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Mémoire de Licence
Présenté par :
Sidi Salah Salim
Soutenu le : …
Avec les transferts de population de la campagne vers les villes, le cœur de celles-ci est
devenu de plus en plus complexe. Fondations des immeubles et bâtiments publics, transports
souterrains (chemins de fer, métropolitains, routes), chauffage urbain, télécommunications,
câble, électricité, gaz, réseaux d’eau potable et réseaux d’égoûts occupent le sous-sol urbain.
Celui-ci est devenu, comme la surface, une denrée rare et précieuse.
Les fondations ont laissé des traces très anciennes. Des sondages datant de 1933 ont trouvé
des pieux sous une pyramide datant d’environ 2000 ans avant J.-C.
Cité lacustre et derrick en bambou en Chine au tout début du 20ème siècle. Remarquez
que les pipe-lines sont aussi en bambou
Les Chinois furent des experts du sondage à percussion. Ils firent des forages destinés à
extraire de l’eau salée du sol. Sous la saumure ils découvrirent des dépôts de gaz méthane.
Les forages devinrent des "puits à feu".
Ils utilisèrent le pétrole et le gaz naturel comme combustible et comme source d’éclairage de
nombreux siècles avant l’Occident, probablement avant le IIIe avant J.-C. Avec des sonnettes
et des trains de tiges en bambou ils descendirent à plusieurs centaines de mètres. Il semble que
la profondeur de 1.450 mètres soit le record avéré.
Les câbles en bambou étaient faits de morceaux de 12 mètres de long. Un câble simple
suffisait pour aller jusqu’à 500 mètres. La résistance à la traction d’une corde de chanvre est
de 530 kg/cm², alors que celle d’un câble de bambou atteint 2.000 kg/cm², soit autant que
certains câbles d’acier et il devient plus solide quand il est mouillé au contraire du chanvre.
A travers l’Asie, on retrouve plusieurs exemples de consolidation de sol avec des tiges de
bambou durci, procédé encore employé artisanalement. Les pilotis des villages lacustres
préfigurent les fondations de nos quais modernes.
Pas de changements fondamentaux pendant cette période. Les auteurs latins sont
redécouverts. On traduit et annote toujours Vitruve.
Mais de nouveaux problèmes souterrains apparaissent. A force de creuser le sous sol pour
en extraire la pierre, le gypse ou la glaise, les carrières, souvent sur plusieurs étages, se sont
étendues comme le développement des villes et les constructions ont été faites sur des cavités
Cloche de fontis sous la gare du Nord à Paris
Sur la photo ci-dessus : on y voit une cloche de fontis remontant sous la gare du Nord à
Paris. Elle a 15 m de hauteur et la profondeur du lac souterrain est de 6 m. Elle a été remplie
en 1975 par plusieurs milliers mètres cube de coulis d’injection. Cette cloche avait été
provoquée par la dissolution d’une poche de gypse. Elle se situe à 15 m sous les voies de
départ du Paris-Bruxelles.
A Paris, par exemple, les premiers gros accidents connus se sont passés sous le règne de Louis
XIV. Ils furent à l’origine de la création de l’Inspection des carrières en 1777. Toutefois, ce
n’est qu’à partir de Napoléon que toutes les exploitations anarchiques cessèrent.
Un atlas remarquable fut établi qui est toujours utilisé aujourd’hui et qui sert à prendre des
précautions spéciales pour les fondations dans les zones à risques.
La conception des fondations
Les fondations, du XVIIIe à la fin du XIXe, n’étaient pas très différentes dans leur
principe de celles du Moyen Age : des semelles ou des radiers quand cela suffisait et sinon
des forêts de pieux battus en bois dont les têtes étaient reprises dans les radiers.
Si cela était nécessaire, à cause de la présence d’eau, on réalisait des caissons étanches à l’abri
desquels on terrassait en pompant pour atteindre le bon sol et s’y fonder, ou pour battre des
pieux depuis le fond du caisson.
Au début du XXe, les fondations de l’Irving Building à New York, "maison géante de cent
mètres de hauteur" ou "Sky-craper", en 1913 ressemblent étonnamment
Le XIXe siècle
Les machines de forage, grâce à de petites machines à vapeur améliorèrent leurs
performances. Ici, il s’agit des forages qui exploitèrent le gisement de Oil-Creek en
Pennsylvanie, un des premiers à être exploité aux Etats-Unis.
Ce siècle est, avant tout, celui qui introduisit une nouvelle source d’énergie découverte en
1765 par James Watt : la vapeur. Après la force humaine puis animale plus ou moins
démultipliée, après la force du vent ou de l’eau malheureusement trop localisée, apparut la
possibilité de disposer d’une énergie considérable en tous lieux.
C’est un saut technologique qui introduit une solution de continuité dans l’histoire de
l’industrie des hommes.
Dans notre domaine l’homme procédait depuis des temps immémoriaux à des forages
pour trouver de l’eau. Au XIXe on utilisait des sondages pour trouver des sources
artésiennes. Enfin ces forages furent utilisés pour trouver du pétrole (Oil-Creek en
Pennsylvanie) aux Etats-Unis et du charbon un peu partout.
Par exemple, en France, pour reconnaître le bassin houiller de la Moselle, les industriels
(Wendel, Pougnet), privés par les traités de 1815 de l’accès facile au charbon de la Sarre,
firent faire plus de cinquante forages d’une profondeur dépassant quelquefois cinq cents
mètres.
Moins de la moitié de ces forages aboutit mais ce fut Napoléon III, lui-même, qui annonça en
1858 à la France et au monde la découverte du bassin houiller de la Moselle dans le
prolongement de celui de la Sarre. Les machines de sondage étaient munies d’une petite
machine à vapeur et chaque sondage était une aventure. Cependant les principes de forage et
les outils ont perduré pendant plus d’un siècle.
La congélation
Le raccord entre les caissons en rivière et la partie terrestre s’est fait avec un manchon
de congélation.
Dans les travaux souterrains délicats, à travers des sols très fins sous la nappe phréatique,
des problèmes presque insolubles peuvent se poser. En effet, l’eau en arrivant dans la fouille
entraîne des matériaux et les fuites empirent en ayant souvent des conséquences dramatiques.
Une solution consiste à congeler l’eau qui est dans le terrain et à le rendre ainsi étanche et
résistant.
C’est aussi à la fin du XIXe que furent réalisées les premières congélations de terrain. Ce
procédé, inventé en 1883 en Allemagne pour creuser des puits pour le charbon, est encore
employé de nos jours pour les cas particulièrement difficiles.
Les fluides de refroidissement ont varié. Le chlorure de calcium a fait place à l’azote liquide
plus rapide pour la mise en froid et plus facile d’emploi. La saumure n’est employée que pour
l’entretien du froid pour les chantiers longs.
Le béton armé
Du XIXe au milieu du XXe. La révolution industrielle, les grands
changements : le béton armé.
Pour le béton en général, il y a d’autres articles sur ce sujet capital pour les travaux publics
auxquels nous renvoyons l’internaute.
Pour les fondations la révolution du béton armé s’amorça après sa découverte vers le
milieu du XIXe par Joseph Monier qui en fit des pots de fleurs. En effet, progressivement, le
béton armé remplaça le bois pour les pieux battus.
Ce changement sera d’autant plus rapide que les forêts avaient du mal à fournir tous les beaux
fûts de chêne nécessaires aux constructions industrielles de plus en plus lourdes. Ce qui
n’empêche pas qu’il était encore possible, en 1964 à Ajaccio, de voir battre des pieux de bois
pour fonder des immeubles de plusieurs étages.
Le béton armé permettra à la fin du siècle (1894) à François Hennebique de construire des
ponts qui furent les premiers ouvrages en béton armé du monde.
Le béton armé servit aussi à faire des semelles de grandes dimensions et des radiers à
nervures ou à voûtes renversées.
Plus tard viendront le béton préfabriqué, le béton précontraint et les bétons spéciaux qui
trouveront aussi leurs applications propres mais ce qui fit faire un grand progrès aux
fondations fut l’invention du béton coulé sous la boue. Ce procédé permit l’essor
extraordinaire des parois moulées dans le sol.
On commença à couler le béton au fond de tubes qui protégeait celui-ci des arrivées
d’eau. La colonne ne servait qu’à éviter la ségrégation due à une chute libre de trop
grande hauteur.
Et puis lors de l’invention des parois vers les années 1950, la colonne servit à envoyer. Le
béton sous la boue bentonitique dont la fonction était de maintenir la tranchée ouverte.
La palplanche
Le XIXe vit aussi apparaître les constructions métalliques. Les palplanches en bois furent
remplacées par des palplanches en fonte en Angleterre dès 1822. L’acier pris la place de la
fonte en 1882.
Une multitude de brevets furent déposés mais la véritable utilisation des palplanches en acier
ne se fit qu’après 1900, une quarantaine d’années après que l’acier ne soit fourni à bas prix.
De leur côté, les palplanches firent aussi bien des progrès en résistance, en forme et en
qualité de serrures - point essentiel pour la future étanchéité du rideau.
CHAPITRE 1
Définition
Les fondations
Fondation (construction)
Une fondation se définit comme la partie d'un bâtiment ou d'un ouvrage de travaux publics
qui assure la transmission dans le sol des charges (poids propre, forces climatiques, sismiques
et charges d'exploitation) de celui-ci.
Les fondations d’un bâtiment représentent un enjeu essentiel de sa construction, car elles
forment la partie structurelle qui assure sa portance et permet de contrôler les tassements dus
aux charges qu'il applique au sol et les infiltrations dues à la présence éventuelle d'eau dans le
terrain.
Suivant la capacité portante du sol, l'environnement de l'ouvrage à fonder, les forces mises en
jeu et les tassements admissibles, le constructeur choisira une solution du type fondation
superficielle, semi-profonde ou profonde, qui diffèrent par leur niveau de fondation, leur
géométrie et leur fonctionnement.
En dernier recours, si le sol en place ne possède pas les qualités suffisantes pour qu'on puisse
y fonder l'ouvrage, des techniques de renforcement des sols sont utilisables.
CHAPITRE 2
Dimensionnement des
fondations
Les fondations varient selon la qualité du sol sur lequel le bâtiment doit être implanté, ainsi
que selon la nature et la taille du bâtiment. Il est fortement recommandé que ce sol soit de
bonne portance et peu sujet au tassement.
L'ingénieur chargé de l'étude des sols est un ingénieur géotechnicien. À partir d'un rapport
géotechnique il peut déterminer le type de fondation ou les renforcements de sol nécessaires
et le niveau d'assise d'un ouvrage adapté au terrain en place.
Selon la hauteur d'encastrement (« D »), c'est-à-dire l'épaisseur minimale des terres qui se
trouvent au-dessus de la base de la fondation, et la largeur de la base (« B » ), on peut définir
les fondations comme étant :
Lorsque l’on définit les situations de calcul et les états-limites, il convient de considérer les
facteurs suivants :
Selon la capacité portante du sol, les forces mises en jeu et les tassements admissibles, trois
types de fondations sont envisageables : superficielle, semi-profonde et profonde.
Fondations
Présentation
Les fondations superficielles forment un type d'assise pouvant être mise en place sur des sols
de bonne portance, c'est-à-dire capables de reprendre les charges du bâtiment en entraînant un
tassement minimum1. Leur simplicité de réalisation et leur faible coût font de ce type de
fondation les structures les plus courantes.
Selon la structure qu'elles supportent, les fondations superficielles peuvent porter différents
noms :
Le niveau de sol sur lequel reposent les fondations superficielles est appelé « niveau
d'assise », « fond de coffre » ou encore « fond de fouille ».
Lorsque la capacité portante du fond de coffre n'est pas homogène, la mise en œuvre d'un
radier général sera une alternative économique aux fondations semi-profondes et profondes.
Fondations profondes et semi-profondes
.
Présentation
L’interaction entre la fondation et le sol fait alors intervenir la notion de profondeur critique3 :
au-delà de cette profondeur, la résistance sous la base de la fondation n’augmente plus, et la
longueur de la fondation profonde devient alors le critère déterminant de son
dimensionnement. C’est le cas des fondations profondes, généralement appliquées dans le cas
d'un sol stable à une profondeur supérieure à 6-8 m.
Il existe de nombreux types de fondations profondes, qui diffèrent par leur mode d’installation
et de fonctionnement. Les plus courants sont les fondations en pieux qui peuvent être battus,
foncés ou forés (avec ou sans refoulement du sol). La technique de la paroi moulée est
également très répandue, en particulier lors de la construction de fouilles (parking souterrains,
tranchée couverte, etc.), où elle possède également un rôle de paroi de soutènement.
D’autres techniques peuvent être utilisées comme fondations profondes : micropieux, jet-
grouting, palplanches, etc. Lorsque les ouvrages d'infrastructure se trouvent soumis aux
composantes horizontales des pressions hydrostatiques, la réalisation d'un cuvelage sera
parfois nécessaire pour garantir l'étanchéité à l'eau (principe inverse de la piscine).
Ce type de fondation peut être utilisée dans le cas d'un sol stable en faible profondeur : des
puits d'une profondeur suffisante pour se stabiliser sur la couche stable sont remplis de "gros
béton" (un béton grossier dosé à environ 200 kg de ciment/m3). Bien souvent, ces puits
peuvent être creusés à la pelle mécanique hydraulique, permettant ainsi à l'entreprise chargée
de la réalisation du gros œuvre de réaliser l'ouvrage sans faire appel à une entreprise
spécialisée, comme dans le cas de fondations profondes.
En plus leur simplicité d’exécution, les fondations semi-profondes présentent aussi l'avantage
de se prémunir contre le phénomène de gel et de dégel des sols.
Renforcement de sol
Fondation antisismique découplée par isolement bas4 : appui sur galets caoutchouc en tête de
fondation, Municipal Office Building, ville de Glendale, CA.
Les techniques de renforcement des sols ont pour objectif d’améliorer in-situ les
caractéristiques d’un sol peu résistant afin de permettre l’emploi de fondations superficielles.
Celles qui consistent à inclure des éléments résistants dans le sol 5 : inclusions rigides,
colonnes ballastées, enrochements, injection de coulis et de résines, clouage, etc. Ces
renforcements peuvent être améliorés par l’emploi de tarières qui refoulent le sol.
Celles qui font appel à l’utilisation d’un liant (par exemple de la chaux ou du ciment - voir
aussi les techniques de chapes) .
Celles qui compactent le sol : pré-chargement associé à du drainage, compactage
dynamique, vibroflottation, consolidation atmosphérique, etc. Ces techniques sont
particulièrement efficaces sur des sols granuleux (de type sableux par exemple) car elles
réduisent l'espace entre les grains.
Fondations parasismiques
Article détaillé : Génie parasismique.
Les mouvements transversaux du sol lors d'un séisme peuvent créer des efforts de
cisaillements très importants entre les fondations et l'ossature du bâtiment. Au lieu d'opter
pour des fondations très résistantes et donc très onéreuses, l’ingénierie parasismique cherche
plutôt à diminuer les interactions sol-structure en employant des matériaux qui amortissent les
vibrations (isolement bas) : galets en caoutchouc, appuis néoprène (empilement de feuillets de
néoprène et de plaques d'acier), etc.
Des techniques de renforcement des sols permettent également de prévenir les phénomènes de
liquéfaction du sol qui peuvent survenir lors de séisme. Il faut néanmoins faire attention au
mur porteur.
Chapitre 3
La fabrication d’une fondation
Sondage géotechnique
Un sondage géotechnique est une investigation du sous-sol, réalisée avec ou sans forage d'un
trou, destinée à déterminer la nature et les caractéristiques mécaniques, physiques et
éventuellement chimiques de ses constituants afin de prévoir son comportement lors de la
réalisation d'un ouvrage, ainsi que le ciment a prévoir .
Béton
Le béton est un matériau de construction composé d'un mélange de granulats, de sable, et d'eau
aggloméré par un liant hydraulique (le plus souvent du ciment) qui sert de « colle ». On y ajoute
éventuellement des adjuvants et d'autres ingrédients pour modifier ses caractéristiques. Pour
fabriquer 1 m3 de béton, il faut environ 300 kg de ciment, 800 kg de sable, 1.050 kg de granulat et
175 l d'eau.
Les premiers bétons remontent à plus de 3.000 ans avant J. C. Ils étaient alors composés
d'argile, de sable, de gravier et d'eau et appelés béton de terre ou torchis. L'invention du «
ciment romain » en 1796 puis du béton précontraint vont sceller le succès du béton. C'est
aujourd'hui le matériau de construction le plus utilisé au monde : on estime sa production à
environ une tonne par habitant sur la planète.
Fabrication de beton
Le béton est fabriqué principalement
dans des centrales de béton prêts à l’emploi –BPE- (le béton est livré dans ce cas à l’état frais
sur les chantiers)
en usine pour les produits préfabriqués en béton (les produits en béton sont ensuite livrés
sur les chantiers prêts à être mis en place).
Des centrales de chantier sont utilisées sur certains chantiers importants (fabrication du
béton dans une centrale sur le site à proximité de l’ouvrage à construire).
Pour les petits chantiers, le béton peut être fabriqué tout simplement dans des bétonnières.
Pour élaborer un béton, matériau homogène, il faut tenir compte au cours des phases de
fabrication et de transport, de la diversité de ses constituants. Il faut aussi réaliser un mélange
efficace, qui ne puisse pas subir ensuite de ségrégation ou de décohésion.
Ferraillage
Une barre d'armature, ou fer à béton, est une barre d'acier utilisée pour le renforcement du
béton (béton armé) ou de la maçonnerie (pierre armée). Elle est composée d'acier
faiblement carboné, et possède une surface nervurée pour améliorer son adhérence avec le
béton.
Mise en œuvre
Les barres d'armature sont produites par les aciéries, et sont disponibles avec des diamètres variant
entre 6 millimètres et 50 millimètres. Elles sont ensuite pliées selon les plans établis par l'ingénieur
civil. Sur le chantier, elles sont assemblées par ligature, par soudage ou par des coupleurs
mécaniques, pour former des cages d'armature. Les spécialistes de la pose d'armatures sont
communément appelés ferrailleurs.
Chapitre 4
Calcule de ferraillage d’une semelle
isolée
EXAMPLE :
B.A.E.L 91 révisé 99
CHANTIER :
Données
Dimensions du poteau Grand coté du poteau b= 0,3 m
Petit coté du poteau a= 0,25 m
Contrainte de l'acier utilisé Fe = 500 MPa
Contrainte du béton à 28 jours Fc28 = 35 MPa
Effort de service = G + Q Nser = 0,4 MN
Effort ultime = 1.35 G + 1.5 Q Nu = 0,6 MN
Contrainte admissible du sol Dépend du type de sol q.sol = 0,42 MPa
Type de calcul (1) Débords homothétiques, (2) Débord constant Type : 2
Conditions de fissuration (1) FP, (2) FTP Type : 1
Résultats
Aire approchée de la surface
( Nu / q.sol ) S1 = 1,43 m²
portante
Calcul des dimensions approchées Débord homothétique =>
A1 = ( S1 x ( a / b )) ^1/2
Débord A
B1 = ( S2 x ( b / a )) ^1/2 =
0,46 m
Débord B
Débord constant => =
0,46 m
Débord = [((( 4 x S1 ) + a² - 2ab + b² )^1/2 ) - a - b ] / 4 A1 = 1,17 m
A1 = a+( 2 x débord ), B1 = b+( 2 x débord ) B1 = 1,22 m
Choix des dimensions A > A1 A= 1,20 m
B > B1 B= 1,25 m
Hauteur minimale de la semelle Si débord > 15 cm => (( B - b ) / 4 ) + 5 cm
Si débord < 15 cm => ( 2 x débord ) + 5 cm Ht mini = 0,29 m
Choix de la hauteur de la semelle Arrondir Ht = 0,30 m
Calcul de la hauteur utile ( Ht - 5 cm ) d= 0,25 m
y : poids volumique.
)
kPa : le kilo Paseal (1 kPa = 1000 Pa,)
kN/mJ : le kilo Newton par mètre cube (1 kN/m3 = 1000 N/m3 = 0.1 tonne)
nt : masse ou mètre.
g : accélération de la pesanteur.
e : excentricité ou épaisseur.
H ou h : hauteur
D ou d : Diamètre.
a: Angle.
CONCLUSION
Le but de celte étude était de passer en revue les différentes méthodes de
faire, il était nécessaire d'avoir recours à une documentation bien fournie, mais les ouvrages
Nous avons répertorié les différentes méthodes de calcul des fondations profondes basées sur
la détermination de la pression limite qui constitue une méthode fiable de calcul des
fondations.
supposé homogène, à une profondeur donnée, à partir des paramètres du sol d'ancrage et des
palplanches, des tranchées blindées, les études d'affouillement, la stabilité des pentes et talus,
les études hydrologique et hydraulique sont des volets importants et incontournables dans un