Rapport Reel

Ministère de l’Industrie
et du Commerce
N° d’ordre : 18INP01025/2021/INPHB/ESI/TS EAI3

MÉMOIRE DE FIN DE CYCLE
En vue de l’obtention du diplôme de technicien supérieur (DTS) en Electrotechnique et
Automatismes Industriels.
Thème :
Etude ergonomique de l’installation des équipements HT de
Schneider Electric et mise en place des procédures d’utilisation.
Période de stage : 15 mars 2021-20 juin 2021
Soutenu publiquement le 29 juin 2021.
SORO FOUNGNIGUE
Elève technicien supérieur en troisième année option : Electrotechnique et Automatismes Industriels.
Devant le jury composé de :

Dr KONE GBAH Président du jury
Dr N’CHO JANVIER Rapporteur
Dr KOUTOUA SIMON KASSI Encadreur pédagogique
ANNEE ACADEMIQUE : 2020-2021

Etude ergonomique de l’installation des équipements HT de Schneider Electric
Et mise en place des procédures d’utilisation
DEDICACE
…A ma famille.
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 I

REMERCIEMENTS
Ce travail est le fruit de la combinaison d’efforts de plusieurs personnes. Nous
remercions tout d’abord le tout puissant qui, par sa grâce nous a permis d’arriver
au bout de nos efforts en nous donnant la santé, la force, le courage et en nous
faisant entourer des merveilleuses personnes dont nous tenons à remercier.
Nous adressons nos sincères remerciements à tous les professeurs, au personnel
administratif et technique et à toutes les personnes qui par leurs paroles, leurs
écrits, leurs conseils et leurs critiques ont guidé nos réflexions et ont accepté de
nous rencontrer et de répondre à nos questions durant nos recherches.
Nous remercions tout le personnel de notre prestigieux institut, l’INP-HB, qui
œuvre chaque jour dans le but de faire de nous, d’excellents ingénieurs et
techniciens supérieurs. Singulièrement à l’endroit de :
- Dr. N’GUESSAN KOFFI, Directeur Général de l’INP-HB ;
- Prof TANOH Aka pour sa bonne gestion de l’Ecole Supérieure d’Industrie et
qui a aussi été un acteur majeur dans ce stage.
- Dr. AMIDOU BETIE, mon responsable de stage et enseignant-chercheur au
département de formation et de recherche du Génie électrique et électronique.
- Dr. Kassi Koutoua Simon, mon encadreur pédagogique et enseignant-chercheur
au département de formation et de recherche du Génie électrique et électronique.
Nos vifs remerciements vont également à l’endroit de toutes les personnes dont
les noms ne figurent pas dans ce mémoire et qui ont contribué au succès de notre
projet.
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 II

AVANT-PROPOS
La connaissance et la formation constituent des piliers du développement, du

progrès et du succès économique d’un pays. C’est au regard de cette réalité et pour
ne pas rester en marge du développement que la Côte d’Ivoire, dès les premières
heures de son indépendance, a mis un accent particulier sur la formation et
l’éducation. En effet, en moins de deux décennies d’indépendance, elle s’est dotée
de structures de formation et de recherche dont l'Institut Agricole de Bouaké
(IAB), l'Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie (ENSA), l'Institut National
Supérieur d’Enseignement Technique (INSET) et l'Ecole Nationale Supérieure
des Travaux Publics (ENSTP). Etablissement à caractère administratif, l’Institut
National Polytechnique Félix HOUPHOUËT-BOIGNY (INP-HB) de
Yamoussoukro, créé par décret 96-678 du 04 Septembre 1996, nait de la fusion
de ces quatre (4) grands établissements. Suite à cette restructuration, on assiste à
la création de neuf (9) grandes écoles que sont :
 l’Ecole Supérieure d’Agronomie (ESA) ;
 l’Ecole Supérieure d’Industrie (ESI) ;
 l’Ecole Supérieure de Commerce et d’Administration des Entreprises
(ESCAE) ;
 l’Ecole Supérieure des Travaux Publics (ESTP) ;
 l’Ecole Supérieure des Mines et de Géologie (ESMG) ;
 l’Ecole de Formation Continue et de Perfectionnement des Cadres
(EFCPC) ;
 Les Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE) ;
 l’Ecole Doctorale Polytechnique (EDP) ;
 l’Ecole supérieure du pétrole et de l’énergie (ESPE) ;
Par ailleurs, L’ESI est chargée de la formation des ingénieurs et des techniciens
supérieurs dans les principaux domaines de l’industrie. Et de ce fait, elle a en
charge notre formation de Technicien Supérieur en Electrotechnique et
Automatismes Industriels (EAI). La volonté de l’ESI de former des cadres
d’entreprise plus opérationnels exige de ses élèves, en complément de la
formation théorique, un stage de fin de cycle d’une durée de trois (03) mois. C’est
dans ce contexte que nous avons été reçus au sein du département de formation
du Génie Electrique et Electronique de l’INP-HB du 15 Mars au 20 Juin 2021.
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 III

SOMMAIRE
INTRODUCTION ...................................................................................................................................................................... 1
PARTIE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DU THEME. .................................................................................... 2
I. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL ......................................................................................... 3
1. Historique de l’INPHB ....................................................................................................................................... 3
2. Présentation du DFR GEE.................................................................................................................................. 3
II. PRESENTATION DU THEME .............................................................................................................................. 5
1. Contexte de l’étude. ........................................................................................................................................... 5
2. Les objectifs pédagogiques du thème. ................................................................................................................ 5
3. L’intérêt de cette étude. ...................................................................................................................................... 5
4. Cahier des charges.............................................................................................................................................. 6
5. Les contraintes liées à notre étude. ..................................................................................................................... 6
PARTIE II : ETUDE ERGONOMIQUE DU PROJET. ........................................................................................................ 7
1. Généralités sur l’ergonomie ............................................................................................................................... 8
2. Le but de l’ergonomie ........................................................................................................................................ 9
3. La roue de l’ergonomie. ..................................................................................................................................... 9
4. Les facteurs de l’ergonomie ............................................................................................................................. 11
5. Aménagement d’un poste de travail. ................................................................................................................ 15
6. Les différentes normes sur l’ergonomie. .......................................................................................................... 16
7. Espace de mouvement de l’homme dans les différentes situations de travail en cm. ...................................... 16
8. Le facteur éclairage .......................................................................................................................................... 17
9. Application du concept de l’ergonomie au projet. ............................................................................................ 19
PARTIE III : PRESENTATION DES EQUIPEMENTS HT ET MISE EN PLACE DES PROCEDURES D’UTILISATION.
................................................................................................................................................................................................. 23
I. PRESENTATION DE L’APPAREILLAGE HT. ................................................................................................. 24
1. Liste du matériel reçu (Don de Schneider Electric). ......................................................................................... 24
2. Définition d’une cellule HT. ............................................................................................................................ 25
3. Les différentes parties d’une cellule HT. .......................................................................................................... 26
4. Description des différentes parties d’une cellule HT. ....................................................................................... 27
5. Les applications industrielles des cellules HT. ................................................................................................. 28
6. Choix d’une cellule HT. ................................................................................................................................... 28
II. PRESENTATION DES EQUIPEMENTS ET LEUR UTILISATION. ................................................................. 32
1. La gamme PIX des cellules. ............................................................................................................................. 32
2. La gamme DNF7 FP 36 25 E - 1600 A – 36 KV. ............................................................................................ 34
3. Les cellules FBX .............................................................................................................................................. 38
4. Les autres équipements & le MiCOM P124. .................................................................................................... 41
III. ARCHITECTURES POSSIBLES À PARTIR DU MATÉRIEL OFFERT. .......................................................... 43
1. Un poste source. ............................................................................................................................................... 44
2. Poste de distribution. ........................................................................................................................................ 45
3. Les équipements de protection à utiliser. ......................................................................................................... 47
CONCLUSION ........................................................................................................................................................................ 48
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 IV

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS

BT : Basse Tension
CEI : Commission Electrotechnique Internationale
DFR : Département de Formation et de Recherche
DGPT : Dégagement Gazeux de Pression et de Température
EDF : Electricité De France
GIS : Cellules Isolées dans le Gaz
GEE : Génie électrique et électronique
HT : Haute Tension
HTA : Haute Tension niveau A
IAC : Classification de tenue à l’Arc Interne
KV : Kilovolts
LED : Diode électroluminescente
MT : Moyenne Tension
SF6 : L'hexafluorure de soufre
TP : Travaux pratiques
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LISTE DES FIGURES
Figure 1:La roue de l'ergonomie. ........................................................................ 10

Figure 2: Les caractéristiques modifiables et non modifiables de l'ergonomie. . 11
Figure 3:L'organisation du travail dans l'ergonomie. .......................................... 13
Figure 4:Les postures de travail ergonomiques. ................................................. 16
Figure 5:Les paramètres pour un éclairage ergonomique. .................................. 17
Figure 6:Eclairement recommandé en fonction de la nature du travail. ............. 18
Figure 7:illustrartion de l'accès au poste de travail. ............................................ 19
Figure 8:Dimensionnement de la salle sur le logiciel SolidWorks. .................... 20
Figure 9:Les dimensions de la salle. ................................................................... 20
Figure 10: Vue architecturale. ............................................................................. 21
Figure 11:Vue réelle. ........................................................................................... 21
Figure 12:L'implantation du matériel dans le poste de distribution. ................... 22
Figure 13:Image d'une cellule HT ....................................................................... 25
Figure 14:Cellule HT vue de face. ...................................................................... 25
Figure 15:les constituants d'une cellule HT. ....................................................... 26
Figure 16:Description d'une cellule HT. ............................................................. 27
Figure 17: Les différentes parties d'une cellule PIX. .......................................... 32
Figure 18:Interface utilisateur d'une cellule PIX. ............................................... 33
Figure 19:Schémas d'une cellule gamme DNF ................................................... 34
Figure 20:Interface utilisateur cellule DNF. ....................................................... 35
Figure 21: Description de l'interface ................................................................... 35
Figure 22:Descripytion des composantes d'une cellule de type DNF................. 36
Figure 23: Vue éclatée......................................................................................... 38
Figure 24:Présentation d'une cellule FBX........................................................... 38
Figure 25:Interface utilisateur du MiCOMP124. ................................................ 42
Figure 26:MiCOM P124 modèle autonome. ....................................................... 42
Figure 27 :MiCOM P124 modèle double alimentation: ..................................... 42
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LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1:Tableau de choix d'une cellule HT. .................................................... 28
Tableau 2:Les modes d’alimentation possibles avec les cellules. ...................... 29
Tableau 3: Choix des cellules d'arrivées. ............................................................ 30
Tableau 4:Choix des cellules de comptage. ........................................................ 30
Tableau 5:Tableau montrant le degré de protection des cellules contre les corps
étrangers. ............................................................................................................. 33
Tableau 6:conditions ambiantes de service des DNF. ........................................ 36
Tableau 7:Tableau des procédures d'utilisation. ................................................. 37
Tableau 8:Liste du matériel offert à l'inphb. ....................................................... 43

I
RESUME
L'ergonomie est l'étude scientifique des conditions de travail, particulièrement des

interfaces hommes-machines. Les ergonomes contribuent à la conception et à
l'évaluation des tâches, des machines et des outils, des produits, des
environnements et des systèmes organisationnels en vue de les rendre compatibles
avec les besoins économiques de l’entreprise.
Le milieu industriel a une quantité de réglementations et de normes, issues surtout
de la sécurité des personnes et des matériels qu'il convient d'abord de respecter au
niveau du poste de travail et le poste de travail conçu de façon ergonomique
permet d'optimiser l'activité de l'opérateur en fonction des tâches à réaliser, de
minimiser ses tâches. L'objectif de l’ergonomie en milieu industriel est donc
d'offrir aux opérateurs la possibilité d'ajuster leur poste de travail selon leurs
caractéristiques morphologiques, les tâches à réaliser et le produit ou l'équipement
à réparer ou à assembler. Dans ce travail vous découvrez dans un premier temps
la science de l’ergonomie avec toutes ses composantes. Ensuite nous étudierons
l’appareillage HT couramment appelé cellules HT car notre travail consiste à
étudier les différentes combinaisons possibles avec le matériel offert par
l’entreprise Schneider Electric au Génie Electrique et Electronique, de mettre en
place leurs procédures d’utilisation et afin et de proposer des dispositions
ergonomiques ou encore l’implantation optimale.
Mots clés
Ergonomie
Cellule HT

II
INTRODUCTION
La haute tension est toute tension qui engendre dans les composants d’un
système, des champs électriques suffisamment intenses pour modifier, de manière
significative, les propriétés de la matière, en particulier des matériaux isolants.
Alors, l'étude de la haute tension aboutit à la conception et à la réalisation de
produits, appareils et systèmes aptes à générer et à supporter des champs
électriques élevés. L’appareillage électrique à haute tension est l’ensemble
des appareils électriques qui permettent la mise sous ou hors tension de portions
d'un réseau électrique à haute tension y compris pour des opérations de délestage.
Ce sont entre autre : les cellules disjoncteurs HT, les interrupteurs sectionneurs
HT, les sectionneurs HT, les sectionneurs de mise à la terre et le Parafoudre.
L’ergonomie est quant à elle l'étude scientifique des conditions de travail,
particulièrement des interfaces hommes-machines. Elle traite de l'adaptation des
conditions de travail aux capacités physiques de l'employé, et de ses capacités
d'adaptation à sa fonction. L’ergonomie ne se préoccupe pas seulement de
l'adaptation des moyens de travail aux dimensions corporelles, elle s'intéresse
aussi à l'organisation du travail ainsi qu'au contenu et à l'environnement du travail.
L'ergonomie est donc la discipline qui rassemble les connaissances sur le
fonctionnement de l'homme en activité de travail afin de l'appliquer à la
conception des tâches, des machines, des outillages, des bâtiments et des systèmes
de production.
Pour créer cet environnement, il faut nécessairement optimiser l’espace
disponible, l’aérer convenablement et l’éclairer naturellement. C’est dans ce
contexte que nous a été confiée la réalisation de l’étude ergonomique de
l’installation des équipements HT de Schneider Electric et la mise en place des
procédures d’utilisations.
Pour bien mener notre étude nous allons d’abord définir l’ergonomie, trouver les
architectures possibles avec le matériel reçu et trouver l’implantation idéale.
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 1

PARTIE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DU THEME.

I. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL
1. Historique de l’INP-HB
L’Institut National Polytechnique Félix HOUPHOUËT-BOIGNY (INP-HB) a été
créé par décret 96-678 du 04 Septembre 1996, de la restructuration de l’École
Nationale Supérieure d’Agronomie(ENSA), l’École Nationale Supérieure des
Travaux Publics (ENSTP), l’Institut Agricole de Bouaké (IAB) et de l’Institut
National Supérieure de l’Enseignement Technique (INSET). Quatre
établissements que l’on désigne communément sous le vocable de Grandes Écoles
de Yamoussoukro. La création de l’INP-HB répond à plusieurs objectifs :
 la réduction des coûts structurels et une allocation plus pertinente des
ressources disponibles;
 l’harmonisation des politiques de formation ;
 l'amélioration de la qualité des enseignements et le rapprochement de la
formation et l'emploi.
 la formation : Formation initiale et continue à travers des formations
diplômantes et qualifiantes (recyclage, perfectionnement) des
techniciens supérieurs, des ingénieurs des techniques et des ingénieurs
de conception dans les domaines de l'industrie, du commerce, de
l'administration, du génie civil, des mines et de la géologie
 l’innovation, la recherche et le développement
Aujourd’hui, l’INPHB c’est plus de neuf (09) grandes écoles parmi lesquelles se
trouve l’ESI (Ecole Supérieure d’Industrie) et nous avons effectués notre stage de
fin d’étude précisément au Département de Formation et de Recherche du génie
électrique et électronique. L’Ecole Supérieure d’Industrie (ESI), est chargée de
former des ingénieurs de conception et techniciens supérieurs dans le domaine
industriel. Ces derniers seront amenés à promouvoir et à accompagner l’évolution
technique et technologique au sein des entreprises industrielles afin d'accroître
leur compétitivité.
2. Présentation du DFR GEE

Le DFR-GEE a pour missions essentielles de :
 former et perfectionner les ingénieurs et les techniciens pour les industries
 aider les entreprises sous forme d’expertises de conseils et d’étude
 développer la recherche appliquée et fondamentale

2.1 Structure et organigramme du DFR-GEE
Le DFR-GEE comporte quatre sections (Sections Electronique, Section

Télécommunications, Section Electrotechnique, Section Physique) et organisé de
la manière suivante :
 le Directeur de Département, Président du conseil de Département
 le Conseil de Département
 les ateliers et les laboratoires
 les services administratifs et Techniques
2.2 Organigramme du DFR-GEE.

Voici comment est organisé le département de formation et de recherche du Génie
Electrique et Electronique.
Conseil du Département
Assistance
Direction Générale Secrétariat
Service Technique
Coordinations

II. PRESENTATION DU THEME
1. Contexte de l’étude.
La formation d’ingénieurs industriels requiert de solides compétences techniques
dans les domaines pointus comme la mécanique, l’énergétique et l’électricité. La
volonté de l’INPHB de former des ingénieurs de haut niveau capable de répondre
aux défis actuels des entreprises a permis à travers un partenariat Schneider-
INPHB, l’acquisition de matériels pédagogiques de haute tension (HT) dont les
cellules HT pour les travaux pratiques. C’est dans ce contexte que nous avons
effectué notre stage de fin d’étude au GEE en vue de l’étude ergonomique de
l’installation de ces équipements et la mise en place d’un protocole de TP.
2. Les objectifs pédagogiques du thème.

Notre étude vise à:
 préparer les étudiants pour l’habilitation HTA.
 former les étudiants aux interventions et aux procédures réalisées sur les
ouvrages HT.
 comprendre les aspects de la science ergonomique.
 offrir un cadre idéal pour l’utilisation de ces cellules disjoncteurs.
 adapter leurs utilisations aux salles dédiées aux travaux pratiques.
 permettre aux enseignants de faire des travaux pratiques pour une meilleure
compréhension des cours des réseaux électriques.
 découvrir une installation HTA et ses différentes composantes.
 identifier les risques et réaliser des opérations de maintenance.
 former les étudiants aux interventions et aux procédures réalisées sur les
ouvrages HT.
3. L’intérêt de cette étude.

Ce projet permettra de comprendre l’installation d’une cellule HT et son
utilisation. Il permettra non seulement une meilleure compréhension de la science
ergonomique mais aussi de son importance dans le milieu industriel tout comme
dans les installations électriques.

4. Cahier des charges.

Le travail qui nous a été demandé se résume en ces points :
 présenter la science de l’ergonomie.
 montrer comment s’installe une cellule HT.
 montrer le fonctionnement et la composition d’une cellule disjoncteur.
 montrer ses applications.
 proposer une disposition ergonomique des équipements.
 mettre en place un protocole pour les travaux pratiques.
5. Les contraintes liées à notre étude.

Les difficultés que l’on pourrait rencontrer sont :
 Les tailles de certaines cellules qui excèdent les dimensions des salles.
 L’installation ergonomique des cellules.
 La température de service des équipements.
 La température ambiante à laquelle les équipements peuvent être
conservés.
 Le niveau de tension élevé des équipements.

PARTIE II : ETUDE ERGONOMIQUE DU PROJET.

1. Généralités sur l’ergonomie

L’ergonomie traite de l’adaptation des conditions de travail aux capacités et
caractéristiques de la personne active, et des capacités d’adaptation de cette
personne à sa fonction. L’ergonomie ne se préoccupe pas seulement de
l’adaptation des moyens de travail aux dimensions corporelles; elle s’intéresse
aussi à une organisation du travail à mesure humaine, ainsi qu’au contenu et à
l’environnement du travail. Son objectif est d'offrir aux opérateurs la possibilité
d'ajuster leur poste de travail selon leurs caractéristiques morphologiques, les
tâches à réaliser et le produit ou l'équipement à réparer ou à assembler.
La définition de cette discipline pourrait donc être tout simplement « science du
travail ». Une science qui ne tiendrait pas compte des frontières conventionnelles
imposées par les pratiques des directions d'entreprise, auxquelles font écho les
discours des experts. L'ingénieur de production qui conçoit les postes, le manager
qui répartit les fonctions, l'agent des méthodes qui fixe les gammes, le médecin du
travail préoccupé d'hygiène, le responsable de la sécurité qui ne pense qu'aux
accidents et le qualiticien épris de normalisation et obsédé par les certifications, le
directeur du personnel qui recrute et négocie les rémunérations, le formateur chargé
d'enseigner les techniques, le syndicaliste aussi, qui se bat contre les licenciements.
Tous s'occupent du travail et du travailleur. Mais leurs approches sont partielles et
parfois contradictoires : la sécurité peut s'opposer à la productivité, une organisation
trop contraignante peut freiner les initiatives, et les qualifications contredire les
compétences. Donc une science du travail digne de ce nom devrait pouvoir dépasser
ces contradictions.
Le milieu industriel ayant une quantité de réglementations et de normes issues
surtout de la sécurité des personnes et des matériels. Il convient donc de respecter
d’abord les règles au niveau du poste de travail. Et le poste de travail conçu de
façon ergonomique permettra ensuite d'optimiser l'activité de l'opérateur en
fonction des tâches à réaliser et de minimiser ses gestes.

2. Le but de l’ergonomie
Si le champ d’action de l’ergonomie est si étendu, c’est que son but fondamental est
l’efficience, définie au sens large par la réalisation du résultat recherché sans efforts
inutiles, sans erreurs et sans préjudice pour le travailleur concerné ou pour autrui. En
effet, l’ergonomie a pour but principal :
 Bien-être au poste de travail
Des postes et des processus de travail ergonomiques sont indispensables au bien-

être des personnes au travail. Avec un rendement déterminé par la vitesse de
fonctionnement des machines, la productivité est conditionnée par la bonne
marche du système et sa fiabilité est dès lors capitale. L’opérateur devient donc
un surveillant, un dépanneur et un agent de maintenance et non plus un acteur
direct.
 Productivité accrue
L’ergonomie présente aussi un intérêt économique. Des postes de travail et un
travail adaptés à l’homme ont en effet une influence positive sur la motivation et
le rendement des collaborateurs. Si l’ergonomie est correctement appliquée, elle
contribue de manière significative à l’amélioration de la productivité.
 Moins d’accidents et de maladies
L’ergonomie a également des effets positifs sur la sécurité au travail et la
protection de la santé. Car sur des postes de travail ergonomiques, il y a moins
d’accidents et de maladies, et, par conséquent, moins de journées d’absence. Des
solutions globales en matière de sécurité du travail impliquent souvent la prise en
compte d’aspects ergonomiques.
3. La roue de l’ergonomie.
La roue de l’ergonomie est subdivisée en 3 parties: le centre, le cercle de l’action
et le cercle de la réaction. Au centre se trouvent l’homme et la tâche. Il faut adapter
le travail aux capacités et aux caractéristiques de l’être humain. Mais l’homme
possède aussi une certaine capacité d’adaptation à la tâche à effectuer. Pour cette
raison, nous trouvons également l’homme dans le cercle de l’action, qui est le
domaine de l’ergonomie, en compagnie des facteurs : poste de travail,
organisation du travail, environnement de travail et contenu du travail. Tous ces
facteurs influent sur les éléments du cercle de la réaction qui doit impérativement
être puissant et équilibré si on veut obtenir le bien-être au poste de travail et un
bon résultat d’exploitation.

Ces deux notions sont inséparables dès qu’il s’agit d’assurer un succès durable.
La fonction de l’ergonomie peut être mise en évidence à l’aide d’une
représentation simple:
Homme
Figure 1:La roue de l'ergonomie.
Source : Qu’est-ce que l’ergonomie ? - Aménagement des espaces de travail tertiaires (preventica.com)

4. Les facteurs de l’ergonomie
L’ergonomie, au sens de l’adaptation de la technologie aux besoins de l’opérateur,

est devenue, avec le progrès technique, plus nécessaire, mais aussi d’une
application plus facile. Les études ergonomiques prennent en compte cinq facteurs
dans la conception d’un poste de travail :
L’homme : premier facteur de l’ergonomie.

Nous distinguons les caractéristiques préétablies, qui sont difficilement
modifiables, telles que :
 le sexe,
 l’âge,
 les dimensions corporelles (anthropométrie),
 la constitution des caractéristiques physiques et fonctionnelles de
l’organisme (physiologie).
Et les caractéristiques qui sont plus ou moins modifiables, telles que:
 le niveau de formation,
 la dextérité,
 l’expérience et la condition physique.
Dans la roue de l’ergonomie, les caractéristiques difficilement modifiables sont à
attribuer au centre, tandis que les caractéristiques modifiables sont plutôt à
attribuer au cercle de l’action:
Figure 2: Les caractéristiques modifiables et non modifiables de l'ergonomie.
Source : Qu’est-ce que l’ergonomie ? - Aménagement des espaces de travail tertiaires (preventica.com)

Le poste du travail :deuxième facteur

Plusieurs aspects sont importants dans l’aménagement d’un poste de travail
ergonomique.
 La position : assis ou debout?
Cette question est d’une importance fondamentale pour l’aménagement du poste
de travail. Les activités en position assise se trouvent surtout dans les bureaux et
dans l’administration, tandis que les activités en position debout sont majoritaires
dans le domaine industriel et la vente. Les activités mixtes en position assise,
debout ou en marche sont idéales, car elles sont bonnes pour la circulation, la
musculature et l’appareil locomoteur. Un poste de travail combiné assis debout
contribue de façon importante au bien-être de la personne car les disques
intervertébraux sont alimentés en substances nutritives par les mouvements de la
colonne vertébrale, ce qui a pour effet d’améliorer le rendement.
 Les dimensions de l’équipement.
La construction de l’équipement de travail et l’aménagement des postes se font
d’après les lois de l’anthropométrie et de la physiologie, tant que le mode
opératoire ou le processus de production n’imposent pas de dimensions
particulières.
 Les espaces pour les mouvements et les distances de sécurité.
Les machines et les appareils doivent être conçus de telle manière que leur
utilisation, leur surveillance et leur maintenance soient aisées. Un poste de travail
adapté à la personne offre suffisamment d’espace pour les mouvements, et
présente les distances de sécurité nécessaires.
 La surveillance et la maintenance des installations.
La productivité d’une installation n’est pas seulement influencée par la facilité
d’utilisation, il y a aussi la qualité de la surveillance et de la maintenance. La
qualité de la surveillance est avant tout déterminée par la présentation appropriée
des états de fonctionnement et par le bon fonctionnement des éléments de
commande (dispositifs de réglage, poignées) disposés de manière cohérente et
fonctionnelle dans le système. La disponibilité d’une installation est dans une
large mesure fonction de la maintenance. C’est pourquoi il est important que les
installations soient facilement accessibles pour des travaux de maintenance et que
le personnel dispose de suffisamment de place d’où l’importance de la

disponibilité immédiate des éléments suivants: aides de levage, moyens de

transport, outils, appareils de contrôle et pièces de rechange.
L’organisation du travail :troisième facteur
Une organisation du travail adaptée à la situation et à l’être humain influence
notablement le climat d’entreprise, le rendement des employés et la rentabilité
du processus de travail.
Figure 3:L'organisation du travail dans l'ergonomie. Source : Qu’est-ce que l’ergonomie ? - Aménagement des espaces de travail tertiaires
(preventica.com).
 La marge de responsabilité et de décision

Comme les approches sont partielles et parfois contradictoires c’est-à-dire que tout
comme la sécurité peut s'opposer à la productivité, une organisation trop
contraignante peut aussi freiner les initiatives, et les qualifications contredire les
compétences. Pour ne pas entraver la créativité et le sens des responsabilités par
une organisation exagérée du travail, il convient de supprimer toutes les
contraintes qui ne sont pas absolument nécessaires, pour les remplacer par des
possibilités de décision. Tant que cela ne porte pas préjudice à d’autres postes de
production, à la qualité ou aux délais, la personne devrait pouvoir définir elle-
même le déroulement du travail, dans le cadre de ses moyens et capacités. Dans
de nombreux cas, le regroupement des travaux de planification, d’exécution et de
contrôle représente un enrichissement du travail avec un effet positif sur le
processus de production. L’exécution de plusieurs tâches par rotation périodique
à l’intérieur d’un groupe contribue à diversifier le travail et encourage l’esprit
l’équipe et la coopération.

 Les modes opératoires et les moyens de travail

Pour obtenir une production économique, il est indispensable de choisir des
modes opératoires et des moyens de travail appropriés; ils ont en particulier une
grande influence sur le degré de fatigue et la vitesse avec laquelle elle s’installe.
Les modes opératoires qui demandent une dépense physique fréquente et
répétitive devraient si possible être mécanisés et automatisés. Des efforts
physiques importants sur une période prolongée causent de la fatigue, ainsi qu’une
baisse de la concentration et du rendement, avec des effets négatifs directs sur la
rentabilité, la sécurité et la santé.
 La planification du travail et la formation
Un travail efficace et sûr, sans risques d’accident, passe par une bonne formation.
Les informations concernant les risques et les instructions d’utilisation sont tout
aussi importantes que les explications concernant la qualité et les délais. Si les
personnes, les machines ou les méthodes sont nouvelles, il faut que la formation
soit particulièrement soignée. Dans tous les cas de figure, cette formation devrait
être renouvelée de temps à autre, et sa mise en pratique vérifiée.
Le contenu du travail
Il faut éviter les deux composantes qui sont :
 La sous-occupation : La sous-occupation réduit la motivation et la
satisfaction au travail. On rencontre avant tout la sous-occupation dans des
activités monotones, peu stimulantes et peu exigeantes.
 Le surmenage : Les limites entre sous-occupation, activité équilibrée et
surmenage varient d’une personne à l’autre. Telle activité sera jugée
enrichissante par une personne, alors que pour une autre elle est synonyme
de stress et de surmenage.
L’environnement de travail
L’environnement de travail influence dans une large mesure les conditions de
travail et, par conséquent, le bien-être, la sécurité, la satisfaction au travail, la
fatigue, la santé et, en fin de compte, le rendement. L’environnement de travail
prend en compte: les conditions qui sont imposées par l’exécution du travail,
conditions qui résultent de l’exécution du travail ou qui sont modifiées par cette
exécution, les conditions qui proviennent de « l’extérieur », c’est-à-dire des postes
de travail voisins. On peut citer également le climat adapté à l’activité et à la
personne, ainsi qu’un éclairage correct.

Le climat est déterminé par la température de l’air, son déplacement et son

humidité, ainsi que par la température à la surface des locaux et des installations.
Le climat dit « de bien-être » dépend aussi de l’importance des mouvements
physiques et du travail musculaire. Ce climat idéal varie avec l’âge, le sexe, la
constitution, la santé, l’alimentation et l’habillement. Le type d’éclairage,
l’intensité lumineuse et l’angle d’incidence de la lumière doivent être adaptés aux
besoins visuels. Avec des couleurs, il est possible d’influer sur l’ambiance et sur
la façon de ressentir la température et la distance. En complément de ce qui
précède, il convient de souligner l’importance de l’ordre et de la propreté dans
l’environnement de travail car ils influencent l’ordre et la propreté au poste de
travail et contribuent de façon non négligeable à la qualité du travail, au
rendement, ainsi qu’à la sécurité et à la santé.
5. Aménagement d’un poste de travail.
La surface libre à disposition de chaque travailleur à son poste de travail doit être
de 1,5 m2 au minimum, indépendamment de la nature du travail à effectuer.
L’aménagement d’un poste de travail ergonomique tiendra compte des facteurs
suivants :
 l'accès au poste de travail.
 l’espace de mouvement minimum nécessaire au déroulement du travail.
Si l’accès au poste de travail représente rarement un problème au niveau de
l’ergonomie, un espace de mouvement suffisant est une condition première pour
le bon déroulement du travail. En effet selon les normes de l’ergonomie l’accès
au poste de travail remplit les conditions requises lorsque :
 le poste peut être atteint ou quitté sans encombre c’est-à-dire que l’accès ne
contient pas d’obstacle et qu’il peut être traversé en position normale.
 Il permet également le transport du matériel nécessaire.
L’espace de mouvement nécessaire ou rayon d’action à l’être humain dépend de
l’activité à accomplir et de ses dimensions corporelles. Il est indispensable de tenir
compte des caractéristiques individuelles de chacun.

6. Les différentes normes sur l’ergonomie.
EN ISO 9241
EN ISO 26800
DIN-33402 «Körpermasse des Menschen»
DIN-33406 «Arbeitsplatzmasse im Produktionsbereich»
DIN-33416 «Zeichnerische Darstellung der menschlichen Gestalt in typischen
Arbeitshaltungen»
7. Espace de mouvement de l’homme dans les différentes situations de travail

en cm.
Afin que le travail puisse être effectué sans gêne, Selon la norme DIN 33402 l’on
se doit de respecter un espace libre en fonction des postures corporelles indiquées
dans l’illustration suivante.
Figure 4:Les postures de travail ergonomiques.

8. Le facteur éclairage
Les problèmes liés à l’éclairage sont très souvent sous-estimés. Or, 80% des
impressions sensorielles sont de nature optique et 25% du potentiel énergétique
est utilisé pour la fonction visuelle. Un mauvais éclairage peut donc conduire à
une fatigue visuelle et nerveuse, altérant la qualité du travail fourni.
8.1. Qualité de l’éclairage
La lumière influence non seulement la vue, mais aussi l’activité (stimulation de

l’activité, animation, envie d’entreprendre), les processus physiologiques comme
le métabolisme, circulation, l’équilibre hormonal et le psychisme. Ainsi la lumière
joue un rôle important pour le bien-être et la motivation de l’homme. Il est donc
important d’éclairer non seulement l’emplacement de travail, mais aussi ses
environs. Les locaux sans ou avec peu de fenêtres et les postes de travail en équipe
de nuit exigent un éclairage artificiel de grande qualité. En principe, tous les
locaux, même ceux rarement fréquentés, tous les postes de travail occupés en
permanence, passagèrement ou occasionnellement et tous les passages doivent
avoir un éclairage naturel et/ou artificiel adapté à leur utilisation. L’intensité de
l’éclairage naturel par des fenêtres en façade diminue très rapidement vers le fond
du local.
Figure 5:Les paramètres pour un éclairage ergonomique.

 Eclairement E [lx (lux)]

Les valeurs de l’éclairement E (lx) recommandées dans le tableau ci-dessous sont
fondées sur les expériences réalisées dans la pratique. Elles sont valables d’une
manière générale. Les valeurs pour des tâches et des activités spécifiques sont
définies dans les directives de l’Union Suisse L’éclairage.
Figure 6:Eclairement recommandé en fonction de la nature du travail.
 Répartition de la luminance dans le champ visuel

La relation entre la luminance du plan de travail (LA) et la luminance de
l’environnement immédiat (LU) doit être maintenue dans le rapport suivant :
𝐿𝐴
0,3 ≤ ≤ 3.
𝐿𝑈
La relation entre la luminance du plan de travail (LA) et la luminance de

l’environnement élargi (LG) doit être maintenue dans le rapport suivant :
𝐿𝐴
0,1 ≤ ≤ 10.
𝐿𝐺
 Eblouissement
L’éblouissement est provoqué par des contrastes de luminance trop forts dans
l’environnement visuel immédiat (Lu), ou par des sources lumineuses intenses
plus éloignées (Lg). L’éblouissement physiologique consiste en une diminution
mesurable de la perception visuelle.

L’éblouissement psychologique est ressenti comme gênant, sans qu’il produise

une diminution mesurable de la perception visuelle. Ce type d’éblouissement est
fréquent à l’intérieur. Il est difficilement décelable. Il peut avoir des conséquences
néfastes en ce qui concerne le bien-être général, le rendement, la sécurité au
travail, la capacité de se concentrer et la fatigue. Le niveau d’éblouissement
dépend de l’activité de l’opérateur et étant donné qu’il existe trois classes
d’éblouissement défini donc la classe de qualité 1 s’impose pour de hautes
exigences, la classe de qualité 2 pour des exigences moyennes et la classe de
qualité 3 pour des exigences réduites.
 Effet stroboscopique
Les oscillations liées aux variations du flux lumineux dues au courant électrique
alternatif peuvent troubler la vision ou fausser la perception d’objets mobiles. Ce
scintillement invisible peut favoriser également l’apparition de maux de tête et
fatiguer les yeux. Cet effet sera supprimé par des mesures appropriées, telles que
le couplage de plusieurs luminaires sur des phases différentes ou l’utilisation de
lampes qui ne produisent aucun scintillement.
9. Application du concept de l’ergonomie au projet.
9.1. Les facteurs pris en compte.
Les facteurs pris en compte dans le cadre de notre étude sont :
 L’accès aux équipements
 La position privilégiée est la position débout
 La liberté de mouvement
 L’accès au poste de travail
 Le respect des normes électriques
 Les distances de sécurité
 Les espaces de mouvements
 La disposition des équipements
 La forme des équipements
Les différents équipements doivent être accessibles à l’utilisateur sans des
postures forcées comme illustré ci-dessous :
Figure 7:illustrartion de l'accès au poste de travail.

NB : L’INPHB n’a pas le niveau de tension de ces équipements ce qui impose

la solution d’alimenter ces équipements en BT pour diminuer les risques avec
les étudiants et illustrer juste le principe de fonctionnement.
Avec le matériel reçu, l’INPHB peut réaliser un poste source et un poste de
distribution HTA/BT ce qui devrait occuper deux salles de classe (156 &154).
Dans le poste source les équipements ont étés représentés par des blocs de
1𝒎𝟐 chacun pour mieux modéliser l’emplacement.
9.2. L’implantation du matériel
9.2.1. Poste source.
SALLE 156
Figure 8:Dimensionnement de la salle sur le logiciel SolidWorks.
Figure 9:Les dimensions de la salle.
L=11m l=7m H=2,8m

Chaque équipement est représenté par un bloc d’1𝑚2 et séparé du mur de 50cm.
1 𝑚2 1 𝑚2 1 𝑚2
1 𝑚2 1 𝑚2
1 𝑚2
Figure 10: Vue architecturale.
7m
11 m
2,8 m
Figure 11:Vue réelle.

9.2.2. Disposition des équipements du poste de distribution.
La figure suivante montre l’implantation du matériel dans le poste de distribution.

Le lien entre les deux postes est qu’on part du poste source (salle 156) en moyenne
tension avant d’atteindre le poste de distribution salle (154) où l’énergie est à
nouveau convertie en Basse Tension avant d’être distribué aux abonnés.
Figure 12:L'implantation du matériel dans le poste de distribution.

PARTIE III : PRESENTATION DES EQUIPEMENTS HT ET MISE

EN PLACE DES PROCEDURES D’UTILISATION.

I. PRESENTATION DE L’APPAREILLAGE HT.
1. Liste du matériel reçu (Don de Schneider Electric).

Référence
Poste article Quantité Désignation
Disjoncteur DNF7
FP 36 25 E - 1600 A
N°1 469 889/014 1 – 36 KV
Disjoncteur DNF7
FP 36 25 E - 800 A
N°2 438 554/114 1 – 33 KV
Disjoncteur DNF5 -
1250 A – 12 KV
N°3 468 957/101 1
Disjoncteur VISAX
N°4 M85 007/002 1 BLV1 / 12.16.12
Caisse avec 3 pôles
N°5 467 744/001 1 FP 62 72
1 Coffret BT M24+
(câblage avec relais
N°6 373 174/001 1 Micom P124)
1 Pôle pour
Disjoncteur FPX
N°7 M60 001/237 1 3150A
FBX— Cellule FBX
N°8 1127019/AMT 1 1127019/AMT
FBX—
Cellule FBX
N°9 1311064/AMT 1
Disjoncteur
FP 36 16 B
N°10 468 987/051 1 36KV - 630A
Disjoncteur FP 24
12 A 24KV – 400A
N°11 468 975/002 2
Disjoncteur FP 24
12 A 400 A – 24 KV
N°12 326 430/006 2
Disjoncteur FP 36
12 D 1200 A – 36
N°13 326 452/056 2 KV
Cellule PIX avec
disjoncteur HVX
N°14 326 452/056 2 24 KV, 1250A

Ces équipements sont tous des cellules HT. Mais pourquoi l’appellation de
cellule ?
2. Définition d’une cellule HT.

On appelle cellule HT l’ensemble de l’appareillage de protection, de commande
et de sectionnement en Haute Tension. Ainsi on retrouve en HTA le même
appareillage de sectionnement, de commande ou de protection qu’en BT mais
compte tenu de sa taille due à la tension plus élevé, il porte le nom de cellules et
elles fonctionnent pour la plupart au SF6 c’est-à-dire l’hexafluorure de soufre
qui a une très grande rigidité diélectrique. Donc on y retrouve des disjoncteurs,
des sectionneurs et les interrupteurs. L’avantage d’utiliser la Haute Tension est
d’abaisser le courant en ligne et donc :
 Diminuer les pertes par effet Joule.
 Diminuer la section des conducteurs.
Face à cet avantage incontestable au niveau de l’intensité et comme la haute
tension pose des problèmes au niveau de l’isolation que ce soit pour le matériel
ou pour les personnes. On développera donc du matériel spécifique : les cellules
HT.
Figure 14:Cellule HT vue de face.

Figure 13:Image d'une cellule HT

3. Les différentes parties d’une cellule HT.
Une cellule comprend les différents organes nécessaires au fonctionnement du

poste : disjoncteur, jeu de barres, sectionneur de jeu de barres, sectionneur de
terre, transformateur de courant, transformateur de tension (ou transformateur de
potentiel) et parfois parafoudre. Il existe de nombreux types de cellules :
sectionnement à fusible, disjoncteur, couplage. De même, on distingue les cellules
isolées dans l'air des cellules isolées dans le gaz (GIS). Ces cellules sont installées
en bâtiment. L'appareillage HTA installé en extérieur est rare dans les postes
sources, mais est fréquent en distribution rurale, avec en particulier des
interrupteurs installés en haut des pylônes électriques.
Figure 15:les constituants d'une cellule HT.

4. Description des différentes parties d’une cellule HT.
Figure 16:Description d'une cellule HT.
[1] Appareillages : sectionneur(s) et sectionneur(s) de terre et disjoncteur dans des

enveloppes remplies de SF6 et répondant au “système à pression scellé”.
[2] Jeu de barres : Il est fait en nappe permettant une extension à volonté des
tableaux et un raccordement à des matériels existants.
[3] Raccordement et appareillage : accessibilité par face avant, sur les bornes aval
du disjoncteur. Deux offres de disjoncteurs sont envisageables :
 SF1 : appareil associé à un relais électronique et à des capteurs standard
(avec ou sans source auxiliaire).
 SFset : ensemble autonome équipé d’une protection électronique et de
capteurs spécifiques (sans source auxiliaire).
[4] Commandes : comportent les éléments permettant de manœuvrer le(s)
sectionneur(s), le disjoncteur et le sectionneur de terre, ainsi que la signalisation
correspondante.
[5] Contrôle : pour l’installation de relayage de faible encombrement et de boîtes
à bornes d’essais. Un caisson complémentaire peut être ajouté si nécessaire à la
partie supérieure de la cellule.

5. Les applications industrielles des cellules HT.

Les cellules HT permettent de réaliser la partie MT des postes de transformation
MT/BT de distribution publique et des postes de livraison ou de répartition MT
jusqu’à 24 kV. En d’autres termes, les cellules HT permettent :
 De réaliser des postes de répartition industriels
 De réaliser un poste de transformation ou de livraison.
 De transformer, distribuer, compter l’énergie consommée et à protéger les
installations ou le réseau.
 De raccorder une installation Moyenne Tension au réseau de distribution.
6. Choix d’une cellule HT.
TableauSelon ladenorme
1:Tableau C cellule
choix d'une 13-100,HT. le choix des cellules HT dépend de l’intensité de
court-circuit qui est liée à la puissance de court-circuit équivalente en MVA
Si on cherche une cellule d’arrivée type IM en 20kV et une puissance de court-

circuit de 450 MVA on prendra : 1 cellule IM série 14 ou IM 400 – 24 – 14,5 :
avec IM : type de cellule (cellule interrupteur). 400 : Courant assigné (400A).
24 :tension assignée (24 kV pour une tension de service de 20 kV). 14,5 : courant
de courte durée admissible 14,5 kA eff 1s.
On retient que 3 questions se posent pour choisir les cellules d’un poste
HTA/BT :

 Quelle est la nature des cellules d’arrivée (simple dérivation, double

dérivation ou boucle) ?
 Quelle est la nature du comptage (comptage en BT ou en HTA) ?
 Quelle est la nature des départs (protection transformateurs, boucle, …) ?
6.1. Choix des cellules d’arrivées.
D’abord, il est important de savoir qu’il existe 3 modes d’alimentation poste
source/poste de distribution comme indiquée dans le tableau suivant:
Tableau 2:Les modes d’alimentation possibles avec les cellules.
Alimentation en antenne ou simple dérivation :

Chaque poste HTA / BT est alimenté à partir d’un
poste source par un seul câble. C’est le système le
moins efficace, pour la continuité de service. Il est
utilisé en réseau rural et tend à être remplacé par les
réseaux en coupure d’artère près des villes. En cas de
défaut, cela provoque la coupure de tous les abonnés
BT.
Alimentation en boucle ou coupure d’artère :
Chaque poste HTA / BT est alimenté à partir d’un

poste source par une boucle ouverte en un point (dit
point de coupure). Tous les appareils de coupure sont
fermés sauf un. C’est un système efficace, pour la
continuité de service. Il est utilisé dans les villes, en
souterrain en général. En cas de défaut, on isole le
défaut compris entre 2 postes et on alimente par les
2 extrémités de la boucle. Seul un problème sur le
poste source est pénalisant.
Alimentation en double dérivation :
Chaque poste HTA / BT est alimenté à partir de 2

postes source par 2 câbles distincts. On trouve des
interrupteurs sectionneurs à verrouillage à l’entrée de
chaque poste HTA / BT (alimentation par 1 ou
l’autre) C’est un système efficace, pour la continuité
de service. Il est utilisé en région parisienne et dans
les grandes villes mais coûte très cher. En cas de
défaut, sur un poste ou un câble on passe
automatiquement sur l’autre source.

Donc le choix d’une cellule dépend du mode d’alimentation et le tableau suivant

montre des exemples de choix de cellules d’arrivées en fonction du mode
d’alimentation.
Tableau 3: Choix des cellules d'arrivées.
Arrivée en antenne ou Arrivée en boucle ou Arrivée en double

simple dérivation : coupure d’artère : dérivation :
 1 cellule  2 cellules  1 cellule double
interrupteur. Par interrupteur. Par interrupteur avec
exemple 1 x IM exemple 2 x IM verrouillage. Par
en VM6 de chez en VM6 de chez exemple 2 x IM
Schneider. Schneider. avec verrouillage
A4 en VM6 de
chez Schneider.
6.2. Choix du comptage.
Pour livrer l’énergie aux abonnées, il est important de connaitre leur

consommation et de ce fait on privilégie le comptage BT qui est moins coûteux
en équipement mais il faut respecter les contraintes indiquées dans le tableau ci-
dessous :
Tableau 4:Choix des cellules de comptage.
Comptage BT : Comptage HTA :

 Si un seul  Si un seul  Si plusieurs
transformateur. transformateur transformateurs.
ET ET
 In au secondaire du  Transformateur
transformateur < 2000 de puissance
A (puissance maximum supérieure à
1250 kVA et I au 1250 kVA.
primaire de l’ordre de
45 A en 20 kV).
Le courant assigné de l’équipement HTA sera au
plus égal à 400A.

6.3. Choix des cellules départ.
Il y a deux possibilités comme choix au niveau des cellules de départ.

La nouvelle norme NF C13-100 impose une coupure des 3 phases (protection
contre la marche monophasée) dès qu’un fusible HT fond (absence d’une seule
phase) d’où l’utilisation généralisée de cellules QM (le percuteur du fusible HT
va faire ouvrir l’interrupteur sectionneur de la cellule et donc couper
l’alimentation). Par contre EDF considère que si un fusible fond on peut continuer
à alimenter certains clients (utilisation de cellules PM).
6.4. Organigramme de choix d’une cellule HT.

II. PRESENTATION DES EQUIPEMENTS ET LEUR UTILISATION.
1. La gamme PIX des cellules.

Ces cellules se trouvent généralement dans la partie HTA des postes sources
HTB/HTA ; Elles sont en aval des transformateurs HTB/HTA. Elles peuvent être
utilisées comme « arrivée » ou comme « départ » pour l’alimentation des quartiers
ou zones. Ces cellules peuvent être également utilisées pour le couplage dans les
zones d’interconnections sur le réseau. Ce sont des cellules de type « disjoncteur
débrochable ».Elles sont généralement de type AIS c’est à dire isolées dans l’air.
Schneider Electric en distingue un bon nombre dans son offre primaire tel que :
le PIX, le MCset, le GMA, le GHA et bien d’autres. Elles sont destinés à réaliser
la partie moyenne tension des postes HT/MT et des postes MT/MT de forte
puissance.
Schneider Electric a offert au GEE deux cellules de types PIX. Ainsi le fait que
les étudiants puissent l’exploiter est bénéfique pour l’INPHB car cela permet la
formation d’ingénieurs et de techniciens capables de relever des défis
internationaux. La figure suivante nous montre la constitution de la cellule PIX:
1.1Constitution du modèle PIX.
1 Armoire basse tension
2 Tiroir du disjoncteur HVX
3 Porte frontale avec plaque signalétique
4 Indicateur de position du sectionneur de terre
5 Système d'affichage de tension
6 Interface utilisateur du sectionneur de terre
7 Panneau boulonné du compartiment à câbles
8 Transformateur de tension (en option)
9 Compartiment de raccordement des câbles
10 Transformateur de courant
11 Sectionneur de terre "make-proof"
12 Volet
13 Compartiment de jeu de barres
14 Compartiment de disjoncteur
Figure 17: Les différentes parties d'une cellule PIX.

Les appareillages de la série PIX Haute Performance :

 Ont une enveloppe métallique continue, disponibilité au service selon CEI
62271-200 : LSC 2B-PM
 Sont homologués
 Sont essayés quant aux arcs de défaut (qualification IAC AFLR)
 Sont conçus pour l'installation à l'intérieur
Le degré de protection contre les corps étrangers et les contacts accidentels est
très appréciable d’après le tableau suivant :
Tableau 5:Tableau montrant le degré de protection des cellules contre les corps étrangers.
 Ils sont destinés à réaliser la partie moyenne tension des postes HT/MT et
des postes MT/MT de forte puissance.
 Le GEE dispose de deux PIX dont les caractéristiques sont données ci-
dessous :
Désignation : Cellule PIX avec disjoncteur HVX
Caractéristiques techniques : 24 KV, 1250 A.
1.2. Interface de l’opérateur.
1. Touche de déclenchement
(bascule "0")
2. Touche d'enclenchement
(bascule "I")
3. Plaque signalétique
4. Compteur de manœuvre
5. Indicateur de position du
disjoncteur
6. Indicateur de position de
l'accumulateur à ressort
7. Trou d'insertion pour tendre le
ressort d'enclenchement
Figure 18:Interface utilisateur d'une cellule PIX.

2. La gamme DNF7 FP 36 25 E - 1600 A – 36 KV.

L’inphb a reçu deux équipements de type DNF7 mais de caractéristiques
différentes et un de type DNF5 qui est antécédent du DNF7 dont la fabrication
s’est arrêtée. Le DNF est une cellule de type isolé dans l’air proposée dans l’offre
primaire de Schneider Electric. Cependant, elle est à la base fabriquée par GEC
Alsthom ou Alstom (entreprise rachetée par Schneider Electric). Les figures
suivantes montrent la constitution d’un DNF :
Figure 19:Schémas d'une cellule gamme DNF
1. Clapets d'évacuation des gaz 8. Tôles de fond avec bridage des câbles
2. Jeu de barres 9. Transformateurs de courant
3. Gaine d'évacuation des gaz (option arc interne)
11. Porte d'accès au compartiment disjoncteur
4. Dérivations du jeu de barres
5. Sectionneur de mise à la terre 12. Coffret basse tension
6. Compartiment transformateurs de tension 13. Gaine de filerie basse tension
7. Câbles moyenne tension
14. Poignée (option arc interne seulement)
15. Option montage cuvettes + tôles de fond avec
bridage des câbles

2.1Interface utilisateur.
Figure 20:Interface utilisateur cellule DNF. Figure 21: Description de l'interface
1. Poignée pour ouvrir la porte

2. Fenêtre d’insertion pour ouverture d’urgence du disjoncteur.
3. Fenêtre d’inspection
4. Glissière de verrouillage pour l’actionnement manuel de l’unité
débrochable
5. Ouverture d’insertion pour l’embrochage manuel de l’unit
débrochable
6. Insertion pour le sectionneur de terre

2.2. Procédures d’utilisation

La cellule DNF est constituée comme suit :
1. Compartiment de Basse Tension
2. Compartiment du jeu de barres
3. Compartiment des câbles
4. Compartiment du disjoncteur
5. Transformateur de courant
6. Rail profilé
7. Disjoncteur HVX-Vacuum
8. Douille
9. Jeu de barres
10.Volet de décompression du
disjoncteur
11.Volet de décompression pour le
compartiment jeu de barres
12.Volet de décompression pour le
compartiment câbles
13.Sectionneur de mise à la terre
Figure 22:Descripytion des composantes d'une cellule de type DNF.
Les cellules DNF7, appareillage utilisant des disjoncteurs sous vive ou SF6
peuvent être utilisé dans une large gamme d’applications : L’industrie, les services
publics, le pétrole, le gaz.
Ainsi les conditions ambiantes de services sont résumés dans comme suit :
Tableau 6:conditions ambiantes de service des DNF.
Conditions ambiantes selon CEI60694

Température ambiante
min/max 15/40 °c
valeur moyenne sur 24H (max) .35°C
Moyenne réelle humidité de
l'air 24H/mois 95/90%
altitude maximale
d'installation au-dessus du
niveau de la mer .1000 m

Tableau 7:Tableau des procédures d'utilisation.
Mode de fonctionnement de
Fonctionnement
Verrouillage l'interverouillage
l'unité debrochable ne peut pas être embrochée tant
que le connecteur basse tension n'est pas inséré et Mécanisme de verrouillage sur
Entre l'unité verrouillé. HVX.
débrochable et le connecteur Basse Tension ne peut être inséré ou Le verrouillage du connecteur
le connecteur retiré que lorsque l'unité débrochable est à sa Basse Tension si le coté
Basse tension. position de test. entrainement a été activé.
l'unité debrochable ne peut pas être embrochée tant
Entre l'unité que le sectionneur de mise à la terre du tableau de la manivelle mobile est
débrochable et distribution est fermé. désaccouplée automatiquement.
le sectionneur le sectionneur de mise à la terre ne peut pas être
de terre. actionné une fois que l'unité débrochable a quitté sa le feuillet ne peut pas être
position d'essai. ouvert.
Le disjoncteur ne peut pas être embroché ou
Entre
débranché pendant que le circuit disjoncteur est
disjoncteur et
fermé. Verrouillage du disjoncteur.
état de
le disjoncteur ne peut être utilisé que s'il est
fonctionnement
complètement dans sa position d'essai ou de le disjoncteur ne peut pas être
du disjoncteur.
service. ouvert ou fermé
Entre les portes la porte du compartiment de câbles ne peut pas être
et le ouverte lorsque le sectionneur de terre ou ouvert. le verrouillage sur l'arbre de
sectionneur de le sectionneur de mise à la terre ne peut pas être mise à la terre
terre. actionné lorsque la porte du compartiment de câble
est ouverte.
l'unité débrochable ne peut pas être montée en
position de service de la position de test une fois
Entre les portes que la porte du compartiment disjoncteur est
le mécanisme de verrouillage
et le ouverte.
sur la porte et le disjoncteur.
disjoncteur. la porte du compartiment du disjoncteur ne peut pas
être ouverte si le disjoncteur n'est pas débroché de
la position de test.
Source : Catalogue cellule HVX

3. Les cellules FBX
Figure 23: Vue éclatée.

Figure 24:Présentation d'une cellule FBX.
Les tableaux FBX sont destinés aux réseaux de distribution secondaires. Ils
permettent l’exploitation des réseaux et la protection des transformateurs
HTA/BT dans le domaine des postes d’abonnés, ainsi que des industries,
infrastructures et du tertiaire. Elles sont utilisées dans les postes de livraison HTA
pour la commande, le sectionnement, la protection, le comptage et bien d’autres
fonctions.
3.1. Codification
Il existe deux gammes de cellules FBX selon la codification. Elle peut être
compacte ou extensible. Prenons cet exemple :

3.2. Les fonctions des FPX.
3.3. Procédures d’utilisation

Manutention :
Le tableau FBX doit être transporté verticalement :
 Transport à l’aide d’un chariot élévateur : Ne transporter l’appareillage que
sur une palette.
 Transport sans palette : Une élingue de levage doit être accrochée aux
anneaux de levage de l’appareillage. L’angle avec l’élingue de levage doit
être d’au moins 45°.
 Transport d’un tableau : largeur maximale de l’unité de transport 1330 mm.

Stockage :
FBX doit être conditionné en fonction des exigences de la durée prévisionnelle de
son stockage. FBX doit être conservé dans son emballage d’origine intact. Le
local de stockage ne doit pas être soumis à des écarts de température brutaux et
importants.
Conditions normales de service :

4. Les autres équipements & le MiCOM P124.

Parmi les équipements reçus figurent :
 un lot de 3 pôles type FP 62 72
 un pôle pour disjoncteur FPX 3150A
 un relais MiCOM P124
Les relais MiCOM P124 offrent une protection complète et sûre pour des
applications où aucune alimentation auxiliaire n’est disponible ni ou fiable. Les
relais MiCOM P124 protègent efficacement les installations industrielles, les
postes de distribution publiques ou d’abonnés et peuvent être utilisés comme
protections principales ou de secours. Les deux modèles disponibles sont les
suivants :
 P124 Autonome
 P124 Double alimentation
4.1. Procédures d’utilisation du MiCOM P124.
Le modèle P124 autonome offre une solution simple et économique quand aucune
alimentation auxiliaire n’est disponible. Le P124 double alimentation permet, en
plus de ses fonctions de protection, et quand il est alimenté par une source
extérieure, la transmission d’informations d’enregistrements et de mesures, via la
communication, à un superviseur. En cas de défaillance d’alimentation auxiliaire,
les fonctions de protection et de déclenchement restent pleinement
opérationnelles. Ces deux variantes d’équipements MiCOM P124 prélèvent, à
partir de transformateurs de courant (TC) des lignes, l’énergie nécessaire à leur
fonctionnement. Les MiCOM P124 sont dotés de deux types de sorties de
déclenchement disjoncteur, complètement indépendantes d’une alimentation
auxiliaire extérieure :
 Une sortie à décharge capacitive capable de délivrer suffisamment
d’énergie à un percuteur libérant la commande mécanique du disjoncteur,
 Une sortie relais à contact inverseur capable d’envoyer un ordre
directement à la bobine du disjoncteur.
De manière à visualiser les défauts même en cas de perte d’alimentation, la face
avant de l’équipement comprend un voyant bistable électromagnétique pour
indiquer qu’un déclenchement s’est produit. Le modèle à double alimentation
offre en option quatre voyants électromagnétiques supplémentaires qui peuvent
être configurés par l’utilisateur. Selon le modèle, une ou plusieurs LED indiquent
le bon fonctionnement de l’équipement ainsi que d’autres informations liées à la
protection du réseau électrique.

4.1. Interface utilisateur du MiCOM P124.
Figure 25:Interface utilisateur du MiCOMP124.
En face avant des relais MiCOM P124, une LED Alimentation indique que
l’équipement est correctement alimenté par un courant de ligne suffisant. De plus,
pour le modèle à double alimentation, Trois autres LEDs indiquent l’état des
relais (Déclenchement, Alarme, Défaut équipement).
Figure 26:MiCOM P124 modèle autonome.

Figure 27 :MiCOM P124 modèle double alimentation:

III. ARCHITECTURES POSSIBLES À PARTIR DU MATÉRIEL OFFERT.

Nous allons proposer ici quelques combinaisons possibles le matériel reçu de
Schneider Electric dont la liste se trouve dans le tableau 6 ci-dessous :
Tableau 8:Liste du matériel offert à l'inphb.
Référence
Poste article Quantité Désignation
Disjoncteur DNF7 FP
36 25 E - 1600 A – 36
N°1 469 889/014 1 KV
Disjoncteur DNF7 FP
36 25 E - 800 A – 33
N°2 438 554/114 1 KV
Disjoncteur DNF5 -
N°3 468 957/101 1 1250 A – 12 KV
Disjoncteur VISAX
N°4 M85 007/002 1 BLV1 / 12.16.12
Caisse avec 3 pôles FP
N°5 467 744/001 1 62 72
1 Coffret BT M24+
(câblage avec relais
N°6 373 174/001 1 Micom P124)
1 Pôle pour Disjoncteur
N°7 M60 001/237 1 FPX 3150A
FBX— Cellule FBX
N°8 1127019/AMT 1 1127019/AMT
FBX—
Cellule FBX
N°9 1311064/AMT 1
Disjoncteur
FP 36 16 B
N°10 468 987/051 1 36KV - 630A
Disjoncteur FP 24 12 A
N°11 468 975/002 2 24KV – 400A
Disjoncteur FP 24 12 A
N°12 326 430/006 2 400 A – 24 KV
Disjoncteur FP 36 12 D
N°13 326 452/056 2 1200 A – 36 KV
Cellule PIX avec
disjoncteur HVX
N°14 326 452/056 2 24 KV, 1250A

1. Un poste source.
On a utilisé ici les deux cellules PIX, la DNF7 36 kV, la DNF7 33 kV, la DNF5
et la VISAX en configuration antenne.

2. Poste de distribution.
2.1. Configuration en antenne.
On utilise ici une cellule PIX, la cellule FBX CT1CT1, la cellule FBX CCCT1 en
configuration antenne Besoins techniques : Transformateurs didactiques et câbles.

2.1Configuration en boucle.
Les équipements utilisés sont : 2 cellules PIX, 1 cellule FBX CT1CT1 et 1 cellule
FBX CCCT1.

3. Les équipements de protection à utiliser.
Plusieurs mesures de protection sont nécessaires pour intervenir sur ces

équipements. Selon la norme NF C13-100, les accessoires de vérification de
signalisation et de mise hors tension sont obligatoires et la norme préconise un
équipement de poste composé de:
 Un tabouret ou un tapis isolant pour éviter tout contact avec la terre
 Une perche de sauvetage pour isoler l’intervenant en cas d’électrisation
 Un détecteur de tension pour vérifier la présence ou l’absence de tension
 Une paire de gants pour la protection des mains lors des manœuvres
 Un support à fusibles pour le rechange
 Un casque isolant pour la protection de la tête
 Un écran facial pour la protection des yeux
 Des bottes isolantes pour la protection des pieds et des jambes

CONCLUSION
L'énergie électrique est distribuée localement en HTA (15~20kV) selon plusieurs

schémas de distribution correspondants à diverses contraintes de continuité de
service et de coût. Selon la puissance de l'installation, plusieurs types de livraison
HT ou BT sont possibles avec des contrats tarifaires adaptés. Ces schémas de
distribution sont réalisés au moyen de cellules HTA utilisant une technologie
spécifique et assurant outre le raccordement, le sectionnement, la protection et le
comptage de l'énergie. Etant donné que l’ergonomie vise à offrir aux opérateurs
la possibilité d'ajuster leur poste de travail selon leurs caractéristiques
morphologiques, les tâches à réaliser et le produit ou l'équipement à réparer ou à
assembler. Il paraît alors important de l’appliquer dans la conception d’un poste
de travail qui dans notre cas est une salle didactique dédiée à des travaux
pratiques. Pour ce faire nous avons d’abord effectué l’étude ergonomique du
projet, ensuite nous avons étudié chaque équipement pour trouver les architectures
possibles et enfin nous avons proposé l’implantation optimale du matériel reçu.
Cependant ce projet peut être amélioré avec un dimensionnement de l’éclairage
ou une régulation de la température dans les salles dédiées aux travaux pratiques.

BIBLIOGRAPHIE
[1]. Cellules modulaires, SM6 Merlin Gerin 24KV, Catalogue 2003, (Page 1
à 82).
[2]. Distribution de l'énergie, Réseaux de distribution, PATRICK JACOB,
V1.6 AC-Aix-Marseille, (Page 1 à 26).
[3]. Ergonomie et Aménagement des postes de travail, Commission
Universitaire de Sécurité et Santé au Travail Romande, Version 1, 2005.
(Page 1 à 58).
[4]. Guide de distribution de l’installation électrique Schneider Electric
édition 2003. (Page 1 à 14).
[5]. 19-Réseaux HTA – Transformateurs HTA/BTA – Gestion de l’énergie,
CNED, Chapitre 19. (Page 1 à 30).
[6] Le Guide Memo Tech-Electrotechnique, (Page 450-500).
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 IX

WEBOGRAPHIE
[1]. Cours en electricité (Page Consultée le 15/04/2021 à 15h), [en ligne], URL :
[PDF] Cours en electricite haute tension | Cours electricite (cours-gratuit.com).
[2]. Histoire et Géographie (Page Consultée le 18/04/2021 à 15h.), [en ligne],
URL : II. Histoire et géographie | Cairn.info.
[3]. Aménagement des postes de travail (page Consultée le 18/04/2021 à 23h), [en
ligne], URL : Qu’est-ce que l’ergonomie ? - Aménagement des espaces de travail
tertiaires (preventica.com)..
[4]. Cellules FPX (Page Consultée le 10/05/2021 à 23h.), [En ligne], URL : FPX
| Schneider Electric Afrique francophone (se.com).
[5].Cellules PIX (Page Consultée le 10/05/2021 à 23h), [En ligne], URL : PIX |
Schneider Electric Global (se.com).
[6].Distribution de l’énergie (Page Consultée le 10/05/2021 à 23h), [En ligne],

URL : Distribution HTA - Cellules HTA (ac-rouen.fr).
[7]. Protection du transformateur (Page consultée le 10/05/2021 à 23h), [En ligne],

URL : Choix de la cellule de protection du transformateur MT/BT — Guide de
l'Installation Electrique (electrical-installation.org).
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 X

ANNEXES
ANNEXE 1 : Du transport à la distribution de l’énergie.
INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 XI

ANNEXE 2 : Liste du matériel offert par Schneider Electric.

SAP
n°1 469 889/014 1 Disjoncteur (Neuf) FR 5/15
DNF7 FP 36 25 E -
1600 A – 36 KV

DNF7 FP 36 25 E -
800 A – 33 KV

DNF5 - 1250 A – 12
KV
n°4 M85 007/002 1 Disjoncteur FR 13/15

VISAX BLV1 /
12.16.12
n°5 467 744/001 1 Caisse avec 3 pôles FR 14/15

FP 62 72
n°6 373 174/001 1 1 Coffret BT M24+ (câblage FR 14/15

avec
relais Micom P124)
n°7 M60 001/237 1 1 Pôle pour FR 14/15

Disjoncteur FPX
3150A
n°8 FBX— 1 Cellule FR 3/15

1127019/AMT FBX 1127019/AMT
n°9 FBX— 1 Cellule FBX FR 4/15

1311064/AMT
n°10 468 987/051 1 Disjoncteur FP FR 11/15

36 16 B
36KV - 630A
n°11 468 975/002 2 Disjoncteur FR 15/15

(Neuf)
FP 24 12 A
24KV – 400A
n°12 326 430/006 2 Disjoncteur FR 9/15

(Neuf) 10/15
FP 24 12 A
400 A – 24 KV
2 FR
I
7/15
n°13 326 452/056 Disjoncteur
(Neuf) 8/15
FP 36 12 D
ANNEXE 3 : Quelques images des plaques signalétiques des équipements.
-n°1-
Disjoncteur (Neuf) Référence :
DNF7 FP 36 25 E - 469 889/014
1600 A – 36 KV
-n°2-
DNF7 FP 36 25 E - 438 554/114
800 A – 33 KV
-n°3-
DNF5 - 1250 A – 468 957/101
12 KV
-n°4-
Disjoncteur Référence :
VISAX BLV1 / M85 007/002
12.16.12
-n°5-
Caisse avec 3 pôles Référence :
FP 62 72 467 744/001
-n°6-
1 Coffret BT M24+ Référence :
(câblage avec 373 174/001
relais Micom P124)
-n°7-
1 Pôle pour Référence :
Disjoncteur FPX M60 001/237
3150A
-n°8-
INPHB-ESI/SORO
Cellule FOUNGNIGUE/TS-EAI3
Référence : PROMOTION 2021 XI
FBX 1127019/AMT FBX—1127019/AMT II
TABLE DES MATIRES
DEDICACE ............................................................................................................ I
REMERCIEMENTS ............................................................................................ II
AVANT-PROPOS............................................................................................... III
SOMMAIRE ....................................................................................................... IV
LISTE DES FIGURES ........................................................................................ VI
LISTE DES TABLEAUX ................................................................................. VII
RESUME .......................................................................................................... VIII
INTRODUCTION ................................................................................................. 1
PARTIE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DU THEME. .............. 2
I. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL ......................... 3
1. Historique de l’INP-HB ......................................................................... 3
2. Présentation du DFR GEE ..................................................................... 3
2.1 Structure et organigramme du DFR-GEE ....................................... 4
2.2 Organigramme du DFR-GEE. ......................................................... 4
II. PRESENTATION DU THEME ............................................................... 5
1. Contexte de l’étude. ............................................................................... 5
2. Les objectifs pédagogiques du thème. ................................................... 5
3. L’intérêt de cette étude. ......................................................................... 5
4. Cahier des charges. ................................................................................ 6
5. Les contraintes liées à notre étude. ........................................................ 6
PARTIE II : ETUDE ERGONOMIQUE DU PROJET. .................................... 7
1. Généralités sur l’ergonomie .................................................................. 8
2. Le but de l’ergonomie............................................................................ 9
3. La roue de l’ergonomie.......................................................................... 9
4. Les facteurs de l’ergonomie ................................................................ 11
5. Aménagement d’un poste de travail. ................................................... 15
6. Les différentes normes sur l’ergonomie. ............................................. 16

V
7. Espace de mouvement de l’homme dans les différentes situations de

travail en cm. .............................................................................................. 16
8. Le facteur éclairage ............................................................................. 17
8.1. Qualité de l’éclairage .................................................................... 17
9. Application du concept de l’ergonomie au projet. .............................. 19
9.1. Les facteurs pris en compte. .......................................................... 19
9.2. L’implantation du matériel ............................................................ 20
PARTIE III : PRESENTATION DES EQUIPEMENTS HT ET MISE EN
PLACE DES PROCEDURES D’UTILISATION. ............................................. 23
I. PRESENTATION DE L’APPAREILLAGE HT. .................................. 24
1. Liste du matériel reçu (Don de Schneider Electric). ........................... 24
2. Définition d’une cellule HT................................................................. 25
3. Les différentes parties d’une cellule HT. ............................................ 26
4. Description des différentes parties d’une cellule HT. ......................... 27
5. Les applications industrielles des cellules HT. ................................... 28
6. Choix d’une cellule HT. ...................................................................... 28
6.1. Choix des cellules d’arrivées. ....................................................... 29
6.2. Choix du comptage.......................................................................... 30
6.3. Choix des cellules départ.................................................................. 31
II. PRESENTATION DES EQUIPEMENTS ET LEUR UTILISATION. . 32
1. La gamme PIX des cellules. ................................................................ 32
1.1 Constitution du modèle PIX. ......................................................... 32
1.2 . Interface de l’opérateur. .............................................................. 33
2. La gamme DNF7 FP 36 25 E - 1600 A – 36 KV. ............................... 34
2.1 Interface utilisateur. ....................................................................... 35
2.2 . Procédures d’utilisation ............................................................... 36
3. Les cellules FBX ................................................................................. 38
3.1. Codification ...................................................................................... 38
3.2. Les fonctions des FPX...................................................................... 39
3.3. Procédures d’utilisation .................................................................... 39
4. Les autres équipements & le MiCOM P124. ...................................... 41

V
4.1. Procédures d’utilisation du MiCOM P124.................................... 41

4.1. Interface utilisateur du MiCOM P124.............................................. 42
III. ARCHITECTURES POSSIBLES À PARTIR DU MATÉRIEL
OFFERT. .......................................................................................................... 43
1. Un poste source. .................................................................................. 44
2. Poste de distribution. ........................................................................... 45
2.1 . Configuration en antenne. ........................................................... 45
2.1 Configuration en boucle. ............................................................... 46
3. Les équipements de protection à utiliser. ............................................ 47
CONCLUSION ................................................................................................... 48
BIBLIOGRAPHIE .............................................................................................. IX
WEBOGRAPHIE ................................................................................................. X
ANNEXES .......................................................................................................... XI
ANNEXE 1 : Du transport à la distribution de l’énergie. ........................... XI
ANNEXE 2 : Liste du matériel offert par Schneider Electric. ................. XII
ANNEXE 3 : Quelques images des plaques signalétiques des équipements.
.................................................................................................................. XIII
TABLE DES MATIRES .................................................................................. XIV

VI

Rapport Reel

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Ministère de l’Industrie

N° d’ordre : 18INP01025/2021/INPHB/ESI/TS EAI3

Devant le jury composé de :

ANNEE ACADEMIQUE : 2020-2021

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 I

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 II

La connaissance et la formation constituent des piliers du développement, du

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 III

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 IV

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 V

LISTE DES FIGURES

Figure 1:La roue de l'ergonomie. ........................................................................ 10

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 VI

LISTE DES TABLEAUX

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 VI

L'ergonomie est l'étude scientifique des conditions de travail, particulièrement des

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 VI

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 1

PARTIE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DU THEME.

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 2

I. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL

2. Présentation du DFR GEE

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 3

2.1 Structure et organigramme du DFR-GEE

Le DFR-GEE comporte quatre sections (Sections Electronique, Section

2.2 Organigramme du DFR-GEE.

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 4

II. PRESENTATION DU THEME

2. Les objectifs pédagogiques du thème.

3. L’intérêt de cette étude.

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 5

4. Cahier des charges.

5. Les contraintes liées à notre étude.

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 6

PARTIE II : ETUDE ERGONOMIQUE DU PROJET.

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 7

1. Généralités sur l’ergonomie

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 8

Des postes et des processus de travail ergonomiques sont indispensables au bien-

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 9

Figure 1:La roue de l'ergonomie.

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 10

4. Les facteurs de l’ergonomie

L’ergonomie, au sens de l’adaptation de la technologie aux besoins de l’opérateur,

L’homme : premier facteur de l’ergonomie.

Figure 2: Les caractéristiques modifiables et non modifiables de l'ergonomie.

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 11

Le poste du travail :deuxième facteur

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 12

disponibilité immédiate des éléments suivants: aides de levage, moyens de

 La marge de responsabilité et de décision

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 13

 Les modes opératoires et les moyens de travail

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 14

Le climat est déterminé par la température de l’air, son déplacement et son

INPHB-ESI/SORO FOUNGNIGUE/TS-EAI3 PROMOTION 2021 15

6. Les différentes normes sur l’ergonomie.

7. Espace de mouvement de l’homme dans les différentes situations de travail