DCG 2021
Management stratégique
4) Objectifs : quels résultats sont attendus des décisions que l’on va prendre ? Assez
souvent d’ordre financier. Mais il existe également des objectifs qualitatifs. D’où
l’émergence des notions de développement durable. On a une responsabilité sociale,
on ne peut pas faire n’importe quoi juste pour gagner plus. Les collaborateurs
pourraient demander à ce que l’on soit vertueux, pas juste financièrement mais aussi
socialement.
David Collis and Michael Rukstad : « la stratégie sert aussi à une entreprise à se définir » Les
buts fondamentaux (sont composés par les 4 éléments cités) + le périmètre de l’activité + la
nature de l’avantage concurrentiel = la stratégie. La stratégie va faire converger chaque point
vers un centre unique.
Benayad Sabri
DCG 2021
Quid du contexte
Start-up, PME : le défi est la vulnérabilité aux aléas de l’environnement. La stratégie sera
plutôt orientée survie.
Multinationales : enjeux liés aux marchés, aux codes culturels, aux aléas locaux. Le défi sera
de maintenir l’ensemble vertueux et cohérent.
Sociétés familiales : enjeux liés à la gouvernance et la transmission à la nouvelle génération.
La base est de pouvoir aplanir les tensions professionnelles / personnelles des entreprises.
Secteur public et ONG : l’enjeu est de définir les objectifs. Les ONG sont subventionnées en
partie mais la concurrence se fait sur les donateurs. On peut pas donner à toutes, on va choisir
et on choisira celle qui répondra le mieux à nos attentes.
1) Méthode : celui qui part du postulat que l’approche est strictement rationnelle. On voit
plus les hard skills que les soft skills.
2) Prisme de la complexité : la stratégie doit prendre fort en compte son environnement,
ce qui va impliquer un haut niveau de complexité car l’env. est fort imprévisible.
Benayad Sabri
DCG 2021
Fondamentaux de la stratégie :
- Mission : pas spécifiée ; c’est une mesure parmi d’autres afin d’éradiquer la pandémie.
- Vision : pas spécifiée : ça reste situé autour de la lutte contre la pandémie, comme
toutes les mesures.
- Valeurs : non.
- Objectifs : oui, mais très opérationnels, c’est pas vraiment des objectifs globaux.
Conclusion des trois analyses : cette stratégie de vaccination n’est donc pas une
stratégie au sens des analyses ; plutôt un plan d’action.
Benayad Sabri
DCG 2021
Introduction :
Analyse au niveau macro car une entreprise évolue dans un monde, un contexte, un
environnement qui la touche. Cet environnement n’est pas forcément tout le temps hors de
contrôle. Mais souvent, l’environnement n’est pas touchable. Il faut alors tirer le meilleur
parti des éléments sur lesquels on n’a pas d’emprise. Il faut pouvoir se demander quels seront
les facteurs qui pourraient m’influencer et quelles seraient les meilleures solutions, le cas
échéant ?
Analyse PESTEL
Outil d’évaluation de l’environnement : on regarde plusieurs éléments pouvant nous
influencer :
- Politique : dans mon activité, quel est le degré d’influence des pouvoirs publics ? Et
quel est le risque politique ? (Affaire en Suisse =/= affaire au Venezuela). Il faut voir
l’INFLUENCE ET L’EXPOSITION.
- Economie : comprendre comment les phénomènes macro-économiques nous
impactent, comme le taux d’inflation, le taux d’intérêt, etc. C’est assez fluctuant donc
il faut pouvoir analyser si on se situe dans un cycle de bonne économie (produire plus)
ou dans une situation de déclin (produire moins) et investir dans les bonnes choses
(liquidables facilement ou pas) en fonction du cycle d’activité.
- Social : influence sur la nature de l’offre et de la demande, la capacité d’innovation et
l’efficacité des organisations. Par exemple, si on parle d’une population vieillissante,
on va avoir un blocage dans l’innovation. 4 éléments pour la section « social »
A) Démographie (vendre des services de soins aux personnes dans des populations
vieillissantes)
B) Répartition des richesses (vendre des produits de luxe dans les pays avec un PIB
élevé.
C) Géographie (avoir un talent utile dans la société dans laquelle on est)
D) Culture (brassage des cultures et modification de consommation ; travail en réseau
émergeant et besoin d’outils de communication).
- Technologique : effet positif pour certains secteurs ou perte pour d’autres => Uber a
ruiné les taxis alors que Teams a sauvé les réunions pendant le Covid-19.
- Environnement (écologie) : Pollution et donc utiliser des matériaux qui polluent le
moins possible.
- Légal : règles, évolution des lois, règles informelles. « variant du capitalisme » : voir
le degré d’implication de l’Etat dans la société.
Permet d’anticiper des menaces ou des opportunités. Il faut aussi analyser les éléments
PIVOTS qui vont amener un changement majeur dans notre situation.
C’est une analyse préalable à l’analyse SWOT (déterminer ce qui est une menace ou une
opportunité). Donc, JAMAIS de SWOT avant de faire une PESTEL.
Benayad Sabri
DCG 2021
La construction de scénarios :
Un scénario n’est pas une stratégie, ce sont des environnements possibles à prendre en compte
dans la stratégie.
Un scénario a une base prévisible alors qu’une prévision a une base mois assurée. Le but du
scénario est de ne pas subir, ne pas être pris par surprise. 5 étapes pour un scénario :
1) Définir le périmètre : un scénario doit être spécifique sinon on touche trop de
variables.
2) Définir les variables pivots : ce sont ces variables qui définiront les différents
scénarios.
3) Construire des scénarios.
4) Identifier les impacts potentiels des scénarios (exemple : le télétravail a été analysé
par Proximus et se dit que cela ne vaudra pas la peine de garder les deux tous de
bureaux, il faudra donc repenser l’urbanisme de leur entreprise).
5) Mettre en place un système d’alerte précoce.
Introduction :
Environnement immédiat de l’organisation
Voir dans quelle mesure notre produit est substituable sur le marché. MAIS c’est plus
si simple car avec les smartphones, on a une convergence des entreprises -> Le
smartphone comprend les appels téléphoniques ET les photos ET les calculatrices, etc.
les produits venant d’industries séparées sont maintenant des produits qui convergent
vers un seul produit.
Recherche de l’avantage concurrentiel – pas de concurrence veut dire qu’il n’y a pas de
stratégie. Elle serait inutile étant donné qu’on est déjà le seul et donc le meilleur. Pas besoin
de se distinguer. MAIS quelque chose qui empêche de faire son activité PEUT AUSSI être
une concurrence. Comme les pouvoirs publics -> Si les pouvoirs publics interdisent les
trottinettes sur la voie publique, Lime sera en face d’un concurrent car il l’empêche de faire
son affaire.
Benayad Sabri
DCG 2021
5 forces :
1) Acheteurs : Au sein des organisations, ils achètent les biens et services qui entrent
dans le processus de création de valeur. Si le pouvoir de l’acheteur est fort, alors il
pourra mettre une grosse pression sur le fournisseur qui devra baisser ses prix ; le
risque est que l’acheteur s’empare / capture le produit des producteurs (comme le lait)
et donc devoir fournir avec une marge faible. Le risque est que les vendeurs tombent
et que le nombre se réduise et donc redonner du pouvoir aux producteurs.
Quid du cout de transfert : si je peux aisément passer d’un fournisseur à l’autre. Plus le
cout est faible, plus l’acheteur aura du pouvoir.
S’il y a des produits de substitution, l’acheteur a beaucoup de pouvoir.
L’acheteur a des parts significatives des achats dans le cout de production.
Intégration vers l’amont : que, par exemple, on élève nous-mêmes des poules, donc on
n’a plus besoin du producteur pour avoir des œufs.
5+1) Intensité : est fonction des pression des forces + nombre de concurrents. Il y a cinq
facteurs définissant l’intensité concurrentielle :
- Équilibre des forces
- Taux de croissance (s’il n’augmente plus, le but est de prendre la part des autres
concurrents)
- Couts fixes élevés : augmente l’intensité concurrentielle car il faut avoir des gains pour
rentabiliser les couts fixes
- Barrières à la sortie : les couts de dépollution de certains sites, par exemple. C’est très
cher, c’est parfois plus rentable de continuer, en étant moins rentable, que de s’arrêter.
La barrière à la sortie est grande et du coup l’intensité concurrentielle sera plus grande
car il faut continuer
- La différenciation : pouvoir se démarquer régulièrement lorsque les produits stagnent
et grappiller des parts de marché. Et contre-attaquer lorsque les autres innovent.
- Monopole : rare ; sont assimilés à une position monopolistique pour réaliser des
économies d’échelles, les monopoles d’Etats sont de plus en plus rares. C’est la loi qui
impose ce monopole. Le monopole peut également se créer de lui-même à cause des
barrières à l’entrée.
- Oligopole : peu de concurrents : offre parfois différenciées et toujours des grandes
barrières à l’entrée.
- Concurrence parfaite : idéal libéral, guerre des prix et marge faible. Beaucoup de
concurrents, offres différenciées et faibles barrières à l’entrée.
Benayad Sabri
DCG 2021
Il faut également se demander quel est le type de maturité de l’entreprise que l’on analyse. La
stratégie va consister en le fait d’éviter le déclin. Sinon elle suit la suite logique « naissance –
croissance – sélection – maturité – déclin ».
Il existe beaucoup de start-up mais le but est de devenir scale-up, cad de rester et de se
réinventer afin de ne pas stagner pour aller vers le déclin. Il faut bien savoir à quel moment on
entre dans la maturité afin de savoir relancer un nouveau cycle et éviter le déclin.
Il est également important de parler du marché.
Distinguer industrie (même type de produit avec la même technologie) et le marché
(clients + concurrents).
Focus sur le marché : quel marché ? Il faut subdiviser le marché pour créer des groupes de
consommateurs ayant des besoins homogènes et spécifiques. Il existe également des
« niches », cad des marchés étroits (à plus de 50M d’euros).
Bref, on se focus sur le client car c’est lui qui va être le game changer. Il faut trouver des
critères pour segmenter les marchés (âge, sexe, ethnie, etc.).
Il faut savoir qu’une solution qui amène de la prospérité va inévitablement être copiée et sera,
de facto, la nouvelle norme. À ce moment-là, il va falloir innover. Lorsqu’on déplace son
avantage concurrentiel, on crée de la divergence mais d’autres vont les copier (Ryanair avec
le low cost dans le domaine aérien).
Benayad Sabri
DCG 2021
La capacité stratégique
Il faut des soft et des hard skills -> le matériel et les connaissances permettant d’activer ces
actifs ; les actifs financiers sont également importants car étant des ressources importantes.
Mais il faut donc les ressources ET les compétences.
Il faut que ces ressources et compétences soient créatrice d’avantage concurrentiel /
compétitif. Elles doivent être « VRIO » : Valeur – rares – inimitabilité – organisation ». Il est
important de comprendre POURQUOI on est meilleur ou moins bon que les autres afin de se
renouveler ou garder son avantage comparatif envers les concurrents.
- Idée de Benchmarking : mesurer mais UNIQUEMENT ce qui est pertinent de
mesurer. Savoir gérer des plans financiers de 450 chiffres par page ne sert à rien, on
croule sous les nombres.
Benayad Sabri
DCG 2021
SWOT
Groupe interagissant avec une organisation. Peu importe le type de groupe, c’est tout groupe
d’individu ayant un but, un intérêt dépendant avec le projet / l’organisation concernée.
- Economique : fournisseurs, distributeurs
- Politique : agences gouvernementales
- Sociétal : riverains, lobby
- Interne : organisations syndicales
Évidemment, tous les stakeholders n’ont pas tous la même influence. Il faut donc savoir à
quel point ils peuvent avoir un impact sur nous car le but est d’établir une stratégie qui soit le
plus appréciable pour les plus grands stakeholders car s’il fait partie des grands, le stakeholder
à qui elle ne convient pas pourra handicaper notre stratégie. Deux angles :
- Pouvoir (influence)
- Possession (qui possède quoi ?)
Pouvoir : il faut savoir si leur pouvoir est grand ET si leur niveau d’attention est grand.
Benayad Sabri
DCG 2021
Possession : SOIT c’est le management qui possède l’entreprise, cad pas de relation
personnelle dans la direction SOIT un dirigeant qui est lié personnellement à l’entreprise
(fondateur). Et l’axe suivant, c’est la recherche du profit.
La gouvernance
Benayad Sabri
DCG 2021
- Imaginer qu’il y a un manager, un agent qui agira pour le compte des actionnaires /
stakeholders. Le risque est grand que les agents agissent dans leurs propres intérêts, si
l’intervention n’est pas cadrée. Le fait de cadrer évite également l’asymétrie de
l’information et en parallèle, on ne peut pas tout contrôler donc il faut laisser l’agent
faire une part des choses.
- Éviter les incitants en décalage, cad les résultats qui auront des impacts sur des
résultats en aval de la décision.
La théorie du donnut
En résumé
La stratégie est influencées par les stakeholders
Comprendre leur influence permet de construire une coalition favorable
La gouvernance organise le contrôle des organisations
La responsabilité sociale ouvre l’entreprise aux parties-prenantes
1) Continuité : ce qui a été fait auparavant sera la référence pour la suite ; le danger est la
path dependency, on va avoir tendance à ne plus innover et on sera bloqués dans le
sentier.
2) Sélection : s’inspirer du passé pour en refaire quelque chose d’actualisé, comme BMW
a redécouvert la mini.
3) Redécouverte : l’évolution n’a pas été concluante et donc on retourne aux racines pour
retrouver un point de départ vers une autre direction.
4) Rupture : abandon du passé.
La culture organisationnelle
4 dimensions
• La distance hiérarchique
• L’individualisme
• L’orientation à long terme
• La tolérance à l’incertitude
Culture sectorielle
Hypothèses implicites fortes, croyances partagées puissante dans une industrie
Culture organisationnelle
Croyances, convictions partagées qui déterminent la représentation que l’organisation se
fait d’elle-même
Mix de valeurs, croyances, comportements, inconscient collectif
La dérive stratégique
Benayad Sabri
DCG 2021
1) Le développement technologique
2) Knowledge society : on considère que le niveau moyen d’études et de connaissance
augmente avec le temps. la maitrise des données a de plus en plus de valeur.
3) Accélération et complexité : tout va de plus en plus vite et les liens entre les évents
sont de plus en plus serrés.
4) Polarisation : l’écart entre les extrêmes grandit (écart entre riches et pauvres)
5) Individualisation : les produits sont de plus en plus designés pour être adaptés à
l’individu (couleur de voiture, etc.)
6) Immatérialisation : préséance du bien sur le plus : « moins d’emploi mais de meilleurs
emplois ».
7) Network society : la vie s’organise autour des réseaux ; sociaux, alumnis, forums, etc.
Benayad Sabri
DCG 2021
Ces trends sont indépendants MAIS peuvent converger. Ils sont moteurs de changements.
Exemple : télétravail : changement résultant de différends méga trends. On peut penser que,
de ce fait, le retour en arrière ne sera pas possible ;
La segmentation stratégique
2 indicateurs de découpage
- Répercutions en termes d’allocation de ressources
- Facteurs clés de succès cohérent avec la segmentation
Différenciation
- Épuration du produit : avoir le plus basique. Il faut que la valeur puisse être diminuée
afin de dégager une marge supérieure.
- Sophistication du produit : améliorer un produit afin de rajouter de la valeur moins
élevée que le prix de vente final. On veut vendre plus cher que la valeur qui a été
rajoutée.
Focalisation
Offre très différenciée qui s’adresse à un marché de niche
Pourrait être la prolongation à l’extrême d’une stratégie d’épuration ou de sophistication
Benayad Sabri
DCG 2021
Facteurs de succès
Marché suffisamment réduit (ne pas être attractif)
Actifs spécifiques (ex. compétences)
Toujours anticiper les réactions des autres acteurs de la situation et adapter sa stratégie en
fonction de ce qu’on anticipe de celle des autres. C’est donc constamment en mouvement.
Stratégie de diversification
Il faut se poser des questions lorsque l’on va internaliser ou externaliser une activité :
il faut savoir si le fournisseur sera dominant dans la relation, ce qui pourrait poser
problème. En parallèle, voir si ce serait rentable de prendre cette activité à notre
compte.
Core business ou pas. Savoir si un domaine est proche de notre activité et si ce serait
rentable de se professionnaliser dans ce domaine ou de sous-traiter.
Siège
Avantages :
- Assurer la cohérence des services entre les différentes zones d’exploitation (comme
Satrbucks).
- Assurer les synergies entre les business units.
- Accompagnement
- Support
- Intervention directe sur une situation particulière
Couts :
- Couts de structure
- Complexité bureaucratique (lasagne d’institutions)
- Manque de visibilité des performances (on crée des transferts des uns et des
autres et on ne cerne plus le bon du mauvais car tout se mêle).
Matrice BCG
Poids morts : Suiveur sur marché atone / Consomme temps et ressources, faible contribution
aux résultats
La matrice McKinsey
Tout cela amène des stratégies internationales, pour produire certaines choses à tel endroit car
c’est moins cher, cela permettra de réduire les couts et augmenter les économies d’échelle. La
question de la logistique se pose aussi du coup.
Il faut voir à quel point on veut s’adapter localement et la vision qu’on a du global. Suivant le
degré d’adaptation locale et de globalité, on peut distinguer plusieurs modèles.
Au milieu du global / local, il y a les stratégies régionales afin de trouver un équilibre (zone
Europe, zone Asie, etc.) car on ne peut que très rarement (jamais) être complètement
transnational (intégré fort localement et globalement). Si on cherche à s’adapter, ce seront les
units qui auront plus de pouvoir ; si on voit le marché global, on aura une intervention forte de
la maison-mère.
Fusions et acquisitions
- Hostiles : rachat d’actions sur le marché sans consentement de l’autre.
- Amicale : par dialogue avec l’entreprise et rachat au prix négocié.
Est-ce que l’une marche d’office mieux que l’autre ? Non, cela dépend des relations de
l’acheteur avec le CA de la boite rachetée. Si les soucis avec le CA sont résolus, alors easy,
c’est comme une amicale au final.
Alliances et partenariats
Evaluation de la stratégie
La mesure de la performance
3 étapes :
1) Mesurer : on pense toujours au versan économique en priorité mais il n’y a pas que
cela. Il faut faire attention aux indicateurs que l’ont choisit.
2) Comparer : il faut des moyens pertinents de comparaison afin de comprendre ce qui
est la norme et ce qui est plus ou moins bien.
3) Analyser : comprendre la cause des écarts ; corréler les paramètres qui sont apparus
lors de la performance ; éviter la distorsion des faits.
1) Pertinente : PESTEL, les cinq forces, les choix, etc. permettent de se faire une idée sur
sa pertinence.
2) Acceptable : elle doit pouvoir être acceptée par les stakeholders (au moins les plus
puissants) sinon cela risque de mettre à mal sa mise en place.
3) Faisable : est-ce que j’ai les compétences (éco, humaines, temps, etc) ou pas ? Si non,
comment les obtenir ? Si on ne sait pas y répondre, la stratégie est impossible.
Stratégie délibérée
Risques :
Stratégie émmergeante
Risques :
«
Dépendant du contexte
Simple et stable : extrapoler à partir de l’historique
Dynamique : megatrend et scénarios
Complexe : subdiviser l’organisation
Quel rôle pour les dirigeants et le reste de l’organisation ?
Quel degré de planification ?
Stratégie non réalisée : partie des stratégies délibérées non appliquée
(limite du volontarisme)
Stratégie voulue : stratégie délibérée infléchie par des boucles de
rétroaction (convergence de délibérée et émergente)
Risque de dérive stratégique (incrémentale qui évolue moins vite que le
marché)