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Futur :
La Blockchain ?
HERA CONSULTING
Créé par : Ir Paul Renson
heraconsulting@consulty.be
1. Introduction
La blockchain a reçu beaucoup d'attention dans le débat public et dans les médias.
Certains passionnés affirment que la blockchain est la plus grande invention depuis
l'émergence d'Internet. Par conséquent, de nombreux livres et articles ont été écrits
ces dernières années sur la blockchain.
La popularité croissante des crypto-monnaies a suscité un intérêt général pour les
technologies blockchain et leurs possibilités. De plus en plus, blockchain est utilisé
comme terme générique que la plupart des gens associent à Bitcoin, la crypto-
monnaie créée à l'aide de la technologie. Le potentiel et la portée de l'application des
protocoles décentralisés sont déjà devenus beaucoup plus larges.
La blockchain Bitcoin est un grand livre distribué mondial composé de blocs de
données liés séquentiellement dans une chaîne. Chaque bloc contient des
informations sur le bloc précédent. Les données des blocs sont copiées et stockées
sur différents nœuds de minage Bitcoin sans être liées à un serveur spécifique,
rendant la substitution d'enregistrements impossible.
Les systèmes distribués n'ont pas d'entités centrales qui coordonnent leurs
membres. Par conséquent, la coordination doit être effectuée par les membres du
système eux-mêmes. La coordination du travail entre les collègues dans un
système distribué est difficile et coûte des efforts et une puissance de calcul qui
ne peuvent pas être consacrés à la véritable tâche de calcul, d'où le terme
surcharge de coordination.
4 Conclusions
Nos organisations doivent être bâties de manière à offrir à tous la possibilité de
s’améliorer et d’améliorer leur environnement. L’organisation systémique en
processus donne à chacun une autonomie pour traiter ses propres problèmes. Dans
cette organisation, il convient de mettre les outils adaptés. L’effort doit être orienté
dans l’implication et dans la responsabilisation des personnes vers le progrès.
Chacun doit contribuer et chacun doit pouvoir démontrer les résultats conséquents à
son effort. Pour cela, il faut décentraliser l’organisation. L’approche système des
processus donne à chaque service et à chaque fonction une autonomie importante
dans le cadre de missions bien définies. Chaque composante d’une organisation doit
travailler pour que les autres composantes deviennent plus efficaces. Autrefois, la
notion d’efficacité se démontrait de manière individuelle. Une personne affirmait
qu’elle était efficace en montrant les résultats de son travail. Je vais très vite, mon
bureau est rangé, je fabrique une bonne prestation, etc. Nous ne devons pas évaluer
nous-mêmes notre efficacité mais nous devons demander à ceux pour qui nous
travaillons de le faire. Nous avons parfois un peu oublié que nous sommes dans des
chaînes de processus et d’activités et que tout ce que nous faisons est utilisé par
ceux qui sont nos clients en interne ou en externe.
Nous devons apprendre à travailler avec les autres bien entendu, mais aussi POUR
les autres, et cela n’est pas dans nos habitudes et dans les règles de fonctionnement
réelles des organisations. Nous avons trop développé les aspects individuels des
tâches, nous bâtissons notre carrière et notre réussite professionnelle en montrant
que nous sommes indispensables et en démontrant nous-mêmes notre efficacité.
Nous élaborons des concepts et des théories pour servir le client et nous
fonctionnons encore en interne avec des schémas archaïques de compétition entre
les individus. Le terme de service doit aussi être une réalité interne. Mon collègue de
travail n’est pas l’ennemi qui va nuire au développement de ma carrière, le
concurrent qu’il faut abattre et qui va me prendre une part considérable de mon
intelligence et de mon énergie, mais c’est soit un fournisseur qui va m’aider à
progresser et à améliorer mes propres prestations, soit un client que je dois servir et
aider à bien travailler.