Principe 1: Équité
AMO: principe contributif et
de la mutualisation des risques.
Principe 2: Solidarité
RAMED : solidarité nationale
au profit de la population démunie.
Principe 3: Égalité
Sans discrimination aucune due à :
•l'âge, au sexe,
•la nature de l'activité,
•le niveau et la nature de leur revenu,
•leurs antécédents pathologiques
•leurs zones de résidence.
c.
Nombre de décès d’enfants de 0 à 5 ans au court d’une période (t) × 1000
Le nombre d’enfants de 0 à 5 ans au court de la même période
d.
Nombre de décès d’enfants de moins de 1 an au court d’une période (t) × 1000
Le nombre de décès d’enfant au court de la même période
INDICATIONS
22. Après la pose d’un appareil plâtré, l’infirmier doit surveiller chez le
patient :
a. La conscience du malade
b. La douleur sous plâtre
c. La tension artérielle
d. La sensibilité du membre
Traitement :
Corriger le déficit hydrosodé en apportant de l’eau et du sel (sachet ou
cp )
En cas de déshydratation sévère : perfusion IV de sérum physiologique à
9g/l de nacl, si collapsus : remplissage par des macromolécules (gélatines,
hydroxyéthylamidon)
Traitement de la cause (minéralocorticoïdes, arrêt des diurétiques,
insulinothérapie…)
25. Devant un enfant, âgé de deux ans, présentant une fièvre à 40°,
l’infirmier doit
faire en urgence :
a. Couvrir l’enfant d’un linge chaud
b. Administrer un antibiotique à l’enfant
c. Donner un bain tiède à l’enfant
d. Administrer à l’enfant du Valium
29. Parmi les pathologies suivantes, lesquelles peuvent entraîner une crise
convulsive généralisée chez le jeune enfant :
a. Hypothermie
b. Hypokaliémie
c. Hyperthermie
d. Hypoglycémie
Les amibes peuvent être retrouvées dans les selles à condition d’être
recherchées rapidement car, une fois à l’extérieur de l’organisme de la
personne parasitée, elles meurent rapidement. Pour le diagnostic de
l’amibiase intestinale, cet examen parasitologique doit donc se faire sur
des selles fraîchement émises. On retrouve rarement les amibes dans le
liquide contenu dans les abcès qui est prélevé par une ponction. Au cours
de l’amibiase cutanée, elles peuvent être retrouvées dans les biopsies des
bords des ulcères. En visualisant directement les lésions, l’endoscopie aide
à faire le diagnostic d’amibiase colique.
La recherche d’anticorps anti-amibiens dans le sang (sérologie) fait partie
des examens qui permettent de confirmer le diagnostic d’amibiase
hépatique. Elle est également intéressante pour le diagnostic des autres
amibiases, à l’exception de l’amibiase intestinale.
L’échographie abdominale révèle la présence d’abcès au niveau du foie et
la radiographie thoracique met en évidence les lésions amibiennes des
poumons et/ou de la plèvre.
31. Parmi les signes suivants, lesquels doivent faire redouter un choc
septique :
a. Une hypertension
b. Une hypotension
c. Une température > 40°
d. Des frissons
LE CHOC SEPTIQUE
*Urinaire.
*l Digestive. .
* Respiratoire.
*Génitale. .
* Veineuse. .
* Cutanée. .
*Rôle du terrain. .
°Diabète.
°mmuno-su ppression.
°Corticothérapie.
°Cirrhose.
Cliniquement :
Traitement :
32. Parmi les gestes à faire pour éviter les complications du plâtre de
l’avant bras,il
faut :
a. Administrer un antalgique
b. Surveiller les extrémités
c. Vérifier que le plâtre n’est pas serré
d. Surélever le membre par une écharpe
Complications mécaniques
Obstruction de la sonde ;
Migration de la sonde : se rendre aux urgences s'il s'agit d'une stomie digestive ;
Erosions des muqueuses (nasale, oro-pharyngée, œsophagienne, gastrique) et de la paroi
abdominale, avec risques infectieux aux niveaux ORL et péri-stomial.
Complications métaboliques
Intolérance glucidique ;
Déshydratation ;
Syndrome de renutrition inappropriée.
Complicationsdigestives
Reflux gastro-œsophagien, avec risque majeur d’inhalation bronchique et pneumopathie
d’inhalation (URGENCE) ;
Diarrhées : osmotiques, infectieuses (rares) ou par malabsorption : 3 à 4 selles liquides par
jour ;
Constipation ;
Nausées, vomissements ;
Douleurs abdominales ;
Météorisme abdominal.
34. Lors d’une ventilation artificielle, l’infirmier doit changer le filtre anti
bactérien :
a. Toutes les 4 heures
b. Toutes les 6 heures
c. Chaque jour
d. Tous les 2 jours
36. La ou les phrases exprimé (es) en terme d’objectif (s) de soins est (sont) :
a. Le patient sera capable de réaliser seul ses injections d’insuline d’ici 8 jours
b. Aider le patient à se mettre au lit tous les soirs
c. Proposer au patient des frictions à l’eau de Cologne
d. Le patient ira à la selle d’ici 4 jours
39. Parmi les critères qui doivent être pris en considération par l’infirmier
lors de la réalisation d’un prélèvement de sang sur lame, dans le cadre de
dépistage du paludisme dans une zone indemne de paludisme :
a. Antécédents fébriles
b. Fièvre inexpliquée
c. Céphalées
d. Fièvre associée à une toux, ou à une angine
A)Le dépistage :
L’examen le plus fréquent est la recherche d’œufs de schistosomes dans les urines
Immuno électrophorèse
Examens complémentaires :
Eosinophilie ( 0,5 g/l ) pendant la phase d’invasion des larves
(moins élevée pour S. haematobium que pour les autres bilharzioses)
Dépistage sélectif :
Action continue sur toute l’année réalisé à l’occasion
VERS LA C/S
Le patient est enregistré dans un registre
SIAAP=>Foyer n’est pas connu
Compagne de masse
Devant chaque cas il faut le classer :
Si cas autochtone il faut le classer autochtone
si le cas est importé il faut le déclarer à la province d’
origine
dépistage de masse :
prélèvement, examen et traitement sur place