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La didactique est l'étude des questions posées par l'enseignement et l'acquisition des
connaissances dans les différentes disciplines scolaires à différents apprenants. La didactique
sert alors à transposer des savoirs dits « utiles » en savoirs enseignables, et s'applique à définir
avec précision chaque objet (savoir) qu'elle souhaite enseigner, mais également à définir
comment on enseigne cet objet aux apprenants. En lien avec d’autres domaines : sciences de
l’éducation, la sociologie, la psychologie, la neurologie, les sciences du langage, l’ergonomie…
Une situation didactique est un dispositif d’enseignement qui vise l’apprentissage, pensé pour
qu’un certain contenu soit appris
Qui enseigne ? les enseignants Résultats / Évaluations
(Diagnostique, formative, sommative)
A qui ? les apprenants Institution
Quoi ? Contenus, programme M.E.N
Avec quoi ? Moyens, outils, technologie/ procédés/ lieux→ Structure
MÉTHODOLOGIE
Pourquoi ? Motivation intrinsèque, extrinsèque, besoin, imposé… apprenant captif
Pour quoi ? le but, les objectifs
== Prise en considération des personnes qui ont migré mais qui ne maitrisent pas une des
langues européennes. Ils ont appris la langue du pays ds lequel ils vivent et également une
autre langue.
Terminologie
* maître.sse → élève (sous-entend celui qui sait / celui qui apprend) == à éviter car relation
hiérarchique/verticale (matérialisé par l’estrade!)
* professeur = terme générique mais parfois spécifique
ex : à l’université professeur.e (thèse doctorat, habilité à diriger des recherches) est un grade avant il
y a maitre de conférence
D.N.L = discipline non linguistique
* enseignant.e = plus neutre, à privilégier → apprenant.e = focalise/désigné sur l’action
* formateur.trice → associé à l’enseignement pour adultes
Rôle de l’enseignant
* enseignant vecteur apprenant plutôt qu’enseignant transmetteur (= celui qui sait et qui le dépose à
l’apprenant)
→ Apporte une aide, accepte que chaque apprenant s’en saisisse avec son travail, son apport aussi
→ Comprendre les endroits « où ça coince » pour mieux l’aider
→ Progression en spirale = revoir régulièrement une notion
→ Chaque enseignant a sa manière de présenter
→ = Enseignant-GUIDE
Gestes professionnels
→ L’Agir enseignant contrôle des gestes, de la voix, du débit de parole, du regard, tjs en fonction de
l’apprenant et de ce rôle de guide
→ Contrôle de la parole (accent ou pas?)
Contenus
Le CECRL permet de créer des programmes.
Je l’utilise mais pas complètement
Ex : Si je dois apprendre dans une entreprise aéronautique, je dois prévoir un programme ad hoc
(=prévu pour). En lexique je ne trouverais rien dans le CECRL
Prévoir le temps pour atteindre les objectifs
IMPORTANT
* Rythme des cours → durée des séances
* Fréquence des cours → cours intensif (tous les jours) ou extensif (au delà de 3 jours d’écart entre 2
cours)
* Situation homoglotte (Apprendre le français en France)/ hétéroglotte (apprendre le français en
Chine)
On apprend plus vite avec 3h de cours tous les jours dans une situation homoglotte
* Groupe homogène ou hétérogène
Variables
- langue/culture
- référents culturels (nation, profession)
- niveau
- compétence
* Référentiel en FLE tout le contenu liste tout le lexique, la grammaire… listé par niveau CCRL,
compétences = habiletés
Evaluation
2 sujets/dossier à faire à la maison
TD 4 – 11 octobre
Les moyens
Différents types de moyens
* Matériel
- le matériel pédagogique « méthodes » de langue, « méthodes universelles » = uniquement
en langue cible (tout sera écrit en français) donc l’enseignement apporte des éléments pour
accompagner, n’est pas pensé pour un travail en autonomie, destiné à un public très large,
censé être utilisable par n’importe quel apprenant (homoglotte/hétéroglotte)
manuels Clé international, hachette FLE, Hatier
Dictionnaire, bescherelle, glossaire = sont des ressources pas des méthodes
M. Hall concept de proxémique, comment les gens interagissent les uns avec les autres, zone
personnelle plus ou moins grandes selon les cultures, on peut se sentir en insécurité car sa
zone personnelle est « coincée » avec celle d’un autre.
Un apprenant peut se sentir en insécurité s’il est trop proche d’un autre apprenant.
Proxémique différente selon les individus. La dimension culturelle et personnelle est
importante.
Le matériel est important. Sans table, certains apprenants peuvent être dérangés.
* Évaluation
Elle doit être imaginée, pensée en même temps, en lien avec, que le programme de cours (=
un curriculum)
- Évaluation pronostique/ diagnostique permet d’avoir l’état d’un niveau à un moment donné
pour constituer un groupe, pour préparer une activité
Évaluation souvent formelle, pas toujours. On l’essaie de l’intégrer au cours
Evaluer des compétences
Ex : des adultes migrants qui veulent être ds une position d’insertion, on doit évaluer leur
compétences en français et aussi leur capacité à suivre une formation professionnelle
(compétences numériques, chercher une info administrative...)
- Évaluation formative = tout du long, régulièrement, au fur et à mesure, observer les acquis
Si c’est acquis je continue. Si c’est en cours d’acquisition, je revois.
Sert aux apprenants pour savoir où ils en sont, sert à l’enseignant
Côté dynamique, évaluation de savoir-faire et de savoir-être (=comportements attendus...)
Évaluation Informelle, pas forcément prévu, ni connu des apprenants
- Évaluation sommative = arrive à la fin d’un programme, notée généralement
Evaluation de connaissances, sert à classer des apprenants
Peut donner lieu à une certification (diplôme, certificat…) qui montre quel est le résultat
attendu – Évaluation formelle
DELF Diplôme d’étude en langue française B1 à B2
DALF C1 à C2 Diplôme approfondi en langue française
Test TCF Test de connaissance du français (durée 2 ans)
Un apprenant qui dév ses stratég métacognitives est un apprenant qui sait apprendre. On doit
avoir un discours explicatif pour montrer aux apprenants qu’ils peuvent être acteurs de leur
apprentissage.
Et l’enseignant peut accompagner, rassurer l’apprenant
Parmi toutes les recherches sur le thème de la motivation, il n’y a pas de doutes que dans leur grande
majorité elles ont comme intérêt la compréhension de ce qui se passe chez l’apprenant en face de son
apprentissage, soit avant de prendre la décision d’étudier, soit pendant la durée de ses études.
Fondamentalement, on distingue deux types de motivation dans l’acquisition d’une langue étrangère,
désignées par Gardner et Lambert (1972) dans leurs études comme instrumentale et intégrative, aussi
nommées par d’autres chercheurs comme extrinsèque et intrinsèque consécutivement.
La motivation instrumentale ou extrinsèque est caractérisée par le désir de l’apprenant d’obtenir une
reconnaissance sociale ou des avantages économiques à travers l’apprentissage d’une langue étrangère. Ce
type de motivation est généralement caractérisé par le désir d’obtenir quelque chose de pratique ou de
concret par l’étude de la langue cible, comme, par exemple, réussir des examens à l’université, accroître ses
chances de trouver un emploi, obtenir une augmentation de salaire, pouvoir se former par la lecture dans une
langue étrangère, traduire des travaux, etc.
Par contre, la motivation intégrative ou intrinsèque est caractérisée par les attitudes positives face aux
locuteurs de la langue cible, comme le désir d’intégration ou l’envie de les connaître. Déménager dans une
nouvelle communauté, dans un nouveau pays, par exemple, caractérise une motivation intégrative, élément clé
qui aide l’individu à développer sa maîtrise de la langue, en devenant un de ses membres « compétents ». Pour
les auteurs, même si les deux types de motivations sont des éléments essentiels pour le succès, c’est la
motivation intégrative qui soutient le mieux à long terme l’apprentissage d’une langue étrangère.
Dans leurs études, la motivation instrumentale apparaît quelquefois comme un facteur significatif, alors que la
motivation intégrative est continuellement liée au succès dans l’apprentissage de la langue étrangère.
EVAL : Présenter, comparer les méthodologies sous forme de tableau, avec éléments attendus
dans la méthodologie (présence ou absence de certains éléments) à recouper avec le travail
des 4 premiers TD (évaluation, apprenants, enseignants...)
* A partir de la renaissance (première partie du 16ème), on voit apparaître la langue latine car
on redécouvre les auteurs classiques et le latin classique s’impose ds l’enseignement
Jeu de pouvoir entre église et le roi
Le latin = langue religieuse, d’apparat
Le français = langue de communication
* Imprimerie GUTEMBERG 1540, François 1er utilise cette nouvelle technique (Imprimerie
royale 1543) pour imposer des ouvrages en françoys, en grec, en latin et en Hébreu
* La politique linguistique française a comme conséquence de relier l’unité du royaume et
l’unité de la langue
* Le français = langue de la diplomatie
* A la fin du 17ème, le françois s’instaure en langue officielle. Il supplante le latin dans son
rôle de langue usuel de communication.
- Les premiers dico apparaissent : Robert Estienne = répertoire de mots
- Les grammairiens créent une terminologie française (adjectif, conjonction, adverbe…)
Discours méta-linguistiques de la langue + début de système graphique qui fait correspondre
phonie/graphie.
Le terme français apparaît par des grammairiens.
* A partir du 18ème siècle, dans les écoles, l’exercice de version (on part du texte en latin pour
arriver à un texte en français) = se perfectionner dans cette langue
* Exercice du thème (on part du français pour aller au latin) = permet l’utilisation de plus en
plus importante du dico et des manuels de grammaire
* On commence à voir ces mêmes exos entre le français et l’anglais
* On voit apparaître le terme de grammaire/traduction on crée des phrases pour mettre en
évidence des points de grammaire (de plus en plus complexes)
Se fait pour une toute petite portion de la population
L’objectif est le maniement intellectuel, la formation intellectuelle = « raisonnement qui oblige
l’intelligence à se rendre compte de la valeur des mots et de l’enchainement des idées. »
Bréal, 1891z
Enseignement formel de la grammaire
* Dans la classe, procédés de mémorisation/restitution : apprentissage par cœur à la maison
des règles ou en étude et récité en classe = On part de la règle de grammaire pour arriver aux
exercices et aux textes = Démarche déductive
Thème/version : formatif qui vise l’application de règles
Démarche qui reste trad car le plus important c’est la règle de grammaire
Les phrases ou textes sont fabriqués pour faire apprendre la règle de grammaire.
* A partir du 19 ème, les instructions officielles mettent l’accent sur l’objectif pratique de
l’enseignement des LV étrangères
1851 Rapport à l’empereur sur la situation de l’Instruction publique
QQ chose de nouveau = échange de pensées
On assiste à la montée de la méthode orale : on enseigne la langue parlée même si la
grammaire reste le moyen d’aborder les contenus
Objectif : aboutir à la parole vivante
Passage des méthodologie trad à la méthodologie directe le moment où la priorité bascule de
la méthode de trad à la méthode orale
* Le centre de gravité de la leçon bascule de la règle de grammaire aux textes (existants, réels
pas fabriqués pour la classe.
La méthodologie directe
* Vient d’Allemagne
* On apprend une Langue étrangère directement sans passer par la traduction, centrée sur
l’imitation
* « Une langue s’apprend par elle-même et pour elle-même et c’est dans la langue prise en
elle-même, qu’il faut chercher les règles de la méthode. » (extrait de l’instruction officielle de
1890)
* Début de la didactique des LV étrangères comme discipline autonome
* Insufflée par le besoin d’un outil de communication au service des développements
économiques, politiques, culturels et touristiques de la fin du 19ème et du début du 20ème
siècles. Plus important dans les villes portuaires, grandes villes…
* S’appuie sur l’intuition de l’élève ds la mesure où on montre simultanément à la réalisation
orale linguistique les objets dénotés (des dessins)
* L’enseignant utilise aussi des gestes et des mimiques
* L’enf apprend à parler en parlant il lui est aussi demandé en retour des productions orales
(jusqu’à présent c’était l’écrit presque exclusivement)
* Moteur de l’Action = le besoin, l’intérêt, ou le plaisir et son objet, le monde familier et
concret qui l’entoure et sur lequel l’enft ou le jeune peut agir.
* La pratique orale en classe prépare à la pratique orale hors du système scolaire
* L’enft apprend en imitant avant même de comprendre les sons produits. Répétitions des
formes linguistiques
* Les enseignants sont des natifs
* Méthode naturelle
* Démarche empirique mais qui fait appel au raisonnement car, à partir des énoncés oraux
que l’enseignant répète, on peut les écrire et les traduire en langue maternelle
* En plus de l’oral = « Enseignement grammatical solide » (extrait instruction officielle de
1901)
* Le recours à la trad n’est pas abandonné, on lui attribue une fonction de contrôle
* Plus l’élève avance dans son Apprentissage plus on lui présente des textes littéraires
Démarche
- Le prof lit des textes puis reprend phrase par phrase
- Il demande aux élèves de répéter chaque phrase. Phrase expliquée, traduite
- Nouvelle lecture par les élèves = oralisation
synthétiser des idées paragraphe par paragraphe
Commentaire de la totalité du texte accompagné d’une conversation où
l’élève prend librement la parole
Au début de chaque séance le prof interroge les élèves, demande une reconstitution du texte
étudié précédemment
Travail de relecture et d’apprentissage effectué en étude entre les différentes séances
Pas d’exercices de prononciation
Méthode imitative
== les textes sont thématisés
== prépare à des échanges réels mais on n’utilise pas de textes authentiques
- Méthode dont les apprenants sont les enfants, méthode qui arrive dans les écoles
Matériel :
- Elle aura apporté une évolution importante (début de la didactique des langues étrangères)
pour les débuts d’apprentissage mais pas pour les niveaux intermédiaires et avancés pour
lesquels les exercices de traduction restent la référence.
TD6 25/10/2021
La méthodologie active
* participation des élèves ds la classe (poser des questions, correction de fautes, proposition
d’exemples pour illustrer une règle en commun...)
* Activités de dramatisation (des saynètes) qui engagent le corps
* Différences entre les enseignants qui ne sont pas formés
* L’enseignant a recours a de nouveaux moyens : photo
* L’oral est un prétexte pour aborder l’écrit , qui est au centre des objectifs.
* On aborde des éléments de civilisation, la journée type, les saisons, les fêtes...
* On dégage les sens général des textes pour aller vers le détail
* Objectifs fondamentaux sont linguistiques, culturels et formatifs
* Objectif langue pratique dans certains cours et surtout en début d’apprentissage = mots
concrets appris de manière graduée
- La méthodologie active marque une étape importante dans la relation entre les élèves et
l’enseignant
- Apport consolidé de la progression graduée, enseignement de la prononciation
(phonèmes…), du lexique et de la grammaire
- Passage à l’écrit progressif (de l’oral à l’écrit)
- La méthodologie active pose des questions qui st tjs d’actualité.
- Littératie = Comment aider la compréhension de textes ?
Les Méthodologies audio-visuelles
Cette maison est à mes voisins. Cette maison-là est à mes voisins…
Ces 2 manipulations de bases mises en évidence par les linguistes (la substitution et la
transformation)
Ces exercices structuraux ont été créé pour les laboratoires de langue, prévus pour l’oral.
L’enseignant écoute et corrige.
Exercices de répétition d’énoncés, répétition régressive (on part de la fin de la phrase et on
remonte à toute la phrase) , répétition avec addition (on part du début)
Découpage fondé sur le découpage paradigmatique.
Exercices de substitution qui permettent de mémoriser une forme
Il est arrivé le 28 novembre. Il est arrivé le 12 avril.
Il est arrivé le 28 novembre. Il est parti le 28 novembre. Elle est rentrée le 28 novembre.
Exercices structuraux qui travaillent aussi la prosodie.
LIMITES : pas de travail d’explication sémantique, rien concernant les réemplois spontanés
Drant les séances ; simulations ; les élèves sont simplement invités à improviser entre eux de
nouveaux dialogues à partir des dialogues vus en classe
La méthodologie audio-visuelle en France
Naissance de
BELC (bureau pour l’enseignement de la langue et de la civilastion françaises à l’étranger)
CIEP centre International d’Etudes Pédagogiques aujourd’hui FEI (France Education
International) = gère les diplomes DALF DELF
CLAB Centre de linguistique appliquée de Besançon = centre important en FLE
Didactique des langues appliquée était le prolongement de la linguistique (donc analyse
linguistique de la langue)
CRAPEL Centre de Recherche et d’Applications Pédagogiques en Langues (CRAPEL) de Nancy =
défendent documents authentiques sonores = enregistrement sonore authentique, pas réel
mais on s’en inspirait pour la création des dialogues (parole spontanée, ex pas de double
négation) proposés à l’apprentissage, débit de parole moins ralenti
Centre d’approches vivantes des langues et des médias (CAVILAM) de Vichy, créé en 1964 =
précurseur en documents authentiques vidéos, utilisation des images = alimente TV5 monde +
dimension Francophonie
Méthodologie structuro-globale audio-visuelle SGAV
Ebauché en 1955, dans les années 60
Emergence de ce contexte
Contexte d’après-guerre avec véritable politique linguistique. Comment accueillir les migrants
qu’on fait venir du Maghreb pour travailler ? Endroit où il y a de la main-d’oeuvre. Formation
efficace car besoin compréhension et expression orale de français rapide. Formation facile.
Pour des adultes, en situation d’homoglottes (apprend le français dans le pays) pour
communiquer. Personnes qui auront des occasions de parler
Cours intensif quotidien ou au moins 3 fois par semaine
définition de la méthode SGAV BESSE
On apprend en parlant, on part d’un dialogue, on propose à l’apprenant de parler
Des éléments de lexique
De la morpho-syntaxe (organisation des mots)
De la phonétique (prononciation, prosodie) ≡ naissance de la méthode verbo-tonale MVT
Il ne s’agit pas seulement de parler mais de comprendre ce qui se joue ds la communication. On
aura des images qui expriment les émotions, éléments de l’environnement (sons de la rue, du
bureau), indices non verbaux Moyens non verbaux = gestes, interaction
Communication enseignée dans sa globalité
Sémantico-pragmatique = situations de communication portées par du sens puis par la forme
A partir d’images, de sons, des mimiques de l’enseignant = le sens
Dans un second temps = la structure de phrases qui porte ce sens
Approche onomasiologiqe qui n’est pas analytique
Ex 2 étudiants se rencontrent pour la première fois
On projette des images de personnes qui se font la bise, qui se disent salut ! Bonjour ! Ça va !
Même chose avec 2 collègues qui se rencontrent pour la première fois
On enseigne le « ça va ! « comme un bloc.
Sur l’axe paradigmatique
Bonjour !
Ça va ?
Bonjour ! Ça va ?
Puis on varie les contextes avec des rencontres différentes
L’apprenant comprend qu’on dit Bonjour à chaque fois et qu’il y a des variantes définies par le
lieu, la situation, l’âge…
Livre d’images Voix et images de France YOUTUBE
L’image apporte le sens, pas besoin de discours explicatif
On scinde les éléments oraux en groupe morpho syntaxique
Il y a des dialogues (Utilisation de la 1ère, 2ème personne) ou une présentation (comme un
narrateur donc utilisation de la 3ème personne)
On peut introduire des bruitages.
Personne formés pour enseigner cette méthodologie
4 phases (les 3 premières autant que la dernière)
Difficultés
Collecte des besoins langagiers
= établissement d’inventaires de situations ds lesquelles les App auront à communiquer en
langue cible = élaboration des leçons d’après ces situations en commençant par ce qui est jugé
important
* Liste de notions (une idée générale réalisée par des formes d’expression linguistique diverses
transversal = l’expression du temps, de l’espace…)
* et de fonctions (ce qu’on cherche à réaliser en s’adressant à son interlocuteur) = actes de
langage
Par exemple ; on veut se présenter, acheter
Approche éclectique = on emprunte un peu tout de ce qui avait été proposé par le passé