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L. FEUERBACI—I
‘ ESSENCE
DU
CHRISTIANISME
JOSEPH ROY
PABJS
LIBRAIRIEINTERNATIONALE
13. au.“ anul0xr, 18
1864
10111 droits de reproduction rhervés.
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ESSENCE
CHRISTIANISME
9521. — l‘aria. lmp. Pouparl-Davyl et Comp., rue du "ac, 30.
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L. FEUERBACH
ESSENCE
DU
CHRISTIANISME
JOSEPH ROY
PARIS
LIBRÂIRIE INTERNATIONALE
18. nu: hI onun«onr, 18
A. LACROIX, VERBOECKHOVEN & Ce, ÉDITEURS
A Brunllu, à Laipzig et à Livoume
1864
Tous droits de reproduction réservés.
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PRÉFACE
DE LA SECONDE ÉDITION
|
(1) «Toute opinion est assez forte sur l'homme pour qu'il la
défende jusqu'à la mort. » MONTAIGNE.
ESSENCE DU CHRISTIANISME‘ 25
. -mmm ,— —
28' ESSENCE DU CHRISTIANISME
Il
Il]
1V
l'amour est dieu même, et hors de lui il n’y a point “‘N — \,’u.— .a
VI
LE MYSTÈRE DE LA PASSION
Vll
Vlll
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XI
Xll
.
ESSENCE DU CHRISTIANISME 151
X111
LE MYSTÈRE DE LA PRIERE
XlV
(l) Luther.
ESSENCE DU CHRISTIANISME 161
qu'il y ait un être assez puissant pour faire tout ce qui
est impossible à la raison et à. la nature: aussi cet être
existe-t-il ; il désire qu’il y ait un monde tout à fait
d’accord avec les désirs du cœur et les rêves de l’ima
gination, un monde pour sa personnalité indéfinie,
séjour d'une éternelle félicité. Eh bien , ce monde
existe ; mais pour qu'il puisse y entrer, il faut que le *
monde réel tout opposé à ce monde imaginaire dispa
raisse dans le néant, — et il y disparaîtra aussi néces
sairement qu'il y a un Dieu. Foi, amour, espérance,
voilà la trinité chrétienne. L'espérance a en vue l’ac
complissement des promesses, des vœux qui ne sont pas
encore remplis mais qui un jour le seront ,- l’amour se
porte sur l’être qui fait ces promesses et les remplit; la
foi s'attache aux promesses, aux vœux accomplis depuis
longtemps et decenus des faits historiques.
Le miracle est un objet essentiel du christianisme, la
matière de la foi. Et qu'est le miracle? un vœu surna
turel réalisé,—— rien de plus. L'apôtre saint Paul nous
explique par l’exemple d'Abraham la nature de la foi
chrétienne. Abraham ne pouvait plus espérer d'avoir
un fils par la voie naturelle ; Jéhovah lui en promit un
cependant par une grâce spéciale, et il crut à cette
promesse en dépit de la nature. Sa foi lui fut comptée
comme un mérite, et avec raison, car il faut avoir beau—
coup d’imagination et de bonne volonté pour admettre
comme certain ce qui est en contradiction avec les lois
de l’expérience. Mais quel était l'objet de cette pro
messe divine? Un fils, c'est-à-dire l'objet des vœux
de l'homme. Et à quoi croyait Abraham en croyant à
Jéhovah? Il croyait en un être à qui tout est possible,
qui peut remplir tous les vœux de l’homme. « Pour
M
162 ESSENCE ou CHRISTIANISME
mit-il, en effet, y avoir quelque chose d‘impossible au
Seigneur? » >
Pourquoi, cependant, remonter jusqu’à Abraham?
les exemples les plus frappants se trouvent près de
nous. Le miracle rassasie ceux qui ont faim, rend la
vue aux aveugles, l'ouïe aux sourds, l’usage de leurs
membres aux paralytiques, ressuscite les morts à la
prière de leurs proches. Il satisfait donc toujours des
désirs humains, désirs qui,appelant toujours en aide une
puissance miraculeuse, sont par cela même extraordi—
naires, surnaturels. Mais le miracle se distingue de la
satisfaction naturelle et raisonnable des désirs et des
besoins de l'homme en ce qu’il les satisfait de la manière
la plus conforme à. la nature du désir, c’est—à-dire de la
manière la plus désiralle. Le désir ne connaît ni
obstacle, ni loi, ni temps ; il veut être exaucé immé
diatement , en un clin d’œil. Et, ma foi ! aussi prompt
est le désir, aussi prompt est le miracle. Que des ma
lades reviennent à la santé, il n’y a là rien d'étonnant,
mais qu’ils soient guéris tout d’un coup par l'effet d'une
simple parole , c’est là le secret de la chose. Ce n’est
donc pas par les effets qu'elle produit,— car si elle pro—
duisait réellement quelque chose de_ neuf, qu’on n’eût
jamais vu ni même pensé, elle se montrerait une puis
sance neuve et en même temps réelle, — c’est par son
mode de production que la puissance miraculeuse se dis—
tingue de la puissance ou de l’activité de la nature et de
la raison. Mais une activité naturelle et sensible dans
son objet et qui n’est surnaturelle et extra—sensible que
par sa forme, une telle activité n'est qu'imagination ou
fantaisie. La puissance du miracle n’est donc que la
puissance de l'i1naginati0n.'
ESSENCE DU CHRISTIANISME 163
XV
(1) Depuis que ces lignes ont été écrites, l'Église a érigé en
dogme, un peu tard, on doit l’avouer, l'idée dont il est ici ques—
tion.
1’74 ESSENCE DU CHRISTIANISME
XVI
XVll
PAGANISME ET CHRISTIANISME
!
ESSENCE DU CH RISTIANISMB 187
Pour le christianisme, l'individu était l’objet d'une
providence immédiate, c’est—à-dire l‘objet immédiat de
l’être divin. Les païens ne croyaient à une providence
pour chaque homme en particulier que par l'espèce, la
loi, l'ordre général du monde, c'est—à-dire ils croyaient
à une providence naturelle et non surnaturelle, à une
providence ayant sa source dans les rapports nécessaires
des choses; les chrétiens, au contraire, supprimèrent
tout moyen terme, se placèrent en rapport direct avec
l'être infini qui comprend et prévoit tout ; en un mot -—-—væ-_A_
.,.w-“.
ils identifièrent l‘être particulier avec l'être général.
Mais l’idée de la divinité ne fait qu'un avec l’idée de
l'humanité; tous les attributs divins sont des attributs
de l’espèce humaine. attributs bornés dans l‘individu,
mais dont les bornes disparaissent dans l'essence de
l‘espèce, dans son existence même, parce que cette
existence n’est réalisée que par tous les hommes pris
ensemble dans le passé et dans l’avenir. Ma science et
ma volonté ont une limite; mais cette limite n‘en est
pas une pour un autre, et encore moins pour tous; ce qui
est impossible, inintelligible pour une époque est intelli
gible et possible pour l’époque qui la suit. L'histoire de
l'humanité ne consiste qu‘en une suite ininterrompue de :-r*næ
victoires sur les obstacles qui, dans un certain temps,
passent pour des bornes de notre nature, et par consé
quent pour infranchissables. L’avenir démontre toujours
que ces prétendues bornes de l'espèce ne sont que des
\
ESSENCE nu CHRISTIANISME 193 '
les attributs de l‘humanité elle—même dont il ne se dis- '
tingue pas, dont il ne se regarde pas comme un mem
bre. Quoiqu’il fasse, cependant, l‘homme ne peut pas
perdre la conscience de l'espèce, parce que la con
science qu'il a de lui-même est liée nécessairement à
celle qu‘il a des autres. Aussi, partout où il n’a pas '
l'idée de l'espèce comme telle, il en fait néanmoins
l‘objet de sa pensée et elle devient pour lui Dieu, c‘est
à-dire un être exempt de toutes les défectuosités et
libre de tous les obstacles qui lui semblent opprimer la
nature humaine parce qu’il la croit épuisée, exprimée
tout entière par l’individu. Mais cet être n‘est pas
autre
son essence
chose que
en sel'humanité
réalisant qui
dansmanifeste
une multitude
l‘intimité
infinie
de ‘
XVlll
XIX
XX
XXl
XXII
XXlll
XXlV
CONTRADICTION DANS LA DOCTRINE SPÉCULATIVE
SUR DIEU
identité qui n'est pas véritable, qui n'est pas unité avec
soi, contient au fond une scission, un dualisme. Une
pareille unité est en contradiction avec elle-même et
avec la raison; c’est une demi-chose, une fantaisie, un
contre-sens qui paraît d’autant plus profond qu'il y a
en lui plus de mensonge et d’erreur.
XXV '
xxw _
CONTRADICTION DANS LES SACREMENTS
XXVII
mais pour les autres; que nous sommes nés pour l'a
mour. Cette sentence dit infiniment plus que celle plus
vantée de l’empereur Antonin, qui nous ordonné d’ai
mer nos ennemis, Le principe pratique des stoïciens est
dans le principe de l’amour. Le monde est pour eux
une ville commune, tous les hommes sont concitoyens.
Sénèque, entre autres, célèbre dans les termes les plus
sublimes l'amour, la clémence,l'humanité surtout en
vers les esclaves, Ainsi étaient disparus le rigorisme
politique et toutes les idées étroites, tous les sentiments
bornés de nation et de patrie.
Ce nouveau principe, ces efforts et ces tendances
humanitaires se firent jour particulièrement, d'une fa—
çon populaire, par cela même religieuse et au plus haut
degré d’intensité dans le christianisme. Ce qui ailleurs
s’imposait au nom de la civilisation s’exprima en lui
comme sentiment religieux, comme affaire de foi. Le
christianisme fit ainsi de nouveau de l’unité universelle
une unité particulière, et en soumettant l’amour à la
foi, il le mit en contradiction avec l’amour véritable
communà tous les hommes. Les difl’érences nationales
s'évanouirent; mais à leur place surgirent dans l’his
toire les difl'érences de foi, plus vives que les premières
et bien plus haïssables.
Tout amour fondé sur un phénomène particulier est,
comme nous l’avons dit, en contradiction avec la na
ture de l’amour, qui ne souffre aucune contrainte et
s’élève au-dessus de toute particularité. Nous devons
aimer l’homme pour l’homme lui-même. L’homme est
objet de l’amour par cela même qu’il est son propre
but, qu’il est capable d’amour et de raison. C’est là la
loi de l’espèce, la loi de l'intelligence. L'amour est
ESSENCE DU CHRISTIANISME 309
XXVlll
CONC LUSION
nous faire connaître Dieu tel qu’il est; elles ne sont que des
effets qui n’épuisent pas la puissance de leur cause, qui ne
la représentent pas d’une manière adéquate. On sait seule—
ment par elles que Dieu existe et ce qui lui appartient en
tant que cause première. » (Thomas A., Summa, p. I,
qu. 12.) — Mais la causalité pure, fût-elle primitive et uni
verselle, ne suflit pas pour faire un Dieu: c’est une concep—
tion physique, quelque abstraite et hyperphysique qu’elle
soit au point de vue de la théologie; — « la connaissance
naturelle ne s'élève pas jusqu’à Dieu en tant qu‘objet de la
félicité; le dieu objet du bonheur futur est le seul dieu
religieux véritable, le seul qui mérite ce nom. » a Dans
la nature, dit encore le même, on ne trouve que des traces
de la Divinité; une trace montre simplement que quel'
qu'un est passé sans rien nous faire connaître de plus.
L‘image de Dieu ne se trouve que dans une créature rai
sonnable, c'est—à—dire dans l'homme. n [Ibid., p. I, qu. 45,
a. '7.) La foi en une origine surnaturelle de la nature a
donc pour base la foi a la surnaturalité de l‘homme. L’homme
se distinguant lui—même de la nature et ne pouvant s‘expli—
quer son origine en elle fait aussi provenir la nature d‘un
être qui en est distinct. Et lui, d'où vient—il donc? D'un être
semblable au sien qui, de plus, est éternel. Cet être n’est
le créateur du monde que d’une manière indirecte, que
parce qu’il est le créateur ou plutôt le père de l’homme et
qu'il n’aurait pas créé l‘homme s’il n'avait pas d'abord créé
le monde dans lequel l'homme se trouve placé bon gré mal
gré. La nature vient donc de Dieu parce que l'homme vient
de Dieu, et l’homme a une origine divine parce qu'il est un
être divin ou d’essence divine. Cette essence, il la conçoit
en lui comme individu, en Dieu comme espèce, en luicomme
bornée, en Dieu comme infinie. S’il en fait un être indé—
pendant et personnel, c’est qu’il ne peut pas faire accorder
dans son esprit l'idée de son origine dans le temps avec l’i—
dée de sa divinité. Je suis une créature divine, un enfant
noms 331
divin, voilà la plus haute conscience que l’homme a de lui
méme. a Si l'empereur, dit Epictète, t’adoptait pour fils,
ou ne pourrait pas supporter ton insolence; pourquoi donc
n’es—tu pas fier de savoir que tu ce fils de Dieu? n (Arrian.
Epz’ct., l. x, c. 3.)
l
346 \ noms
divinité de Dieu, c’est l’humanité. Moi seul pour moi, tel
est le froid principe des épicuriens, des stoïciens, des pan—
théistes. -— Dieu pour moi, tel est le mystère consolateur
du christianisme. — Et c’est par ce que Dieu est pour moi
que je suis pour lui.
NOTES 3‘77
Le dieu surnaturel, inaccessible selon lui à la raison ne
pourra être connu que plus tard dans le ciel. Il fallait faire
un pas de plus pour délivrer à la fois l'esprit humain du
Christianisme et du protestantisme. Ce pas, la philosophie
spéculative l'a fait, elle n’est pas autre chose que la théo
logie véritable, rationnelle, poussée à ses conséquences
dernières.
que moi. Ce que je vois tout seul est douteux, ce que l‘autre
voit aussi est certain.
FIN .
TABLE
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE
ESSENCE VRAIE, C'EST-A-DIRE ANTHROPOLOGIQUE DE LA RELIGION
enDieu.............. 118
XI. — Mystère de la providence ou de la création. 129
XII. —- Signification de la création dans le judaïsme. 141
390 TABLE
XIII. -— Le mystère de la prière . . . . . . . . . . 151
XIV. — Le mystère de la foi.—Le mystère du miracle. 158
XV. — Le mystère de la résurrection et dela naissance
surnaturelle. . . . . . . . . . . . . . 167
XVI. — Le mystère du Christ ou du Dieu personnel. 174
XVII. — Paganisme et Christianisme. . . . . . . . 183
XVIII. —Signiflcaîion chrétienne du célibat et du
monachisme. . . . . . . . . . . . . . 196
XIX. — Le ciel chrétien ou l'immortalité personnelle. 206
DEUXIÈME PARTIE
ESSENCE FAUSSE, C‘EST-A-DIRE THÉOLOGIQUE DE LA RELIGION
FIN DE LA TABLE.
OÜÏÇÊGJSi
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