Département de prévention et de
sécurité industriel
-mahmoud nabil
-karkouri lazhar
-gattouf toufik
Mini projet
mdule-HSI310-
L’année universitaire 2003-2004
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1 PRÉSENTATION
Turbine, moteur rotatif qui convertit l’énergie d’un courant d’eau, de vapeur ou de gaz en
énergie mécanique. Plus généralement, c’est un organe permettant la détente d’un fluide en
recueillant son énergie sous forme mécanique.
2 TURBINES HYDRAULIQUES
2.1 Historique
2.1.1 Roue hydraulique
La forme la plus ancienne et la plus simple de turbine hydraulique est la roue hydraulique,
utilisée pour la première fois dans la Grèce antique et adoptée ensuite pour moudre le grain
dans la majeure partie de l’Europe ancienne et médiévale. Elle était constituée d’un arbre
vertical muni d’aubes ou de pales radiales, placées dans un petit ruisseau ou dans un bief de
moulin. Sa puissance utile était d’environ 370 W (ou 0,5 ch). La roue hydraulique horizontale,
c’est-à-dire un arbre horizontal connecté à une roue à aubes verticale, décrite pour la première
fois par l’architecte et ingénieur romain Vitruve au Ier siècle av. J.-C., avait la partie inférieure
plongée dans le courant, entraînant ainsi l’ensemble avec un rendement meilleur que dans le
cas d’un arbre vertical.
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Vers le IIe siècle apr. J.-C., la roue actionnée par sa partie supérieure, plus efficace, fit son
apparition dans les régions montagneuses. Une chute d’eau se déversait sur les aubes,
fournissant une énergie supplémentaire à celle du courant. La puissance maximale de la roue
hydraulique en bois passa de 2 000 W (3 ch) à environ 37 000 W (50 ch) au cours du Moyen
Âge.
Un autre ingénieur militaire français, Claude Burdin, inventa le terme turbine dans le cadre
d’un projet théorique dans lequel il mettait l’accent sur la vitesse de rotation. Benoît
Fourneyron, qui étudia sous la direction de Burdin à l’École des mines de Saint-Étienne,
conçut et construisit des roues atteignant des vitesses de 60 tr/min et fournissant aux
sidérurgistes français une puissance maximale de 40 kW. Par la suite, Fourneyron construisit
des turbines à 2 300 tr/min, développant 44 kW, avec un rendement supérieur à 80 p. 100.
L’ingénieur américain James Bicheno Francis conçut une turbine à axe vertical, dans laquelle
le flux était centripète (écoulement radial). Il s’agit de la turbine à réaction, ou turbine
Francis. L’eau pénètre à la périphérie de la turbine et est évacuée le long de son axe. Ce type
de turbine fonctionne par augmentation de la pression de l’eau s’écoulant à travers les lames,
engendrant une force de réaction qui entraîne la roue : les énergies cinétique et potentielle
sont converties en énergie mécanique. La pression de l’eau à la sortie de la roue est abaissée
par un système appelé aspirateur, ce qui revient à augmenter virtuellement la hauteur de la
colonne d’eau. La turbine à réaction devint la turbine hydraulique la plus largement utilisée
pour les pressions ou les hauteurs de chute équivalant à une colonne d’eau de 15 à 500 m.
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Pour les chutes supérieures à 200 m, on utilisa, pendant la seconde moitié du XIXe siècle, la
turbine Pelton du nom de l’ingénieur américain Lester Allen Pelton. Dans cette turbine à axe
vertical, l’eau est amenée depuis un réservoir supérieur par un long tuyau, appelé conduite
forcée, jusqu’à une tuyère, où son énergie potentielle est convertie en énergie cinétique. Le jet
obtenu est alors dirigé perpendiculairement à l’axe de la turbine, à l’aide d’un injecteur, sur
des augets incurvés (en général une vingtaine). Le jet incident « rebondit » contre les augets
qui entraînent en rotation la roue sur laquelle ils sont fixés. On produit ainsi de l’énergie
mécanique à partir de l’énergie cinétique du jet incident. L’action de la roue de Pelton
dépendant surtout de l’action du jet sur la roue, ce type de turbine est également appelé
turbine à action.
2.1.5 Turbopropulseur
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Au début du XXe siècle, la demande croissante en électricité d’origine hydroélectrique rendit
nécessaire le développement d’une turbine pouvant être adaptée à de faibles hauteurs de chute
d’eau, de 3 à 9 m, et utilisable sur de nombreuses rivières où de petites retenues pouvaient être
construites. En 1913, l’ingénieur autrichien Viktor Kaplan proposa pour la première fois son
turbopropulseur, qui fonctionne comme une hélice de bateau inversée. Il améliora par la suite
cette turbine à écoulement axial, en permettant aux pales de tourner autour de leur axe,
utilisant au maximum l’effet de réaction. Ces hélices à pas variable accrurent l’efficacité du
système, en combinant de manière optimale l’angle entre les pales et la chute d’eau, ainsi que
la vitesse d’écoulement.
2.2.2 Alimentation
Pour maintenir constante la fréquence du courant électrique produit par une installation
hydroélectrique, la vitesse de la turbine doit être fixe, quelles que soient les variations de la
pression de l’eau. Ainsi, pour produire du courant à 50 Hz, la vitesse de rotation de la turbine
doit être de 3 000 tr/min. Cela nécessite des commandes pour ouvrir ou fermer les passages de
l’aube directrice, afin de réguler le débit et, dans le cas de la turbine de Kaplan, pour faire
varier le pas de l’hélice. Dans une turbine utilisant une roue de Pelton, on règle le débit d’eau
en ouvrant ou en fermant les tuyères d’alimentation. Dans ce cas, il faut une tuyère de
dérivation de trop-plein, sinon, les brusques modifications de débit dans des conduites forcées
de grande longueur entraîneraient de brutales différences de pression, appelées béliers
hydrauliques, qui seraient très destructrices. En cours de réglage, le débit total de l’eau
passant à travers les tuyères d’alimentation et de trop-plein doit être maintenu pratiquement
constant, avec fermeture éventuelle de la tuyère de dérivation, la fermeture devant se faire très
lentement pour éviter tout coup de bélier.
Les turbines hydrauliques sont surtout employées pour produire de l’électricité. Dans les
installations à turbine hydraulique modernes, on a privilégié l’accroissement des hauteurs de
chutes d’eau et l’augmentation de la taille des unités pour accroître la puissance fournie par
les turbines. Les turbines Kaplan sont maintenant utilisées avec des hauteurs de chutes de près
de 60 m, et les turbines de Francis, avec des hauteurs pouvant aller jusqu’à 610 m. La plus
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haute chute d’eau (environ 1 770 m) utilisant une roue de Pelton se trouve à Reisseck, en
Autriche. L’un des plus importants systèmes de turbines est installé dans une centrale, à
Itaipú, au Brésil : dix-huit turbines de type Francis, de 700 MW (mégawatts) chacune, offrent
une puissance totale de 12 600 MW. Les plus grandes installations d’Amérique du Nord se
trouvent à La Grande, sur la baie James, à l’est du Canada, où vingt-deux unités de 333 MW
chacune fournissent une puissance totale d’environ 7 300 MW, et aux États-Unis, au barrage
de Grand Coulee, sur la rivière Columbia, où l’installation a une puissance totale d’environ
6 500 MW.
La plupart des systèmes hydroélectriques de petites retenues d’eau construits avant 1930
furent abandonnés, en raison des coûts de maintenance et de main-d’œuvre élevés. Les
augmentations successives du prix du pétrole brut ont réactualisé ces installations. Avec le
développement standardisé des turbines à hélice à arbres quasi horizontaux, les petites
installations sont redevenues intéressantes. Le rendement des turbines hydrauliques peut
atteindre 90 p. 100 selon le type d’installation.
2.3 Turbines-pompes
Les turbines peuvent également être conçues pour tourner en sens inverse, comme des
pompes. Cela est possible en inversant le générateur, qui fonctionne alors comme un moteur.
L’énergie électrique ne pouvant être stockée de manière économique, le fonctionnement de
ces « turbines-pompes », dont l’électricité est produite par des centrales nucléaires et au fuel
pendant les heures creuses, permet de stocker de l’eau supplémentaire dans un réservoir. Cette
eau peut ensuite être réutilisée pour entraîner la turbine aux heures de pointe. Au cours de ces
dernières années, la technologie des turbines-pompes s’est améliorée pour permettre des
hauteurs de chute d’eau d’environ 600 m et des puissances de turbine de plus de 400 MW.
3 TURBINES À VAPEUR
3.1 Historique
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l’énergie. De Laval fut le premier à concevoir des jets et des augets adaptés à une utilisation
efficace de la vapeur en expansion.
3.2 Fonctionnement
Bien que les turbines à vapeur soient construites selon deux principes différents (à action ou à
réaction : voir ci-après), leurs éléments essentiels sont similaires. Elles se composent de
tuyères ou de jets, et d’ailettes. La vapeur s’écoule dans les tuyères, dans lesquelles elle se
dilate. Ainsi, sa température diminue et son énergie cinétique augmente. La vapeur en
mouvement exerce une pression contre les ailettes, entraînant leur rotation. La disposition des
jets et des ailettes, fixes ou stationnaires, dépend du type de turbine. À la sortie du dernier
condenseur (échangeur thermique), l’eau peut être de nouveau vaporisée et surchauffée. L’eau
ou la vapeur en sortie est alors ramenée vers la chaudière et la pompe « alimentaire », qui
compresse de l’eau à l’état liquide. Il s’agit d’une turbine auxiliaire intégrée au cycle
thermodynamique de la turbine principale utilisant de la vapeur soutirée dans celle-ci.
Les turbines à vapeur sont des machines relativement simples dont la seule partie mobile
importante est le rotor. Elles possèdent toutefois un équipement annexe, nécessaire à leur
fonctionnement. Parmi celui-ci, un palier de tourillon supporte l’arbre et un palier de butée le
positionne de manière axiale. Un système d’huile assure le graissage des paliers ; des joints
réduisent les pertes de vapeur tout au long de son trajet. Enfin, un système d’étanchéité
empêche la vapeur de s’échapper à l’extérieur de la turbine et l’air d’y entrer. La vitesse de
rotation est commandée par des soupapes situées aux entrées d’admission de la machine et
pilotées par des systèmes de régulation électroniques ou mécaniques. Les turbines à réaction
développent une poussée axiale considérable, du fait de la chute de pression sur les ailettes
mobiles. Cette poussée est généralement compensée par l’utilisation d’un piston
d’équilibrage.
Aujourd’hui, les turbines à vapeur sont généralement limitées à une température maximale de
580 °C dans le premier étage, et à une pression maximale d’admission de 170 à 180 bars.
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3.3.1 Turbine à action
La forme la plus simple de turbine à vapeur est la turbine à action, dans laquelle les jets sont
fixés sur la partie intérieure de l’enveloppe de la turbine, et les ailettes placées sur le bord des
roues tournantes montées sur un arbre central. La vapeur se déplaçant dans une tuyère fixe
passe sur les ailettes incurvées, qui absorbent une partie de l’énergie cinétique de la vapeur
dilatée, faisant ainsi tourner la roue et l’arbre sur lesquels elles sont montées. Cette turbine est
conçue de manière à ce que la vapeur entrant par une extrémité de la turbine se dilate à travers
une succession de tuyères jusqu’à ce qu’elle ait perdu la majeure partie de son énergie interne.
Dans la turbine à réaction, une partie de l’énergie mécanique est obtenue par l’impact de la
vapeur sur les ailettes. La partie la plus importante est obtenue par l’accélération de la vapeur
lors de son passage dans la roue de la turbine, où elle se dilate. Une turbine de ce type se
compose de deux jeux d’ailettes, l’un fixe, l’autre mobile. Ces ailettes sont disposées de telle
façon que chaque paire joue le rôle de tuyère, à travers laquelle la vapeur se dilate lors de son
passage. Dans chaque étage, une faible quantité d’énergie thermique est convertie en énergie
cinétique. La vapeur se détend dans les aubes fixes, puis entraîne les aubes mobiles disposées
sur la roue ou le tambour de la turbine. Les ailettes d’une turbine à réaction sont en général
montées sur un tambour, qui fait alors office d’arbre.
Les turbines à réaction nécessitent en général davantage d’étages que les turbines à action. Il a
pu être démontré que, pour le même diamètre et la même gamme énergétique, une turbine à
réaction a besoin de deux fois plus d’étages pour obtenir un rendement maximal. Les grosses
turbines, qui sont généralement à action, utilisent une certaine réaction à la base du trajet de
vapeur pour assurer un débit efficace à travers les auges. Nombre de turbines, qui sont
normalement à réaction, disposent d’un premier étage de commande d’impulsion, qui permet
d’envisager la réduction du nombre total d’étages nécessaires. Les arbres des turbines de
chaque étage sont reliés entre eux au moyen d’accouplements
Étant donné l’augmentation de volume liée à la dilatation de la vapeur dans les différents
étages d’une turbine, la taille des ouvertures à travers lesquelles passe la vapeur doit
s’accroître d’un étage à l’autre. Dans la conception pratique des turbines, cet accroissement
est réalisé en allongeant les ailettes d’un étage à l’autre, en augmentant le diamètre du
tambour ou de la roue sur lesquels sont montées les ailettes, et en ajoutant deux ou plusieurs
sections de turbine en parallèle. Par conséquent, une petite turbine industrielle peut avoir une
forme plus ou moins conique, avec son plus petit diamètre côté haute pression, ou admission,
et son diamètre le plus large côté basse pression, ou échappement. Une grosse turbine destinée
à une centrale nucléaire peut avoir quatre rotors se composant d’une section à haute pression à
double flux, suivie de trois sections à basse pression à double flux.
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3.4.2 Étages spécifiques
Les turbines à action utilisent généralement un étage de pression appelé turbine Rateau (du
nom de l’ingénieur français Auguste Rateau), dans lequel le taux de compression à chaque
étage est pratiquement uniforme. Les anciennes turbines à action utilisaient un étage de
vitesse de Curtis, mis au point par l’Américain Charles Gordon Curtis. Cet étage comporte
deux jeux d’auges mobiles, avec un jeu intermédiaire d’ailettes fixes à la suite des tuyères. La
séparation d’étages d’une turbine à réaction est parfois appelée séparation de Parsons, du nom
de son inventeur, le Britannique Charles Parsons.
Une turbine à réaction comporte souvent un premier étage à action qui permet le réglage du
système ; une turbine à action possède en général dans ses derniers étages un degré de
réaction voisin de 50 p. 100.
3.4.3 Rendement
L’efficacité de l’expansion dans une turbine à vapeur moderne est élevée en raison de l’état de
développement des composants du trajet de la vapeur, et de la capacité à récupérer les pertes
d’un étage dans les étages en aval, par réchauffement. Le rendement avec lequel une section
de la turbine convertit l’énergie thermodynamique disponible en travail mécanique dépasse
généralement 90 p. 100. Le rendement thermodynamique d’une installation thermique est en
fait bien inférieur, en raison de l’énergie perdue dans la vapeur d’échappement de la turbine.
3.5 Applications
Les turbines à vapeur sont notamment utilisées dans la production d’électricité à partir
d’énergie thermique ou pour la propulsion des bateaux. Dans les systèmes de cogénération
— c’est-à-dire utilisant à la fois la chaleur de traitement (celle utilisée lors d’un processus
industriel) et l’électricité —, la vapeur est portée à haute pression dans une chaudière, puis
extraite de la turbine à la pression et à la température exigées par ce procédé. Dans ce cas, la
turbine est dite à contrepression. Les turbines à vapeur peuvent être utilisées en cycles
combinés avec un générateur de vapeur qui récupère la chaleur. Les unités industrielles sont
utilisées pour entraîner des machines, des pompes, des compresseurs et des générateurs. Leur
puissance nominale va de quelques centaines de Watts à plus de 1 300 MW.
La turbine à vapeur est parfois associée à une turbine à gaz. Le rendement de la turbine à gaz
étant faible, elle est généralement utilisée pour la production d’énergie de pointe, les calories
des gaz d’échappement de la turbine à gaz servant à faire fonctionner la chaudière de la
turbine à vapeur.
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en utilisant l’énergie cinétique du flux de vapeur. La turbine peut être d’une conception plus
réduite, plus légère et moins onéreuse qu’un moteur à vapeur à piston de puissance
comparable. Elle peut également être construite dans des tailles largement supérieures. D’un
point de vue mécanique, elle présente l’avantage de produire directement un mouvement
rotatif sans avoir à utiliser de vilebrequin ni tout autre système de transformation d’un
mouvement de va-et-vient en mouvement rotatif. Dans les applications de cogénération
nécessitant à la fois la chaleur de traitement (c’est-à-dire celle utilisée lors d’un processus
industriel) et l’électricité, la vapeur est portée à haute pression dans une chaudière et extraite
de la turbine à la pression et à la température exigées.
4 TURBINES À GAZ
4.1 Fonctionnement
Elles utilisent un écoulement gazeux pour produire de l’énergie mécanique à partir d’énergie
calorifique. La turbine est alimentée en gaz par combustion de carburants. Des tuyères fixes
dirigent les jets de gaz sur les aubes d’un rotor. La force ainsi exercée sur ces dernières met en
rotation l’arbre de la machine. Une turbine à gaz à simple cycle contient un compresseur :
l’air est comprimé dans une chambre de combustion. Le carburant est pulvérisé sous forme
gazeuse ou liquide dans la chambre, où se produit la combustion. Les produits de combustion
passent par des tuyères de la chambre au rotor, qui actionne le compresseur.
Dans une turbine ou dans un compresseur, la rangée d’aubes fixes et la rangée correspondante
d’aubes mobiles solidaires d’un rotor forment un étage. Les grosses machines utilisent des
compresseurs à plusieurs étages à flux axial, ainsi que des turbines. Dans les dispositions à
arbres multiples, les étages de la turbine de tête motorisent le compresseur au moyen d’un
premier arbre, les étages suivants motorisent le générateur externe par l’intermédiaire d’un
autre arbre.
4.2 Rendement
Dans une installation à cycle combiné, la quantité considérable de chaleur résiduelle est
transmise à une chaudière. La chaleur ainsi récupérée sert à approvisionner en vapeur une
turbine à vapeur couplée. Le rendement d’une telle installation est supérieur
d’approximativement 50 p. 100 à celui de la turbine à gaz seule. Des turbines à cycle
combiné, avec des rendements thermiques d’au moins 52 p. 100, seront bientôt en service.
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4.3 Applications
On utilise les turbines à gaz pour la propulsion des navires et des trains. Le turboréacteur,
variante de la turbine à gaz, est utilisé pour la propulsion des aéronefs. Les turbines à gaz de
grande puissance, à simple cycle ou à cycle combiné, occupent une place importante dans la
production industrielle de l’électricité, dans certains pays européens et aux États-Unis.
Certaines installations fournissent des puissances supérieures à 200 MW. La puissance
produite par les turbines à cycle combiné peut dépasser 300 MW.
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