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Marc-Antoine

Charpentier 1643-1704
Transfige
dulcissime Jesu
H 251

COLLECTION CH UR
LES MAÎTRES DU PARNASSE FRANÇAIS
Édition de Louis Castelain

Éditions du Centre de musique baroque de Versailles


CAH.240
3

SÉRIE LES MAÎTRES DU PARNASSE FRANÇAIS

Cette série témoigne du travail de recréation de l’ensemble Le Parnasse français qui, depuis ses débuts,
s’attache à présenter en concert des œuvres rares ou inédites du patrimoine musical français. Les partitions
proposées ont fait l’objet d’une édition et, le cas échéant, d’une recomposition des parties manquantes par
Louis Castelain, directeur musical du Parnasse français, en vue de leur exécution.

NOTE HISTORIQUE

Marc-Antoine CHARPENTIER (1643-1704). Né à Paris, Charpentier partit vers 1660 en Italie où, sous
l’influence du compositeur Giacomo Carissimi, il entreprit des études de musique. De retour en France, il
s’installa chez Mademoiselle de Guise, puis fut demandé par Molière pour écrire la musique de ses comédies-
ballets, parmi lesquelles se distingue notamment Le Malade imaginaire (1672). Charpentier fut ensuite nommé
Compositeur de la Musique du Dauphin. À la mort de Mademoiselle de Guise, en 1688, il fut employé par
les Jésuites et devint Maître de musique du collège Louis-le-Grand, puis de l’église Saint-Louis, rue Saint-
Antoine. C’est à cette époque qu’il composa la majeure partie de son œuvre sacrée. En 1698 enfin,
Charpentier fut nommé Maître de musique des enfants de la Sainte-Chapelle du Palais, poste qu’il occupa
jusqu’à sa mort. Dans le domaine profane, il laissa quelques divertissements (Actéon, Les Plaisirs de Versailles,
Les Arts florissants ) et surtout son unique tragédie en musique, Médée, créée à l’Académie royale de musique
en 1693.
Le texte du motet Transfige dulcissime Jesu H.251 est la prière dite “ de Saint-Bonaventure 1 ”, habituellement
réservée au prêtre après la communion. Comme le précise Charpentier dans son titre 2, ce motet est une
élévation, destiné donc à être chanté pendant la messe avant la communion, au moment où le prêtre élève
l’hostie.

DESCRIPTION DES SOURCES

Sources musicales
A : Elevation a 5 sans dessus de viollon [ Transfige dulcissime Jesu]
dans
Mélanges, tome XX, cahiers 39, f. 63v - 67v
[H.251]
Partition, manuscrit autographe
F-Pn / Rés Vm1 259

B : [Sans titre]
dans
Mélanges, tome VIII cahiers [49], f. 1
[H.430]
Partition, manuscrit autographe
F-Pn / Rés Vm1 259

A est la source principale de la présente édition. La source B consiste en une page unique contenant les
onze dernières mesures du Transfige, à l’identique de A. D’après le nombre total de mesures noté par
Charpentier à la fin de ses copies, cette version du Transfige fait 341 mesures, contre 312 mesures pour la
version présente dans A. Il existe donc deux versions de ce motet. Sachant que A date de 1683, et B de
1686 3, et que par ailleurs les onze dernières mesures de A comportent des repentirs, à l’inverse de B, il
existe donc une deuxième version du Transfige, plus longue et postérieure à celle présentée dans cette
édition. On peut imaginer que cette deuxième version, dont nous ne conservons que la fin, contient les
quelques passages de la prière de Saint-Bonaventure que Charpentier n’a pas mis en musique dans A4.

1. Giovanni da Fidanza (c. 1220-74), dit Bonaventure : théologien franciscain, docteur de l’Église.
2. Elevation a 5 sans dessus de viollon
3. Catherine Cessac, Marc-Antoine Charpentier, Fayard, 2004, p. 530, 548
4. Voir Texte et traduction, passages en italique.
4

Source littéraire
E : FLORES/ SELECTI/ SEU/ EXERCITIA SPIRITUALIA/ Ad Sacro-Sanctum Missæ Sa-/ crificium piè
celebrandum,/ Cum quibusdam resolutionibus morali-/ bus in gratiam Christi Sacerdotum,/ Studio & opera IOANNIS
HEN-/ RICI MANIGART Leodij SS./ Theologiæ Licenciati Protho-/ notarij Apostolici & Pastoris/ S. Remigij in
Ciuitate Leod./ LEODII,/ Apud IOANNEM MOTTET,/ in Palatio 1656.
F-LYm / SJ A 325/107

TEXTE ET TRADUCTION

Les passages de la prière absents de la source musicale A sont en italique. Les mots absents de E et présents
dans A sont entre crochets.

ORATIO S. BONAVENTURÆ [PRIÈRE DE SAINT BONAVENTURE]


Transfige, dulcissime Domine Jesu, medullas et Transpercez, mon doux Seigneur Jesus, les moüelles et
viscera animæ meæ, suavissimo ac saluberrimo entrailles de mon ame par une tres-douce et tres-salutaire
amoris tui vulnere, vera serenaque et Apostolica playe de vostre amour, et par une vraye apostolique et
sanctissima charitate, ut langueat et liquefiat tres-saincte charité, afin qu’elle languisse et se liquefie
anima mea solo semper amore, et desiderio tui tousjours en ce seul et divin amour, et au desir de vous
te concupiscat, et deficiat in atria tua, cupiat seul, qu’elle vous desire et se pasme en la pensée de vos
dissolvi, et esse tecum. tabernacles, et qu’elle souhaite d’estre deliée de son corps
pour estre et demeurer avec vous.
Da ut anima mea te [semper] esuriat, panem Faites que mon ame ait [toujours] faim de vous, ô sacré
Angelorum, refectionem animarum sanctarum, pain des Anges, qui estes la refection5 et nourriture des
panem nostrum quotidianum supersubstantialem, ames sainctes, nostre pain quotidien et supersubstantiel,
habentem omnem dulcedinem et saporem, et qui a toute douceur et saveur, et tout plaisir de suavité.
omne delectamentum suavitatis, te, in quem Que mon cœur, ô bon Jesus, ayt tousjours faim de
desiderant Angeli prospicere, semper esuriat et vous, et vous mange, vous mon Dieu, que les Anges
comedat cor meum, et dulcedine saporis tui desirent regarder ; et que les entrailles de mon ame
repleantur viscera animæ meæ, te semper sitiat soient remplies de la douceur de vostre saveur. Que
fontem vitæ, fontem sapientiæ et scientiæ fontem toujours mon esprit soit alteré6 de vous, ô fontaine de vie,
æterni luminis, torrentem voluptatis, ubertatem fontaine de sagesse et de science, fontaine de lumiere
domus Dei, te semper ambiat, te quærat, te eternelle, torrent de voluptez, abondance de la maison de
inveniat, ad te tendat, ad te perveniat, te Dieu. Que tousjours il vous desire, vous cherche, vous
meditetur, te loquatur et omnia operetur in trouve, aspire à vous, parvienne à vous, vous medite, vous
laudem et gloriam nominis tui, cum humilitate et parle, et fasse et opere toute chose en la loüange et gloire
discretione , cum dilectione et delectatione, cum de vostre nom, avec humilité et discretion, avec amour
facilitate et affectu , cum perseverantia usque in et plaisir, avec facilité et affection, et avec perseverance
finem : jusques à la fin.

Et tu sis solus semper spes mea, tota fiducia mea, Que tousjours, ô mon Dieu, vous soyez mon esperance,
divitiæ meæ, delectatio mea, jucunditas mea, toute ma confiance, mes richesses, ma liesse, mon plaisir,
gaudium meum, quies et tranquillitas mea, pax ma joye, mon repos et ma tranquilité, ma paix, ma
mea, suavitas mea, odor meus, dulcedo mea, suavité, mon odeur, ma douceur, ma viande, ma refection5,
cibus meus, refectio mea, refugium meum,auxilium mon refuge, mon aide, ma sagesse, ma portion, ma
meum, sapientia mea, portio mea, possessio possession et mon thresor, auquel mon esprit et mon
mea, thesaurus meus, in quo fixa, et firma, et cœur soient tousjours fixement attachez et fermement
immobiliter semper sit radicata mens mea, et cor enracinez.
meum. Amen.
Amen.
Advis et exercices spirituels, pour bien employer les jours, les
semaines, les mois et les années de la vie. Par le R. P. Jean Suffren de
la Compagnie de Jésus […]. Paris, 1646, p. 477

5. le repas
6. Que toujours mon esprit ait soif de vous.
5

NOTES POUR L’INTERPRÉTATION

Si l’absence d’indication de type seul ou tous dans le manuscrit peut faire penser à une œuvre composée
uniquement pour cinq solistes, la précision sans dessus de violon du titre semble faire référence à une œuvre
d’ensemble ayant la particularité de ne pas être accompagnée par les violons, comme c’est habituellement
le cas. En l’absence d’éléments historiques probants, on pourra choisir une configuration à cinq chanteurs
solistes ou avec un ensemble vocal, en confiant à des solistes les sections à une, deux et éventuellement
trois voix.
L’ornement . m , propre à Charpentier, est un tremblement commençant par la note réelle.

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Son exécution est la suivante :
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PRINCIPES D’ÉDITION
Les corrections sont de trois ordres :
1. Les corrections évidentes (répétitions d’altération, modernisation des altérations) ne font l’objet d’aucune
graphie particulière et ne renvoient pas aux notes critiques.

2. Les ajouts et remarques de l’éditeur qui intéressent l’interprétation sont signalés dans le cours de la
partition, de cette manière :
- petits caractères pour les altérations et les notes ;
- crochets pour les chiffrages et les indications de tempo ;
- notes en bas de page pour les notes critiques.

3. Toutes les autres corrections sont signalées dans les notes critiques en fin de volume.

Nous avons modernisé l’orthographe de certaines indications de Charpentier en précisant systématiquement


les termes originaux dans les notes critiques.
Charpentier dans son autographe utilise des liens de croches sur 7 ou 8 notes, rendus aisément
compréhensibles par le sens mélodique de leur courbure manuscrite. Dans une gravure moderne, devenues
rectilignes, de telles ligatures perdent ce sens mélodique et s’avèrent peu aisées à comprendre. Nous avons
choisi de traduire ces groupes de croches, présents dans les voix, de la manière suivante :

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Plusieurs systèmes du manuscrit voient la portée de basse continue confondue avec celle de la basse
chantante. Dans ces passages, nous avons rétabli en petites notes la basse continue, en proposant des
rythmes plus en accord avec les autres sections de basse continue que ceux de la voix de basse.
Comme l’a bien expliqué Graham Sadler 7, les altérations ou les chiffrages paraissant manquants dans la
basse continue, ne sont pas des inexactitudes dans le système de Charpentier. Pour éviter les erreurs de
lecture, nous avons rétabli entre crochets les altérations attendues dans le système moderne, sans pour

7. Graham Sadler, Idiosyncrasies in Charpentier’s continuo figuring: their significance for editors and performers, dans Les manuscrits autographes
de Marc-Antoine Charpentier, textes réunis par Catherine Cessac, Mardaga, 2007
6

autant ajouter de chiffrage manquant. Par ailleurs les barres de prolongation d’harmonie sont des ajouts de
l’éditeur, afin de conserver à la gravure la permanence de l’altération de la tierce signifiée par l’écriture
manuscrite.

manuscrit édition
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Disponible
Éditions du Centre de musique baroque de Versailles
Marc-Antoine Charpentier, Transfige dulcissime Jesu
• Matériel d’orchestre, CAH.240-MO
Basse continue
Basse continue (basse d’archet)
7
TRANSFIGE DULCISSIME JESU
Élévation à 5 sans dessus de violon

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[Basse]
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CMBV – CAH.240
30

NOTES CRITIQUES

Les mesures à ∫ et ¢ sont uniformément divisées en 4 temps.

Emplacement Partie(s)
Commentaires
(mesure.temps) concernée(s)
1 elevation a 5 sans dessus de viollon

25 d1 wvDrrrrrrfN

45.3 d2 e devant si

75.1 hc z devant mi

114 faites icy une grande pause

126 bc wvh
v x v v v v v v vgw

235, 239 hc wvrrrrrrrfN

238, 239 d2 wvrrrrrrrfN

240 d1 wvrrrrrrrfN

258.2 d2 z au dessus de la portée s’appliquant à un ut gratté (repentir)

288.2-3 d1 A xA Z

288.2-3 hc Avv xRE

297 hc wvrrrrrrrfN

303.1-2 bc B : 5 e6
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307.1-2 bc A : 6 ; B : e6
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310.1 bc A :7 ; B : 7
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