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Chapitre

1 Fonction exponentielle

1.  Page d’ouverture 4 a) Pour tout x > 0,


1
f ¢( x )  2 ¥ x  ¥ (2 x - 1)
• Énigme ✱ 2 x
Pour tout nombre entier n, Pn est la puissance d’un disque 2x - 1
f ¢( x )  2 x 
dur en janvier de l’année de rang n sachant qu’en 2011 2 x
P0 = 4 To. 4x 2x - 1
2 f ¢( x )  
On a Pn = 2 3 P0.
n
2 x 2 x
Pour 2014, n = 3 P3 = 4 P0 = 16 To 6x - 1
f ¢( x ) 
Pour 2023, le rang est 12 P12 = 28 × P0 = 256 × 4 To 2 x
P12 = 1 024 To - 3( x  1) - 1 ¥ (1 - 3 x )
b)  g ¢( x ) 
( x  1)2
Énigme ✱✱ - 3x - 3 - 1  3x
g ¢( x ) 
Remboursement sur 1 an :  1 
100
2E ( x  1)2
100 -4
2 g ¢( x ) 
Ê 50 ˆ ( x  1)2
Remboursement tous les 6 mois :  Á1   2,25 E
Ë 100 ˜¯ c)  h ¢( x )  -
2

1

( x - 1) 2 2
Remboursement tous les n-ième de l’année :
( x - 1)2 - 4
h ¢( x ) 
n
Ê 100 ˆ
Á ˜ Ê
n 2( x - 1)2
n 1ˆ
ÁË1  ˜  Á1  ˜ . ( x - 1 - 2)( x - 1  2)
100 ¯ Ë n¯ n h ¢( x ) 
Ê 1ˆ 2( x - 1)2
u est la suite définie sur * par un  Á1  ˜ .
Ë n¯ ( x - 3)( x  1)
h ¢( x ) 
On saisit u dans la calculatrice afin d’obtenir un tableau 2( x - 1)2
de valeurs de la suite.
Sur un écran calculatrice, il semble que la banque ne 5 f est dérivable sur , et
puisse pas récupérer en un an, 3 E. f ¢( x )  10 x - 3
f ¢(2)  17
f (2) = 16
2.  Vérifier les acquis T : y  f ¢(2)( x - 2)  f (2)
1 Réponse a : f est dérivable en 1 et le nombre dérivé T : y  17 x - 18
de f en 1 est – 1.
6 a) f est une fonction dérivable sur I.
2 f ¢(1) est égal au coefficient directeur de la tan- Si la dérivée est positive sur I, alors la fonction f est
2 croissante sur I.
gente T. f ¢(1) 
3 Si la dérivée est négative sur I, alors la fonction f est
décroissante sur I.
3 1. a) x a 2 x
Si la dérivée est nulle pour toutes valeurs de I alors la
1
b) x a - 2 (avec x ≠ 0) fonction f est constante sur I.
x
b) g est dérivable sur .
c)  x a 3 x 2 g ¢( x )  6 x 2 - 6 x
d) x a
1
(avec x > 0) g ¢( x )  6 x( x - 1)
2 x
© Nathan. Hyperbole Term S

x –∞ 0 1 +∞
2. a) f ¢( x )  6 x 2 - 5
g¢ + 0 – 0 +
1
b) g ¢( x )  1  2 1
x g 0
3
c) h ¢( x )  pour x > 0
2 x
5
3.  Activités d’approche 1
g(0) = 3 f(0) = 3 ¥ = 1
3
• Activité 1 uuur ur
g(0) = 1
g est donc dérivable sur  telle que g¢ = g et g(0) = 1
1 a) NON Pour a = 1, MH uuur = i ur Pour tout x ∈, g(x) = exp(x)
Pour a = 2, MH = 1, 5 i uuur ur 1 1
donc f ( x ) = g( x ) = exp( x )
b) f(x) = (x + 1)3 : NON Pour a = 0,5, MH = 0, 5 i 3 3
1
f ( x)  2  NON 5 a) f est dérivable sur 
x 1 ur
Pour a = – 1,  MH = i f ( x )  exp( x )  exp(– x )
ur
Pour a = – 0,5,  MH = 1, 25 i f ¢( x )  exp( x ) - exp( - x )
2 a) Pour tout réel a, tel que f ¢(a) ≠ 0 De même, g est dérivable sur .
M = Ta ∩ (Ox) ⇔ M(xM ; O) g’(x) exp( x )  exp( - x )
Ta a pour équation y = f ¢(a) (x – a) + f(a) b) f ( x )  exp( x )  exp( - x )
f ¢(a) (xM – a) + f(a) = 0 1 exp( x )2  1
f ( x )  exp( x )  
f (a) exp( x ) exp( x )
xn – a = –   f ¢(a) ≠ 0 2
f ¢( a ) Èexp( x )˘˚ - 1 (exp( x ) - 1)(exp( x )  1))
f (a) g( x )  Î 
xn = a – exp( x ) exp( x )
f ¢( a )
uuur ur f 2 ( x ) - g2 ( x )
b) (1) : MH  i € xH – xM  1 2 2
 ÎÈexp( x )  exp( - x )˘˚ - ÈÎexp( x ) - exp( - x )˘˚
f (a)
€a–a  1 avec f ¢( a )  0  exp( x )  2 exp( x )exp( - x )  exp( - x )
2 2
f ¢( a )
- exp( x )  2 exp( x )exp( - x ) - exp( - x )  4
uuur ur 2 2
MH  i € f ( a )  f ¢( a )
c) On saisit le point de coordonnées (a ; xuuur )
MH 6 A=
 exp(2x – 1) ¥ exp(3 – 2x) = exp(2x – 1 + 3 – 2x)
P décrit la droite d’équation y = 1
= exp(2)
• Activité 2 9 a) e 6 x  3( -6 x )  e3
a) m(x) = u(x) ¥ v(x) b) 1  e -2 x
avec u(x) = exp(x) et v(x) = exp(– x) = u(– x) dérivables sur c) e 4 x - 2 x -1  e2 x -1
 (activité 1 et cadre info).
10 a) (ex)5 ¥ e–2x = e5x ¥ e–2x = e5x – 2x = e3x
Pour tout réel x, u¢(x) = u(x) = exp(x) et
e2 x + 3
v¢(x) = – u¢(x) = – u(– x) = – exp(– x) b)  2 x –1 = e2x+3 – (2x–1) = e2x+3 – 2x+1 = e4
e
m¢(x) = u¢(x) v(x) + u(x) v¢(x) e x + e– x
= exp(x) exp(– x) + exp(x) [– exp(– x)] c)  = (ex + e–x) ¥ ex = ex ¥ ex + e–x ¥ ex = ex+x + e–x+x
e– x
m¢(x) = 0 = e2x + e0 = e2x + 1
b) Pour tout réel x, m(x) = k constante réelle libre et
e2 x – 1
m(0) = exp(0) ¥ exp(0) = 1 = k, d’où k = 1
1– e –2 x 2x
Pour tout réel x, m(x) = 1. 11 e x ¥  e x ¥ ex
1  e– x e 1
c) Pour tout réel x,
ex
exp(x) exp(– x) = 1 ≠ 0 ⇔ exp(x) ≠ 0 e x –1
2 ex e2 x – 1
 ex ¥ x
¥ x  x
e 2 e 1 e 1

4.  Pour s’exercer e x - 1 e- x 1 - e- x


12 a)  ¥ -x 
3 a) f est dérivable sur  donc g l’est aussi et ex  1 e 1  e- x
1 1 e2 x ex - 1
g ¢( x )  f ¢( x )  f ( x )  g( x ) b) e - x - e -2 x ¥ 2 x  2 x
2 2 e e
1 1
g( 0)  f ( 0)  ¥ 2  1
2 2 e2 x – 1
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13 Pour tout réel x,  f (2 x ) 


b) D’après le a), g( x ) = exp( x ) e2 x  1
c) f ( x ) = 2 g( x ) = 2exp( x ) x
e –1 ex – 1
2 x 2 x
2f ( x ) e 1  e 1
4 On pose g la fonction définie sur  par g(x) = 3 f(x) 
1  [f ( x )]2 Ê e x – 1ˆ
2 ( e x – 1)2
g est dérivable sur  et pour tout x ∈ : 1 Á x 1 x
˜ ( e  1)2
g¢(x) = 3 f ¢(x) = 3 f(x) = g(x) Ë e  1¯

6
2( e x – 1) ¥ ( e x  1) 2[( e x )2 – 1] 21 f(x) = ex + e–x est dérivable comme une somme de
 x x
 deux fonctions dérivables sur .
( e  1)  ( e – 1)
2 2
e2 x  2 e x  1  e2 x – 2 e x  1
e -1
2 x Pour tout réel x,  f ¢(x) = ex – e–x.
 2x  f (2 x ) f ¢(0) = 1 – 1 = 0  et  f(0) = 1 + 1.
e 1
Une équation de la tangente à la courbe de f est y = 2.
( e x )2 – 2e x  1 ( e x – 1)2
14 e x – 2  e – x   0
ex ex 24 Pour tout réel x :
15 a) f ¢( x )  - 5e -5 x  4
b) g ¢( x )  4 e 4 x - 3
c) h ¢( x )  - 6 xe -3 x
2

d) k ¢( x )  (2 x - 3)e x - 3 x
2

18 a) Pour tout réel x, 25 a) x est un nombre réel, f ( x ) et g( x ) sont strictement


f ¢( x )  - e - x  0. Donc f est une fonction décroissante positives
f ( x)
sur .  1 équivaut à e x  1 soit x  0
b) • lim - x   et lim e X    g( x )
x Æ- X Æ f est en dessous de g sur ]– ∞ ; 0 [ et au-dessus sur
Donc lim e - x   ]0 ; + ∞[
x Æ-
• lim - x  - et lim e X  0 b) x est un nombre réel, f ( x ) et h( x ) sont strictement
x Æ X Æ-
positives
Donc lim e - x  0 f ( x)
 1 équivaut à e x - 2 x  1, x( x - 2)  0
2
x Æ
c)  h( x )
x –∞ +∞ f est en dessous de g sur ]0 ; 2[ et au-dessus sur ]– ∞ ; 0[
+∞ et sur ]2 ; + ∞[.
f(x) 0

d) 
5.  Accompagnement personnalisé
26 1.  6

4 y  ex
Les courbes de la fonction exponentielle et de g sont 3
symétriques par rapport à l’axe des ordonnées.
2
19 a) 
1

–4 –3 –2 –1 O 1 2 3
–1
b) La courbe de g admet pour axe de symétrie l’axe des
ordonnées. 2. a) x  1 Æ ex  e
c) Pour tout réel x,  g(– x) = e–x + ex = g(x) b) x  1 Æ ex  e
c) Pour tout nombre réel x  0, ex  1.
20 1. f est dérivable sur 
d) ex – 1  0 ⇔ ex  1 ⇔ x  0.
f ¢( x )  - e - x
a) T0¢ : y  f ¢( x )( x - 0)  f ( 0)
27 a) f est au-dessus de T0 sur .
T0¢ : y  - x  1
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b) Pour tout nombre réel x, f ¢(x) = ex – 1


b) T1¢ : y  - e -1( x - 1)  e -1
ex – 1  0 ⇔ ex  1 ⇔ x  0
T1¢ : y  - e -1x  2e -1 Donc f est croissante sur [0 ; + ∞[ et décroissante sur
2. T0¢ et T0 sont perpendiculaires comme le sont T1¢ et T1 ]– ∞ ; 0].
T0 : y  x - 1 et T1 = yex donc 1 ¥ - 1  - 1 et f admet donc un minimum f(0) = e0 – 1 = 0.
- e -1 ¥ e  - 1 Pour tout réel x, f(x)  0 ⇔ ex  x + 1.
7
28 g( 0) 1
b) h( 0) = = = 1, d’où h(0) = 1
Fonction Fonction Fonction f ( 0) 1
Propriété g( x )
x  ex x  e–kx x  e–kx Pour tout réel x, h( x ) = 1 = , d’où g(x) = f(x)
2

0 a pour image 1 OUI OUI OUI f ( x)


Fonction croissante OUI NON NON Ce qui prouve l’unicité de f.
Fonction décroissante NON OUI NON
35 1. T(0) = 55 exp (0) + 45.  T(0) = 100 °C.
Axe de symétrie NON NON OUI
2. a) T est une fonction dérivable sur  car exp est une
Somme en produit OUI OUI NON
fonction dérivable sur .
1
T(t) = 55 exp(at + b) + 45 avec a = – et b = 0.
1 5
29 1. a) e –a = b) ea ¥ eb = ea+b Pour tout réel t, T¢(t) = 55 a exp(at + b)
ea
ea Ê 1ˆ Ê 1 ˆ
c)  = e a – b d) (ea)n = ean T¢(t) = 55 ¥ Á – ˜ exp Á – t˜
eb Ë 5¯ Ë 5 ¯
2. (ex+2)2 ¥ e–4x = e2x+4 ¥ e–4x = e2x+4–4x = e–2x+4 Ê 1 ˆ
Zoé ne connaît pas la propriétét algébrique 4 de la T¢(t) = – 11 expÁ – t˜ est la vitesse de refroidissement.
Ë 5 ¯
question 1.
Ê 1 ˆ
45 – T(t) = – 55 expÁ – t˜
Ë 5 ¯
45 – T(t) = 5 T¢(t)
1
6.  Exercices d’application T¢(t) = 45 – T(t )
5
30 a) Comme f est une fonction dérivable sur , la 1
b) Le coefficient de proportionnalité est .
fonction g = – 2f est dérivable sur . 5
Pour tout réel x, g¢(x) = – 2f ¢(x) 3. T(5) = 55 exp(– 1) + 45, d’où  T(5) = 65 °C.
Comme f ¢(x) = f(x), g¢(x) = – 2f(x)
36 1. q(0) = A exp(0) = A = 3,84 ¥ 10–5.
g¢(x) = g(x), donc g¢ = g.
2. a) Coefficient directeur de T passant par A (0 ; 3,84 ¥ 10–5)
Ê 1ˆ
b) g(0) = – 2 f(0) = – 2 ¥ Á – ˜ = 1. et B (8 ¥ 10–4 ; 0)
g(0) = 1 et g¢ = g
Ë 2¯ y – yB 3, 84 ¥ 10–5
a= A    a   – 0, 048
Il existe une unique fonction g telle que, xA – xB – 8 ¥ 10–4
pour tout réel x,  g(x) = exp(x). b) q(t) est dérivable sur [0 ; + ∞[ et pour tout t ∈ [0 ; + ∞[ :
1 1 A Ê- tˆ
c) Pour tout réel x,  f(x) = – g(x), d’où f(x) = – exp(x) q ¢(t )  - exp Á ˜
2 2 t Ë t ¯
1 c) q¢(0) = a = – 0,048
31 Comme h = f avec f dérivable sur , alors h est A
5 –  – 0, 048 = – 0,048
dérivable sur  tel que h¢ = h et h(0) = 1, donc pour tout t
A 3, 84 ¥ 10–5
réel x, h¢(x) = exp(x). Donc f = 5 exp. t   8 ¥ 10–4
0, 048 0, 048
1 Constante de temps : τ = 8 ¥ 10–4
32 h = – f dérivable sur  telle que : t 8 ¥ 10–4
4 τ = RC ⇔ R    500 W
1 1 C 1, 6 ¥ 10–4
h( 0)  – f ( 0)  – ¥ (– 4 )  1 et h¢ = h,
4 4 Résistance ohmique : R = 500 W
donc h = exp et f = – 4 exp. Ê t ˆ
3. i(t) = – 0,048 expÁ – .  i(0) = – 0,048.
Ë 8 ¥ 10–4 ˜¯
1
33 h = f dérivable sur  telle que : 37 1. x(0) = – 4
3
1 1 2. a) Comme exp est une fonction dérivable sur , alors
h( 0)  f ( 0)  ¥ 3  1 et h¢ = h,
3 3 x(t) est une fonction dérivable sur [0 ; + ∞[.
donc h = exp et f = 3 exp. Pour tout réel t ∈ [0 ; + ∞[ :
x¢(t) = u¢(t) v(t) + u(t) v¢(t)
g x¢(t) = 0,4 exp(ct) + (0,4 t – 4) ¥ c ¥ exp(ct)
© Nathan. Hyperbole Term S

34 a) h = est dérivable sur  comme le quotient de


f b) x¢(0) = 0 ⇔ 0,4 – 4 c = 0
deux fonctions dérivables sur  avec f ≠ 0 sur . 4 c = 0,4
Pour tout réel x, c = 0,1
g ¢( x )f ( x ) – g( x )f ¢( x ) g( x )f ( x ) – g( x )f ( x )
h ¢( x )   0 c) x(t) = (0,4 t – 4) exp(0,1 t)
f 2 ( x) f 2 ( x)
3. x(t) = 0 ⇔
 (0,4 t – 4) exp(– 0,1 t) = 0
h(x) = k avec k constante réelle libre
⇔ 0,4 t – 4 = 0 ⇔ t = 10 s.
8
38 A = e5a+1 ¥ (e–a)5 = e5a+1 ¥ e–5a = e1  1¸
1 S  Ì– ˝
B  a  3 ( e – a )2 ¥ e3a 1  e – a – 3 ¥ e –2 a ¥ e3a 1 = e–2 Ó 4˛
e
d) e = ex+1 ⇔ x2 = x + 1 ⇔ x2 – x – 1 = 0
x 2

C = e0 ¥ e3a ¥ e2–3a ¥ e = e3a+2–3a+1 = e3


D=1+4=5
39 a) Pour tout réel x, 1– 5 1 5
x1  et x2 
(ex – 1)(ex – 4) = (ex)2 – 4 ex – ex + 4 = e2x – 5 ex + 4 2 2
b) Pour tout réel x, 1 – 5 1  5 ¸
(ex + e–x)2 – (ex – e–x)2 SÌ ; ˝
Ó 2 2 ˛
= (ex + e–x + ex – e–x)(ex + e–x – ex + e–x)
e) e x = e–x–1 ⇔ x2 = – x – 1 ⇔ x2 + x + 1 = 0
2
= 2ex ¥ 2e–x = 4e0 = 4
c) Vrai, e–x(e2x – 1) = ex – e–x D = – 3  0  Pas de solution
f) (ex)2 – 2ex + 1 = 0 ⇔
 (ex – 1)2 = 0 ⇔ ex – 1 = 0
e( x 1) ⇔ ex = 1 = ex ⇔ x = 0
2

40 a) Pourt tout réel x,  2  e


( x 1)2 –( x –1)2  e 4 x
e( x –1) S = {0}
b) Pour tout réel x,
2 3e x – 2
3e – 2 x – 2 e – 3 x = 3e – 2 x – = 46 a)  e2x  1 = e0 b)  ex  e1 c)  ex  e–x
e3 x e3 x
2x  0 x  1 x  – x
x  0 S = ]1 ; + ∞[ 2x  0
41 Pour tout réel x,
exp(2 x  1)2 – exp(– 2 x )
S = ]– ∞ ; 0] S = ]– ∞ ; 0]
exp(5 x )
d) e – x  ex ⇔ – x2  x ⇔ x2 + x  0 ⇔ x(x + 1)  0
2

 
 exp(2 x  1) – exp(– x ) ¥ exp(–5 x )
2 2

 ÎÈexp(2 x  1) – exp(– x )˘˚ ÎÈexp(2 x  1)  exp(– x )˘˚ x –∞ –1 0 +∞


x2 + x + 0 – 0 +
¥ exp(– x )
5
 
D’après le tableau de signes de x2 + x :
  0
2
x x
¥2 x2 + x  0 sur ]– ∞ ; 1] ∪ [0 ; + ∞[
42 1. Pour tout réel x, e x  e2  e2
S = ]– ∞ ; 1] ∪ [0 ; + ∞[
2. a) 
e) (ex + 1)(e–3x – 1)  0 ⇔ e–3x – 1  0
x –∞ 1 +∞ ex + 1  0 sur  ⇔ e–3x  1 = e0 ⇔ – 3 x  0 ⇔ x  0
f(x) – 0 + S = ]– ∞ ; 0[
2 2
b)  Ê 1ˆ Ê 1ˆ
x –∞ 1 +∞ f) (ex)2  Á ˜ ⇔ (ex)2 – Á ˜  0
Ë e¯ Ë e¯
(x – 1) – 0 + Ê x 1ˆ Ê x 1ˆ
⇔ Áe – ˜ Áe  ˜  0
ex + + Ë e¯ Ë e¯
f(x) – 0 + ⇔ e – e  0 ⇔ ex  e–1 ⇔ x  – 1
x –1

S = ]– ∞ ; – 1]
43 a) Pour tout nombre réel x, ex + 2  0 est vrai.
b) Pour tout nombre réel x, 1
2 2 2 2 47 a) e x –  0 ⇔ e2x – 1  0 ⇔ e2x  1 ⇔ 2x  0
f (– x )  f ( x )  – x    ex
e  1 ex  1 1  ex ex  1 ⇔x0
ex b) e3– x  – e2  0 ⇔ e6–2x  e2 ⇔ 6 – 2x  2 ⇔ x  2
2

2e x 2 2e  2 2( e x  1)
x
 x
 x   2
1 e e  1 1 ex 1 ex
c) La courbe de f admet le point (0 ; 1) comme centre 48 a) Il semble que :
5
de symétrie. f(x)  0 sur ]– ∞ ; – ] ∪ [4 ; + ∞[
2
5
ex  x
2
f(x)  0 sur [–  ; 4]
 e x . Faux.
2
44 a)  2
ex
b) f(x) = ex e x – x –12 – 1  0 ⇔ e x – x –12 – 1  0
2 2
e x 1 e x 1 1
© Nathan. Hyperbole Term S

b)  x2 1  x 1 x  x . Faux. ⇔ e x – x –12  1 = e0 ⇔ x2 – x – 12  0


2
e – e e (e – e ) e – e– x
– x
ex  0 sur 
45 a) e–2x = 0  Pas de solution x –∞ –3 4 +∞
b) ex+1 = 1 = ex ⇔ x + 1 = 0 ⇔ x = – 1  S = {– 1} x2 – x – 12 + 0 – 0 +
1
c) e–3x = ex+1 ⇔ – 3x = x + 1 ⇔ 4x = – 1 ⇔ x = –
4 D = 1 + 48 = 49
9
1– 7 1 7 u( x )
x1   – 3 et x2  4 54 f ( x ) = avec u(x) = ex et v(x) = ex – x dérivables
2 2 v( x )
D’après le tableau de signes : sur  et v(x) ≠ 0 sur . (ex  x sur )
f(x)  0 sur ]– ∞ ; – 3] ∪ [4 ; + ∞[ f est donc dérivable sur  et pour tout réel x :
e x ( e x – x ) – e x ( e x – 1)
f(x)  0 sur [– 3 ; 4] f ¢( x ) 
( e x – x )2
49 a) Pour tout nombre entier n, e (– x  1)
x
f ¢( x ) 
en2 ( e x – x )2
un 1 2n2 en2 e2 n e3 n  2
 e n 1  2 n  2 ¥ n 1  3n 3  e –1
un e e e e 55 f(x) = u(x) v(x) avec u(x) = 1 – x et v(x) = 2 – e–x
e 2 n dérivables sur  :
u f est donc dérivable sur  et pour tout réel x :
b) Pour tout nombre entier n, n +1  1
un f ¢(x) = – 1 (2 – e–x) + (1 – x)(e–x)
Pour tout nombre entier n, un  0 donc un+1  un. f ¢(x) = – 2 + e–x + e–x – x e–x
f ¢(x) = e–x (– x + 2) – 2
u est une suite décroissante.

50 a) Pour tout nombre entier naturel n : 56 a) T1 et T2 parallèles.


vn 1 – vn  e –( n 1) – e – n  e – n – 2 n –1 – e – n
2 2 2 2
b) Coefficient directeur de T1 :  a = f ¢(0)
 e – n e –2 n –1 – 1 f dérivable sur  comme le produit de deux fonctions
2

–n2 dérivables sur .


b) e  0 sur 
Pour tout réel x,  f ¢(x) = 1 ex + x ex et f ¢(0) = 1
e –2 n –1 – 1  0 ⇔ e –2 n –1  1 = e0 ⇔ – 2n – 1  0
1 Coefficient directeur de T2 : g(x) = u(x) + v(x) dérivable sur
⇔ n  – donc e–2n–1 – 1  0 sur   avec u(x) = x2 et v(x) = ex dérivables sur .
2
Pour tout nombre entier n : vn+1 – vn  0 donc v est une Pour tout réel x,  g¢(x) = 2x + ex et g¢(0) = 0
suite strictement croissante. Comme f ¢(0) = g¢(0) alors T1// T2

51 f dérivable sur  et pour tout réel x : 57 a) f(x) = u(x) + v(x) avec u(x) = e2x et v(x) = – 2x + 3
f ¢(x) = 1 ex + x ex + 3 dérivables sur , donc f dérivable sur .
f ¢(x) = ex (1 + x) + 3. Pour tout réel x,  f ¢(x) = 2 e2x – 2
b) et c) 2 e2x – 2  0 ⇔ e2x  1 ⇔ 2x  0 ⇔ x  0
52 f(x) = u(x) ¥ v(x) avec u(x) = x2 – 3x + 1 et v(x) = e–x 2 e2x – 2  0 sur ]0 ; + ∞[
dérivables sur  donc f dérivable sur  et u¢(x) = 2x – 3 2 e2x – 2  0 sur ]– ∞ ; 0[
et v¢(x) = – e–x
Pour tout réel x,  f ¢(x) = u¢(x) v(x) + u(x) v¢(x) x –∞ 0 +∞
f ¢(x) = (2x – 3) e–x + (x2 – 3x + 1)(– e–x) f ¢(x) – 0 +
f ¢(x) = e–x (2x – 3 – x2 + 3x – 1) f(x)
f ¢(x) = (– x2 + 5x – 4) e–x. 4

u( x ) f(0) = e0 – 2 × 0 + 3 = 4
53 f ( x ) = avec u(x) = ex – e–x et v(x) = ex + e–x
v( x )
58 1. Il semble que :
dérivables sur  et v(x) ≠ 0 sur  donc f est dérivable sur
a) Le premier point d’intersection I1 (– 0,5 ; 0) ;
 avec u¢(x) = ex + e–x = v(x) et v¢(x) = ex – e–x = u(x)
Le deuxième point d’intersection I2 (1 ; – 2,5).
u ¢( x ) v ( x ) – u( x ) v ¢( x )
Pour tout réel x,  f ¢( x )  b) f au-dessus de g sur ]– 0,5 ; 1[.
v2 ( x)
f en dessous de g sur ]– ∞ ; – 0,5[ ∪ ]1 ; + ∞[.
( e  e )( e  e ) – ( e – e – x )( e x – e – x )
x – x x – x x
f ¢( x )  c) 
e x  e– x 2
x –∞ –2 1 +∞
v 2 ( x ) – u2 ( x ) ÈÎv ( x ) – u( x )˘˚ ÈÎv ( x )  u( x )˘˚
f ¢( x )   g(x) 1
v2 ( x) v2 ( x) – 2,5
x
2e ¥ 2e
– x

© Nathan. Hyperbole Term S

v2 ( x)  – x2 ex = (x2 – x – 1) ex
2. f(x) = g(x) ⇔
4 ⇔ x2 ex + (x2 – x – 1) ex ⇔ ex (2 x2 – x – 1)
f ¢( x ) 
e x  e– x 2 =0
⇔ 2 x2 – x – 1 = 0, d’où ex  0
D=1+8=9

10
1– 3 1 1 1 La droite d’équation y = 1 est asymptote à la courbe de
x1 = = –  donc y1 = – e –0 ,5 = –
4 2 4 4 e f en + ∞.
1 3 b)  lim f ( x )  0 et lim f ( x )  1
x2   1 donc y2 = – e x Æ – x Æ
4 ex
I1 (– 0,5 ; –
1
) et I2 (1 ; – e) 2. a) Comme lim e x  0, lim  0.
x Æ – x Æ – e x2
4 e
b) Pour tout réel x,
3. a) f(x) – g(x)  0 ⇔ ex (– x2 – x2 + x + 1)  0 1 1 1 ex
⇔ 2 x2 + x + 1  0 x
  x  x
1 2 e – 2 e 2 e 2
Le signe de – 2 x + x + 1 est donné dans le tableau ci-
2 1 x
e e x
dessous. 1
f(x) =
1 1 + 2 e– x
x –∞ – 1 +∞
2 c) Comme lim e – x  0, alors lim f ( x )  1.
x Æ x Æ
– 2 x2 + x + 1 – 0 + 0 –
1 62 1.  lim e x  0 donc lim f ( x )  0
f(x) – g(x)  0 sur ]–  ; 1[ x Æ – x Æ –
2
2. a) Pour tout nombre réel x,
b) Ceci est cohérent avec le fait que f est au-dessus de 2 2 – 2 ex
1 – x
  x  f ( x ).
g sur ]–  ; 1[. 1 e – 1 e 1
2 1 x
4. a) g(x) = u(x) × v(x) avec u(x) = x2 – x – 1 et v(x) = ex e
b)  lim e – x  0, donc lim f ( x )  - 2.
dérivable sur , donc g dérivable sur . x Æ x Æ
Pour tout réel x,  g¢(x) =
 (2x – 1) ex + (x2 – x – 1) ex –2
3. Pour tout nombre réel x, f ( x )   0 , donc la
= ex (x2 + x – 2) 1  e– x
b) g¢(x) a le même signe que x2 + x – 2 donné dans le courbe de f est au-dessous de l’axe des abscisses.
tableau ci-dessous. Pour tout nombre réel x,
–2 – 2  2  2 e– x 2 e– x
x –∞ –2 1 +∞ f ( x)  2  x
2 x
 0
1 e – 1 e – 1  e– x
g¢(x) + 0 – 0 + ⇔ f(x)  – 2, donc la courbe de f est au-dessus de la
x2 + x – 2 = 0 droite d’équation y = 2.
1– 3 1 3
D = 9 donc x1  –  – 2 et x2  – 1 xex
2 2 63 a) Pour tout nombre réel x,  f ¢( x ) 
c) Le signe de g¢(x) permet de dresser le tableau de (1  x )2
a ea ea
variation de g ci-dessous. Équation de Ta : y  ( x – a) 
(1  a )2 1 a
x –∞ –2 1 +∞ b) Ta passe par O si, et seulement si,
g(x) 5 e–2 a ea ea a2 e a ea
–e 0 (– a )  € 
(1  a )2 1 a (1  a )2 1  a
g(1) = (1 – 1 – 1) e1 = – e. ⇔ a = 1 + a ⇔ a – a – 1 = 0.
2 2

g(–2) = (4 + 2 – 1) e–2 = 5 e–2. 1 – 5 1  5 ¸


SÌ ; ˝.
1 Ó 2 2 ˛
59 a) Pour tout réel x, ex =
e– x
1 64 f(x) = eu(x)
Or lim e – x   , donc  lim – x  0 , d’où a) Avec u(x) = – x2 – 3x dérivable sur , donc f dérivable
x Æ – x Æ – e
lim e x  0 sur .
x Æ – f ¢(x) = u¢(x) eu(x) = (– 2x – 3) e – x – 3 x
2

b)  lim f ( x )    et lim f ( x )  –  b) Avec u(x) = 1 – 3x dérivable sur , donc g dérivable


x Æ x Æ –
sur .
60 a)  lim e – x    et lim e – x  0 Pour tout réel x,  g¢(x) = – 3 e1–3x
x Æ – x Æ c) Avec u(x) = x3 – 0,01 x dérivable sur , donc h déri-
b)  lim e x  e – x    et lim e x  e – x    vable sur .
© Nathan. Hyperbole Term S

x Æ – x Æ
Pour tout réel x, h ¢( x )  (3 x 2 – 0, 01) e x – 0 ,01x
3

c)  lim x (1  e – x )  –  et lim x (1  e – x )   


x Æ – x Æ 1
d) Avec u(x) = – x + x 4 dérivable sur , donc k dérivable
2
61 Il semble que : sur .
1. a) L’axe des abcisses d’équation y = 0 est asymptote Ê 1 ˆ – 1 x  x4
Pour tout réel x, k¢(x) = Á –  4 x 3 ˜ e 2
à la courbe de f en – ∞. Ë 2 ¯
11
1 Les deux alliages ont même température à l’instant t = 5.
65 f(x) = eu(x) avec u(x) = dérivable sur ]0 ; + ∞[, donc
x b) 
f dérivable sur ]0 ; + ∞[.
1
Pour tout réel x  0, u ¢( x )  – 2
1 x
1
f ¢( x )  – 2 e x
x
u( x)
66 f(x) = avec u(x) = e2x+1 et v(x) = e2x + 1 déri-
v( x )
vables sur  avec v(x) ≠ 0.
Pour tout réel x, u¢(x) = 2 e2x+1 et v(x) = 2 e2x
2 e2 x 1 ( e2 x  1) – e2 x 1 ¥ 2 e2 x
f ¢( x ) 
( e2 x  1)2
2 e 4 x 1  2 e2 x 1 – 2 e 4 x 1
 Le temps de fusion pour la fonte 1 est de t = 5,77.
( e2 x  1)2 Le temps de fusion pour la fonte 2 est de t = 6,265.
2e 2 x 1
f ¢( x )  2 x
( e  1)2 71 a) C(0) = 3 ¥ 10–2 mol.l–1
u( x) b) C(t) dérivable sur [0 ; + ∞[
67 f(x) = avec u(x) = 1 – e–x et v(x) = 1 + e2x déri-
v( x ) Pour tout réel t  0, C¢(t) = – 2,37 ¥ 105 C(t)
vables sur . c) C¢(0) = – 2,37 ¥ 105 mol.l–1.s–1
Pour tout réel x, u¢(x) = e–x et v¢(x) = 2 e2x
e – x (1  e2 x ) – (1 – e – x )(2 e2 x ) 72 1. a) N0 = N(0) nombre d’œufs à l’instant t = 0.
f ¢( x ) 
(1  e2 x )2 b) N(t) = 1 000 e–0,3t
e  e – 2 e2 x  2 e x
– x x N(t) dérivable sur [0 ; + ∞[ et pour tout réel t  0

(1  e2 x )2 N¢(t) = – 300 e–0,3t  0 sur [0 ; + ∞[
– 2 e2 x  3 e x  e – x • N est strictement décroissante sur [0 ; + ∞[
f ¢( x ) 
(1  e2 x )2 • lim N(t )  0
t Æ
68 a) f au-dessus de g sur l’intervalle ]– 3 ; 2[. • Le nombre d’œufs décroit pour se rapprocher de 0.
f au-dessous de g sur l’intervalle ]– ∞ ; – 3[ ∪ ]2 ; + ∞[. c) et d)  N(t)
b) f(x) – g(x) = 0,1e x – 6 – 0,1e – x  0,1e – x ( e x – 6  x – 1)
2 2
1 000
Comme 0,1 e–x  0, f(x) – g(x) a le même signe que
ex + x–6 – 1
2

1 740
e x  x – 6 – 1  0 € e x  x – 6  1  e0 € x2  x - 6  0
2 2

Le signe de x2 + x – 6 est donné par le tableau ci-dessous 1 548


N
2 0
x –∞ –3 2 +∞ 406
301
x2 + x – 6 + 0 – 0 + 223
122
donc f(x) – g(x)  0 sur ]– ∞ ; – 3[ ∪ ]2 ; + ∞[ 100 165 96
49 11,1
f(x) – g(x)  0 sur ]– 3 ; 2[ t
O 1 t ≈ 2,3 15

69 1. a) T(0) = 19, 5 e –7.10 ¥ 0 - 10, 5  19, 5 – 10, 5


–4
2. a) L(0) = 1 000 ⇔ k1 + k2 = 1 000
T(0) = 9 °C L dérivable sur [0 ; + ∞[ et pour tout réel t  0,
b) t = 60 × 24 = 1 440 L¢(t) = – 0,2 k1 e–0,2t – 0,3 k2 e–0,3t
T(1 440) = 19,5 × e –7.10 ¥1440 – 10,5
–4
L¢(0) = – 0,2 k1 – 0,3 k2 = 300
T(1 440) ≈ – 3,4 °C On obtient le système suivant :
2.  lim e –7.10 t  0, donc lim T(t )  – 10, 5
–4
L1 k1  k2  1000 L1 k1  k2  1000
t Æ t Æ
Ì– 2 k – 3 k  3 000 € Ì– k  5 000
La température a un comportement asymptotique en + ∞. L2 Ó 1 2 L 2  2 L1 Ó 2

k2  – 5 000
© Nathan. Hyperbole Term S

70 a)  Ìk  6 000
Ó1
Pour tout réel t  0, L(t) = 6 000 e–0,2t – 5 000 e–0,3t
b) L est dérivable sur [0 ; + ∞[ et pour tout réel t  0 :
L¢(t) = – 1 200 e–0,2t + 1 500 e–0,3t
L¢(t) = – 300 e–0,2t (4 – 5 e–0,1t)
12
4 76 1. Faux  2. Vrai  3. Vrai
c) L¢(t) = 0 ⇔ 4 – 5 e–0,1t = 0 ⇔ e–0,1t =
5 4. Vrai  5. Vrai  6. Vrai
a ∈ ]2,2 ; 2,3[
– 300 e–0,2t  0 sur ]0 ; + ∞[ 2
Ê 1ˆ 3 1 3
L¢ a le même signe que 4 – 5 e–0,1t 77 Partie A : 1. a) Á e x - ˜   e2 x - e x  
4 4 Ë 2¯ 4 4 4
4 – 5 e–0,1t  0 ⇔ – e–0,1t  – ⇔ e–0,1t  = eα
5 5  e2 x - e x  1  g( x )
⇔ – 0,1t  α ⇔ t  – 10α
donc  4 – 5 e–0,1t  0 sur ]– 10α ; + ∞[ b) Pour tout nombre réel x, g(x) > 0
L¢(t)  0 sur ]– 10α ; + ∞[ 2. a) ∆ = – 3 > 0
donc  4 – 5 e–0,1t  0 sur [0 ; – 10α[ Donc pour tout nombre réel X, X2 – X + 1 > 0 (signe du
L¢(t)  0 sur [0 ; – 10α[ coefficient de X2)
Le signe de L¢ nous donne le tableau des variations de b) Donc, pour tout nombre réel x, (ex)2 – ex + 1 > 0
L ci-dessous sur [0 ; + ∞[. Partie B : 1. a) f est dérivable sur ℝ
3e x ( e x  1) - e x (3e x )
t 0 – 10a +∞ f ¢( x )  1 -
( e x  1)2
3e  3e x - 3e 2 x
2 x
L(t) 1 000 f ¢( x )  1 -
( e x  1)2
( e x  1)2 - 3e x
f ¢( x ) 
73 1. f(0) = 170 – 150 = 20 °C. ( e x  1)2
2. a) f est dérivable sur [0 ; 1] et pour tout réel x ∈ [0 ; 1] : e - ex  1
2 x g( x )
f ¢( x )   x
f ¢(x) = – 150 × (– 0,6) e–0,6x ( e x  1)2 ( e  1)2
f ¢(x) = 90 e–0,6x  0 sur [0 ; 1] b) Pour tout nombre réel x, f ¢( x )  0 car pour tout
x 0 nombre réel x, g( x )  0
f(x) 20
f(1) x –5 a 5
f¢ +
b) f(1) = 170 – 150 e–0,6  8,8 °C
3e 5
c)  7-
f 3e - 5 0 e5  1
0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 - 3-
e -5  1
20 28,7 36,9 44,7 52 58,9 65,3 71,4 77,1 82,5 87,7

d)  y 2. Pour tout x ∈ [–5 ; α[, f(x)  0 car la fonction est crois-
sante sur [– 5 ; 5]
90 De même, pour tout x ∈ [α ; 5], 0  f(x)
80 3. Avec la calculatrice, α ∈ [– 1,42 ; – 1,41]

60
78 1. a)  lim e - x  0
x Æ
40 lim 2 - e - x  2
x Æ

20 Donc lim f ( x )   
x Æ
10
b) f(x) – (2x – 2) = (x – 1)[(2 – e–x) – 2] = – e–x (x – 1)
x
O 0,1 0,2 0,4 0,6 0,8 1 f(x) – (2x – 2) est du signe de 1 – x.
 est au-dessus de ∆ sur [0 ; 1] et au-dessous sur [1 ; + ∞[.
e) 5 mètres. 2. a) f est dérivable sur [0 ; + ∞[.
f ¢(x) = 1(2 – e–x) + e–x(x – 1)
7.  Objectif Bac f ¢(x) = 2 – e–x + xe–x – e –x
f ¢(x) = 2(1 – e–x) + xe–x
74 1. a)   2. a)   3. b)   4. b)   b) Pour tout nombre réel x  0,
–x  0
© Nathan. Hyperbole Term S

75 1. L’affirmation est fausse car ( e1 )2 = e2 et e(1 ) = e


2

e–x  e0
2. L’affirmation est vraie d’après les propriétés algé-
–e–x  – e0
briques de la fonction exponentielle. –x
Donc 2(1 – e ) > 0
3. L’affirmation est fausse car le point de coordonnées
Pour tout nombre réel x  0, f ¢(x)  0
(1 ; e1) n’appartient pas à la droite.
c) f(0) = – 1
4. L’affirmation est fausse car f(0) = 2 et e2×0 = 1
13
x 0 +∞ Pour k = 50 et n = 1, on obtient a = 46,3.
f ¢(x) + Pour k = 25 et n = 2, on obtient a = 92,42.

f(x) +∞
–1
8.  Travaux pratiques
3. 
3
81 1. Pour tout nombre réel t  0,
2
N¢(t) = – l × N0 e–lt = – l N(t).
A
N vérifie donc la condition 1.
1 2. a) Comme l  0, N¢(t)  0 sur [0 ; + ∞[.
b)  lim N(t )  0
xÆ
O 1 2 3 4 5 6 7 c) 
–1 t 0 +∞
N(t) N0
–2 0

3. 1. a)  Carbone 14
4. f ¢(x) = 2
xe–x + 2 – 2e–x = 2
xe–x – 2e–x = 0
e–x(x – 2) = 0
x = 2 car e–x > 0
Les coordonnées de A sont (2 ; 2 – e–2). N0 N
b) N(t )  € N0 e –0 ,121t  0 € e –0 ,121t  0, 5
79 1. a) Q(0) = 1,8e–λ×0 = 1,8 2 2
Q¢(t) = –λ × 1,8e–λ×t = –λ Q(t) t ≈ 5,71 milliers d’années
b) Q(1) = Q(0) × 0,7 = 1,8e–λ 2.  Uranium-238
0,7 = e–λ
Avec la calculatrice, λ ≈ 0,356 7
2. a) 

t ≈ 4 444 444,4 milliers d’années


Iode-131
b) La quantité de substance est réduite de moitié pour
t ≈ 1,9 h.

80 1.  lim P( x )  0
x Æ
Une épaisseur de plaque plastique acrylique infinie ne
t ≈ 2,14.10–5 milliers d’années
laisse plus passer la lumière.
2. a) x = 45 cm
82 1. a) 
b) x = 80 cm
3. P(x) dérivable sur  et pour tout réel x  0,
P¢(x) = – 1,5e–0,015x  0
P est strictement décroissante sur [0 ; + ∞[.
Le pourcentage de lumière traversant une plaque dimi-
nue avec des valeurs de x qui augmentent.
4. a) L’algorithme nous donne une valeur approchée de
l’inéquation P(x)  k.
© Nathan. Hyperbole Term S

b) 

14
84 1. a) ( x 2 – 3 x + 1) e – x
2 + 3 x –1
b) Il semble que  est au-dessus de Ta   3 points
2. a) Ta a pour équation y = ea (x – a) + ea
b) Pour tout nombre réel x, d¢(x) = ex – ea
d¢(x)  0 ⇔ ex  ea ⇔ x  a
d¢(x)  0 ⇔ ex  ea ⇔ x  a
Donc d est strictement décroissante sur ]– ∞ ; a] et stric-
tement croissante sur [a ; + ∞[.
d admet un minimum d(a) = 0.
c) Pour tout nombre réel x, d(x)  0
Donc  est au-dessus de Ta sur .

83 Partie A
1. a) b) 

(2 x + 1) e –2 x –1  1 point

La longueur OM est minimale pour a = – 0,44.


Partie B
1. a) Pour tout nombre réel x, g¢(x) = 4 e2x + 2  0 sur .
( x 2 + x + 2) e – x
2 – x –2
g est une fonction strictement croissante sur .   1 point
b) α ≈ – 0,44.
c) D’après les variations de la fonction g :
• g(x)  0 sur ]– ∞ ; α[ ;
• g(x)  0 sur [α ; + ∞[.
2. a) Pour tout nombre réel x, f ¢(x) = 2 e2x + 2x = g(x).
f¢ a le même signe que g sur .
f est une fonction :
• strictement décroissante sur ]– ∞ ; α[ ;
• strictement décroissante sur [α ; + ∞[.
b) f admet un minimum f(α) ≈ 0,6.
3. a) OM  xM 2  y2 
M x 2  ( e x )2  x 2  e2 x
b) OM est minimale signifie que la fonction x  x2 + e2x
admet un minimum pour x = α. La valeur minimale de
OM recherchée est f (a ) ª 0, 77.
© Nathan. Hyperbole Term S

c) La tangente T0 a pour coefficient directeur m = ea


La droite (OM0) a pour coefficient directeur
yM ea ea e2 a
m¢ =  0  . D’où m ¥ m ¢  ea ¥ 
xM0 a a a
avec g(α) = 0 ⇔ 2 e2a + 2α = 0 ⇔ e2a = – 1.
Conclusion : m × m¢ = – 1.
15
1 x
–1 pas de solution (D = – 3  0)
e   1 point –1
x u¢(x) = 2x + 1 = 0 ⇔ x =
–1 2
1 x
• e
x
1 –1
u( x )   1 € x  1  u ¢( x )  2  0
x x
• x e– x
u(x) = x = 1 ⇔ x = 1
1
u ¢( x )  0
2 x
• ( x 3 + x 2 – 1) e – x – x +1
3 2

u(x) = x3 + x2 – 1 = 1 ⇔ x3 + x2 – 2 = 0
⇔ (x – 1)(x2 + 2) = 0 ⇔ x = 1
–2
u¢(x) = 3x2 + 2x = 0 ⇔ x(3x + 2) = 0 ⇔ x = 0 et x =
x e – x   1 point 3

9.  Exercices d’entraînement


85 a) f(t) = u(t) × v(t) + 3,9 avec u(t) = – 3t + 0,1 et
v(t) = e–5t dérivables sur [0 ; 2].
Donc f est dérivable sur [0 ; 2] et pour tout réel t ∈ [0 ; 2] :
u¢(x) = – 3 et v¢(t) = – 5 e–5t
( x 3 + x 2 – 1) e – x
3 – x 2 +1
  3 points
f ¢(t) = – 3 e + (– 3t + 0,1)(– 5 e–5)
–5t

f ¢(t) = e–5t (15t – 3,5)


b) e–5t  0 sur [0 ; 2]
15t – 3,5 = 0
15t = 3,5
3, 5 7
t= =  0,24
15 30
f(0) = 0,1 + 3,9 = 4
f ¢ a le même signe que 15t – 3,5
7
t 0 2
30
f ¢(t) – 0 +
f(t) 4

f(2) = – 5,9 e–10 + 3,9  3,9


7
c) À t = , le plateau atteint sa côte minimal 3,713 1 cm.
30
d)  f(t)

b) Il semble que la tangente à  est horizontale lorsque 4 3,78 3,88


u(x) = 1 et u¢(x) = 0. 3,71 3,84 3,89
2. a) f ¢ = u¢ e–u (1 – u) 3
b) f ¢(x) = 0 ⇔ u¢(x) = 0 et u(x) = 1
c) • (x2 – 3x + 1) e – x + 3 x –1
2

2
u(x) = x2 – 3x + 1 = 1 ⇔ x(x – 3) = 0 ⇔ x = 0 et x = 3
3
u¢(x) = 2x – 3 = 0 ⇔ x =
© Nathan. Hyperbole Term S

2 1
• (2x + 1) e–2x–1
u(x) = 2x + 1 = 1 ⇔ x = 1 t
u¢(x) = 2 ≠ 0 O 1 2
• (x2 + x + 2) e – x – x – 2
2

u(x) = x2 + x + 2 = 1 ⇔ x2 + x + 1 = 0
16
86 1. a) f dérivable sur + et pour tout réel t  0,  – 0,1x  x2 ⇔ x2 + 0,1x  0
b) e –0 ,1x  e x ⇔
2

⇔ x(x + 0,1)  0
1
– t
f ¢(t) = – 100 e 2  0 sur [0 ; + ∞[
x –∞ – 0,1 0 +∞
t 0 +∞
x – – 0 +
f(t) 220
x + 0,1 – 0 + +
f(0) = 220 x2 + 0,1x + 0 – 0 +
b)  D’après le tableau de signes de x2 + 0,1x :
°C
S = ]– ∞ ; – 0,1[ ∪ ]0 ; + ∞[
220
c) e2x + ex – 2 = 0
200
En posant X = ex, l’équation devient X2 + X – 2 = 0
D=1+8=9
–1– 3 –1 3
X1 = = – 2  et X2  1
2 2
100 e x1 = – 2 impossible e x2  1 € x2  0
80 S = {0}
60
50°C d) e2x – (1 + e) ex + e  0
40
20 En posant X = ex, l’équation devient X2 – (1 + e) X + e  0
t D = (1 + e)2 – 4e = 1 + 2e + e2 – 4e = 1 – 2e + e2 = (1 – e)2  0
O 1 2 3 4 5 6 7 1  e – ( e – 1) 1  e  e – 1 2e
X1   1 et X2   e
t = 7,65 cm Æ 3,82 h 2 2 2
c) 3 h 49 min Ce qui donne e x1  1 € x1  0
2. a) d0 = 78,7 °C ; d1 = 47,7 °C ; d2 = 28,9 °C. e x2  e € x2  1
D’où dn = f(n) – f(n + 1) X –∞ 1 e +∞
n n+1
dn = 200 e

2 – 200 e

2 X2 – (1 + e) X + e + 0 – 0 +

dn

= 200 e 2
n
1 – 

e 2
1
S = ]– ∞ ; 0[ ∪ ]1 ; + ∞[
b)  88 a) f(x) = u(x) ¥ v(x) avec u(x) = x – 2 et v(x) = ex déri-
Entrer
Saisir la diminution de la température voulue C vables sur  telles que u¢(x) = 1 et v’(x) = ex
Initialisation Pour tout réel x, f ¢(x) = ex (x – 2 + 1)
n prend la valeur 1 f ¢(x) = ex (x – 1)
d prend la valeur d(0) f ¢(x) = 0 ⇔ ex (x – 1) = 0 ⇔ x – 1 = 0 ⇔ x = 1
Traitement f(1) = – 1 e1 = – e
Tant que d  C Conclusion : La tangente à  au point (1 ; – e) est parallèle
d prend la valeur d(n) à l’axe des abscisses.
n prend la valeur n + 1 b) Raisonnons par l’absurde
Fin Tant que Si α = 1, alors f ¢(x) = 0, donc la tangente à  au point
Sortie d’abscisse α est parallèle à (Ox), faux.
Afficher n – 1 Donc α ≠ 1.
1
c) f ¢(x) = 1 ⇔ eα (α – 1) = 1 ⇔ eα =
a –1
d) α = 1,28

89 a) A(0 ; 2) ∈  ⇔ f(0) = 2 ⇔ b e0 = 2 ⇔ b = 2


B(2 ; 0) ∈  ⇔ f(2) = 0 ⇔ (2a + 2) e2 = 0 ⇔ 2a + 2 = 0
⇔a=–1
f(x) = (– x + 2) ex
c) n0 = 6
b) Cherchons la hauteur h du profilé.
© Nathan. Hyperbole Term S

87 a) e x
2 –10
¥ e –3 x  1 € e x – 3 x –10  e 0
2 f dérivable sur  et pour tout réel x :
⇔ x2 – 3x – 10 = 0 f ¢(x) = – 1 ex + (– x + 2) ex
D = 9 + 40 = 49 f ¢(x) = ex (– 1 – x + 2)
3–7 4 37 f ¢(x) = ex (– x + 1)
x1   –  –2 x2  5
2 2 2 f ¢(x) = 0 ⇔ e (– x + 1) = 0 ⇔ – x + 1 = 0 ⇔ x = 1
x

S = {– 2 ; 5} h = f(1) = (– 1 + 2) e1
17
h = e u donc h = 10e  27,18 cm. e2 x  e x – e2 x  e x
Il faut à la société PROBOIS une section de 30 cm sur f ¢( x ) 
( e x  1)2
27,18 cm pour débiter un profilé. 2e x
Avec une planche de section 30 cm sur 300 cm, on peut f ¢( x )  x  0 sur .
( e  1)2
débiter 11 profilés. b) f est strictement croissante sur .
1
90 Partie 1 2. y = f ¢(0) (x – 0) + f(0), d’où y = x
u( x ) 2
1. A( x ) = 2 2 1
v( x ) f ¢(0) = 2 = = et f(0) = 0
2 4 2
avec u(x) = 4x et v(x) = ex + 1 dérivables sur [0 ; + ∞[ telle
3. a) Comme f est dérivable sur , pour tout réel x :
que u¢(x) = 4 et v¢(x) = ex
4 ( e x  1) – 4 x e x 1 2e x 1
Pour tout réel x  0,  A ¢( x )  g ¢( x )  f ¢( x ) –  x –
( e x  1)2 2 ( e  1) 2 2
4 ( e – x e  1)
x x 4 g( x ) 4 e x – ( e x  1)2 4 e x – e2 x – 2 e x – 1
A ¢( x )   x g ¢( x )  
( e x  1)2 ( e  1)2 2( e x  1)2 2( e x  1)2
x
– ( e – 2e  1)
2 x
Comme (ex + 1)2  0 sur [0 ; + ∞[ : g ¢( x ) 
A¢(x) a le même signe que g(x) sur [0 ; + ∞[ 2( e x  1)2
– ( e x – 1)2
2.  g ¢( x )  .
x 0 α +∞ 2( e x  1)2
A¢(x) + 0 – b) g¢(x)  0 sur , donc g est strictement décroissante
sur .
A(x)
c) g(0) = f(0) – 0 = 0
Partie 2 g(0) = 0  donc  g(x)  0 sur ]– ∞ ; 0[
4x g(x)  0 sur [0 ; + ∞[
1. Aire de OPMQ : x ¥ f ( x )  x maximale par x = α
e 1 x
α  1,3 d) f(x)  sur ]– ∞ ; 0[
2
2. Coefficient directeur de (PQ) : x
yQ – yP f (a ) – 0 f (a ) 4 f(x)  sur [0 ; + ∞[
   2
xQ – xP 0–a –a – a ( ea  1)
92 1. a)   
α vérifie g(α) = 0 ⇔ eα – α eα + 1 = 0 ⇔ eα + 1 = α eα.
f (a ) 4 –4
Donc  a
 2 a
–a –a ¥ ae a e
Coefficient directeur de T : f ¢(α)
1
f(x) = 4 × avec u(x) = ex + 1 dérivable sur [0 ; + ∞[
u( x ) b) Il semble que f admet un maximum f(0) = 1,5.
telle que u¢(x) = ex. u( x )
– 4 u ¢( x ) 2. a) f(x) = avec u(x) = e2x + ex + 1 et v(x) = e2x + 1
Pour tout réel x  0,  f ¢( x )  v( x )
u2 ( x ) dérivables sur .
– 4 ex – 4 ex – 4 ea
f ¢( x )  x  donc  f ¢( x )   Donc f dérivable sur  et pour tout réel x,
( e  1)2 (aea )2 a 2 ea
u¢(x) = 2e2x + ex et v¢(x) = 2e2x
–4
f ¢( x )  2 a (2e  e x )( e2 x  1) – ( e2 x  e x  1) 2e2 x
2 x
a e f ¢( x ) 
( e2 x  1)2
Conclusion : T et (PQ) sont parallèles pour M d’abscisse α.
2 e 4 x  2 e2 x  e3 x  e x – 2 e 4 x – 2 e3 x – 2 e2 x
f ¢( x ) 
91 Partie A ( e2 x  1)2
x
–e  e
3 x (– e )( e2 x – 1)
x
1. Il semble que : f ¢( x )  2 x 
a) f strictement croissante sur . ( e  1)2 ( e2 x  1)2
1 x
b) • – e  0 sur 
b) T a pour équation y = x .
2 • e2x – 1 = 0 ⇔ e2x = 1 ⇔ 2x = 0 ⇔ x = 0
c) f est au-dessus de T sur ]– ∞ ; 0] ; • (e2x + 1)2  0 sur 
f est en dessous de T sur [0 ; + ∞[. • e2x – 1  0 ⇔ e2x  1 ⇔ x  0
© Nathan. Hyperbole Term S

Partie B • e2x – 1  0 sur ]– ∞ ; 0[


u( x )
1. a) f(x) = avec u(x) = ex – 1 et v(x) = ex + 1 dérivables x –∞ 0 +∞
v( x )
sur  telles que u¢(x) = ex et v¢(x) = ex. f ¢(x) + 0 –
e x ( e x  1) – ( e x – 1) e x 3
Pour tout réel x,  f ¢( x )  f(x)
2
( e x  1)2
18
1 1 1 3 b)  Sur Casio
f(0) = 
1 1 2
c) Le tableau de variation de f confirme l’existence d’un
maximum f(0) = 1,5.
3 e2 x  e x  1 3
3. a) Pour tout réel x,  f ( x ) –  –
2 e2 x  1 2
2 e 2 x  2 e x  2 – 3e 2 x – 3
f ( x)  Pour N = 20 jours
2( e2 x  1) S = 481 pièces produites soit une production journalière
– e  2e x – 1
2 x
f ( x)  de 24 pièces/jour.
2( e2 x  1) Pour N = 30 jours
3 – ( e x – 1)2
f ( x) –  S = 850 pièces produites soit une production journalière
2 2( e2 x  1)
de 28 pièces/jour fi
3
b) f(x) –  0 sur  L’apprenti n’atteindra pas la production moyenne jour-
2
3 nalière souhaitée par son entreprise.
f(x)  sur 
2
95 Équation de la tangente T1,
y = f ¢(–1,5) (x + 1,5) + f(1,5) au point d’abscisse – 1,5
93 a) 
f(x) = e–x dérivable sur  et pour tout réel x :
f ¢(x) = – e–x  f ¢(– 1,5) = – e1,5  f(– 1,5) = e1,5
y = – e1,5 (x + 1,5) + e1,5
Pour atteindre une cible, y = 0 ⇔ x + 1,5 = 1, soit x = – 0,5.
En a = – 1,5, le pilote atteint la cible 1.
b) Pour atteindre la cible C5,  y = f ¢(a) (1,5 – a) + f(a) = 0
b) L’origine du repère est un centre de symétrie de la
⇔ – e–a (1,5 – a) + e–a = 0 ⇔ 1,5 – a = 1 ⇔ a = 0,5
courbe de f.
e– x – 1 Le pilote doit être en position a = 0,5 pour atteindre la
c) Pour tout réel x,  f (– x )  – x – – x cible 5.
e 1
1 c) Pour atteindre la cible C3,  y = f ¢(a)(0,5 – a) + f(a) = 0
–1
x 1 – ex ex – 1 ⇔ – e–a (0,5 – a) + e–a = 0 ⇔ 0,5 – a = 1 ⇔ a = – 0,5
f (– x )  – x – e  –x–  – x 
1
1 1  ex ex  1 Le pilote doit être en position a = – 0,5 pour atteindre
ex la cible 3.
ex – 1 d) Pour atteindre une cible d’abscisse x par le pilote placé
– f ( x)  – x  x
e 1 au point d’abscisse a :
f(– x) = – f(x) y = f ¢(a)(x – a) + f(a) = 0 ⇔ – e–a (x – a) + e–a = 0
d) Pour tout réel x, f(– x) = – f(x) confirme la conjecture ⇔ x – a = 1 ⇔ x = 1 + a ⇔ a = x – 1  abscisse du pilote.
émise.
96 1. a) Pour tout nombre réel x,
94 f(t) = b ea(1–t) + 40 e– x  e x
ch(– x )   ch( x )
1. A(1 ; 5) ∈  ⇔ f(1) = 5 ⇔ b e0 + 40 = 5 ⇔ b = – 35 2
y – yA 40 – 5 35 b)  lim e x    et lim e – x  0,
Coefficient direction de (AB) : B = = x Æ x Æ
xB – xA 10 – 1 10
donc lim ch( x )    .
f ¢(1) = 3,5  f dérivable sur [1 ; + ∞[. x Æ
f(t) = – 35 eu + 40 avec u(t) = 0,1 – at dérivable tel que c) Pour tout nombre réel x,
u¢(t) = – a. e x – e– x e2 x – 1
ch¢( x )   e– x
Pour tout réel t  1, f ¢(t) = – 35 × (– a) ea(1– t) 2 2
f ¢(t) = 3,5 aca(1–t) a le même signe que e2x – 1
f ¢(1) = 3,5 a = 3,5 ⇔ a = 0,1 e2x – 1  0 ⇔ e2x  1 ⇔ 2x  0 ⇔ x  0
f(t) = – 35 e0,1(1–t) + 40 La fonction ch est donc croissante sur [0 ; + ∞[.
2. a) f(5) = 16 2. a) Pour tout nombre réel x,
e– x – e x
© Nathan. Hyperbole Term S

b)  f (1) + f(2) + f(3) + f(4) + f(5) sh(– x ) = = – sh( x )


= 5 + 8 + 11 + 14 + 16 2
= 54 pièces produites lors des 5 premiers jours. b)  lim e x    et lim e – x  0 donc lim sh( x )   
x Æ x Æ x Æ
3. a) Cet algorithme donne le nombre de pièces pro- e x  e– x
duites au bout de n jours. c) Pour tout nombre réel x, sh¢( x )   0 . La
2
fonction sh est donc strictement croissante sur [0 ; + ∞[.
19
e x  e– x e x – e– x e x (1  x ) – e x x ex
3. a) ch( x ) – sh( x )  –  e– x  0 f ¢( x )  
2 2 (1  x ) 2 (1  x )2
b)  lim ch(x ) – sh(x )  lim e – x  0 Équation de T1 au point d’abscisse x = – 0,6 :
x Æ – x Æ
y = f ¢(– 0,6) (x + 0,6) + f(– 0,6)
c)  6 – 0 , 6 e –0 , 6 e –0 , 6
y 2
( x  0, 6) 
5 0, 4 0, 4
– 0 , 62 – 0 , 6 e – 0 , 6
y  ch(x) 4 Pour x = 0, y  e 
0, 42 0, 4
3 y = – 2,25 e + 2,5 e
–0,6 –0,6

2 y = 0,25 e–0,6 ≠ 0
1 T1 ne passe pas par l’origine du repère.
Équation de T2 au point d’abscisse x = 1,6 :
–4 –3 –2 –1O 1 2 3 4 y = f ¢(1,6) (x – 1,6) + f(1,6)
–1 1, 6 e1,6 e1,6
y 2
( x – 1, 6) 
–2 2, 6 2, 6
y  sh(x)
– 1, 62 1,6
–3 Pour x = 0, y  e  e1,6  0  0,029
2 , 62
–4
T2 ne passe pas par l’origine du repère.

4. a)  98 Pour x = 3  – 2,  f(3) = (4 – 9) e–3 = – 5 e–3  0.


e a  e – a eb  e – b
ch( a ) ch(b )  ¥ Faux
2 2
Pour tout réel x,  f(x) = (2 – x) (2 + x) e–x
e a  b  e a – b  eb – a  e – a – b
 f(x) a le même signe que (2 – x)(2 + x)
4
f(x)  0 sur ]– ∞ ; – 2[ ∪ ]2 ; + ∞[
e a – e – a eb – e – b
sh( a ) sh(b )  ¥ f(x)  0 sur [– 2 ; 2]
2 2
e a  b – e a – b – eb – a  e – a – b
 99 Déterminer a et b :
4
e a  b  e –( a  b ) x(0) = 2 ⇔ ae0 = 2
ch( a ) ch(b )  sh( a ) sh(b )   ch( a  b ) ⇔a=2
2
x(t) = u(t) v(t) avec u(t) = 2ebt et v(t) = 1 – 8t dérivables sur
e a – e – a eb  e – b
sh( a ) ch(b )  ¥ [0 ; 3] telles que u¢(t) = 2bebt et v¢(t) = – 8.
2 2
Donc x dérivable sur [0 ; 3] et pour tout réel t ∈ [0 ; 3],
e a  b  e a – b – eb – a – e – a – b
 x¢(t) = 2bebt (1 – 8t) + 2ebt × – 8
4
x¢(0) = 2b – 16 = – 26
e a  e – a eb – e – b 2b = – 10
ch( a ) sh(b )  ¥
2 2 b=–5
e a  b – e a – b  eb – a – e – a – b donc x(t) = 2 e–5t (1 – 8t) sur [0 ; 3]

4 x(t) = 0 ⇔ 2e–5t (1 – 8t) = 0
e a  b  e –( a  b ) 1 – 8t = 0
sh( a ) ch(b )  sh(b ) ch( a )   sh( a  b ) 1
2 t= s
b)  8
ch (2a) = ch (a + a) = ch (a) ch (a) + sh (a) sh (a) = ch2 (a) + sh2 (a) 1 oscillation autour de la position d’équilibre.
sh (2a) = sh (a + a) = sh (a) ch (a) + sh (a) ch (a) = 2sh (a) ch (a)
100 1. Il semble que f est strictement croissante sur
c) Pour tout nombre réel a,
2 2 ]– ∞ ; 1[ ∪ ]2 ; + ∞[ et strictement croissante sur [1 ; 2].
Ê ea  e– a ˆ Ê ea – e– a ˆ
ch2 ( a ) – sh2 (b )  Á – 2. a) f(x) = u(x) × v(x) avec u(x) = x2 – 5x + 7 et v(x) = ex
˜ Á ˜
Ë 2 ¯ Ë 2 ¯ dérivables sur  telles que u¢(x) = 2x – 5 et v¢(x) = ex
e 2e
2 a – 2 a – e  2 – e –2 a
2 a
Donc f est dérivable sur  et pour tout réel x :
 1
4 f ¢(x) = (2x – 5) ex + (x2 – 5x + 7) ex
© Nathan. Hyperbole Term S

f ¢(x) = ex (x2 – 3x + 2)
u( x ) x
97 f ( x ) = avec u(x) = ex et v(x) = 1 + x dérivables b) e  0 sur 
v( x ) f(x) a le même signe que x2 – 3x + 2
sur ]– 1 ; + ∞[ telles que v(x) ≠ 0 D=9–8=1
u¢(x) = ex et v¢(x) = 1 3–1 31
x1   1 et x2  2
f est donc dérivable sur ]– 1 ; + ∞[ et pour tout réel x  1 : 2 2
20
x –∞ 1 2 +∞ Au bout de 10 ans.
d) La fonction 28 – v(t) représente la décote du véhicule.
f ¢(x) + 0 – 0 +
– v(t) est une fonction strictement croissante sur [0 ; 15]
f(x) 3e
e2 donc 28 – v(t) est aussi une fonction strictement crois-
sante sur [0 ; 15].
3. ex  0 sur 
2. C(t) = u(t) + v(t) avec u(t) avec u(t) = 2e0,1t et
f(x) a le même signe que x2 – 5x + 7
v(t) = – 0,05t – 2 dérivables sur [0 ; 15] telles que :
D = 25 – 28 = – 3  0
u¢(t) = 0,2 e0,1t et v¢(t) = – 0,05
f(x)  0 sur 
C est donc une fonction dérivable sur [0 ; 15] et pour tout
101 a) Vraie.  e2 a ¥ e2b  ( e a  b )2  e a  b réel x, C¢(t) = 0,2 e0,1t – 0,05 = 0,2 (e0,1t – 0,25)
ea+b  0 e0,1t  1 sur [0 ; 15]
b) Fausse. 2ea+b = e2a + e2b ⇔ 2eaeb = (ea)2 + (eb)2 e0,12 – 0,25  0,75 sur [0 ; 15]
⇔ (ea)2 – 2eaeb + (eb)2 = 0 ⇔ (ea – eb)2 = 0 C¢(t)  0 sur [0 ; 15]
⇔ ea – eb = 0 ⇔ ea = eb ⇔ a = b C est donc une fonction strictement croissante sur [0 ; 15]
c) Vraie.  a = b = k ∈  3. a) f(t) =
 28 – v(t) + C(t) (Décote + frais d’entretien)
28
d) Fausse. e2a + e2b  2ea+b ⇔ (ea – eb)2  0 = 28 – + 2e0,1t – 0,05t – 2
0, 3t + 1
28
102 • Propriété 1 : Supposons qu’il existe un réel x tel f(t) = 26 – + 2e0,1t – 0,05t
0, 3t + 1
que exp(x) = 0.
b) f(12)  25 953 E
Pour tout réel y ≠ x :
c) 
exp(y) = exp(y – x + x) = exp(y – x) exp(y) = 0 4 cm 
alors exp est la fonction nulle. 10 millions
En introduction avec le prérequis 2 donc pour tout réel x, 30 29,122
exp(x) ≠ 0.
25,935
• Propriété 2 : Pour tout réel x, 23,936
exp(x + 0) = exp(x) × exp(0) ⇔  exp(x) = exp(x) exp(0) 21,815 24,946
22,901
⇔ exp(0) = 1 20 19,344
20,645
• Propriété 3 : Pour tout réel x, 16,256
17,847
exp(x – x) = exp(x) × exp(– x) ⇔
 exp(0) = exp(x) × exp(– x) 13,812 M(t ; f(t))
1
⇔ exp(– x) = 10,742
exp( x ) 10
• Propriété 4 : Pour tous réels x et y,
6,621
exp(x – y) = exp(x) × exp(– y)
1 exp( x )
⇔ exp(x – y) = exp(x) × ⇔ exp(x – y) =
exp( y ) exp( y ) t
O 1 2 5 10 15

10. Exercices 4. a) u(t) est le coefficient directeur de la droite (OM).


d’approfondissement b) u(t) minimale pour t = 15

28 28 28 104 Partie A
103 1. a) v(t) = = 14 ⇔
 = 14 ⇔ 0,3t + 1 =
2 0, 3t + 1 14 1. Il semble que :
10 a) C1 est au-dessus de C2 sur [0 ; 1] ;
⇔t=
3 C1 est au-dessous de C2 sur ]– ∞ ; 0[ ∪ ]1 ; + ∞[.
Au bout de 4 ans. b) I1 (0 ; 0) et I2 (1 ; 0,3) soient les points d’intersection
1 de C1 et C2.
b) v(t) = 28 × avec u(t) = 0,3t + 1 dérivable sur [0 ; 15]
u(t ) c) 
tel que u¢(t) = 0,3. x –∞ 1 +∞
v est donc dérivable sur [0 ; 15] et pour tout réel
– u ¢(t ) f(x)
© Nathan. Hyperbole Term S

t ∈ [0 ; 15], v¢(t) = 28 × 2
u (t )
– 0, 3 – 8, 4 d) f2(0) = 0 est un mimimum de f2
v¢(t) = 28   0 sur [0 ; 15]. f2(2) = 0,54 est un maximum local de f2
( 0, 3t  1)2 ( 0, 3t  1)2
V est donc une fonction strictement décroissante sur [0 ; 15] 2. • Conjecture a
c) V(t) = 7 ⇔
28
= 7 ⇔ 0,3t + 1 =
28
⇔ t = 10 f1(x) – f2(x) = ex (x – x2) a le même signe que x – x2 donné
0, 3t + 1 7 dans le tableau ci-dessous
21
x –∞ 0 1 +∞ Partie B
x – x2 1. Équation de la tangente
– 0 + 0 –
À C1 au point d’abscisse a :  y = f ¢(a) (x – a) + f(a)
f1(x) – f2(x)  0 sur ]0 ; 1[ y = e–a (1 – a) (x – a) + a e–a
f1(x) – f2(x)  sur ]– ∞ ; 0[ ∪ ]1 ; + ∞[ Pour x = 0,  y = e–a (1 – a)(– a) + a e–a
donc C1 est au-dessus de C2 sur ]0 ; 1[ ; y = e–a (– a + a2) + a e–a
C1 est au-dessous de C2 sur ]– ∞ ; 0[ ∪ ]1 ; + ∞[. y  – a e – a  a2 e – a  a e – a
• Conjoncture b y = a2 e–a
f1(x) = f2(x) ⇔ x e–x = x2 e–x ⇔ e–x (x – x2) = 0 2. a) α = a2 e–a
⇔ x – x2 = 0 ⇔ x(1 – x) = 0 Pour α  4e–2, il existe une unique solution a
d’où x = 0 ou x = 1 tel que  f2(x) = α = a2 e–a
1
f1(0) = 0 et f1(1) = 1e–1 = donc une seule tangente à C1 passant par T.
e
1 Pour α ∈ ]0 ; 4e–2], il existe deux solutions α
I1 (0 ; 0) et I2 (1 ; ) points d’intersection de C1 et C2.
e tel que  f2(x) = α = a2 e–a
• Conjecture c
donc deux tangentes exactement à C1 passant par T
f1(x) = u(x) v(x) avec u(x) = x et v(x) = e–x dérivables sur .
Pour α = 0, 1 seule tangente à C1 passant par T
telles que u¢(x) = 1 et v¢(x) = – e–x donc f est dérivable sur .
Pour α  0, aucune tangente à C1 passant par T
Pour tout réel x, f ¢(x) = e–x (1 – x) a le même signe que
b) On place sur C2 le point M d’ordonnée a, puis on place
1 – x sur .
1 sur C1 le point N de même abscisse que M.
f(1) = On trace enfin la droite (TM) tangente à C1 en N.
e
x –∞ 1 +∞
f ¢(x) + 0 – 105 1. a)  
1
f(x)
e
• Conjecture d
f2(x) = u(x) × v(x) avec u(x) = x2 et v(x) = e–x dérivables sur
 telles que u¢(x) = 2x et v¢(x) = – ex b) Il semble que la concentration plasmatique maximale
donc f est dérivable sur . est 0,7 pour t = 0,76.
Pour tout réel x, f ¢(x) = e–x (2x – x2) a le même signe que
2x – x2 sur .
x –∞ 0 2 +∞
f ¢(x) – 0 + 0 –
4e –2
f(x) 0
f(0) = 0 et f(2) = 4e–2
2. a) c(t) dérivable sur  et pour tout réel t ∈[0 ; 24] :
f(0) = 0 est un minimum de f2
c¢(t) = 3(– e–t + 2e–2t) = – 3e–2t (et – 2)
f(2) = 4e–2 est un maximum local de f2 –2t
b) – 3e  0 sur [0 ; 24].
3.  y Donc c¢(t) est de signe contraire à et – 2
et – 2 = 0 ⇔ et = 2 ⇔ t = α  0,69
et – 2  0 ⇔ et  2 = eα ⇔ t  α
et – 2  0 sur [0 ; a[
2
t 0 α  0,69 +∞
c¢(t) + 0 –
c(t)
1
© Nathan. Hyperbole Term S

T Æ a2e–a c) α = 0,69 cohérent avec la conjecture 1.b)


3. Il semble que non
C2
C1 c(t) = 3e–2t (et – 1)
ur x 3e–2t  0 sur [0 ; 24]
O
i 1 2 3 4
et – 1  0 sur ]0 ; 24]
Donc c(t) ≠ 0 sur ]0 ; 24]
22
106 Partie A Ê a2  a  1ˆ – 1 1
– Ê 1ˆ
b) y = 0 ⇔ Á ax – e a
1. Équation de T au point M :  y = ea(x – a) + ea a2 ˜ e ÁË a ˜¯  0
Ë ¯
T coupe l’axe des abscisses en P si, et seulement si :
1
ea(x – a) + ea = 0 ⇔ xuu–r a = – 1 ⇔ x = a – 1uur ur a
⇔x  a ⇔x 2
2. Coordonnées du vecteur NP (a – 1 – a ; 0). Donc NP = i Ê a2  a  1ˆ a  a 1
Partie B Á ˜
Ë a2 ¯
1. Équation de Ta au point M :  y = g¢(a)(x – a) + g(a)
Ta coupe l’axe des abscisses en P si, et seulement si : c) T 1 coupe l’axe des abscisses au point d’abscisses
g( a ) g( a ) a
g¢(a)(x – a) + g(a) = 0 ⇔ x – a = – ⇔x=a– 1 1
g ¢( a ) g ¢( a )
a a a
Ê g( a ) ˆ x   2
P a pour coordonnées Á a – ;0 1 1 1  a  a2 a  a 1
Ë g ¢( a ) ˜¯  1
a2 a 2
a
2. g(0) = 2. Pour tout réel x,  g¢(x) = – 2e–x
Ê 2e – a ˆ 1
P a pour coordonnées Á a – ; 0˜ , soit (a + 1 ; 0) 108 1. Pour tout réel x,  f ( x ) 
Ë – 2e – a
¯ ex  e– x
uur uur ur 1
Coordonnées du vecteur NP (a + 1 – a ; 0). Donc NP = i f (– x )   f ( x)
e– x  e x
f est une fonction paire
107 1.  y
L’axe des ordonnées est un axe de symétrie de la courbe
6 de f.
2. Pour tout réel x  0,
4 1
T e – x  e x € x  e x € 1  e2 x
2 A(a ; ea) e
1 Sur [0 ; + ∞[, e2x  1, donc e–x  ex sur [0 ; + ∞[.
x
O 1 lim e x   ¸
x Æ Ô
˝ lim e x  e - x   
B(b ; –b2–1) 3. a) 
lim e - x  0 Ô x Æ
x Æ ˛
lim f ( x )  0
x Æ
1
b) f ( x ) = avec u(x) = ex + e–x dérivable sur [0 ; + ∞[
u( x )
telle que u(x) ≠ 0 sur [0 ; + ∞[ et u¢(x) = ex – e–x.
–1 f est dérivable sur [0 ; + ∞[ et pour réel x  0,
f(x) = v(x) eu(x) avec v(x) = x + 1 et u(x) = dérivables sur e x - e- x e- x - e x
x f ¢( x )  - x  x
–1 (e  e ) - x 2 ( e  e - x )2
]0 ; + ∞[ telles que v¢(x) = 1 et u¢(x) = 2
x
Comme e–x  ex sur [0 ; + ∞[, f ¢(x)  0 sur [0 ; + ∞[.
donc f est dérivable sur ]0 ; + ∞[ et pour tout réel x  0 :
1 1 f est décroissante sur [0 ; + ∞[.
– 1 –
f ¢(x) = e x  ( x  1) ¥ 2 e x  0 sur ]0 ; + ∞[
x x –∞ 0 +∞
– Ê x 2  x  1ˆ
1
f ¢( x )  e x Á ˜ f ¢(x) + 0 –
Ë x2 ¯ 1
f est strictement croissante sur ]0 ; + ∞[ f(x)
0 2 0
2. a) Équation de Ta :  y = f ¢(a)(x – a) + f(a). 1
f ( 0) =
– Ê a2  a  1ˆ
1 1
– 2
ye aÁ ˜ ( x – a )  ( a  1) e a
Ë a2 ¯ 4. a) Pour tout réel x  0, ex  ex + e–x  2ex
1 1 1
Ê a2  a  1ˆ – 1 – Ê a2  a  1
1
ˆ x
 x x
 x
yÁ 2 ˜ e ax – e a
Á – a – 1˜ e e e - 2e
Ë a ¯ Ë a ¯ h(x)  f(x)  g(x)
Ê a  a  1ˆ – 1 1
– Ê 1ˆ
© Nathan. Hyperbole Term S

2
yÁ 2 ˜ e a x – e a ÁË a ˜¯
Ë a ¯

23
b) G est au-dessus de G2 et au-dessous de G1 sur [0 ; + ∞[. 111 a) D(0) = 12 573 habitants par km2 au centre ville.
1
b) D’après la calculatrice
R 0 +∞
0,8
G1 D(R)
0,6 12 573 0
G
0,4 c)  lim D(R )  0
R Æ
G2 d) D(R) = 12 573 eu avec u(x) = – 0,008 51R – 0,063 1 R2
0,2
0,1
dérivable sur [0 ; + ∞[ telle que u¢(x) = 0,008 31 – 0,126 22.
D est donc dérivable sur [0 ; + ∞[ et pour tout réel R  0,
O D¢(R) = – 104,481 63 – 1 586,712 6 eu(R)  0 sur [0 ; + ∞[.
D est donc strictement décroissante sur [0 ; + ∞[.
Équation de la tangente à G au point d’abscisse 0
y = f ¢(0) x + f(0)
1 112 Partie A
y= a) g dérivable sur ]0 ; 100] et pour tout réel x ∈ ]0 ; 100] :
2
g¢(x) = 2e2x – 2ex = 2ex(ex – 1)
109 Conjecture : voir grapheur. g¢(x) a le même signe que ex – 1.
Il semble que pour tout réel x, eax  ax. g¢(x)  0 sur ]0 ; 100].
Soit f(x) = eax – ax dérivable sur . b) 
Pour tout réel x, f ¢(x) = aeax – a x 0 100
f ¢(x) = a(eax – 1)
g(x)
• 1er cas : a  0
eax – 1  0 sur ]0 ; + ∞[
c) 
eax – 1  0 sur ]– ∞ ; 0[
• 2e cas : a  0
eax – 1  0 sur ]– ∞ ; 0[
eax – 1  0 sur ]0 ; + ∞[
x –∞ 0 +∞
f ¢(x) – 0 +
d) g(x)  0 sur ]0 ; a[
f(x) 1 g(x)  0 sur ]a ; 100]
Partie B
f(0) = e0 – 0 = 1 donc pour tout réel x, f(x)  0 et eax  ax u( x )
1. f ( x ) = avec u(x) = e2x + 3 et v(x) = 6(ex – 1) ≠ 0
v( x )
110 T(t) = Aect + 20 sur [0 ; 24]. dérivables sur ]0 ; + ∞[ telles que u¢(x) = 2e2x et v¢(x) = 6ex.
T(0) = A + 20 = 32 f dérivable sur ]0 ; + ∞[ et pour tout réel x  0 :
A = 12 2e2 x ¥ 6( e x - 1) - ( e2 x  3) ¥ 6e x
T(0,5) = 12e0,5c + 20 = 31 f ¢( x ) 
36( e x - 1)2
12e0,5c = 11 12e3 x - 12e2 x - 6e3 x - 18e x
11 f ¢( x ) 
e0,5c = 36( e x - 1)2
12
121 6e - 12e2 x - 18e x
3 x
(e0,5c)2 = f ¢( x ) 
121 144 36( e x - 1)2
ec = 6 e ( e 2 x - 2 e x  3)
x e x ¥ g( x )
144 f ¢( x )  
Heure du crime tel que T(t) = 12ect + 20 = 37 36 ( e x - 1)2 6( e x - 1)2
t
⇔ 12e = 17 ⇔ e =
ct ct 17 Ê 121ˆ
⇔ (e ) = Á
c t 
17 x 0 a 100
12 Ë 144 ˜¯ 12 f ¢(x) – 0 +
© Nathan. Hyperbole Term S

t
Ê 121ˆ 17
⇔Á ˜  ⇔ t ≈ 2 h d’après le tableur de la calcu- f(x)
Ë 144 ¯ 12
latrice. 2. 
x 0,5 1 a 2 3
f(x) 1,47 1,01 1 1,50 3,55

24
3.  17
-
3
f(3) = 0  f (7) = 4 e 4   f (30)  27e 2

3. Équation de T :
y = f ¢(24)(x – 24) + f(24)
17
y- ( x - 24 )  21
4
17
y- x  123
4
y

300
O 1 2 3
200
4. 1 unité.

113 Partie A 100


x
- 6
1. f(x) = u(x) ¥ v(x) avec u(x) = x – 3 et v(x) = déri- e 4
vables sur [3 ; 30] sur  telles que u¢(x) = 1 et x
x O ur 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 30
1 - 6 i
v¢(x) = - e 4 donc f est dérivable sur [3 ; 30] et pour
4
tout réel x ∈ [3 ; 30] : Partie B
x
- 6 Ê 1ˆ - x  6 1. Bénéfice = prix de vente – prix de revient
f ¢( x )  e 4  ( x - 3) ¥ Á - ˜ e 4 x
- 6
x
- 6
Ë 4¯  x¥e 4 - 300e 4
x x
- 6 Ê x 3ˆ - 6
f ¢( x )  e 4 Á1 -  ˜  (x - 3) e 4
Ë 4 4¯ Bénéfice = f(x)
Ê x 7 ˆ - x 6 17
f ¢( x )  Á -  ˜ e 4 2. f(x) admet un maximum f (7) = 4 e 4 donc x = 700 F
Ë 4 4¯
x prix de vente.
- 6
2. e 4  0 sur [3 ; 30] Le bénéfice est alors de 28 000 F.
x 3 7 30
f ¢(x) + 0 –
17
3
f(x) 4e 4 -
0 27e 2
© Nathan. Hyperbole Term S

25

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