Conséquences = isolement social caractérisé par retrait apathique. Augmentation du taux de suicide.
A la différence des sujets + jeunes, les SA ne « se ratent » pas ( passage à l'acte réussi).
Dépression qui augmente le taux de suicide. Sans traitement : diminution de l’espérance de vie, de
la qualité de vie, du bien-être + répercussions sur l'entourage social.
Diag complexe car souvent confondu avec des symptômes fonctionnels dûs à l'âge + augmentation
des polypathologies, de la médication (pouvant aussi être à l'origine de trouble de l'humeur).
Méprise de l'état dépressif comme les conséquences normales du vieillissement = tableaux cliniques
atypiques.
→ Etiologie
Existence de nombreux modèles expliquant la dépression du SA. Mais modèle retenu dans ce cours
est le modèle biopsychosocial.
TOUS les éléments sont en interdépendance ( ex : deuil = baisse du système immunitaire).
Critères diagnostiques de la dépression majeure (pas toujours évident par rapport au coup de
cafard). Changements cognitifs / Troubles comportementaux.
Cristallisation sur le négatif qui créer un renforcement de l'état négatif.
Trouble qui devient majeur au delà de plusieurs semaines (2 semaines selon le DSM V).
Dont :
– humeur dépressive
– perte d'intérêt/ plaisir
(Obligatoire)
– perte ou gain de poids sans régime spécifique
– insomnie / hypersomnie
– agitation / ralentissement psychomoteur
– fatigabilité
– sentiment de dévalorisation / culpabilité excessive
– diminution de la faculté à penser
– pensées de mort récurrentes
→ Dépression sévère quand presque tous les symptômes ( + que les 5 obligatoires).