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Titre :
Réalisé par :
FAYIDHOI Ahamadi Section: TSD G15
SAINDOU AHMED Nourania Section: TSD G15
Encadré par :
M. BEN AMOR Sami Ahmed
Membres du jury :
M. BEN AMEUR Mohamed Sadok
Mme. DAHMOUL Aïcha
M. AYARI Nabil
DEDICACES
A tous mes ami(es), et a tous ceux que j’aime et toutes les personnes
Aussi, a tous ceux qui m’ont soutenu par leur orientation, leurs
Nourania
DEDICACES
Mon père, en signe d’amour, de reconnaissance et gratitude pour tous les soutiens
et les sacrifices dont il a fait preuve à mon égard.
A mes chers frères et sœur. Aucun mot ne pourra décrire vos dévouements et
vos sacrifices.
A tous mes ami(es), En témoignage de l’amitié sincère qui nous a liées et de bon
moment qu’on a passé ensemble.
A tous les gens qui ont cru en moi et qui me donnent l’envie d’aller en avent, je
vous remercie tous, votre soutien et vos encouragements me donne la force à une continuité
inimaginable.
Ahamadi
REMERCIEMENT
Ce travail est l’aboutissement d’un long cheminement au cours duquel nous avons
Nous tenons à remercier tout d’abord, notre encadrant Monsieur Sami Ahmed Ben
Amor pour tous les efforts qu’il a fourni en vue de nous diriger et nous aider, sa disponibilité,
son écoute, ses remarques et suggestions qui ont été intitulé sur ce travail et pour le temps qu’il
a bien voulu nous accorder.
CAHIER DE CHARGE
Laboratoire : Domotique II
Section : TSD15
SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE
La domotique ou encore la maison intelligente est définie comme une résidence équipée
de technologies d’informatique, d’automatisme et d’électronique, ambiante qui vise à assister
l’habitant dans les situations diverses de la vie domestique en améliorant le confort et
simplifient un certain nombre de tâches.
Notre mission porte sur la réalisation d’un contrôleur intelligent permettant de piloter
une maison à partir d’une application à distance en créant un serveur web entre les différents
équipements du système domotique. Les objectifs de notre projet peuvent être divisés
essentiellement selon les axes suivants qu’on va les aborder sous quatre chapitres.
Chapitre 1 La domotique
Dans ce chapitre nous allons définir la domotique, son domaine d’utilisation et la maison
communicante.
I. Définitions
Avant d’aller plus loin, on a intérêt tout d’abord à définir clairement le mot domotique;
ce mot a été introduit dans le dictionnaire « le petit Larousse » en 1988.
Le mot domotique a été construit à partir du mot composé de préfixe « Domus », qui
signifie en latin domicile associé au suffixe « tique », couramment employé pour évoquer le
terme des technologies, électronique, électrique, informatique et des communications au service
de la maison. Son champ d’application vise à assurer des fonctions de sécurité, de confort, de
gestion d’énergie et de communication qu’on peut trouver dans un espace domestique.
La domotique investit notre univers quotidien pour nous faciliter la vie. Dans ses
applications les plus évoluées, la domotique met en réseau et coordonne le fonctionnement de
différents types d’équipements ménagers, de travail et de loisir.
Elle peut se charger des tâches les plus complexes ou contraignantes et, en même temps,
assurer l’intendance de la maison. A l’opposé, elle peut accomplir des actions très basiques,
comme allumer une lumière dans une pièce. Les applications possibles de la domotique
concernent aussi bien la programmation, la surveillance, et le contrôle à distance.
La domotique offre une simplification qui peut alléger le poids des actions quotidiennes
pour les personnes âgées ou handicapées, ou tout simplement apporter un confort majeur.
-Veiller au confort de vie quotidienne des personnes âgées, entre autres, en installant
des appareils intelligent pour les personnes à mobilité réduite.
D’autres systèmes de détection sont prévus pour surveiller les enfants, prévenir les
risques d’accident (incendie, fuite de gaz, etc.) et signaler des pannes (inondation, coupure de
courant électrique, etc.).
Des caméras invisibles, des champs magnétiques, des détecteurs de fumées assurent
aussi une grande sécurité s’ils sont judicieusement positionnés.
Avec une installation domotique, nous pouvons aujourd’hui avoir une maison vivante
et économique. Le fait de rendre la maison intelligente assurera un résultat basse-consommation
évidente. L’habitat offre aussi un bien-être sur-mesure, avec un confort en permanence.
Manipuler ses volets roulants ou battants en pressant un bouton est devenu une chose
courante de nos jours. De même qu’ouvrir le portail ou la porte du garage depuis sa voiture.
Plus globalement, tout ce qui se fait avec un interrupteur ou une poignée peut être automatisé
et piloté à partir d’un poste fixe, ou à distance via une télécommande, un ordinateur ou un Smart
phone.
La maison intelligente utilise la programmation domotique via des scénarios qu’on peut
déterminer en fonction des besoins spécifiques, évitant les pertes thermiques inutiles et palliant
les risques d’oubli ou de sécurité.
Une maison communicante comme le nom l’indique, c’est un système intelligent qui
exécutes et ou sauvegarde les données dédier via des capteurs (publish) à son récepteurs (
subscribe).
La centralisation des commandes est le corps du système domotique. Les appareils mis
en réseau se reconnaissent et dialoguent entre eux, se déclenchant par simple appui sur une
touche. Par le biais d’un interrupteur centralisé, les éclairages et volets motorisés peuvent être
actionnés individuellement, par groupes de pièces ou simultanément.
On ne peut pas tout dire l’utilité et l’importance de la domotique comme ce dernière est
plus en avance ces dernières années.
Nous allons essayer dans le chapitre suivant, vous détaillons quelques fonctionnalité de
la domotique ainsi que quelques capteurs répondant à notre projet.
I. Introduction
Cette fonctionnalité technologique nécessite des capteurs et des logiciels pour accomplir
cette tâche. Pour répondre aux questions nous allons travailler avec des Arduino, Raspberry Pi
, MQTT, node-red,…
1. La carte Arduino.
Il y a différentes type de carte Arduino que pourra utiliser le technicien selon son choix.
La carte Arduino Uno peut être alimentée via la connexion USB ou avec une
alimentation externe. La source d'alimentation est automatiquement sélectionnée. Une
alimentation externe peut provenir soit d'un adaptateur AC-DC ou d’une batterie. L'adaptateur
peut être connecté en branchant une prise 2.1mm dans la prise d'alimentation de la carte ou à
partir d'une batterie connectée dans le pin (ou broche) GND et V-in (alimentation externe). Le
processeur peut fonctionner sur une alimentation externe de 6 à 20 volts. Cependant, si la
tension est inférieure à7V, le pin 5V peut fournir moins de cinq volts et le processeur peut
devenir instable. Si la tension est supérieure à 12V, le régulateur de tension peut surchauffer et
endommager la carte. La plage recommandée est de 7 à 12 volts.
b. Caractéristiques techniques
b. Le protocole de communication :
Le DHT11 a la particularité d’utiliser une seule broche pour communiquer avec son
maitre. La communication se fait donc au moyen d’un protocole propriétaire demandant des
timings bien précis.
Le capteur sort de son sommeil et envoie une réponse pour dire qu’il est vivant
Ce qu’il faut noter c’est que le capteur a une sortie dite à «collecteur ouvert », cela
signifie que le capteur ne sort pas des niveaux logiques 0v/5v mais utilise un transistor en sortie.
Si le capteur veut envoyer un « 0 » il force le signal à 0v en rendant son transistor (entre DATA
et GND) passant. Si le capteur veut envoyer un « 1 » il laisse le signal tel-quel en rendant son
transistor bloquant.
D’où l’important de la résistance de tirage que l’on peut voir sur le schéma, pas de
résistance pas de signal
Réveil du capteur :
Si vous voulez qu’il vous envoie ses données il faut le secouer en lui envoyant un signal
de Start.
Le signal de Start consiste en un état bas (0v) de 18 millisecondes et d’un état haut (5v)
de 40 microsecondes. Jusque-là rien de bien compliqué ! Ensuite le DHT11 va répondre pour
dire qu’il est bien réveillé.
Pour ce faire il va placer le signal à l’état bas pendant 80 microsecondes puis à l’état
haut pendant 80 autres microsecondes.
a. Principe de fonctionnement.
Le module RFID détecte des badges ou des cartes magnétiques à moins de 10 cm. Le
passage d’un composant magnétique permet de lire l’identifiant de l'UID de la carte, ainsi que
les données enregistrées.
De plus, les cartes ou tags répondent à une fréquence. Les tags, les plus répandus, sont
à une fréquence de 13,56Mhz.
Le module est un lecteur de la puce RFID basé sur le circuit MFRC522 à faible coût est
facile à utiliser. Il peut être utilisé dans une large gamme d’application. Le MFRC522 est un
circuit intégré de lecture / écriture hautement intégré pour la communication sans contact à
13,56 MHz.
Courant: 13-26mA
a. Schéma de brochage
Tx/Rx : Liaison série mais peuvent également servir de GPIO (GPIO01 et GPIO03
respectivement).
CH_PD : chip power-down doit être raccordé au 3,3V. Si cette broche est raccordée au
GND, l'Esp entre dans un mode "basse consommation" dans lequel toutes les fonctions sont
figées et le programme ne s’exécute plus (voir explications dans l'encart ci-dessous).
GPIO0 : Utilisable comme broche I/O mais également permet d'entrer dans le mode «
Flash mode » si elle est connectée à la masse lors de la mise sous tension (puis replacée sur
VCC quelques secondes après). Dans ce mode l’ESP8266 ne démarrera pas son programme
interne mais entrera dans un mode appelé « UART download mode » où il écrira tout ce qu’il
reçoit sur la liaison série, dans sa mémoire. C'est de cette manière qu'il faut procéder pour
injecter un programme. Cette broche dispose d'une résistance de rappel (pull up) qui fait que
par défaut elle est en état haut.
GPIO2 : Utilisable comme broche I/O. Cette broche dispose d'une résistance de rappel
(pull up) qui fait que par défaut elle est en état haut. De plus cette broche est raccordée sur la
LED bleue (version esp01s). Malgré ce que l'on peut voir dans certaines documentations, pour
un démarrage correct cette broche doit être sur 3.3v.
RST doit être raccordé au 3.3v. Une pulse à GND sur cette broche génère un reset du
composant. Le reset permet à l'Esp de redémarrer en exécutant son setup et lui permet également
de sortir d'une mise en sommeil.
I. Introduction
Lorsqu’on parle du Raspberry Pi¸ certains qualificatifs reviennent sans cesse : il est
petit¸ bon marché¸ “ bi-douillable” et adapté à des fins pédagogiques. Cependant¸ on ne peut
pas dire qu’il soit plug and play¸ même s’il est facile de le brancher à un téléviseur et de lui
faire afficher des choses à l’écran. Contrairement à la plupart des ordinateurs actuels¸ le
Raspberry Pi n’est pas un appareil autonome et livré prêt à l’emploi. En fonction de l’usage que
vous souhaitez en faire¸ vous devrez installer certains périphériques et logiciels appropriés.
Le Raspberry Pi est un nano ordinateur de la taille d’une carte de crédit que l’on peut
brancher à un écran et utiliser comme un ordinateur standard ou en faire un usage personnel ou
professionnel selon les compétences de l’utilisateur. Comme c’est un open hardware qui
fonctionne avec le système open source donc il est facile de personnaliser la carte selon les
besoins.
Avant de nous lancer dans des cas d'utilisation il est important de comprendre comment
fonctionne un Raspberry Pi. Le Raspberry Pi ne dispose pas d'un disque dur interne (cela
augmenterait grandement sa taille) et on stockera les données sur une carte SD. Par défaut, le
Raspberry Pi est nu, comprendre par là qu'il est vendu sans accessoires. Pour pouvoir l'utiliser
nous devons donc avoir :
Une carte micro SD compatible avec le modèle Rosebery pi que nous avons choisi.
1. Performance de Raspberry Pi 3 B+
En termes de ports, le Pi 3 B + est toujours équipé d’un port Ethernet qui comme nous
l’avons vu a été amélioré, d’un port HDMI de taille normale, d’un port A / V composite, de
quatre ports USB 2.0 ainsi que de connexions pour les câbles ruban de caméra et
d’affichage. On remarque aussi qu’il y a maintenant un connecteur à 4 broches placé dans le
coin supérieur gauche de la carte de l’ordinateur.
3. Les périphériques
a. L’alimentation –
C’est le périphérique indispensable sur lequel il ne faut surtout pas se tromper. Vous
devez impérativement utiliser un adaptateur 5 V avec une fiche micro USB, capable de fournir
au moins 700 mA de courant. Une alimentation de 1 000 mA (1 A) est recommandée. Un
chargeur classique de Téléphone portable ne suffira probablement pas, même s’il possède la
bonne fiche, car il ne pourra pas fournir plus de 400 mA. Pour connaître sa puissance, consultez
ses caractéristiques techniques figurant au dos. Un Pi sous-alimenté pourra avoir l’air de
fonctionner mais il sera instable et déclenchera des erreurs inattendues.
b. Une carte SD :
Vous aurez besoin d’une carte d’une capacité d’au moins 4 Go et de classe 4 (ou plus)
de préférence. Les cartes de classe 4 sont capables de transférer au moins 4 Mo par seconde.
Certaines cartes Raspberry Pi précédentes avaient des difficultés à utiliser les cartes de classe 6
et supérieures, qui sont capables d’aller plus vite mais qui s’avèrent moins stables. Une carte
micro SD dans un adaptateur convient également.
c. Un câble HDMI :
d. Un câble Ethernet :
De nos jours, de plus en plus d’appareils fonctionnent sans fil et on trouve donc peut-
être que le port Ethernet du Pi n’est pas très pratique.
e. Le boîtier
Vous aurez rapidement besoin d’un boîtier pour votre Raspberry Pi. Les câbles rigides
qui l’entourent de chaque côté rendent le Pi difficile à stabiliser. Certains des composants
comme le support de la carte SD peuvent être endommagés, même en utilisation normale sans
protection. Contrairement à beaucoup de cartes à microcontrôleurs répandues, dont le circuit
imprimé a deux couches (une sur chaque face de la platine), le Pi nécessite six couches pour
relier ses composants à haute densité. Entre les deux faces, on trouve aussi des pistes sur quatre
autres niveaux. Si la carte est tordue, ces pistes peuvent rompre, ce qui est indétectable et
irréparable. Pour pallier ce problème, il est conseillé de faire l’acquisition d’un boîtier.
4. Le système d’exploitation
Plus courantes sur les ordinateurs de bureau sont Ubuntu, Debian, Fedora et Arch.
Chacune d’entre elles est adaptée à des applications spécifiques et possède sa propre
communauté d’utilisateurs. Comme le Pi est basé sur un SoC pour appareil mobile, il n’utilise
pas les mêmes logiciels qu’un ordinateur de bureau. Il n’existe pas de documentation sur les
caractéristiques de ce processeur construit par Broadcom, gardées confidentielles. Il faut donc
ajouter des drivers spécifiques, contenant des données binaires propriétaires, et adapter les
distributions Linux en conséquence. Tandis que la plupart des ordinateurs offrent plusieurs
gigaoctets de RAM et des centaines de gigaoctets de stockage, le Pi est quant à lui plus limité
dans ces deux domaines. On trouve de plus en plus de distributions Linux développées ou
adaptées spécifiquement pour le Pi, les plus connues sont les suivantes.
Figure 13 : Raspbian
Raspbian : basée sur Debian, Raspbian est la distribution recommandée par la fondation
Raspberry Pi. Le site http://www. raspbian.org/ n’est pas géré par la fondation mais par la
communauté des utilisateurs. Pour télécharger la distribution officielle, rendez-vous sur la page
http://www.Raspberrypi.org/downloads.
Arch Linux : destinée aux ordinateurs dotés de processeurs ARM, la distribution Arch
Linux supporte le Pi depuis le début de son développement.
XBian : il s’agit d’une distribution pour les utilisateurs de Raspbian qui souhaitent
utiliser le Pi comme un centre multimédia (voir aussi OpenELEC et Raspbmc).
5. Le système VNC :
6. Node-Red :
Ce schéma ci-dessous résume les différentes fonctions de node-red ainsi que son
interface.
7. Le protocole MQTT :
Le climatiseur est enregistré auprès du serveur MQTT pour recevoir toutes les messages
au sujet de la « température » et de l'«humidité». Les capteurs de température et d'humidité ne
sont pas enregistrés pour recevoir des messages, ils ne font que publier des messages vers le
courtier.
Toutes les dix minutes, le capteur de température publie la température ambiante. Dans
la pratique, cela signifie qu'il envoie un seul numéro, disons 23, sous le sujet «température» au
courtier MQTT, pour qu'il fait actuellement 23°C. De même, toutes les quinze minutes, le
capteur d'humidité publie des messages au sujet de l'«humidité» vers le courtier MQTT, pour
signifier que le facteur d'humidité est de 62%. À son tour, le courtier MQTT transmet ces
messages à l'unité de conditionnement d'air. Cette dernière décide si elle doit s'allumer ou
s'éteindre sur la base de ces deux mesures. C'est Internet des objets au travail.
Un programme de domotique qui prend en charge le protocole MQTT peut être ajouté
au système pour fournir "intelligence" et contrôle. L'architecture du système pourrait être
quelque chose comme ci-dessous.
Le programme de domotique est abonné auprès du courtier MQTT pour recevoir toutes
les messages aux sujets de la «température», de la «pression» et de l'«état du climatiseur». Le
climatiseur est abonné auprès du serveur MQTT pour recevoir toutes les messages sur le thème
«climatisation».
Comme auparavant, les capteurs de température et d'humidité publient des données vers
le courtier. Mais maintenant, le programme de domotique qui est abonné pour recevoir cette
information décide si le climatiseur doit être allumé ou éteint en tenant compte des données du
capteur, de l'heure, du délai depuis la dernière fois que l'appareil est allumé ou éteint, la présence
de personnes dans la maison, etc. Il ordonne au climatiseur de se mettre en marche ou de cesser
de fonctionner en publiant un message sur le thème « climatisation ». Le climatiseur publie des
modifications sur son état sous le thème "état du climatiseur". Parce que le programme de
domotique est abonné à ce thème, il sait quand la climatisation a été activée ou désactivée par
un individu.
III. Conclusion
MQTT est donc un protocole léger, facile à appréhender, très souple et sécurisable.
Il est de plus en plus au cœur des projets IoT et supporté par la plupart des services de
Cloud.
MQTT est un protocole dynamique qui continue à évoluer. Par exemple, il intègre
dorénavant les WebSockets qui lui ouvrent une porte sur le monde du Web.
Au sein des équipes de SII, notamment à Grenoble, nous mettons d’ores et déjà en œuvre
ce protocole sur des systèmes éclectiques comme des équipements de gestion de réseau
électrique, des box télécom et domotiques, des puces spécialisées pour l’intelligence artificielle,
ou encore des poubelles connectées.
I. Introduction
Dans ce chapitre nous verrons en court terme les principales fonctions rendant notre
maison intelligente via des capteurs, de Protocol communicant à l’internet grâce à la carte mini-
ordinateur
Appelé Raspberry Pi. Cette réalisation se fera par illustration des schémas selon lesquels
apparaitrons les capteurs et les différents logiciels programmables.
- Win32DiskImager.exe Pour créer les fichiers nécessaires au boot sur la carte SD.
Quand la carte SD a été formatée, télécharger le fichier compressé de l'image qui vous
intéresse sous :
http://www.Raspberrypi.org/downloads
c. Premiers parametrages
d. Installation de Raspbian
Une fois que c’est fait, installer la carte SD dans le Raspberry Pi et brancher clavier,
souris, HDMI ensuite le cable d’alimentation. Apres on suit les étapes suivants pour configurer
la date et l’heure manuellement sur le terminal.
reboot
reboot
f. Test du serveur
Maintenant, il faut ouvrir deux terminaux, soit dans le même appareil, soit (idéalement)
dans deux appareils différents connectés au même hotspot. Dans le premier, faites ceci
Si tout se passe bien, vous devriez voir apparaitre un message dans le premier terminal.
La dernière étape
2. Programmation Node-Red
Il fournit un éditeur basé sur un navigateur qui facilite le câblage des flux en utilisant la
vaste gamme de nœuds de la palette qui peut être déployée en un seul clic.
a. Installation
Sur un Raspberry Pi qui tourne sur Raspbian, Node Red est déja installé. Pour le lancé,
il suffit de cliquer sur le menu Programmation puis Node Red.
Node Red peut également être lancé ou stoper à partir d'un terminal :
1. $ node-red-start
2. $ node-red-stop
La palette de Nodes d'origine est déjà bien fournie mais il en manque au moins une
essentielle qui va permettre de réaliser l'interface web. Elle se nomme Dashboard. Mais avant,
il faut installer le gestionnaire de Nodes. L'environnement d'exécution est construit sur Node.js,
le gestionnaire de Nodes utilisé par Node Red est donc naturellement npm :
$ node-red-stop
4. $ cd /home/pi/.node-red
5. $ npm rebuild
6. $ node-red-start
b. Programme Développé :
i. Le nœud injecter :
Par défaut, le nœud est déclenché manuellement en cliquant sur son bouton dans
l'éditeur. Il peut également être configuré pour injecter à intervalles réguliers ou selon un
calendrier.
Il peut également être configuré pour injecter une fois chaque fois que les flux sont
démarrés.
Dans notre cas c’est à intervalles réguliers (1 minute) il injecte l'heure actuelle.
Par défaut, il affiche msg.payload, mais on configurer pour afficher toutes les propriétés,
le message complet ou le résultat d’une expression jsnata.
v. Le nœud gauge :
Il ajoute un widget (une petite application qui fait une chose très simple) de type jauge
à l’interface de l’utilisateur afin d’indiquer le niveau de la température actuelle.
Il permet de tracer les valeurs d’entrer sur un graphique. Il peut être linéaire basé sur le
temps, ou un graphique a barre (vertical ou horizontal) ou encore un graphique à secteurs.
Malgré sa petite taille, elle est se fait démontable au toit pour pouvoir accéder a
l’intérieure et y mettre les composants.
Pour une bonne saisie du programme de l’application, nous avons partagés le travail ;
chaque fonction du système domotique.
Cette fonction sera indépendante des autres fonctions qui seront commandées à distance
par l’intermédiaire du Protocol MQTT. L’accès sécurisé à l’habitat est assuré en introduisant la
carte ou le tag correspondant au code dédier du module RFID RC522.
2. Fonction d’éclairage.
La fonction d’éclairage est assurée via le Protocol MQTT qui va être commandée à
travers deux relais branché sur la carte Arduino uno et lié au routeur qui va créer un réseau local
entre le PC (ou Smart phone) et les lampes de l’éclairage.
4. Fonction de ventilation
CONCLUSION GENERALE :
Nous avons mis en œuvre un serveur domotique qui contrôle et commande une maison
dite « intelligente ». Effectivement, dans le cadre du thème de la domotique, nous avons conçu
une maison connectée. Elle est capable de gérer l'éclairage, la porte, surveillé l'état de la
température et l'humidité. Cependant, les fonctionnalités ne se restreignent pas à celles-ci ;
d'autres peuvent être ajoutées. Nous sommes unanimes pour dire que ce projet nous a permis
de nous enrichir nos connaissances grâce à la manipulation du matériel, tout en acquérant de
meilleures connaissances des applications de la domotique, ce qui pourrait nous être fortement
utile pour notre vie professionnelle future.
Bien sûr tout ce travail s’est déroulé dans les meilleures conditions possible, en effet
une bonne cohésion et une bonne entente ont permis l’obtention d’un travail abouti et
satisfaisant. Ce projet nous a fait découvrir beaucoup des idées que nous ne connaissions pas
vraiment et qui nous a intéressés de plus en plus et au fur et à mesure que nous approfondissions
nos recherches.
Le seul point « négatif », serait sûrement le manque de temps pour pouvoir encore
approfondir ce travail, car ce dernier ne s'arrête pas ici ; il a encore plusieurs tâches qui peuvent
être amélioré.
Ce projet a été vivant, entraînant et motivant pour la suite de nos études. Nous pensons
avoir entraperçu une partie de notre future vie active.
BIBLIOGRAPHIE
https://www.arduino.cc/
https://www.raspberrypi.org/
https://nodered.org/
https://www.carnetdumaker.net/articles/utiliser-un-capteur-de-temperature-et-dhumidite-
dht11-dht22-avec-une-carte-arduino-genuino/
http://idehack.com/blog/utiliser-un-module-rfid-rc522-avec-larduino/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Internet_des_objets
https://www.futura-sciences.com/tech/definitions/internet-internet-objets-15158/
https://fr.wikipedia.org/wiki/ESP8266
http://idehack.com/blog/programmer-lesp8266-esp-01-avec-le-logiciel-arduino/
https://fr.wikipedia.org/wiki/MQTT
ANNEXES
#include <SPI.h>
#include <RFID.h>
#include <Servo.h>
#include "DHT.h"
#include <WiFiEspClient.h>
#include <WiFiEsp.h>
#include <WiFiEspUdp.h>
#include <PubSubClient.h>
#include "SoftwareSerial.h"
#define WIFI_AP "data"
#define WIFI_PASSWORD "fevrier2020"
#define TOKEN "ARDUINO_DEMO_TOKEN"
// DHT
#define DHTPIN 4
#define DHTTYPE DHT11
RFID RFID(10, 9);
int UID[5] = {};
int MASTERKEY[5] = {41, 215, 98, 90, 198}; // UID du badge ou de la carte acceptée sous
forme de tableau (Array).
Servo monServo;
bool statut = 1;
char thingsboardServer[] = "192.168.1.111";
// Initialize the Ethernet client object
WiFiEspClient espClient;
// Initialize DHT sensor.
DHT dht(DHTPIN, DHTTYPE);
PubSubClient client(espClient);
SoftwareSerial soft(2, 3); // RX, TX
int status = WL_IDLE_STATUS;
unsigned long lastSend;
void setup() {
// initialize serial for debugging
Serial.begin(9600);
dht.begin();
SPI.begin();
RFID.init();
monServo.attach(5); // Servo connecté à la pin 9.
monServo.write(180); // On ouvre le portail fermé.
delay(100);
monServo.detach();
InitWiFi();
client.setServer( thingsboardServer, 1883 );
lastSend = 0;}
void loop() {
status = WiFi.status();
if ( status != WL_CONNECTED) {
while ( status != WL_CONNECTED) {
Serial.print("Attempting to connect to WPA SSID: ");
Serial.println(WIFI_AP);
// Connect to WPA/WPA2 network