net/publication/327974688
CITATIONS READS
0 2
3 authors, including:
Some of the authors of this publication are also working on these related projects:
Programme de Modernisation Industrielle en Tunisie Mission 630 Accompagnement à l’accréditation du laboratoire du CETEC View project
Evolution des caractéristiques du collagène du muscle squelettique chez le bovin mâle entre 4 et 16 mois : incidences de la castration précoce et de la modulation du
rythme de croissance View project
All content following this page was uploaded by C. Ferrero on 30 September 2018.
Page de garde
Elaboré par
Yves CHARONNAT
« Ce rapport a été préparé par Yves CHARONNAT. Les résultats, conclusions et interprétations exprimés dans
ce document sont ceux de Yves CHARONNAT et ne reflètent en aucune manière la position ou l’opinion de la
Commission Européenne ou de L’Unité de Gestion du Programme de Modernisation Industrielle»
Les trois experts sont Messieurs Chokri Damergi, Carlo Ferrero et Yves Charonnat
2
RESUME
La formation à l’audit et plus précisément à l’audit interne, a été abordée sur les deux dernières
interventions. Cette formation a été émaillée d’exemples et d’exercices qui ont permis de constater que
les rudiments étaient acquis et qu’il ne restait plus qu’à pratiquer cette fonction pour atteindre le degré
d’assurance qu’il sied pour réaliser ces audits. La réalisation de l’audit interne a permis de concrétiser
cette fonction toujours assez déicate.
Enfin la formation relative à la détermination des incertitudes dans le résultat des essais a été réalisée
progressivement sur les trois interventions. La sensibilisation des six personnes qui ont suivi cette
formation a été réussie si l’on se référencie aux deux exemples suivants :
- suite aux anomalies constatées concernant le fonctionnement de la presse, il a été proposé de
réaliser des essais croisés avec une seconde presse en conservant tous les autres paramètres
constants (action pour garantir la fiabilité des résultats d’essais),
Les anomalies constatées lors d’un premier examen n’ont pas été confirmées lors de l’audit interne.
La séance d’essais croisés devrait lever le doute. Un premier progrès a cependant pu être constaté
pour le champ d’action de l’automatisme commandant l’arrêt de l’essai à la première réduction de
la résistance mécanique du corps d’épreuve.
3
o la quantification selon trois niveaux de l’importance des perturbations,
o les dispositions prises pour limiter leur occurrence d’apparition.
Ces éléments montrent que le personnel présent a analysé le déroulement des essais avec la
volonté de minimiser les dispersions possibles du fait des incertitudes naturelles des paramètres
d’influence.
L’audit interne réalisé en fin d’exercice a permis de constater la situation concernant l’état général des
matériels. Mêmes s’ils ne respectent pas toujours les procédures de validation, les matériels sont
globalement conformes aux prescriptions.
Toutefois deux « matériels » ne répondent pas aux exigences des normes en vigueur. Il s’agit de la
colonne de tamisage de gravillons et du maintien de la température de l’eau de conservation des
éprouvettes.
Pour le tamisage des gravillons la norme admet un essai alternatif. Il convient donc de réaliser la
procédure pour justifier la pratique de l’essai alternatif.
Toujours au cours de l’audit interne nous avons pu constater une bonne organisation du circuit
documentaire des prestations et de la classification des enregistrements. La traçabilité est assurée.
Quelques anomalies ont été relevées (voir audit interne) mais elles restent mineures vis-à-vis de la
qualité des essais.
En considérant que l’accréditation est une situation qui doit inciter les entreprises à progresser et qu’en
conséquence les imperfections au démarrage ne sont pas des obstacles rédhibitoires, on peut considérer
que la section béton, pour les essais présentés, est proche du succès.
Dans ces conditions on peut en conclure que les objectifs de la mission sont atteints.
SOMMAIRE
1 - DEROULEMENT DE LA MISSION
1.1 CADRE GENERAL DE L’ACTION
1.2 DUREE ET NOMBRE DE JOURS
1.3 DONNEES SUR LES PARTIES CONCERNEES
1.4 CONTEXTE GENERAL DE RÉALISATION DE L’ACTION
2 – EVALUATION
2.1 EVALUATION DE RÉALISATION DE L’ACTION
2.2 EVALUATION DES RESULTATS ATTENDUS DE LA MISSION
4
I. DEROULEMENT DE LA MISSION
I.1. CADRE GENERAL DE L’ACTION
Cette action se situe dans l’évolution naturelle d’un laboratoire d’essai qui après de
nombreuses années de pratique veut faire reconnaître la qualité de ses prestations. Cette
reconnaissance ne peut avoir de valeur que si l’organisme qui la reconnaît est un organisme
reconnu par l’ensemble de la profession demanderesse d’essais et si cet organisme est
totalement indépendant vis-à-vis du laboratoire et des professions clientes du laboratoire.
C’est le cas du TUNAC, organisme national, indépendant qui sur la base du respect de la
norme : ISO 17025, prononce une accréditation des laboratoires d’essais et d’étalonnage.
La norme ISO 17025 s’applique à décrire les conditions de travail permettant d’assurer en
permanence la satisfaction du client. Elle reprend pour cela les principes de la norme ISO
9001 et les applique à la fonction essais. Tout en laissant le choix aux industriels des
moyens à mettre en œuvre, cette norme décrit les différentes étapes qui conduisent
naturellement à l’obtention de résultats fiables.
L’organisme d’accréditation vérifie le respect des normes d’essais qui aujourd’hui sont
rédigées et terme d’objectifs et s’assure que les dispositions prises vont dans le sens de
cette satisfaction tant au niveau de la fiabilité des résultats annoncés que sur la traçabilité qui
permet de retrouver, en cas d’anomalies constatées, les causes possibles de ces dernières.
Outre une attestation du respect de l’esprit de la norme ISO 17025 l’accréditation présente
différents avantages.
Pour le client
- Elle lui donne une garantie sur la qualité d’exécution des essais, ce qui permet à ce
dernier de s’appuyer, avec assurance, sur les informations fournies, pour gérer les
chantiers concernés,
- Elle lui donne un outil qui lui permettra d’améliorer la qualité des ouvrages construits,
Pour le laboratoire
- Elle le valorise ainsi que l’ensemble du personnel qui réalise les prestations,
- Elle l’incite à progresser en permanence, à partir des constatations faites pendant les
essais, tant pour les équipements que sur la vérification permanente de leur
cohérence avec le niveau des prestations demandées. Ses prestations tendent vers
l’efficience
- Elle lui permet de réduire l’occurrence d’apparition d’anomalies dans l’exécution des
essais et donc autant de gain de temps en conséquence,
Pour la profession
- Elle initie une vague de progrès qui élève le niveau de ce type de prestation
Pour la Nation
- Elle assainit le marché en créant une juste concurrence basée sur des règles claires
et explicites, la norme ISO 17025, identiques pour tout le monde
En conclusion on peut considérer que les accréditations sont des outils à la base de
l’évolution progressive de toute la filière concernée ce qui entraîne naturellement des
retombées économiques pour tout le Pays (qualité du travail, diminution des incidents,
réduction des défauts dans les ouvragesH).
Enfin la liberté de choix des moyens pour mener les études ou pour satisfaire les besoins
des clients, toujours plus exigeants, incite les laboratoires à réfléchir sur ces moyens à
mettre en œuvre, ce qui fait partie des principaux objectifs de la norme ISO 17025, en
5
reprenant les concepts de base de la métrologie pour l’application de la « démarche
méthodologique ».
L’action 630 du PMI est menée dans le « Centre d’essais et des techniques de la construction »
(CETEC). Ce laboratoire intervient pour réaliser les essais dans le domaine des travaux publics, le
laboratoire réalisant ou étant en mesure de réaliser tous les essais nécessaires à l’exécution
des travaux qu’ils soient de bâtiment ou de génie civil.
L’action spécifique menée se rapporte :
• A la section métrologie force pour l’étalonnage des presses d’essai,
• A la section béton pour les essais bétons et les essais sur les constituants du béton
(granulats et ciment) ainsi qu’aux études de formulation du béton.
Cette limitation à deux sections parmi les différents travaux menés par le CETEC est tout à
fait compréhensible car il est délicat de se lancer d’emblée dans une accréditation de toutes
les prestations. Toutefois on peut penser que progressivement cette accréditation se
généralisera car une émulation se créera naturellement entre les différents services et parce
que une direction d’organisme ne peut pas concevoir de mener parallèlement deux politiques
différentes de qualité dans son établissement.
Les trois experts sont Messieurs Chokri Damergi, Carlo Ferrero et Yves Charonnat.
Son cadre juridique est défini par le décret n° 91-224 du 04 Février 1991, il est identifié
comme un organisme de contrôle et de recherche technique indépendant. Il est doté d’un
budget autonome rattaché pour ordre au budget général de l'Etat.
6
Le CETEC a été restructuré en 1991 à l'initiative du Ministère de l'Equipement, de l'Habitat et
de l'Aménagement du Territoire, par le décret N° 91-224, lors de la fusion de l'ex- Direction
du Laboratoire et de la Recherche Appliquée et de l'ex- Centre Technique pour le
Développement de la Construction. Sa création remonte aux années 1960 (ex- Laboratoire
des Ponts et Chaussées de Tunis).
I.3.2.1. Situation
Le CETEC est dirigé par un Directeur Général assisté par un Conseil Scientifique qui définit
les programmes d’étude et de recherche et assure la cohérence entre les recherches et les
applications, d’une part, et les recherches et les investissements, d’autre part.
7
DIRECTEUR GENERAL CONSEIL SCIENTIFIQUE
DIRECTION DE LA DIRECTION DE
RECHERCHE APPLIQUEE CONTROLE DE QUALITE
S/D DES SERVICES S/D DE LA RECHERCHE S/D DE LA RECHERCHE S/D DE LA GEOTECHNIQUE S/D DES S/D LABORATOIRES
COMMUNS SUR LES STRUCTURES SUR LES MATERIAUX ET DE LA PETROGRAPHIE ESSAIS REGIONAUX
SERVICE DU SERVICE DES SERVICE SERVICE SERVICE DE L.R SOUSSE L.R SOUSSE
PERSONNEL OUVRAGES DES DE LA CONTROLE DES
D'ART AGREGATS GEOLOGIE CHANTIERS
L.R L.R
MEDENINE MEDENINE
SERVICE DES SERVICE DES SERVICE DES SERVICE
MOYENS BATIMENTS PRODUITS CONTROLE DES
GENERAUX NOUVEAUX BETONS
Responsable Qualité
Métrologue
Section Section Section Section Section Section Section Section Section Section
Béton Chimie Contrôle de Fondations Mécanique Métrologie Ouvrages Produits Sols Sondages
et peinture chantiers des Force d’art noirs et carrières
chaussées
9
I.3.2.4. Organisation de la fonction Qualité
Pour atteindre ces objectifs ainsi que les résultats attendus de cette mission, nous
avons organisé le travail en visant :
- l’appropriation de la norme ISO 17025,
- la rédaction des documents qualité de la section,
- la formation à l’audit interne,
- la formation relative à la détermination de l’incertitude attachée aux résultats
d’essais.
L’ensemble des enseignements a été réalisé en s’inspirant du travail des auditeurs
du COFRAC ce qui permet de se mettre dans les conditions du second objectif
général des TdR relatif à la reconnaissance mutuelle avec l’Union européenne.
II. EVALUATION
II.1. EVALUATION DE RÉALISATION DE L’ACTION
Parmi les résultats obtenus il faut d’abord citer la rédaction des documents qualité et
en particulier :
- les procédures techniques des essais,
- les documents d’enregistrement,
- les modèles de fiches de poste,
- les fiches de contrôle des instruments de mesure,
- les fiches de vie des matériels d’essai et de mesure,
- etc.
Au terme de ces trois semaines d’intervention on peut constater que ces documents
sont satisfaisants et qu’ils couvrent l’ensemble des essais et des matériels de la
section béton. Ils complètent les normes d’essai, sans les reprendre, afin de décrire
le déroulement de la prestation telle que pratiquée par les opérateurs de la section
béton. Les données d’entrée (principe du processus) ont été listées ce qui permet
d’utiliser les moyens de mesure cohérents avec le paramètre à mesurer. La
réalisation de audit interne a montré que ces procédures étaient connues et suivies.
Pour les matériels d’essai, il est important de citer les gros efforts qui ont été faits par
le personnel de la section concernant :
- l’identification de tous les matériels d’essai et de mesure,
- le rangement des matériels en service,
- l’organisation des laboratoires,
- la réception des échantillons de matériaux même si pour ce dernier points des
progrès restent à faire.
La comparaison avec la première visite (au cours de la première intervention)
montrent la prise de conscience du personnel pour l’efficacité des exigences de la
norme ISO 17025 pour la qualité des prestations et donc la satisfaction du client.
Pour tous ces matériels il reste à réaliser la vérification de l’exactitude et la mise au
point définitive des procédures de contrôle en service, des balances principalement.
La formation à l’audit et plus précisément à l’audit interne, a été abordée sur les deux
dernières interventions. Cette formation a été émaillée d’exemples et d’exercices qui
ont permis de constater que les rudiments étaient acquis et qu’il ne restait plus qu’à
pratiquer cette fonction pour atteindre le degré d’assurance qu’il sied pour réaliser
ces audits. La réalisation de l’audit interne a permis de concrétiser cette fonction
toujours assez difficile. Six stagiaires peuvent légitimement revendiquer la
qualification d’auditeur interne (voir liste en annexe) . Cette formation n’a cependant
qu’un coté théorique et les premières mises en pratique devront se faire par binôme
ou si cela est possible en compagnonnage. C’est à partir de ce complément qu’une
habilitation pourra être prononcée à leur endroit.
L’audit interne a permis de constater la situation face aux exigences de la norme ISO
17025. Le rapport d’audit interne précise les points à améliorer.
En résumé les écarts par rapport aux objectifs des TdR sont les suivants :
- le plan qualité de la section reste à finaliser pour tenir compte précisément
des éléments du manuel qualité du CETEC,
- des progrès seront encore à réaliser pour les procédures techniques des
essais,
- quelques procédures organisationnelles devront être rédigées telles que la
réception des échantillons, la fréquence des contrôle en service des appareils
de mesure et d’essais.
Ces éléments d’amélioration de l’existant ne pourront se faire valablement qu’au fur
et à mesure de la mise en application car ce n’est qu’à ce moment qu’apparaîtront
les éventuelles insuffisances.
II.1.1. Pertinence :
La pertinence de cette action est d’autant plus grande que les normes d’essais ont
été beaucoup modifiées tant dans leur pratique que dans l’esprit. Ce dernier point est
particulièrement important et il ne semblait pas que les opérateurs aient eu
connaissance des évolutions. En effet aujourd’hui, et cela est spécifié dans chacune
des normes d’essais béton, il est demandé que l’opérateur réalise un autocontrôle du
déroulement de l’essai. Il est en particulier précisé que l’opérateur doit déclarer le
respect de la norme et expliciter les éventuels écarts. Pour certaines normes il est
demandé de vérifier que le comportement du corps d’épreuve sous la sollicitation est
conforme à des descriptions indiquées par ces normes.
Tous ces points ont été examinés dans les exposés de la première intervention.
II.1.2. Efficacité :
Les trois interventions se sont déroulées dans un délai de deux mois et demi. Il
ressort que dans un tel délai il n’est pas possible de constater une évolution des
matériels de mesure et d’essais (modification ou achat de nouveaux matériels).
En principe ce délai est suffisant pour présenter les besoins de réorganisation.
Toutefois là encore il est évident que l’expert ne pourra pas constater si la mise en
pratique est réelle et correspond bien à tous les objectifs visés.
Toutes les actions nécessitent une mise en application d’au moins six mois, si ce
n’est un an, pour arriver à une bonne coordination dans la pratique surtout si de
nouveaux matériels doivent être achetés comme c’est le cas pour cette expertise
(tamis à tôle perforée, régulation de la température de l’eau des bacs de
conservationH)
II.1.3. Efficience :
Il est évident qu’une intervention d’un expert un à deux mois avant la visite des
auditeurs du service d’accréditation apporterait un complément efficace pour aborder
tranquillement cet audit.
Il semble toutefois que certaines personnes du CETEC sont bien au courant de la
pratique de ces audits et qu’elles pourraient réaliser cette action si leur charge de
travail le leur permet.
Un complément de mission (une semaine) pourrait valablement être programmé vers
la fin de l’année 2009.
1. La section Audité
…………………Section béton………………………………………………………………………………..
2. Domaine audité
Chapitres Des normes audités Les procédures audités Les Activités audités
…
ISO17025…………………………..... …………………………….... ……………………………..
……………………………… ……………………………… ……………………………..
ch 5.3………………………………. Conservation des éprouvettes
……………………………… bassin de conservation
……………………………..
ch 5.5 Vérification des matériels d’essai balances
……………………………… …………………………….
matériels pour ES
……………………………… …………………………….
matériels pour granulométrie
………………………………. ……………………………..
produits pour solution lavante
ch 5.6……………………………… Essai d’écrasement repérage de la presse
……………………………..
ch 5.8 Stockage des échantillons repérage des échantillons
ch 5.10 Rapports d’essai traçabilité avec la commande
………………………………
L’auditeur Stagiaire
1. Objet :
granulométrie des gravillons
2. Nature de l’écart
utilisation de tamis à mailles tressées sans référence au tamis à tôle perforée
Représentant du
Date Nom de l’auditeur Signature
CETEC
15 mai 2009 Yves Charonnat ed ADDEDMamm
4. Corrections proposées
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………
6. Clôture
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………
Représentant du
Date Nom de l’auditeur Signature
CETEC
FQ Version V0
FORMULAIRE QUALITE
L’auditeur Stagiaire
1. Objet :
Bassins de conservation des éprouvettes
2. Nature de l’écart
Absence de régulation de la température de l’eau
Représentant du
Date Nom de l’auditeur Signature
CETEC
15 mai 2009 Yves Charonnat ed ADDEDMamm
4. Corrections proposées
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………
6. Clôture
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………
Représentant du
Date Nom de l’auditeur Signature
CETEC
Annexe 2
FQ Version V0
FORMULAIRE QUALITE
Khemaïs HARZALLAH
Mhamed ADDED
Khaled HOUAIDI
Nessrine CHIHAOUI
Donia SOLTANI
Wertani AHLEM
ont suivi le stage de formation pour la fonction d’auditeur interne dans le domaine des
essais.
Ce stage comportait :
- la sensibilisation à la norme ISO 17025
- la formation au maniement des outils métrologie et statistique
- l’estimation des incertitudes sur le résultat des essais
- le rôle et le comportement de l’auditeur,
- la conduite de l’audit