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TABLE DES FIGURES

Figure 1. Répartition des enquêtés par province d’origine.............................................12

Figure 2. Répartition des enquêtés par sexe.......................................................................12

Figure 3. Répartition des enquêtés par âge actuel, âge de la découverte du


diabète et durée du traitement................................................................................................13

Figure 4. Répartition des enquêtés selon qu’ils ont déjà bénéficié d’une éducation
sur la prise en charge à domicile du diabète.......................................................................14

Figure 5. Répartition des enquêtés selon les types d’éducateur..................................14

Figure 6. Période d’organisation des séances d’éducation.............................................15

Figure 7. Nature des séances d’éducation............................................................................15

Figure 8. Nombre des séances non collectives dont ont bénéficié les enfants
diabétiques depuis le début du traitement...........................................................................16

Figure 9. Durée des séances d’éducation.............................................................................16

Figure 10. Thèmes abordés lors des séances d’éducation.............................................17

Figure 11. Répartition des enquêtés selon la pratique d’exercice physique............17

Figure 12.Répartition des enquêtés selon le nombre des jours de la semaine de


pratique d’exercice physique.....................................................................................................18

Figure 13. Repartions des enquêtés selon la durée des séances d’exercice
physique............................................................................................................................................18

Figure 14. Possession d’un glucomètre par les enquêtés...............................................19

Figure 15. Gestes à faire pour doser la glycémie à domicile.........................................19

Figure 16. Mesurer à prendre en cas d’hypoglycémie.....................................................20

Figure 17. Gestes à faire pour s’auto-injecter l’insuline..................................................20


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TABLE DES TABLEAUX

Tableau I. Classification selon L’OMS....................................................................................................7

Tableau II. Répartition des enquêtés par niveau d’instruction.....................................13

Tableau III. Histoire du diabète dans la famille.................................................................14


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INTRODUCTION

1.1. PROBLEMATIQUE 

La santé d’un individu dépend en grande partie de la manière dont il se


nourrit et dont il se tient. Un vieil adage dit qu’il faut manger pour vivre, mais
encore, faudrait-il pouvoir et savoir manger car un régime alimentaire déséquilibré
par excès ou par déficit d’apport peut-être aussi néfaste qu’un manque de
nourriture. Ce déséquilibre constitue un réel problème de santé publique à travers le
monde, tel est le cas du diabète sucré.

La prise en charge du diabète sucré est une urgence en médecine.

La proportion de risque d’avoir les personnes mourir à cause du diabète


sucré est majeure. Le problème posé par le diabète sucré dans nos milieux est
multidimensionnel, ceci peut se présenter en quatre volets :

- Le coût de la prise en charge,


- La vétusté des infrastructures en place,
- L’ignorance de certains personnels soignants commise à la prise en charge
des patientes souffrant du diabète sucré,
- L’inaccessibilité financière et géographique.

Le diabète est une maladie chronique considérée aujourd’hui comme


une véritable pandémie aux effets particulièrement dévastateurs dans les
pays sous-développés et en voie de développement
Le diabète sucre de l’enfant constitue une pathologie chronique aux
répercussions lourdes sur la qualité de vie de l’enfant, de sa famille et sur sa
sante actuelle et future, cette pathologie qui nécessite que le patient joue un
rôle primordial dans la gestion de sa maladie, cette situation implique que le
patient puisse acquérir des connaissances et des compétence nécessaires pour
modifier son comportement afin qu’ il puisse bien gérer avec succès sa vie,
cependant il existe sept comportements essentiels pour l’autorise en charge
chez les personnes atteintes du diabète sucre qui présentent de bons
résultats, ce sont l’ alimentation saine, l’activité physique, la surveillance de la
glycémie ,le respect dans la prise de médicaments ,les bonnes pratiques dans
la résolution de problèmes ,la capacité d’adaptation et le comportements sains
de réduction des risques. Ces comportements ne peuvent être acquis que
lorsque le patient ainsi que sa famille bénéficient d’un bon enseignement
thérapeutique par de personnels soignants compétents et qualifies.
Pour optimiser l’état de santé, le bienêtre social et la qualité de vie de
tous les enfants atteints du diabète dans le monde, l’une de six déclarations
de Kos de l’international society for pediatric and adolescent diabètes(ISPAD)
réaffirme la nécessite de permettre à tous les enfants atteints de diabète,
ainsi qu’à leurs familles accorder à des soins et à une éducation adaptés à leur
âge.

1.1.1. EMPLEUR DU DIABETE SUCRE


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Les dernières estimation de la fédération internationale du diabète(FID)


indiquent que le nombre des personnes atteintes de diabète va augmenter de
manière exponentielle dans le monde, passant de 382 millions en 2013 à 592
millions d’ici 2035.Par ailleurs,80% des personnes atteintes du diabète vivent dans
les pays sous développé et en voie de développement, et la majorité d’entre elles
étant âgées de moins de 60 ans. En outre, 175 millions de personnes atteintes du
diabète sont diagnostiquées.
Le diabète sucre de type 1 est une de maladie chronique de l’enfance,
avec une incidence augmente de plus en plus d’environ 3% par an dans le monde
entier.
Environ 79100 enfants de moins de 15 ans développent le diabète de
type 1chaque année dans le monde.
L’incidence du diabète de type 1 ne cesse de progresser dans le monde
aussi bien dans le pays pauvre que les pays riches et représente environ 10% des
cas de diabète.
L’augmentation de cette incidence est plus marquée chez les jeunes
enfants. A l’échelle mondiale, 497.100 enfants ont été atteints par le diabète de type
1 en 2013.environ 26% d’enfants diabétiques en Europe et 22% dans la région
d’Amérique du nord et de caraïbe.
En 2000, l’incidence globale ajustée selon l’âge du diabète de type 1
avarié selon les régions de 0.1pour 100.000 par an en chine et Venezuela, à 36.8
pour 100.000 par an en Sardaigne et 36.5 pour 100.000 par an en Finlande. En
Afrique le diabète constitue une grave menace pour la santé publique pour
l’ensemble du continent.la région de l’Afrique Subi Saharienne(ASS)abrite également
le pourcentage le plus élevé de cas diabète non diagnostiqués, estimés à au moins
63% en 2013.les estimations de la FID de 2013fait état de 19.8 millions d’adultes
atteints par le diabète sucre dans la région d’ASS, soit une prévalence de 4.9%.une
enquête menée par AYAH à Nairobi au Kenya a montré que la prévalence du diabète
est de 5.3%,cette prévalence augmente avec l’âge pour atteindre un pic de 10.5%
dans la tranche d’âge 45 à 54 ans. Nashe êta et al ont trouvé que la prévalence du
diabète en Afrique du sud est passée de 8% à 12.2% entre 1990 et 2008.la FID a
également estimé à 39.100 le nombre d’enfants de 0 à 14 ans atteints du diabète en
2013.pourtant, le nombre annuel de cas diagnostiqués n’est que de 6.400 enfants
dans la région africaine.la prévalence du diabète sucré de type 1 a été de 3.1 pour
1.000 à Kano dans le Nord-Ouest du Nigeria en 2010 et 1 pour 10.000 en 2011 en
Abakaliki au sud du Nigeria.
En République Démocratique du Congo(RDC), le problème a été
rapporté même si les études ne sont pas nombreuses. En effet, la prévalence du
diabète a été de 4.8% à visant au bas Congo , tandis qu’au sud Kivu, Kashunga a
trouvé 3.5% avec une variation entre le milieu urbain(4%) et le milieu rural
(1.7).Kasiam dans une population urbano-rurale d’âge supérieur ou égal à 12 ans à
Kinshasa et au Bandundu en 2008 a trouvé dans l’ensemble une prévalence de
25.3%.en outre, Makulo et al ont trouvé que la micro albuminurie et même la macro
albuminurie sont très fréquentes chez le diabétique de type 1 à Kinshasa, d’âge
inférieur ou égal à 30 ans, particulier âpres l’âge de 18 ans .Nzoko a trouvé que la
prévalence du diabète sucré chez l’enfant en milieu scolaire est de 2.7%.
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0.1.2. TENTATIVES DE REPONSE EN RDC


La RDC a créé un programme national de lutte contre le
diabète(PNLD).les actions menées au niveau central par le ministère de la santé se
résument en l’élaboration de la cartographie pour une analyse verticale sur le
diabète et l’élaboration de documents normatifs en matière de diabète. Depuis 2008,
la société novo nordisk a lancé à Kinshasa, au bas Congo et Bandundu un
programme CDIC pour assurer un accès des enfants atteints du diabète sucré de
type 1 au traitement dans les pays pauvres du monde par de dons d’insuline,
glucomètres et tigettes de glycémie, et de produits pour de pathologies les
fréquente. Cette société travaille en partenariat avec des organisations locales via
son programme CDIC pour améliorer l’accès des enfants au traitement du diabète
sucré dans certains pays les moins développés de la planète.
A Kinshasa, les activités de prise en charge des enfants diabétiques
sont intégrées dans certaines cliniques à savoir :le centre médical boyambi de
l’armée du salut dans la commune de la Gombe, le centre de santé de la 2è rue dans
la commune de limete, le centre médical de saint sacrement dans la commune de
ngaliema, structures de santé du BDOM et le centre hospitalier du mont-amba dans
la commune de lemba à l’université de Kinshasa.

0.1.3. POPULATION CONCERNEE POUR L’EVALUATION


L’étude va porter sur les enfants dont la forme de diabète la plus
fréquente est le diabète sucré de type 1.son incidence augmente rapidement dans de
nombreux pays, et particulièrement chez les plus jeunes enfants de la tranche d’âge
de 0 à 15 ans.il est également l’une de maladies chroniques le plus communes de la
jeunesse. En effet, 80% des personnes atteintes du diabète sucré de type1 sont
âgées de moins de 20 ans. L’âge de son apparition au cours de l’enfance présente
une répartition bimodale avec un premier pic entre 4 et 6 et un second pic entre 10
et 14 ans. Toutefois, de bébés de quelques mois peuvent être atteints du diabète.

1.2. OBJECTIFS

02.1. OBJECTIF GENERAL


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Evaluer les enfants diabétiques qui sont mis sous traitement


antidiabétique, leur niveau d’information nécessaire dans la prise en charge du
diabète sucré.

0.2.2. OBJECTIFS SPECIFIQUES  :

- Evaluer les capacités de personnels soignants dans la prise en charge du diabète


sucré chez les enfants,

- Déterminer le niveau d’éducation des enfants diabétiques sur la prise en charge du


diabète sucré par les personnels soignants,

- Déterminer les modalités de la prise des antidiabétiques chez les enfants à l’hôpital
et à domicile,

- Décrire certains comportements des enfants diabétiques face à leur maladie, à leur
médicament et à la société dans laquelle ils vivent,

- Evaluer la conception socioculturelle du diabète sucré chez les enfants et dans leur
famille,

- Analyser la prévalence du diabète sucré chez les enfants ainsi que les techniques
et méthodes liées à la prise en charge. 

0.3. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis l’introduction générale, la conclusion, les perspectives d’avenir


et les références, notre travail est subdivisé en quatre chapitres suivants 

- Chapitre I : La Revue de la littérature ;


- Chapitre II : Les Matériels et Méthodes ;
- Chapitre III : Les Résultats ;
- Chapitre IV : La Discussion.
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CHAPITRE I : REVUE DE LA LITTERATURE

I.1.DEFINITIONS DES QUELQUES CONCEPTS

I.1.a. Evaluation : c’est l’action d’évaluer

I.1.b. prise en charge : C’est l’acceptation par la sécurité sociale de payer ou de


rembourser les frais de traitement de l’assuré.

Elle peut encore se définir comme étant le fait d’assurer les soins
préventifs, curatifs et ré adaptatifs aux patients.

I.1.c. diabète sucré  : C’est une maladie métabolop-endocriniènne caractérisée par


la carence absolue ou relative en insuline plus insulinoresistance qui a pour
conséquence l’accumulation du sucre dans le sang (hyperglycémie chronique) selon
OMS : ’’état d’hyperglycémie chronique relevant de facteurs génétiques et
environnementaux agissant souvent conjointement’’

I.1.d. enfance  : C’est la première période de la vie humaine, de la naissance à


l’adolescence.

I.2. CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

 OMS (1985)
 ADA (Américan Diabete Association) [1997]

Tableau I. Classification selon L’OMS

Formes de la maladie

Diabète sucré Type I (DID)

Type II (DNID)

Diabète sucré lié à la malnutrition (DSLM)

Diabète Gravidique

Anomalie de la tolérance au Glucose


(TTG)

Formes formées sur le risque statistique Anomalie préalable de la tolérance au


Glucose

Anomalie potentielle de la tolérance au


Glucose
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2. Classification selon ADA :


 Type 1 :
- Auto-immune
- Idiopathique
 Type 2 :
- Insulinorésistance prédominante
- Déficit insulino sécrétoire prédominant
 Autres types de Diabète sucré spécifiques :
- Défaut génétique de la fonction de cellule β
- Défaut génétique de l’action de l’insuline.
- Pancréatopathie, endocrinopathies
- Infections, médicaments et Toxiques
- Formes rares de diabète sucré liées à une pathologie du système immunitaire
- Syndrome génétique s’accompagnant parfois de Diabète
 Diabète gestationnel
 Diabète induit par les médicaments :

Pentamidine, Ac. Nicotinique, Glucocorticoîde, Hormones hyroidiennes,


Diazoide, Agonistes β-adrenergiques, Dicretiques thiazidiques, Diphenyl Hydantoine,
etc.

I.3. PHYSIOPATHOLOGIE

Le mécanisme physiopathologique : actions conjointe de deux ordres de


facteurs à savoir :

- Les facteurs génétiques et


- Les facteurs environnementaux.
1. Dans le diabète sucré de type 1 :
- facteurs génétique sont représentés par certains groupes d’HLA (Dr3, Dr4,
DQ β ASP 57)
- Facteurs environnementaux sont représentés par :
 Les épisodes infectieux  (surtout viraux)
 Les protéines : lait de vache
 Les toxiques : l’utilisation de l’eau de pluie
 (nitrates, nitrites et nitrosamines)
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L’interaction entre les facteurs génétiques et environnementaux confère une auto-


antigénique aux cellules β pan créatiques d’où cytotoxicité, formation d’auto
anticorps et destruction.

2. Dans le diabète sucré de types 2 :


- Le génotype de famine (une tendance génétique à stocker de ’énergie) à la
base de l’insulino résistance (rôle des cytokines).

Les facteurs environnementaux : occidentalisation (vie sédentaire, alimentation riche


en sucres raffinés, riche en matières grasses surtout le gros animal saturé, pauvre
en fibres alimentaires ;

L’inflation du tissu adipeux viscéraux-abdominal (tour de taille > 102 cm chez


l’homme et > 86 cm chez la femme) est responsable de la carence relative en
insuline doublée d’insulino résistance d’où :

Éclosion du diabète sucré de type 2

I.4. CRITERES DE DIAGNOSTIC

1. CRITERES BIOLOGIQUES :

Entité clinique Critères selon OMS Critères selon ADA

- Glycémie au - Glycémie au
hasard : >2g/l hasard : >2g/l
Diabète - 2 glycémie à - 2 glycémie à
jeun :>1,40g/l jeun :> 1,26g/l à
la glycémie 2 h
Ou glycémie 2 h post
postprandial :> 2g/l prandial :>2g/l

Intolérance au glycose - Glycémie à jeun : - Glycémie à jeun :


<1,40g/l et <1,26g/l et
- Glycémie 2 h post - Glycémie 2 h post
prandial comprise prandial comprise
entre 1,4 et 2g/l entre 1,4 et 2g/l

Hyperglycémie modérée à Glycémie à jeun : >1,1g/l


jeun et <1,26g/l.
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2. CRITERES CLINIQUES :

Les signes cardinaux du diabète sucré :

Polyurie, Polydipsie, Polyphagie.

I.5. CARACTERISTIQUES DU DIABETE SUCRE DE TYPE 1 et 2.

D.S. de Type 1 D.S. de Type 2

Fréquence relative 10-15% 85-90%

ATCD familiaux + + + +

Age de début Avant 30 ans Après 40 ans

Mode de début Brutal Progressif

Surpoids Absent Présent

Symptômes + + + - - -

Insulinosécretion Néant Persistante

Cétose Fréquente Absente

MAL associées Oui Non

Auto-anticorps Présents Absents

Groupe HLA Oui Non

Traitement Insuline Régime, exercices


physique, Ado**

I.6. LES COMPLICATIONS

3 Groupes de complications sont :

- Métaboliques (coma)
- Infectieuses
- Dégénératives (vasculaires ou Chroniques)

1. Complications métaboliques :

1.1. Coma acido-cetosique :


- Lié à une carence absolue en insuline
- Evolution en 2 phases :
 Pré coma diabétique 
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 Coma installé : trouble de conscience, déshydratation globale, odeur


acétonique de l’haleine, dyspnée acidosique (respiration de type
Kussmaul).
- Acétone dans les urines.

1.2. Coma hypoglycémique :

- Lié à une baisse de la glycémie au-dessus de 0,5g/l :


 Erreur thérapeutique : surdosage en insuline ou en sulfamides
hypoglycémiants.
 Erreur diététique :
- Jeûne total sous traitement,
- Repas copieux.
- Évolution d’un seul tenant : coma d’installation brutale avec sueurs
abondantes (coma mouillé)
- Glycémie : < 0,5 g/l (2,75mmol/l)

1.3. Coma hyperosmolaire :

- Survenant chez un sujet âgé, atteint d’un diabète sucré type 2 : Infection
sévère, diarrhée, Diurétique.
- Tableau clinique proche de coma Acidoctosique ;
- Glycémie très élevée : > 8g/l →Hyperosmolarité.

1.4. Coma par Acide lactique

- Devenu exceptionnel
- Lie à une mauvaise utilisation de biguanides : insuffisance rénale, insuffisance
hépatique, états d’anoxie etc…

2. Complications Infectieuses :

- Infection cutanées : furoncles, furonculoses, cellulite, Abcès, Mal perforant,


mycose (pityriasis versicolore, pied d’athlète).
- Inflexions génito-urinaires
 Infections urinaires latentes (ECBU systématiques)
 Infection Génitales : Vulvo vaginite à candida albicans.
- Infections pulmonaires : TBC
- Infections ORL : otite trainante.
- Infections odontostomatologique : caries dentaires, gingivites et
parodontopathies.

3. Complications dégéneratives (chroniques)


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3.1. Macro angiopathies


- AVC : Ischémique, hémorragique (à cause de l’HTA)
- Coronaropathie latente : ECG systématique.
- Artérite des Membres inférieurs : classiquement : gangrène (Pied diabétique)
3.2. Micro angiopathie 
- Rétinopathie :
 FO systématique
 Angiographie rétinienne à la fluorescéine.
- Néphropathie :
 Micro albuminurie
 Macro albuminurie (++)
- Neuropathie :
 Végétative : impuissance sexuelle. (++)
 Périphérique : Poly neuropathie.

RESULTATS

1. Caractéristiques sociodémographiques

Figure 1. Répartition des enquêtés par province d’origine


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Figure 2. Répartition des enquêtés par sexe

Figure 3. Répartition des enquêtés par âge actuel, âge de la découverte du


diabète et durée du traitement

Tableau II. Répartition des enquêtés par niveau d’instruction

 VARIABLES   N %
FRÉQUENTE L'ÉCOLE Oui 68 66.7
  Non 34 33.3
SI OUI, NIVEAU Primaire non achevé 8 11.4
ACTUEL
  Primaire achevé 1 1.4
  Secondaire non achevé 60 85.7
  Secondaire achevé 1 1.4
SI NON, NIVEAU LE Primaire non achevé 9 25
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PLUS ÉLEVÉ ATTEINT


  Primaire achevé 1 2.8
  Secondaire non achevé 23 63.9
  Secondaire achevé 2 5.6
  Aucun 1 2.8

Tableau III. Histoire du diabète dans la famille

VARIABLES   N %
A UN MEMBRE DE LA Oui 49 48
FAMILLE DIABETIQUE Non 53 52
 
RELATION AVEC LE Père 12 24.5
DIABETIQUE Mère 7 14.3
  Frère 4 8.2
 
Sœur 2 4.1
 
  Tante/Oncle 10 20.4
  Autres 14 28.6

2. Education pour une prise en charge à domicile du diabète

Figure 4. Répartition des enquêtés selon qu’ils ont déjà bénéficié d’une
éducation sur la prise en charge à domicile du diabète
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Figure 5. Répartition des enquêtés selon les types d’éducateur

Figure 6. Période d’organisation des séances d’éducation


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Figure 7. Nature des séances d’éducation

Figure 8. Nombre des séances non collectives dont ont bénéficié les enfants
diabétiques depuis le début du traitement
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Figure 9. Durée des séances d’éducation

Figure 10. Thèmes abordés lors des séances d’éducation

3. Pratique d’exercice
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Figure 11. Répartition des enquêtés selon la pratique d’exercice physique

Figure 12.Répartition des enquêtés selon le nombre des jours de la semaine


de pratique d’exercice physique
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Figure 13. Repartions des enquêtés selon la durée des séances d’exercice
physique

4. Auto surveillance de la glycémie

Figure 14. Possession d’un glucomètre par les enquêtés


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Figure 15. Gestes à faire pour doser la glycémie à domicile

Figure 16. Mesurer à prendre en cas d’hypoglycémie

5. Auto-injection d’insuline
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Figure 17. Gestes à faire pour s’auto-injecter l’insuline

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