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DÉPARTEMENT GESTION
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MÉMOIRE DE MAÎTRISE
Thème :
Sous la Direction de :
Avant tout, je voudrais remercier Dieu pour sa grâce, son aide qui m’a permis de finir mes
études et de réaliser ce travail.
A tous ceux qui le près et de loin qui ont contribué à l’élaboration de ce mémoire
Pages
Le SAMBIRANO a été choisi comme cadre de cette étude car c’est une des régions
de Madagascar qui produit du café et du cacao marchand en quantité et en qualité
appréciable.
De fait, il est devenu évidant qu’au lieu de livrer à l’étranger des produits bruts, il
est préférable de les transformer avant de les exporter.
Dès lors, les gens s’intéressent beaucoup à la culture de café mais le prix ne cesse
de baisser.
La troisième partie concerne l'étude financière du projet. Il faudra s'assurer qu'un tel
projet est effectivement rentable. L'analyse financière nous amène des preuves palpables en
dégageant la rentabilité de ce projet. Mais le problème auquel il faut s'attaquer est les
sources de financement de ce projet. Mais toujours est-il que des solutions éventuelles
1
peuvent être trouvées surtout lorsqu'il s'agit des projets qui entre dans le domaine du
développement du secteur artisanal d'où indirectement du domaine touristique.
2
PREMIERE PARTIE :
IDENTIFICATION DU PROJET
PREMIERE PARTIE :
IDENTIFICATION DU PROJET
Pour commencer, notons que la recherche de la genèse d'un projet lorsqu'elle est
possible ne relève pas de la simple curiosité, elle représente au contraire un élément
important de l'évaluation à posteriori en permettant de construire les objectifs initiaux du
projet. A l'origine d'un projet on peut tracer la politique de développement définie par le
plan national dont il constitue localement l'expression. On peut aussi trouver les aspirations
locales de la population représentée au niveau nationale par l'administration où elle se
traduit en action spécifique.
Selon le cadre dans lequel les acteurs de l'entreprise se situent, un projet sera tantôt
comme une réponse à l'émergence et à la concurrence de nouveaux fabricants ou
prestataires de services.
3
1.2. Historique
Le cacao est une plante d’origine Américain qui était introduite chez nous vers
l’année 1900 à Tamatave.
Vers l’année 1958, les colons faisaient l’étude de cette filière dans différentes
régions de Madagascar. Le Sambirano a été retenu lors de cette étude car c’est la seule qui
produit du cacao marchand en quantité appréciable grâce à son micro-climat qui répond
aux besoins de cette plante (conditions climatique la température, l’existence de deux vents
dominants (les alizés et les moussons).
Un jour, nous avons eu une discussions entre étudiantes et c’est au fil de notre
conversation que le sujet à propos du « cacao » entra en jeu.
4
SECTION 2 : CARACTÉRISTIQUES DU PROJET
Ensuite de standardiser donc déprécier les caractères casaction les produits après
fixation le leurs et les dimensions du type de production retenu.
• Au niveau du gouvernement
- le ministère du Commerce
- le ministère de l’Agriculture
• Au niveau bailleur
- Banque mondiale
5
• Procédures administratives d'exportation
Une déclaration de sortie qui doit être établie sur un formulaire douanier imprimé
série "E" qui est en vente dans les librairies.
- la valeur FOB.
Liste de colis sage indiquant les volumes, les poids et d'autres informations
concernant le conditionnement des marchandises embarquées.
Certificat de contrôle d'origine CCO (arrêté du 05 Juin 1947, J.O. du 13'09/47 page
906).
• Réglementations douanières
* Document à présente
- El. pour une exportation en simple sortie des produits non pétroliers.
6
- E3. pour une entrée et une sortie d'entrepôt d'exportation de produits non
pétroliers.
- El. pour une exportation en simple sortie en procédure simplifiée et colis par
voie postale.
- E9. pour les autres cas d'exportation: Liquidation d'office, zone franche,
entreprise franche.
- RI. pour une réexportation directe ou en suite dépôt, de transit de produits non
pétroliers (finis): Transbordement vers un port étranger- ravitaillement.
- R3. pour une réexportation en suite dépôt des produits non pétroliers.
- - R9. pour les autres cas de réexportation. Zone franche, industrielle, eni reprise
franche.
- le décompte de valeur.
* Droit à l'exportation
Les exportations sont, sauf exonération expresse, soumises aux Droits de Sortie et à
la Taxe Conjoncturelle (l'application des Droits de Sortie est suspendue pour les autres
produits). La base de ces droits et taxes est la valeur FOB des marchandises.
* Contrôle qualité
7
Le contrôle de cette direction est subséquent à une demande de vérification
préalablement établie par l'exportateur. À la date de contrôle, les marchandises doivent être
déjà emballées, marquées, classées par types de produits conformément à la norme ou
clauses de contrat et bien arrimées.
8
CHAPITRE II : ETUDE DU MARCHE
a) Dénomination de l’entreprise
La méthode utilisée est l’enquête plus précisément la méthode par sondage, c’est à
dire, on interroge un nombre limité de personnes et l’on extrapole les résultats à l’ensemble
de la population concernée. On interroge au hasard les passants dans les rues (enquête par
questionnaire et questionnaire par interviews directes), et on constitue un échantillon
représentatif des personnes.
9
4- Quand est ce que vous achetez du chocolat ? par jour par semaine
par mois
5- Combien de tablettes ou de paquets achetez-vous ?
1 Tablettes + 1 tablette
1 Paquet + 1 paquet
6- A quel prix l’achetez-vous ?
7- Où achetez-vous du chocolat ?
Dans l’épicerie ? Dans le Supermarché ? Autres ?
8- Qu’est ce qui freine votre désir ?
Prix coûteux ? Santé ? Qualité ? Autres ?
9- Qu’est ce que vous achetez du chocolat pendant la fête ?
Noël ? Pâques ? Autres ?
10
RESULTAT DE L’ENQUETE
Santé 10 25 15 50
Autres 10 15 15 40
- Composantes
Lait aromatisé 90 60 15 165
Nature 20 35 5 60
Noisettes 20 15 20 55
- Moment
30 30 10 70
Jour
60 30 15 105
Semaine
30 30 15 95
Mois
- Nombre de chocolat consommé
60 30 9 99
+ 3 tablettes
20 30 9 59
3 tablettes
25 20 10 55
½ paquet
10 20 7 37
1 paquet
5 10 5 20
+ 1 paquet
- Prix 1 paquet
30 40 24 94
+ 5000 Fmg
90 70 16 176
- 5000 Fmg
- Lieu
50 40 15 105
Epicerie
30 35 15 80
Supermarché
40 35 10 85
Autres
- Frein
80 90 5 175
Prix
30 50 20 100
Santé
20 30 10 60
Qualité
20 30 5 55
Autres
- Achat
50 70 30 150
Noël 50 80 20 150
Pâques 20 10 10 40
Autres
Source : Notre enquête.
D’après ce tableau, nous analysons que les enfants et adolescents entre 2 à 16 ans
consomment beaucoup de chocolat par rapports aux jeunes de 16 à 30 ans ; les + 30 ans ne
le consomment pas beaucoup. D’après notre enquête, 90% des enfants aiment les chocolats
pour ses goûts sucrés et 70% de jeunes pour le goût et 25% pour les + 30 ans.
11
Les enfants aiment le chocolat au lait aromatisé en premier lieu et puis le chocolat
nature et le chocolat aux noisettes. Les jeunes aiment le chocolat au lait aromatisé en
premier lieu et puis le chocolat nature et enfin le chocolat aux noisettes. Les adultes
consomment le plus des chocolats aux noisettes et puis au lait aromatisé et enfin nature.
12
Tableau n°3 : Distribution des variables par profession
Agriculteur Commerçant Fonctionnaire Etudiant Autres
Enfant 120 30
Adolescent 5 30 25 100 30
Adulte 10 25 20 - 35
D’après ce tableau, nous pouvons dire que les étudiants achètent beaucoup de
chocolats que les travailleurs.
- USA
- Maurice
- Allemande
- Belgique
- Royaume -Uni
- France
13
SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRE ET DE LA CONCURRENCE
Ce sont les produits des opérateurs qui travaillent directement dans le même secteur
au la même branche. Nos concurrents directs sont la chocolaterie Robert, J.B., les produits
importés…
14
2.3. L’offre de notre entreprise
Nous avons fixé le prix de nos produits avec la stratégie d’alignement du marché.
Ce dernier consiste à vendre à peu près le même prix du produit similaire qui se trouve
déjà sur le marché à condition que ce prix soit rentable et c’est le cas.
• Cacao
• Chocolat
C'est un produit obtenu par le mélange de sucre et de pâte cacao ou poudre ayant
l'objet d'un graissage partiel, additionné de beurre de cacao en proportion telle que 100g du
produit contiennent sous réserve des dispositions particulières relatives aux chocolats, au
minimum 35g de pâte de cacao renferment au moins 18g de beurre de cacao.
15
• Beurre de cacao
C'est une matière grasse extraite directement des fèves de cacao, décortiquées,
dégermées soit de pâte de cacao ayant subi ou non le traitement destiné à la préparation du
poudre de cacao solubilisé cette extraction ne peut se faire au moyen de solvants que sur
leur emploi est autorisé par le ministère de la santé publique. Le beurre de cacao peut être
traité comme suit :
- filtré centrifugé
- cacao sucré ;
Elle est de limiter les exportations par des quotas. Ces quotas devraient être calculés
pour chaque exportateur à partir des volumes exportés des années précédentes. Les
mesures à mettre en place :
16
Les règlements n'autorisent pas la récolte des de cacao que pendant la période de
coupe entre le mois d'octobre et le mois de mai, afin de permettre aux arbres de maintenir
leur productivité.
C'est dans cette perspective que nous concevons d'une manière plus intense cette
étude d'offre et de demande.
Après l'étude du marché, nous passons à quelques théories applicables dans l'étude
financière qu'on verra en troisième partie.
17
SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
Santé 10 25 15 50
Autres 10 15 15 40
- Composantes
Lait aromatisé 90 60 15 165
Nature 20 35 5 60
Noisettes 20 15 20 55
- Moment
30 30 10 70
Jour
60 30 15 105
Semaine
30 30 15 95
Mois
- Nombre de chocolat consommé
60 30 9 99
+ 3 tablettes
20 30 9 59
3 tablettes
25 20 10 55
½ paquet
10 20 7 37
1 paquet
5 10 5 20
+ 1 paquet
- Prix 1 paquet
30 40 24 94
+ 5000 Fmg
90 70 16 176
- 5000 Fmg
- Lieu
50 40 15 105
Epicerie
30 35 15 80
Supermarché
40 35 10 85
Autres
- Frein
80 90 5 175
Prix
30 50 20 100
Santé
20 30 10 60
Qualité
20 30 5 55
Autres
- Achat 50 70 30 150
Noël 50 80 20 150
Pâques 20 10 10 40
Autres
18
D’après ce tableau, nous analysons que les enfants et adolescents entre 2 à 16 ans
consomment beaucoup de chocolat par rapports aux jeunes de 16 à 30 ans ; les + 30 ans ne
le consomment pas beaucoup. D’après notre enquête, 90% des enfants aiment les chocolats
pour ses goûts sucrés et 70% de jeunes pour le goût et 25% pour les + 30 ans.
Les enfants aiment le chocolat au lait aromatisé en premier lieu et puis le chocolat
nature et le chocolat aux noisettes. Les jeunes aiment le chocolat au lait aromatisé en
premier lieu et puis le chocolat nature et enfin le chocolat aux noisettes. Les adultes
consomment le plus des chocolats aux noisettes et puis au lait aromatisé et enfin nature.
Producteur Consommateur
La distribution est l'ensemble des activités qui se situent entre la production des biens et
l'achat du consommateur. C'est-à-dire notre produit chocolat qu'on va le vendre.
19
Notre entreprise utilise plusieurs circuits à la fois : Les circuits courts : le
producteur et le détaillant sont en contact direct : Producteur – Détaillant – Consommateur
20
CHAPITRE III : THÉORIE GÉNÉRALE SUR LES OUTILS ET LES
CRITÈRES D’ÉVALUATION
1.1.1. Définition
1.1.2. Formule
21
1.2. Taux de Rentabilité Interne (TRI)
1.2.1. Définition
Le Taux de Rentabilité Interne d'un projet d'investissement, est le taux qui permet
d'égaler le décaissement dû à l'investissement aux Cash-flow prévisionnel pour le même
investissement.
1.2.2. Formule
Avec un taux il on trouve une valeur II (somme des cash-flows actualisés tel que
I1 >10.
5
TRI = ∑
n= 1
MBA (1 + i1) − n − C = 0
Avec i2, on obtient une valeur I2 (somme de Cash-flow actualisé tel que I0>12.
Et i2 < i0 < i1
Il reste à calculer i0
1.3.1. Définition
C'est la date à laquelle les investissements sont récupérés. Supposons qu'après avoir
actualisé les cash-flows et les accumulés, on constate que l'investissement se trouve entre le
cumul de l'année AT et AT+]
22
1.3.2 Formule
∑ MBA (1 + t) − n = C
1 4.1. Définition
1.4.2. Formule
n
1
IP = x ∑ MBA (1 + i) − n
Investissement i= 1
Les investissements trop coûteux seront ainsi pénalisés. Nous approchons ainsi par cette
méthode les problèmes liés au financement des investissements de la même manière que
précédemment. Il est préférable d’actualiser-les cash-flows.
Les investissements trop coûteux seront ainsi pénalisés. Nous approchons ainsi par
cette méthode les problèmes liés au financement des investissements de la même manière
que précédemment. Il est préférable d’actualiser-les cash-flows.
23
SECTION 2 : LES CRITÈRES D'ÉVALUATIONS DU PROJET
Notre projet est efficace si on atteint les objectifs sans réduire les moyens utilisés.
Donc, l'efficacité, ce qui produit l'effet attendu de la population dans la région
d'exploitation du projet. Alors, la cause de l'efficacité est une cause véritable et unique
d'un phénomène et la valeur est une grandeur périodique c'est à dire que la racine carrée
de la moyenne des carrés des valeurs instantanées de cette grandeur durant une période
prévue du projet.
Notre projet est efficient si on atteint les objectifs avec la réduction des moyens
utilisés. C'est à dire qu'on minimise les matériels à utiliser mais la capacité de production
ou rendement est performante. Donc, l'efficience, ce qui aboutit à de bons résultats et on
réduit les moyens ou les matériels utilisés.
24
DEUXIEME PARTIE :
CONDUITE DU PROJET
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
1.1. Conservation
Les fèves fraîches sont obtenues à l’aide de l’achat auprès des producteurs de la
commune d’Analavory qui est située à 6km de l’entreprise et de la commune de Mangabe qui
est située à 7 km de l’entreprise.
Les paysans mettent les fèves dans une cuvette en Aluminium pour soutenir des jus
sucrés des fèves indispensable à la fermentation et assure la caractéristique aromatisée du
chocolat.
Au niveau de l’achat, les collecteurs utilisent les bacs à l’achat fini en matière
plastique.
FEVES FRAICHES
Fermentation
Lavage
Séchage
Mise en sac
A l’usine
25
1.3. Soins à donner en pépinières
Par la première méthode, les graines commencent à germer à partir du cinquième mois
et pourront continuer pendant un an par la deuxième méthode, la germination commence à
partir du 22eme jour et se poursuit un mois et demi.
Débarrasser les plantes de mauvaises herbes et ombrager les semis dès l'apparition
pendant 3 à 4 jours pour éviter l'insolation.
26
SECTION 2 : IDENTIFICATION DE MATÉRIEL
2.1. Récolte
Les fèves sont introduites dans le silo par le haut et extraites à sa base. L’air du silo
doit pouvoir être renouvelé facilement , afin d’empêcher le développement des larves.
27
2.2. Outillage
28
2.3. Cave et laboratoire avec matériels nécessaires
29
Pâte de cacao
Beurre de cacao
Sucre (saccharose)
Lait en poudre
Mélange
Raffinage
Conchage
Normalisation
Temperage
Moulage
Conditionnement
Chocolat
30
• Commentaire du processus de fabrication
* Torréfaction
Il s’effectue à l’aide d’un torréfacteur « CM3 / 200-250 ». Cette phase est composée
de :
* Dépelliculage
* Broyage
A cette phase, il y a une trémie de chargement du grain de cacao équipée de vis sans
fin à vitesse variable commandée par un moto variateur (0, 37kw), ainsi qu’un dispositif à
aimant permanent retenant les corps ferreux pouvant se trouver dans le cacao. Les
appareillages de commande servant de contrôle et de protection sont logés dans un tableau
électrique en armoire.
* Mélange
* Raffinage
* Conchage
31
* Tempérage
* Normalisation
* Moulage
Mettre dans un objet creux pour donner une forme à la matière fondue
* Conditionnement
32
CHAPITRE II : CAPACITÉ DE PRODUCTION ENVISAGÉ
33
1.2. Frais d’entretien de cacao
- Matériel et outillage
- M.M.B
- Agencement, aménagement
34
SECTION 2 : LES DIFFÉRENTS FACTEURS DE PRODUCTION
Le marché qu’on a visé (360 000 paquets de chocolat / an) ne sera atteint qu’au cinquième année. Dans la première année, on obtiendra
que 67% du marché visé. Pour pouvoir atteindre ce marché, on a prévu une augmentation de 10% chaque année.
35
Tableau n°10 : Matières premières et autres charges
1 2 3 4 5
Qté Uté P.U P.T Qté Uté P.U P.T Qté Uté P.U P.T Qté Uté P.U P.T Qté Uté P.U P.T
- Cacao 39 T 3M 117M 43 T 3M 129M 47 T 3000 141M 52 T 3000 156M 57 T 3000 171M
- Vanille 6 L 10 M 60M 6,6 L 10M 66M 7 L 10M 70M 7,7 L 10M 77M 8 L 10M 80M
36
Source : Tarifs
Les coûts : Déjà, le prix de fève fraîche qui est le prix au collecteur.
Par souci de rentabilité pour la nouvelle installation envisagée, nous allons essayer
de réduire les coûts d’achats de matière première au seul prix d’achat de celle-ci : 600
Ariary le kilo.
37
CHAPITRE III : ÉTUDE ORGANISATIONNELLE
1.1. Organigramme
Gérant propriétaire
Secrétariat
Magasinier
38
SECTION 2 : ORGANISATION DU TRAVAIL
Capacité avérée d'utiliser ses connaissances et qualité pour résoudre les problèmes
au sein du projet envers les partenaires ;
39
1.2.2. Responsable Financière responsable ressources humaines
L’idéal serait d'avoir deux responsables l'un administratif, l'autre financier. Mais
compte tenu des moyens financiers limités, un seul responsable assurera ces deux
fonctions. Il s'agit donc d'un Responsable Administratif et Financier.
40
1.2.4. Secrétaire
a) Directeur du projet
41
- définir les déférents coûts et charges. Les coûts :
Un coût est un ensemble des charges regroupées au sein d'un produit, d'une activité,
d'une fonction.
- Coût de la fonction
Remarque: la notion des charges fixes ne se conçoit toute fois qu'à l'intérieur d'une
zone délimitée
Cette méthode consiste à repartir les charges indirectes entre les centres d'analyse
définies dans l'entreprise pour qu'on puisse obtenir :
42
- La mise en œuvre de la méthode comporte plusieurs étapes :
- Charges supplétives
Les charges directes : sont les charges qui entrent dans le calcul d'un seul coût.
Les charges indirectes : sont celles qui entrent dans le calcul de plusieurs coûts.
II s'agit d'étudier s'il existe une relation, un rapport entre une charge directe et une
charge indirecte, et d'appliquer ce rapport par l’imputation des charges indirectes. La
méthode de coefficient équivalente
43
Organisation et stratégie marketing de ce service ; Définir une bonne politique du
prix.
Le prix de revient du kilo de cacao à l'exportation peut être présenté comme suivant
:
- emballage (natte) ;
- frais financier.
44
TROISIÈME PARTIE :
ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET
TROISIÈME PARTIE :
ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET
Par définition, l’investissement est le fait d’engager des fonds ( dépenses) pour une
utilisation ( chose obtenue) d’une durée de vie supérieure à un an et susceptible d’apporter
des revenues futures ( les profits) pendant plusieurs années.
Ainsi, investir c’est utiliser les ressources financières actuelles pour acquérir des
actifs non consommables dont l’utilisation doit générer des ressources financières
échelonnées.
45
1.2. Immobilisation et équipement
Les immobilisations comprennent tous les biens destinés à rester durablement sous
la même forme dans l’Entreprise.
• Frais d’établissement
• Matériel et outillage
46
- Balance : Société F. Bonnet et ses Fils à Analakely Antananarivo
• Matériel de transport
Il comprend une voiture 504 occasion au Bâtiment R+5 67ha Sud Antananarivo. Il
assurera les déplacements de la Gérante aussi le transport des fèves fraîches vers le lieu de
fabrication.
47
Explication du tableau précédent
• Matériel informatique
48
SECTION 2 : TABLEAU D’AMORTISSEMENT
- Matériel et outillage
- Matériel de Transport
Ont subi des amortissements
- Frais d’établissement
de 20% par an
- M.M.B
- Agencement, aménagement
49
SECTION 3 : PLAN DE FINANCEMENT
Rubrique Al A2 A3 A4 A5
Investissement nouveau 248789000
Investissement de renouvellement
Titres de participation
Remboursement des dettes à long terme 45500000 4160000.0 37700000 33800000 29900000
Besoin de financement d'exploitation 105189000 109418847 113565547 115 192527 118 10470i
TOTAL I 353978000 151 018847 151 265547 148 992 527 148004700
Ressources
A - Ressources Internes
Résultat net 74 789 000 124600000 127600000 129600000 138000000
Amortissement 30400000 30400000 30400000 30400000 22 000 000
MBA 105189000 155000000 158000000 160000000 160000000
Total II 105189000 155000000 158000000 160000000 160000000
Solde 11-1 -248789 000 3981 153 6734453 1 1 007 47 î 1 1 995 300
B- Ressources externes
Emprunts bancaires long terme 130000000 0 0 0 0
Augmentation de capital 118789000 0 0 0 0
Total III 248789000 0 0 0 0
Solde Annuel(II+III-I) 0 3981 153 6734453 1 1 007 473 11 995300
Solde cumulé 0 3981 153 10715606 21 723 079 33 718379
En lisant ce tableau, on peut tout de suite s'apercevoir que nous serons capables de
rembourser avec facilité les dettes contractées auprès de l'institution financière.
A chaque année, ce qui est remarquablement, est que les besoins d'exploitation
seront financés facilement par les ressources internes de l'entreprise à l'exception de la
première année. Les besoins de financement des premiers mois sont finances par l'excédent
du solde des ressources stables et des emplois stables. .
Avec 130. 000. 000 fmg de dettes et un apport de 118789000 ce projet peut être
bien entrepris.
50
SECTION 4 : TABLEAU DE REMBOURSEMENT DES DETTES
51
CHAPITRE II : ÉTUDE DE FAISABILITÉ
1.1. Commentaire
Si l’on observe les stocks, on constate qu’ils sont moins importants. Dès lors, on peut tirer la conclusion que les coûts d’immobilisation
relatifs aux stocks sont bien maîtrisés.
52
SECTION 2 : LE PLAN DE TRÉSORERIE
Commentaire :
53
SECTION 3 : BILAN PRÉVISIONNEL
Commentaires: Si l'on observe les stocks, on constate, qu'ils sont moins importants.
Dès lors, on peut tirer la conclusion que les coûts d'immobilisation relatifs aux stocks sont
bien maîtrisés.
54
CHAPITRE III : ÉVALUATION DU PROJET
5
TRI = ∑
n= 1
MBA (1 + i1) − n − C = 0
Avec i2, on obtient une valeur I2 (somme de Cash-flow actualisé tel que I0>12.
55
On pose donc I1 < I0 < I2
Et i2 < i0 < i1
Il reste à calculer i0
∑ MBA (1 + t) − n = C
n
1
IP = x ∑ MBA (1 + i) − n
Investissement i= 1
56
Mesure de la rentabilité avec les critères tenant compte du temps
b = 681878368
57
• Le taux moyen de rendement (TMR)
b
TMR × 100 avec b= 681.878.368 et I0 : 1.208.802.500
I0
681.878.368
= × 100 = 56,41 TMR :56,41%
1 : 208.802.500
• Le délai de récupération (n)
I 1.208.802.500
n= b = = 1,8
681.878.368
t= 10%
58
t = 40%
499.221.563(1,4)-1+ 609.074.431(1,4)-2+ 660.057.388(1,4)-3 +787.237.265(1,4)-4+
855.801.192(1,4)-5 =
356.586.831+310.752.261+240.545.695.204.924.319+159.122.909=1.271.931.015>I0
40%<t<45% 1.271.932.015>1.208.802.500>1.162.094.619
45 − t 1.162.094.619 − 1.271.802.500 45 − t
= = 0,4 ⇒ = 0,4
45 − 40 1.162.094.619 − 1.271.932.015 5
45-t=2
⇒ t = 43%
59
2.2. Les critères d'évaluations du projet
L'exemple le plus concret est celui de l'AGOA. D'autant plus, la qualité est
conforme à l'exigence du marché. Non seulement sur le plan international mais aussi c'est
une activité très prometteuse sur le plan du développement local.
Notre projet est efficace si on atteint les objectifs sans réduire les moyens utilisés.
Donc, l'efficacité, ce qui produit l'effet attendu de la population dans la région
d'exploitation du projet. Alors, la cause de l'efficacité est une cause véritable et unique
d'un phénomène et la valeur est une grandeur périodique c'est à dire que la racine carrée
de la moyenne des carrés des valeurs instantanées de cette grandeur durant une période
prévue du projet.
Notre projet est efficient si on atteint les objectifs avec la réduction des moyens
utilisés. C'est à dire qu'on minimise les matériels à utiliser mais la capacité de production
ou rendement est performante. Donc, l'efficience, ce qui aboutit à de bons résultats et on
réduit les moyens ou les matériels utilisés.
60
SECTION 3 : EVALUATION SOCIALE
- la création d’emplois
- la réduction de la pauvreté
- La création d'emplois ;
- Réduction de la pauvreté ;
C'est ainsi que la dimension sociale n'est pas écartée de ce projet. L'installation d'un
tel projet permet, par conséquent, d'absorber une partie du chômage en fournissant aux
habitants une activité permanente.
Comme le projet sert aussi les forces productives de la région montreront leur propre
affaire de taille professionnelle à leur moyen. Par ailleurs la délinquance provoquée surtout par
l'oisiveté des jeunes pourrait aussi être éradiquée tels sont les impacts sociaux, quels sont alors
les impacts financiers.
61
CONCLUSION
CONCLUSION
Le plaisir c'est une fortune, alors, il occupe une place prépondérance dans la vie
humaine. Le chocolat est l'un de ces éléments qui portent beaucoup d'énergies,
indispensables à la santé. D'ailleurs, le cacaoyer est une plante qui pousse en abondance avec
une quantité et une qualité appréciable. Chez nous, il y a des Entreprises qui fabriquent du
chocolat, mais elles sont insuffisantes. Donc, nous avons décidé d'en fabriquer et même
l'exporter. Nous avons apporté des différents apports pour créer l'ECCA et aussi nous avons
de l'affection societatis pour la gérer. Le marché du chocolat à base de cacao provenant
essentiellement de Madagascar est ouvert sur le marché international.
61
ANNEXES
RENSEIGNEMENT CONCERNANT LA MATIERE PREMIERE
ET LE PRODUIT FINIS
b- Propriétés du cacaoyer
5- Propriété physique du cacao
• Forme : arbuste
• Couleur (tronc) : brun marron avec des tâches grises
• Taille : 8 à 10mètres
• Branche : 1 à 2 mètres
• Feuille : verte
• Fleur : jaune blanc , rose
• Cabosse mûr : vert ou rouge
• Cabosse à récolter : jaune ou rouge ou vert jaune
• Fève fraîche : blanche
• Casse : violette ou blanche
---------------
- Ont établi ainsi qu’il suit les statuts d’une société à responsabilité limitée devant exister
entre eux :
ARTICLE PREMIER
FORME
Il est formé entre les soussignées, une société à responsabilité limitée qui sera régie par la
loi du 30 janvier 2004 et par les présents statuts.
ARTICLE DEUX
OBJET
RAISON SOCIALE
ARTICLE QUATRE
DUREE
La durée de la société est fixée à ---- années pour compter -------------------------------, sauf
le cas de dissolution anticipée de la société prévu aux présents statuts.
ARTICLE CINQ
SIEGE SOCIAL
APPORTS
- Monsieur
En numéraires, la somme de FMG ---------------Fmg
- Monsieur
En numéraires la somme de FMG --------------Fmg
ARTICLE SEPT
Les soussignées déclarent expressément que ces parts, ont été réparties entre eux dans les
proportions qui viennent d’être indiquées correspondant à leurs apports respectifs et
qu’elles sont libérées intégralement
ARTICLE HUIT
Le capital peut également être réduit pour quelque cause que ce soit, et de quelque manière
que ce soit, notamment au moyen d’un remboursement aux associés, d’un rachat de parts
d’une réduction du nombre des parts, le tout dans les limites fixées par l’article de la loi du
30 janvier.
Cette réduction serait lieu sur les propositions de la gérance et en vertu d’une décision des
associés prise selon les dispositions de l’article 2 des présents statuts.
ARTICLE NEUF
COMPTE COURANT
Chacun des associés pourra déposer des sommes en compte courant dans la caisse de la
société. Ces sommes pourront produire un intérêt ; dont le taux sera fixé par une décision
prise par l’assemblée des associés.
ARTICLE DIX
Les parts sociales ne peuvent être représentées par des titres négociables, nominatifs au
porteur ou à ordre.
Le titre de chaque associé résultera seulement des présents statuts, des actes ultérieurs qui
pourraient modifier le capital social, des actes qui constateraient des cessions
régulièrement consenties.
Une copie ou un extrait de ces actes pourra être délivré à chaque associé, sur sa demande et
ses frais.
ARTICLE ONZE
Les parts sociales sont indivisibles à l’égard de la société qui ne reconnaît qu’un seul
propriétaire pour chacune d’elle.
Les propriétaires indivis sont tenus de désigner l’un d’entre eux pour les représenter auprès
de la société. A défaut d’entente, il appartient à la partie la plus diligente de faire désigner
par justice un mandataire chargé de les représenter.
Les usufruitiers et nus propriétaire sont également tenus de se faire représenter par l’un
d’eux, à défaut d’entente.
ARTICLE DOUZE
A l’effet d’obtenir ce consentement, l’associé qui désire céder tout ou partie de ses parts
sociales, en informe la gérance par lettre recommandée indiquant les noms, prénoms,
profession, domicile et nationalité du cessionnaire, ainsi que le nombre de parts à céder.
Dans les huit jours qui suivent ; la gérance informe les associés du projet de cession, par
lettre recommandée. Chaque associé doit, dans les quinze jours qui suivent l’envoi de cette
lettre, faire connaître s’il accepte la cession. Les décisions ne sont pas motivées.
Dans le cas contraire, les associés jouiront d’un droit de préemption sur la totalité des parts
à céder.
Au cas où les offres d’achats (émanant des associés désirant exercer leur droit de
préemption) porteraient sur un nombre de parts supérieur en nombre social entre les
associés acheteurs proportionnellement au nombre de leurs parts et dans la limite de leur
demande.
Ce droit de préemption pourra exercer dans tous les cas de cession entre vifs, soit à titre
gratuit, soit à titre onéreux alors même que la cession aurait lieu par voie d’adjudication
publique ou en vertu d’une décision de justice.
Le prix de rachat des parts préemptées sera déterminé en fonction du dernier bilan
approuvé par l’assemblée générale.
A défaut d’accords entre les parties, le prix de rachat sera déterminé sur les mêmes
documents par deux experts : l’un désigné par les acquéreurs, l’autre par l’associé cédant
ou les héritiers et ayant droit de l’associé, avec faculté pour les experts de désigner un tiers
expert en cas de désaccord entre eux.
2- TRANSMISSION PAR DECES :
Au cas de décès d’un associé, la transmission de parts sociales lui appartenant s’effectuera
de plein droit au profit de ses héritiers et représentants, qui seront seulement tenus de
justifier de leurs qualités, dans les trois mois du décès, par la production de leur gérance
d’un acte de notoriété ou d’un extrait d’identité d’inventaire. A défaut de cette justification
et jusqu’à ce qu’elle ait été produite, la gérance pourra suspendre l’exercice des droits
attachés aux parts sociales de l’associé décédé.
ARTICLE TREIZE
Chaque part donne droit à une fraction des bénéfices et l’actif social, proportionnellement
au nombre des parts existantes.
Tout associé peut exiger qu’il lui soit délivré, à ses frais au siège social, une copie certifiée
des statuts mis à jour. A cette copie sera annexée la liste des gérants en exercice.
Tout associé peut en outre prendre, par lui même ou par un mandataire associé ou non,
connaissance ou copie au siège sociale :
ARTICLE QUATORZE
La société n’est point dissoute par le décès, l’interdiction, la faillite ou la déconfiture d’un
associé.
ARTICLE QUINZE
La Société est gérée et administrée par une ou plusieurs personnes physiques, associées ou
non agissant en qualité de gérant nommés par les associés dans les statuts ou par décision
collective.
Il a la signature sociale, mais il ne peut toutefois en faire usage que pour les besoins et les
affaires de la société.
Le gérant a les pouvoirs les plus étendus pour agir au nom de la société et en toute
circonstance et pour faire les opérations se rattachant à son objet sous réserve de comptes-
rendus régulier auprès des associés et qui ferait l’objet de procès-verbal.
Ces pouvoirs comprennent notamment ceux de :
Recevoir et payer toutes sommes, souscrire, endosser, négocier et acquitter tous effets de
commerce, faire tous contrats, traité et marché concernant tous effets de commerce, faire
tous contrats, traité et marché concernant les opérations sociales , effectuer tous prêts, se
faire ouvrir tous comptes courants notamment dans les banques et aux chèques postaux,
crédits ou avances, contracter tous emprunts par voie d’ouverture de crédits en banque,
autoriser tous traits, transferts et aliénations de fonds de créances et autres valeurs
quelconques appartenant à la société, consentir tous baux locations, faire toutes
constructions et tous travaux, suivre toutes actions judiciaires, représenter la société dans
toutes opérations faillite ou liquidation judiciaire ou amiable, traiter, transiger,
compromettre, donner tous désistements et mains levées, avant ou après paiement
Le gérant est responsable conformément aux règles de droit commun envers la société et
envers la société , soit des infractions aux dispositions de la loi, soit des fautes commises
par eux dans leur gestion.
ARTICLE SEIZE
Le gérant n'est révocable que pour une cause légitime dûment justifiée et établie.
Il peut à toute époque, se démettre de ses fonctions moyennant un préavis déterminé par le
contrat du travail.
Elles sont qualifiées d’extraordinaire lorsqu’elles ont pour objet une modification des
statuts ou l’approbation de cessions de parts sociales à des personnes étrangères à la
société.
DECISIONS ORDINAIRES
Les décisions ordinaires ont, notamment, pour objet de donner à la gérance les
autorisations nécessaires pour accomplir les actes excédant les pouvoirs qui lui ont été
conférés sous l’article 15 ci-dessus, d’approuver, redresser ou rejeter les comptes, décider
toute affectation et répartition des bénéfices, nommer ou révoquer les gérants et d’une
manière générale,
De se prononcer sur toutes les questions qui n’emportent pas modification aux statuts ou
approbation des cessions de parts sociales à des personnes étrangères à la société.
Les décisions ordinaires ne sont valablement prises qu’autant qu’elles ont été adoptées par
des associés représentant plus de la moitié du capital social. Si ce chiffre n’est pas atteint à
la première consultation, les associés sont consultés votes émis, ces décisions ne peuvent
porter que sur les questions ayant fait objet de la première consultation.
DECISIONS EXTRAORDINAIRES
Les associés peuvent, au moyen de décision extraordinaire modifier les statuts dans toutes
leurs dispositions et notamment décider sans que l’énumération ci-après ait un caractère
limitatif :
- la transformation de la société d’un autre type reconnu par les lois en vigueur au
jour de la transformation et ce, sans qu’il soit nécessaire d’obtenir le
consentement de la gérance, même statutaires ;
- La modification de l’objet social ;
- La réduction de la durée de la société ou de sa prorogation ;
- La modification de la raison sociale ;
- Le transfert du siège social ;
- L’augmentation ou la réduction de capital social ;
- La fusion de la société avec une autre société ;
- La modification du nombre, du taux, et des conditions de transmission des parts
sociales ;
- La modification de la durée de l’exercice ; de la répartition et de l’affectation des
bénéfices sociaux ;
- La modification du mode de consultation des associés ;
- La dissolution anticipée de la société ;
- La modification du mode de liquidation.
Entre outre, les décisions extraordinaires ont pour objet l’approbation des cessions de parts
sociales à des personnes étrangères à la société.
Les décisions extraordinaires ne sont valablement prises qu’autant qu’elles ont été
adoptées par la majorité des associés représentant les trois quarts du capital social.
ARTICLE VINGT
Les associés doivent prendre une décision collective au moins une fois par an, dans les
trois mois qui suivent la clôture d’un exercice social, pour approuver les comptes de cet
exercice.
Ils peuvent en outre, prendre d’autre décision collective à toute époque de l’année.
ARTICLE VINGT ET UN
MODE DE CONSULTATION
Elles peuvent être prises à la demande d’un ou plusieurs associés représentant plus de la
moitié du capital social, à défaut par le gérant de consulter les associés huit jours après une
mise en demeure par lettre recommandée.
Il est complété par tous renseignements et explications utiles notamment, s’il s’agit
d’approuver les comptes d’un exercice par le rapport du gérant sur la marche des affaires
sociales ; le bilan et le compte des pertes et profits, certifié exacte et véritable.
La gérance est tenue de faire figurer parmi les résolutions celles proposées, avant l’envoi
des lettres, par un ou plusieurs associés représentant le quart au moins du capital social.
Les associés doivent, dans un délai de vingt jours entiers à compter de l’envoi de la lettre
recommandée, adresser à la gérance leur acceptation ou leurs refus, par pli également
recommandé avec accusé de réception. Le vote est formulé, pour chaque résolution par
« oui » ou par « non ».
Tout associé qui n’aura pas adressé de réponse dans les délais ci-dessus, sera considéré
comme s’étant abstenu.
Pendant les dits délai, les associés peuvent exiger de la gérance les explications
complémentaires qu’ils jugent utiles.
Les décisions des associés peuvent aussi être prises en assemblée générale.
Elle peut encore être convoquée par un ou plusieurs associées représentant plus de la
moitié du capital social , à défaut par la lettre recommandée avec accusé de réception.
Les convocations sont effectuées par lettre recommandée avec accusé de réception
adressée au dernier domicile connu de chaque associé.
La gérance est tenue de faire figurer à l’ordre du jour les résolutions proposées, avant
l’envoi des lettres par un ou plusieurs associés représentant au moins le quart du capital
social.
Les fonctions de scrutateurs sont remplies par les deux associés représentant, tant par eux-
mêmes que comme mandataires, le plus grand nombre de parts et, et sur leur refus, par
ceux qui viennent après, jusqu’à acceptation.
Il est établi une feuille de présence, indiquant les noms et domicile des associés et de leur
représentant, ainsi que le nombre de parts sociales possédées par chaque associé. Cette
feuille émargée par les membres de l’assemblée, est certifiée exacte par le bureau et
déposée au siège social.
Il ne peut être mis en délibération que les questions portées à l’ordre du jour.
Lorsque les décisions des associés sont ou doivent être prises à l’unanimité, elles peuvent
aussi constatées dans un acte notarié sous seing privé, signé par tous les associés ou de
leurs mandataires.
ARTICLE VINGT DEUX
VOTE
Tout associé peut participer aux décisions collectives ordinaires quelque soit le nombre de
parts lui appartenant.
Chaque associé a un nombre de voix égal au nombre de parts sociales qu’il présente, sans
limitations, sur les décisions collectives extraordinaires.
Le droit de vote par correspondance ou en assemblée générale peut être exercé par un
mandataire choisi ou non parmi les associés.
Les représentants légaux des associés juridiquement incapables peuvent participer au vote,
même s’ils ne sont pas eux-mêmes associés.
PROCES VERBAUX
Les décisions collectives qui ne sont pas constatées par un acte signé de tous les associés
sont contestées, par des procès-verbaux rédigés sur un registre spécial.
Ces procès-verbaux sont établis et signés par la gérance lorsque la consultation des
associés a eu lieu par correspondance et par les membres du bureau de l’associé lorsque la
décision a été prise en assemblée générale.
Les copies ou extraits de décisions à produire en justice ou ailleurs sont signés par l’un des
gérants. Après la dissolution de la société et pendant la période de liquidation, des copies
ou extraits sont signés par le ou l’un des liquidateurs.
ARTICLE VINGT QUATRE
EXERCICE SOCIALE
COMPTABILITE – INVENTAIRE
Les opérations de la société sont constatées par des livres tenus selon la loi et les usages du
commerce.
Il est adressé chaque année, par les soins de la gérance un inventaire de l’actif et du passif
de la société.
La gérance fait subir dans cet inventaire aux différents éléments de l’actif, tous les
amortissements rationnels qui s’imposent.
Les produits de la société constatés par l’inventaire annuelle déduction faite des frais
généraux, des charges sociales, de tous amortissements de l’actif social et de toutes
réserves d’usage pour risques commerciaux ou industriels, constituent les bénéfices nets.
Le solde bénéfice est reparti entre les associés proportionnellement au nombre de parts
sociales appartenant à chacun d’eux.
Toutefois, les associés peuvent, sur la proposition de l’un des gérants et à la majorité fixée
par l’article 19 ci- dessus, affecter des bénéfices à la création des réserves générales ou
spéciales dont ils déterminent l’emploi et la destination et peuvent être affectée
notamment, soit au rachat et à l’annulation de parts sociales soit à l’amortissement de ces
parts au moyen d’un remboursement égal sur chacune d’elles.
Les pertes, s’il en existe, seront supportées par tous les associés, gérant ou non gérant,
proportionnellement au nombre de parts leur appartenant, sans qu’aucun d’entre eux puisse
être tenu au de-là du montant de ses parts.
Le paiement des dividendes a lieu annuellement dans les six mois qui suivent l’assemblée
générale ayant décidé la distribution.
Ceux réclamés dans les cinq ans de leur exigibilité sont prescrits conformément à la loi.
DISSOLUTION
En cas de perte des trois quarts du capital social, constaté par un inventaire, la gérance est
tenue d’informer les associés de cette perte, dans les formes indiquées ci-dessus sous
l’article 20 et de les inviter à statuer à la double majorité prévue à l’article 19 sur la
continuation ou la dissolution anticipée de la société.
A défaut par les gérants de consulter les associés comme dans le cas où ceux-ci n’auraient
pu délibérer régulièrement, tout intéressé peut demander la dissolution de la société devant
les tribunaux.
ARTICLE VINGT NEUF
LIQUIDATION
Tout l’actif social est réalisé par le ou les liquidateurs qui ont, à cet effet, les pouvoirs les
plus étendus et qui s’ils sont plusieurs, peuvent, avec l’autorisation des associés agir
ensemble ou séparément.
Après l’acquit du passif et des charges sociales, le produit net de la liquidation est employé
tout d’abord à rembourser le montant des parts sociales, si ce remboursement n’a pas
encore été opéré. Le surplus est réparti entre les associés au prorata du nombre de parts.
CONTESTATION
ARTICLE TRENTE
TRIBUNAUX COMPETENTS
Toutes les contestations qui pourraient s’élever, pendant la durée de la société ou lors de la
liquidation entre les associés relativement aux affaires sociales, seront soumises à la
juridiction des tribunaux compétents du lieu du siège social.
ARTICLE TRENTE ET UN
PUBLICATION
Tous pouvoirs dont conférés au porteur d’originaux des présents statuts pour pouvoir
effectue les dépôts et publications prévus par le loi et les textes réglementaires et, pour
accomplis toutes formalités légales de publicité.
FRAIS
Tous les frais, droits et honoraires occasionnés par le présent acte et ses suites,
incomberont conjointement et solidairement aux soussignés, au prorata de leurs apports
jusqu'à ce que la société soit immatriculée au registre du commerce et des sociétés.
A compter de cette immatriculation, ils seront entièrement pris en charge par la société, qui
devra les amortir avant toute distribution de bénéfices.
Fait à Antananarivo, le
Signé
Signature légalisée
BIBLIOGRAPHIE
PETIT Jean (B) Le système agro-industriel et les pays des tiers- Monde. Le cas de
Madagascar (Antananarivo 1976 - 1977)
Ministère de l'Agriculture
INSTAT
HOMEOPHARMA
Chambre de Commerce
TABLE DES MATIERES
Pages
REMERCIEMENTS ...........................................................................................................1
DEDICACES........................................................................................................................ 2
INTRODUCTION................................................................................................................1
PREMIERE PARTIE :
IDENTIFICATION DU PROJET...................................................................................... 3
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET..........................................................3
Section 1 : Aspect général et historique......................................................................... 3
1.1. Aspect général .................................................................................................... 3
1.2. Historique............................................................................................................ 4
Section 2 : Caractéristiques du projet ............................................................................5
2.1. Origine du projet................................................................................................. 5
2.2. Constatation du projet......................................................................................... 5
2.3. Caractéristiques biologiques................................................................................5
2.4. Typologie de différentes formes juridiques.........................................................5
CHAPITRE II : etude du marche ..................................................................................9
Section 1 : Description du marché visé..........................................................................9
1.1. Le marché de produit chocolatière ..................................................................... 9
1.2. Attente des clients............................................................................................... 9
1.3. Le marché extérieur...........................................................................................13
Section 2 : Analyse de l’offre et de la concurrence .................................................... 14
2.1. Concurrence nationale.......................................................................................14
2.2. Concurrence internationale ...............................................................................14
2.3. L’offre de notre entreprise.................................................................................15
2.4. La matière première ..........................................................................................15
2.5. Proposition de mesure de production................................................................ 16
Section 3 : Analyse de la demande.............................................................................. 18
3.1. Les consommateurs du chocolat........................................................................18
3.2. Les circuits de distribution ............................................................................... 19
Chapitre III : Théorie générale sur les outils et les critères d’évaluation ................21
Section 1 : Les outils d’évaluation .............................................................................. 21
1.1. Valeur Actuelle Nette (V.A.N)..........................................................................21
1.1.1. Définition................................................................................................... 21
1.1.2. Formule...................................................................................................... 21
1.2. Taux de Rentabilité Interne (TRI)..................................................................... 22
1.2.1. Définition................................................................................................... 22
1.2.2. Formule...................................................................................................... 22
1.3. Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI).......................................22
1.3.1. Définition................................................................................................... 22
1.3.2 Formule....................................................................................................... 23
1.4. L'Indice de profitabilité .................................................................................... 23
1 4.1. Définition................................................................................................... 23
1.4.2. Formule...................................................................................................... 23
Section 2 : Les critères d'évaluations du projet............................................................24
2.1. La pertinence du projet......................................................................................24
2.2. L'efficacité du projet..........................................................................................24
2.3. L'efficience du projet.........................................................................................24
2.4. La durée de vie de projet................................................................................... 24
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET....................................................... 25
Chapitre I : Technique de production..........................................................................25
Section 1 : Fructification de récolte............................................................................. 25
1.1. Conservation......................................................................................................25
1.2. Préparation du semence.....................................................................................25
1.3. Soins à donner en pépinières............................................................................. 26
Section 2 : Identification de matériel........................................................................... 27
2.1. Récolte...............................................................................................................27
2.2. Outillage............................................................................................................ 28
2.3. Cave et laboratoire avec matériels nécessaires..................................................29
Chapitre II : Capacité de production envisagé............................................................33
Section 1 : Evolution du chiffre d’affaires et production envisagée............................ 33
1.1. Production et chiffre d’affaires..........................................................................33
1.2. Frais d’entretien de cacao..................................................................................34
Section 2 : Les différents facteurs de production.........................................................35
2.1. Facteur de production........................................................................................35
Chapitre III : étude organisationnelle..........................................................................38
Section 1 : Organigramme envisagé............................................................................ 38
1.1. Organigramme...................................................................................................38
Section 2 : Organisation du travail...............................................................................39
1.2. Profil de chacun du personnel du projet............................................................39
1.2.1. Directeur du projet (Gérant propriétaire)................................................... 39
1.2.2. Responsable Financière responsable ressources humaines........................ 40
1.2.3. Responsable Commercial........................................................................... 40
1.2.4. Secrétaire.................................................................................................... 41
1.2.5. Attributions des personnels........................................................................ 41
1.3. Ce qu’il faut à l'administrateur financier...........................................................41
1.4. Responsable Commercial.................................................................................. 43
TROISIÈME PARTIE :
ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET.............................................................................. 45
Chapitre I : Coût d’investissement .............................................................................. 45
Section 1 : Coût des Investissements et Compte de Gestion....................................... 45
1.1. Evaluation d’investissement..............................................................................45
1.2. Immobilisation et équipement .......................................................................... 46
Section 2 : Tableau d’amortissement........................................................................... 49
Section 3 : Plan de financement................................................................................... 50
Section 4 : Tableau de remboursement des dettes....................................................... 51
Section 5 : Les comptes de gestion.............................................................................. 51
Chapitre II : étude de faisabilité................................................................................... 52
Section 1 : Les comptes de résultat prévisionnel (tableau de grandeur caractéristique
de gestion).................................................................................................................... 52
1.1. Commentaire..................................................................................................... 52
Section 2 : Le plan de trésorerie...................................................................................53
Section 3 : Bilan prévisionnel...................................................................................... 54
Chapitre III : évaluation du projet...............................................................................55
Section 1 : Viabilité du projet...................................................................................... 55
1.1. Capacité d’autofinancement.............................................................................. 55
Section 2 : Evaluation financière................................................................................. 55
2.1. Selon les outils d’évaluation..............................................................................55
2.1.1. Valeur Actuelle Nette (V.A.N)...................................................................55
2.1.2. Taux de Rentabilité Interne (TRI).............................................................. 55
2.1.3. Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)................................56
2.1.4. L'Indice de profitabilité (IP)....................................................................... 56
2.2. Les critères d'évaluations du projet................................................................... 60
2.2.1. La pertinence du projet...............................................................................60
2.2.2. L'efficacité du projet...................................................................................60
2.2.3. L'efficience du projet..................................................................................60
2.2.4. La durée de vie de projet............................................................................ 60
Section 3 : Evaluation sociale...................................................................................... 61
3.1. Création d’emploi..............................................................................................61
3.2. Développement socio-économique................................................................... 61
CONCLUSION...................................................................................................................61
ANNEXES.............................................................................................................................1
BIBLIOGRAPHIE............................................................................................................. 27