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Concours 2010

1) Le secteur Etatique de santé comprend :


 Le réseau hospitalier public
 Les officines
 Les hôpitaux des soins des ligues et fondations
 Les services de santé des forces armés royales
 Les bureaux municipaux et communaux d’hygiène

Secteur public (Etatique)


 Le ministère de la santé (Offre de soins du MS :Réseau hospitalier,Réseau de
soins de santé primaires, RISUM,REMS, Instituts et Laboratoires nationaux )
 Les services de la santé des FAR (infrastructures sanitaires importantes:
hôpitaux et de champs avancés, infirmeries de garnison et de sous secteurs,
bataillons médicaux,
magasins d’approvisionnement sanitaire, écoles de santé militaire) Les moyens
d’intervention mis en œuvre à travers le pays sont destinés à assurer la prise en
charge de la santé des militaires et de leurs familles.
 Les services de santé relevant des collectivités locales: BMH (Bureaux
municipaux et communaux d’hygiène)

2) La politique du ministère de la santé consiste en :


 La formulation des politiques de santé applicable aux activités intra et
intersectorielle et fixation des priorités
 Revalorisation et rentabilisation des ressources humaines
 Répartition rationnelle et équitable des fonds et des subventions entre
les régions et provinces
 Régulation et coordination de développement du secteur
 Développement de la législation sanitaire
Quelles sont les attributions du ministère de la sante ?

a) Elaboration et mise en œuvre de la politique gouvernementale en matière de santé de la


population

b) Agit, en liaison avec les départements concernés , en vue de promouvoir le bien-être


physique, mentale et social des habitants

c) Harmonise les orientations et coordonne les objectifs et les actions ou mesures qui
concourent à l’élévation du niveau de santé dans le pays et intervient afin d’assurer, au
niveau national, une meilleure allocation des ressources, en matière de prévention, de soins
curatifs ou l’assistance

d) Elaboration et mise en œuvre de la politique nationale en matière de médicaments et de


produits pharmaceutiques sur les plans technique et règlementaire

e) Assure le suivie de la politique sanitaire internationale à laquelle le Maroc contribue, définit


en concertation avec les départements concernés, les options de coopération dans le
domaine de la santé, assure la mise en application et le suivie de réalisation des programmes
convenus.

f) Assure le contrôle de l’exercice des professions médicales, paramédicales et


pharmaceutiques, conformément aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur.

Aspects programmatiques des activités de vaccination :


3) Parmi les maladies suivantes lesquelles sont prévues dans le
 Vaccination
programmecontre l’hépatite
national virale type B
d’immunisation :
 Vaccination contre la tuberculose
 Vaccination contre la poliomyélite
 La tuberculose
 Vaccination anti tétanique
 La méningite
 Vaccination contre le pneumocoque
 La rougeole
 Vaccination contre la rougeole
 La typhoïde
 Vaccination contre la rubéole
 Le tétanos
 Vaccination contre le rota virus
 Vaccination contre la diphtérie le tétanos et la coqueluche et les infections
invasives dues à l’Hémophilus influenza de type B et l’hépatite virale de
type B: Penta (DTC+HB+Hib)
Direction de la planification et des ressources financières
Attributions :
4) Les attributions de la direction de la planification et des ressources
financières
1. Contribution sont :
à la définition des orientations en matière de la planification

sanitaire dans le pays informatique du personnel
Tenue d’un fichier
 Gestion de la banque des données techniques sur les médicaments
2. Réalisation des études
 Développement de sectorielles oubilatérale
la coopération intersectorielles en vue d’analyser la
et intersectorielle
situation sanitaire
 Contribution à la définition des orientations en matière de planification
sanitaire
3. Harmonisation des programmes d’action en liaison avec les organismes publics
ou privés des méthodes comptables, conformément aux orientations nationales en
matière de prévention, de soins et d’encadrement sanitaire
4. Recherche et proposition des projets d’infrastructure liés à la carte sanitaire
5. Coordination de l’action du ministère dans le domaine budgétaire et mise en
place des crédits en les déléguant aux sous ordonnateurs et tenue de la
comptabilité de tout le département
6. Réalisation d’études économiques sur le système de santé en termes
d’évaluation et de prévision
7. Jouer le rôle d’observatoire d’utilisation des moyens budgétaires et
extrabudgétaires

8. Contribution à la mise en œuvre du système de l’assurance maladie dans les


limites des compétences du ministère
9. Promotion de la coopération dans le domaine de la santé, recherche, inventaire
et mobilisation des aides de coopération
5) La division de la communication comprends 3 services ; lesquels ?
 Service de la communication
 Service de la maintenance
 Service des études et des acquisitions
 Service de l’information et de l’éducation sanitaire
 Service de production
Division De l’information et de la communication :
 Le service de la communication institutionnelle
 le service de l’information et de l’éducation sanitaire
 le service de production des supports d’information et de
communication

6) Le mode participatif est préconisé pour :


 La population située à plus de 6 Km
 le mode participatif :
 La population située à plus de 8 Km
 leLa
Fait dans cadre de l’approche
population situéecommunautaire,
à plus de10 Kmpar des personnes identifiées
localement appelées agent communautaires ex : Kablas, Fkihs, enseignants des écoles
 La population non accessible au moyen de liaison proche
(MEN) Le principe est basé sur l’exploitation de ces ressources locales pour renforcer
l’action des autres modes ou pour faire face à un problème particulier (amélioration des
conditions d’accouchement, eau potable...) Le mode participatif est préconisé pour :
 La population située à plus de 10 Km
 La localité non accessible aux moyens de transport
 La difficulté d’accès pour la population aux points de contact organisé dans le cadre
d’un système d’itinérance ou d’équipe mobile.
7) Un hôpital local comprend les disciplines suivantes :
 L’ophtalmologie
 La dermatologie
 La médecine interne
 La pédiatrie

Premier recours ou Niveau de proximité (Hôpital local) :


 Médecine
 Chirurgie
 Obstétrique
 Pédiatrie
 Urgence

8) Le sida peut se transmettre par :


 Voie sanguine
 Rapport sexuel
 Voie aérienne
 Voie hydrique

Il existe trois modes de transmission du virus VIH :


 Transmission par voie sexuelle
 Transmission par inoculation directe de sang
 Transmission pendant la grossesse, l’accouchement ou l’allaitement
9) La prophylaxie de sida est basé sur :
 L’hygiène de vie collective
 La contraception
 La fidélité conjugale
 L’utilisation des objets personnels
10) Les missions des IFCS(ISPITS) sont :
 Le développement de la recherche fondamental
 La formation du personnel paramédical
 …

Les différents ISPITS sont chargés d’assurer les missions suivantes : 


 La formation de base .
 La formation continue .
 La recherche scientifique et technologique favorisant le développement de la
profession infirmière et des techniques de santé ; Le renouvellement des
pratiques infirmières et techniques de santé.
 L’organisation des services et des soins infirmiers ;.
 La réalisation d’expertises liées aux domaines des professions infirmières et des
techniques de santé.

11) Une étude de type cas témoin est :


 Une étude de cohorte
 Une étude de prévalence
 Une étude expérimentale
 Une étude analytique
L‟épidémiologie analytique consiste en la mise en évidence et l‟analyse des relations
qui existent entre les maladies et différents facteurs (facteurs de risque). On distingue
- Etudes expérimentales (expérimentation) L'équipe réalisant la recherche maîtrise les
conditions d'exposition des sujets. L‟affectation des sujets dans un des groupes peut-
être décidée par tirage au sort. Exemple : essai clinique pour évaluer l‟efficacité d‟un
nouveau traitement.
-Etudes d'observation Les chercheurs observent la situation (les groupes) sans
intervenir sur les conditions d'exposition des sujets inclus dans l‟étude. Parmi les
études d‟observation, on distingue :
- Les études descriptives : transversale, longitudinale (cohorte)
- Les études analytiques : transversale, cohorte, cas-témoins, les deux dernières étant
les plus importantes.
TYPES D ETUD épidémiologique
Ce sont des études analytiques qui permettent d'évaluer ce risque relatif. Il en existe trois types: les études de cohortes, les études
cas-témoins et les études expérimentales ou essais.
12) Parmi ces maladies, quelles sont celles concernés par la PCIME ?
 Les IRA
 Les diarrhées
 La rougeole
 La poliomyélite
13) Le taux d’accroissement annuel en 2004 est :
 2.58%
 2.38%
 2.61%
 1.50%
1.25 % EN 2014
14) La capacité litière (tout secteur confondus) au Maroc en 2014 :
 32626
 33660
 34560
Centres Hospitaliers Universitaires (CHUs)
 Hospitalier
Le Centre 35660 est un établissement public doté de la personnalité morale et de
 21 332
l’autonomie financière. Il est soumis à la tutelle du Ministère de la Santé. Il a été crée en
en 2014
vertu de la Loi 82.00 promulguée par le Dahir 1.01.206 du 10 Joumada II 1422 (30 août
 22075 en 2015
2001) modifiant et complétant la loi 37.80 relative aux centres hospitaliers, promulguée par
le Dahir1.82.5 du 30 rabia I (15 janvier 1983). 
15)MISSIONS
Les hôpitaux
:  universitaires ont :
La mission du CHU
 Une missionconcerne trois axes
de soins, principaux: 
diagnostic et de formation
* Les soins : 
Le CHU prodigue
Un caractère
des soinsnational
de niveau tertiaire. A cet égard, il offre des prestations médicales
 Un statut
et chirurgicales particulier
courantes et spécialisées en urgence et ou en activités programmées ; 
 Un conseil d’admission
* L’enseignement : 

Le CHU assume cette mission en partenariat avec la Faculté de Médecine et de Pharmacie et


l'Instituts Supérieurs des Professions Infirmières et Techniques de Santé. A ce titre, il
concourt à l’enseignement clinique universitaire et postuniversitaire médical et
pharmaceutique et participe à la formation pratique du personnel infirmier ; 

* La recherche : 

Les travaux de recherche médicale et des soins infirmiers sont menés en collaboration avec
la Faculté de Médecine et de Pharmacie et les unités de formation et de recherche
étrangères. 
Le CHU concourt aussi à la réalisation des objectifs fixés en matière de politique de santé
prônée par l’Etat. 
16) La prévalence de la cécité au Maroc est de :
 1.5%
 1.63%
 1.67%
 0.76%

PROGRRAME NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA CECITE


La lutte contre les maladies oculaires et cécitantes est une préoccupation majeure du Ministère
de la Santé du Royaume du Maroc. Dans ce cadre, la Direction de l’Epidémiologie et de Lutte
contre les Maladies a réalisé une Enquête Nationale sur les Causes de la Prévalences des
Déficiences Visuelles (ENCPDV) au Royaume en 1992, cette étude avait permis d’estimer
l’ampleur de certains problèmes de morbidité oculaire. La prévalence de la cécité était de
0,76% : o Celle de la baisse de vision bilatérale de 2,27%. o Celle de la perte unilatérale de
vision de 2,8%. La cataracte représentait la principale cause de cécité et de la baisse de vision
bilatérale (50%) suivi du glaucome (14%) et des opacités cornéennes (10%).

17) La stratégie 2012-2016 du ministère de la santé prévoit la formation


d’un effectif du personnel paramédical d’ici 2013(2012) :
 3300
 2950
 3160
 3200
 1339
18) La tuberculose est une maladie contagieuse due au bacille d’Eberth :
 Vrai
 Faux

La tuberculose est une maladie contagieuse due au Bacille de Calmette et Guerin

19) La lutte contre le cancer au Maroc fait intervenir plusieurs secteurs :


 Vrai
 Faux

20) La prévention primaire est basée sur la vaccination :


 Vrai
 Faux

Items spécifiques aux infirmiers Polyvalents :

1) La surveillance d’un patient sous héparine consiste à :


 Faire un bilan de l’hémogramme chaque jour
 Vérifier si le patient prend des anti-inflammatoires
 Assurer une alimentation riche en lipides
 Contrôler les constantes (TA,T°,Pouls)
 Même s'il existe des éléments permettant d'identifier un cancer avec une grande probabilité,
le diagnostic de certitude ne se fait que sur analyse au microscope (anatomopathologie)
d'un échantillon de la tumeur (éventuellement aidé par d'autres techniques comme le
scanner, l'IRM voire parfois l'échographie). Cet échantillon vient soit d'une biopsie (simple
prélèvement d'un morceau de la tumeur) qui peut être faite, suivant la localisation, suivant
différentes procédures (fibroscopie, ponction à travers la peau…), soit d'une pièce
opératoire (tumeur enlevée par le chirurgien).

 Numération plaquettaire tous les 4 à 7 jours. TCA : Un traitement bien équilibré nécessite
un TCA 2 à 3 fois plus long que le temps du témoin. Héparinémie (Activité anti-Xa) :
L'héparinémie correspond à la mesure de l'activité de l'héparine. Il n'existe pas de valeur
standard car les résultats dépendent des conditions du traitement, de l'héparine utilisée et de
son mode d'administration.
2) La préparation du futur opéré est basée sur :
 Le diagnostic du patient
 Les compétences de l’équipe chirurgicale
 Les caractéristiques du patient
 La disponibilité du matériel opératoire
3) Un malade alité qui ne se déplace pas risque de faire :
 Une infection urinaire
 Une phlébothrombose
 Des escarres
 Des constipations
 Des broncho-pneumopathies
Cardio-vasculaires: HBPM doses préventives Bas de contention force 2
- Œdème de décubitus massages drainage lymphatique posture déclive
- Thrombose veineuse Mobilisations actives et passives

- Désadaptation cardiaque Verticalisation sur table Contractions musculaires


pluriquotidiennes Médullaires: bas de contention,
ceinture abdominale, attention à l’HRA lésion > T6
Respiratoires: Postures alternées en DL Kinésithérapie: vibrations,
- stase bronchique encombrement respiration dirigée abdominale, déclenchement du
- hypoventilation des bases réflexe de toux lors d’1 expiration prolongée
- Atélectasies Hydratation aérosol thérapie hématose contrôlée
- Pneumopathies nosocomiales (SaO2>90%)
Digestives: Surnageant protecteur (Gaviscon) Motilium,
- reflux gastro-oesophagien Duspatalin position semi-assise mesures hygiéno-
- contipation diététiques laxatifs doux (lactulose) massages du cadre
- dilatation gastrique colique lavements non irritants évacuation des
- Anorexie fécalomes
-
Urinaires: boissons abondantes recherche de résidus
- stase vésicale asymptomatiques Rechercher RPM (bladder scan)
- infections urinaires Enlever les SUD avec catalogue mictionnel et
- hypercalciurie d’immobilisation protocole Avis spécialisé (MPR, neuro-urologie) en
- lithiases particulier médullaires et SEP..
- Risque de détérioration du haut appareil?
Ostéo-articulaires: Travail musculaire actif pluriquotidien Installation du
- ostéopénie fragilisante patient Postures en mousse Mobilisations actives ou
- raideur articulaire (flexum de hanche, de genou, passives quotidiennes
équin des pieds)
Musculaires: Renforcement musculaire actif apports protidique
- diminution de force équilibrés mobilisations articulaires étirements
- fonte musculaire
Neurologiques:
- compression des N. périph.
- Confusion
- hallucinations angoisse
Cutanées: Installation
- Escarres choix du support
- abcès profonds changement de position
- fistules effleurages (?)
- ostéites ostéo-arthrites éviter macération
Apports nutritionnels
Mesures de rééducation

4) Le diagnostic de certitude d’une tumeur maligne du poumon est fait


par :
 L’IRM
 La tomodensitométrie
 L’examen anatomopathologique
 La biopsie
5) L’infection nosocomiale est une infection :
 Intra hospitalière
 Communautaire
 Survenant 48 heures après l’hospitalisation
 Survenant 4 jours après l’hospitalisation
6) Un patient qui a un choc hémorragique présente les signes suivants :
 Tension artérielle basse et pouls rapide
 Pâleur, frisson, angoisse, sueur froide
 Marbrure cutanée, soif intense
 Pouls filant, extrémité froides, cyanose

L'état de choc hémorragique peut se révéler, outre par une hémorragie extériorisée, par les
signes suivants :
 hypotension
 tachycardie
 état d'agitation
 troubles de la vigilance (obnubilation, coma)
 pâleur
 sueurs
 extrémités froides
 marbrures (témoignant d'une souffrance tissulaire)
 oligurie (diminution du volume des urines)
 polypnée

7) La torsion testiculaire est une urgence chirurgicale, peut-elle se


compliquer par ?
 Une nécrose testiculaire
 Une stérilité
 Une anoxie et mortification testiculaire
 Une augmentation du volume du testicule atteint
La torsion testiculaire peut entraîner les complications suivantes: blessures ou la mort du testicule:
Lorsque torsion du testicule ne est pas traitée à temps, bloquant l'écoulement de sang peut
causer des dommages permanents ou la mort du testicule. Si le testicule est sévèrement
endommagé, il doit être enlevée chirurgicalement Incapacité d'avoir des enfants: dans certains
cas, les dommages ou la perte d'un testicule affecte la capacité d'un homme d'avoir des enfants

8) Pour éviter les complications de décubitus, l’infirmier doit :


 Faire marcher le patient
 Donner à boire aux malades au moins 1.5 litre par jour
 Placer un matelas anti escarre
 Faire des changements de position
9) Les premiers moyens de lutte contre l’infection nosocomiale sont :
 Tenue complète et propre
 Hygiène des locaux et évacuation correcte des déchets
 Observance du lavage des mains
 Stérilisation du matériel
 Désinfection du matériel
10) Le dispositif intra utérin (DIU) est une méthode contraceptive
indiquée :
 Chez une femme nullipare
 Chez une femme allaitante
 Chez une femme ayant une contre indication à une grossesse
 Chez une femme acceptant les troubles du cycle que pourrait
induire le DIU
 Chez une femme en septième semaine en post-partum
Les femmes de tout âge fécond ou de toute parité qui:
$ Veulent une contraception à long terme très efficace
$ Allaitent
$ Sont post-partum et qui n’allaitent pas
$ Sont post-avortement
$ Sont à faible risque de contracter des MST
$ Ne ne peuvent pas se rappeler de prendre la pilule tous les jours
$ Préfèrent ne pas utiliser de méthodes hormonales ou qui ne
devraient pas les utiliser
$ Ont besoin d’une contraception d’urgence
Les DIU ne devraient pas être utilisés si la femme:
$ Est enceinte (grossesse connue ou soupçonnée)
$ A des saignements vaginaux inexpliqués jusqu’à ce que la cause soit
déterminée et que tout problème sérieux ait été traité
$ A une MIP courante ou récente
$ A des pertes purulentes aigues (comme du pus)
$ Nulliparité
$ Malformation de l’utérus.
$ Infection génitale.
$

11) Les méthodes contraceptive très efficaces (indice de Pearl  1% AF)


regroupent :
 La vasectomie
 La stérilisation tubaire
 Les injectables
 Les implants
 La pilule oestro-progestative

12) La grippe AH1N1 :


 C’est une maladie pandémique
 D’origine porcine, aviaire et humaine
 D’origine porcine et humaine
 D’origine porcine, et aviaire
Cette maladie est provoquée par un nouveau virus de la grippe A de sous-type H1N1. Ce virus est
différent de ceux de la grippe saisonnière, également de type A-H1N1. En effet, le virus contient
des gènes de plusieurs virus connus d'origines porcine, aviaire et humaine.

13) Les oreillons est une maladie virale qui atteint :


 Derrière les oreilles
 Les glandes salivaires
 Les oreilles
 Devant les oreilles

14) Les complications de la pneumonie sont :


 Choc septique
 Pneumothorax
 Hémothorax
 Pyothorax
La pneumonie désigne une infection des poumons liée à une bactérie dans la majorité des cas, et sinon à
d’autres germes comme des virus et des champignons. Les principaux symptômes évocateurs d’une
pneumonie sont la survenue d’une forte fièvre, d’une toux grasse, d’un essoufflement, d’une douleur dans la
poitrine.

Mais la pneumonie peut aussi se compliquer et devenir grave en l’absence de traitement approprié ou chez
certaines personnes fragiles (jeunes enfants de moins de 2 ans, personnes âgées, en cas de baisse
immunitaire, de certaines pathologies respiratoires, etc.) : Infections du sang ou bactériémie (le germe
responsable de la pneumonie est véhiculé par le sang et contamine d’autres organes).

Abcès du poumon (du pus se forme dans le poumon). Épanchement pleural (du liquide s’accumule entre les
deux feuillets de la plèvre).

Complications :
 choc septique et sepsis grave
 Maladie thrombo-embolique
 Pleurésie
 Syndrome de détresse respiratoire aiguë
 Pneumothorax (rare)
 Un épanchement pleural
 Un abcès au poumon.
 Une production abondante et chronique de mucus

15) La contamination de la méningite se fait par :


 Voie aérienne
 Voie digestive
 Voie sanguine
 Les gouttelettes de FLUGGE
Comme tous les agents pathogènes de la méningite bactérienne classique, les
méningocoques (Neisseria meningitidis) se transmettent par la salive. La
contamination se fait généralement par aérosol (toux, éternuements), l'utilisation
d'objets contaminés (boire dans le même verre) et par le baiser.
A l'occasion de la toux, de la parole et de l'éternuement, le malade ayant une tuberculose
pulmonaire excavée, (malade bacillifère ou malade contagieux) émet des micro-gouttelettes de
mucus (gouttelettes de Flügge) qui contiennent des bacilles tuberculeux (1 à 3
bacilles/gouttelette) (Figure 7).
16) La prise en charge du patient au niveau des urgences est :
 Assurée selon un circuit standard quelque soit le degré de
l’urgence
 Conditionnée par le triage systématique des patients
 Basée sur le principe du premier venu est le premier servi
 Tributaire de l’état de santé du patient
17) La reprise de l’alimentation de l’opéré est systématique le 2ème jour
quelque soit la pathologie :
 Vrai
 Faux
18) La rougeole est une maladie immunisante :
 Vrai
 Faux
19) Le signe évocateur d’une méningite cérébrospinale est surtout la
raideur de la nuque :
 Vrai
 Faux

LES PARTICULARITÉS DE LA MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE Le début est généralement brutal. La fièvre est
d'emblée très élevée. Des petits boutons de purpura sont très fréquemment associés et constituent un
critère de gravité qui impose l'appel, immédiat au samu. Les douleurs dans les articulations sont très
fréquentes. Une torpeur et une grande fatigue Chez la personne âgée, le début est encore plus brutal, avec
apparition rapide d'un coma profond avec des convulsions. Il apparait souvent un bouton de fièvre au
niveau de la lèvre supérieure.

 La méningite cérébro-spinale aussi appelée méningite à méningocoque est une


méningite rare mais sévère.
 Le méningocoque est très contagieux et  se transmet par les postillons. C'est
pourquoi en cas de méningite de ce type, toutes les personnes au contact de la
personne infectée doivent prendre des antibiotiquesspécifiques à titre
préventif.

20) La pose d’un appareil plâtré est indiquée en cas de fracture ouverte
de la jambe :
 Vrai
 Faux

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