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Master de recherche
Comptabilité Contrôle Audit
Option : Finance et comptabilité
Module : Diagnostic financier des groupes
1
4. Les critères : .................................................................................................................................. 23
➢ Le critère du bénéfice net par action : ........................................................................................... 23
➢ Le critère des décaissements réels actualisés : .............................................................................. 24
➢ Le critère de la Van ajustée : ......................................................................................................... 24
Section (3) : Le plan de financement .................................................................................................... 25
1. Définition :.................................................................................................................................... 25
2. Les objectifs du plan de financement : ...................................................................................... 26
3. Présentation de plan de financement :....................................................................................... 26
Conclusion ............................................................................................................................................ 28
Bibliographie........................................................................................................................................ 29
2
Remerciement
3
Introduction
Le financement des activités des filiales est assuré, dans une grande partie, par les
ressources qu’elles reçoivent auprès de leur société mère. Dans une structure
multi-divisionnaire centralisée, chaque division est assimilée à une entreprise
autonome dans ces décisions mais reliée au groupe par sa structure de financement
et sa stratégie centralisée. Une structure financière centralisée consiste à une
gestion efficace des fonds du groupe au sein de la société mère.
La filiale qui bénéficie de ces ressources est normalement celle qui réalise une
forte croissance ou qui s’engage dans un investissement stratégique pour le
groupe.
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Partie I : Les sources de financement
I. Les sources de financement interne
1. L’autofinancement :
L’autofinancement est considéré comme la principale source de financement de la
recherche et développement des groupes.
En décidant d’une mise en réserve de tout ou une partie du bénéfice, les actionnaires
permettent à l’entreprise de financer ses projets au regard des flux financiers générés.
L’autofinancement est la capacité de l’entreprise à financer son activité ainsi que ses
investissements à l’aide de ses propres moyens. Elle contribue à préserver
l’indépendance de l’activité de l’entreprise.
L’autofinancement c’est le flux de trésorerie dégagé par l’entreprise grâce à ses activités
courantes. Elle se calcule comme suit :
La capacité d’autofinancement mesure la trésorerie générée par l’activité et qui peut être
directement mise à la disposition pour financer les investissements, les opérations
courantes ou encore rembourser les dettes et distribuer des dividendes. Ainsi, une fois
que l’on a déduit la part revenant à la politique de distribution de l’entreprise, on
retrouve la trésorerie issue de l’activité directement utilisable pour les autres opérations,
en cas d’absence de distribution de dividendes, l’autofinancement correspond à la
capacité d’autofinancement
2. L’augmentation du capital :
Lorsque l’entreprise ne dispose pas d’assez de ressources internes pour financer ses
investissements, elle peut recourir à ses associés ou à des actionnaires extérieurs via
l’augmentation du capital, qui peut s’effectuer en 4 types :
- L’augmentation du capital en numéraire : l’augmentation du capital en
numéraire est la seule qui permet une amélioration du fond de roulement et
conduit à l’augmentation des fonds disponibles pour le financement. Elle conduit
à une modification de la structure de l’actionnariat à partir du moment où les
anciens actionnaires ne souscrivent pas à la totalité des actions nouvelles et qu’il
y a entrée de nouveaux actionnaires dans le capital
- L’augmentation du capital par incorporation des réserves : l’augmentation par
incorporation des réserves n’a aucun impact sur le montant des capitaux propres.
Elle se traduit par une distribution d’actions gratuites et par un droit d’attribution
accordé aux actionnaires.
- L’augmentation du capital par apport en nature : elle constate l’apport d’actifs
immobilisés à l’entreprise.
- L’augmentation du capital par conversion des dettes : lorsque l’entreprise émit
des dettes convertibles en actions, la conversion permet l’amélioration de la
capacité d’endettement mais ne modifie en rien les capitaux permanents, et ne
se traduit pas par un apport de nouvelles ressources pour l’entreprise. Elle évite
cependant une sortie de trésorerie, car la dette convertie n’aura pas à être
remboursée
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augmentent la valeur nominale des actions, d’autres n’hésitent pas à faire entrer des
nouveaux associés au capital en créant de nouvelles actions
- L’augmentation de la valeur nominale des actions : Lorsqu’une augmentation de
capital en numéraire se fait par une augmentation de la valeur nominale des
actions, le capital de la société augment mais le nombre d’actions reste identique.
Ce choix permet de ne pas diluer la participation des associés et de ne pas avoir
besoin de faire entrer de nouveaux associés au capital de la société
Exemple
Une société à un capital de 100 000DH divisé en 10 000 actions de 10DH chacune. Elle
souhaite faire une augmentation de capital de 50 000DH mais veut conserver le même
nombre d’actions
Elle décide donc d’augmenter la valeur de chaque action, qui vaudra désormais 15DH.
De fait, pour que les associés historiques ne soient pas lésés par l’augmentation de
capital, ces derniers bénéficient de ce que l’on appelle un droit préférentiel de
souscription.
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a. Le prix d’émission :
Le prix d'émission est le prix auquel un titre financier est mis sur le marché. Le prix
d'émission d'une action est le prix auquel émis ou créée une nouvelle action à l'occasion
de la création d'une entreprise ou lors d'une augmentation de capital.
Entre ces deux limites, le niveau choisi dépend de la notoriété de l’entreprise, de ses
perspectives de développement et de l’état du marché financier.
b. La prime d’émission :
L’existence de cette prime s’explique par le mécanisme juridique de l’augmentation de
capital, car l’émission d’actions nouvelles se fait à la valeur nominale des actions. Or,
cette valeur nominale est bien souvent inférieure à la valeur intrinsèque des actions. La
prime d’émission correspond alors au différentiel entre ces deux valeurs. Elle doit être
versée à la société par les nouveaux actionnaires afin de tenir compte de l’implication
antérieure des anciens actionnaires. La prime d’émission correspond donc en quelque
sorte au « droit d’entrée » dans la société et est payée par les nouveaux actionnaires. La
prime d’émission se calcule de la manière suivante :
Prime d’émission = prix d’émission – valeur nominal
Exemple :
La société X au capital social de 2 000 000 DH (20 000 actions) souhaite augmenter son
capital social de 1 000 000 DH par apport en numéraire. La société émettra 10 000
actions nouvelles au prix de 250 DH.
La prime d'émission unitaire (par titre) est de 250 - 100 = 150 DH.
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c. Les droits de préférences de souscription :
Les anciens actionnaires disposent, la plupart du temps, d’un droit préférentiel de
souscription (DPS) qui leur offre la prérogative de pouvoir acquérir en priorité les
nouvelles actions émises. Ce droit est proportionnel au pourcentage du capital qu’ils
détiennent. Si un actionnaire ne souscrit pas à l’augmentation de capital, son
pourcentage de détention du capital social diminue. Ce phénomène s’appelle la dilution.
Le mécanisme du DPS vise donc à limiter le risque de trop forte dilution des anciens
actionnaires dans la nouvelle répartition du capital. En effet, des actionnaires qui
détiendraient une part égale du capital d’une société pourraient se retrouver en position
minoritaire si un seul actionnaire décidait de souscrire à lui seul à une augmentation du
capital qui viserait à doubler le capital social.
S’ils veulent maintenir leur niveau de participation dans la société, les actionnaires
doivent donc souscrire à l’augmentation de capital dans les mêmes proportions que leur
part actuelle dans le capital social. Soulignons que ce droit (DPS) peut être vendu et
qu’il est coté si l’entreprise l’est. Le droit préférentiel de souscription peut donc être
assimilé à une option d’achat dont le sous-jacent est l’action
La valeur théorique de DPS est égale à :
𝑵𝑽+𝑵′𝑬
𝑽′ =
𝑵+𝑵′
Avec :
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Exemple :
La société dispose d’un capital de 500 000 actions de 100 euros de valeur nominale. Le
cours actuel des actions est de 130 DH. Elle envisage une augmentation de capital de 50
000 actions à un prix d’émission de 125 DH.
La valeur des actions après l’augmentation de capital sera égale à :
500000×130+50000×125
V’= = 129,5
500000+50000
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Il peut être négatif, au profit des actionnaires minoritaires, quand, au contraire, le
prix d’émission des titres lors de l’augmentation de capital est inférieur à la quote-
part de réserves acquises par action.
o Le groupe a souscrit à l’augmentation de capital plus que
proportionnellement à ses droits antérieurs. Il y a alors augmentation du
pourcentage d’intérêt du groupe au détriment du pourcentage détenu par
les actionnaires minoritaires.
Dans ce cas, la quote-part complémentaire dans les capitaux propres de
l’entreprise acquise est assimilée à une acquisition complémentaire de
titres qui donne lieu à la constatation goodwill complémentaire.
La cession d’actif est une opération économique et financière, qui consiste à céder des
actifs (immobilisés ou circulants) à une autre entreprise. Particulièrement sollicitée en
période de difficulté économique, cette manœuvre permet au cédant de faire face à un
besoin de liquidités.
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- la nécessité d'obtenir des capitaux par la cession, sous la contrainte, de certaines
immobilisations (terrains, immeubles ...) qui ne sont pas nécessaires à l'activité
de l'entreprise ;
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✓ L’actif net cédé
✓ L’écart d’acquisition net
✓ L’écart de conversion inscrit dans les capitaux propres consolidés part du groupe
(s’il s’agit d’une entité étrangère dont les comptes sont convertis selon la
méthode du cours de clôture)
a. Emprunt bancaire :
Un établissement bancaire peut décider de participer au financement d’un
investissement projeté par une entreprise si un certain nombre de conditions sont
réunies. Ces conditions juridiques, économiques et aussi matérielles portent sur les
aspects suivants :
La présentation d’un dossier qui sera soumis aux instances de décision de la
banque
La rentabilité du projet d’investissement ;
La santé financière de l’entreprise ;
La capacité de remboursement des sommes empruntées ;
Les garanties pour le prêteur, soit sous forme matérielle (nantissement pour
un fonds de commerce, hypothèque pour un immeuble, gage pour un bien
meuble), soit sous forme personnelle (caution personnelle du dirigeant, par
exemple).
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Les crédits bancaires à moyen terme sont généralement compris dans une
période allant de 2 à 7 ans. Lorsqu’ils excèdent cette marge (plus de 7 ans), on
parle d’office de crédit à long terme. Les crédits à moyen terme servent
majoritairement à obtenir le financement nécessaire pour investir en bien
d’équipements ou dans la réalisation de travaux. Ceux à long terme sont
majoritairement réservés aux investissements immobiliers.
b. Emprunt obligataire :
Une obligation est un titre de créance qui matérialise l’engagement de l’emprunteur
vis-à-vis d’un prêteur (l’obligataire) qui, en contrepartie des fonds mis à disposition,
est rémunéré sous la forme de coupons (les intérêts). L’emprunt obligataire porte
généralement sur un montant élevé, divisé en fractions égales appelées « obligations
».
Selon l’AMMC : le marché obligataire est un marché financier où les entreprises
peuvent emprunter des liquidités par création des titres de dette connu sur le terme
obligation. C’est le marché ou sont émis, vendus et achetés les obligations
Une obligation est une part d’un emprunt donnant droit à la perception d’un intérêt.
Le préteur
récupère son capital lorsque l’obligation arrive à son échéance
➢ Les conditions d’émission des obligations :
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▪ L’intérêt ou le coupon (C) d’une obligation est déterminé en
multipliant la valeur nominale ou faciale (VN) par le taux
d’intérêt nominal (i).
▪ La valeur de remboursement (R) est la somme versée par
l’émetteur à l’échéance au titre du remboursement de l’emprunt
obligataire.
▪ Le taux nominal ou facial est le taux à appliquer à la valeur
nominale pour calculer le montant des intérêts (coupons) que
l’émetteur versera aux porteurs des obligations
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Le taux flottant peut-être variable ou révisable.
✓ Les obligations à taux révisable ont un coupon dont la valeur est connue au
début de chaque période d’échéance (période précédant la date de
remboursement des intérêts)
✓ Les obligations à taux variable ont un coupon dont la valeur n’est
déterminée que la veille de la date d’échéance.
Exemple :
- Le 1/01/20N, l’émission d’une obligation d’une valeur nominale de 10 000DH pour une durée
de 4 ans et le taux est de 5%. Les échéances sont des échéances annuelles.
Solution :
Date Annuités Remboursements Les intérêts Capital
d’échéance restant dû
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✓ Le remboursement par amortissement constant : Dans ce cas la base de calcul
des intérêts diminue au fur et à mesure des amortissements, l’annuité sera
dégressive
Exemple :
- Le 1/01/20N, l’émission d’une obligation d’une valeur nominale de 10 000DH pour une durée
de 4 ans et le taux est de 5%. Les échéances sont des échéances annuelles.
Solution :
Date Annuités Remboursements Intérêts Capital reçu
d’échéance dû
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Date remboursement Intérêts annuités Capital
d’échéance restant dû
01/01/20N+1
16 380 10 000 26380 83 620
01/01/20N+2
18 018 8 362 26380 65 602
01/01/20N+3
19 820 6 560 26380 45 782
01/01/20N+4
21 802 4 578 26380 23 980
01/01/20N+5
23 980 2 400 26380 0
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A L’inverse des normes marocaines, les normes IAS/IFRS l’immobilisation
acquise en crédit-bail est comptabilisé parmi les immobilisations en
respectant le principe de la prééminence de la réalité économique sur la
forme juridique
Le choix d’un mode de financement adéquat doit être fait en recherchant à optimiser la
rentabilité du projet tout en préservant l’équilibre financier de l’entreprise. A cet effet,
l’entreprise doit tenir compte d’un certain nombre de contraintes.
1. Les contraintes :
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Lorsque ce ratio est positif, on considère que le FR apporte une marge de
sécurité.
2. L’effet de levier :
La recherche d’indépendance et de sécurité est obtenue par une réduction de
l’endettement. Or, l’effet de levier illustre comment le financement d’un projet peut être
améliorer par l’introduction de l’endettement qui augmente la rentabilité des capitaux
propres.
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Autrement dit, l’effet de levier permet de mesurer l’impact de l’endettement sur la
rentabilité de l’entreprise. Il est calculé selon la formule suivante :
Avec :
• D/C : bras de levier.
• (Re-i) : le levier
➢ Lorsque (Re-i) > 0 : cela signifie que l’endettement entrainera une amélioration
de la rentabilité de l’entreprise. L’endettement est donc favorable et l’effet
de levier est (+).
➢ Lorsque (Re-i) < 0 : cela signifie que l’endettement entrainera une dégradation
de la rentabilité de l’entreprise. L’endettement est donc défavorable et l’effet de
levier est (-).
➢ Lorsque (Re-i) = 0 : cela signifie que l’endettement n’a aucun effet sur la
rentabilité. L’effet de levier est nul.
3. Le coût de financement :
a. Le CMPC :
Est un indicateur représentant le taux de rentabilité annuel moyen attendu par les
actionnaires et les créanciers en retour de leur investissement. C’est aussi une aide
au choix de financement.
Le CMPC est à la fois utile pour les associés de l'entreprise et pour ses créanciers.
• Pour les associés, il offre une information importante sur la rentabilité d'un
investissement dans l'entreprise.
• Pour les créanciers, il permet d'analyser le risque susceptible de générer
l'accord d'un crédit à cette entreprise.
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➢ On peut calculer le coût des FP par la formule MEDAF :
- Selon ce modèle, le taux de rentabilité d’un actif est égal au taux de l’actif
sans risque (Rf) auquel s’ajoute une prime de risque. Le coefficient
β représente le risque de marché de l’actif (c’est-à-dire comment la valeur de
l’actif évolue par rapport au marché). On peut donc le modéliser avec la
formule suivante :
Avec :
• Rx : la rentabilité espérée de l’actif risqué (financier).
• β: béta ou volatilité relative permet de savoir si la valeur étudiée est
parfaitement corrélée.
• Rf : la rentabilité d’un actif financier sans risque.
• Rm : la rentabilité moyenne du marché (mesurée par un indice).
• (Rm– Rf) : prime de risque de marché
➢ Le coût de l’endettement :
- Le recours à l’endettement vient généralement compléter le financement par
capitaux propres. Il peut prendre par exemple la forme d’un emprunt
bancaire
- Le coût d’un emprunt est le taux « t » tel que :
n
M0 = ∑ PPLi + FFi (1-T)
i=1
(1+t)i
Avec :
• M0 : le montant de l’emprunt.
• t : le taux actuariel de l’emprunt.
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• PPL : le principal de l’annuité.
• FF : les frais financiers.
• T : le taux d’imposition (30%)
b. Le coût du crédit-bail :
Selon le même principe, le coût du crédit-bail est exprimé par le taux actuariel « t »
tel que :
n
M0 = ∑ Li (1-T) + Ai.T
i=1
(1+t)i
Avec :
Remarque :
4. Les critères :
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Il existe également le résultat net part du groupe qui est la part du bénéficie net
du groupe, dans les comptes consolidés (comprenant l'entreprise et ses filiales),
après déduction de la part du résultat des filiales consolidées.
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Avec :
▪ M : le montant de l’emprunt
▪ Rbt : le remboursement de l’emprunt
▪ Fft : les frais financiers de l’emprunt
▪ T : le taux de l’impôt
▪ Rdt : le taux actuariel brut.
1. Définition :
Le plan de financement est un état prévisionnel des emplois envisagés sur un horizon de
trois à cinq ans et des ressources permettant de les financer, il se présente sous la forme
d’un tableau pluriannuel correspondant à la période définie pour le but d’identifier et
d’évaluer les besoins de financement à moyen et long terme et de sélectionner les modes
de financement approprie à chaque besoin.
Le plan de financement peut se préparer dans une optique d’avenir certain, auquel cas
les ressources et les emplois sont aisément prévisibles.
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emplois. Si les ressources financières sont insuffisantes il fait revoir les hypothèses
initiales des prévisions
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empruntés…) qui seront mises en œuvre pour couvrir les dépenses l’horizon de
prévision est de 3 à 5 ans
Il s’apparente à un tableau de financement. Mais alors que celui-ci est un constat qui se
nourrit des informations relatives au passé le plan de financement est un document
prévisionnel reflétant les anticipations et les choix de la politique financière. Par ailleurs,
Il n’existe pas de présentation normalisée et officielle du plan de financement. La
présentation de tableau est laissée au libre choix de l’entreprise.
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Conclusion
Et pour conclure, nous rappelons que pour se financer, quel que soit sa
forme, son importance, une entreprise a à sa disposition plusieurs moyens de
financement. Reste pour elle, à savoir quel investissement réaliser et comment le
financer. Le but est de limiter les risques. Bien sûr que la décision
d’investissement est une décision risquée mais elle est indispensable « ne pas
investir, c’est la mort lente, mal investir, c’est la mort rapide » selon Gélinier.
De même pour limiter les effets pervers du financement, il est nécessaire qu’elle
ait recours à l’analyse stratégique qui permet principalement d’anticiper et de
prévoir la défaillance de l’entreprise.
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Bibliographie
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