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I- INTRODUCTION
1.01 - Le présent rapport a pour objet de présenter le projet de construction de 50 villas basses
moyen standing et 50 villas duplex haut standing par la société XXXXXX.
1.02 - La Société XXXXXX a été créée sous forme de société à responsabilité limitée. Son
capital social est de 1 000 000 de F CFA.
1.03 - Le projet, objet du présent rapport, consiste en la réalisation d’un programme immobilier
de 50 villas basses moyen standing et 50 villas duplex haut standing de 250 m2 chacune
dénommé ‘ESPOIR’ sur une superficie de 25 000 m². Le terrain, d’une surface totale de 3,6 ha,
bénéficie d’une excellente rente de situation au regard de son site, dans la commune de
ABOISSO à la périphérie de la ville, avec une vue sur le paysage de la forêt luxuriante. La mise
en œuvre du projet, prévue sur deux ans, sera effectuée par deux entreprises de construction
ayant d’excellentes références dans la maîtrise de programmes similaires.
1.04 - Comme dans tous les pays en voie de développement, l’évocation en Côte d’Ivoire de la
question de l’offre et de la demande de logements se traduit par l’émergence des
caractéristiques portant sur :
- i) une production inférieure aux besoins
- ii) une production dominée par l’informel
- iii) une demande composée en majorité de non solvable.
Ainsi, toute quantification de la production de logements constitue un exercice difficile. Souvent
les chiffres présentés sont soit sous-estimés, car tenant compte exclusivement des logements
autorisés en gonflant exagérément la part que représente l’habitat non réglementaire dans la
production totale des logements. Les données ressortant du chapitre 4 procèdent des
statistiques officielles. Bien qu’elles n’aient pas fait l’objet d’une évaluation de leur pertinence,
elles témoignent d’un déficit important en logements dans la seule agglomération d’Abidjan dont
les besoins sont estimés par an à 25.000 logements.
1.06 - Le coût d’investissement ressort d’études solides effectuées par le cabinet PREMIUM
COMPTA CONSEIL. Les besoins de financement pour ce projet immobilier sont garantis par
l’hypothèque consentie sur le terrain. Le paiement des maisons se fera uniquement par l’octroi
d’un crédit acquéreur. La rentabilité qui se dégage du projet permet de faire face aisément au
service de la dette qui serait née de cet emprunt.
1.07 - Le présent rapport soutient donc la requête de financement sous forme d’un prêt de
CENT QUARANTE HUIT MILLIONS SIX CENT SOIXANTE DIX-SEPT MILLE CINQ CENT
(148 677 500) Francs CFA pour la réalisation de l’Attestation de Concession Définitive du
terrain et les travaux de décapage, terrassement, voiries et divers avec une ligne de crédit
revolving ou d’autorisation de découvert d’un montant de TROIS CENT QUARANTE DEUX
MILLIONS SEPT CENT SIX MILLE HUIT CENT SOIXANTE (342 706 860) FCFA en vue de
financer la réalisation de ladite promotion immobilière selon son calendrier de livraison des
bâtiments qui est de DIX (10) maisons chaque 3 mois AVEC UN MOIS EN PLUS POUR TENIR
COMPTE DE LA MISE EN PLACE DU CREDIT REVOLVING SUIVANT.
II- PROJET
2.1 - PRESENTATION
2.2.1 – La localisation
Le terrain à aménager d’une superficie de 75.000 m² est situé à ABOISSO, non loin de la ville.
2.2.3 – L’environnement
Situé à peine 2 m au-dessus du niveau de la mer, le projet « ESPOIR » sera construit dans un
environnement sain et très ventilé par une atmosphère douce et fraîche, fruit de la conjonction
de la brise marine du littoral de Bassam et des vents légers de la lagune juste en avant et en
arrière de la ville . De ce point, on a une vue isoplane sur la ville.
2.3.2 – L’architecture est de type moderne, avec un toit en pente qui s’harmonise fort bien avec
2
la configuration du site. Chaque logement a un accès direct sur une rue à deux voies, ce qui
facilite le stationnement et les déplacements.
2.3.3 – Une pénétration ou chaussée lourde de 16 mètre de large facilite l’accès des véhicules
de livraison et de ramassage d’ordures. De grandes réserves ont été prévues pour des espaces
verts et la construction d’école primaire de 12 classes. Tous ces choix opérés avec rigueur et
soin visent au bien être des futurs résidents de la cité.
2.4 – LE PROGRAMME
2.4.2 – Le seul type de logement retenus la villa duplex moyen standing 4 pièces Les
caractéristiques sont données en annexe 1
-Revêtement : Chape ciment brut dans le séjour, désagrément, terrasse. Chape lisse dans les
chambres. Carreaux dans la salle humides (salle d’eau, W-C, cuisine).
-Menuiserie bois : Porte intérieure iso plane, porte extérieure lambris bois sélectionné du terroir.
Fenêtre et portes fenêtre ouvrant à la française.
-Plomberie : Distribution générale et robinet d’arrêt et équipements canalisation PVC,
2
adduction, évacuation cuivre par raccord aux apparats sanitaires blancs, eau froide, circuit
d’eau chaude. Raccordements, canalisations raccordées aux réseaux publics, niche compteur
d’eau.
-Electricité – Téléphone : Luminaires sur appliques muraux, prises courant et interrupteurs
encastrés, tableau général et circuit de terre. Niche compteur d’électricité. Réseau téléphonique
intégré.
-Peinture : Enduit ciment extérieur, peinture vinylique extérieur, Enduit ciment intérieur, peinture
vinylique intérieur.
-Enduit ciment salle d’eau, carreaux faïence grès céramique.
Menuiserie bois : peinture glycérophtalique
Vitrerie : verre clair et translucide.
Alimentation en eau potable : La cité sera dotée d’un réseau d’adduction en eau potable pris en
charge sur la canalisation réseau principal de la SODECI que longe la voie express. Le réseau
de canalisation sera en PVC pression de 10 bars de résistance. Les ouvrages de sécurité tels
que les robinets vannes, les poteaux d’incendie, les ventouses et les vidanges seront prévues
en nombre suffisant pour le bon fonctionnement du réseau.
Espaces verts : Les arbres et les arbustes seront implantés en bordure des voies. Les espaces
verts seront aménagés et plantés comme suit :
2.4.8 – Le planning d’exécution des VRD se présente comme suit :
2
2.4.9 – Le contrôle des travaux de construction a été confié à la société BUREAU VERITAS
Le contrat s’y rapportant figure en annexe 3. les travaux de VRD concernant les terrassements,
la voirie, l’assainissement, l’adduction d’eau potable, les branchements et les autres travaux
divers (voies piétonnes, espaces verts et les escaliers) ont également fait l’objet de discussion
avec des entreprises agrées de la place (ERGEC, AFRIC BTP INTERNATIONAL, ENSBTP,
etc…)
En ce qui concerne le téléphone et l’électrification, les contrats sont en cours de négociation
avec des sociétés agrées de la place.
III – LE MARCHE
3.1.1.1 - Après son accession à l’indépendance, la Côte d’Ivoire a engagé une politique
volontariste de l’habitat axée sur l’intervention directe de l’Etat et marquée par trois vecteurs
essentiels : institutionnel, soutien à la promotion immobilière, financier.
3.1.1.2 – Parallèlement au secteur privé, l’Etat a dévolu un rôle prépondérant aux organismes
publics ou parapublics de promotion immobilière, d’aménagement de terrain et de financement
du logement.
1- Prise en charge par l’Etat des coûts d’acquisition d’aménagement fonciers (purges des droits
coutumiers, études et travaux de voiries et réseaux divers).
2- Bonification des intérêts financiers liés aux emprunts destinés à la réalisation des
programmes immobiliers.
3.1.1.4- Ils sont marqués par l’aval de l’Etat accordé à bon nombre d’emprunts contractés pour
réaliser les programmes immobiliers.
3.1.2.1- Depuis 1985, sous l’effet de la crise économique généralisée, l’Etat a mis en œuvre
une nouvelle philosophie d’action qui fait une large place au secteur privé. En effet, toutes les
sociétés d’intervention dans le secteur immobilier ont vu leurs objectifs corrigés et adaptés au
contexte nouveau marqué par l’intervention plus prononcée de l’initiative privée.
3.1.2.2- Ainsi, le Crédit de Côte d’Ivoire, la Banque Nationale pour l’Epargne et le Crédit
(BNEC), la Société d’Equipement et des Terrains Urbains (SETU) et la Société de Gestion
Financière de l’Habitat (SOGEFIHA) ont été mises en liquidation. Pour cette dernière société,
des solutions de relance sont en cours d’étude. La Société Ivoirienne de Construction et de
Gestion (SICOGI) est en voie de privatisation.
3.1.2.3- De nouvelles structures à fonctionnement simplifié et qui visent à renforcer les activités
du secteur immobilier ont été créées et domiciliées à la Caisse Autonome d’Amortissement
(C.A.A). Il s’agit :
- du Fonds de Soutien de l’Habitat (F.S.H)
- du Compte des Terrains Urbains ( C.T.U)
- du Compte de Mobilisation pour l’Habitat (C.D.M.H)
Pour soutenir le secteur, le gouvernement a mis en place un nouveau mécanisme qui s’appuie
sur le COMPTE DE MOBILISATION POUR L’HABITAT (C.D.M.H) dont le rôle est de refinancer
les banques qui accordent des crédits acquéreurs à leurs clients et d’en améliorer les
conditions en rallongeant les durées de remboursement de 11 à 20 ans et en limitant le taux
d’intérêt à 11,5 %.
3.1.2.4- En outre, des avantages fiscaux ont été instaurés tendant à des exonérations en
matière de TVA sur les matériaux de construction, les travaux de voirie et réseaux divers, les
fournitures et sur les études réalisées directement par les promoteurs, limitation de l’impôt sur le
BIC à 50 % du montant, dispense des droits d’enregistrement et de timbre, exonérations de la
T.PS sur les agios bancaires, exonérations des droits de patente pendant les deux premières
années d’exercice.
3.1.2.6- Dans l’application de ce mécanisme, de 1985 à 1993, un peu plus de 8.000 logements
ont été réalisés pour répondre aux besoins de la population sans compter les programmes
financés directement par les banques par la voie classique. Cependant, de 1994 à 1997, l’on
dénombre 24.000 logements sur la période.
3.1.2.7- S’agissant de l’habitat rural, le mécanisme mis en application par l’Etat s’appuie sur le
Fonds de Soutien à l’Habitat (F.S.H) dont nous avons parlé il y a quelques instants et permet
d’encourager la construction de logements en zone rurale par l’intermédiaire des groupements
à vocation coopérative. Les conditions d’accès au financement du F.S.H ont été simplifiées
pour favoriser un plus grand nombre de bénéficiaires. Ainsi, en milieu rural, il faut :
3.1.3.1- La Côte d’Ivoire compte près de 30 millions d’habitants dont près de la moitié vit dans
les cités urbaines, soient environ 7 millions d’habitants. Abidjan, la capitale économique, avec
un peu plus de 3 millions d’habitants couvre environ la moitié de la population urbaine de notre
pays. Le taux d’accroissement de la population est d’environ 5 % l’an dans la capitale
économique. En corollaire, ce sont environ 150.000 nouveaux habitants qu’absorbe cette cité,
soit près de 20.000 nouveaux logements qu’il s’avère indispensable de produire par an pour
cette seule ville. La production annuelle de logements s’élève à près de 8.000 unités. Il reste à
rechercher 12.000 logements par an. Par ailleurs, il est révélé que dans notre capitale
économique près de 70 à 75 % de la population est dans le locatif simple, c’est- à- dire
demeurent des propriétaires potentiels. Le champ d’intervention est donc très large pour les
initiateurs de projets immobiliers.
3.1.3.2- Il y a lieu de noter spécifiquement que tout ce qui est vrai pour Abidjan en matière de
besoin reste applicable au reste des villes à l’intérieur du pays tant il est vrai que le poids
d’Abidjan dans la population urbaine de la Côte d’Ivoire est d’environ 50 %. Ainsi, toutes choses
égale ailleurs, les besoins en logements pour satisfaire la population urbaine sont estimés à
environ 40.000 unités à construire chaque année dont 20.000 logements pour la seule ville
d’Abidjan. Déduction faite des productions annuelles estimées à 8.000 logements, il reste à
construire 32.000 unités dans les villes sans compter les besoins en milieu rural. Dans les
zones rurales, le niveau des demandes est équivalent à celui des zones urbaines, soit environ
40.000 unités nécessaires chaque année.
3.2.2- Par rapport aux projets immobiliers de type similaire en cours de réalisation, le projet
ESPOIR de XXXXXX a une position compétitive tant en ce qui concerne la superficie par
parcelle qu’au prix du mètre carré habitable
200 intentions d’achat des mutuelles et syndicats d’agents de régies financières. Cependant,
pour éviter l’exclusivité des maisons à un seul groupement, nous avons choisi de réaliser les
maisons et les mettre à la disposition des premiers intéressés. Pour ce faire, une stratégie
marketing de la plus large diffusion a été mise en place et mettre à orienter et recueillir les
prochaines manifestations d’intérêts.
Les potentiels souscripteurs ont accepté l’ouverture de leurs dossiers souscription chez
XXXXXX Sarl contre l’acquittement des frais s’élevant à UN MILLION (1 000 000) FCFA.
Les potentiels souscripteurs souscriront à un prêt acquéreur dès la signature du contrat de
vente qui sera mis à la disposition de XXXXXX Sarl dans son compte comme paiement des
maisons.
4.1.1 - Le coût du projet s’établit à UN MILLIARD SEPT CENT TREIZE MILLIONS CINQ CENT
TRENTE QUATRE MILLE TROIS CENT (1 713 534 300) Francs CFA et se présente comme
suit:
4.1.2 – Le terrain d’une valeur de 1 000 000 000 F CFA (avec A.C.D. réalisé) fera l’objet d’une
hypothèque avec la banque. A ce stade, les autorisations administratives suivantes : Lettre
d’approbation, Arrêté de Concession Définitive, Accord Préalable d’Urbanisme, l’Obtention du
Permis de Construire ont été obtenues.
4.1.3–Le poste construction d’un montant de 1 437 100 000 F CFA comprend le coût de
construction de 50 villas y compris les espaces verts.
4.1.4-Les investissements en VRD (110 000 000 F CFA) qui recouvrent les coûts de
terrassement, d’adduction d’eau et d’assainissement, d’électrification, de téléphone et de voiries
ainsi que les branchements divers ressortent des études établies par des experts reconnus et
des propositions d’offres de sociétés de la place qui s’intéressent à la réalisation des travaux.
4.1.5- Les honoraires (12 376 800 FCFA) pour les études financières et marketing et le contrôle
à priori et à postériori des dépenses du chantier ont été évalués sur la base d’offres fermes et
seront effectuées par le cabinet PREMIUM COMPTA CONSEIL.
4.1.6- XXXXXX ayant déjà ses locaux, il n’y aura pas donc de coûts d’aménagement et
d’agencement de bureau.
4.1.7- Les frais d’imprévus (38 677 500 F CFA) couvrent les frais d’études, de recherche de
financement et d’honoraires juridiques.
4.1.8- Les coûts des frais fonciers concernant les frais administratifs au titre de l’obtention de
l’Arrêté de Concession Définitif (ACD) s’élèvent à un montant de 55 000 000 FCFA.
4.2.1- La réalisation se fera par lot de 20 villas sur une durée de 3 mois. Entre les lots, il est
prévu un décalage d’un mois. Sur cette base, le délai de réalisation des 50 villas sera de 20
mois.
4.2.2- Le prix de vente unitaire des villas et le chiffre d’affaires qui s’en dégage se présentent
comme suit:
4.2.3- Il est considéré que les paiements de la clientèle se fera par reversement par la banque
au promoteur du crédit acquéreur des souscripteurs.
Conformément au rythme de construction retenu, ces crédits s’octroieront de façon revolving
par cycle de 10 maisons
le chiffre d’affaires prévu est 2 141 917 875 de francs CFA.
Détermination du coût de revient de l’opération
4.2.4- Le coût de revient de l’opération, compte tenu des frais financiers, s’élève à
1 811 142 463 FCFA inclues entre les coûts d’investissement, les dépenses antérieures de
fonctionnement et les commissions sur vente (1%) ; il se détaille comme suit:
4.2.5- Les coûts d’investissement ont été présentés à la section 4.1. Les charges de
fonctionnement comprennent les frais de personnel charges comprises et les frais généraux
(eau, électricité, loyer, téléphone, transport, assurances, fournitures de bureau et autres frais
d’exploitation).
4.2.7- En vue de déterminer l’importance des fonds qui seront nécessaires et l’échéancier de
ces besoins, il a été établi un budget de trésorerie. Ce budget indique, trimestre par trimestre, le
montant des sommes requises. Il comporte l’échéancier des dépenses à effectuer. La
différence entre les recettes et les dépenses donne la situation de la trésorerie au cours du
mois. En ajoutant le solde initial au début du trimestre au gain ou à la perte de trésorerie du
trimestre, il ressort la trésorerie totale disponible en l’absence de financement extérieur. Ainsi,
le montant du financement nécessaire s’obtient par la différence entre la trésorerie totale et le
niveau du disponible.
4.2.8- De cette façon, il ressort du budget de trésorerie que la société aura besoin de
financement extérieur de 148 677 500 FCFA pour l’établissement de l’A.C.D. et la réalisation
des VRD et 342 706 860 francs CFA par tranche de 20 maisons.
Rentabilité
2
4.2.9- Pour couvrir les besoins de financement extérieurs, il est considéré qu’un emprunt
revolving de 342 706 860 francs CFA de F CFA sera contracté au taux de 7 % sur une durée
de 6 mois maximum sans délai de franchise. Il est également retenu que le projet est assujetti à
la TVA au taux de 18%. Compte tenu de la durée de réalisation du projet (20 mois) et de
l’échéancier des recettes et des dépenses, les comptes d’exploitation prévisionnels se
présentent comme suit :
Tableau 4.1
4.2.10- Le projet dégage un résultat financier positif et constant de 188 416 688 francs CFA sur
chacune des 8 tranches de livraison des maisons.
Tableau 4.2
voir étude financière
4.2.12- il ressort que le projet est rentable et dégage un autofinancement sur chacune des 8
tranches de sa réalisation
V - CONCLUSION
CONDITIONS
Durée : 24 mois
Taux d’intérêt : 7%
Durée : 6 mois
Taux d’intérêt : 7%
GARANTIES
Nantissement du terrain
ANNEXE 1
2
2
2
2
ANNEXE 2
2
ANNEXE 3
M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M
oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi oi ois
s1 s2 s3 s s5 s s7 s s s s s s s s s s s s s s s s s s s s s s s 31
4 6 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
Travaux de
terrassement
généraux
Travaux (ouverture,
stabilisation de
Chaussée,
aménagement bordure
et pose de Caniveaux-
busage)
bitumage
Assainissement
Adduction d’eau
potable
Electrification
Installation
téléphonique
Branchements divers
Travaux divers
(escaliers ; murs de
soutènement et
espaces verts)
Fondations/terrassem
ent/assainissement
soubassement
Dallage
Elévation
Charpente bois
Couverture
Finitions générales
(Menuiseries
extérieures, Cloisons,
Plomberie/électricité,
revêtements)
ANNEXE 4
Etude financière
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT Année 1 Année 2
Resultat de l'exercice 143 800 191 90 517 721
Charges exceptionnelles 23 206 500 15 471 000
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT 167 006 691 105 988 721
REMBOURSEMENT DES EMPRUNTS 90 834 733 32 889 129
AUTOFINANCEMENT NET 76 171 958 73 099 592
Cycle
Investissements 342 706 860
Taux actualisation 0,565%
Cash Flow 85 676 715
Cash Flow actualisé 15 152 902 716
Valeur Actualisée Nette 85 195 010
Taux de Rentabilité Interne 23%
Indice de Profitabilité 1,25
01 Nombre total de 50
logements
02 Types de logements Villas duplex 4 pièces
03 Superficies des lots 200 m2
04 Superficie totale 2 Ha ou 20000 m2
05 Site du terrain BASSAM Nouvelle
autoroute
06 Bénéficiaires Agents des impôts
07 Maître d'œuvre GROUPE HANKES
08 Banque du projet
09 Compte d'opération Banque du projet
10 Garantie de paiement Terrain 4 Ha
11 Condition d'émission de la Mise en place de
garantie l'hypothèque au premier
décaissement
12 Etudes techniques et disponible
financières
13 Coût global du projet 1 713 534 300
14 Première tranche 10 villas
15 Superficie de la première 2000 m2
tranche
16 Coût de réalisation de la 342 706 860
première tranche
17 Dotations aux Déjà réalisée
propriétaires terriens
ANNEXE 5