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Dans les systèmes existants, il existe de nombreux types de dispositifs de surveillance de l'humidité et de la
température, dont certains utilisent des capteurs IoT, des clouds, la technologie numérique et la technologie
informatique.
Dans cet article, nous allons mettre en œuvre un système de surveillance de l'humidité et de la température
en utilisant l'IoT. Tous les modèles de travail actuels sont bons, mais beaucoup de laboratoires perdent leurs
projets. Par ce projet, nous pouvons obtenir la valeur exacte des mesures présentes dans notre atmosphère.
En outre, ce modèle dans les études précédentes a été formé avec d'autres valeurs de température de zones de
basse longitude et a été déployé, ce qui le rend imprécis pour la reconnaissance des valeurs de température et
d'humidité. Grâce à ce projet, nous pouvons obtenir des valeurs précises de la météo à tout moment.
Notre projet s’inscrit dans le cadre d’un mini projets de fin semestriel du master professionnel en systèmes
embarqués. Il s’agit d’un système de contrôle de température et d’humidité ainsi que d’éclairage
automatique qui est constitué d’un capteur de température et d’humidité. Le capteur DHT11 a pour rôle de
mesurer les valeurs de température et d’humidité en temps réel et les transmettre à la carte Arduino
Dans le cas des systèmes existants, les données recueillis par la carte Arduino sont stockées sur une carte SD
afin d’être extraire pour analyse et traitement ou visualisées sur un PC.
Dans notre cas, les données recueillis sont retransmises en temps réel par le module Bluetooth HC-06 à
l’utilisateur qui pourra les visualiser sur une application mobile.
On a donc proposé par la suite une amélioration du système de contrôle tel que :
Un programme permet de traduire le cahier des charges en une suite ordonnée d'actions que doit réaliser le
processus de commande, il se base sur un algorithme qui est une procédure composée d’une séquence
d'opérations qui sera traduite en instructions élémentaires. Par la suite, il suffit de transformer ces actions en
un langage évolué tel que le langage java ou le langage C.
B. Langage C
a) Avantages de C
Dans notre recherche de l'outil que nous allons utiliser pour programmer notre carte Arduino, nous avons
opté pour le langage C. Ce choix est à la fois un choix personnel et un choix technologique.
D'une part le langage C est utilisé dans différents systèmes et domaines de développement, ce qui nous
permettra une évolution future, d'autre part le langage C est l'un des langages les plus puissants.
Pour la programmation de base, le C est intéressant. Il permet rapidement, sans gros effort, de développer
des programmes fonctionnels. Il permet aussi de s'affranchir de connaissances complexes sur l'architecture
des PIC. Il a l'avantage de gérer facilement les boucles, les choix, ainsi que l’affichage.
b) Inconvénients de C
Le C n'est pas le langage naturel du microcontrôleur. Il permet de programmer plus intuitivement. Les
logiciels de programmation en C transforment alors les lignes en C en lignes assembleurs directement
compréhensibles par le microcontrôleur. Pour programmer efficacement, il est souvent nécessaire d'aller voir
le code assembleur, il est donc conseillé d'avoir des bases solides en assembleur.
Commençons par l’écriture du notre programme sous Arduino IDE le compilateur utilisé pour les cartes
Arduino. Après la compilation du programme l’IDE va converti le code source en C a un fichier assembleur
puis a un fichier HEX exécutable.
En fonction de chaque cas, les technologies et les langages de développement utilisés vont être différents et
chaque sorte d’application mobile a ses spécificités. A savoir qu’il est possible de développer une
application qui est capable de fonctionner sur les deux systèmes d’exploitation (IOS et Android) : on appelle
cela une application hybride.
Dans notre cas, nous avons optées pour une application Android dotée d’un panel/espace utilisateur qui aura
pour fonction la visualisation des données et la commande.
A. Principe de fonctionnement
Le débit de base est de 1 Mbits/s. L´envoi des informations s´effectue par paquets, comme lors des
communications par IP. Ces paquets sont encadrés de blocs de données de contrôle identifiant notamment
l´appareil auquel sont destinées les informations. Ces données de contrôle permettent de plus la mise en
réseau des appareils équipés de la puce. Le nombre d´appareils chaînés étant limité à 8, on parle ici de
picoréseaux, ou piconets (mais on peut chaîner jusqu´à 10 mini-réseaux pour former une chaîne totale de 72
appareils : 8 x 10 – 8 appareils servant de passerelles, donc communes à deux picoréseaux).
7 appareils peuvent donc simultanément dialoguer avec l´ordinateur maître chargé d´orchestrer et d´aiguiller
les communications. Le maître est également chargé de superviser la discussion entre deux appareils
esclaves. Avec la condition qu´un maître ne peut communiquer qu´avec des esclaves, quand bien même
plusieurs maîtres peuvent coexister sur le picoréseau, comme c´est indiqué sur le schéma ci-dessus.
Le contrôle des données effectué sur les paquets émis permet également d´adapter le débit aux type
d´informations circulant en fonction des appareils connectés.