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Autour le genre de l'autobiographie il y a une sort de nébuleuse, qui porte à faire d'un tout des différents
gendre qui peuvent paraître des autobiographie, mais qu'ils ne le sont pas. En effet, les écritures de soi ne
comprennent pas seulement les autobiographies. Ils font partie de la littérature de soi aussi le journal
intime, les roman autobiographique, l'autofiction et la correspondance. Il y a trois caractères, trois identité
fondamental dans la littérature de soi: l'auteur, le narrateur et le personnage principal. L'auteur est la
personne réelle qui écrit l'œuvre et qui a la propriété intellectuelle du livre. Il est le créateur et le
producteur du livre.
Le narrateur est celui qui raconte l'histoire. Il n'est pas forcément un personne réelle. Normalement le
narrateur n'est pas l'auteur sauf dans une autobiographie. C'est une voix, pas nécessairement une
personne.
Autobiographie: c'est un texte en prose dans lequel l'écrivain parle de sa propre vie en Ière personne de
manière rétrospective, c'est-à-dire avec un distance temporelle entre le temps de la narration et le temps
des événements racontés. Le personnage principal coïncide avec l'auteur et avec le narrateur.
Journal intime: il y a une coïncidence entre l'auteur, le narrateur et le personnage principal. Il est un récit
fait de jour en jour, sans une distance temporelle et sans une distance critique. La vision de l'auteur change
de jour en jour , l'écriture est discontinue et fragmentaire, tandis que dans l'autobiographie il y a un
synthèse de tout cela. L'auteur, en autre, n'est pas concentré forcément sur soi même.
Mémoires: le narrateur est souvent un simple témoin des événements. Le narrateur et l'auteur sont
souvent la même personne mais il n'y a pas un focus sur soi même. Les mémoires sont des documents
précieux pour les historiens.
Roman autobiographique: le roman autobiographique est d'avant tout un roman. On sait que ce qu'on va
lire ne correspond forcément à la réalité; la narration est fictive. Le personnage principal n'est pas
forcément l'auteur, il portent souvent un nom différent. L'auteur parle en 3ème personne. En le lisant, le
lecteur peut penser que l'histoire est en grande partie celle de l'auteur, mais toutefois il ne sait pas combien
de ce qu'il lit est vrai.
Autofiction: l'autofiction est un concept relativement récent naît '70 et qui était très à la mode. Il est un
genre littéraire qui se définit contradictoire et ossimorique puisque il revendique la triple personnalité mais
pas tout ce qui l'auteur écrit est vrai: il revendique aussi une partie de fiction.
Correspondance: la correspondance est un échange de courrier généralement prolongé sur une longue
période. nous sommes forcés d'avoir une correspondance entre l'auteur est le narrateur mais le personnage
principal n'est pas l'auteur. (cerca bene)
Biographie/biofiction: il trait de la vie d'une personne réelle mais il est reconstruite par une autre personne.
Récit de vie: il est trnsctit par un rédacteur qui donne la forme finale de cette œuvre. Il produit en
réconstruyant des entrevue posées à des gens peu scolarisées.
Pour Claude le Jeune il faut chercher l'esthétique de l'autobiographie, qui n'est pas un récit où l'auteur parle
de soi, mais elle raconte l'histoire de sa personnalité dans un mouvement récapitulatif du syntèse du moi.
Dans la construction de la personnalité est très importante l'enfance, selon Le Jeune. C'est parce que
l'enfance et l'adolescence sont très importantes que certaines autobiographies cessent très tôt, après
l'adolescence, parce que la personnalité c'est déjà formée. Bien que l'enfance est importante, pas toutes les
mémoires d'enfance peuvent faire partie de l'autobiographie. Il faut avoir un récit cohérent et synthétique
mais il y a de cette façons un obstacle: la fidélité. Ils existent deux extrêmes : d'une partie la volonté de faire
un récit cohérente, de l'autre la fidélité car l'auteur s'engage à dire la vérité.
Auteur=narrateur=personnage. Ces-ci sont les conditions générales pour qu’il y ait une autobiographie. Ces
instances doivent parler à l’unisson.
À partir de la seconde moitié du XVIII siècle/début du XIX siècle, on a une grande diffusion de
l'autobiographie, vue comme une nouvelle manière pour écrire des mémoires. Le mot « biographie » est
attesté dans les dictionnaires de toute l'Europe du début du XIX siècle.
On commence à considérer importante la littérature de sa propre vie et de l'histoire des privés écrite par
eux même. L'autobiographie naît comme une nouvelle forme de biographie et passe à travers le roman
autobiographique écrit en première personne.
Aussi avant de l'affirmation de ce genre comme nous le connaissons aujourd'hui, nous pouvons encontre
des gendre similaires précédents. Avant le XVIII siècle, nous avons quelque cas d'autobiographie religieuse,
comme Les Confessions de S. Agostino, mais il n'étaient pas des vrais autobiographies.
C'est dans la Renaissance que on a un profond intérêt par l'individu. La recherche intérieure n'était pas faite
pour se connaître, mis pour montrer le sens de sa vie, l'auteur cherche le sens de sa propre vie et c'est à a
cause de cette recherche que l'autobiographie est écrite. L'importance est donnée à la description de la
présence de Dieu dans sa propre vie, pour montrer la puissance de la conversion et de la confession
religieuse.
En ces qui concerne les écrits des Montaigne, ils sont plus des autoportraits que des autobiographies. Il dit :
« C'est moi qui parle », mais il n'y a pas une cohérence, le récit a des traits discontinus, ce n'est pas un vrai
récit de formation de sa propre personnalité.
Aussi celle de Descartes n’est pas une vrai autobiographie puisqu’il fait une recherche dans l’esprit d’un
individu, qui ensuite propose comme une vision de vie pour tout le monde.
Modèle de communication qui annonce des communauté d’instance, instance narratives et leur(s)
destinataire(s) :
L’écrivain s’adresse au consommateur (futur lecteur)
L’auteur s’adresse au lecteur
Le narrateur s’adresse au narrataire (le narrataire n’existe que dans et par le texte, au travers de ses
mots ou de ceux qui le désignent. Il est celui qui, dans le texte, écoute ou lit l’histoire. Il existe dans
le texte, sans signes explicites renvoyant à lui. On peut le considérer comme une sorte de lecteur
« idéal » visé par le texte, mais non figuré, reconstructible au travers des compétences, des savoirs
et des valeurs que le récit suppose pour être pleinement compris et apprécié.
Le personnage s’adresse au personnage
L’autobiographie est un œuvre de la maturité. Souvent pour commencer à écrire une autobiographie il faut
avoir eu des expériences et que le gens soient intéressées. Celui de Rousseau n’est pas le seul cas d’un
autobiographe qui écrit son histoire sur le point de morte ou en croyant d’aller mourir dans peu de temps.
Souvent l’autobiographie ne commence pas avec la date de naissance de l’auteur, comment ce passe dans le
cas de Rousseau, mais elle peut aussi commencer avec la date de naissance du discours autobiographique,
avec la motivation qui a poussé l’auteur à écrire ce type de texte.
Dans la rédaction d’une autobiographie il y a deux types de distances avec qui l’auteur se doit confronter :
face à son passé et face à l’écriture. D’une face l’auteur doit se mettre en relation avec le personnage, qui
est lui-même mais à une autre âge et avec des différentes façons de penser comme le personnage est mis
en scène jusqu’à sa première âge. Le narrateur adulte peut s’identifier avec le personnage ou se distancier. Il
peut s’identifier en utilisant des expressions comme « déjà alors, aussi aujourd’hui.. » et il peut se distancier
de l’enfant en le critiquant.
En ce qui concerne le rapport avec l’écriture, l’auteur à une particulière relation avec cette-ci, du moment
que la mémoire n’est pas structuré comme un essay linéaire et donc l’auteur doit choisir quoi mettre dans le
texte et comment structurer la mémoire. On comprend alors que un manque de vérité total est inévitable.
Cela comprend aussi un rapport avec le lecteur, auquel l’autobiographe explique quelle décision a-t-il pris
dans l’écriture du récit. L’écriture elle-même est importante pour l’autobiographe au fin de trouver un sens
à l’autobiographie. L’écriture, donc, n’a pas un sens déjà connu, mais elle-même va à la recherche d’un
sens.
A cause de cet rapport compliqué avec l’écriture, ils existent deux figures constantes qui nous pouvons
trouver dans l’autobiographie : l’inavouable (ce qui ne peut pas être confessé) et l’ineffable (ce qui ne peut
être traduit par aucun mots) . Ce sont deux obstacle sans la rédaction d’une autobiographie. En effet, dans
une autobiographie, il y a une confession, mais à travers un jeu de négation de l’affirmation, dans un
certains façons elle est caché, même si le but d’écrire une autobiographie il y a le vouloir de se mettre a nu.
Le narrateur essaye aussi d’exprimer quelque chose en disant ensuite, par exemple, que toutefois il n’y a
aucun mot qui puisse décrire ce qu’il éprouve et ça augment l’intéresse pour le lecteur. Beaucoup de fois,
l’auteur se justifie avant d’avoir reçu des critiques, dans le cas de Rousseau, l’auteur dit : « j’aurai évité de l’e
faire, d’écrire toute ma vie, mais de cette manière, j’ai pu me résoudre ».
Il y a deux autres pôles entre lesquels les autobiographe « combattent » : le pôle fidèle à l’histoire, qui est
en recherche des documentations de vérité et le pôle structurante, qui cerche un sens dans
l’autobiographie.
Ceci c’est une autobiographie coupé, coupé à l’âge de 26. Le titre fait allusion à un vers de l’Évangile selon
Jean qui disait : « Si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s'il meurt, il porte
beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour
la vie éternelle. » Il exprime ainsi tout l'enjeu de la vie de Gide : « L'enfant obtus » qu'il reconnaît en lui-
même, oppressé et paralysé par l'éducation puritaine et sévère de sa mère, doit mourir et céder la place au
jeune homme épanoui, créatif et libre d'esprit.
L’autobiographie est composé de deux parties, séparées par des pages blanches. Déjà le titre montre que
l’écriture veut donner un sens e un ordre au récit. Le titre est dans une certain sens l’image du contenu. Ce
découpage aussi donne un sens à l’œuvre puisque en organisant le texte on impose aussi un certain ordre,
tandis que notre vie est un processus continu. En choisissant, comme tout les autres auteurs, un fils rouge
pour son histoire, il nous montre sa façon de voir sa vie.
Le deux parties sont bien balancé : la première partie est beaucoup plus longue mais aussi plus rapide, 272
pages, 24 années (1869-1893), 10 chapitres. Dans la deuxième partie il y a un ralentissement très sensible
du récit, de 3 à 4 fois plus lent. Gide raconte ici des chose de plus en plus importantes, en les analysant plus
dans le détail. Cette partie se développe en 84 page qui racontent 2 années de la vie de l’auteur (1893-
1895), en 2 chapitres.
Gide applique beaucoup la fonction de régie en expliquant parce qu’il a rangé son texte d’un manière plutôt
qu’une autre. Toutes les autobiographies doivent tôt ou tard se justifier et commenter l’enchainement de
leur texte à travers une fonction de régie.
Nous avons souvent des anachronisme : le récit n’adopte pas la même chronologie que l’histoire. Il y a des
passages envers l’avenir ou envers le passé. Dans les roman on va anticiper très rarement généralement
(prolexis) parce que autrement il n’y a plus des suspense. Au contraire, en ce qui concerne les
autobiographies, les analexis sont plus rare, mais très fréquentes sont les prolexis. Tous les référence au
présente du narrateur sont justifié à travers cette fonction de régie.
La fonction d’attestation est très importante dans l’autobiographie parce que à travers d’elle, le narrateur
explique d’où il a pris les information qu’il reporte et comment il s’en souvient.
La fonction communicative n’est pas toujours claire puisque le lecteur idéale ne sommes pas nous, le
lecteurs idéale étaient ceux de cette période là et ainsi beaucoup de chose nous pouvons ne le comprendre
pas.
Dans les écritures de Gide, il y a un chapitre tout consacré à « Si le grain ne meurt » et ici il dit qu'à niveau
de l'énoncé « Si le grain ne meurt » est complexe, mais à niveau de l'énonciation il est ambiguë. Complexe
et ambiguë ne sont pas la même chose ; si un texte est complexe est un fait objectif et il n'exclue pas la
clarté, tandis que dans le cas d'un texte ambiguë l'affaire est une question d'indécision du sens, de
l'incertitude de l'auteur et aussi du lecteur qui lit-. Face à cette ambigüité, en effet, le lecteur aussi reste
avec des doutes. Gide s'attend qui soient les lecteurs à contribuer à former le sens du texte, il s'attende que
le sens globale soit formé par les lecteurs et tout cela mène à une ambigüité. L'autobiographie suppose un
effort de synthèse et si Gide obtient cette condition d'ambigüité dans « Si le grain ne meurt » est parce qu'il
pend des différentes positions, tandis que le lecteur s'attende un texte synthétique et qui prend lui-même,
sans le laisser faire au lecteur.
L'autobiographie de Gide est aussi paradoxale, et le produit de ses exigences fondamentales puisque malgré
il accepte des dimensions de l'autobiographies, comme le fait des confessions et l'explication de « c'est moi
qui parle », mais il refuse au même temps de faire une connaissance totale de soi, en effet il ne conclue par
le récit, il le fait terminer à l'âge de 26 ans et par conséquent le lecteur ne connais pas ce qui ce passe après
et il reste avec des autre doutes. Ceci fait qui l'autobiographie ne soit pas un tout. (Pacte
Autobiographique).
L’entre deux guerre (1918-1939) est un siècle riche de moments contradictoires. On retrouve dans ces
années, deux expériences différentes mais spéculaires qui trouvent leur origine dans la même cause : la
première guerre mondiale, une guerre de tranché qui a choqué le monde et qui a conditionné la vie sociale
et la culture dans les années suivantes. Dans un cas nous avons beaucoup de récit de guerre écrites par les
soldats, qi témoignent la crudité de la guerre sans embellissement et avec un langage populaire utilisé dans
les tranchés, même si parfois ces récit était romancés. De manière opposée on réagit à la guerre avec les
expériences des avant-gardes, surtout avec le surréalisme. André Breton, le précurseur du mouvement,
avait été choqué par la guerre mais il sublime la violence de la guerre avec une violence du langage en
refusant la dimension qui l’avait choqué pour aller au de là, dans une autre réalité, d’ici le nom
« surréalisme ». On dénonçait ainsi la crudité de la guerre avec un langage qui souvienne le réalisme parce
qu’il était le langage utilisé dans les tranchés , un argot des soldats qui entre dans les romans avec un effet
de réalisme et de dénonce. On a ici une réaction contre la guerre mais on refuse les récits de la guerre-
même en désirant une rupture totale par rapport au passé. Avec le manifeste du surréalisme en 1924 on dit
en effet que le but est d’exprimer avec un langage cruel la dicté du pensé sans la censure de la raison. On
arrive ainsi à un projet révolutionnaire.
JEAN-PAUL SARTRE
Sartre traverse la première partie du XX siècle. Il marquera la période des années 40-50-60-70. Il a fait des
études de philosophie et il voulait être au même temps un littéraire et un philosophe. Cette double
dimension on la retrouve dans toutes ses œuvres, qui ont une forme littéraire qui par exemple imite un
journal intime, mais qui cache un sens philosophique.
L’EXISTENTIALISME
Par la suite de l’adhésion de Sartre au marxisme, il publie Temps modernes, que fonctionne comme
médiation entre la théorique et la réalité sociopolitique. Sartre veut appliquer le système philosophique à la
vie réelle des personnes, il veut entrer dans la vie quotidienne d’un vaste public.
Pourquoi on appelle cela « essentialisme » ? Une grande importance est donnée à l’essence par rapport à
l’existence. Pour Sartre et pour l’essentialisme, l’homme est condamné à être libre : vision de la vie
pessimiste, on ne reconnait ni des causes ni des but à l’existence humaine. La liberté est définie inutile, une
lourde légèreté. En n’ayant aucun modèle à suivre, l’homme doit choisir lui-même quel forme donner à sa
propre destiné et pour donner quelque sens à l’existence, l’homme se crée des modèle, ma de modèle
illusoires. Le monde n’a pas des raisons d’être et l’homme flotte ainsi dans une existence absurde. Cette
condition est perceptible dans La nausée. Chez Sartre on arrive à cet pensé à travers la fiction.
Tout ce la est lié aussi au contexte de la période : après la Première guerre mondiale, beaucoup de
personnes avait réagi avec dégoût, mais déjà dans les année 30 on allait vers l’horreur de la Deuxième
guerre mondiale. Les artistes comprennent d’avance le changement et ils traduisent la situation avant que
le véritable tournant avienne. On se trouve ainsi dans un moment absurde, où l’homme est « perdu »,
« jeté ».
On appelle cela « contingence »: l’être vivant simplement, sans un but. L’homme à besoin d’une certitude,
de donner un sens à sa propre vie.
La réticence de Sartre pour la psychanalyse de Freud est forte : Sartre ne parle pas d’inconscient, il parle de
mouvais fois (malafede). Pour Sartre ce n’est pas que beaucoup de chose sont inconsciente en influent sur
notre personnalité, pour Sartre nous pouvons voir ces chose, ma nous ne voulons pas le faire.
La liberté angoissante qu’il éprouve à la morte de son père est l’emblème de l’homme dans un système tel
que l’existentialisme. Il est consciente que sa liberté à été angoissante parce qu’il a vécu tout cela de
manière euphorique au premier moment, mais il y a ensuite quelque chose qui le retrient sur la terre.
LES MOTS
Comme Gide, Sartre publie sa autobiographie en 1960 et il l’écrit depuis le 50 ans et il choisit de la
structurer d’une façon très marquée. L’autobiographie s’intitule « Les mots » et il est composée par deux
parties : Lire et Écrire. Le file rouge est donc la culture humanistique et littéraire.
Tout se présente comme assez traditionnel et l’ordre chronologique est respecté. Tandis que Gide
commence sa autobiographie avec sa date de naissance, Sartre commence avec une sorte de généalogie en
traçant l’histoire de sa famille à partir de la moitié du XIX siècle.
Dans l’autobiographie de Gide, deux point de vue s’alternent : celui de l’enfant qui vive les moments narrés
et celui du narrateur qui regarde rétrospectivement sa vie. Dans « Les mots », on a presque toujours le
point de vue de l’adulte et la vie de l’enfant est racontée de façon désacralisant, l’adulte regarde sa vie et il
décrit les personnage comme s’il soient des étrangers.
Dans le cas de Sartre, tout est organisé avec un but plus démonstratif que dans le cas de Gide. Il y a des
éléments du souvenir de l’enfant et des éléments qui tisse une filet qui a le but de nous mener à
comprendre le point de lien. Puis, il y a un vide entre la première et la deuxième partie qui nous ne permet
pas de comprendre comment le changement arrive.
Lejeune parle, en ce qui concerne Les mots, d’une « fable dialectique », d’une « fable de type biblique ».
Lejeune divise le livre de Sartre en 5 actes :
ACT 2. Les comédies primaires : L’enfant entre dans la comédie des adultes et il joue un rôle
Comédie familiale gagnant. Il est particulier le point de vue du narrateur adulte
Comédie littéraire par rapport a celui de l’enfant, qui ne devrait pas être encore
consciente, mais à travers le texte on suggère que l’enfant est
consciente. Le point de vue de l’adulte prévaut.
ACT 3. La prise de conscience Ce qui correspond à la nausée. Ce n’est pas une période qui se
trouve juste après la comédie, mais elle a connus des espaces
dès 5 ans à 10 ans.
ACT 4. Les comédies secondaires : On passe de manière volontaire à une comédie secondaire
Les saints, les héros, l’écrivain et imagine une solution nouvelle : il faut intérioriser la
comédie. C’est une rôle qui prend à vivre de soi même, il
joue plus des rôles réclamés par les adultes, mais des rôles
réclamé par les enfants (les saints, les héros et l’écrivain).
Avec le rôle de l’écrivain il sens d’avoir trouvé sa vocation.
Le spectateur principale est lui-même, pas la famille. Il récit
la comédie par lui-même.
ACT 5. La folie Cette phase est la plus mystérieuse. Ce qui porte l’enfant dans la folie est un
Evénement auquel toutefois on ne fait pas allusion. D’abord l’amour pour la mère
puis, l’état de folie qui reste jusqu’au Sartre adulte. Toutefois il manque l’élément,
on découvre dans les biographies de l’auteur. Cet élément est le deuxième
mariage de la mère, qui mène Sartre à une nouvelle difficulté qui se cristallise et
qui trouve un équilibre dans cet état de folie.
Ecrit en 1964, le texte Les mots commence quand le protagoniste a 4 ans et termine quand il a 12 ans. Il y a
des coupures importants pendant lesquels on sait ce qui c’est passé seulement grâce aux biographie de
Sartre. Il y a quelque rare remarque au remariage de sa mère mais il y a des éclipses dans l’historie de sa
propre personnalité.
1916 première coupure mariage de la mère
1938-1939 deuxième coupure période existentialiste
C’est un cas particulier que l’autobiographie termine à 12 ans, tandis qu’à l’adolescence est donné beaucoup
d’importance habituellement.
Les mots est un texte marquant l’existentialisme, est une écriture de soi pour arriver à d’autres fins, La
nausée.
LA NAUSEE (1938)
Dans ce texte, Sartre décrit des sentiments par rapport à des objet. Les rapporta avec eux et puis avec les
personnes le donneront un sens de nausée, d’ici le titre. Il n’estime pas son travail, au contraire, il prend
conscience de l’extranéité de ces objets et il change totalement son façon de percevoir les choses. Le
système philosophique n’est pas présenté par l’haut, mais il nous le fait vivre à travers une progressive
sensation de l’auteur, en notant la réaction qu’il a face a certains objets qui lui fa découvrir l’existence nue
des choses. Tout cela sera expliqué plus tard avec le système philosophique élaboré par Sartre :
l’existentialisme, qui examine l’existence humaine par rapport à l’essence. Selon les existentialistes il n’existe
pas une essence de l’homme, mais seulement un existence de l’homme. Il n’y a pas un model à partir
duquel on se crée, mais chacun se crée dans le quotidien à travers une liberté perçue aussi angoissante. En
effet, si l’homme est totalement libre, les chois qui prend canalisent sa vie et donc cette liberté se réduit
fortement.
De ce sens initial de dégoût et nausée envers le monde, l’auteur se remet à cause de la contingence des
choses dans le monde, comme, par exemple et surtout l’art, une grande solution par un existence qui
autrement serait difficile à supporter. Cette liberté implique que chacun est libre de donner à sa propre vie
le sens qu’il croit. Pour ceux qui épousent cette vision des choses, la construction de sa propre vie devienne
alors fondamental.
Dans la nausée, cet système philosophique est encore intériorisé et il est fait vivre au personnage
graduellement.
La Nausée est un récit fictionnaire et philosophique. C’est un journal intime fictif.
La nausée mime un journal intime. Il le mime au point que Sartre fait commencer le texte par une
avertissement de l’auteur qui dit qu’il a retrouvé ce journal parmi des papiers. C’est un journal qui
commence en 1932. Parmi les premiers lignes, dans le feuilles qui n’est pas daté, on trouve la justification
de la chois d’une forme comme le journal intime est ces lignes ont aussi donné le titre à l’œuvre.
La note c’est un fait de mimer le fait d’avoir trouvé quelque chose écrit par quelqu’un s’autre.
L’écriture de ces pages dit de vouloir écrire un journal intime pour en voir claire, pour voir comment il est
changé la façons de percevoir les choses, il veut arriver à une analyse de tipe philosophique.
Il y a une différence dans la narration : il n’y a pas un point de vue à la fin des événements, il n’y a pas un
vision rétrospective dans un tout ordonné, mais on analyse les choses au moment qu’il sont découvertes
jour par jour, aussi avec des changement d’opinion et d’interprétation d’un jour à l’autre.
Certitude et évidence nous sont données dans Les mots, du quinquagénaire qui a déjà fait le point de tout
et qui a déjà donné des explications. Le point de vue est toujours liée au aujourd’hui.
Ce type de narration, cette possibilité de noter le changement de point de vue, est possible seulement dans
un journal intime.
La forme du journal intime est fonctionnelle au fait que le narrateur ne sait pas choisir que raconter ou pas
raconter et dans le journal intime il ne faut pas choisir.
Il y a un manque de liberté lié au fait que les objets, les personnes, les bruits existent dans le monde
comme lu. La nausée est due à la découverte de la contingence et de l’extranéité du monde qu’en dérive. Il
y a la même sensation d’être un voyageur sans billette. On note ces prises de conscience de jour en jour.
1b. S’il n’y a rien d’écrit dans la couverture mais le nom du personnage est différent de celui de l’auteur
continue à penser qu’il s’agit d’un roman
2b. S’il y a des indications sur la couverture et le nom d’un personnage n’est jamais donné, on ne sait pas s’il
s’agit d’un roman ou d’une autobiographie. C’est donc un cas indéterminé, même si l’histoire qui est
raconté est l’histoire qu’on connait de l’auteur.
2c. Si on ne dit jamais le nom du personnage, ça ne veut pas dire que ce n’est pas une autobiographie.
Cas aveugle : # nous avons un texte qui se présente comme romain mais on a une identité onomastique
entre auteur, narrateur et personnage, mais nous avons de claires signe de fiction.
* le nom du personnage est différent de celui de l’auteur mais il y a un pacte
autobiographique. Mais à quoi nous devons croire ?
La Nausée si trova tra il 2a e il 2b (Quando parla dei suoi testi precedentemente scritti, ma il nome del
personaggio è diverso dal nome dell’autore anche se poi richiama libri già scritti, quindi una sorta di
identità)
À la recherche du temps perdu- Marcel Proust
« Se il narratore avesse lo stesso nome dell’autore sarebbe Marcel » Frase molto ambigua : il personaggio
narratore non può conoscere il nome dell’autore.
Si on peut opposer le roman à l’autobiographie, cela ne vient pas du texte, mais il y a quelque chose hors du
texte qui nous fait comprendre si nous somme face à un genre ou à l’autre.
Avec la formule « Il était une fois » on comprenait bien qu’on allait dans le monde de la fiction, mais ce n’est
pas toujours aussi claire ce qu’on va lire.
ALBERT CAMUS
Camus est identifié avec l’autre branche de l’existentialisme. Camus est un français d’Algérie : il est de
nationalité française, mais il est né en 1913 en Algérie, quand cette-ci était une colonie française.
Le colonialisme français a eu lieu dès XVI siècle en Amérique, puis dès 1915/1930 jusqu’à la moitié du 900
on a la deuxième colonisation française en Afrique, Asie, Nouvelle Calédonie,…).
Il existaient deux type de colonies :
Les colonies d’exploitation Afrique centrale. La France envoi des fonctionnaires et des ingénier
pour bâtir des structures pour exploiter les ressources du pays.
Les colonies de peuplement La France envoi des famille dans cette colonie pour former ici une
société française.
Ils existaient aussi des protectorat français, comme le Maroc et la Tunisie, et qu’il n’était pas colonies.
La mère de Camus était espagnole mais née en Algérie et le père de Camus était français né lui aussi en
Algérie et il n’avait jamais vu la France métropolitaine. La famille Camus était né donc, sans un contexte
colonial, ma ça ne signifie pas qu’il se sentissent des colonisateurs, puisque ils avaient toujours vécu en
Algérie et la famille était très pauvre et pas lettrée, donc, le fait qu’il n’étaient pas des autochtones ne
signifies pas qu’il appartinssent aux hautes classe sociales.
En effet le père Camus était en ouvrier agricole, la mère était analphabète et presque sourde, tandis que le
frère était sourd-mouette. La situation familiale était donc difficile.
En 1914 le père de Camus fût appelé sous les armes puisque l’Algérie était considérée territoire française. Il
mourra en guerre.
Grâce au maître d’école, Camus continue les études en étant très doué pour l’écriture. Le maître avait été
en guerre lui aussi et il était survécu, en se sentant coupable en en s’affectionnant a Albert et en lui
permettant de gagné une bourse pour aller au lycée. La mère voulait qu’il travaillasse, mais après il se
convainc. Albert gagne en 1964 il gagne le Prix Nobel pour la littérature. A l’occasion du Prix Nobel, Camus
rappelle son maître d’école et aussi sa mère, qu’il considère comme intercesseur : elle était par lui celle qui
permet d’accéder à ce qu’il y a de meilleur dans l’homme.
Camus entre dans le parti communiste et il en sorte tôt en maintenant un rôle d’intellectuel engagé. Il
quitte après l’Algérie pour aller à Paris, il s’engage dans la Résistance et il commence à écrire L’étranger.
Il rentrera dans les années 1940 en Algérie et il commencera plus tard à écrire La peste.
Il collaborera dans le journal Combats et il connaîtra Sartre. Il fera une recension de La nausée en 1939,
l’année suivante de la sortie du texte, en 1938.
Camus meurt en 1960, donc il ne verra pas la in de la guerre d’Algérie, à cause d’un incident de voiture.
On retrouve dans la voiture le manuscrit de 144 page de ce qui devait devenir Le Premier Homme. En 1994
cet pages on été publiée par la fille.
« A cattiva coscienza, confessione necessaria ». L’idée décrire un roman autobiographique lui vient
probablement après le premier voyage en France où lui vient envie de visiter la tombe se son père et il se
rend compte que le père était mort quand il était plus jeune d’Albert en ce moment-là. Le père devient ainsi
la personne plus jeune de la famille. Il y a donc un déclaration de se détachement à la famille, au sentiment,
au contraire de ce qui se passe dans la La chute.
En Camus, nous avons des cycles. Camus même a divisé ses œuvres en plans :
Le cycle de l’absurde (L’étranger, Le mythe de Sisyphe, Caligula)
Le cycle de la révolte (Le malentendu, La Peste, Les Justes, L’état de siège puis analysé dans
L’homme révolté)
L’étage de l’amour (Le Premier Homme, qu’il ne termine pas, Don Juan, Le mythe de Némésis)
Pour ce dernier étage, celui de l’amour, Camus disait que « La méthode est la sincérité ».
Dans une note du petit carnet, il écrit : « Je vais parler de ceux qui j’aimais ». On s’attende donc un
approche traditionnel ò l’autobiographie mais ce n’est pas ainsi. Il parle en III personne et il n’utilise pas les
noms réels des personnage, même si parfois, peut être pour distraction, il utilise les noms originaux.
Mais pourquoi il écrit un roman ?
Camus cache les noms réels des personnage et des lieux mais il y a des pages où les vrais noms
apparaissent, peut-être pour distraction. Il y a des élément réels et des élément de fiction. Par exemple, il
est vrai qu’en 1913 le père s’était établi en Mondovi, en Algérie en étant un ouvrier agricole, mais au
moment où Albert Camus était né, en novembre, la famille s’était déjà installé dès septembre. La
description du voyage aussi est un événement romanesque, pour augmenter les éléments symboliques.
En ce qui concerne le frère de Camus, déjà dans les premiers pages nous voyons le frère d’Albert à coté de
la mère mais après c’est comment si le frère aîné n’existe pas car il parle très rarement de lui. Le frère
Robert, donc, n’a pas une place.
L’ÉTRANGER
Morceau, le personnage, vive des sentiments de manière désagréable, il vit de manière passive les
événements. Morceau est un français d’Algérie qui se sent étranger de sa propre vie, étranger à ses propres
affects. Il tue un algérien, sans raison et il justifie se acte comme un événement dans sa vie absurde, mais il
ne semble pas repenti et il est condamné à la morte. Ce personnage ne trouve pas sa raison de vivre si non
dans le petits gestes quotidiens, comme manger, dormir, l’amour, sans rien d’autre.
En ce qui concerne le style, Camus utilise ici toujours le temps au passé composé, peut être en représentant
son détache par rapport à la vie. Ce style du français simple peut être associé avec l’étude de l’école : peut
être qu’il utilise un langage qui a signé sa vie étant donné que l’expérience au lycée n’a pas été très
particulier, tandis que l’école a eu une grande importance.
LA PESTE
L’histoire se déroule dans les année 1940 dans l’Algérie française et raconte sous forme de chronique la vie
quotidienne des habitants pendant une épidémie de peste qui frappe la ville et la coupe du monde
extérieur. Initialement les habitants semblent résignés . Ils donnent l'impression d'avoir perdu leurs
souvenirs et leur espoir, mais après ils créent « une chaine » pour combattre l’absurdité de la vie. Camus
rappelle ainsi la nécessité d’un lucidité car tout peut se passer quand on ne l’attende pas, comme la peste.
LE PREMIER HOMME
L’ouvre est autobiographique et elle raconte l’enfance du personnage, Jaques Cormery, modelé sur Camus
lui-même.
L’œuvre consiste en deux parties :
I partie « La recherche du père » recherche qui Jacques Cormery fait de son père
II parte « Le fils ou le premier homme »
Le nom de la deuxième parte se réfère à la substitution du fils au père au premier homme, quant il voit la
tombe. Il y a aussi un bouleversement de l’ordre du temps : nous n’avons pas un ordre chronologique, mais
l’histoire se déroule dans le présent, au moment où le narrateur, Jacques Cormery a quarante ans, mais
c’est une histoire qui oscille entre le présent et le passé, où Jacques était enfant.
A camus manquent les taches de la mémoire, il pose beaucoup de question à sa mère mais elle réponde
souvent qu’il ne se souvient pas de beaucoup de chose et qu’il ne connaissait très bien son mari. Camus
essaye donc de reconstruire les éléments qui lui manquent et c’est pour ce raison qu’il écrit ce roman.
Le premier titre qui Camus voulait donner à l’œuvre était L’enfant pauvre mais il a choisi Le premier homme
pour représenter sa sensation d’être seul, sans un père et sans modèles. Le titre se réfère en effet à la
sensation d’être premier homme quand va visiter la tombe et il se sent comme si le père fût son fils. L’ordre
du temps se bouleverse et il a la sensation d’avoir une responsabilité par rapport à la famille car il se sent le
frère aîné.
En 1994 Le premier homme est publié posthume, grâce au travail de correction et révision par la fille de
Camus, qui intègre au texte aussi les notes qu’il y avait à coté du texte. Il y a eu donc un déchiffrement de
l’œuvre.
« A une mauvaise conscience, aveu nécessaire » Camus avait eu une nécessité de se raconter, surtout de
raconter sa vie de pauvreté. Tout cela était de à une mauvaise conscience et cette mauvaise conscience
était lié à son origine, à son milieu de gêne, et qui avait lui causé une sensation d’avoir trahi son milieu
d’origine. Il ya donc une volonté de rachat ò travers l’écriture. Il y a une reconnaissance tardive de
l’importance de ses origines. Le but de l’œuvre en fin est celui d’aller contre l’oublie qu’il avait par rapport a
son père et à ses origine et récupérer la mémoire de l’individu, de la famille et aussi du peuple. Cette faute
de mémoire, qui on peut voir beaucoup de fois dans le roman, est aussi une justification pour le fait que
l’œuvre est un roman et pas une autobiographie, car s’il était une autobiographie il n’aurait écrit rien.
Souvent dans le roman il faut imaginer et tout reconstruire.
A cause de son caractère fictif, dans une autobiographie on cherche les différences avec la vie de l’auteur,
tandis que dans le cas d’une autobiographie on cherche les différences.
Alors qu’il y a beaucoup de lacunes, Camus utilise la finition.
Une des formes utilisées par le Ou.Li.Po est le Lipogramme, un écrit en évitant d’utiliser certaines lettres.
Perec a écrit La disparation entièrement sans la lettre « e ». Est un roman familial et donc par écrire le mots
« père », « mère », « frère », « famille » il faut la lettre « e ». Il doit donc chercher des autres mots, plus
anciennes, ou de l’argot, ou désuètes. Ce limite de ne pas utiliser cette lettre, donc, stimule la fantaisie de
l’auteur, qui doit aller au-delà, ce n’est pas donc une limitation. La disparation se présente aussi comme un
roman policier où il cherche quelque chose qui s’est perdu e cette chose et la lettre « e ». Il y a en effait 4
chapitre et pas 5, comme le nombre des voyelles.
Des autres formes utilisées sont la Liponimie, le Palindromes, la Méthode M+/-n. On compose les écrits sur
de modèles technique-mathématiques.
Cent mil milliards de poèmes, de Queneau est un œuvre composée par 10 sonnets, chacun composé par 14
vers. Il les a mis les un sur les autres et après il a coupé ver par ver en pouvant après mélanger le vers en
formant en totalité cent mil milliards de poèmes différent, mais construits toujours avec une forme fixe de
rime et avec un enchainement grammatical cohérente. On montre de cette façon les infinies possibilités de l
littérature au moment où la fantaisie est stimulé par les règles qu’il avait établit au départ.
Un outre tendance qui caractérisait le deuxième après guerre était le Nouveau Roman, né dans les années
1950. « Le roman n’est plus l’écriture d’une aventure, mais l’aventure d’une écriture » Jean Ricardou.
Il ne s’agit pas donc de mettre l’écriture au service de l’histoire, mais l’écriture concerne l’écriture elle-
même. L’expression Nouveau Roman est utilisé pour la première fois en 1957 et en 1963 il y a le premier
article sur le Nouveau Roman Pour un nouveau roman, A. Robbe-Grillet.
Les littéraires du Nouveau Roman contestent tous ceux qu’ils étaient considérés comme les éléments
fondamentaux constituent le roman. « Mais comment le romancier pourrait-il se délivrer du sujet, des
personnages et de l’intrigue ? » N. Sarraute, L’ère du soupçon.
Selon Sarraute, nous avons accepté les formes du roman qu’il y a eu jusqu’au ce moment-là parce que nous
voulons lire des histoires sans faire aucun effort. Il y avait des personnage et un intrigue et cela été
escompté. Les écrivains du Nouveau Roman contestaient le roman de type Balzacien, le roman classique,
qui était celui de la fin du XIX siècle. Dans le roman de Balzac, tout se construit autour des personnages qui
ont une expérience et une certaine personnalité, une propre vie ; nous avons un illusion de réalité dans le
monde décrit dans ce type de roman. Pour le Nouveau Roman, la réalité n’est pas important et toutefois,
cette réalité était donnée par le langage, par les mots et les virgules et il fallait restituer au langage son
importance, un roman est formé par des mots avant que par des personnages et un intrigue.
Le Nouveau Roman a eu des influence dans :
Les romancier étranger (Kafka, V.Woolf)
Stendhal, Flaubert
Camus (L’étranger) et Sartre (La Nausée)
où la conscience était restituée à travers le langage.
Le caractère transporte finalement des valoirs idéologiques, on dénonce les personnages traditionnels, à la
peinture des caractères on préfère l’exploration des flux de conscience. Tout l’intrigue est subordonné au
flux de conscience. Le nombre de personnages est réduit à zéro, on ne connait par exemple leur âge ou on
parle avec un Je inexistante. L’intrigue se fait énigmatique, subjective et l’étrangeté du monde est soulignée
par la minutie des descriptions (« nouveau réalisme » ?). On implique, donc, un nouveau type de
participation du lecteur qui doit reconstruire une histoire qui n’est pas donnée du tout.
Le roman ne cesse pas de renvier à sa propre élaboration, on travail de l’auteur ( ?). Le langage reste le
véritable élément constituent le roman, alors que les personnages et l’intrigue classiques n’existent plus.
Tout est filtré par la conscience du personnage et le lecteur doit faire un effort, il doit partager le travail, le
lecteur devient opératoire, on n’est plus face à un cadre transparent, mais le lecteur soit le reconstruire.
GEORGES PEREC
Perec nait en 1936 et il meurt en 1982. Les années 1960 sont les années de Le premier homme, Les mots, le
Nouveau Roman et de la naissance de l’Ou.li.po. Cette dernière pour Perec est le baptême de sa littérature.
Perec est né en France et il est fils de juifs polonais. La mère a été déportée et il est morte dans un champs
de travail à Auschwitz, tandis que le père est mort en guerre. Sa reconstruction mémorial est une défi
puisqu’il commence d’une impossibilité de mémoire. Tout commence par un contraint donc, d’une
difficulté, mais cela le stimule à reconstruire des souvenirs d’enfance, qu’il dit de ne pas avoir et pur faire
cela il cherche aussi les informations dans des documents. Ses parents on muri dans les années 1940. Le
père va s’enrôler volontaire et il meurt tôt pendant la guerre. La France collaborationniste est commandé
par les allemands qui vise à déporter le juifs dans les champs de concentration et c’est la sort de sa mère
aussi. Perec après avoir été dans des collèges, sera adopté pas sa tante et son oncle.
Dans La disparition Perec joue avec un E qui est disparu tandis que dans un autre ouvre qui s’appelle Les
revenEnt il joue avec un E qui peut revenir. Nous ne pouvons pas lire W, ou le souvenir d’enfance sans tenir
compte de toutes ses recherches, dont celle de La disparition, concentrée sur le contraint linguistique du
lipogramme en évitant la lettre E. La particularité est qu’il évite la lettre la plus utilisées dans la langue
française, qui compose le ¾ des mots de cette langue. Il défi la langue en jouant avec elle.
W, OU LE SOUVENIR D’ENFANCE
La lettre E, héroïne de La disparition réapparait dans la dédie de Perec dans W, ou le souvenir d’enfance , qui
s’adresse à « E » (Pour E). Le nom de sa tante et celui de sa cuisine commençaient avec la lettre E, mais si la
dédie était dédié à elles, il aura du être un point après la lettre, qui n’est pas présent. La dédie donc pourrait
être adressé a ses parents (Eux), en s’adressant donc à ses parents mort qui retournent. W est le tentative
de reconstruire l’enfance dont il dit de ne pas avoir aucun souvenir.
Perec publie son autobiographie quant il n’avait pas encore 40 ans, mais tout-à-fait peu d’années avant sa
morte à 46 ans.
Il peut apparaitre étrange qu’un écrivain tellement influencé par l’Ou.li.po et aussi par le Nouveau Roman,
qui refuse un référent, se jette dans une écriture d’une autobiographie, où doit postuler une triple identité
et où il doit faire un pacte d’identité qui renvoie donc à un référent. On peut imaginer que même lorsque le
caractère ludique est le plus présent, il y a une conscience tragique.
Chez Perec il y a toujours une recherche existentielle et une recherche formelle qui ne sont pas en
contradiction.
W est un roman plutôt complexe, composé par plusieurs textes qui se combinent les un aux autres. Il est
divisé en 2 parties et il y a une page blanche entre le chapitre 11 et le chapitre 12, ave trois point de
suspension entre parenthèse et cela communément veut dire conventionnellement qu’il y a quelque chose
qui n’a pas été dit. Une autre particularité est le fait que les chapitre qui ont un nombre impair son écrits en
italique, tandis que les chapitres pairs sont écrits en roman puisqu’on s’agit de deux histoire différentes. La
véritable histoire autobiographique est celle écrite en roman, l’autre est une histoire fictionnelle. La
coupure avec (…) signe une pause dans les deux histoires. En ce qui concerne la partie fictionnelle nous
avons un personnage qui part à la recherche de quelque chose mais après nous ne savons plus rien. Dans la
deuxième partie nous avons après la description d’une île et on peut donc supposer que c’est le continue de
l’histoire même si cela n’est pas dit. La partie en roman constitue la recherche de sa personnalité.
Dans la première partie il y la présence de la mère, dans la deuxième il y a l’absence de la mère. Il y a aussi
deux narrateurs, un narrateur fictif qui s’appelle Gasparre, qui a pris son nom d’une autre personne, et
l’autre narrateur, protagoniste et auteur, Perec, qui donne son nom et qui nous donne la possibilité de
vérifier la vérité de ce qu’il dit.
Pourquoi est-ce qu’il décide d’écrire ces deux histoire ?
En 1949 il avait commençait des séances psychanalytiques où il raconte qu’à 15 ans il avait inventé une
histoire d’une île appelle W, dont il avait aussi fait des dessins, votée à un idéal olympien (les habitants sont
tous des athlètes). En se rendant compte que cette histoire est importante pour Perec, le psychanalyste
l’invite à l’écrire car cette histoire représentait un fantasme qui était toujours présent dans la vie de Perec.
Perec publie alors cet histoire dans un journal, chaque 15 jours, mais c’est seulement plus tard qu’il décide
de l’intégrer avec sa autobiographie et il se rende compte que ces deux histoire sont liées l’une à l’autre. Il
faut en effet lire ce deux histoire ensemble, comme une unique recherche. Le bus c’était donc d’unir ce qu’il
croyait fut dissocié, il vise à chercher un sens.
Dans le texte il y a aussi des « souvenirs écrans » qui cachent d’ autres souvenirs.
PATRICK MODIANO
Patrick Modiano est né en 1945, dans une famille d’origine juives mais pas pratiquante puisque le père de
son père était né en Salonique d’une famille avec des origines juives mais qui fut « dejuivisé » car elle n’était
plus reconnue par la communauté. Le père de Modiano était un aventurier qui a changé sans cesse de
travail et de lieux ; il était une personne originale, il fréquentait les personne et des affaires un peu louche.
Jusqu’à 1960, Patrick ne savait rien de ses origines. La mère était une actrice flamande et elle s déplaçait
beaucoup à cause de son travail. Ni le père ni la mère s’occupaient beaucoup de Patrick et de son frère
Rudy, qui était souvent laissé à des amis ou parents et à partir du collège, Modiano a été mis dans des
internats du collège.
A la fin des années 1950, deux événement ont marqué la vie de Patrick Modiano :
1957. Le frère Rudy meurt et cela est en choc pour lui qui avait toujours vécu avec son frère. Plus
tard il écrira que « le choc de sa mort a été déterminant, une recherche perpétuelle de quelque
chose de perdu, la quête d’un passé brouillé qu’on ne peut élucider, l’enfance brusquement cassé,
tout cela participe d’une même névrose qui est devenue mon état d’esprit » (Lire, mai 1990)
Cela est le premier événement qui marque à la fois sa vie et son écriture
Entre 1959 et 1960 le père lui révèle qu’il avait été arrêté pendant une rafle et donc son destin
risquait d’être définitif, mais au moment donné un homme le fait fuir, mais il ne décrit pas
précisément comment cela s’était passé. Ce raconte fait naitre une séries de doutes : « est-ce que
mois aussi je suis juive ? » (En théorie on était juive seulement si sa propre mère était juive, mais
techniquement cela n’était pas totalement vinculant, donc il pouvait lui aussi être considéré juif).
Un autre doute qui honte est : « Comment et dans quelle circonstance mon père a été libéré ? »
C’était l’époque de De Gaulle où on avait la tendance a occulter les histoires de collaboration nazis
et où on cherchait de la positivité. « Est-ce qu’il n’a pas collaboré avec l’occupant ? » Cela peut être
possible. Patrick découvre donc ses origines juives et que son père ne s’était pas déclaré en étant
juif, donc il avait des documents faux.
En 1963 le père le fait arrêter et les raisons de cet événement sont racontées dans le livre Dora Bruder de
façons contradictoires et différentes.
A partir de ces fait Modiano intente des réflexions tellement intenses que presque tout ses œuvres ont des
sujets approchables à l’histoire de sa propre vie, donc on parle de récits otodiegetiques. Il y a aussi une
dialectique de ses souvenirs et ses doutes sur son identité.
Son premier roman La place de l'étoile, publié en 1968, raconte, sur un mode en partie autobiographique,
l’histoire de Raphaël Schlemilovitch, juif français né juste après la guerre et hanté par l’image de cette
guerre et par la manie de la persécution et il se présente d’abord comment un juif antisémite qui ne se
reconnait pas dans la communauté juives. Dans des autres récit Modiano raconte de personnages juifs qui
collaborent avec la Gestapo. Il adopte dans ses œuvres tout les stéréotype de l’époque contre le juifs.
La quête identité dans ses récit reste et la figure du père aussi reviendra.
Sauf une exception, tous les récits sont écrits à la première personne et il y a souvent une ambigüité voulue.
Ils appartiennes donc tous dans un certain sens, dans le genre de l’autobiographie. Il y a un brouillage
voulu : il utilise des différents noms : Patrick, Patoche (surnom de Patrick) et Jean (son deuxième nom).
Patrick Modiano a toujours répété qu’il se méfiait du gendre de l’autobiographie pure : « C’est dangereux
l’autobiographie, c’est un genre bâtard , une solution de facilité quand on manque de courage […].
L’autobiographie c’est toujours une baisse de tension […] un trucage » (Lire, septembre 1985).
Cela va contra les opinions de l’époque : on pouvait dire généralement cela de l’autofiction, mais pas d’une
autobiographie, de la quelle personne n’avait jamais dit que c’était un genre facile. Au contraire Patrick dit
que en écrivant une autobiographie on cherche un vécu et on l’écrit seulement sur papier mais cela mène à
une falsification. Pour Modiano, l’autobiographie n’est pas littérature parce qu’il donne l’idée d’une
document vécu qui ne cherche pas la vérité et donc qui est faux. On écrit des événements vécus sans une
effort stylistique et donc cela ne peut pas être considéré littérature.
Dans l’autofiction les éléments de fiction permettent d’arriver à la réalité selon Patrick. Dans l’effort
autobiographique la fiction et enracinée aux termes de style. Aussi Gide disait « Chissà se l’autobiografia
riesce ad arrivare alla verità di sé stessi ; forse il romanzo permette di arrivare alla verità » Era però
un’ipotesi.
Modiano a toutefois une hésitation par rapport à la fiction et l’écriture de soi. Il dit « J’ai bien essayé
d’abandonner la fiction mais ça ne résout rien. J’ai l’impression d’être prisonnier d’un Je vague et répétitif
que j’utilise depuis mes premiers romans, qui ne sont d’ailleurs pas vraiment des romans. Je suis incapable
d’écrire directement une autobiographie, alors c’est comme si je rédigeais la novellisation du film de ma
propre vie. J’éparpille mes souvenirs ici e là, je recolle sans cesse des lambeaux de réalité, rien que des
lambeaux. Je suis incapable d’écrire une pure fiction. » (Le nouvel observateur, 28 janvier-3 février 1998)
Il a l’impression d’être prisonnier de ce Je et de ses souvenirs.
Pas tout le monde est d’acord en disant que Dora Bruder (1997) est une autofiction. Quand Patrick l’écrit il a
50 ans, et il écrit déjà depuis 30 ans.
DORA BRUDER
Pourquoi ce titre ? Ici l’enquête concerne principalement Dora Bruder, une jeune fille, qui concerne le destin
de Modiano lui-même. Modiano raconte au début de l’histoire qu’il a trouvé un vieux journal du 1941 ou on
disait qu’on cherchait une jeune fille dont le nom était Dora Bruder et qui était domicilié très près de
l’habitation de Modiano. Il sent donc son sens lié à la vie de cette fille et il commence un recherche qui
mène à la recherche de lui-même et de son père.
Dora était d’origine juive et Autriche et elle avait été déportée à Auschwitz en 1942. Son destin se croise
avec le sien et celui de son père, même s’il est une histoire différente car son père avait réussi à sortir des
champs. Tout cela est conduit sous la forme d’un enquête avec la biographie de Dora et celle de Modiano,
dans une composition complexe dont l’histoire se présente comme l’histoire de quelqu’un d’autre.
Il cherche donc des indices dans la vie de Dora, qui partageait son même destin. Il n’a pas la prétention de
comprendre toute sa vie, mais au moins d’être capable, après cette recherche, de se demander des
questions fondées.
Dans Le passé simple on reconnait dans le protagoniste la figure de l’auteur et le prénom et le même de
celui de l’auteur, le narrateur dit « Je », mais le nom n’est pas tout-à-fait le même, pour une mise à distance.
Pour cette raison est un roman autobiographie. Dans un coté il y a une nécessité de se faire connaître, mais
de l’autre il y a une volonté de mise à distance e malaise en assumant ce « Je ».
Il y a le même paradigme qui reviendra dans plusieurs textes francophone extra européens : personnage
qui étude dans son pays d’origine mais qui après voyagera en France et ici il se confrontera avec le pays
d’accueil. Quelqu’un essaye de négocier et il se placent à cheval de ces deux réalité.
Les concepts classiques de l’autobiographie sont devenue dans ces années-là, inadaptés pour affronter
l’autobiographie d’Afrique. L’auteur se sens dans malaise dans ce « Je », il se sent inadéquat, on remarque
une apparition fréquente d’un discours historique et un récit qui se réfère plutôt à la communauté que à
l’individualité. Ils passent par la communauté pour arriver à l’individualité. Les années 60 sont les années de
la décolonisation et donc le but dans ces années-là, pour les autobiographiques, est celui de raconter de sa
propre vois la condition de sa propre gens, donc ce « Je » parait un peut limitative. Ils racontent des
histoires partagés.
ASSIA DJEBAT
Né en 1936. Premier roman : La soif 1957. Première écrivaine maghrébine élue à l’Académie Française, en
juin 2005. Il publie L’amour, la fantasia un premier volé d’une autobiographie en 4 volumes, 4 volés d’une
entreprise autobiographiques. L’œuvre est divisée en 3 parties et chaque partie est précédée d’une
épigraphe. Deux épigraphe importantes :
- Début de la 2ème partie Ibn Khaldoun, Ta’rif
- Début de la 3ème partie Saint augustin, Confession
Espace qu’il situe dans un cadre coloniale et dans un cadre européen.
A partir des années 80 la littérature Beur fait son entré dans le monde littéraire. Il s’agit d’une production
littéraire des fils des immigrés maghrébins en France. Ce ne sont pas des textes d’immigrant, mais des
français, la deuxième génération en France. Il prend pied un gros nombre d’écrivains issues de cette
deuxième ou troisième génération.
Camus peut être lu comme un texte post mémorial et aussi W de Perec peut être lu comme une allégorie de
la Shoa et donc lui aussi comme une lecture post mémorial.