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A. CARACTERTISTIQUES
1. RESOLUTION SPATIALE
// qualité de l’image dpd nb lignes/colonnes (=taille pixels) = +petite
distance pr séparer 2 objets
Ordre de grandeur des résolutions d’images pour diff modalités d’images :
Modalité Minimum Maximum
RADIOLOGIE 5122 40962
2
US (Ultra son) + IRM 256 5122
Médecine nucléaire 642 5122050
2. FREQUENCE SPATIALE
1/taille d’1 pixel ↗fréq = détails + petits
3. RESOLUTION EN INTENSITE
Nb de valeurs possibles (dynamique) pr chaque pixels
résolution/profondeur = taille mémoire info pr 1 pixel
↓ resolution en intensité = ↓quali image – importante que pr résolution
spatiale
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B. MEMOIRE OCCUPEE PAR 1 IMAGE C. OBTENTION DES IMAGES NUMERIQUES
Volume de mémoire NxN : N2 x R octets Échantillonnage de la fct image analogique S(x,y) : ΔS.(I-1) < S(x,y) < ΔS.I
R : résolution en intensité (octet/pixel) i (pr ≠ du L)
Exam à P images : P x N2 x R octets Échantillonnage de x : Δ.(l – 1) < x < Δ.l
Echantillonnage de y : Δ.(c – 1) < y < Δ.c
Réalisé par des convertisseurs analogiques-digitaux images
intrinsèquement numériques
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F. AVANTES/INCONVENIENTS
AVANTAGES INCOVENIENTS
- Support unique des images + conservation faible et - chère : PACS - ↓Résolution spatiale
(archivage) - Installation spécifique pr visualisation
- Duplication « à l’identiques » + modif possibles - Srtandar informatique pr imagerie multimodalités (DICOM)
- ↗Résolution en intensité - Temps de transfert
- Quantitative + standardisation - Identification univoque des images
- Transfert image à distance (télémed) - Anonymat
2. COMPRESSION : REDUCTION DE L’ENTROPIE AVEC DEGRADATION IRREVERSIVE DU SIGNAL = « compression avec pertes »
a) Etapes de corrélation b) Etape de quantification
- Représentation des données en 1 ensemble statistiquement ↓entropie + ↗distorsion image : PERTE info
INdép = filtrage info
- Modif PAS entropie (volume d’infos)
- Concentre info (énergie) en coeffs
∫ A ( x , y ) dl
Interprétation :
courbe du bas (schéma) = représentation graphique d’1 intégration compilation pr obtenir sinogramme
B. SINOGRAMME
Rθ(ρ) image bi-dimensionnelle = sinogramme [ ρ : abscisse, θ ordonnée] = assemble de projection enregistrées
Théorème central de la transformée de Fourier : récupérer infos numériques des transformées de Radon
Ensemble des transformées de Radon (=projections) = sinogramme contient ttes infos pr recontituer A(x,y) = on peut
reconstruire exactement l’image initiale détermination de A(x,y) à partir de R = pb inverse +++ , utilisée pr méthode de
rétroprojection filtrée (simple mais incomplète)
C. RETROPROJECTION
Projection particulière de R assos à droite D épandre sur image vierge ts les points projetés sur D
R épandu pour θ [0 - 2π] = image de rétroprojection reproduit principaux aspects de l’image initiale A(x,y) + modif par
flou important = rétroprojection simple artéfacts en étoiles (↓quali image)
Rétroprojection inverse PAS la transfo de Radon, que étalement d’images
Interprétation :
Projection de A(x,y) pour θ donnée bande rectiligne de niv de gris proportionnel à la val
de l’intégrale (+foncé sur bords)
Superposition des projections donne image floue convolution pr ↗netteté (=fonction
de dispersion ponctuelle en 1/r (r=distance origine du référentiel)) : B(x,y) transformée
de A(x,y) par convolution
Equation de convolution : (x,y) = A(x,y).(1/r)
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D. RETROPROJECTION FILTREE
Reconstruire A(x,y) avec image B(x,y) corriger effet de la fct de dispersion en 1/r =
Déconvolution (inverse effet convolution)
Propriété de la transfo de fournier pour une image (T2D) :
- Transforme convolution en multiplication
- Image domaine spatial domaine des
fréquences
1. ORIGINE DU CONTRASTE
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Photon X utilisés (25-139 kJ) interaction photoélectriques (basse énergies 25-50 Kj) + Compton (hautes énergies (110-130 kJ)
Interaction photo électrique Effet Compton
Energies 25 – 50 kJ 110 – 130 kJ
Proba d’effet + tissus avec Z élevé Varie peu
Types de RX Mous meilleur contraste tissus mous mais ↗ dose absorbée Dur tissus osseux
Important de préciser la zone + organe à étudier pr régler contraste ++
2. PRODUITS DE CONTRASTE
Visualisation des organes creux : ↗contraste par pdts contrastes (↗rétention fluide des roganes)
2 types : POSITIFS = atténuent fortement RX avec grand Z (sulfate de baryum, sel d’iode) / NEGATIFS = atténuent – (air, azote, C02)
Récap : Rayon X image radiante (physique) image lumineuse (numérique) analyse par radiologue
E. LA RADIOSCOPIE
1. RADIOSCOPIE CLASSIQUE (rare ajd)
Image lumineuse obtenue sur écran fluorescent + méd observe à travers vitre
protectrice permet études cinétiques mais besoin adaptation 20 min ds obscurité +
irradiation forte utilisée pour tuberculose mais – net que scanner
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F. RADIOGRAPHIE NUMERISEE
MECANISME
Angiographie Amplificateur de brillance avec écran 2ndaire accolé à cible (=oxyde de plomb /
numérisée trisulfure d’antimoine) éclairée par photons lumineux (ligne par ligne) = devient
conductrice
Puis balayée ligne par ligne par fx d’e - signal numérisé par convertisseur
analogique-numérique + stockage disque dur
Avantage : images de soustraction TTT numérique pr soustraire val gênantes
(image opacifiée par bcp structures) visu arbre artériel = info fine
Radiographie Numérisation signal d’une caméra vidéo/dispositif balayage optique par fx laser // radiographie classique :
numérisée par couplée à plaque phospho-fluorescente à mémoire envoie RX sur patient puis Bonne dynamique de contraste ( sup à l’analogie)
système à plaque expo à image radiante qui retient cristaux luminescent de la plaque Résolution
plaques luminescente = LONG permet analyse ↓irradiation + travail sur ordi (≠ travail argentique)
Fenêtre parenchyme pulmo : voit tissu pulmo mais tissus mous = très denses
Fenêtre médiastinale : voit PAS tissu pulmo mais voir médiastin + sein
(image à D = partie TEP , avec foyer puissant (pt lumineux) imagerie hybride
Rappel :
Charge électrique en mvt génère 1 champ magnétique quantifié par moment magnétique (Me : e- , Mn / noyau) donc rotation e- autour du noyau resp de
l’aimantation électronique + rotation noyau sur lui mm resp aimantation nucléaire (étudiée par RMN)
- Noyaux parfaitement équilibrés (pas de spin) / autres non (H) interagir avec champ magnétique externe
Hydrogène :
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Atome orientés aléatoire ds eau mais si place récipient à cot champ magnétique B 0 orientation mm direction des atomes d’H (parallèle ou anti-parallèle si pas
ds mm sens) aimantation apparait = aimantation macroscopique nucléaire, détectable
Mouvement de précession : orientation des champs magnétiques mais noyaux continuent à tourner sur eux-mm
Aimantation macroscopique parallèle champ B 0 + dû au mvt de précession composante horizontale = magnétique, macroscopique, nulle (car grd nb de
protons)
Aimant crée ds espace envrionnant le champ magnétique B une grandeur vectorielle = induction magnétique, dont intensité exprimée en Tesla (T)
Moment magnétique de l’aimant : aussi 1 grandeur vectorielle + soumis à champ magnétique extérieur, l’aimant soumis à un couple de force qui l’oriente ds
sens du champ.
Qd B0 moments magnétiques élémentaires des protons s’orientent ds champs avec mvt de précessions autour de B 0 ds 2 direction : parallèle (état fonda) /
antiparallèle (excité)
- Vitesse de rotation du mvt de précession : ω0 = γ.B0 (γ = cste gyromagnétique ) rapport entre moment magnétique dipolaire/moment cinétique
- Nb protons à l’état fonda > nb état excité aimantation ds mm sens que B0 (détectable)
Cas : application champ (impuls élec génère champ B 0) tournant à la gréq de LARMOR, ꓕ à B0 intéraction avec H + absorption énergie par le système
entraine :
- ↓nb H à état fonda car spin change de sens + moment magnétique μ parallèle à anti//
- Synchro ds plan transversal de la composante horizontale : photons basculent en anti// mvt rotation de précession
2 conséquences niv moment magnétique M :
- ↓composante longitudinale ML, // à B0 (car ↗effet anti//)
- ↗composante transversale MT = tourne autour de la freq de LARMOR + détectée par apparition courant induit sinusoïdal de fréq v 0 ds une bobine
(côté) d’axe ꓕ à B0
Le moment magnétique global : M = ML + MT
Il a double mouvement de précession : autour B0 avec une fréq n0 = γ.B0/2π + autour B1 avec fréq n1= γ.B1/2π.
Champ BL impulsions π/2 pr faire tourner l’aimantation de 90° (mettre à l’horizontal) / impulsion π = 180° pr inverser haut/bas
Aimantation crée niv tissus basculée par une onde radiofréquence = phénomène de résonnance : relation de LARMOR pf fréq émise : f0 = (γ/2π). B0.
Angle d’aimantation :
- Détermine par puissance émise : onde transmisse pdt durée courte (ms) impulsion de radiofréq caract
- Décrite par repère O(x,y,z) : axe 0x //champ magnétique B0 ( tte composante //champ magnétique = LONGITUDINALE ≠ ꓕ = TRANSVERSALE)
- Après envoi de l’onde radio : composante longitudinale ↗progressivement + apparition temps T1 (temps de relaxation longitudinal/spin-réseau) =
phénomène de relaxation suit loi exponentielle
- T2 : tps relaxation pour composante transverse/spin-spin suit loi expo
- T1 ≠ T2 ds maj tissus biologiques permet image IRM pondérées en T1 ou T2
Au final, combinaison des mvts de précession + relaxation permet retour à l’éq de l’aimantation : T1 > T2 (=caract vitesse↓ composante transversale
pour impulsion π/2 par BL )
B. IRM FONCTIONELLE
Visualiser activation zones cérébrales ac précision topographique au mm taches physiques + intellectuelles (calculer, émotions..)
- Basée sur prop magnétiques du fer de l’Hb : modif champ magnétique local ds tissus //concentration locale en 02 (qui ↗avec débit sg local ds zones
activées) : [locale] ↗ ds tissu donc GR – porteurs d’02
- Hb désat (désoxyHb) = effet paramagnétique (↗champ magnétique local) ≠ oxyHb pas d’effet tps relaxation ≠ sg 02+ /sg 02-
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