEL : Durant l'année de garantie et de parfait achèvement des travaux, qui suit la date de
réception, l'entretien et la maintenance sont réputés inclus dans l’offre de base, le contrat prend donc
effet au delà de cette période.
Dans le cas où le soumissionnaire ne serait pas agréé par l’APSAD, il doit obligatoirement souscrire
un contrat d'assistance technique avec le constructeur.
L’installation doit permettre la détection et la localisation d'un début d'incendie grâce, d'une part aux
détecteurs automatiques, aux boutons à commande manuelle situés sous bris de glace, placés à 1,30
m du sol, et d'autre part à la centrale de zonage des alarmes.
L'ensemble des matériels constituant l'installation sera choisi dans une seule et même marque
réputée et disposant d’une agence d’intervention de proximité et compatible avec les éventuels
équipements existants.
Tous les équipements doivent avoir une enveloppe en accord avec les degrés de protection minima
auxquels ils peuvent être soumis dans la mesure où cela est compatible avec leur fonctionnement.
- Microprocesseur,
- Adresse individuelle,
- Fonction d’isolation de ligne.
Le montage de ces boîtiers sera en accord avec le mode de pose des canalisations (voir article
correspondant ci-après) : modèle saillie pour des canalisations apparentes, modèle encastré pour des
canalisations cachées ou encastrées. Dans les zones recevant le public les boîtiers seront encastrés.
Application
Le déclencheur manuel d’alarme sert au déclenchement immédiat d’une alarme incendie. Il doit
toujours être installé à un endroit bien accessible et bien visible et à proximité de tout endroit pouvant
constituer une issue (130 cm du sol accessible aux personnes à mobilité réduite).
GENERALITES
Les détecteurs seront certifiés NF S 61-950 et S 61-962 et à ce titre estampillés MIH et de technologie
adressable.
Tous les socles sont standards quelque soit le type de tête montée. Différents niveaux de sensibilité
sont programmables depuis le SDI.
Les détecteurs posséderont une performance uniforme sur les feux les plus variés.
Application
Pour la détection précoce des feux couvants ou de flammes avec dégagement de fumée,
Un indicateur d’action est intégré au détecteur pour la signalisation locale des alarmes.
Installation
Maintenance
Ils seront certifiés selon les normes NF S 61.950 et S 61.962 et à ce titre, estampillés NF<-MIC et
marqué « CE », et réuniront aux conditions d’exploitation suivantes :
Dans leur ensemble, les indicateurs existants seront conservés et réalimentés depuis le nouveau bus
mis en place. Dans le cas où ceux-ci n’existent pas, ils seront à prévoir pour les pièces ou volumes
normalement clos ou situés hors du parcours de reconnaissance ainsi que pour les locaux à sommeil,
ils seront systématiquement installés pour assurer l’orientation immédiate et sans ambiguïté du
personnel d’intervention vers le lieu du sinistre. Placés judicieusement sur le cheminement
d’intervention, ils répètent la signalisation lumineuse des socles des détecteurs en alarme.
Dans le cas de plusieurs locaux desservis par une circulation, les indicateurs d’action seront
respectivement implantés côté circulation au-dessus des portes d’accès aux locaux protégés par le ou
les détecteurs dont ils signalent le fonctionnement.
Chaque indicateur d’action sera équipé de deux diodes électroluminescentes rouges de forte
luminosité, de bornes de raccordement sans vis et découplées pour pouvoir lui connecter jusqu’à 4
détecteurs du même système de détection.
Il sera constitué :
La diffusion de l’alarme sera réalisée à partir d’avertisseurs sonores dans la zone administration et
services généraux. La diffusion d’alarme générale sélective sera assurée par des diffuseurs à faibles
consommations dans les postes de soins.
Des essais acoustiques seront réalisés en présence du Maître d'Ouvrage, qui pourra s'il l'estime
nécessaire demander l'adjonction ou le déplacement d'une ou plusieurs sirènes.
2.9.3.9. - Distribution
La fin d’une ligne non rebouclée sera signalée par un repère apposé sur le dernier appareil raccordé
sur la ligne.
Les câbles ou conducteurs constituant des boucles ou zones différentes peuvent être groupés dans
un même conduit réservé à ce seul usage. Aucune autre liaison électrique ne peut emprunter ce
conduit. Les conducteurs afférents à une même boucle doivent emprunter un même conduit. Un
conducteur ne peut pas être commun à plusieurs boucles.
1°) La section des conducteurs et la longueur maximale de la boucle ou de la ligne seront telles que la
chute de tension aux bornes des appareils alimentés reste inférieure aux limites imposées par le
constructeur des appareils, en régime de consommation maximale. Dans tous les cas, la section ne
sera pas inférieure à 1,5 mm² pour les câbles mono-conducteurs et 1 mm² pour les câbles multi-
conducteurs.
Avant toute réception de l’installation, il sera procédé, en présence du maître d’ouvrage ou de son
représentant, aux essais et contrôles de bon fonctionnement de l’installation suivant descriptions et
procédures détaillées au CCTG « INSTALLATIONS DE DETECTION INCENDIE. TRAVAUX DE
BATIMENT », ses annexes (brochure n°5655 des J.O.) et conformément aux spécifications de la
norme NF S 61.932.
Les locaux concernés seront définis par le maître d’ouvrage ou son représentant. Types et
constitution des FCE, combustible et procédure d’essai sont décrits à l’annexe 2 aux commentaires du
CCTG (brochure n°5655 des J.O.).
En fin de travaux, l’installateur devra fournir le Dossier d’identité du SSI conforme aux spécifications
de la norme NF S 61.932 12, précisant :
L'entrepreneur joindra à son offre un contrat d'entretien et de maintenance. Ce contrat devra être
détaillé et basé sur une période de un an.
Ce contrat sera de type à obligation de résultat, et portera sur la maintenance préventive et corrective
de l'ensemble du système.
Durant l'année de garantie et de parfait achèvement des travaux, qui suit la date de réception,
l'entretien et la maintenance sont réputés inclus dans l’offre de base, le contrat prend donc effet au
delà de cette période.
Le chauffage sera assuré par des radiants électriques à régulation électronique, de marque AIRELEC
(ou techniquement équivalent) . Puissances suivant plan d’implantation.
NORMES A RESPECTER
Le fait de soumissionner implique que les réponses soient conformes aux instructions générales sur le
service des télécommunications :
Normes relatives à la sécurité des matériels (NFC 92-130, NFC 77-200, CN 60-950) ;
Normes de sécurité pour la protection contre la foudre (NFC 61-740) ;
Normes relatives aux rayonnements électromagnétiques (NFC 98-020, EN 55 022, EN 55
101) ;
Normes UTE relatives à la sécurité électrique (NFC 15-100) ;
Le pré câblage doit être conforme aux normes internationales ISO/IEC IS 11801 et aux
normes européennes EN 50 173 et respecter de bout en bout les caractéristiques de la classe
D spécifiée dans ces normes
Etre conforme aux normes européennes applicables au 1er Janvier 1996 concernant la
compatibilité électromagnétique.
EN 55022, classe B, concernant l’émission de perturbations électromagnétiques.
GENERALITES :
=> La définition, l’implantation et le type des équipements sont définis sur les plans
d’équipements électriques.
ARCHITECTURE
* Répartiteur Général, RG
Existant, Il sera positionné dans le bureau à l’entrée du service technique (suivant plan architecte)
TOPOLOGIE DU CABLAGE :
Le câblage sera du type banalisé entre les points d’accès informatique et téléphone (prise type
RJ.45), catégorie6E et le répartiteur.
Tous les cheminements, passages et percements depuis le local courants faibles et les niveaux
sont à la charge du présent lot.
ROCADES INFORMATIQUES :
Elles sont réalisées par fibres multi-modes 62,5 / 125 µ, montées sur des connecteurs ST². Ces
liaisons se présenteront sous forme de câbles modulo multifibres, structure libre un fibre par tube et
gaine extérieure armée anti-rongeurs et étanches.
ROCADES TELEPHONIQUES :
Elles seront réalisées par câble multi-paires, numérique 2 Mbs, écranté. Elles seront utilisables pour
les liaisons téléphoniques numériques comme l’ADSL, HDSL, RNIS, etc. Ce câble C2 respectera les
normes NFC.32-070 et CEI.332-1.
Le type de câblage sera en étoile depuis la baie informatique principale.
La capacité en nombre de paires devra permettre un raccordement d'au moins une prise par poste,
plus 30% de la capacité totale de la zone.
Brassages :
L’intégralité des cordons (cuivre) de brassage est à fournir par le présent lot, comprenant :
Brassage cuivre de la baie par cordon de catégorie 6E et d’une longueur de 3 mètres.
PRISE DE TERRE :
Le dispositif de mise à la terre de tous les équipements devra être systématique et conforme à la
réglementation en vigueur.
POINTS D’ACCES :
Câblages terminaux :
Les câbles capillaires seront des câbles en paires écrantées et gainées, 4 paires ou 2×4 paires
catégorie 6E, FTP. L’écran de chaque paire formera un tube autour d’une sous-gaine assurant ainsi
une parfaite étanchéité aux perturbations électromagnétiques.
Afin d’obtenir les performances spécifiées par les obligations de la catégorie 6, l’entrepreneur
s’engage à n’utiliser que du câble blindé paire par paire uniquement à l’exclusion de tout autre câble
sous risque en cas contraire de ne pas satisfaire aux exigences du NEXT, du PS Next voir du retour
LOSS.
Ces câbles seront affectées et raccordées sur les prises RJ45 téléphone / informatiques. Ces
liaisons chemineront sur chemins de câbles, dans les plinthes de distribution ou sous fourreaux.
Le câblage est entièrement banalisé entre les points d’accès (prises terminales de type RJ 45) et la
baie de brassage du répartiteur VDI.
Ces câbles seront à 0 halogène. La longueur de ces câbles ne devra pas excéder 90 mètres.
=> La définition, l’implantation et le type des équipements sont définis sur les plans
d’équipements électriques.
L’ensemble des prises terminales des postes de travail doit être banalisé.
Les prises terminales seront des prises RJ 45 9 contacts, normalisées ISO 8877, catégorie 6, et
disposeront d’un système de reprise d’écran à 360°.
Elles seront montées sur des plastrons au format 45x45 mm (réf 7720* Infra+) ou 22,5x45 mm
(9800 Infra+), adaptables et duplicables par l’adjonction d’adaptateurs à vis.
CHEMINS DE CABLES :
La distribution depuis le répartiteur VDI vers les points d’accès se fait sur chemins de câbles
spécifiques, type dalles perforées, réservés exclusivement à cet usage ou sous fourreaux, et à la
charge du présent lot, placés dans les faux plafonds des circulations et dans les diverses gaines
techniques.
Le matériel téléphonique tel que l’autocom, les postes ou télécopieurs ainsi que la mise en service
de l’installation seront à la charge du Maître d’Ouvrage.
2.13. - INTERPHONIE
GENERALITES :
=> La définition, l’implantation et le type des équipements sont définis sur les plans
d’équipements électriques.
EQUIPEMENTS :
PLATINE EXTERIEURE :
- Encastrée,
- Platine anti-vandale – Façade inox épaisseur 4 mm,
- Câblage Bus 2 fils.
- Poussoir d’appel à touches affleurantes en inox.
- Protection porte étiquettes en polycarbonate épaisseur 6 mm.
- Porte étiquettes inviolableEclairage porte étiquette.
- Vis de fermeture anti-vandales avec clé fournie.
- Perçage diamètres 25 mm pour adaptation d’un lecteur ou électro-serrure.
- Electro-serrure
- Fixation étanche à encastrer.
POSTES INTERIEURS:
CABLAGE ET DISTRIBUTION :
2.14.1. - GENERALITES
Le principe de la présente installation sera de signaler toute intrusion à l'intérieur du magasin, des
services techniques et de la réserve pharmacie. Le raccordement se fera sur la centrale existante de la
zone radialogie
La mise en service de l'installation de détection d'intrusion s'effectuera par clavier et sera confirmée
automatiquement par horloge paramétrable. La mise hors service sera effectuée par clavier. Dans tous
les cas le système devra permettre d'identifier le code ayant mis en ou hors service l'installation.
L'accès par des personnes autorisées en dehors des créneaux horaires établis pour l'horloge, devant
rester possible, une mise hors service manuelle pourra être réalisée par l'intermédiaire du clavier.
Il sera prévu un ensemble chargeur batterie assurant une autonomie de 72 heures de l'ensemble du
système en cas de coupure secteur.
2.14.2. - EQUIPEMENTS
Les claviers seront de type alpha – numérique, disposés suivant chaque zone
Il sera tenu compte pour l'implantation définitive de l'emplacement exact des machines ou meubles, au
jour de l'exécution des travaux. La modification éventuelle d'implantation ne pourra en aucun cas
justifier une plus-value financière de la part de l'entreprise adjudicataire.
Ces détecteurs seront placés au-dessus des portes des circulations ou dans les locaux à une hauteur de
2,20 m. Ils seront montés sur rotule permettant un réglage du positionnement.
La définition exacte du type de détecteur à placer dans les circulation se fera en fonction de la
configuration exacte des locaux.
Ils seront principalement placés dans tout endroit où ils seraient rendus nécessaire de par la
configuration difficile des locaux (variation de température, mouvement de masse d'air, etc .... )
Il sera tenu compte pour l'implantation définitive d’une garantie de résultat. La modification éventuelle
d'implantation ne pourra en aucun cas justifier une plus-value financière de la part de l'entreprise
adjudicataire.
Les dispositifs d’alarme sonore intérieure ou extérieure doivent être difficilement accessibles et placés
si possible à une hauteur au moins égale à 2,5m. Les circuits de commande des dispositifs de
signalisation d’alarme intérieure et extérieure doivent être distincts. Celles extérieures devront être
anti-vandales.
Depuis la centrale, les câbles Bus desserviront l'ensemble des interfaces situées dans le bâtiment. Les
bus formeront une boucle dont une extrémité sera raccordée à la centrale, l'autre extrémité sera en
attente à la centrale. L’ensemble des câbles chemineront dans les chemins de câbles et encastré sous
fourreau spécifique pour les raccordements sur contacts d’ouvertures. Les longueurs maxi seront de 1
km en câble blindé avec 16 interfaces maximum par bus. Le temps de scrutation du bus sera de 300
ms.
3.1.1. - ENVELOPPES
Lorsque ces enveloppes sont situées hors placard fermé spécialisé "Electricité", le degré de protection
IP sera assuré au point de vue mécanique, est supérieur d'au moins une valeur normalisée, à la
valeur résultant de la réglementation.
Les armoires, coffrets et tableaux sont soit en tôle, soit en matériau isolant mais, dans ce dernier cas,
seulement si leur puissance est inférieure à 40 KVA.
Elles sont de préférence en tôle dans les emplacements secs ou moyennement humides.
Elles sont en matériau "plastique" non corrodable dans les emplacements mouillés ou corrosifs ou
polluants, et lorsque les températures ambiantes ne peuvent en aucun cas sortir de la fourchette -5°C
/ +40°C (et compte tenu des autres conditions précitées).
Lorsque les enveloppes doivent être esthétiques (non situées dans les locaux techniques ou dans des
placards spécialisés), elles sont en tôle afin de recevoir sur leurs faces extérieures un voile de finition
dont la teinte reste à définir par le Maître d'Oeuvre. Ces enveloppes métalliques comportent, après
décapage, une couche de peinture antirouille, une couche d'apprêt, une couche de laque et, en plus
pour les seules faces extérieures, le voile de finition précité.
Les autres enveloppes métalliques peuvent être en tôle électro-zinguée avec revêtement "époxy
Les enveloppes en matériau "plastique" non corrodable, satisfont à l'essai auto-extinguible au fil
incandescent à 960°C, et sont résistantes aux ultraviolets.
Tous les coffrets et toutes les armoires munis de serrures seront équipés du modèle RONIS N°5.
3.1.2. - COMPOSANTS
Tout le matériel doit être facilement accessible en vue de sa fixation, de son raccordement, de son
entretien et, éventuellement, de son remplacement. Tout appareil doit être démontable
individuellement sans avoir à déplacer, à déposer ou déconnecter un autre appareil ou un composant
quelconque de l'armoire ou du coffret.
Les appareils de mesure, contrôle et signalisation, sont placés à une hauteur de 1,50 à 1,80m par
rapport au sol.
Les manettes ou boutons de manoeuvres des organes de coupure et de protection, en face avant des
armoires et coffrets, sont placés entre 0,60 m et 1,85 m de hauteur par rapport au sol.
L'identification des circuits d'alimentation (arrivée et départs) est réalisée par bague de réparge en
amont et aval, et par les couleurs suivantes:
* Courant alternatif
.N Bleu
. Ph1 Marron
. Ph2 Violet
. Ph3 Orange
.T Vert - jaune
* Courant continu
. Pôle + Rouge
. Pôle - Noir
Nature du métal
Les barres ont un écartement nettement supérieur à leur épaisseur si elles sont nues. Si les barres
sont disposées à plat, les intensités maximales sont à multiplier par 0.85 maximum dans le cas d'une
barre unique, et par 0.7 maximum, dans le cas de plusieurs barres par conducteur actif.
Les barres nues sont fixées sur des supports isolants incombustibles, suffisamment rigides et
rapprochés pour résister aux contraintes dynamiques en cas de court-circuit, afin d'interdire tout
contact entre barres appartenant à des phases différentes.
Un jeu de barres en armoires ou en cellules juxtaposées doit avoir la même section dans tous les
modules (pas de réduction en extrémités ou dérivation).
En ce qui concerne l'armoire générale basse tension, il doit y avoir pour ce jeu de barres, des
percements pour l'éclissage d’un éventuel module supplémentaire.
Les sections des conducteurs isolés tiennent compte des calibres des protections, et des facteurs de
correction pour pose jointive dans les goulottes.
Raccordements et câblages
L'ensemble des câbles, quelle que soit leur section, doivent être ramenés sur un bornier, avec une
réserve d'emplacement de 30 % pour extensibilité.
La mise en oeuvre des câbles précités doit permettre aisément, sans dépose, déplacement ou
déconnexion de quoi que ce soit, l'insertion d'une pince ampèremétrique sur chaque conducteur, ce
qui impose d'une part , qu'un volume libre important existe au niveau de ces bomiers, et que chaque fil
forme une spire.
Ces borniers comporteront tous accessoires nécessaires : cloisons terminales et de séparation, butée
de blocage.
Sur une plage de raccordement, il y aura en principe un seul conducteur actif; il pourra
exceptionnellement y en avoir deux si la plage de raccordement est adaptée et le permet. Pour les
circuits de protection, il y aura dans tous les cas un seul conducteur par plage de raccordement.
Chaque armoire ou coffret sera pourvu d'une barre de répartition de terre, pour connexions
individuelles.
La filerie intérieure est réalisée en conducteurs souples de la série H 07V.K (au-delà de la section 25
mm2 elle sera réalisée en conducteur rigide, série H 07V.R).
Les fils souples ou multibrins rigides, sont munies à leur extrémités de cosses du type manchon,
serties à la pince avec repérage amont et aval.
Les borniers sont placés en général (compte tenu des usages courants de distributions) à la partie
inférieure de l'enveloppe pour les circuits "prises de courant et assimilé", et à sa partie supérieure
pour les circuits "lumière". Placés en partie inférieure, ils sont à plus de 0.30 m du sol.
Suivant spécifications particulières (§4), ce bornier sera disposé dans un emplacement latérale de
l’armoire, équipé d’un portillon et d’une serrure RONIS N°5.
En plus des identifications des circuits selon article ci-avant doivent être prévus en correspondance
avec les schémas et plans :
- une étiquette placée sur plastron avec libellé conforme au plan d'exécution.
- une étiquette placée sur chaque appareil avec libellé conforme au plan d'exécution.
Les TGBT ou cellules sont placées sur un caniveau (sauf prescriptions particulières contraires).
Les armoires et coffrets divisionnaires sont fixés par leur face amère à une paroi verticale ou sur
ossature à prévoir et reposant au sol si la paroi verticale n'est pas de résistance suffisante.
Dans le cas d'armoires ou de coffrets compartimentés selon indications de principe des schémas ou
des prescriptions particulières, les compartiments crées sont entièrement fermés, chacun d'eux
devant être totalement indépendant des autres. Les conducteurs relatifs à un compartiment ne
traversent pas un autre compartiment. En pratique il s'agira de préférence d'enveloppes
indépendantes.
Ces enveloppes ne s'ouvrent et ne se ferment, qu'avec soit un outil, soit une clé selon les cas de
figure ci-après.
Les caractéristiques dimensionnelles des coffrets ou armoires sont choisies de telle manière que,
dans un local où voisinent les installations d'un même lot ou de différents lots, il ne puisse être
remarqué de différences discordantes.
En face avant, donc manoeuvrables depuis l'extérieur des enveloppes, sont placées les commandes
des interrupteurs et des disjoncteurs. Pour permettre le passage des dites commandes, des
découpes seront donc effectuées dans les portes, ou bien la face avant de l'enveloppe sera constituée
de panneaux prédécoupés, sur charnières, fermant et ouvrant soit à l'aide d'un outil tournevis (cas des
coffrets en placard-gaine), soit à l'aide d'une clé (cas des coffrets, armoires et cellules en local
spécialisé).
De même, seront encastrés en face avant des plastrons, les éventuels appareils de mesure et de
contrôle, compris les voyants.
Les percements précédemment indiqués doivent être exécutés avec soin. Ils doivent en outre, être
réalisés de telle manière que soit évité tout risque de contact direct avec le doigt. En fait il est
demandé le degré de protection 2 au minimum, procuré par les enveloppes et relatif à l'introduction
des corps solides. Il est demandé pour l'enveloppe un degré de protection IP 205 au minimum.
En face avant de chaque gaine technique ou de chaque local de service électrique, est apposée une
signalétique indiquant la présence d'équipements électriques.
Par devant la façade précédemment décrite, est prévue une ou des portes à fermeture à clé, à travers
laquelle n'apparaîtra que la commande générale (selon prescriptions particulières). Cette enveloppe
extérieure assurera le degré de protection nécessaire, compte tenu des influences externes (IP 205
au minimum).
Dans tous les locaux où il est demandé un degré de protection IP supérieur à 205, les pénétrations
des canalisations se feront par l'intermédiaire de presse-étoupe métallique.
Un triangle d'avertissement "homme foudroyé" (CATU AM 41) sera placé en face avant de chaque
coffret.
En face avant, au droit de chaque appareillage ou manette de manoeuvre, est placée une étiquette
gravée de repérage pratique et une autre d'état "marche / arrêt" (sauf pour les disjoncteurs, en ce qui
concerne l'indication "marche-arrêt") ou toute autre indication nécessitée pour une bonne
compréhension pour l'exploitation. Ces étiquettes seront fixées par collage fort (sinon par vis ou
rivets).
Une poche sera fixée à l’intérieur, soit dans chaque porte de chaque coffret ou armoire, pour recevoir
les schémas et plans.
En façade de chaque enveloppe extérieure est fixée une étiquette gravée, avec la dénomination
pratique de l'armoire ou du coffret.
En ce qui concerne uniquement le Tableau Générale Basse Tension (TGBT), un synoptique par
baguette d'au moins 5 mm de largeur sera réalisé sur son enveloppe, et fixé par colle forte (sinon par
vis ou rivets). Son schéma, plastifié, sera apposé au mur à proximité.
Sur la porte principale de chaque placard-gaine, est apposée l'étiquette, de dimensions 50 x 150 mm,
gravée "électricité".
Parois horizontales
Dans les parois horizontales généralement en béton, il est utilisé des conduits d'encastrement adapté.
Dans ces conduits sont placés soit des fils H 07VU ou R, soit des câbles A 05VVU ou R, ou du câble
U 1000 RO2V, au choix de l'entrepreneur. Il sera fait usage de U 1000 R02V dans le cas de câble en
attente pour les besoins d'un autre lot.
Toutes dispositions doivent être prises pour que les conduits ne soient pas détériorés, notamment au
ras de la surface supérieure de la dalle en béton.
Les conducteurs ne sont placés qu'après encastrement définitif des conduits (ces derniers sont posés
aiguillés).
Parois verticales
Dans les parois verticales, il est utilisé des conduits d'encastrement adapté à la nature de la cloison.
Dans ces conduits sont placés soit des fils H 07VU ou R, soit des câbles A 05VVU ou R, ou du câble
U 1000 RO2V, au choix de l'entrepreneur. Il sera fait usage de U 1000 R02V dans le cas de câble en
attente pour les besoins d'un autre lot.
Les conditions d'encastrement sont celles de la NFC 15 100 et les saignées d'encastrement seront
verticales ou horizontales.
Les conducteurs ne sont placés qu'après encastrement définitif des conduits (ces derniers sont posés
aiguillés).
Remarques
- Lorsque les canalisations alimentent des appareils dans lesquels la pénétration se fait par
l'intermédiaire d'un presse-étoupe, il sera utilisé exclusivement des câbles comme canalisation.
- Il n’y a qu'un câble ou qu'un circuit par conduit d'encastrement.
- Les pots d'encastrement relatifs aux circuits d'éclairage ou assimilé, sont distincts de ceux relatifs
aux circuits prises de courant et petite force motrice.
Dans le cas de faux plafonds traditionnel en plâtre, il est utilisé soit des câbles sous conduits, soit des
fils sous conduits.
Dans le cas, le plus fréquent, de faux plafonds modulaires démontables (mais non normalement
démontable sans détérioration) il sera utilisé des fils H 07VU ou VR sous conduits IC05 APE, soit des
câbles A 05VVU ou R ou U1000 RO2V. Les câbles et conduits seront sur supports fixés à la dalle de
façon à être disposés selon les directions perpendiculaires ou parallèles aux façades. Les rayons de
courbures seront importants. Les supports peuvent être des colliers plastiques en forme d'anneaux
(avec embase et cheville pour fixation) dans lesquels peuvent passer plusieurs câbles et conduits.
Remarques
- Dans ce cas, les installations verticales sont en montage encastré (construction non existante).
- Il n’y a qu'un câble ou qu'un circuit par conduit d'encastrement.
- Les pots d'encastrement relatifs aux circuits d'éclairage ou assimilé, sont distincts de ceux relatifs
aux circuits prises de courant et petite force motrice.
- Dans le cas d'un faux plafond coupe-feu, aucune boite de dérivation ne doit se trouver dans le
plénum. Il en est de même pour une charpente en fermette ou le faux plafond doit présenter un écran
stable au feu.
3.2.2.3. - Montage caché dans les faux plafonds démontables ou montage apparent industriel
En montage genre industriel ou caché dans les faux plafonds démontables, l'installation se fait par
câbles posés soit sur collier individuel, soit sous tube IR05 APE en montage “ métro ”, soit sur
chemins de câbles, ces derniers étant obligatoires lorsque 3 câbles au moins suivent le même
cheminement.
L'entrepreneur doit toutes les sujétions de fixation. Ces fixations doivent être telles que l'on puisse,
sans déformation des chemins de câbles ou de leurs supports, appuyer contre eux une échelle avec
un ouvrier.
Les chemins de câbles doivent être installés avec toutes pièces spéciales de fabrication d'usine :
d'une part, des coudes, tés, croix, éclisses, etc ; d'autre part, pour les suspentes, des consoles,
pendards, goussets, etc.
Tous les câbles en pose sur chemins de câbles, sont sur une seule nappe (exception faite des câbles
de télécommande) et fixés par collier RILSAN, à raison au moins :
Dans le cas où la hauteur du chemin de câble est inférieure à deux mètres par rapport au sol, il sera
prévu, par le présent lot, toutes dispositions concernant le traitement des parties saillantes.
Les chemins de câbles possèdent une réserve de 30 % en considérant toujours une seule nappe.
Les tubes IRO ont au moins une fixation tous les 0,40 m en cheminement horizontal et tous les 0,50m
en cheminement vertical.
Remarques
- Dans le cas de montage caché dans le faux plafond démontable, les installations verticales sont en
montage encastré (construction non existante)
- Les boites de dérivation ne sont pas communes à plusieurs circuits.
- Dans le cas d'un faux plafond coupe-feu, aucune boite de dérivation ne doit se trouver dans le
plénum. Il en est de même pour une charpente en fermette ou le faux plafond doit présenter un écran
stable au feu.
Les dérivations seront acceptées à l'intérieur des goulottes si celles-ci sont démontables à l'aide d'un
outil. Les connections seront de toute évidence entièrement isolées.
Sauf cas de passage sous conduits encastrés ou buses enterrées, les canalisations circulent selon
des directions parallèles ou perpendiculaires aux façades. Tout cheminement non horizontal ne peut
être que vertical.
Les moulures et goulottes P.V.C sont sans coupe d'onglet, mais avec tous les accessoires du
fabricant pour une parfaite finition : tés, coudes, angles intérieurs et extérieurs, embouts de fermeture,
etc....... Elles sont fixées par collage recommandé par le fabricant, plus cloutage avec matériel
recommandé par le fabricant, ou vissage, et ce à raison de 3 fixations minimum par mètre pour les
moulures jusqu'à 30 mm de largeur, et de deux rangées de 3 fixations minimum par mètre pour les
goulottes et les moulures plus larges.
En pose sous fourreau sous les bâtiments, les canalisations sont des câbles du type U 1000 R02V
sauf indications contraires des prescriptions particulières, et sauf si elles sortent de l'emprise des
bâtiments, auquel cas le type de câble à utiliser est défini dans l'article suivant.
Les parties de fourreaux en ligne droite, sans interposition d'une chambre de tirage, ne sont pas
supérieures à 40 mètres.
Les dimensions des regards permettent d'assurer aux câbles un rayon de courbure au, moins égal à
1.5 fois le minimum selon la NFC 15.100, avec un minimum L×I×P = 50×50×50 cm intérieur.
Les fourreaux sont de préférence en polyéthylène, de couleur rouge pour l'électricité, lisse intérieur et
annelé extérieur. Aucun diamètre ne sera inférieur à 50mm. L'utilisation des manchons de
raccordement TPC du fabricant est obligatoire, ou de canalisations pré-manchonnées.
Les fourreaux sont placés sur une seule nappe, sauf impossibilité.
Les regards sont en béton, soit fabriqués sur place, soit du type préfabriqué. Ils ont à leur partie
supérieure une feuillure équipée d'une cornière laiton. Il est prévu une dalle de couverture avec, en
son milieu, un dispositif de préhension escamotable. Cette dalle est avec cornière laiton sur sa
périphérie, et avec un décaissé permettant de la recouvrir du revêtement de sol prévu dans le local où
est installé le regard. Si cette dalle de couverture est de dimensions trop importantes, elle peut être
prévue en deux ou trois pièces, suivant les poids, chaque pièce ne devant pas excéder 20 Kg.
Dans le cas où ces fourreaux et regards seraient à charge d'un autre lot, l'entrepreneur du présent lot
devra procéder à une réception contradictoire des travaux précités avec leur titulaire; seule la non
acceptation de ces fourreaux et regards sera notifiée au maître de chantier.
En général, cette pose se fait en pleine terre, sauf les passages sous voies qui sont sous fourreaux.
Dans le cas d'une pose entièrement ou partiellement en pleine terre (cas général), il est utilisé des
câbles du type U 1000 RVFV, sauf s'ils risquent d'être plus de deux mois par an dans l'eau (condition
d’influence externe AD8), auquel cas les câbles utilisés sont du type U 1000 RGPFV.
Dans le cas d'une pose entièrement sous fourreaux, il pourra être utilisé des câbles du type U 1000
R02V. Se reporter au paragraphe ci-avant pour les caractéristiques des fourreaux, chambres, mode
de pose, etc...
Sauf indications contraires de spécifications techniques particulières, le titulaire du présent lot ne doit
ni les tranchées (ouverture et fermeture), remblais de sable et autre, grillage avertisseur, fourreaux,
chambres de tirage.
Les supports (conduits, moulures, goulottes, chemins de câbles, buses) sont spécifiques de la très
basse tension, donc indépendants de ceux de l'électricité des courants forts.
Elle est identique à l'article 5.6.2 précédent, traitant des canalisations de la catégorie basse tension,
compte tenu des particularités suivantes :
Les conducteurs utilisés, d'un type différent, sont précisés dans les prescriptions particulières.
Chaque pot d'encastrement ne peut être relatif qu'à une seule technique.
Les conducteurs utilisés, d'un type différent, sont précisés dans les prescription particulières.
Les conducteurs utilisés, d'un type différent, sont précisés dans les prescriptions particulières.
Tous les câbles, en pose sur chemins de câbles, sont sur deux nappes (au maximum), s'ils sont d'un
diamètre supérieur à 15 mm et sur trois nappes (au maximum) s'ils sont plus petits. Ils sont fixés par
collier RILSAN, à raison d'au moins :
. en plan horizontal : d'un tous les 1.50 m
. en plan vertical : d'un tous les 0.33 m.
Pour chaque entité différente d'équipement, les câbles en apparent et en faux plafond, seront
différenciés par repères bagues ou collants d'une couleur spécifique, à raison d'un tous les 10 mètres,
plus un à chaque changement de direction, et de part et d'autre de la traversée des parois.
Couleurs :
Voix vert
Données marron
Images bleu
Incendie rouge
Alarmes techniques Jaune
Vidéo blanc
Contrôle d'accès violet
Equipements GTC orange
Les conducteurs utilisés, d'un type différent, sont précisés dans les prescriptions particulières.
Les conducteurs utilisés, d'un type différent, sont précisés dans les prescriptions particulières.
3.3. - APPAREILLAGE
Le petit appareillage, interrupteurs, bouton poussoir, prises de courant, sera de type correspondant
aux canalisations, c'est à dire du modèle encastré ou extra plat de qualité USE. De plus, il devra être
robuste et susceptible d'être fixé solidement. Il ne sera pas du type à fusible incorporé.
L’appareillage sera équipé avec fixation des mécanismes par vis sur les boîtes, ceux situés dans les
parties extérieures ou locaux avec risque de projection d'eau, devront être étanche, avec une hauteur
minimale des prises par rapport au sol de 25 cm.
Dans le cas d’encastrement, l'entrepreneur évitera toutes superpositions d'appareillage dans les
cloisons mitoyennes à d’autres locaux, et respectera une distance minimal d'écartement de 10 cm
d'axe en axe.
L’appareillage côte à côte (Ex : PC+Inter+Divers...) sera habillé par une plaque commune reprenant
l’ensemble des mécanismes.
Les interrupteurs et boutons poussoirs des circulations, escaliers, locaux sombres, etc.... seront avec
voyant témoin de signalisation.
Les prises de courant seront d'un type normalisé avec mise à la terre.
Elles seront fonctionnellement disposées dans chacun des locaux afin d'éviter au maximum à
l'utilisateur l'emploi de cordon d'alimentation des appareils mobiles cheminant au travers du passage.
Il y donc lieu d'envisager l'aménagement pratique intérieur pour définir l'implantation des prises de
courant.
Les prises de courant prévues dans les salles banales ou assimilées devront être implantées de
préférence sur la paroi interne des façades en utilisant pour leur fixation des éléments fixes de celle-ci
liés à la structure.
Dans tous les locaux où il y a risque de projection d'eau, la hauteur minimale des prises par rapport au
sol devra être de 25 cm.
3.4. - LUSTRERIE
Il est rappelé que l'entrepreneur doit faire son affaire de toutes sujétions de suspentes, de fixation et
de mise en oeuvre. Tout appareil doit être fixé à l'ossature du bâtiment. Il ne doit pas être supporté
par l'ossature du faux plafond (exception faite des appareils fluorescents encastrés dans le "luxalon",
lorsque les appareils sont parallèles aux lames).
Lorsque les luminaires sont plaqués contre la structure du bâtiment les fixations sont directes.
Lorsque les luminaires sont plaqués contre le faux plafond (ou encastrés) les suspentes sont
indépendantes et réalisées par tiges filetées.
Chaque appareil d'éclairage du type fluorescent sera à ballast électronique HF sur l’ensemble du
service, (sauf indications contraires des prescriptions particulières, ou sauf lorsqu'il est prévu une
gradation de lumière, auquel cas ils sont alors avec ballast électronique haute fréquence).
Lorsque le luminaire est sur minuterie, son starter est du type électronique.
Ces appareils d'éclairage fluorescents seront équipés de tubes diamètre 26 mm de la gamme haut
rendement.
Sauf indication contraire des prescriptions particulières, les tubes sont d'IRC 85, de température
4000°K, c'est à dire de couleur “ brillant ”, ou de température 3000°K, c'est à dire “ blanc de teinte
chaude ”, au choix du Maître d'Oeuvre.
Ils ont un flux de : . 1350 lumens pour le 0.60 m (18 W)
. 3350 lumens pour le 1.20 m (36 W)
. 5200 lumens pour le 1.50 m (58 W).
(Ces flux lumineux sont ceux à prendre en compte pour les calculs
d'éclairement)
Pour chaque type d'appareillage dont la référence de base n'est pas précisée, l'entrepreneur devra
présenter à l'acceptation du Maître d'Oeuvre, dans le cadre des prescriptions techniques ci-avant au
moins :
- 2 appareils répartis sur 2 marques (appareils pour risques spéciaux et appareils industriels).
Dans les Etablissements Recevant du Public (ERP) de la 1ère à la 4ème catégorie incluse, en
application de l'article Ec4 du règlement de sécurité correspondant, les luminaires satisferont à l'essai
au fil incandescent :
La terre sera réalisée à l'aide d'une câblette de cuivre de 29 mm² constituant un ceinturage à fond de
fouille ou de piquets de terre, conformément aux circulaires du 17 août 1966 et du 5 novembre 1973
du Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Population.
Indépendamment des règles concernant les mises à la terre dans les installations électriques toutes
les gaines ou conduits métalliques de tous fluides seront également mis à la terre conformément à la
norme C 15.100
Toutes les masses métalliques telles que carcasses d'appareils d'éclairage, armoires, tableaux,
broches et alvéoles de PC, en un mot toutes les masses métalliques accessibles ou non susceptibles
d'être mises accidentellement sous tension, seront reliées à la terre générale par un conducteur de
terre approprié.
En outre, une interconnexion du circuit de terre avec la charpente métallique, s'il en existe, les
tuyauteries diverses, d'eau, de chauffage, de gaz, les bondes de vidange etc... sera réalisée dans
tous les locaux où cela est nécessaire.
La valeur de la prise de terre devra être compatible avec la sensibilité des différentiels des
disjoncteurs des circuits terminaux mis en place.
Nota : Le terme masse sous-entend également les parties métalliques des matériels et équipements
électriques normalement isolés des parties actives, mais susceptibles d'être mises accidentellement
en liaison électrique avec des parties actives, par suite d'une défaillance des dispositions prises pour
assurer les isolations.
Conformément à l’arrêté du 25 juin 1980 modifié et complété par l'arrêté du 19 novembre 2001, article
CH32, paragraphe 7 et CH 42 paragraphe 2, l’entreprise titulaire du présent lot aura à sa charge le
calfeutrement coupe-feu des baies et trémies afin de restituer le degré de résistance au feu initial.
Les produits mis en œuvre devront être testés selon l’arrêté du 3 Août 1999 et munis d’un PROCES
VERBAL de classement en cours de validité (article 28).
Le choix des solutions sera adapté aux types de trémies, à la nature des traversants, aux
configurations décrites dans le procès verbal de classement, à savoir :
- Mousse coupe-feu intumescente HILTI type CP620 ou équivalent pour les calfeutrements des
petites et moyennes trémies en dalle ou en voile
- Mortier coupe-feu HILTI type CP 636 ou équivalent pour des calfeutrements définitifs en dalle
ou en voile
- Sac coupe-feu HILTI type CP 651 ou équivalent pour les calfeutrements évolutifs en voile
- Bouchon coupe-feu HILTI type CP 656 ou équivalent pour les calfeutrements évolutifs en dalle
ou en voile
- Brique coupe-feu HILTI type CP 657 ou équivalent pour les calfeutrements évolutifs en dalle
ou en voile
- Panneaux laine de roche HILTI type CP671 ou équivalent pour les calfeutrements définitifs en
voile
L’entreprise devra présenter un dossier complet des solutions appliquées avec les Procès Verbal de
classement en cours de validité et identifier tous les calfeutrements en place par une étiquette
indiquant le type de produit posé.
Tout ouvrage de références différentes de celles prévues dans le Cahier des Charges, ou dont les
plans ou échantillons n'auront pas obtenu l'agrément du Maître d'Œuvre avant exécution, pourra être
refusé lors de la réception.
4.1.2. - VARIANTES
Après appel d'offres, aucune proposition de variante ne sera prise en considération si elle n'est pas
accompagnée d'un sous détail de prix permettant d'apprécier les répercussions que son adoption
entraînerait sur le montant du lot en cause et sur celui des lots pour lesquels cette variante conduirait
à des modifications.
Les entreprises devront, avant d'établir leur soumission, connaître l'ensemble des plans d'Architecte et
techniques.
Elles ne pourront pas, en effet, après notification du marché, invoquer leurs méconnaissances de
telles ou telles caractéristiques des plans pour réclamer des suppléments au montant de leur
soumission.
4.1.5. - NETTOYAGE
L'entreprise laissera les locaux en parfait état de propreté après les travaux. Elle aura à sa charge
l'enlèvement journalier des emballages, de tous déchets ou gravois résultant de ses activités. Elle
devra, ensuite, en assurer l'évacuation du chantier. Dans le cas d'encombrement appartenant à
d'autres entreprises, le Maître d'Oeuvre se réserve le droit de faire exécuter les remises en état aux
frais des entreprises reconnues responsables.
L'entrepreneur du présent lot devra prendre contact avec toutes les entreprises des autres lots afin de
convenir avec eux des dispositions communes à adopter en ce qui concerne la réalisation de leurs
ouvrages respectifs.
Les entrepreneurs peuvent se procurer toutes les pièces de dossiers des autres corps d'état. Ils ont le
devoir d'en prendre connaissance et ne pourront, en aucun cas ni en aucun moment, faire état de ne
pas les avoir consultés et de les ignorer.
Il est donné, à titre indicatif, les limites de prestations entre les différents corps d'état. Il est précisé
que ces prestations ne sont pas limitatives, que l'entrepreneur du présent lot devra prévoir, à sa
charge, tous les travaux nécessaires à une parfaite exécution de l'ensemble des ouvrages.
L'entreprise sera sensée connaître les délais et les plans des autres lots. Elle devra coordonner
l'exécution de ces travaux de manière à ne pas gêner l'avancement des autres entreprises devant
intervenir pour la réalisation des différents travaux.
L'Entrepreneur doit effectuer toutes les démarches auprès des compagnies concessionnaires, des
administrations publiques afin de réaliser une installation conforme aux instructions de ces services,
tant pour établir son étude que pour réaliser la mise en oeuvre.
Il se soumettra à toutes les vérifications et visites des ingénieurs, agents de services compétents, et
fournira les documents et pièces justificatives demandées. Il fera les démarches pour obtenir les
accords et les autorisations nécessaires à l'exécution de ses travaux et à la livraison des courants
forts et courants faibles.
Il sera responsable des conséquences pécuniaires que pourrait entraîner l'inobservation de ces
instructions.
- Tous les travaux de serrurerie relatifs aux tableaux des armoires électriques, aux fourreaux de
protection, consoles, supports, colliers, pattes, etc... y compris les peintures de finition et couches
anti-rouille sur les éléments métalliques posés par lui.
- Les percements, trous, saignées, scellements et raccords de planchers, murs, cloisons, etc... à
l'exception des ouvrages de même nature dans les parties en béton armé qui sont exécutés par
l'Entrepreneur de Gros-Oeuvre, à condition que tous les renseignements lui soient donnés en
temps utile. Si l'Entrepreneur du présent lot n'a pas fourni assez tôt tous les renseignements
exacts concernant les réservations, (1mois maximum après sa désignation), ces travaux seront de
toutes façons exécutés par l'Entrepreneur de Gros-Oeuvre, à la charge du présent lot.
Le titulaire du présent lot devra respecter les formes et dimensions des éléments de Gros-Oeuvre
liés aux éléments de second oeuvre ainsi que les positions et dimensions des trous et trémies
réservés au passage des fluides.
Après avoir été retenu, cet Entrepreneur sera tenu de contrôler ces formes, positions et dimensions,
avec l'Entrepreneur de maçonnerie, et apporter à ses frais toutes les modifications éventuelles qui
pourraient résulter de variantes proposées par lui et retenues par le Maître d'Oeuvre.
L'Entrepreneur doit également la vérification sur le chantier de la position des réservations exécutées
par le lot Gros Oeuvre.
Tout retard, même en phase intermédiaire, est pénalisable conformément au C.C.A.P et/ou C.C.A.G.
Outre le présent document (CCTP) ainsi que le Cahiers des Clauses Administratives Particulières
(CCAP) l'entreprise,
- Pourra consulter chez le B.E.T ou le Maître d'Oeuvre tous les documents remis pour cet appel
d'Offre
Ces documents constituent le dossier technique restreint qui n'est qu'une partie du dossier complet
qui peut être consulté chez le mandataire du Maître d'ouvrage.
Les pièces écrites et graphiques définissant les moyens constituent pour l'entreprise une obligation de
résultat. En conséquence, elle est tenue de faire les plans d'exécution et de détail en fonction du
matériel réellement employé et de la technique de mise en oeuvre qui lui est propre.
Avant exécution, ces plans devront être approuvés par les Maîtres d'Oeuvre en tant que technique et
prestations, et par un Bureau de Contrôle pour ce qui concerne la sécurité.
* le devis quantitatif dûment complété par les prix unitaires et totaux suivant le modèle joint, en deux
exemplaires.
* une présentation des variantes (s'il en est autorisé et proposé d'autres que les variantes
obligatoires).
Dans les délais fixés au R.P.A.O, et en tout état de cause avant démarrage des travaux,
l'Entreprise devra fournir :
- Choix du matériel
- Réservations
Les plans de réservations et fils d'eau seront fournis pour approbation.
- Plans d'adaptation des installations, détails, coupes en fonction du choix du matériel avec leur
implantation, cotes d'encombrement de détail et de raccordement.
- Schémas de fonctionnement
Ces divers éléments devront être soumis également à l'approbation des architectes et du Bureau
d'Etudes.
- Les échantillons.
L'entreprise devra se soumettre aux demandes du Bureau de Contrôle désigné pour cette opération.
Le dossier complet de l'installation devra être remis par l'entreprise au maître d'ouvrage et au bureau
d'études. Celui comportera les documents suivants :
*Dossier D.O.E
* Manuel de service
- Renseignements généraux
. Liste des fournisseurs de matériels et d'équipements, avec adresse, téléphone, télex, fax,
adresse internet
. Principe de marquage et d'étiquetage des équipements.
- Instructions de marche
- Maintenance et exploitation
L'entreprise devra remettre au maître d'ouvrage un jeu sous format informatique (compatible au
logiciel AUTOCAD) et 3 exemplaires sous format papier (M.Ouvrage, BET, Architecte Mandataire,
l’ensemble du dossier d'affaire constituant les DOE du lot
Le prononcé de la réception de l'installation sera subordonné à la remise des documents sus cités par
l'installateur au maître d'ouvrage et au bureau d'études.
L'entreprise aura l'entière responsabilité des travaux et études effectués par elle, ainsi que toute
incidence dans la mise en œuvre de dispositifs brevetés.
* Tous les appareils de l'installation qui auront une masse importante devront être munis d'un système
de manutention adéquat, permettant aux personnes qui devront assurer l'exploitation de
manutentionner les dits appareils en toute sécurité, selon les règles en vigueur à l'appel d'offres.
* Les locaux et les installations BT et HT devront être équipés de tous les panneaux et dispositifs de
sécurité obligatoires et conformes aux normes en vigueur à la date de la réception.
La nomenclature des travaux décrits dans le devis descriptif du projet est énonciative et non limitative.
L'entreprise sera tenue de remettre, tous les croquis détaillés de montage et, en général, tous les
éléments graphiques, soit pour des modifications aux plans ayant servi de base à l'appel d'offres, soit
pour les détails d'exécution.
L'entreprise sera entièrement responsable des plans et cotes qu'elle doit vérifier et fournir elle-même.
* la mise en place
* l'exécution, dans un délai d'un mois, des modifications ou remarques mentionnées sur les rapports
de visites de chantier ou de réception, ou sur les rapports du Bureau de Contrôle. Toutes remarques
spécifiées et non exécutées dans le délai précité seront considérées comme travaux non terminés.
L'entreprise s'engagera à remplacer ou à modifier, à ses frais, dans un délai d'un mois, toutes les
malfaçons qui pourront être constatées, tant sur le matériel que sur la réalisation des installations.
Les éléments de l'installation précisés au devis descriptif et concernant des marques de matériels ou
matériaux, produits finis ou appareils fabriqués, référence à des catalogues et fabricants, etc..., sont
impératifs pour les qualités, aspects et caractéristiques des fournitures demandées.
Aussi, ne sera-t-il admis aucune fourniture d'un standing différent ou inférieur, et il est bien entendu
que tout le matériel similaire ou techniquement équivalent devra offrir des qualités et garanties en tous
points comparables à celles du modèle cité.
Il est signalé que certains appareils sont choisis en raison de caractéristiques techniques
correspondant à des impératifs du projet (dimensions, masses, puissances et existants) et qu'il ne
pourra être accepté d'appareils dont la mise en oeuvre exigerait une modification des plans, ou
provoquerait des suppléments dans l'économie générale.
L'entreprise devra présenter, avant le début des travaux, un échantillonnage complet du matériel
qu'elle utilisera pour réaliser l'installation. Elle ne débutera la mise en oeuvre qu'après accord des
Maîtres d'Oeuvre. Cet échantillonnage devra rester sur le chantier jusqu'à la fin des travaux, c'est-à-
dire jusqu'à la réception. Il sera entreposé dans un local de chantier réservé à cet effet.
Indépendamment de leur conformité avec les spécifications des documents d'exécution, les matériaux
et fournitures employés seront toujours neufs, d'un type normalisé, de première qualité et mis en
oeuvre avec le meilleur fini, suivant les règles de l'art et de la bonne construction.
En l'absence de normalisation, les fournitures devront être de fabrication courante, suivie et de bonne
qualité.
Les appareils devront avoir une estampille ou un certificat de qualité, délivré par un organisme officiel,
chaque fois qu'une telle qualification existe.
Les appareils devront être garantis par leur constructeur pour l'utilisation envisagée.
Les appareils devront être agréés par les services publics ou par les sociétés concessionnaires,
lorsque ces organismes ont un droit de contrôle sur les installations du Maître de l'Ouvrage. Les
appareils devront être :
* présentés au Maître d'Oeuvre avant l'ouverture des emballages, accompagnés de leur fiche
technique
Le Maître d'Oeuvre se réserve le droit de faire analyser par un laboratoire officiel, aux frais de
l'entreprise, tout appareil, matériel ou matériau qui paraîtrait suspect ou qui ne serait pas conforme à
la spécification du devis descriptif.
L'entrepreneur désignera, dès l'ordre de service de début des travaux, un responsable des études et
du chantier au niveau des relations avec le Bureau d'Etudes, qui devra être l'unique interlocuteur et
ceci pendant toute la durée intégrale du chantier.
L'ensemble des prestations dues sera inclus dans un planning général de réalisation, auquel
l'entreprise du présent lot devra se conformer impérativement.
En conséquence, elle devra prévoir toutes les sujétions nécessaires. En particulier, si la réalisation de
certaines parties de son installation devait être réalisée en dehors des heures et jours ouvrables, ces
impératifs ne devront pas entraîner de supplément au marché.
Il est rappelé que lors de contrôles en cours de chantier par le Maître d'Oeuvre, Maître d'Ouvrage et
Bureau de Contrôle, toutes les observations faisant l'objet de malfaçons, de non conformité eu égard
aux règlements en vigueur devront faire l'objet de travaux de remise en état dans un délai d'un mois
après le jour des contrôles. Passé ce délai, il sera considéré que les travaux sont en retard sur la
planification.
En cours de travaux, le Maître d'Ouvrage ou son Représentant qualifié procédera aux opérations de
contrôle en vue de la réception en présence de l'Entrepreneur ou de son Représentant. Ces
opérations ont pour objet la vérification de la conformité de l'exécution aux prescriptions des pièces du
marché.
Afin de prévenir les aléas techniques découlant d'un mauvais fonctionnement des installations, les
entreprises devront effectuer avant réception les essais et vérifications figurant sur la liste établie par
les assureurs. Les résultats de ces vérifications et essais devront être consignés dans les procès-
verbaux qui devront être envoyés pour examen au Bureau de Contrôle, en 2 exemplaires. Ce dernier
adressera au Maître d'Ouvrage avant la réception des travaux un rapport explicitant les avis portant
sur les procès-verbaux mentionnés ci-dessus.
Les essais visant à faire délivrer le Certificat de conformité sont à la charge du présent lot, le Maître
d'Ouvrage et la Maîtrise d’Oeuvre se réserve le choix de l'organisme de contrôle qui lui convient.
Les tuyauteries seront essayées en charge à la pompe à épreuve à une pression minimum de 8 bars.
Aucune baisse de pression ne devra être enregistrée sur une durée de 24 heures.
Il sera procédé à un essai d'étanchéité des réseaux. Celui-ci sera réalisé à l'aide d'un ventilateur
d'essai dont le débit effectif sera facilement mesurable. Le taux de fuite maximal admissible sera de
3 % et fonction de la norme pour les installations classées ISO.
Si nécessaire, il sera procédé en cours d'essai à un repérage au fumigène des fuites les plus
importantes.
Ces essais donneront lieu à l'émission d'une série de procès-verbaux contradictoires.
Le titulaire du présent lot procédera à l'équilibrage complet de ses réseaux aérauliques. Il sera
effectué en fin de travaux, un contrôle bouche par bouche des débits réels. Ceux-ci ne devront pas
s'écarter de plus de 5 % des débits théoriques calculés.
Après raccordement des équipements, il sera procédé à la préparation des mises en route :
Lorsque l'ensemble des équipements sera mis en service pré-industriel, il sera procédé à un contrôle
acoustique dans les locaux dont la détermination sera à l'initiative du Maître d'Ouvrage.
Sont à la charge de l'entreprise du présent lot, tous les essais réglementaires avec PV définis en titre.
Les essais devront être rédigés sous la forme définie dans le document COPREC n°2.
4.9.10. - CONSTATS
Toute livraison de matériel sur site devra faire l'objet d'un constat contradictoirement accepté par
l'entrepreneur et le Maître d'Oeuvre, le constat devant être diligenté par l'entrepreneur.
4.9.11. - RECEPTION
La réception des installations aura lieu conformément aux dispositions prévues par le CCAP.
Des visites préliminaires à la réception pourront avoir lieu et l'entrepreneur s'engage à y participer et à
mettre en oeuvre toutes les dispositions destinées à rendre ses ouvrages parfaitement
réceptionnables.
Tout le matériel fourni par l'Entrepreneur sera garanti contre tous les vices de construction ou de
matière. L'entrepreneur s'engage à fournir tout justificatif des garanties de ses fournisseurs sur les
matériels qu'il met en oeuvre.
L'installation sera garantie en bon état de fonctionnement pendant une durée de deux ans à partir de
la date de réception. Au cours de cette période, l'Entrepreneur sera tenu :
La réparation ou la fourniture de pièces, pendant cette période ne peut avoir pour effet de prolonger
celle-ci, déduction faite du temps mis pour approvisionner ces pièces.
Pour tout le matériel fourni par l'Entrepreneur, la garantie est celle fixée par les Normes en vigueur.
L'Entrepreneur garantit en outre que l'installation réalisée correspond à toutes les caractéristiques
énoncées par lui dans sa proposition, ainsi qu'à celles précisées par lui dans les documents
d'exploitation. Il s'oblige à mettre l'installation en état si l'exploitation révélait une non concordance
susceptible de nuire à la bonne économie du système et au confort des usagers.
Un mois avant la réception des travaux, l'entrepreneur établira une liste chiffrée des pièces de
rechange nécessaires au bon fonctionnement de l'installation pendant un an.
4.12. - QUALIFICATION
Les entrepreneurs devront avoir réalisé des ouvrages d'importance et de technicité similaires et
devront présenter une liste de références.
Les références devront être accompagnées de toutes les garanties complémentaires concernant leur
responsabilité et leur couverture pour les assurances correspondantes.