Mode opératoire :
Au début, nous avons trouvé le montage de l’expérience déjà réalisé par les
professeurs, ce montage est composé d’une poulie étagée qui est liée à une tige de
longueur réglable et à son extrémité une masse m, de l’autre côté elle est liée à un
capteur d’angle qui est lié à son rôle à la console EXAO, cette dernière est connectée à
un ordinateur avec lequel on va faire l’acquisition.
Après on exécute le logiciel ̎Atelier scientifique ̎, sur l’interface qu’on obtient, on se
dirige vers l’icône acquisition, après on positionne le capteur d’angle en ordonné et le
pendule en abscisse.
Capteur d’angle
Dans la fenêtre ʺfonction du tempsʺ : on règle la durée d’acquisition sur 10s, et on entre un
nombre de points égal à 301.
Après on réalise le réglage du zéro du système dispositif.
On passe après à l’acquisition en vérifiant le réglage du zéro au début de chaque nouvelle
expérience.
Tout au long de la première expérience, on étudie l’influence de l’angle sur la période en
laissant les autres grandeurs fixes.
Dans ce but, on lance trois expériences, sous différents angles 10°,20° et 30°, et on les
nomme respectivement α10°, α20° et α30°.
De la même manière pour vérifier les autres grandeurs, on lance trois expériences à
conditions initiales distinctes.
Résultats expérimentaux :
Pour α10° :
Pour α20° :
Concernant α30° :
Pour m100g :
Pour m200g :
Les mesures qu’on a trouvé sont :
T=1,3 s T= 1,29667 s
Pour l20m :
Pour l40m :
T= 1,1 s T= 1,26667 s
Interprétation des résultats :
Mode opératoire :
Au début, nous avons trouvé le montage de l’expérience déjà réalisé par les
professeurs, ce montage est composé d’un support vertical gradué, sur lequel est
installé deux capteurs optiques et un réceptacle pour la bille.
Ce dispositif avec capteurs est connecté à l’interface ESAO, cette dernière est liée à
son tour à l’ordinateur.
On règle la verticalité du dispositif avec le fil à plomb.
On exécute le logiciel (Atelier scientifique) et on choisit le module (chute de bille et
plan incliné).
On place chaque capteur a une hauteur précis et on entre cette hauteur dans le
logiciel.
On lance l’acquisition et on lance la bille en même temps afin d’avoir la vitesse
instantanée de la bille au niveau des hauteurs qu’on a choisi.
On change les hauteurs afin d’avoir plusieurs valeurs de la vitesse.
Résultats expérimentaux :
y =f(t)
Figure 1
V= f(t) :
Figure 2
V2=f(y) :
Figure 3
V=f(t) :
Figure 4
Le tableau des valeurs :
y t V V2 W
m s m/s m2/s2 J
0 0,00E+00 0,00E+00 0,00E+00 0
0,1 1,31E-01 1,31E+00 1,72E+00 0,01372
Figure 5 0,15 1,64E-01 1,64E+00 2,69E+00 0,02058
0,2 1,91E-01 1,91E+00 3,65E+00 0,02744
0,25 2,16E-01 2,14E+00 4,58E+00 0,0343
0,3 2,39E-01 2,43E+00 5,90E+00 0,04116
0,35 2,59E-01 2,54E+00 6,45E+00 0,04802
0,4 2,77E-01 2,72E+00 7,40E+00 0,05488
0,45 2,95E-01 2,88E+00 8,29E+00 0,06174
Le tracé de W = f (v2) :
Figure 6
1- Figure 5.
2- D’après les deux expériences, on remarque que la vitesse reste inchangeable pour
chaque hauteur. Alors la masse n’a pas d’influence sur la vitesse de la bille.
3- a. à partir de la figure 3, on remarque que V2(y) est une fonction linéaire de coefficient
1 1
directeur a1=18,8m.s-2 alors a1~2.g, alors V2=2gy, donc Ec= 𝑚𝑉 2 = 𝑚. 2. 𝑔𝑦= mgy.
2 2
b. la fonction W=f(V2) est une fonction linéaire de coefficient directeur a2~0,007Kg
1 1 1
alors a2= . 𝑚, donc W= 𝑚𝑉 2 = m.2.gy= mgy
2 2 2
Alors on conclut que : ΔEc=W
But de la manipulation :
Vérification du principe fondamental de l’hydrostatique en utilisant l’expérimentation assistée par
ordinateur.
Mode opératoire :
Schéma :
Systeme multimédia
Capteur de pression 3B 3B NETlogTM
Protocole :
Au début, nous avons trouvé le montage de l’expérience déjà réalisé par les
professeurs, ce montage est composé d’une éprouvette graduée remplis par l’eau,
d’une sonde liée au capteur de pression 3B, ce dernier est branché au canal A du
système multimédia 3B NETlogTM qui permet d’afficher les valeurs prise de
l’expérience qu’on exploite par le logiciel 3B-NETlab.
On exécute le logiciel, puis on se dirige vers «Laboratoire de mesure» ensuite
«crée un nouvel enregistrement» et on nomme notre enregistrement.
On configure l’entrée en déterminant la grandeur mesurer dans notre cas c’est la
pression et son unité en Pa.
Apres on définit la hauteur en se dirigeant vers Formules→Editer→N-indice de valeur
de mesure. Par la suite on entre le nom de la formule et son unité (hauteur et cm).
On lance l’acquisition en cliquant sur « Entrées OK » puis « Démarrer » et on
commence à immergé la sonde lentement jusqu’à l’arrivée à la profondeur.
Résultats expérimentaux :
Figure 1
On traduise le tableau à la
courbe suivante :
Figure 2
On limite la courbe
étudier et on la modélise
sous forme de droite, on
obtient :
Figure 3
Interprétation :
1- Figure3
2- P0 correspond à la pression atmosphérique.
3- Détermination du produit ρg :
On sait que : P=ρgh+P0 et comme la figure 3 donne : P=ah+b
Alors ρg=a=96,451 Pa.cm-1 = 9645,1Pa.m-1
Théoriquement on a : ρg= 1000*9,8N.m-3 = 9800Pa.m-1
D’où, la valeur théorique de ρg est presque la même que l’expérimentale.
Objectif
L’objectif de cette expérience est d’étudier l’influence du courant électrique sur le champ
magnétique créé par un solénoïde en son centre tout en déterminant la valeur de la perméabilité du
vide.
Mode opératoire
Effectivement, au début, on a pu se familiariser avec le montage déjà réalisé au cours des séances
précédentes. Ce dernier est compose essentiellement d’un solénoïde long à 2 enroulements lie d’une
part à un adaptateur qui est lié à la console EXAO, cette console est connectée à un ordinateur qui
nous permet de lancer le logiciel de l’atelier scientifique afin de traiter les données.
D’abord, on positionne les 2 capteurs en abscisse et en ordonnée, puis on croche couleur et liaison
sur le menu affichage tout en réglant le zéro de la composante horizontale du champ magnétique.
Finalement, on passe à l’acquisition en variant le courant sans oublier de valider de Bx durant
chaque expérience.
Résultats expérimentaux
On fait les mesures de B=f(i) pour différentes valeurs de N (nombre de spires) et on obtient :
Pour N=200 spires Pour N=140 spires
µ0
U.S.I
1,30E-06
1,33E-06
1,33E-06
1,34E-06
𝑁
Tel que : B=𝜇0 𝐿 𝐼
Alors la valeur de µ0 trouvée expérimentalement est très proche de celle trouve théoriquement.
But de la manipulation :
Relever la puissance P d’une cellule solaire pour différents éclairements lumineux en fonction d’une
résistance.
Déterminer les résistances de charges optimales avec lesquelles on atteint à chaque fois la puissance
maximale de la cellule et tout ça bien sûr à l’aide des allures de courbes obtenues.
Mesurer la tension à vide et l’intensité du courant de court-circuit pour chaque éclairement tout en
calculant les résistances internes de la cellule solaire.
Mode opératoire ;
Afin de réaliser le montage, on commence par placer une lampe devant la cellule solaire a environ 30
cm, ensuite, on oriente cette dernière perpendiculairement à la lumière incidente tout en la connectant
aux douilles de 4 mm du champ OUTPUT. On finit par raccorder la résistance de charge aux douilles
de 4 mm du champ INPUT.
N.B :
La température influe sur la puissance de la cellule, pour cette raison, il faut l’exposer aux rayons de
la source lumineuse 15 min avant de relever les valeurs mesurées.
Sans oublier de mesurer l’éclairement maximal afin de déterminer l’emplacement optimal.
Procédures
On lance le logiciel CASSY LAB 2, ensuite, on clique sur visualiser les paramètres de mesures puis,
sur Joule mètre et Wattmètre puis sur tension courant.
On choisit valeur moyenne et relevé manuel afin de paramétrer les variables considérées. En fin, on
croche sur ajouter une nouvelle série.
Pour définir la résistance demandée, on clique sur Calculatrice/Formule.
Concernant le traçage des résultats, on clique sur Représentation/Standard et sur Graph/Calcul pour
déterminer les pics et leurs valeurs.
Apres le suivi des étapes du relevé de la caractéristique, on passe à l’exploitation.
Exploitation
Après l’acquisition, on obtient les résultats suivants :
P=f(R1) :
P=f(U)
I=f(U)
*les facteurs qui influent sur la puissance fournie par la cellule solaire sont :
La température la puissance lumineuse
L’inclinaison la résistance de charge
*La cellule ne doit pas être inclinée pour avoir une puissance maximale telle que le rayonnement
soit direct.
La puissance maximale de la cellule solaire est atteinte pour une valeur de R=2,972Ω
Matériel nécessaire
Ordinateur PC.
Logiciel généraliste Regressi.
µA
mV
Ensuite, on entre les valeurs données au tableau et on clique sur l’icône graphe.
Puis on clique sur modèle, et on choisit le modèle adéquat (dans ce cas il s’agit d’une exponentielle).
Et on obtient le graphe suivant :