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2. Lisez les conseils ci-contre. Les quels peut-on donner aux personnes de l’enquête ?
Le(s) conseil(s) qu’on peut donner
à Élodie :
1. Pensez que l’interlocuteur étranger est souvent indulgent car il a peut-être les
mêmes difficultés que vous.
5. Ayez des automatismes
7. Créez une relation de sympathie avec votre interlocuteur.
à Aurélien :
2. Dites tout de suite à votre interlocuteur quel est votre problème.
6. Posez des questions à votre interlocuteur. Écoutez-le.
7. Créez une relation de sympathie avec votre interlocuteur.
à Alexandre :
1. Pensez que l’interlocuteur étranger est souvent indulgent car il a peut-être les
mêmes difficultés que vous.
4. Dirigez la conversation sur les sujets que vous connaissez.
5. Ayez des automatismes.
7. Créez une relation de sympathie avec votre interlocuteur.
à Corinne :
3. Préparez-vous à parler sur quelques sujets quotidiens et fréquents : vos voyages,
votre famille, votre ville, etc.
4. Dirigez la conversation sur les sujets que vous connaissez.
7. Créez une relation de sympathie avec votre interlocuteur.
Etre à l’aise = merasa nyaman x être mal à l’aise = merasa tdk nyaman
4. Par quels mots ou expressions du tableau peut-on remplacer les mots suivants ?
Propositions :
a. Un cancer = malade, atteinte de cette maladie que l’on n’ose, que l’on ne veut pas
nommer.
b. Un aveugle = pour ne pas choquer ou peiner, ne pas être trop direct.
c. Un chômeur et un clochard = pour éviter que le terme ne soit assimilé à une opinion
négative que certains ont de ces personnes, les croient responsables de leur situation, et
pensent qu’ils s’y complaisent.
d. Un vieux = âgée qui se sent encore jeune ou se donne des airs de « jeune », refuse
d’admettre son âge.
e. Mourir = qui est proche de la mort, pour ne pas peiner cette personne et son entourage,
pour ne pas prononcer un mot qui fait peur.
f. Un mensonge = pour ne pas être trop catégorique, surtout quand on hésite sur la vraie
nature de ce qui a été dit.
g. Une femme de ménage = qui exerce cette profession, peut juger ce terme méprisant.
5. Complétez cette conversation. Vous parlez avec un étranger qui parle moins bien
français que vous.
Proposition :
Vous : Pour Noël, je prends des vacances.
L'étranger : Qu'est-ce que ça veut dire « Noël » ?
Vous : Noël est une fête. Le 25 décembre, (c’est) on célèbre l’anniversaire de la
naissance de Jésus. Je pars avec deux copines.
L'étranger : C'est quoi, « des copines » ?
Vous : Des copines, ce sont des amies. Elles sont sympas. C'est pas des filles qui râlent
tout le temps.
L'étranger : Tu as dit « râlent ». Ça veut dire quoi ?
Vous : « Râler », c’est grogner, protester, manifester sa contrariété, sa mauvaise
humeur. Nous allons faire du ski dans les Alpes.
L'étranger : « Les Alpes », c’est quoi ?
Vous : C’est la plus haute chaîne de montagne française, (elle se trouve) dans l’est-
sud-est de la France.
6. Lisez ci-contre des témoignages des personnes qui ont dû apprendre l’anglais. Quels ont
été leurs problèmes ?
Premier texte :
Comme Antoine de Maximy n’avait pas bien appris l’anglais, quand il parlait, il réfléchissait
trop aux mots qu’il voulait (devait) employer (à dire).
Deuxième texte :
Emmanuel Davidenkoff devait beaucoup préparer ses interviews et manquait de réflexes,
d’automatismes en anglais.
être être
J’ suis + participe Je me suis + participe passé
passé Tu t’es
Tu es Il s’est
Il est Nous nous sommes
Nous sommes Vous vous êtes
Vous êtes Ils se sont
Ils sont
Attention :
Quand l’auxiliaire est « être », il faut accorder le participe passé au sujet.
C’est-à-dire, quand le sujet est féminin, on ajoute un « e » au participe passé.
On ajoute un « s » au participe passé quand le sujet est au pluriel et « es » quand le
sujet est féminin et au pluriel.
Rentrer = to go home
Rendre = to give back
Entrer = to get in
Tu as visité le Louvre ?
Oui, j’ai visité le Louvre.
Non, je n’ai pas vu le Louvre.
Tu as mangé chez des amis ?
Non, je n’ai pas mangé chez des amis.
Tu as bu beaucoup ?
Non, je n’ai pas bu beaucoup.
Tu es resté(e) ici dimanche ?
Non, je ne suis pas resté(e) ici.
Exemple :
Qui s’occupe de la cuisine chez vous ?
C’est ma mère qui s’en occupe.
Exemple :
Tu as des sœurs ? Non, je n’en ai pas.
Tu as des frères ? Oui, j’en ai un.
Il y a du monde au concert de Cold Play ? Oui, il y en a beaucoup.
Au petit déjeuner, tu bois du café ? Non, je n’en bois pas.
Tu manges du pain ? Oui, j’en mange.
Le soir au dîner, tu bois de la bière ? Non, je n’en bois pas.
On utilise les pronoms COD (me, te, le/la/l’, nous, vous, les) pour quoi ?
Pour remplacer le COD dont les déterminants sont :
(articles définis) : le …/la …/l’…/les …
(adjectifs possessifs) : mon, ma, mes/ton, ta, tes/son, sa, ses/votre, vos/notre, nos/leur, …
(adjectifs démonstratifs) : ce …/cet …/cette …/ces …
Exemple :
Sindi, tu connais Kezia ? Oui, je la connais.
Tu connais Salman ? Oui, je le connais.
Tu aimes tes parents ? Oui, je les amie.
Tu m’écoutes ? Oui, je vous écoute.
Tu invites Karin, Salman et moi à la fête de ton anniversaire ? Oui, je vous invite.
Asley, regarde ce garçon ! Il est très sympathique. Tu le connais (ce garçon) ?
Tu as bien aimé tes vacances à Lombok ? Oui, je les ai aimées.
On utilise les pronoms COI (me, te, lui, nous, vous, leur) pour quoi ?
Pour remplacer le CO des verbes à/pour quelqu’un.
Téléphoner à + quelqu’un
Parler à
Dire à
Répondre à
Donner à
Ecrire à
Envoyer à
Montrer à
Présenter à
Expliquer à
Servir à
Offrir à
Souhaiter à
Acheter pour
Demander à
Proposer à
Etc.
Exemple :
Comme tu n’habites pas avec tes parents, tu leur téléphones souvent ?
Oui, je leur téléphones tous les (trois) jours.