1. cours
Sommaire
Prise de notes et questions sur le cours
Introduction
Chapitre 1 : Périmètre du projet
Principe de l’analyse fonctionnelle
Démarches pour élaborer un cahier des charges en ingénierie
La démarche FAST
La démarche SADT
Démarche UML - pour produire des logiciels (modéliser un logiciel)
La méthode APTE (plus générale)
Utilisation du cahier des charges fonctionnel
Pour aller plus loin :
Chapitre 2 : Lots et responsabilités
WBS : lots
OBS : diagramme des responsabilités
La matrice RACI : passer du WBS à l’OBS
Pour aller plus loin :
Chapitre 3 : Planification
Le PERT (Program Evaluation and Review Technique)
Comment cela fonctionne ?
À quoi sert le diagramme ?
PERT est-elle indispensable dans tous les projets?
Le diagramme de Gantt
A quoi sert le diagramme de Gantt
Repérage:
Qu’est ce qu’un jalon ? (permet d’éviter “l’effet tunnel”)
Chapitre 4 : Conception d’ensemble et budget
Récapitulatif des outils de projet
Concevoir un projet: les questions
Concevoir un projet : les outils
le Budget
Mise en œuvre
Chapitre 5 : Pilotage
Le Pilotage
Les éléments de pilotage
Les indicateurs :
La gestion des risques (cf module sur gestion des risques). (Voir méthode AMDEC)
La matrice de décision: (cf module brainstorming - matrice de décision)
Analyse des écarts : détecter et diagnostiquer
La réunion de post-mortem
Conclusion
Objectifs:
La méthode “Agile”
Conseils et leçons des méthodes Agiles
Conseil : matérialiser les projets
Gestion vs Réalisation du projet
Logiciels de gestion de projet gratuits
Autres ressources:
II. Pour approfondir : réflexion et questions
III. Pour approfondir : les lectures que vous recommandez
IV. Pour approfondir : les synthèses extraites des forums de discussion
V. Pour approfondir : vos suggestions d’amélioration
Introduction
Le présent cours répondra aux questions suivantes:
Ainsi, chacun aura acquis les bases pour se lancer dans la réalisation d’un projet.
Rappel sur le cycle de vie d’un projet
Les 4 phases composant le cycle de vie d’un projet sont:
5-budget
/ressources
Les documents de la phase de DÉFINITION sont suffisants pour le cas de petits
projets. Mais pour des projets à réaliser sur le long terme ou nécessitant un travail de
groupe, on a besoin d’outils plus détaillés qui sont mentionnés dans la colonne de la
phase MONTAGE : cahier des charges, lots de travail, responsabilités, planning,
budget/ ressources.
Il est à rappeler que les outils traités durant la semaine précédente S2 concernent la
phase de DÉFINITION: 1/Tableau des acteurs, 2/Matrice SWOT, 3/Méthode SMART,
4/Cycle d’action PDCA et 5/Triangle qualité-coût-délai.
Plan du cours
Les chapitres 1 à 4 concernent la phase MONTAGE.
Le chapitre 5 est relatif à la phase EXÉCUTION/réalisation.
La conclusion traite une partie de la phase de CLÔTURE ainsi que d’autres
méthodes de la gestion de projet (méthode Agile).
La démarche FAST
Sur cette abscisse, la lecture du diagramme FAST s’effectue d'une fonction à l'autre:
La démarche SADT
1. Il doit être absolument validé par le client (le maître d’ouvrage/MOA). Il est
également très important d’impliquer dans la rédaction du projet les autres
acteurs du projet (par exemple les parties prenantes). Contractuel ou pas, il est
toujours le premier document de référence. (C’est le cahier des
charges technique qui est toujours contractuel)
2. Il doit être tenu à jour en permanence et révisé avec des modifications
approuvées par le client (versionning). Au fur et à mesure des modifications
approuvées par le client, des renégociations s'appuient sur le triangle qualité-
coût-délais. Ainsi une augmentation de fonctionnalités entraînera une
augmentation du coût de réalisation et/ou un délai plus important.
Parmi les éléments important d’un CdCF, il y a la définition des acteurs, les dates de
validation et par qui et puis l’historique des modifications(versionning) avec leurs
description.
Une fois que tout cela est fait, l’étape de définition du périmètre du projet est achevée.
Dans la phase suivante, on ne pense pas en terme fonctionnel, mais travaux tâches et
responsabilité.
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1. WBS : lots
Le WBS (organigramme des tâches ou diagramme des travaux) est un outil permettant
de découper les tâches d’un projet en sous-tâches sous forme de diagramme.
Si on fait un découpage simple on a trop peu de lots et on oubliera certainement des
éléments importants. Si à l’inverse, on a un découpage trop détaillé, le diagramme
contiendra beaucoup de lots et par conséquent, le projet sera ingérable et causera
des pertes de temps.
Il faut donc trouver le bon équilibre.
Comment décomposer des tâches en lots ?
On part de la tâche globale qui correspond en fait au livrable final (tâche à
accomplir) qui doit se trouver en haut du diagramme puis on analyse en procédant par
décompositions successives des tâches en sous-tâches, puis on ré-applique le
principe aux sous-tâches.
A la fin, on a ce qu’on appelle un lot de travail.
Les décompositions successives des tâches en sous-tâches peuvent se faire suivant
une logique de découpage en sous-lots par:
1. Métier
2. Localisation
3. Fournisseur
4. Fonction
5. Ordre temporel (succession de temps)
qu’un lot donné doit suivre une même logique de découpage (parmi les
5 ci-avant). De ce fait, un WBS peut contenir différentes logiques de
découpages mais pour des lots différents.
que la somme des sous-lots doit correspondre au lot initial.
R c’est le Responsable
A c’est la personne qui fait le travail qui exécute : l'Acteur
C c’est une personne qui est Consultée (demande son avis avant) et puis
I c’est, cela signifie qu'on est Informé (on l’informe, mais elle n’a pas de
décision à prendre).
On peut affecter deux rôles dans une même cellule comme R A dans le cas de petites
tâches.
Attention, il existe diverses versions/interprétations des acronymes : pensez à clarifier
celle que vous utilisez avant de présenter votre tableau.. ou à suivre la version officielle
de votre entreprise !
A signaler que pour les petits projets, on n’a pas besoin de la matrice RACI; le
diagramme des responsabilité OBS est suffisant pour affecter les lots et répartir les
responsabilités des différents acteurs.
Après la définition des lots de travail il faut se poser pour chacun les questions RACI
(version française):
- R = RESPONSABLE, coordonnateur de la tâche, responsable en cas de problème,
de retard
- A = ACTEUR, EXECUTANT, OUVRIER
- C = Consulté, recensement des gens qui doivent être consultés, pour valider
AVANT le commencement du lot de travail
- I = Informé, les acteurs qui doivent être informés OU valider lorsqu’une tâche est
terminée (APRÈS, à la fin de la tâche).
Exemple :
Pour aller plus loin : A partir d’un projet ou d’un évènement que vous devez organiser
Sur le même projet choisi en chapitre 1 établir l’organigramme des tâches WBS à partir
du cdc, formaliser l’OBS et établir la matrice RACI.
NB:
- une et une seule autorité R (responsable) pour chaque lot.
Fil de Discussion sur le cours - Concernant la signification de R et A, en français il y a
2 versions :
1. R : Responsable
2. A : Acteur
3. C : Consulté
4. I : Informé
et A NE PAS RETENIR POUR LE LIVRABLE 3 DU MOOC POUR RESTER DANS
LES DÉFINITIONS DU COURS S4
1. R : Réalisateur
2. A : Autorité ou responsable
3. C : Consulté
4. I : Informé
(Phase de MONTAGE)
Pour la première partie de cette formation, nous avons pensé en terme de besoin,
dans une logique fonctionnelle.
Dans la seconde phase on pense en terme de tâche, de responsabilité, d’action.
Dans cette troisième phase on va réfléchir en termes de temps. On va travailler sur la
planification du projet et seront présentés les outils : PERT (Program Evaluation and
Review Technique), le GANTT et le jalon.
Le temps est une dimension incontournable dans le management de projet. Ces outils
sont donc très importants.
Comment cela
fonctionne
?
une durée;
un/des lots antécédents
un/des lots successeurs
Et avant de réaliser certains lots, il faut avoir terminé ceux qui le précédent. ex : on ne
peut pas commencer à élever les murs d’une maison si on n’a pas fini les fondations.
A partir de ces informations, on peut passer au calcul du PERT.
Comment fait-on pour calculer PERT?
On commence par T= 0 (date au plus tôt que l’on va pouvoir commencer la tâche)
On calcule d’abord les dates “au plus tôt” et on garde le chemin le plus long au cas
où il y a plusieurs durées au niveau d’une même étape.
A chaque nouveau lot (n):
date au plus tôt :Tn = Tn-1+ D, on ajoute la date au plus tôt du lot n-1
(précédent) à la durée D du lot n . En cas de conflit de dates, retenir la plus
grande;
date au plus tard: Tj = Tj+1- D, or retranche la durée D du lot j en question à la
date “au plus tard” du lot j+1 . En cas de conflit de dates, retenir la plus petite.
Fil de Discussion sur le cours : Pour le calcul des dates au plus tôt, il faut partir de la
date de début, en général T=0. Sur chaque branche on a la durée de la phase, donc
on ajoute la durée de la phase à la date précédente pour trouver la date au plus tôt.
Exemple : on démarre à T=0, la tâche A a une durée de 1, donc B et C pourront
commencer à T=1 (0+1). La tache C a une durée de 3, et a comme antécédent la
tache A, qui se termine au plus tôt à T=1, donc C se termine au plus tôt à T=4.
Pour faire simple, la date au plus tôt de début d'une tâche sur une branche unique,
c'est la somme des durées des antécédents de cette branche.
Quand il y a un noeud, comme la tâche G qui a comme prédécesseur D et E, elle ne
commencera au plus tôt que quand ses antécédents seront tous les deux effectués,
on calcule donc les dates de fin au plus tôt des deux branches et on retient la plus
élevé.
Pour le calcul de la date au plus tard, on repart de la date au plus tôt trouvé
précédemment, et on soustrait la durée de chaque tâche pour trouver les dates aux
plus tard, avec le même principe de branches. On calcule cette fois la date de début
au plus tard des deux branches et on retient la plus faible.
Est-ce que dans la vidéo, à 3mn 14sec, il n'y a pas une erreur lorsqu'il
est dit :"on ne pourra pas commencer la tâche G avant d'avoir fini la tâche D ..." Est-
ce que ça ne serait pas plutôt : "avant d'avoir fini la tâche E"
Oui, ça devrait être E, qui a une date de fin au plus tôt de 5 (dA + dC
+ dE = 1 + 3 +1).
Les petits projets peuvent être menés sans recours à la méthode PERT car:
--->On peut planifier…même sans calculer.
Mais on peut malgré tout? faire l'équivalent d'un diagramme de PERT simplement en
faisant l'inventaire des lots de travail du projet (les prédécesseurs et les successeurs).
Exemple d’un projet informatique (sans besoin de PERT) :
Quel est l’étape la plus importante du projet ? c’est rencontrer les clients car cette
étape va conditionner beaucoup de lots de travail.
Quelles sont les périodes les plus chargées ? : il y a 3 tâches à réaliser en parallèle
(“apprendre c++”, “VRPN”, “ressources”). Si on veut avancer plus vite, il va falloir
travailler sur les ressources et recruter plus de personnes.
Voir article plus détaillé sur la méthode PERT.
2. Le diagramme de Gantt
Inventé par Henry Gantt (ingénieur américain) dans les années 1910, le diagramme de
GANTT correspond au calendrier de réalisation d’un projet
Il permet facilement de visualiser l’ensemble d’un projet avec tous les lots de travail.
Les lots de travail sont représentés par des barres, et les jalons (souvent des
réunions) sous forme de losanges.
Dans la gestion de projet, le jalonnement est très important car il permet d’éviter, entre
autres, l’effet tunnel.
Le diagramme de Gantt, permet d’identifier (comme pour le PERT):
Repérage:
Gantter (G Drive) :
Logiciel GanttProject (libre et gratuit) : http://www.ganttproject.biz/
Logiciel ProjectLibre (libre et
gratuit) : http://sourceforge.net/projects/projectlibre/
ProjeQtor (Application hébergée) : http://www.projeqtor.org/fr
2. le Budget
La gestion de projet nécessite des moyens financiers.
Ceux-ci sont de deux types: les recettes et les dépenses.
Les recettes sont des rentrées d’argent comme l’apport de sponsors ou de
l’entreprise,la vente de produits...
Les dépenses ou charges sont les montants nécessaires pour payer les différents
intervenants, les locations, les achats de matériels...etc
Dans un projet, il s’agit de chiffrer le budget des dépenses relativement à trois
types de ressources:
Une fois le chiffrage des dépenses est effectué, il y a lieu de budgétiser les recettes et
les apports éventuels.
Il est indispensable que le budget soit équilibré, c’est-à-dire que la somme des
recettes soit égale à la somme des dépenses.
Pour le cas de projet dans une entreprise, il y a le budget des charges des différentes
ressources qu’il y a lieu de chiffrer et le budget nécessaire à la couverture de ces
charges qui fera l’objet d’une demande de financement.
Le budget est :
Dès le début d’un projet, il faut tenir à jour un journal des engagements : les dépenses
du projet. (ex : coût horaire des consultants…)
En tout début de projet, les dépenses sont essentiellement des dépenses en termes
de ressources humaines relatives aux coûts des différentes réunions. Il faut
notamment en utilisant les comptes rendus de réunion tenir à jour un tableau qui vous
permet de savoir quel est en unité monétaire et en nombre d’heures le montant global
de dépense qui a été fait sur le projet.
A défaut d’avoir un budget avec les dépenses totales, il faut au moins être capable de
suivre l’argent que vous avez dépensé.
Un tableau de budget comporte deux colonnes:
L’écart entre les dépenses et les recettes de l’exemple ci-dessus doit être comblé
obligatoirement par la sollicitation de financement pour permettre l’équilibre du budget du projet.
3. Mise en œuvre
Suite du projet que vous avez défini au chap. 1 :
Budgétisez le projet
Chapitre 5 : Pilotage
ex : une personne qui quitte un projet, il faut savoir répartir ses responsabilités sur les
personnes qui font encore partie de l’équipe.
ex 2 : lorsque l'on a un budget on peut suivre le pourcentage de notre budget qui est
consommé par rapport au total prévu - on obtient ainsi un indicateur d'avancement.
Les outils de conception/montage ne sont pas à utiliser une fois, mais doivent
être mis à jour. De la sorte, on mesurera en permanence les éventuels
écarts (avances ou retards) et on définira les actions adéquates à mettre en oeuvre
pour rectifier la situation.
Quand on fait de la gestion de projet on doit toujours regarder vers l’avenir, c’est à dire
prévoir et anticiper les difficultés: c’est en fait être pro-actif.
Les indicateurs :
On fait l’inventaire et l’identification de tous les risques possibles puis les classer selon
deux axes, leur probabilité (facteur d’impact) et leur gravité. On va définir la criticité
du risque : c’est à dire on a des risques dans la zone rouge qui sont à la fois graves
quand ils surviennent et qui ont beaucoup de chance d’arriver. Ce sont
des éléments qu’il faut absolument surveiller. Parfois, quand les risques sont très
importants, il faut savoir arrêter un projet.
Gérer un projet c’est faire des prévisions lors de la phase de conception/montage. Mais
dans la réalité, ce que l’on prévoit n’est jamais exactement ce qui se réalise.
Ce qui est important c’est d’avoir fait des prévisions et de vérifier à la date prévue si on
a réalisé ce qui était envisagé ou pas. Il y a forcément des écarts entre ce qui est prévu
(Planifier) et ce qui est réalisé (Développer). Suite à la mise en place et l’analyse des
indicateurs (Contrôler) , procèder aux ajustements nécessaires (Ajuster). C’est le
cycle (PDCA).
Le principe de base en analyse des écarts c'est qu'il faut être honnête. Donc il faut
rechercher les vraies causes des écarts: manque de temps, personnes pas
suffisamment formées, outils utilisés non adaptés,problème de suivi, de motivation, de
management, de définition d’objectifs...sans chercher à condamner les gens mais faire
un diagnostic.
Si vous n'atteignez pas l’un de vos objectifs et que vous n'avez pas
analysé pourquoi, ou que vous ne savez pas pourquoi ou que vous
n’osez pas en parler, et bien vous avez un gros gros
problème. En gestion de projet, avoir des écarts est normal, mais ne
pas comprendre pourquoi ou ne pas les trouver, c’est qu’il y a un gros
problème.
3. La réunion de post-mortem
On se situe en phase CLÔTURE du cycle de vie d’un projet. On a livré le résultat des
travaux (livrables) au client et on a formé son personnel sur la solution le cas échéant.
Alors arrive la tenue de la dernière réunion avant de dissoudre/réaffecter l’équipe de
projet pour faire un bilan de déroulement et tirer les leçons des situations rencontrées
dans le but de s’améliorer.
Pour cela, il y a lieu d’envoyer à l’avance les questions à l’ordre du jour sous forme de
questionnaire aux différents acteurs (enquête).
Voir fichier Post-mortem : Les questions à poser (lien)
Conclusion
Rappel des objectifs du début de cours :
1. Objectifs:
Ce cours a décrit comment mettre en oeuvre la phase de montage:
Il existe d’autres méthodes de gestion de projet donc la méthode Agile dont il sera
question infra.
2. La méthode “Agile”
La méthode de gestion de projet Agile qui est récente (années 90) se base
essentiellement sur trois pratiques.
1 - implication continue du client final et pas uniquement en début et/ou à la
fin du projet. On part du principe que le client ne sait pas avec exactitude ce
qu’il veut. Il faut le revoir au fur et à mesure afin qu’il puisse exprimer son
besoin de façon progressive.
=> expression i INCRÉMENTIEL de ses besoins (dont le fonctionnement
repose sur l'ajout périodique d'une quantité prédéfinie à une variable. Domaine
informatique ) EX :un compteur incrémentiel..
de ses besoins
2 - On va essayer de pratiquer des cycles de planification,de mise en
routes et itérations rapides ( mathématiques exécution répétée des
mêmes opérations mathématiques procéder par itération)
avec des livrables fréquents (jalons). En programmation, on peut très
rapidement faire du prototypage rapide : livrer les résultats et les tester tout de
suite, reporting d'avancement en temps réel, affichage des problèmes
rencontrés.
3 - On accorde une grande importance à l’autonomie du groupe
projet : pour s'adapter au fur et à mesure aux difficultés qu'il rencontre. Des
réunions debout “stand up meeting, très courtes et très fréquentes, qui sont un
excellent moyen de suivi du projet,de motiver une équipe et de s’entraider.
Pilotage par les enjeux et les risques, adaptation des méthodes et du
formalisme au besoin.
On réalise bien que cette méthode ne peut être inscrite dans une organisation
matricielle.
La gestion des risques n’est pas faite en une fois, mais est mise à jour en temps réel.
La gestion de projet agile et mieux adaptée au génie informatique, mais ne convient
pas à tous les projets, notamment de type Génie Civil car dans ce cas, on n’a pas droit
à l’erreur (une fois la dalle de béton coulée par erreur, il deviendra très difficile de
rattraper ).
Cette gestion remet en cause notre cours de GdP sous sa forme classique, c’est une
GdP basée sur la correction rapide des erreurs, de la communication continue entre
les membres de l’équipe et avec le client.
La gestion agile remet en question le cycle de développement classique du logiciel qui
était un cycle de développement en cascade (cf : Manifeste Agile - Agile Manifesto
2001).
Faire de la gestion de projet c'est en fait trouver un équilibre permanent… sans travail
le projet n’avance pas mais sans management, les risques d’échec sont majeurs par
une mauvaise préparation et un mauvais suivi.
De même, trop de réalisation mène dans des impasses parce qu'on n'a pas
suffisamment réfléchi et trop de management fait que le projet n'avance pas.
Cette formation permet de comprendre les principes, mais pour acquérir des
compétences il faut les mettre en pratique.
7. Autres ressources:
Fiches pratiques
Diagramme fonctionnel: VUE Visual Understanding
Environment, LucidChart, Creately
WBS et OBS : Freeplane , MindMup
PERT et GANTT : ganttProject, Gantter, ProjectLibre, openproj
http://tpmattitude.fr/pert.html
livres à recommander
IV. Pour approfondir : les synthèses
extraites des forums de discussion
V. Pour approfondir : vos
suggestions d’amélioration