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10/02/20

Couple vient du latin copula, qui était tout ce qui sert à attacher, même matériellement. Après il est devenu
toutes sortes de lien  lien moral  union de cœur.
Par dérivation couple devient un mode de vie.
Attention à la distinction entre couple et ménage : il y a des ménages qui ne sont pas en couple, qui peuvent
ne pas être en couple. Un célibataire forme un ménage.
Quand on parle de couple c’est un lien qui se crée entre 2 personnes.
Attention aussi à ne pas confondre LE couple et LA couple (vedi slides)

XVII (17) siècle : volonté de souligner que le mariage à l’époque était seulement religieux. Le mariage civile
en France on l’a seulement avec la révolution français et cela change beaucoup de choses.
Discours de Mme de La Fayette et qui Aston a repris dans son livre (vedi slides)
Cela veut dire : Mon fils, tu n’as pas à t’occuper de la construction de ton couple, c’est une affaire de famille,
c’est la famille que va décider pour toi quelle sera la femme avec laquelle tu dois partager ta vie. Avec qui je
vais TE marier ça ne t’intéresse pas, tu t’occupes de tes affaires.

Le XIX siècle, le romantisme produit des discussions autour cela plus que des changements. Restent 2
choses importantes :
- Le mariage est au centre de la société et de la vie des personnes. Un homme et une femme DOIT se
marier et cela c’est le fondement de la famille, fondement sacré par l’église (vedi slide)
- Le sentiment amoureux n’est pas central. C’est la famille qui décide est aussi la femme qui est
soumise à l’homme. Le couple repose sur l’inégalité sexuelle.
Tentative de démontrer pourquoi les changements qu’on a eu au XX siècle étaient si importantes et sur
quelle base les changement ont reposé.
Famille est donc au centre de la société civile et c’est là out tout ce joue, elle est patriarcale  : le femme n’ont
pas de droit de vote en France jusqu’au 1940, donc c’est une structure patriarcale. Le mariage, la vie en
couple pour la femme c’est la seule manière d’exister.
Le couple marié doit être stable et hétérosexuel (vedi slides)
Les écrivains vont profiter du divorce. Ils sont nombreux les écrivains qui accèdes au divorce, mais c’est une
divorce seulement pour faute : 2 personne ne peuvent pas décider/ se mettre d’accord de divorcer s’il n’y a
pas quelque chose de grave qui c’est passé.

Moment important : le problème de l’hystérie surtout féminine.


A l’époque c’était la nouveauté : on se demandait pourquoi la femme se comportait d’une telle manière et on
disait que c’était parce qu’elle était faible, car elle a des règles, elle perd du sang tout le mois et cette perte
est synonyme de faiblesse. Elle est plus anémique, faible est donc aussi son cerveaux aussi raisonne d’une
manière différente. Charcot pour démontrer les résultats de ces recherches il faisait des spectacles  : il voulait
faire voir la capacité qu’il avait de dominer les femmes et de leur faire faire ce qu’il voulait, avec des
positions anormales mais il parvenait à faire cela et à ces spectacle il y allait les scientifiques mais aussi les
écrivains de la moitié du XIX siècle.
La femme est hystérique car elle a l’utérus mais mettre une femme en couple, la marier c’est résoudre ce
problème. Le mariage est le meilleur remède possible.
Production littéraire de l’époque est le résultat de cela (vedi slides). Tous témoignages de la faiblesse de la
femme qui ne vit pas dans la réalité, mais dans des désirs impossible et qui finalement est toujours coupable
des situations négatives qui se produisent, donc c’est fondamentale qu’elle soit placé sous l’autorité de son
époux.
L’adultère de l’homme existe mais n’est jamais prise en compte comme quelque chose de négatif mais
comme quelque chose qui peut intervenir dans la gestion de la famille.
Viol aussi n’est pas considéré comme quelque chose de négatif, mais surtout car si la femme a était violait
c’était parce qu’elle était seule avec l’homme, donc sa faute.
Loi du divorce commence à prendre au compte qui aussi l’adultère masculin doit être pris en compte (vedi
slides).
Idée que la famille doit être considéré comme al chose la plus important.
Presque à la fin du XX siècle  (’75) adultère considéré un crime.
Parcours important où on a les bases de beaucoup de choses avec lesquelles on se confronte aujourd’hui.
Fin XIX siècle on commence à faire des raisonnements sur le couple mais c’est au début XX qu’on
commence à s’interroger sur quelle est le rôle de l’amour à l’intérieur du couple. Passion vue négativement
car c’est la passion qui provoquait l’hystérie féminine, lié souvent aux femmes de manière négative. C’est la
famille qui a le regard correct, le regard neutre pour décider de la vie des enfants. Le discours du XVII siècle
de Madame de La Fayette, au début XX siècle a encore certaines racines. (vedi slides)
Il y a des femmes qui commencent à accéder à l’instruction mais l’instruction est séparée entre homme est
femme. La famille est une petit société qui est refermée sur elle-même, raison pour laquelle l’inceste est
courant. La femme ne pouvait pas porter plainte et dire quelque chose à l’extérieur de la famille si son mari
n’était pas d’accord.
Fin XIX, début XX : le plus intime gêne (vedi slides)
Si je dit qu’une femme est plus faible qu’un homme care elle raisonne male, elle se laisse emporter par les
passions, n’utilise pas le cerveau pour organiser sa vie, il est évident que si on veut changer, je dois organiser
tout à travers la tète.
Discussion entre les écrivains et la société (fin XIX) car il sont nombreux les écrivains qui disent que les
surprises du génie sont ailleurs, il y a quelque chose dans la passion, dans le cœur qui est important,
comment puis je faire pour le mettre de coté ? C’est l’époque où la science, le raisonnement, dicte tout.
1905 on décide a Bruxelles de faire une bibliothèque mondiale et cette bibliothèque à commencer à recevoir
de partout toute le fiches des différentes bibliothèques : l’organisation du savoir, tout doit être structuré mais
quand Paris voit que cette bibliothèque pouvait véritablement devenir l’endroit où tout le savoir était
organisé à bloqué l’envoi des fiches.
Ça ce la raison pour laquelle nombreux écrivains subissent des procès de pornographie (Zola). Ce sont des
procès qui visent a condamner les écrivains pour défendre les bonne mœurs. Les écrivains qui mettent en
place les passion, un rapport différent dans le couple, un rapport qui joue aussi sur le instincts, sur ce qu’on
ressent dedans, c’est un rapport qui gêne la société et joue une sorte de corruption sociale.
Situation politique dans le cas de J’accuse, mais qui montre le façons différentes de raisonner à ce moment-
là. (vedi slides)
Une période qui s’interroge et met en discussion le rapport entre homme et femme mais pas seulement.
Fin XIX siècle Gide et d’autres commencent à réagir. Gide arrive à dire : « je déteste les livres, il faut les
jeter à la poubelle ». Par rapport époque, c’est le livre qui dicte des chose, c’est le faite de dire « je ne doit
pas m’écouter et voir ce qu’il y a en moi, il y a toujours quelqu’un d’autre pour me l’apprendre ». Gide
commence à réagir à cela. (vedi slides), au fait que c’est la famille qui décide quelle est le bonheur pour toi,
c’est la famille qui a la capacité de voir comment tu doit construire ta vie.
Les choses commencent à changer et fin XIX, début XX on a d’autres figures de couple qui comment à se
présenter, y compris les figures homosexuelle qui ne pouvaient pas auparavant se montrer. Ça se passe dans
le grandes villes. Dans le campagnes ces changements se font plus lentement.
Première guerre mondiale: une guerre est toujours catastrophique pas seulement parce qu’elle tue des
personnes, détruit des ville entières, mais elle apporte aussi des dégâts ( ?) psychologiques sur une société.
Guerre a été quelque chose de gigantesque par rapport au couple et au rapport à l’autre.
Pendant la I guerre, la France va emmener chez elle beaucoup des tirailleur sénégalaise et d’autre pays
d’Afriques. Ils arrivent en France en tombant facilement malade et la France décide de ne pas les envoyer au
front car il ne comprenaient pas la langue, les autres, ils ne savaient pas bien utiliser les fusilles et il les
gardes donc dans les usines. Donc les français sont au front et les autre sont à la maison avec les femmes et
cela pose des problème à la société.
Vedi slides
On a donc la séparation, les femmes qui étaient soumise à l’homme jusqu’à ce moment là, qui se sont
trouvées seules, parfois définitivement.
Il y a quelque chose d’important qui se met en jeux au moment de la guerre  : quel est le rôle de l’un et de
l’autre mais surtout pendant 4 ou 5 ans les femmes on vécu/survécu sans les hommes à coté d’elles.
Donc quand on regard aux couple, quand le XX siècle commence, quelque chose de fondamentale se passe.
L’amour est quelque chose qui va exploser au XX siècle, auparavant c’était plus rare. Il y a des opinions et
de façons de voir la vie qui restent dans les siècle et il y a des problèmes à l’effacer.
Message di Bologne : le XX siècle n’a pas veritablement apportez de gros changement en ce qui concerne le
rapport de couple (vedi slides)
Bologne dit qu’il y a une évolution mais pas de définitions nettes (slides). Le changement de l’idée du couple
hétérosexuelle, décidée par la famille, qui doit avoir certaines condition, ne peut pas se dissoudre sauf dans
certains cas, tout est rigide et claire. Quand on enlève cela il est difficile de trouver une définition claire (si
cela est nécessaire). Lit commun qui est aussi la représentation de quelque chose qui fait partie de la culture  :
lit à la française c’est le lit commun, les protestants anglais n’ont pas ce type de lit. Il y a des habitudes qui
indiquent une façon de voir les choses.

Sociologue du couple – Kaufmann


Présentation des problèmes, pas de visions ou solutions.
Qu’est-ce qu’on cherche ? Qu’est-ce qu’on veut voir ? But du cours : pourquoi deux personnes qui ont
décidé de vivre ensemble il ne parviennent pas veritablement a s’intégrer.
Est-ce que le couple en Afrique on la même structure que le couple chez nous  ? Peut-on raisonner de la
même manière ? Augustin Coly professeur de l’université de Dakar.
2 tendences dans le texte, une tendence maniquée qui separe l’avant et l’après 1960
[…]
Kaufmann 1993 propose des choses qui paraissent un peu dépassées aujourd’hui mais cela sert pour
comprendre les problèmes du couple qui ont à la base des formations culturelles différentes.
[…]
C’est une recherche sociologique et comme toutes recherches elle correspond à une période. Il fait une
analyse de tous les aspect qu’il faut prendre de manière critiques, mais les différents points sont importants.

11/02/20
Ascolta audio o leggi libro Kaufmann.
Présentation qui faisait Kaufmann est un texte base sur le sujet et le lire avec les yeux de nos jours qui
peuvent apporter des critiques et de modification mais nos yeux sont aussi les yeux d’un monde plus lâche et
donc certaines chose qu’on croyait dépassées on les voit présent dans d’autres cultures.
Quand on parle de ménage ou couple interculturel il faut prendre en compte les deux aspects ou les différents
aspects. Vision du couple, des rapports entre homme et femme ou en général entre 2 personne qui s’aiment
est un mouvement eternel. Il faut se souvenir de ça quant on lit des romans qui mettent en scène un couple,
des identités, car c’est cela qui nous touche de près, la famille c’est le premier stage de la société mais c’est
la compréhension de l’autre qui est au centre.
Comment les écrivains ont mis en scène les couple au XIX et XX siècle, leur rapport à l’amour, au désir avec
cela commence. (vedi slides).

Discours prononcé par Hugo pendant les funérailles de Louise Julien, proscrite, autour de la quelle on a fait
une discussion sur comment les femmes avaient contribué à l’indépendance du pays, à la révolution.
Réflexion sur le fait que les chose évolue d’une manière très très longue. Il dit que le XIX siècle n’apporte
pas énormément des résultat dans la société. Hugo dit qu’il faut aller vers l’égalité de l’âme humaine mais
cela a pris du temps et au début du XX siècle le désir et la sexualité sont désormais envisagées comme une
dimension essentielle de l’individu (vedi slides).
Ce sont les écrivains qui commencent à mettre en scène le changement, mais les pensée sont nombreuses la
fin du XIX siècle.

12/02/20
slides semaine 1 titolo « Odette Laguerre ».
Pendant le XIX siècle il y avait déjà des réaction mais c’était de la plaisanterie. C’est à travers les
intellectuels, les écrivains que les idées féministes gagnent du terrain et s’imposent à l’attention publique.
Là on est en 1905 et on dit qu’il y a un grande différence par rapport a 10 ans auparavant. 10 ans font la
différence. On passe de la moquerie totale face à ceux qui défendaient le rôle de la femme à discuter de
manière forte.
Situation en France c’est celle-là, en Grand Bretagne la situation c’est plus avancée. En France au début du
siècle on commence véritablement à réfléchir sur le rôle de la femme. Si on pense à Charcot, a l’image de la
femme hystérique de la fin du XIX siècle, comme le texte le dit, c’est quelque chose de très important qui
commence.
Jules Bois, aujourd’hui un peu méconnu mais très connu à l’époque, il était le centre des discussion. Boullan
aussi très conteste lié au monde ésotérique, au pouvoir de la tête pour construire d’autres mondes, disons.
Bois figure très présent dans la culture de l’époque.
Il écrit Le couple futur (vedi slides).
Il parle d’une constatation de l’époque qui disait que l’homme est l’homme est la femme est la femme. Donc
on peut pas changer es choses telle qu’elles sont. Mais le problème qui commençais à se présenter déjà à la
fine du XIX siècle c’est « qu’elle est la place de l’amour ? » (vedi slides).
L’amour ça va toujours de même, rien ne change. Inutile de discuter autour de cela. A partir de ces bases,
Bois commence à dire eu l’amour est important mais pour arriver à une tendresse différent.
Il est en train de voir comment dans le couple on peut changer le rôle de la femme.
Spiegazione slide : «  un effort intellectual et moral, II ». Faisons attention en discutant de ne pas nous faire
emporter par les passions, de ne pas laisser que les choses aillent à travers la pages pour défendre une idée. Il
faut véritablement analyser l’ensemble.
« Il y a plusieurs sortes de féminismes masculins » : quand on regard a ce texte avec le yeux d’aujourd’hui
on voit comment c’est l’homme le premier qui discute ou qui est écouté beaucoup plus que les femmes. Le
féminisme c’est la façons des hommes qui ont d’approcher la question du féminisme. (vedi slide).
Une sorte de féminisme masculin : celui qui flatte la femme parce qu’elle est belle et attire l’attention. (Il fait
référence à des femmes de l’antiquités qui étaient très belles, femme qui tiennent compagnie mais qui sont
très cultivées, très belles). C’est celui qui face à une femme, mais très gentille, il l’hyptonise (tu est la plus
importante, tu est belle), mais tout cela est fait pour soi).
La deuxième manière d’être féministe c’est le rationnel qui met la femme en garde contre le risque de
l’indépendance qui n’est pas toujours positive. L’homme qui se positionne tout le bien possible mais pur
captiver la femme est négativement vu alors que celui qui cherche à faire comprendre à la femme son rôle
tout en lui disant de faire attention que l’indépendance n’est pas positive, ça c’est l’homme qui travail pour la
femme. Il faut considère la femme comme une amie et lui parler de la même manière qu’on parlerait à des
amis. Mais si je la considère de la même manière qu’un ami, il faut aussi changer certaines choses du coté
masculin.
Féminisme c’est quelque chose que les écrivains commençaient à défendre.
Le mot labeur apparait très souvent : il faut travailler à ça, ce n’est pas quelque chose qui va se faire tout
seul, il faut travailler.
En parlant d’une héroïne qui avait été emprisonne, Hugo parle de cette héroïne qui défend le rôle de la
femme, ce rôle avait commencé déjà a l’époque de Le couple futur.
Les personnes, les écrivains, qui à ce moment là défendent une idée de changement il dit que oui, le
changement est nécessaire mais on ne sait pas quand cela va se passer.
C’est une sorte de magie vers lequel on va mais on ne sait pas quel sera véritablement le résultat.
Bois est très disputé dans le sens positif du terme mais son texte est lu est analysé et commenté aussi par la
négative.
Vedi slide « réception de Jules Bois ». On tire de Bois le fait qu’on doit parler aux femme comme à un amis
mais donc la morale doit être égale, comme la justice pour les deux moitiés de l’humanité.
Code Napoléon du 1804 était encore le code du début du XX siècle. (vedi slides).
Bois d’une certaine manière cherche à discuter les lois.
On sens la fatigue d’un système d’habitudes qui sont là depuis trop longtemps désormais sans changer. C’est
véritablement faire entrer dans les discours du couple non seulement le rôle de la femme mais aussi de
l’amour et du désir. On passe d’une situation de relation de convenance, on considère le mariage comme une
sorte d’organisation de la société à laquelle il faut soutenir et les écrivains commencent à dire qu’il faut
changer cette situation.
Le mariage était une forme d’accord économique entre les familles qui décident. C’est l’organisation
économique qui est important. C’est quelque chose qui doit passer par l’éducation. On a commencé quelque
chose qui est encore en train de faire. C’est l’homme aussi qu’il faut éduquer. L’homme doit donc traiter la
femme comme s’il était un ami et en même temps il doit changer ses attitudes, il doit faire ce qu’0il demande
à la femme, elle doit se conduire de la même manière. C’est une changement radicale si on pense que au XIX
siècle il y avait toute une série de considération par rapport à l’homme qui pouvait faire ce qu’il voulait et
même pas le viol était considéré un viol. On doit chercher l’âme que la femme a en elle, pas seulement la
beauté (même si cela fait toujours plaisir).

Toute l’Europe est en discussion, dans toutes ces discussions sur le féminisme il y quelque chose de
fondamental : différence culturelle entre le monde germanique et le monde de la France. La culture
allemande et française qui se confrontaient qui ne parvient pas à se parler, chacun veut que a façon de voir
les chose est la meilleur pour la construction de la vie. Liberté, fraternité, égalité d’un coté, droits,
organisation de l’autre. C’est cette discussion là qui conduisent à la guerre. Ceux qui soutenait la guerre, qui
disaient « Viva la Guerra » nous démontrent qu’on avait besoin de changer.
Guerre qui entraine beaucoup de problèmes et de changements au niveau psychologique. On vit des choses
qui mettent en crise la confiance en l’homme surtout dans la première guerre mondiale car le XIX siècle est
le siècle où la science était la chose la plus importante qu’on faisait, où les scientifiques avaient
véritablement la parole, où il y a l’idée que civilisation veut dire faire toujours de progrès en avant et donc
devenir toujours meilleurs. Avec la guerre on se demande où est cette progression vers le meilleur, où est
cette capacité de l’homme d’être civil alors qu’il a démontré d’être barbare et faire des atrocité. Cela sera la
discussion des écrivains entre les deux guerres, mais déjà quelque chose se passe pendant la guerre.
Pour montrer ce qui se passe psychologiquement pendant la guerre du point de vue interculturel, car bien sur
la guerre met en scène les homme les un contre les autres, deux cultures, deux situations différentes.
Ecrivain Belge, donc qui fait partir d’un pays construit, voulus par Angleterre, France e Allemagne qui ont
décidé au début du XIX siècle que pour garder la paix en Europe il fallait un état tampon, la Belgique qui
mélange le monde latin et le monde germanique et on y met un roi qui le petit fils de la reine d’Angleterre,
qui est germanique et auquel on va donner le mariage le futur roi de France ( ? 39 :00). C’est la construction
d’un monde qui se présente comme « voilà l’Europe ». C’est un moment important du point de vue
économique car ce pays est devenu début XX siècle la II puissance économique au monde et du point de vue
culturel c’est le pays en mouvement car les belges sont les écrivains qui influences le plus le mouvement
symbolique de ce moment là.
Maurice Maeterlinck exemple d’écrivain de succès. Il a un diplôme en droit, il commence comme avocat et il
sera un de ceux qui vont faire la décence auprès du tribunal de nombreux procès pour pornographie et
atteinte a la morale car ils avaient mis en scène le passions. Lui, il va être un des défenseurs. Il participe de
manière active à la vie culturelle de l’époque, il fonde la revu Pléiade. (vedi slides). Très renommé.
Nombreuses œuvres de théâtre où il a cherché a changer le théâtre de l’époque. Selon lui le théâtre doit être
un théâtre de marionnettes car l’acteur donne l’imagine du personnage au public, image qui n’est pas
forcement celle que l’auteur voulait donner. Il veut mettre ensemble la réalité des personnage et des objet et
la volonté de représenter surtout des âmes. Dans son écriture il met ensemble la philosophie allemande et
l’esprit français.
Ecriture qui avait une certaine structure germanique, mais il apporte de la nouveauté. Il vient donc d’un pays
où le culture latine et germanique sont mélangé, où il y a un succès en France grâce à cette vision nouvelle
de mélange, i subit la guerre entre la France et l’Allemagne de manière catastrophique. Belgique pays
déclaré neutre, les pays ont signés des accord pour cela et l’Allemagne demande à la Belgique de passer à
travers le pays pour attaquer la France et la Belgique dit non, l’Allemagne passe quand même et c’est la
catastrophe, le pays est complètement détruit sur la base de l’honneur, de sauvegarder un idéale et de
défendre quelque chose de plus important des maison, mais les principale qu’on peut être neutre et on peut se
mettre d’accort. Toute de suit après l’invasion la Belgique cherche à avoir des support des autres pays et ce
support il le voit à travers les écrivains qui vont faire le tour des villes en Europe surtout en Italie car elle
était encore neutre pour convaincre les italien à entrer en guerre. Il font le tour de conférence pour
convaincre qu’il y a un problème morale, un idée importante à défendre. Dans ce cadre, Maeterlinck écrit
une pièce pendant la guerre. Pendant la guerre en général il y a une production gigantesque. On cherche via
le théâtre, conférence, lecture des poèmes de parler de la guerre et des problème moreau de la guerre. Lui, il
est parmi ces écrivains.
Le Bourgmestre de Stilmonde : Pièce qui met en scène un village en Belgique où il y a un bourgmestre
(sindaco) et sa fille. La fille attend parce que son mari est en Allemand et il est parti au moment de la
déclaration de la guerre. Le mari revient avec l’armée allemande et quelqu'un est tué, on cherche le coupable
mais on le trouve pas et le bourgmestre dit « ok, c’est moi, si vous devez tuer quelqu’un ce sera moi ». On ne
sait pas qui est le vrai coupable donc le bourgmestre s’offre. A’ ce moment là il faut le fusiller et l’armée
allemand demande au mari de sa fille Bella, qui été officier, de commander le peloton d’exécution. Cela
provoque l’impossibilité au couple de continuer à vivre ensemble. Donc un couple heureux, dont on ne dit
que du bien, qui à cause de la guerre n’est plus capable de se comprendre.

Slides : Première partie on montre la sérénité du pays, qui ne sait pas qu’il y a véritablement une guerre, il
sait qui se passe quelque chose mais il vit encore très bien. Son mari retourne.
Ils se retrouvent et la première réaction c’est le couple, il se disent « Je t’aime », les ennemies ce sont les
autres, non pas les allemand. Lui aussi est un allemand mais elle le pense en danger parce qu’il est avec les
allemand. Le père immédiatement comprend la situation alors qu’elle c’est d’abord l’affection, le fait qu’ils
sont un couple, c’est une sorte de rond clos.
Elle se rend compte que ceux qui veulent du male à lui, aux allemand, ce sont ceux qu’elle aime, comment
est-il possible ? C’est la vision de Maeterlinck encore de dire qu’une femme n’est pas capable de supporter
cela et toute la pièce aura ce sous-entendu «c’est trop dur pour le cœur d’une femme », d’une femme qui ne
voit pas les conséquence, car elle dire « le plus dur est fait » alors que le plus dur va commencer. Donc
l’incompréhension de la part de la femme de la situation véritable qui et en jeu le couple. Sa vision est autour
du couple alors que tout est déterminé par quelque chose qui est à l’extérieur du couple.
Ils essayent de se comprendre. Lui il est sur que les choses se vont mal tourner mais il dit qu’il est sur qu’elle
ira l’entendre.
Ce qui se passe du couple st en dehors de tout ce qui peut se passe autour d’eux. Elle dit qu’elle est
exactement comme lui, mais ce n’est pas vrai car lui, il est un officier allemand.
Elle dit que temps n’est pas passé, on est exactement le même couple qu’auparavant, mais ce n’est pas vrai.
Elle se présent comme quelqu’un qui dit « l’amour dépasse tout. Je suis contente que tu est là, on va créer un
petit ilot heureux au milieu de cette guerre ».
Elle, et tous les belges ne comprennent pas véritablement les enjeux de la guerre. Confiance totale sur les
résultats de la guerre.
La présentation de Bella c’est la présentation d’une femme qui ne voit que le couple et que l’amour
finalement, c’est grâce au couple qu’on peut se construire quelque chose de positif même à l’intérieur de la
guerre (j’irais où tu ira).
Les choses avancent. La pièce met en scène une femme qui a 26/27 ans et un petit frère de 14 ans, donc il
met ensemble différents génération pour dire que les choses ont marqués la génération des plus jeunes
jusqu’aux plus âgés.
Jusqu’à maintenant la femme à l’intérieur du couple n’avait vu une situation que comme avant la guerre, le
petit frère il sent immédiatement l’ennemie. Mise en scène du fait que la femme regarde à l’amour, l’homme
même jeune regarde aux situation extérieures, il est plus conscientes des choses et comment elles se passent.
La vision de Bella c’est toujours est ça continue d’être la vision du couple. Elle reproche Floris pour une
question d’éducation de dire bonjour à Otto alors que un gamin réagit de manière différent.
Il y a quelque chose qui s’est enchainé. Tout simplement là déclaration de la guerre et pas une véritable
invasion, la haine arrive et il n’est plus question de se parler. Version allemande qui dit « on voudrait bien
parler avec vous et les autre disent absolument pas, vous n’avez pas respecté un lien moral ». C’est n’est pas
un problème de destruction qu’ils n’ont pas connu encore mais le lien moral qu’il avait établi autour de lui.
Otto essaye, non pas beaucoup, de dire « essayons de ne pas tuer mon beau-père ». Le bourgmestre a
véritablement compris la situation et comment les choses sont en train de se passer. Ce que nous avons
présenter dans le couple (amour et affection) se déplace vers la famille d’origine. Ce sont Bella e Floris qui
se jettent entre le bras du père.
L’idée qu’il y a quelqu’un qui vient de l’extérieur qui n’est pas de la famille ne doit plus être pris en compte.
Haine au centre, une haine qui a été capable de détruire l’amour qu’il y avait dans un couple et qui va
retomber sur Bella parce que après la guerre, elle va quand-même être la femme d’un allemand. Le père est
parfaitement conscient de ce qui se va passer et Floris est symbole de a jeunesse qui va garder cette haine
longtemps. « Essayons d’annuler la haine tout au moins à l’intérieur de la famille ».
« Ce n’est qu’une épreuve ». Bella a immédiatement senti la vérité de la situation mais elle ne sera pas en
mesure de la comprendre jusqu’au but.
C’est véritablement la coupure entre le deux pays. C’est ne pas reconnaitre la culture de l’autre.
D’un coté il y a le devoir, duquel on peut pas échapper et de l’autre il y a les sentiments (est-ce que les
sentiment peuvent changer la situation ?). Les deux positions.
Avant que Otto ne donne l’ordre, le comandant éloigne Otto car lui il va le faire. Donc Bella avait bien
compris que c’était une épreuve, le comandant voulait simplement voir s’il respectait son rôle d’officier et
allemand et il l’avait accepté. Le père mort et le comandant se prépare pour repartir et il parle avec Bella.
C’est l’institution face à l’amour, l’institution, la mise en scène germanique, l’institution qui doit primer
toujours, être le plus important alors que Bella pensait à l’amour.
Tout le texte joue sur le verbe « comprendre ». c’est constamment ce verbe qui est repris 128 fois.
Impossibilité de se comprendre « c’est vous qui ne comprenez jamais rien ». C’est le respect de l’institution
qui pose pour Bella, qui fond tout sur l’amour et l’amour à l’intérieur du couple, ce qui cause une rupture du
couple. C’est la famille d’origine qui prend la place du couple. La guerre a cassé la possibilité d’un dialogue
avec l’autre.
Sur cela se termine la pièce : rection à la non compréhension « c’est de la folie » et ça c’est un des enjeu
interculturels importants. Il faut pas accuser l’autre d’être fou seulement parce qu’il ne partage pas nos idées.

Avec la guerre donc quelque chose se casse par rapport a tout ce qui s’était passé auparavant, la tentative de
dialoguer avec l’autre (fin XIX période ou on s’interroge sur l’exotique).

17/02/2020 (Appunti Anna)


Le couple et la société
Maeterlinck : comment la guerre a changé la mentalité des gens ? Pour avoir un rapport avec l’autre il faut
l’écouter et le comprendre et la compréhension est fondamentale. Comment la société peut rentrer dans le
couple ?
Il y a toute une série des problèmes en place. Le couple doit passer à travers : santé, mariage, amour, etc 
tout cela est important pour rempoter l’un à l’autre. Au XXe siècle Maeterlinck représente ces catégories en
manière distinguée l’une de l’autre.
La perception n’est pas prise en compte pour le couple, dans le sens qu’elle a été énormément discutée. Elle
met ensemble le problème de la guerre et le problème du rapport l’un et l’autre. La guerre, le couple et la
compréhension interculturelle est impossible ? Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception,
1945, éd. Gallimard, p. 409. Après la 2ème guerre mondiale les écrivains vont représenter le problème de
l’écriture je ne parviens pas (moi qui ai vécu certaines choses) à trouver les mots pour que l’autre puisse
comprendre (à propos de la vérité essentielle dans le rapport avec l’autre) (cfr Maeterlinck). L’attention à
l’autre en essayant de comprendre que l’autre a un vécu différent du mien, il y a aura de la compréhension
mais pas au fond. Vivre les mêmes choses est un élément fondamental. Pour Maeterlinck la compréhension
de l’autre et d’une culture différente est importante, cela représente une exception parce que toute de suite
après la guerre les écrivains s’interrogent comment faire pour comprendre l’autre ce sont les années de
l’interculturalité en particulier en Europeon se demande comment construire en UE une manière que la
lutte contre l’autre est impossible ?
L’entrée en guerre porte des choses à raconter diapo texte : « Les écrivains et le souci d’efficacité
»porte étroite de Gide (moraliste) est le symbole du renoncement des passions et désir car l’amour est à
vivre dans l’idéal. Les écrivains raisonnent il n’y a pas d’attachement à l’idéal mais ils gardent à la réalité,
vision concrète des choses. Les écrivains, l’écriture servent pour faire face au problème de la base  c’est
quoi l’évaluation à donner à l’homme ? c’est quoi l’homme ? on a toujours pensé que l’on va vers le meilleur
et puis cet homme-là est arrivé à faire la guerre, à être un barbare. Comment mettre ensemble les deux choses
? les écrivains disent qu’il faut analyser la réalité.
Critiques différentes : les gens réagissent en manière différente l’un de l’autre. Texte « Une époque de
changements » à la fin du XXe siècle (années ’70-’80-’90) on commence à dire que l’on n’a pas parlé de
la guerre pendant tout un siècle, dans le sens quand on a parlé de la guerre on a regardé la surface, on a
commencé à voir le fond dès les années ’70. On a un rapport différent avec l’histoire aujourd’hui : les
historiens dans la préface disent leur vision d’histoire : d’un coté l’histoire est la narration et de l’autre côté
est raconté par les écrivains. (Ex. le massacre de Rouanda seulement à travers les récits des écrivains).
Diapo Texte « L’émancipation de la jeune fille moderne est-elle un progrès réel ? » on montre le problème
du retour de l’homme de la guerre chez lui, la femme est différente car elle a vécu en manière différente aux
habitudes. Le problème c’est qu’un nombre très élevé d’hommes sont morts, donc un bon nombre des
femmes sont seules.
« Les différents regards » on est confronté à une période de grands changements et différentes approches.
La femme moderne est le symbole de changement rapide et de la crise culturelle (vue et en manière positive
et en manière négative). Avant la femme devait avoir des enfants et un mari pour devenir une vraie femme
mais avec la guerre on n’a plus de maris et sans enfantsla femme seule donc est-elle la femme moderne ?
comment unir passé et futur ? Pour le modernisme de l’époque= il y a une discussion, qui porte à une
division entre « je casse tout », recommencer à zéro, et changer les choses en gardent ce passé parce que fait
partir de moi de ce que je suis (surréaliste VS mouvement soi-disant néoclassique).
Trois éléments importants : 1) la décadence de l’Occident/Europe toujours pensé lier à un progrès culturel
et économique et qui se retrouve devant à un gros échec
2) la fascination de la Russie soviétique= offre une vision nouvelle
3) l’attirance de l’Afrique de ce que l’on ne connait pas, avec lequel on a déjà une relation.

2) Le rôle de la révolution russe : les écrivains veulent participer dans les mouvements culturels et sociaux de
la période et il y a des fondateurs du parti communiste en Belgique dans lequel les écrivains font partie des
discussions. Texte de Benjamin Goriely  il y a cette idée que c’est toujours la France la meilleure même
s’il y a une volonté d’union (entre frères et sœur en respectant les diversités) [Mais par exemple La devise de
l’université est l’idée de Gide, c’est un motif d’orgueil] en regardant vers l’est 1927-1928 ça. Ce sont des
écrivains engagés dans le mouvement culturel du communisme. Texte « Les écrivains et le communisme »
surréalisme : dans un moment où je mets tout en discussion je mets en discussion même le langage, pour
essayer de revenir à la source des choses, comme la pensée avant que je l’ordonne, car pour les surréalistes
tout était superficiel (ex. quand on dit « table » on pense à la structure finale mais on pense plus au bois par
exemple, à la personne qui l’a construit, etc.), alors que pour toutes les choses il faudrait voir l’ensemble.
D’un côté il y a la remise de tout par les surréalistes, de l’autre comme Barbusse la présentation d’un réel
avec lequel il faut se confronter.
Victor Serge parti en Russie, a subi des procès.
Texte « La réponse du surréalisme (Manifeste de 1924) » le pouvoir de l’imagination. Il y a une grande
discussion psychologique (Freud a déjà publié en 1920/1930 certains textes importants connus par les
médecins, très peu dans le public). Pour Breton il faut réhabiliter le merveilleux. Quand je regarde quelque
chose je saisie certaines choses ou je les imagine. L’écriture automatique : le départ de Breton.
Texte « La vision de Paul Valéry. La crise de l’esprit (1919/1924) » vision moins réactive Tout de suite
après la guerre Valéry écrit texte important : roman du Maghreb. L’histoire nous avait déjà dit qu’une
civilisation peut mourir, elle n’est pas éternelle mais la réaction des populations c’est de ne pas regarder
celaon a peur de se mettre en discussion et à niveau personnel et au niveau sociaux. Il y a toute une série
de choses positives.
Texte : « Victor Margueritte et le scandale du « féminisme » » confusion de ce moment-là. Les gens se
confrontaient avec des problèmes gigantesques et ils se demandaient quoi ils pouvaient faire avec l’écriture.
Certains focalise la Russie, il faut réfléchir. Discussion politique au niveau social. Victor Margueritte connu
pour son lien avec le frère Paul qui meurt pendant la guerre, connu parce qu’il a voulu peindre la société en
1907, il écrit sur les prostitues, il dit d’analyser la société avant la guerre et après, il propose des textes avec
problèmes moraux il écrit un roman pour le scandale (« la garçonne »). C’est une œuvre scandaleuse. On
lui fait un procès mais au même temps un bon nombre de gens l’avait lu.
Le couple de Victor Margueritte.
La garçonne (1922) attaqué pour la présentation d’une femme insérée dans la société, qui vit à travers l’art
pour se permettre d’être soi-même.
« le couple, « avant-propos » » c’est la mise en scène de l’importance de l’amour mais sur des bases qui
sont les bases de la société : virginité et fidélité. Encore une fois l’importance des parents. Dans la couverture
: homme entre deux femmes (la mère et la femme) et il est tourné vers la mère et en effet la dédicaces est «
aux mères ».
« - tu sais, maman, je pars avec Claude, tout à l’heure.
- Tu pars ? bien, ma fille.
Sans s’étonner, … »
L’auteur nous dit qu’au côté du couple il y a la maman qui joue le rôle plus important. La maman qui laisse
partir, qui accepte la décision de la fille sans étonner, c’est déjà une mère qui accepte le changement. Ce
n’est pas la fille jolie de l’époque romantique, mais c’est une fille avec grâce mais la phrase « droit comme
un hélicoptère » on fait référence au monde de l’aviation qui commence à l’époque comme activité sportive,
surtout pratiqué les riches, l’accès était libre, activité nouvelle donc pas encore normative et alors même les
femmes pouvaient accéder. Victor Margueritte cherche la possibilité de voir ensemble passé et futur. Cfra
Antonio Gramsci, La cité future= quelque chose importante à construire sur laquelle on commence à
réfléchir. La cité était au même temps le lieu où il y avait l’électricité par rapport à la campagne mais on se
demande si on a bien fait avec la cité future.
« Le couple : les jeunes et leurs sentiments » la mise en place des sentiments de ce couple qui vit et grandit
ensemble c’est la mise en scène d’une société qui construit le couple du futur.
« Le couple : la difficulté à lutter contre les stéréotypes »la mise en scène des changements et à quoi ces
changements heurtent, suivant les idées reçues.
« le couple » pp. 64-65 la réaction
18/02/2020 (Appunti Anna)
Diapo « Le couple », pp. 64-65 pose une sorte de revendication, il y a des problèmes à dialoguer dans le
couple pour les nouveautés de reproches et des regardes et des revendications des femmes. Dans ce texte il y
a un appel aux mères, c’est pour lui fondamental. Les mères mettent ensemble le passé et le futur et pour
Victor Margueritte elles sont porteuses de l’éducation.
Diapo « Le couple et le rôle central des mères »lutter contre la violence, contre la prévarication des autres,
pour autres c’est la seule possibilité pour créer quelque chose de différent et c’est le rôle principal des
parents surtout des mères.
Diapo : « Fin » la société des peuples, c’est un rêve= changement entre institution (société des nations) et
la société de peuple. La solution que Margueritte propose est celle de sortir des mécanismes de la politique et
rentrer dans les raisons de la famille et construire petit à petit une société qui tient compte plus de la morale
que des lois « selon les vœux de ma mère ».
Diapo « ordre purement moral » Belgique (1 guerre mondiale) réagit pour la morale : droit à la neutralité.
L’ordre morale présent en France depuis la révolution, on se demande comment constituer après révolution
l’ordre morale. Ordre moral est impératif de l’état vis-à-vis de la société. Morale= ce qui pense bien. Il y
avait les bases philosophiques : Kant (dans les 2 guerres est repris et revisité) problème des mensonges.
Par exemple pour réussir à avoir des informations précieuses pour la bataille je peux mentir ? Kant dit non,
même si c’est pour sauver quelqu’un, c’est ruiner le fondement de tous contrats et de l’ordre juridique. Sartre
(écrivain qui va changer assez régulièrement) dans les premiers temps reprend Kant autour d’un discours de
morale et de liberté (comme élément suprême) le problème de l’homme est son incapacité de faire les
choses, les fautes posent toutes sur lui.

Margueritte sur l’ordre morale= discours de l’époque, on donne place plus importante à l’homme. On a
considéré que déjà la philosophie indienne est entrée dans la culture européenne avec la philosophie de
Gandhi. « L’âme créatrice »  tous font des erreurs (voir la guerre) il faut revenir à l’âme, à quelque
chose d’impalpable mais fondamentale. Diapo « fin » Rêve et réalité cfra breton (comment mettre
ensemble quelque chose dont je rêve et la réalité de la guerre ?).
Diapo « vers le couple interculturel » Cabanés= indague sur l’âme. C’est d’ailleurs (d’Afrique) que vient
la lumière.
Diapo « La France et L’Afrique » avant 1920 peu d’africains à Paris mais quand même présents Kojo
Tovalou Houénou représent l’impact du rapport avec l’Afrique à ce moment-là.
Diapo « Entre fascination et défense de l’art nègre. Le rôle magique de l’objet » d’un coté vision politique
avec Léopold Sédar Senghor (il a travaillé pour la politique et la culturelle) —nouvelle humanisme (réfléchir
sur l’Afrique pour comprendre comment changer les choses); de l’autre une vision esthétique, la valeur du
primitif (Burk et kant)  fetish, admiration pour objet, nouvelle vision. Du cela Pablo Picasso objet
devient magique. L’importance de l’objet tant qui permet d’imaginer et de créer une vision magique de la
vie.
Diapo « René Maran (1897-1960) prix Goncourt en 1921 pour son roman « Batoula » Maran obligé à
sortir de son rôle institutionnel à cause du roman car il a mis sur scène les choses comment elles sont 
critiqué par les blancs parce qu’en scène le mauvais comportement des colonisateurs et par les noirs pour
avoir décrit une Afrique pauvre, etc.
Diapo « Louis Cousturier, Des inconnus chez moi (1921 » écrivain française qui met en scène l’histoire de
son rapport avec tirailleurs sénégalais. Il commence avec la rage pour détruire les arbres pour les maisons
pour eux et puis petit à petit c’est la connaissance, la compréhension, on finit pour comprendre que nous
avons les mêmes larmes.
Diapo « Pierre Mille et Andé Demaison » 1924, 1937, réédité en 2019 La femme et l’homme nu
Dans ce contexte le mot « nègre » signifie les uses et coutumes tandis que noir définit la couleur de la peau.
Négritude= ensemble de valeurs des nègres.
Ils se sont reparti le travail du roman= pierre mille il faut différencier la première vague de colonisateurs
de la deuxième ; André Demaison parlera du ouest et midi de l’Afrique.
« Le couple domino »
Dans le péritexte il y a un passage : Vania est le nom de la femme russe, les auteurs décrivent les
circonstances dans lequel on comprendre comment la rencontre a eu lieu. Quand elle était jeune, son père
très a eu une grande influence sur elle, puis il est devenu un pensionnat. Il n’y aura pas la fin heureuse. Tout
au long du texte il y aura de l’amour, on se sent la fin dès le départ.
« Première partie : le fils des hommes nus » référence au semi-nomadisme. L’initiation=processus de
devenir de l’enfant à un homme.
19/02/2020
Un personnage doit faire son initiation (du statut de l’enfant à celui d’adulte). Il a la possibilité de voir qu’il y
a des autres choses au de-là de sa propre vision.
L’oungher = médiateur entre homme et dieu. Igwar = il a le pouvoir de porter au … ?
Au moment de l’écriture du roman la 1GM allait commencer.
2ème partie : Tiokoro et Vania
Vania est une fille choquée à cause de son vécu violent (père égorgé, mère morte).
Le texte est divisé en 4 parties, dont la 2ème e la 3ème sont écrites par Pierre Mille.
Dans les années 20 les relations entre les personnes de couleurs différentes n’étaient pas bien vues. (la
personne plus faible du couple était critiquée).
3ème partie : Cham et Japhet
Personnages de la Genèse, chapitres 9-10. Ils sont les fils de Noé. Un jour le père s’est endormi nu parce
qu’il avait trop bu. Cham entre et voit le père nu et appelle les autres frères, qui couvrent le père. Ils
expliquent tout au père, qui maudit Cham, qui devient l’enfant maudit.
Le titre de la troisième partie n’est pas choisi par un hasard.
L’écrivain Pierre Mille est un blanc = rasse supérieure, tandis que les noirs sont une rasse inferieure. Cham
(d’où descendent les noirs) et Japhet (d’où descendent les blancs, les bons occidentaux) vont se disséminer
par le monde. Indirectement Mille dit que le couple interculturel vient d’une descendance maudite et d’une
descendance bénite et à cause de s double descendance ce type de couple ne peut pas exister. A travers
l’intitulé du paragraphe on comprend que cette relation n’est pas possible.
Le texte ne dit pas trop de choses sur la guerre. Après la guerre il est obligé de retourner à Dakar et elle le
suit  les blancs qui habitent à Dakar ne comprennent pas ça. Vania fait face à l’ostracisme. Le couple va à
Dakar.
Tout le monde détestait le couple. Quand la garante de la chambre voit qu’il s’agit d’un couple mixte, la
chambre n’est plus disponible. Cette dame est raciste et ne veut pas le couple dans son hôtel.
Mme Philibert vend des vêtements aux riches européens.
Tiokoro est battu, la personne qui aime Vania a organisé l’attaque. Il est battu parce qu’il doit comprendre
qu’il doit côtoyer les gens de sa race. Il est laissé devant la maison de Moussouba (=en langue africaine
signifie ‘quelque chose de malheureux’), une femme trois fois mariée et divorcée qui se prostitue la nuit.
Vania cherche Tiokoro partout, elle ne sait pas qu’il a été battu. Enfin elle le retrouve, mail entre temps il a
eu une relation sexuelle avec Moussouba.
C’est Vania qui prend l’initiative dans leur relation≠ avec Moussouba c’est Tiokoro qui agit et décide, qui
prend l’initiative et il se sent homme. Il veut donc rester avec les noirs. Il va demander de l’argent à Vania
pour Moussouba et pour retourner dans son village.
Tiokoro part et Vania pense avoir eu tort, qu’ils n’ont jamais eu les mêmes idées, les mêmes pensées, les
mêmes sentiments et non pas la même origine.
D’un coté il y a le dieu de Tiokoro, de l’autre celui de Vania, qui est chrétienne. Dès qu’ils se séparent
chacun pense à son propre dieu.
Tiokoro part seul : ce n’est pas une femme qui l’a éloigné de chez-soi.
4. partie : l’homme dans le foret
Tiokoro est le seul parmi les habitants d’Ifane qui a connu le monde des blancs et est revenu. Il mérite donc
de devenir riche.
Il manipule le peuple pendant les élections, comme on voit encore aujourd’hui en Afrique pendant les
élections. On achète les adversaires politique et Tiokoro le fait, il tue aussi ceux qui veulent le pouvoir
comme lui. Les présidents en Afrique font tout pour se maintenir au pouvoir. Tiokoro manipule et achète les
gens. Manadel fait des signes qui désignent Tiokoro comme chef du village, pendant qu’il est en ligne avec
les autres qui veulent le pouvoir.
Tiokoro n’a jamais parlé des femmes qu’il a rencontré. On le lui demande, ma il réfléchit (=décide de
changer la réalité) avant de répondre. Après sa réponse le roman termine.
Tiokoro fait trois expériences qui lui donnent un autre pdv par rapport à celui des gens qui n’ont pas voyagé :
- Expérience d’Ifane
- Voyage en France
- Amour
Vania va reconsidérer sa relation avec Tiokoro, elle pense qu’elle a fait une erreur.
Ce roman montre l’interculturel dans une relation, son début qui n’a pas été simple, mais la fin du roman
n’est pas heureuse, chacun va de son côté.
03/03/20
Avec le surréalisme les intellectuels s’interrogent, on pose le problème de l’amour. Comme si auparavant il y
avait seulement l’idée d’amour, maintenant réalité d’aimer. Quel est le point d’arrivé de la liberté ?
Diapo « La crise de l’esprit » : quelle est la chose la plus importante ? Défendre des idées, une cause, ou
suivre l’amour.
Les surréaliste qui avaient réagi toute suite après la guerre en disant « il faut tout cassé, tour reconstruire à
nouveau, reconstruire un monde nouveau », à un certain moment ils se posent la question « que va-t-il
devenir du rapport à l’autre, que va-t-il devenir l’amour dans ce cadre. »
Le group des surréaliste discutent beaucoup sur cela, ils font des réunions, écrivent sur des revues.
Aragon écrivain important pour l’époque, dit que « finalement on est en train de parler de l’amour mais il n’y
a aucun femme parmi nous ». Vedi slides.
On cherche une solution, Aragon souligne qu’on est en train de le faire sans le femme. En effet un des
moments importants sur la discussion autour de l’amour se fait autour d’un tableau de Magritte.
L’arbre qui cache la foret. Magritte est un peintre importante pour le mouvement surréaliste et pour
l’époque, il va créer une sorte de scission avec Breton. Il peint ce tableau qui représente une femme nue au
centre et avec l’écriture « Je ne vois pas la … femme … cachée dans la foret ». On a une fonction de
méthode de la parte de Magritte de mettre ensemble objet et écriture. En générale les phrases choisies pour
les images de Magritte (comme ceci n’est pas une pipe) ce ne sont pas à lui, mais écrites pas le poète Nougé
qui travaillait avec lui. Magritte peint ce tableau et il fait aussi un montage photographique que c’est le
tableau et autour tous le surréalistes, les plus importantes écrivain de l’époque. Ils font de ce montage
photographique un ouvrage collectif. Ils sont tous là et ils sont tous avec les yeux fermés. Ils posent le
problème de l’œil et le regard dans le sens que l’œil n’est pas nécessaire pour voir le chose parce que c’est
dans la profondeur du regard qu’on a les choses le plus importantes.
Le montage est une œuvre. Le tableau est un tableau à lui, la première chose qu’il a fait, après avec les autres
ils ont décidé de commenter ce tableau et il l’ont fait à travers ce montage en juxtaposant le photos tout
autour. Le fait de mélanger objets et mots c’était pour Magritte une façon de détruire les idées préconstruites.
C’est un moment où on pose le problème de la femme, qui est cachée dans la foret. Phrase de départ pour
dire qu’on regarde la chose la plus petite et on ne voit pas tout l’ensemble. Ici Magritte pose le problème de
comment on regarde à la femme et la femme qui représente un entité énigmatique dans la vie dans le sens
qu’on la voit mais on ne comprend pas véritablement quels sont les enjeux, les éléments qui construisent le
rapport avec elle. Finalement la femme est là mais c’est une image d’elle qu’on a, pas véritablement ce
qu’elle est dans la réalité.
Thème important de l’époque :
Rapport entre réalité et rêve  le rêve fait partie de la réalité : quand on voit quelque chose, la femme ou des
objets, il y a l’esprit, la tête, la réaction de chacun qui construisent la réalité. Donc à travers nos rêve, nous
illusions, nos pensées. Donc la femme st une illusion car chacun la crée à sa manière, l’homme ne voit que
son illusion à lui, ce qu’il veut voir.
Problème du corps nu : la tentative d’aller voir ce qui se cache derrière la construction sociale et on arrive à
l’idée d’une femme comme inspiratrice, muse. Ca sera une des choses que les féministes des années
suivantes vont un peut reprocher aux surréaliste : l’idée de femme nu qui sort la femme du rapport concret,
vrai, avec les autres.

Ces discussions des discussions des intellectuelles mais la société c’est la société des année 30, donc une
société qui est en train d’aller de plus en plus vers un vision totalitaire (moment du nazisme et fasciste). On
recourt dans les années 30, année de la crise de l’esprit où on a la réaction aussi de la société de se fermer,
bloquer. On a des lignes différentes pour la représentation du couple.
Trois auteurs qui représentent 3 façons différentes de représenter le couple.
- Georges Simenon  il commence à écrire Maigret en ’32 et il met en scène un vieux couple
- André Breton (à la tête du mouvement intellectuel)  met en scène un couple introspectif, il analyse
son rapport à l’amour
- Charles Plisnier  regarde les structure sociale et comment le couple peut evoluer
GEORGES SIMENON
Vu comme le plus grand inventeur d’histoire de la littérature mondiale. Il construit des histoires différents
qui ont une base similaire, elles évoque toutes une crise, il choisit des endroits, des moments, personnages.
Sa façon d’analyser la crise d’esprit de l’homme c’est façon d’analyser l’homme, traiter la présence de
l’homme nu, aller voir comment l’homme il est véritablement à son intérieur, comment réagit à une certaine
situation. Il a écrit plus de 200 romans, la plus grande partie ce sont de Maigret mais pas seulement, il est
très connu pour Maigret mais pour lui Maigret c’est un exercice pour arriver à écrire le véritable roman qui
considérait le vrai roman pour lui. Jusqu’à la fin il n’est pas content et il dit ne pas être arrivé à cela.
Il se questionne et questionne ses personnages aussi.
Vedi slides. L’homme est constamment à la recherche de voir s’il est en train d’agir de manière correcte.
Cela pose le problème de la société. La société, elle me conditionne ? A quel point ? Je suis fier par rapport à
quelque chose que je pense ou j’ai honte de moi par rapport à quelque chose qui pense la société  ? Ses
personnages travaillent autour de ce problème.
Vedi slides : Il faut détruire […] On dit à l’home qu’il y a toujours quelque chose de plus élevé qu’on peut
atteindre, mais c’est une imposture : ’homme ne peut pas se mesurer avec la grandeur de la moral, donc il
sera toujours mécontent de soi si on continue de lui dire qu’il y a cette grandeur possible.
Dans ce cadre, Simenon nous propose un couple (dans Maigret), marie et femme qui sont deux entités
différentes. Entre eux il y de la tendresse, ils gèrent le quotidien. Elle se montre à la maison beaucoup plus
active que lui. Deux entités différentes qu’on voit aussi quand le texte conduit à parler de la vie, de
l’existence, du rapport à l’autre et Maigret ne le fait jamais avec sa femme. Il a un partenaire, le Docteur
Pardon, avec lequel il entame des discours mi-sérieux, il ne le fait pas avec la femme. La femme fait le même
mais elle le fait avec une autre femme. Donc mari et femme liés par la tendresse mais qui restent deux
identités différentes.
Il y a quelque chose que même dans les descriptions de couple classique, que peut faire Maigret, il y a
quelque chose de l’époque : le regard est important quand il dit qu’il y a quelque chose derrière quand il y a
quelque chose qui n’est pas physique, mais qui reproduit quelque chose de l’intériorité profonde de la
personne. Il y beaucoup femme que Simenon met en scène, il ne pose pas un imagine figée de la femme mais
en général le couple est représenté par le commissaire et sa femme. Il y a d’autres situations, comme Les
gens d’en face, qui ne parle pas véritablement d’un couple, mais c’est la naissance avortée d’un couple.
Là il y a un couple impossible. Simenon fait un voyage en Russie. Année 20/30 quasiment touts les auteur,
intellectuel partent pour la Russie (c’était la fascination dans ce moment là) pour voir, aller comprendre les
résultats de la révolution. En général reviennent tous assez déçu et aussi Simenon est déçu par le voyage. Ce
romane est expression de cette déception.
Il met en scène un turque, pas un français, un turque qui est envoyé en Russie le texte nous dit qu’il a
seulement 3 conseiller étranger, un italien, un persan et un turque qui essaye de se débrouiller à l’intérieur du
régime Staline. Simenon souligne que dans ce régime duquel tout le monde parle, ce qui règne là c’est la
mensonge car les gens sont bloque par la terreur, ils jouent la comédie de leur vie, ils ne vivent pas
véritablement. Cette ambivalence de vouloir vivre et de l’autre coté la situation dure et difficile qui fait peur.
Ce consul turque a besoin de quelqu’un qui parle la langue du pays (russe), il rencontre cette femme Sonia
qui devient petit à petit une obsession jusqu’au moment où elle cède. Ils commencent à se fréquenter mais la
jalousie règne et à coté il y a la doute, la conviction de l’homme que la femme est en train de l’empoisonner.
Finalement il parvient à la faire parler et elle avue qu’elle est en train de l’empoisonner et elle avue qu’elle
avait déjà tué le consul précédent. Il ne réagit pas de manière violent contre cette femme mais il comprend
qu’elle ne pouvait faire autrement dans cette situation sociale et politique. Elle s’enfuie avec lui vers
l’Europe pour retrouver un équilibre et elle décide de le suivre, ils se donnent un rendez-vous mais elle ne va
pas au rendez-vous. Le texte ce termine comme ça et le roman laisse au lecteur le doute qu’elle est prise par
la police et tuée. Couple qui ne parvient pas à se former à cause d’une structure sociale qui bloque toute
possibilité. A travers Simenon on confirme un couple ancien, classique, un couple qu’on avait l’habitude de
voir dans la société de l’époque, mais avec Breton il y a une volonté de réagir. On voit avec Magritte aussi la
volonté de mette ensemble rêve et réalité, de refuser la rhétorique et la logique, de laisser aller ce qu’on sent
comme étant la chose la plus importante.

ANDRE’ BRETON
Breton, suivant la période, petit à petit change de position, il se remet toujours en question et cela montre
l’évolution de la pensé. L’évolution est lié a ce rapport avec l’autre, dans le cas de Breton féminin. A
distance de peu d’années écrit 3 œuvres qui représentent cette évolution.
La première qui est celle qui caractérise le début du mouvement surréaliste est Naja (1924).
Avec Nadja il met en scène un personnage fou pour la société. Le protagoniste se demande s’elle est
vraiment folle ou s’elle est simplement différente par rapport à des structure sociale qu’on considéraient
fondamentales ? Il suit donc les pensées, les action, l’évolution de Nadja, il regarde sa façon de regarder le
chose, de s’approcher aux gens et comment elle vit cette solution dans la quelle sa « folie » est en train de la
mettre. Mais il ne trouve pas des solutions. Conclusion à laquelle il parvient dans ce premier moment : même
si on est amoureux, l’amour n’est pas en mesure de permettre pas de comprendre l’autre. On peut observer,
regarder, mais ce n’est pas à travers l’amour que je parviens véritablement à comprendre la personne avec la
quelle je suis en train de me mettre en relation.
Au fil des ans, Breton va un peut plus loin, il accepte qu’il n’arrive pas à faire quoi que ce soit, mais alors
c’est quoi qui domine mes actions et mes rapports ? Il se focalise sur le rôle du désir. Il dit : si quand je
rencontre quelqu’un, j’éprouve quelque chose, je ne sas pas l’expliquer et donner une raison, c’est cela la
magie parce que je ne sait pas ni la définir, ni la positionner, c’est quelque chose qui est dehors de mes
possibilités.
Toute de suite après la guerre il avance encore dans la réflexion : on a arrive à se qui fait Magritte, la femme
devient une muse inspiratrice, il dit : la fusion est complète parce que il l’a intériorisé. C’est ce qui disait
Argon, la vision masculine de la chose.
Amour fou : texte qui pose le problème du rapport au désir où Breton cherche à analyser cela en mettant en
scène un couple pendant une situation banale, une promenade qui en fonction des objets, des endroits, suscite
des sensations, des flashback, et aussi une sorte d’éloignement de l’autre. On aurait envie d’être en silence,
seuls, de ne pas avoir l’autre à cote des nous, jusqu’au moment où ils arrive à un endroit et ils voient la
lumière qui arrivent donc ce sont les choses qui se recomposent et ils comprennent que ses abris c’étaient de
lieux modi ( ?). Morale : les choses se passent dans un couple d’une manière qui peut être magique,
impalpable, incompréhensible. Le désire reste la vrai révolution. La seule ressource possible que l’homme
peut avoir pour se comprendre c’est le désir.
Moment de la rencontre  la rencontre dans une soirée, réunion, avec la femme, se fait à travers des choses
qu’on sait pas définir. Le tourment d’une interrogation qu’il fallait exprimer, dire, sans savoir effectivement
d’où ce vient (je sais si peut ce qui me guidait) et au même temps il continue de parler avec les autres. Je
participe à ma vie sociale mais il y a quelque chose qui passe en moi et je ne sais pas de quoi il s’agit.
Diapo « l’ambivalence ». Ce qui est important chez Breton c’est que l’incompréhensible provoque un
passage constante entre confiance et perte de soi, entre l’amour et la haine, il y a qqc chose qui passe en moi
que je ne sais pas métriser jusqu’au but. Quelle est la solution ? Il pose comme solution le fait de se laisser
conduire. Mais c’est cette incompréhension qui provoque l’ambivalence, un grand désir de s’enfuir..(testo
slide).
Je ne sais pas ce qu’il faut faire. D’un coté j’ai les règles sociales, de la famille aussi, ce qui se fait depuis
toujours qui finalement me tranquillisent et de l’autre coté j’ai ce qui m’attire, mais que je ne connais pas.
Le « Pour et contre » se réfère au pure et contre typique de la méthode française (quand on enseigne
comment construire une dissertation, une chose important c’est réfléchir sur le pour et contre). Façon de
retourner sur cette question d’aller contre la pensée cartésienne qui a construit la façon de construire les
raisonnement à la française.
Diapo « Désir et amour ». Amour, désir, sexualité pendant longtemps vont être la seule chose pour Breton,
mais il en reconnait l’aspect mortelle, vénéneux, il en reconnait les mystérieuses perversions.
Breton défend et reprend Sade, un auteur mis à l’index par ses œuvres. Aussi en ’56 l’éditeur subit un procès
pour la réédition de ses textes. Les critiques disent que Breton va poétiser Sade, le perversion pour Breton ne
sont que une expression de ce que l’âme, l’homme, ressent.
Sade pour Breton est le révolutionnaire car il y a avait donné une très grande place au désir et cela pour
Breton c’était importante de essayer de comprendre comment le désir bouge dans l’homme.
Diapo « L’amour fou ». L’amour physique et globale doit s’élever, doit aller vers la poésie et donc il doit
faire face et comprendre à tous les situations négatives, les obstacles qu’il peut y avoir parce que l’objet c’est
de faire triompher l’amour. Donc un amour vrai est un amour fou car l’amour véritable peut être plain de
problèmes, de périls, mais seulement en les dépassant parce que on rêve quelque chose de plus élève on peut
vivre véritablement l’amour. Mais l’amour perturbe les idées les plus fortes, et on revient à la question
toujours présent dans cette période car c’était d’un coté le rapport avec le passé, la structure sociale qu’on
considère dépassée, de l’autre cette le présent avec le contingents, la monté du fascisme, et donc d’une
structure rigide.

Inizio registrazione b del 3/03


« J’y songeais »  Explication qui donne à cette poétisation de l’amour. Le moment où ils étaient loin l’un
de l’autre, mais dans lequel quelque chose se passé et c’était le fil du puissant du regard. ( ?) comme si c’était
quelque chose qu’on sait pas définir ou comprendre, mais qui fait que le lien est très fort. Il dit qu’il voudrait
d’un coté suivre ses pensées politique, sociale, de vie, avoir la tentation d’aller offrir à ceux qui voulaient
coute que coute en finir avec le vieil ordre, mais il y a vais ce bonheur, ce rapport à l’amour qui le retient
parce que le bonheur de rester avec elle était plus fort.
« M’éloigner de vous […] » C’est comme si quand on aime on redevient enfant. On a tant de questions
folles, des questions auxquelles personne ne peut répondre, mais on a une grande confiance dans la personne
qui nous pose ces questions et que elle va surement nous apprendre quelque chose. Le texte se termine avec
la phrase « Je vous souhaite d’être follement aimée » dans le sens que l’amour est aussi folie car on ne sait
pas vraiment comprendre ce qui se passe.
Voilà les interrogation que Breton et son groupe se posent autour du couple, de l’amour et de comment ce
couple se peut constituer.

CHARLES PLISNIER
Il représente une 3ème filière.
Vedi slides pour la description que les Archives et Musée de la Littérature fond de cet auteur. Déception lié
au rôle de l’écrivain, fait de participer à quelque chose, croire en quelque chose et puis voir qu’on sait pas la
gérer et l’idéologie, la vision qu’on a d’un société échappe et va vers des situations qu’on aurait pas voulues.
Ce qu’ils reprochent c’est que tout avait démarré d’une idéologie mais que cette idéologie était en train de
devenir une structure et donc de conditionner l’homme d’une manière très forte.
Plisnier formé dans une famille catholique et bourgeoise auquel il réagit mais parait-il de manière pas trop
convaincante (pour cela la phrase que ses activité littéraires étaient considérée bourgeoises et romantique).
Poésie de Plisnier intéressant car quand on regard à la poésie écrite avant 1920, avant la guerre, et cella que a
commencé à écrire après, on voit passage systématique de remplacement de la femme par la révolution. Les
adjectifs, les images, métaphore qu’il utilisait pour la femme avant la guerre, après la guerre il les utilise pour
la révolution, qui devient son amour constant. Mais finalement les choses avec l’évolution de comment les
choses passent et le voyage, changent et il se tourne vers le romanesque.
Il a participé de manière très forte à la période dans laquelle il a vécu, il a un grand retentissement dans les
œuvres, œuvres où il pose le problème qu’il était en train de vivre.
Œuvre tourmenté car il est lui-même tourmenté et il le dit. Si on va vers cette âme qui est enfermé par la
famille ou par la société et il la pousse à se considérer, s’analyser par rapport que la société dit ou définit en
disant ce que lui-même ou elle-même pense. Le problème ce n’est pas d’enfermer le jeunes, leur donner une
structure, leur dire « voilà, il faut suivre certaines règles », mais le problème c’est : que passe-t-il si se
personne s’analysent car il se regardent et étudient, décident qu’ils ne veulent pas cette prison là ? Il va donc
analyser ce qui se passe, des situation différentes. On parle de Plisnier comme le Blazac de la comédie
humaine. Il essaye de faire une grand présentation de la société mais une société qu’il ne décrit pas. Il
focalise surtout le personnage. En ’46 après la guerre, il va revoir son romans et il va véritablement le
réduire, éliminer une grand partie du texte pour laisser la place seulement aux personnages, aux rapports
entre les personnages. Personnages importants, quasiment tous centraux, sont des femme. Le regard que
Plisnier cherche à apporter c’est une regard féminin.

Mariages  Vedi slide.


Fabienne : doit et avoir. Termes qu’on retrouve dans une banque, donc c’est une façon de souligner le fait
qu’on est en train de parler de l’argent et cela concerne Fabienne.
Rien à espérer : le rapport important qu’il est construit ce le rapport à la famille, une famille qui prime, qui
décide de tout.
Christa c’est la seule qui donne l’intitulé à une partie du texte, personnage avec une forte identité. Les autres
sont définies par rapport à la problématique avec laquelle elles se confrontent.
Le fil conducteur du texte est donc à Fabienne, qui a cette coprésence continue, c’est à travers d’elle qu’on
regarde les autre parfois.
L’histoire des mariages c’est l’histoire de l’évolution d’une famille à travers 3 mariages. En général c’est
pour démonter qu’un certain type de famille se désagrègent, il y a plus de place pour cette vision.

Fabienne est lié a doit et avoir parce que elle renonce à son amour de jeunesse. C’est un homme qui n’a pas
des problèmes d’argent mais qui ne la considère pas beaucoup, la famille n’est pas contente de son rapport
avec cet homme donc elle décide d’interrompre pour épouser quelqu’un qui est pauvre mais qui travaille
dans l’usine/entreprise de son père et qui déclare qu’il va continuer la tradition familial et assure donc une
continuité dans la vie. Le problème est qu’une fois qu’il est bien inséré dans la famille et qu’il devient riche
lui aussi, il s’en va avec une jeune secrétaire. Il cherche à partir aussi avec l’argent et lui enlever tout ce qui
représentait sa famille est donc Fabienne le tue. A la fin elle ne sera pas punie pour cela.
F. s’interroge sur cette sorte d’ obsession qui la possède. Se marier c’est organiser quelque chose, organiser
la vie. F est obsédée pas le fait d’organiser sa vie, d’avoir ce mariage. Pourquoi ? Pour la solitude, la sécurité
du futur. Tout cela est décidé par le notaire, c’est-à-dire c’est une sorte d’organisation sociale.
« Fabienne, la force de la tradition familiale » Ecrivain essaye de faire comprendre l’importance de ces
objets qu’on voit tous les jours qui représentent quelque chose pour la famille et représentent la vie aussi
pour la famille et qui quand on le vie depuis le jeune âge deviennent une partie importante de notre vie. Ces
choses laissés par des génération figuraient l’assurance du lendemain, le secours fidèle, le havre qui ne
trompe pas. Pourquoi n’avait-elle point confondu la destinée de son cœur et celle de sa fortune  ? Pourquoi
était-elle tombée amoureuse de quelqu’un d’autre alors que il aurait fallu mettre ensemble la destinée du
cœur et de la fortune ? amour capital amour dicté par la folie, sens tragique de la vie, amour capital qui est au
même temps économie et amour absolue. Ne pas être capable de mettre ensemble la vie du passé et celle du
futur, garder la tradition. ( ?) Force de la tradition familiale.
Fabienne laisse tomber la personne dont elle était amoureuse car elle n’accepte pas qu’il la trompe et la
famille lui dit « tu devrais te marier sans perdre de temps… » (vedi slides).
On a l’image de soi et de la famille est quelque chose de fondamental qu’il faut gérer non pas à travers les
sentiment mais les raisonnement. Finalement le couple pour Fabienne signe un contrat, un pacte. Il faut pas
chercher à s’imaginer le rapport avec l’autre comme quelque chose de rêve, il faut être concret est accepter
les situations, la vie n’est pas une idylle.

Marcelle, elle a seulement son père, elle aussi est amoureuse de quelqu’un d’autre et elle aussi sacrifice son
amour à celui qui peut aider la famille. Résultat : elle devient une femme insatisfaite qui cherche
constamment l’amour chez d’autres personnes. Triste.

Christa, elle fait gagner l’amour, elle avait réagi de manière différente à Fabienne (c’est Fabienne aussi qui le
dit vedi slide Christa n’avair pas eu peur…). Elle épouse un homme divorcé, elle subit le scandale et le fait
que la société la met de coté mais elle a choisi l’amour et c’est la seule qui finalement aura un mariage
heureux.
Christa présentée comme celle qui est capable de faire face a tout le monde, à toutes les conséquence
possible car elle a décidé de suivre l’amour. On souligne son courage d’aimer, cne considère pas le bonheur
de ses parent, mais le sien. Le texte dit qu’elle a lutté, n’a pensé qu’a elle, mais finalement tout s’arrange et
aujourd’hui, après tant des lutte, des défenses de ses idées, elle a une dignité et bonheur que les autres non
pas encore trouvé.

04/03/20
Mariage œuvre dans laquelle l’écrivain met en scène différent type de couple et donne la place surtout à
Fabienne, le personnage sur lequel le romans s’ouvre et sur lequel se ferme. Femme qui est présentée comme
femme dure qui ne s’est pas laissé tenté par l’amour, amour qui l’a seulement effleuré, elle n’a jamais eu le
courage de s’y abandonner. Elle avait renoncé à cet amour et organisé un mariage sans aventure mais dans
lequel elle voulait se sentir protégée. Elle se sentait protégée par l’entreprise de son père et par les règles de
la société donc aussi son première amoureux elle ne l’avait pas accepté parce que ni la famille ni la société le
voulait. Elle reste donc très froide est dure tant est si bien que quand elle reste enceinte elle ne montre aucune
émotion, aucune empathie ni vers l’autre vers le futur enfant. Tout de même, même s’elle parle de notaires et
de contacts, l’amour grâce aux autres personnages du roman, l’amour lui laisse des doute. C’est surtout à
travers Christa qu’elle montre cette doute. Christa avait renoncé à tout pour suivre l’amour. Ce doute que
Fabienne a ce sont des doutes que l’écrivain continue à faire vivre à ses personnages dans d’autre romans
comme Mère (on a déjà rencontré l’importances des mère avec Victor Margueritte). Après Mariage va écrire
Mère et reprend ce problèmes vécu par les personnages à cause des doutes et des erreurs. (slide Les regrets et
l’importance de l’âme). L’idée que Plisnier fait d’avance c’est que la femme se trouve dans une situation
d’interrogation constante sur elle-même et sur ce qu’elle fait mais dans Mariage il n’y a que les femmes mais
aussi des nombreux personnages masculins qui ont un rôle moins important que celui des femmes.

L’homme le plus présent c’est le mari de Fabienne. Présentation du problème qui existent pour les homme
aussi. Les hommes vivent les problèmes avec la même intensité que les femmes. Pour lui les femmes
l’épouvantait. Pour lui l’amour fait de sorte que l’homme est dérouté. L’écrivain va plus loin car il dit que le
mari ne parvient pas à aimer sa femme à cause des rôle sociales qui entrent en jeu. La femme qui est la fille
du patron de l’entreprise qui est celle qui a l’argent, elle représente une classe sociale qu’il avait humilié tout
le temps. La femme qui lui change de statu, l’enlève de ce que son identité représente pour le faire devenir le
genre du patron mais de par le fait qu’elle est la, il lui rappelle que lui, il état né pauvre. Pour réagir et être
content dans sa situation de richesse, bien-être, d’un amour nouveau avec secrétaire, il fallait rejeter sa
femme pour jouir de sa nouvelle grandeur. Demande qu’on se posait à l’époque : qu’est-ce qu’on fait du
passe ? Est-ce qu’on le garde ? On le renie, on l’efface ? Ceux qui ne connaissaient son origine, ils avaient
pour lui considération et respect, donc c’est seulement la place qui t’apporte du respect et considération en
non pas le fait que tu travail d’une certaine manière ou d’une autre. Il est pris lui aussi dans un engrenage mis
en place par la société.
L’ensemble des doute que Fabienne a, la situation dans laquelle elle vit lui enlève les forces, sa
détermination et lui font commettre des faites et à la fin elle ne trouve d’autre solution que de tuer cet
homme qui à la limite la déteste. Elle l’empoisonne de manière que personne ne s’aperçoit donc elle ne serait
pas puni pour cela On retrouve toute sa capacité d’organisation. La structure sociale est tellement forte
qu’elle cache tout.

Plisnier reste impartiale, il fait une photographie de la société. Le couple vit si la classe sociale est la même,
peu importe ce que le couple construit ensemble si la classe sociale est différente car il n’arrivent pas à se
comprendre. Le mari de Fabienne est devenu riche pose un problème, il ne perd pas sa situation d’origine et
ce manque de situation égale ne permet pas au couple de vivre heureux. De même le couple vit s’il suit les
règle sociale et restent dans une situation pré acquise même si pas heureuse ou bien si le couple se forme à
travers et grâce à l’amour et à la capacité de renoncer à tout parce que c’est l’amour qui prime. (13 :47)
Ce roman se fonde sur un malentendu sexuel pour Plisnier. Ce n’est pas une expression qu’on va retrouver
dans d’autres texte comme Le malentendu du deuxième sexe, ce n’est pas ça, mais c’est une façon de se
connecter aux théories de l’époque, aux discussions par rapport à comment définir le sexe si on sort d’une
définition sociale, si on sort de la structure rigide construite par la société. Comment voir l’amour quant il se
confronte avec l’honneur, les intérêts, la tradition, cet amour sur lequel on a changé le regard. Plisnier nous
propose des positions différentes et il met en scène l’incertitude de l’époque.

ANNEE 30
Année 30 années importanteS par rapport a ce qui va se passer par la suite, année importante pour toute la
pensée du 20 siècle presque jusqu’à nos jours.
D’un partie les année 30 mettent en scène un code sociale auquel on peut se rebeller ou on peut accepter, un
code sociale et familial forte qui parfois justifie tout, mais au même temps l’écrivain donne un image de
comment la société est en train de bouger et comment finalement les personnages et les intellectuelles à
travers le personnages s’interrogent véritablement sur le monde. La littérature est donc un miroir, un
prolongement de l’action, elle va véritablement analyser les action du quotidien du vécu de la société du
moment. On regarde au pulsions de la vie, mais c’est quelque chose qui va être très court mais c’est
vraiment le base pour ce qui va se passer par la suite.

J.P.SARTRE
A la fin de ces années 30 il y a J.P.Sartre, au moment le plus illustre des français.
Sartre écrivain et philosophe, discuté et revu a plusieurs reprises dans les lectures mais il a marqué les
discussions de l’époque. (vedi slide).
En couple avec Simon de Beauvoir, on dit que les deux ensemble on rejoint la légende du siècle. Au moment
où le couple est mis en discussion, le couple est en train de avoir une grande évolution dans la société, en
littérature il y a une couple mythique qui se forme, qui rejoint la légende du siècle.
On retrouve (nella slide di presentazione di Sartre fatta dal dizionario) les positions qu’on avait trouvé dans
la lutte contre l’humanisme de Simenon, idée de l’homme qui peut atteindre quelque par, qui s’imagine
pouvoir atteindre et Sartre dit « c’est une passion inutile, quelque chose qui n’aurait pas veritablement de
possibilité ».
Vedi slides « Pourquoi sartre est-il important ».
Concept de liberté fondamentale à l’époque, si je met tout en discussion, au même temps je doit analyser
quel est le rôle de ma liberté, s’elle a des limites ou pas. C’est finalement une question de focaliser une
perfection, vouloir atteindre une perfection qui n’existe pas ou qui est de toute manière est inatteignable. Ce
sera la discussion à la base de toutes les théories de Sartre.
Toujours fin année 30, on arrive vers la guerre et explosion totale des nationalisme, il écrit la Nausée (’38) et
c’est une nausée face à la vie. Il dit que quelque chose d’important c’est passé et qu’on n’arrive pas a voir la
vie comment on le faisait avant. On doute donc vraiment l’importance, le rôle de l’homme. Sartre va un peut
plus loin de la crise de l’esprit de Paul Valérie, c’est l’existence atteint un sens aujourd’hui là où on a vu que
l’homme qui croyait être en train de faire un parcours toujours vers le mieux, il s’est retrouvé dans la
catastrophe de la guerre et il est en train de sentir en ’38 que la guerre va revenir de nouveau. Pour essayer de
comprendre pourquoi on était arrivé là, il analyse la culture bourgeoise et en l’analysant il dit que le
problème est comment on élève un enfant, le problème devient l’enfance de l’homme.
« Slide fin des années 30 »Un des problème pour lui est chercher à comprendre le rôle de l’enfance, on
retrouvait ça chez Victor Margueridde et aussi l’image de l’édition du couple qui mettait l’homme entre sa
femme est sa mère. Sartre le reprend aussi en disant que ce son les adulte qui forgent ces enfants, l’enfant
n’est qu’on monstre fabriqué par les adultes car ils cherche à récupère le regret à travers l’éducation de ces
nouveaux être humains. Il dit que l’adulte a besoin de consommer de l’enfant pour être soi-même.
Dans cette crise, la vie de Sartre a été une tentative de compréhension de l’homme à travers des voyages,
lectures, il lisait beaucoup (nouveau, classique, français, étrangers). Il faisait, comme d’autres, des tentatives
à travers la drogue de voir comment la réalité pouvait être vécue de manière différente tout cela dans la
tentative constante d’analyser. Il est immédiatement associé a Simone de Beauvoir. Elle intervient très tôt
dans sa vie et c’est elle qui lui dit qu’il faut dépasser ces réflexion et mouvement dépressifs avec l’écriture et
la publication.
La Nausée
Titre donne idée du problème à la vie. C’est un journal fictif dans lequel le narrateur écrit ses sensations, sa
façon de percevoir le monde. (vedi stessa slides).
Le problème est de dire que quand on vie on n’a pas le temps d’être soi-même, rien ne se passe d’importante
à l’intérieur de soi, il y a seulement des corps qui changent et des personne qui arrivent et partent, tout est
pareil, mais quand on raconte quelque chose se passe et on trouve quelque chose au fond de soi et c’est la
partie la plus intime et la plus représentative de nous même qui ressort. Ecriture et musique unique solution
pour faire face à la vie.

Slide Extrait repris par Annie…., pour dire que quant on lit l’histoire, vie, œuvre des écrivains tout est en
mouvement, les écrivains les plus honnêtes avec eux même et leur lecteurs, ils mettent en scène l’évolution
de leurs esprits.
Ses questionnements constantes sur l’existence et sur soi mais aussi la nécessité forte et déterminante d’avoir
quelqu’un d’autre pour se confronter. C’est un changement important aussi dans le rapport des écrivains
entre eux car pendant la fin du XIX et début XX, le milieu intellectuelle était fermé donc intellectuelle
discutaient entre eux alors que plus on avance vers le milieu du XX et fin XX, les écrivains sont souvent des
individualiste, isolé et là les discussions se forment en ayant un partenaire avec lequel discuter.
La discussion constante, la volonté de trouver une façon de penser différente et de l’analyser.

Dans cette Nausée, Sartre nous propose aussi ce rapport avec l’autre, cette nécessité d’avoir l’autre à coté de
soi. On dit que c’est une autofiction car il y a plain de choses qui nous apprennent aussi la vie de Sartre, mais
c’est la volonté de montrer les difficultés du raisonnement, les difficultés à chercher une nouvelle vision de
la vie.
Le protagoniste c’est quelqu’un qui voyageait pour ses affaires en Indochine notamment est qui décide de
fixer dans un petit village français et de nous raconter ce qu’il pense. Il note sa façon de réagir aux chose,
aux objets, aux événement et il note que parfois il réagit de manière différentes par rapport à des chose
similaire et il note son dégout à la vie. Il met en scène un autodidacte avec lequel il voudrait discuter
d’humanisme et d’individualisme. Les idée progressent de manière très lentes. Déjà Gide, fin XIX, il disait
que les livre sont en train de nous bloquer, de nous donner à chaque fois de solutions préconstituées et il
disait qu’il fallait les bruler. 50-60 ans après, Sartre met en scène un autodidacte pour voir si véritablement
quand on discute de la vie, de la présence sur terre de l’homme et de sa valeur, si quelqu’un qui est
autodidacte a les même réaction des ceux qui sont inséré dans une structure. Il parvient à comprendre son
rapport à l’existence « les choses sont ce qu’elle sont et derrière il n’y a rien ». Il met en scène sa malaise par
rapport à la vie et à l’existence et aussi par rapport à l’amour.
Vedi slide « Le rapport à l’amour ». l’autodidacte qui est quelqu’un qui est plus assuré, il y a des principes, il
faut aimer tout le monde.
« est-ce que vous me permettez d’avoir un avis différent ? ». C’est la mise en scène du fait que tout le
monde, n’importe qui, peut exprimer une idée, un avis, sa vision, sa position par rapport ò quelque chose.
Importance du regard, de l’œil dans la période : c’est à travers l’œil qu’on perçois véritablement le rapport ò
l’autre, capacité de voir à travers les yeux ce qu’il y a derrière. Son œil ironique ne dit rien d’autre mais je
comprend ce qu’il est en train de passer en le regardant.
Pag 168 Est-ce qu’on peut aimer les gens qu’on connait pas ? C’est quoi l’amour ? Le rapport à quelque
chose de banal, de jeunes gens qui parlent entre eux d’un match de football, mais quelqu’un qui le regarde
peut se dire « je les aime, ils sont jeunes, il me donnent une impression de revivre une jeunesse à travers
eux » et l’autre qui dit « non, ils jouent la comédie, il ne sont pas dedans ». Ce fait de jouer de la comédie on
le retrouve aussi chez Simenon, quand il partait en Russie et il dise que les gens ne vivent pas, ils jouent de la
comédie. La société oblige à se mettre de masques, à jouer la comédie de la vie au lieu de la vivre
véritablement.
Sartre souligne c’est « essayons de ne pas vivre par stéréotype, essayons de comprendre, quand on parle
d’aimer, que finalement on ne considère véritablement la personne qu’on a en face de nous, mais on
considère l’idée de l’amour ». Vedi slides
Rien n’existe car ce sont des symbole ou seulement des symbole si on ne fait pas véritablement attention a ce
qu’ils représentes. C’est un travail de l’homme de faire de sorte qu’il aille quelque chose derrière.

Avant la deuxième guerre mondiale, années 30


Il représente de manière forte tout ce qu’on appelle « festival d’intelligence » que la France avait vécu à cette
période. Ce sont des individualistes qui cherchent à se parler surtout à travers les revues. Ils s’interrogent
parce qu’il ressentent une grande responsabilité face au monde mais les interrogations sont souvent
différentes non pas dans les idée de base, mais dans leurs évolution.
Trois positions différentes :
- Sartre. C’est autour des discussion qu’il proposait que les choses se jouent
- Ferdinand Céline : quelqu’un qui Sartre voulait suivre et lire avec cette force de la haine, du
désespoir, de la révolte. Céline va jouer un rôle important car cette angoisse qu’il ressent la va
transmettre à travers le langage.
- André Malraux. C’est dans la filière de ceux qui posent le problème de la réligion « Quoi faire de
l’âme s’ il n’y a ni Dieu ni Christ » on a besoin d’y croir. Vedi slide. Volonté de dire : nous devons
faire quelque chose, entrer dans l’action.
Avant 2 guerre on a une série d’écrivains qui vont déterminer la pensée de la deuxième partie du XX siècle.
La guerre éclate et c’est grosso modo la même chose de la I guerre, beaucoup d’œuvre qui paraissent.
On entre dans le discours du rapport à l’autre à travers la guerre.
Mais en même temps on a des textes qui s’interrogent plus, qui ne mettent pas le texte d’auparavant sur la
guerre, mais mettent en scène le rapport avec une autre culture, comment essayer de vivre avec une autre
culture. D’autres écrivains ne parlent pas dans le spécifique de la guerre, mais d’analyse et le problème du
rapport à l’autre, la mort, le problème de la famille, du rapport au destin.
Il y a quelque chose qui se met en place par rapport à la valeur de l’homme, autour la discussion de la valeur
de l’homme.
Slide de Coly. Idée de Sartre, idée complexe. L’homme se définit pas cette façon de se construire à travers
l’être conscient. Exister signifie n’être pas : l’homme existe surgi dans le monde et se définit par la suite, se
définit après, donc l’homme se projette dans le future et le fait qu’il se projette dans le future ça veut dire que
il n’est pas en ce moment. Il n’est pas seulement ce qu’il est mais il est aussi ce qu’il va faire de soi. C’est
l’explication que donne Sartre pour dire que cela c’est la raison pour laquelle l’homme peut échapper à son
destin. Sartre va plus loin aussi en affirmant que l’homme est ce qu’il n’est pas, il n’est pas ce qu’il est.
Dans le sens que si l’homme est en progression et si on regarde au future, est quelque chose qui est en train
de devenir, donc n’est pas maintenant, il n’est pas ce qu’il va devenir par le futur. Je regarde un moi pour
voir aussi ce que je ne suis pas, pour voir ce que je suis en train de me construire et donc là je ne suis pas.
C’est seulement en se construisant que l’homme peut marquer sa place dans le monde, mais cela ça veut dire
aussi prendre conscience du fait qu’on est rien et on doit se construire.

Vision de Sartre par rapport à l’autre et au corps. Pourquoi ce détour philosophique autour de la pensé de
Sartre ? Ce sera le lien fort et important dans son rapport avec Simone et qui sera présenté dans L’invité.

« L’autrui et le pour-soi Coly ». C’est ce qu’on disait par rapport à la manière qu’avait Sartre de faire face
aux discussion ou d’analyser ses pensées. C’est la période où on commence a connaitre Freud et à se poser
des problèmes face à la psychanalyse et le rapport à autrui est un rapport important. Même si Freud publie
son texte en 1993, la grande discussion va se faire environ 1928. 10 ans après on est encore en train de
discuter le rapport au autrui. L’autrui me préexiste, on ne constitue pas autrui, on le rencontre. L’autre est
comme moi finalement. Si moi je suis en train de me constituer et l’autre et en train de se constituer, est il y a
un moment où il y a rencontre. Inconsciemment l’autre quand il me regarde, il me donne une identité et donc
c’est une identité qui est construite par l’autre. L’autrui est très important pour que je puisse véritablement
me connaitre/comprendre et aussi exister.
Vedi slide « Le corps ». Le corps aussi devient quelque chose de très important. Sartre cherche à repenser la
relation corps-esprit telle qu’elle a été développé depuis Descartes. Le corps il est psychique : ce que le corps
éprouve, comme il vit, non pas le matériel duquel il est constitué, il y a quelque chose de plus dans ce corps
qui est ressenti pas la tête (si j’ai mal, si j’ai froid). Il y a quelque chose de fortement psychique dans notre
façon de vivre le corps.
Slide « désir ». Le rôle du désir. Il présente une vision un peu paradoxale. Il dit «  si le désir que j’ai est de
posséder l’autre, de l’intégrer à moi, au moment où je donne satisfaction a ça, tout tombe.  ». Le désir est
donc contradictoire car je désire quelque chose que je sais que ça va s’arrêter au moment où je parviens à
réaliser ce que je veux.

Tout cela il faut l’insérer dans le monde et la réaction de cet autrui qui est présent pour me donner une
identité, qui est présent pour satisfaire mon désir, ce problème de se confronter constamment aux autre,
Sartre dit « nous ne prenons conscience de nous même que lorsque nous sommes confronté avec le regard
d’autrui et il parle de la question de la honte, c’est-à-dire « pourquoi dois-je avoir honte de l’autre seulement
parce que c’est l’autre qui considère que ce que je fais est négatif, quand moi, je n’ai pas vu cela  ? ». Alors la
honte c’est quelque chose qui est crée par l’autre ou par la structure sociale. Autrui nos confère une nature
avec laquelle je dois constamment me confronter.

Slides 5ème partie


Couple « mythique » Sartre – Simone de Beauvoir années 30-40-50.
Auteurs qui sont constamment repris et sur lesquels on s’interroge parfois de manière négative car on les a
relu, rediscutés par trouver finalement qu’on les avait un peu trop mythisés. Mais il faut regarder à leurs
œuvres et à leurs vies pas avec les yeux de nos jours, ils ont mis en scène quelque chose de complètement
révolutionnaire par rapport à l’époque.

Etre déraisonnable pour se servir de tout sa raison. Simone est quelqu’un qui a voulu faire comprendre qu’il
fallait changer les choses, il a aussi payer un peu chère, mais il a lutter pour être une femme écrivaine.
Elle vit avec Sartre, IL décide de ne pas se marier et de ne pas avoir des enfants. Ils décident de vivre chacun
de son coté, d’avoir des aventure chacun de son coté et tout sera raconte sans jamais se mentir. Cela va se
retrouver dans les textes.
On a publié la correspondance, une correspondance qui était sécrète. A la mort de Simone dans les années
’80, on l’a publié et on a compris pas mal des choses. On avait l’habitude de lire leurs textes, des texte de
lutte, de réflexion sur les choses et dans la correspondance on trouve que c’est véritablement le jeu de
l’amour. Sartre à un certain moment est partie pour la guerre donc ils s’écrivait et dans la correspondance
c’est la rapidité des services, le fait qu’ils n’ont pas reçu la lettre ce jour là qui les interpelle. (Non ho capito
cosa vuol dire 1 :15 :00).
Aux moment où on a pu lire les lettres entre les deux, on a vu aussi que l’intellectuel se confrontait avec des
situations plus banalisées. C’est la garantie du pacte, chacun est libre et peut faire ce qu’il veut mais les
réactions de l’âme sont parfois différentes.
Sartre écrit énormément mais pas seulement à Simone est donc il lui avue avoir peur parfois de se tromper.
Ils sont conscients d’une situation qui est différente par rapport à l’époque là il se racontent tout, il s’analyse
par rapport au fait d’avoir aimé quelqu'un d’autre, les réactions qu’on a senti, donc ils ont peur que si ces
lettres étaient lu par des autres, le discussions pouvaient troubler.
Olga : jeune fille Ukraine qui devient actrice grâce au support de Sartre et Beauvoir et qui va vivre chez l’un
y l’autre.
Simone et Sartre transposent dans les romans si non pas véritablement les faits, mais leur vécu, leur
réactions, leurs découvertes par rapport à ce qui ressentent l’un pour l’autre.
09/03/20
Au moment de la guerre Sartre commence à méditer, réfléchir, à considérer sa pensée.

Simone de Beauvoir
Femme qui a marqué les années ’60 mais L’invitée c’est le moment où elle s’interroge et c’est elle que nous
raconte par la suite sa vie et elle dit que au moment où elle a rencontré Sartre elle pensait avoir tout, elle
pensait que à coté de lui elle pouvait réaliser tout, alors que par la suite elle va changer d’idée surtout dans le
cadre du fait qu’on peut pas s’appuyer sur quelqu’un d’autre car on faisant comme ça c’est comme si on
décidait de sa propre perte. Donc elle avuera par la suite que c’était pas le bon chemin. L’invitée met en
scène les problématiques et la façon dans la quelle elle a décidée de faire face à l’évolution de sa pensé.

Rapport Sartre-Simone était très connu mais qu’il a pris une autre facette au moment de la morte de Simone
et au moment où on a découvert les lettres entre les deux. Ce sont des lettres qui par la suite on saura que
Sartre pensait qu’elle auraient été éditées, qu’il était trop connu pour que cela ne se fasse pas, alors que
Simone était plus spontanée, elle ne pensait pas à cela.

Slide « Sartre-de Beauvoir – B savait que S avait d’autres liaisons »  ils avait décidé d’avoir un rapport de
couple un peu différent en se disant qu’il y n’avait pas de mariage au sens institutionnel mais au même temps
que tout en étant un couple chacun avait une liberté totale. Elle sait que Sartre a d’autres liaisons mais elle
veut être la préférée. Situation compliquée qui se fonde sur la base de ce quoi la liberté et quel est le rôle de
l’amour dans le rapport à l’autre au le moment où je construis une liaison. Amour, liberté, comment les
choses peuvent aller ensemble. But  du couple c’est dire qu’on va réfléchir sur le fait qu’il faut plus de liberté
par rapport à tout ce que la société impose.
Sur cela Simone va écrire L’jnvitèe, publié en 43. Simone même va dire que c’est inspiré de sa vie
personnelle et tout se joue dans se texte autour du trio : Simone (François), Sartre (Pierre), Olga (Xavière).
A coté il y a beaucoup d’autres personnages : Gerbert, Elisabeth

L’invitée
Vedi slides riassunto.
Dans les discussions sur la vie qu’il font, un jour ils ont rencontré un jeune fille, Xavière, qui vient de la
province, qui ne connait rien, qui n’a pas envie de connaitre les choses. Ils l’invitent chez eux et ils lui
apprennent ce que c’est la vie, comment une femme doit ce conduire, ce qu’on doit faire dans la vie. Au fur
et à mesure que le temps passent, il subissent son charme, même si cette femme est constamment en lutte
avec eux parce qu’elle ne les comprend pas, elle n’a pas envie des mêmes choses. C’est un caractère difficile,
complexe, mais cela n’empêche pas les trois de devenir un trio. François (la voix à travers laquelle nous
voyons toute l’histoire), elle connait tout, mais ce qu’elle souligne c’est son trouble et elle ne comprend pas
pourquoi elle est troublé d’une chose que du point de vue intellectuelle est une choix qu’elle a acceptée, elle
est jalouse, elle est amoureuse et il se demande pourquoi cette vie la dérange tant. Tant et si bien qu’elle
tombe malade, c’est un pneumonie. On ne sait pas si c’est une conséquence, mais elle doit être hospitalisé et
pendant qu’elle est à l’hôpital, elle se pose de questions, elle pense que les deux sont ensemble et que lui est
lié avec l’autre femme. Il y a un moment où le personnage timide de Gerbert (présent dès le début), subit le
charme de Xavière, qui est d’accord et ils deviennent un couple, tout en restant, Xavière, la maitresse de
Pierre. C’est à ce moment là que Pierre aussi entre en crise car lui qui avait été très respecté,
intellectuellement défini, commence à avoir des réaction, c’est l’humiliation de n’être pas le préféré ou le
seul, c’est l’orgueil, ce sont des discussions. Les rapport entre Gerbert et Xavière se construit de plus en plus,
un rapport de tendresse et respect l’un pour l’autre. Dans le jeux qui se fond, dans les rages qu’on éprouve
l’un pour l’autre, Françoise aussi devient la maitresse de Gerber et Xavière en est furieuse. Françoise a une
idée : elle se dit que Xavière va surement réfléchir sur le fait qu’elle a tellement fait pur Xavière, elle a payé
son voyage et séjour à Paris, trouvé un travail, elle est devenue indépendante, donc elle ne va pas se focaliser
sur le fait qu’elle a une histoire avec Gerbert. Mais ce n’est pas vrai, Xavière ne le pardonne pas, elle
n’accepte pas les excuses de F et F est prise par beaucoup de remords. La personne qui a en face donc,
Xavière, lui procure de remords, donc F décide de ne pas continuer sa vie en ayant constamment ce remords
et donc la solution sera d’éliminer X en allumant le gaz dans l’appartement de X en mettant en scène ce qui
sera considéré un suicide.

Slide dopo  Simone se rend compte qu’on peut pas être si dépendante de l’autre, qu’il faut chercher son
autonomie, et que ce sera à travers la littérature qu’elle parviendra à comprendre les choses et ce sera à
travers le fait que EN littérature, EN racontant , elle a tué l’adversaire, le personnage qui le dérangé et à
travers cela elle a récupéré de la paix dans la vie réelle quotidienne. Le rapport avec Olga va continuer, elle
deviennent des amies, mais jusqu’au moment où, vers la fin de la vie, Olga va retrouver les lettres de Simone
et Sartre. En fait Xavier dans le romans (presqu’un anticipation de ce qui se va passer dans la réalité dans le
trio), X découvre l’histoire entre F et Gerbert à travers des lettres.

Une des questions de l’époque c’était : c’est quoi la réalité ? Est-ce que la réalité n’a pas une grand partie de
rêve, d’imagination de la personne ?

Importance de se raconter, raconter quelque chose comme étant partie de la réalité. C’est une idée qui
traverse tout la première partie du XX siècle.
Slide Proust Chacun de nous a la possibilité de se raconter, se raconter une réalité, car il y a un mélange
entre réel et imagination de chacun. Artiste a possibilité de éclaircir ça, d’utiliser la littérature pour faire ça.
C’est seulement la volonté de voir véritablement dans les choses qui engendre ce désire de raconter et donne
vie donc à la littérature.
Slide Ainsi… Simone de Beauvoir  Tout le monde a se mélange mais le fait de vouloir le raconter aux
autre c’est seulement à travers la tristesse, le désarroi, la réflexion sur soi même.

Les idée que Simone de Beauvoir se pose et nous pose c’est que « je défend ma liberté mais que devient la
liberté quand je tombe amoureuse ? » La solution qu’ils avaient envisagé c’était celle de la complicité totale,
mais le roman met en scène que même dans la complicité totale il y a quelque chose qui n’est pas bien
maitrisable : la jalousie.
Slide « La complicité totale et la jalouise » donne une sorte de définition de la jalousie. Le problème que
Simone met constamment en scène : « je déclare que nous sommes indépendants, qu’il suffit de se parler et
de tout se raconter, de devenir complices mais il y a quelque chose en nous qui est plus fort que notre
raisonnement: la jalousie. Françoise sera jalouse des discours dur la jalousie que Pierre et X vont faire, donc
c’est véritablement l’incapacité de maitriser quelque chose qui se passe en nous.

Le roman, couverture
Il dit au même temps deux choses : l’enjeu du roman, c’est-à-dire on avait mis une barrière très haute et
maintenant avec cette petite jalousie, tout devient ignoble,. Il le dit à travers Pierre alors que c’est
véritablement Françoise que nous suivons l’histoire généralement. Donc on a d’un coté cet extrait nous dit
véritablement le problème central : c’est un trio que tourne mal car on n’est pas capable de suivre les
motivation qui avaient fondé ce trio et de l’autre coté on donne la voix à Pierre qui n’est pas la voix
principale dans le roman.
C’est un texte qui parait dans une France puritaine et patriotique, la France de la guerre, des années 30 qui
ont conduit à une sorte de rigidité de mœurs. L’accueil de ce roman n’as pas été très négatif.
Vedi slide « Dans une France puritaine et patriotique ».
A’ un certain point Simone dit qu’on a accueilli le roman comme une frivole histoire d’amour alors qu’elle
voulait que se fut compris comme une histoire engagée car c’est une histoire d’amour qui tourne à la
violence.
A’ Simon plait beaucoup la définition de roman métaphysique car pour elle métaphysique c’est la
complexité, le fait que les choses peuvent être un et aussi son contraire, on sait pas toujours définir. Donc
accepte cette définition.
On a aussi voulu lire ce texte comme la représentation de la négativité des relâchement des mœurs et c’est un
peu ce que Pierre dit dans le roman quand il dit dans a couverture.
En général vision positive du roman, un livre remarquable, un roman brillant d’intelligence. C’est le premier
roman de Simone et elle marque immédiatement la scène.
Elle repose (car déjà au début du siècle 1911-12 on commençait à parler de littérature féministe), ici on
propose le fait que Simone fait quelque chose de différent, elle se positionne «  virilement » : il y a des
critiques qui disent que la littérature féminine est une littérature qui s’appui sur l’amour, qui raconte l’amour
alors que les homme certes il racontent l’amour mais il le mettent ensemble à toute une série d’autre
problématique, et Simone parait virile car elle ne met pas en scène simplement l’amour mais toutes les
problématiques que l’amour fait surgir.

Olga Kosakiewicz c’était une étudiante de Simone, elle l’a rencontré entre dans ce cadre, c’est une jeune fille
Ukraine qui avec sa famille avait déménagé en France et c’était elle avec sa sœur qui entre dans ce trio, un
trio qui avait été construit de manière intellectuelle afin de s’interroger véritablement, voir comment les
choses allaient se passer. Aussi en parlant de Magritte, tout les surréalistes prenaient des photos et
s’interrogeaient sur comment réagir à une certaine provocation. Même continuité de s’interroger, s’analyser.
Simone sera déçue par ce trio mais elle restera liée a Olga.

Françoise : la plus importante. C’est une conscience, pas des description physique, le physique n’est pas
important, on la connait pour ce qu’elle pense et ressent. C’est comme un âme. Elle considère être capable de
gérer le monde et les autres et elle pense que même les choses vivent à travers d’elle. Le monde dans lequel
il vit c’est le théâtre, elle écrit pour un théâtre, elle est capable de faire vivre le choses, le personnes.
Personnage qui ne s’est pas mis en discussion et qui pense pouvoir tout gérer et trouver un sorte
d’encadrement idéale où tout est possible dépend d’elle. Les choses se défont si elle n’est pas là. C’est elle
qui donne la vie a tout. Elle pense donner la vie aussi a X. Françoise c’est le pivot de toute la vie mise en
scène dans le roman.

Slide pag 27 + la pauvre gosse  passage important où tous les éléments sont mis en jeu. « La pauvre
gosse », c’était une gosse aussi dans la vie réelle, c’est une des grand reproche qu’on va faire une fois
découvert les lettres, d’avoir pris une étudiante, une gamine. Françoise ne pense pas qu’elle perd sa jeunesse,
elle pense qu’elle entre dans la vie adulte. Cette fille de 17 ans c’est une pauvre gosse pour laquelle F
éprouve immédiatement de l’attention, peut-être, comme elle dira dans une interview, car elle représente
quelque chose qu’on va perdre par la suite.
« Elle est si veule et impotente »  définition que Simone va reprendre aussi dans le 2ème sexe, quand elle va
dire que être féminine c’est démonter impotente, c’est-à-dire l’incapacité, la manque d’esprit, de capacité de
création (elle voyait la création comme une partie de la vie). « elle n’aura pas le courage d’apprendre un
métier » : c’est l’époque, il faut être omnipotent comme F pour avoir le courage d’apprendre un métier, pour
sortir par rapport à l’époque. Il faut être différent et il ne parviendra pas. Pierre lui dit qu’elle doit la forcer à
travailler donc F doit changer certains approches.
Slide « tu la forceras à travailler » on revient au problème : quand je parle et je définit quelque chose, où
est la limite ? Quelle est la limite quand je dis je suis libre ? quelle est la limite dans le travail ?
« On trouvera bien à la case » : Pierre réduit la vision de F (une femme doit être cultivé et doit étudier  )à
quelque chose de basique (elle doit apprendre la sténo et on la case quelque part).
Elle est jeune, elle aura besoin de quelqu’un qui lui apprenne une vie différente par rapport à celle que ses
parents lui ont proposé jusqu’à ce moment-là.
Question aussi de l’idée des questionnements : Pierre « c’est où le problème ? » elle n’avait jamais pensé
qu’il y a avait un problème et c’est Pierre qui va résoudre la question et de proposer de faire vivre X à Paris.

Toute de suite après c’est la discussion qui commence entre P et F. F commence à se questionner et elle dit
que c’est lui qui considère son travail important (il travail au théâtre), mais dans ce travail il ne considère pas
lui-même, il ne considère pas la profondeur de son âme.
Les habitudes que les personnages ont indiquent quelque chose. P, intellectuel, qui se ronge les ongles c’est
un comportement obsessionnel, c’est quelqu’un qui n’est pas capable de se relaxer et il et insatisfait quand il
n’atteint pas ses buts (cela vient de la psychanalyse). Personnage que d’un coté c’est un grand intellectuel et
de l’autre c’est quelqu’un qui est constamment anxieux, à la recherche de quelque chose. Ce qui est
physique, ce qui est sexuellement lié à l’autre, cela n’intéresse pas a P, ce qu’il aime c’est le commencement,
qui lui donne la possibilité d’imaginer quelque chose, de rêver de quelque chose. Dans le rapport avec
l’autre, ce que lui intéresse dans le commencement c’est sa propre capacité d’imaginer a suite, donc l’autre
est là non pas en tant que personne avec ses idées et avec je doit me confronter mais comme un élément, une
personne que suscite quelque chose chez moi, capacité de voir et construire sa réalité.
« je suis un femme fidèle », c’est étrange cette phrase dans cette type de relation. Pierre « on peut pas parler
de fidélité ou infidélité entre nous ». c’est ce que le texte met en scène, ils se pensent, se veulent un couple
non conventionnel, mais de fait parfois leurs réactions sont conventionnelles.
Ils dépendent l’un de l’autre, mais c’est elle surtout qui dépend de lui. Dans leur rapport c’est le fait de
raconter quelque chose qui donne le sens de vrai à la chose même.
Pierre est à la base de cette réalité, il est l’autorité dans ce couple, F c’est celle qui cherche à comprendre les
sentiments et les réactions, raison pour laquelle on peut pas parler de fidélité ou trahison de la part de F. Elle
dit qu’elle est fidèle car elle dépend de lui, car elle est liée à lui, on est ensemble, il n’est pas question
d’infidélité. Sur ça les deux sont d’accord. Pierre dit « l’un ne peut pas être sans l’autre » : ça c’est dans
l’image de Pierre car c’est lui qui décide tout, c’est lui la voix du couple.
Entre Pierre et F il n’y a pas des rapports physiques mis, tout le roman cherche plus à comprendre les
réaction. C’est le drame intérieur.
Simone dire avoir essayé à travers ce romans de voir ce que ça veut dire être femme, construire un rapport
avec un homme mais en général lié au fait que de cet homme on subit le charme et donc on est conditionné
par ce rapport-là.

Slide pag 39  au moment où F commence à essayer de convaincre X, elle reprend ce que P lui avait dit, le
fait de vivre à paris et la sténo, même en ajoutant l’institut de beauté. Elle construit le rapport nouveau avec
X à travers l’image, les idées que P avait proposées.
X n’a pas véritablement de famille, elle n’a qu’un oncle. Au départ F et P se proposent comme parents et en
même temps on lui donne des ongle pointu. Cela renvoi à Pierre, le fait qu’elle a les ongle pointu nous dit
que c’est elle qui va gagner et qui va être le personnage ferme dans ces décisions et qui va avoir une certaine
force pour combattre même s’il apparait avec une air piteux. Elle a l’air piteux mais elle est quand même une
méduse, elle est mortelle, quelqu’un qui est capable de tuer.
On nous montre une X qui ne se préoccupe pas de discuter de son future, elle veut simplement vivre et elle le
fait en dansant et pas en réfléchissant sur les choses à faire.

Pag 40  toujours la même présentation. D’un coté quelqu’un qui continue de réfléchir et de l’autre l’autre
qui ne se rappelle même pas de quoi on était en train de discuter. Réaction de F est «  je suis en train de vous
proposer quelque chose d’important, vous y croyez ? ». Réaction de X c’est de quelqu’un qui est dans
l’organisation de la vie, dans la pensé qu’on peut pas changer les choses, la société.
F est contraire, même l’avenir n’est pas véritablement ensoleillé ou claire.
Il y a un moment ou X s’abandonne de manière très sensuelle et F assume ce rôle, mais elle l’assume de tête,
elle décide quelque chose, elle ne ressent pas, elle ne tient pas au compte de ses réactions à elle, elle dit que
c’est simplement quelque chose d’intellectuel.

Slide P 47  Ce jeu intellectuel commence avec F qui veut faire vivre les choses à travers le récit. Le
rapport qui commence entre F et X, F qui a besoin d’un récit, d’imaginer, de construire sa réalité et X qui
n’est pas attaché à ce genre de choses, qui ne voit pas l’importance de parler des petits faits de la vits, qui
sont seulement de faits quotidiens pour X alors que F les analyse, lui donne des conduites, des façons de
réagir. X est une personne qui ne réagit pas comme elle.

Pag 61,62  Au moment où entre F et X commence à se créer un rapport, on est aussi en face du rapport
entre P et F.
C’est la vision de F, dans cette complicité que nous avons voulu, cette complicité a fait de sorte qu’il n’y a
pas un moi et un lui, mais seulement un nous.
La fidélité ça restait dans la complicité, qui veut dire que on vit tout ensemble et même si on rencontre
quelqu’un, on le raconte et on le vit en le raconte à l’autre et cela devient la façon d’être un nous complet.

Mais X est entré déjà dans leur vie et commence à mettre un peu de problème.
Slide « un jeu intellectuel »  c’est le moment où cette idée d’être un qui suffit de raconter le chose pour
que l’autre le partage commence à faire sentir sa faiblesse. F est dans l’idée d’envie qui provoque une
inquiétude, elle n’arrive pas a comprendre cette envie.
P a l’ idée d’avoir des rapport avec les autres seulement pour soi même donc ça ne lui intéresse pas de faire
l’effort de comprendre X, mais le problème c’est que parfois il a l’impression que X le déteste et ça ne le
plait pas.
P demande a F si le fait qu’ils ont des rapport personnels ne lui (a F) dérange pas. C’est quelque chose que F
commence à méditer, quelles sont ses réaction vis-à-vis de cette présence de plus en plus forte entre les deux.

C’est la réaction de F quand elle se confronte avec la déchéance de cet omnipuissance qui lui faisait penser
que tant qu’elle était là à coté de son homme on peut faire tout ensemble et voilà qu’arrive une personne plus
jeune qui jouit d’un liberté qu’elle n’a plus car elle a des habitudes de couple. F comprend que X commence
à exister par elle-même, pas parce que F a voulu qu’il existe mais commence à avoir une vie à elle.

Slide « Pierre admiratif de Xavière » P commence à être admiratif de X. tout ce qui était positif pour F, le
fait de travailler, de penser en continuation, de lire, de s’occuper de politique, X ne le veut pas et pourtant P
est très admiratif envers elle parce qu’il dit « nous n’aurions pas la force de rester 48 h sans rien faire ». F en
même temps elle commence à se poser des problèmes vis-à-vis de P et à avoir besoin d’avoir X à coté d’elle.

10/03/20
L’invitée texte qui peut paraitre fondamentale pour comprendre l’évolution du couple, de la société. Cette
mise en discussion constante de s’inquiéter du point de vue théorique, le réagir à la société de l’époque et à
certaines idées mais en réfléchissant sur ce qui se va passer une fois qu’on change le système. Fr nous est
présenté comme une femme très sure de soi et de ses idées. Une femme de pouvoir, un pouvoir sur les choses
et les personnes. Les autre existent grâce à elle. Dans cette idée de couple parfait qui tourne autour de sa
force décisionnelle et la force de P, donc de l’homme, qui est une force plus intellectuelle, autour de cette
force il y a la décision de prendre en main la vie d’une gosse, d’une gamine. Idée que c’étain aux parents
d’élever différemment les enfants et donc cette idée de dire « si on prend quelqu’un qui est jeune, on peut
l’élever de manière différent et lui changer la vie » . Mais c’est Pierre qui décide de tout et au même temps le
texte nous présent F qui elle-même dit qu’elle-même ne se posait pas des question ni sur elle ni sur les
choses. On entre donc dans les questionnements que F se pose. Comment la volonté de vivre d’une certaine
manière, que se passe-t-il quand on met en pratique ces idées-là ?
Ce « nous » qui constituait le couple et qui paressait ferme, est un « nous » qui commence à se fuiter ( ?).
On nous pose le problème aussi que les mots peuvent être lui différemment : la fidélité c’est n’est pas liée à
l’idée physique mais c’est liée à l’idée morale : « on a décidée de vivre d’une certaine manière, donc je suis
fidèle à ce qu’on a décidé. » L’importance est ce qu’on décide intellectuellement, sorte de détachement du
physique, alors que la présence de X, donc de quelqu’un qui entre dans le couple non pas d’un point de vue
d’enjeu intellectuel mais d’un point de vue physique car elle est là, elle est présent, elle met tout en
discussion même l’idée que tout vivait à travers le fait de raconter à l’autre quelque chose. C’était le fait de
raconter qui donnait la vie, qui représentait la vrai existence alors que F petit a petit se rend compte que X
existait véritablement.
P devient de plus en plus admiratif de X, de sa force d’être elle-même, de ne pas se poser des problèmes face
à ce que les autres disent et proposent. Elle dit toujours comme ça.

Slide « Pierre admiratif de X » P dit « ni moi ni toi serions capables de rester 48 heures dans une chambre
sans rien faire » : mise en discussion de l’intellectuel, de l’importance que l’intellectuel donnait au fait de
réfléchir.
F commence à ressentir que d’un coté elle a envie de voir et d’être avec cette femme et celui lui provoque de
la douleur de l’autre coté elle voit que P éprouve de l’admiration qui n’avait jamais vu en lui.
« Quand une chose la touche, c’est saisissant la manière dont elle peut en jouir » : Expressions qui mettent
ensemble ce qui concernent l’esprit et l’intellectuel et le physique. C’est comme une jouissance physique.
D’un coté il est humilié que l’autre il connait l’humilité, humilié c’est faire apparaitre quelqu’un comme
inférieur (donc de la part extérieur à Pierre) et l’humilité c’est par rapport à lui-même, sa disposition à
s’abaisser en cachant son orgueil. Changement que F aperçoit :disponibilité de se confronter avec l’autre.
Ce qui touche c’est cette perversité qui fait en sorte que le mal entre dans le rapport, dans le quotidien.
Idée d’estime de soi : selon les phycologues on a une estime de soi quand on a des objectifs et la possibilité
d’atteindre nos objectifs mais ces objectif doivent être réalisables si non il y a de la frustration et on
commence à avoir un jugement trop sévère envers soi-même et celui va provoquer la haine envers les autres.
En mettant en évidence cet aspect de X, Simone souligne encore une fois le problème de l’enfance et de
l’éducation : l’estime de soi est quelque chose qui commence avec les parents, leur amour, avec leurs non
(présentation de ce qu’on peut faire ou non), la capacité de devenir aimable (entrer en contact avec les autre)
et donc l’intériorisation de ces normes. L’enfant donc intériorise l’enfant qu’on lui propose et donc si son
parcours n’est pas fait d’une certaine manière ou la barre est trop haute, la personne arrive à avoir une
manque d’estime de soi-meme. « Elle se sent enchainée par cette estime qu’on lui porte » comme si P et F
étaient les parents de cette gosse. Si tout est liée a l’enfance alors c’est évident pourquoi X n’a que son oncle,
on ne parle pas de ses parents. Cohérence dans la construction de ces personnages.
Quant on a une manque d’estime de soi on a besoin de plaire aux autres et donc c’est d’un coté la tentative
de plaire aux autres et de l’autre la nécessité de les haire si on ne parvient pas à l’objectif. Finalement pour X
la barre peut être est trop haute et se contradiction parfois envers l’amour et parfois envers la haine sont
déterminés par ce manque d’estime de soi.

(vedi slide Les sensations et les coups invisibles)  F se rend compte de comment et combien X l’attire et
commence à penser à une amitié entre femme mais elle commence à avoir peur de cela. Mise en scène des
doutes et des peurs que F a.
Finalement rien ce passe mais P a des doutes par rapport a fait qu’il a besoin d’elle et F reçoit cette intérêt
comme si elle avait été frappée. Elle se rend compte que une petit chose de X est beaucoup plus important de
son désarroi à elle. P, tout en continuant à dire que l’aime, est tourné vers X.

Slide « Freu et la psychologie de la vie amoureuse »  utile pour comprendre le travail psychologique que
Simone est en train de faire sur ses personnages, les idées de l’époque.
Il y avait des chose qui c’était aux romanciers de traiter mais on commence avec le début du siècle à se
demander ce qui se passe quand on est amoureux de quelqu’un, et on cherche une réponse du point de vue
scientifique en analysant l’homme est sa manière de réagir.
Le femme était un objet d’amour. Le fait de la considérer comme un objet était aussi une façon de dire que
l’une était égale à l’autre. Ce fait d’être un objet va faire en sorte que chez les hommes il y a une
automatisme de répétition. C’est par rapport à la mère que l’homme va décider ce que le touche le plus chez
les femmes et quels sont les éléments qu’il refuse. Cela va susciter de nombreuses réactions et les idée de
Lacan, qui va nuances les idées de Freud. Mêmes années.

Slide «  Lacan nuance » il met l’amour séparé du physique. Rapports endogames ou exogames de l’homme
par rapport à l’image de la femme qu’on se fait. C’étaient les discussions de l’époque. On avait commencé
avec Magritte et les discours que les surréalistes avaient fait autour de la femme et du rapport entre homme et
femme.
Lacan ajoute : faire de la femme la cause de son désir. Donner une identité précise à la femme et metter
ensemble amour et désir.

Ce que Simone nous présente avec le personnage de F et de X c’est la mise en scène de grandes discussions
de l’époque, de la recherche qu’on faisait pour savoir quels étaient les mouvement d’âme qui produisait le
rapport à l’autre.

Slide « le nous devient je » Ce « nous » important qui avait fait du couple le couple admiré, le couple
innovateur auquel tout le monde regardait sans avoir le courage de faire la même chose, devient un «  je ». F
se rend compte qu’il y a quelque chose qui est en train de changer.
Ce que F commence presqu’immédiatement à voir en elle c’est que ce nous quant il se défait, laisse P avec
une identité, avec un avenir, avec un cœur, mais elle avec rien car elle s’était construite petit à petit à travers
l’autre et donc elle n’a plus de lien avec soi-même.
Quand elle va à l’hôpital il y a toute une série de réactions. P ou X vont toujours à l’hôpital et F doute de ces
réactions pessimiste car s’ils vont la trouver ça voulait dire qu’ils l’aimaient. Elle commence à définir
l’amour comme quelque chose d’impalpable, qu’on sait pas définir ni contrôler.
Au même temps Simone met en scène un passage dans lequel on comprend qu’il y a quelque chose dans la
centralité que F ressentait par rapport au monde et aux autre qui est en train de changer.
Quand elle est à l’hôpital, dans le couloir en promenant elle voit une porte et elle regarde à cette porte
comme un porte qui fait entrer ceux qui vont à lui rendre visite, alors que maintenant, quand elle doit sortir
de l’hôpital, elle voit cette porte comme un porte qui fait sortir. Cette description de la porte qui change pour
F ça veut dire que F commence à voir le monde avec des yeux différentes et non pas le choses qui entrent en
elle mais c’est elle qui doit aller envers l’extérieur. Elle a l’impression d’avoir passé dans l’autre coté du
monde. Aller vers quelque part qui peut être merveilleux mais on ne le sait pas.
Il y a cette idée de dire : « il y a un rapport avec l’autre qui n’a pas un contact véritable direct avec le
quotidien et la vie de tous les jours. P cherche toujours à réagir avec la tête, il se rend compte de certaines
sensation qu’il éprouvent et certaines sensation le mènent à penser « je reprends tout en main », alors que F
se laisse submerger par les choses et aussi par le rapport avec X.

Slide « Et ouvre à l’amour aussi de F avec X »  c’est l’amour qui touche le 3 personnes et cela rend
impalpable l’aspect physique. F à un certain moment, après avoir ressenti certaines sensation dit «  si j’ai
toujours dit qu’il faut vivre ( ?) je vais accepter le risque ».
« Tendresse enfantine » c’est une X qui est quand même conditionné par son enfance, par le «  parents » en le
rôle que F et P assument.
Mise en scène d’un coté d’une X qui vit de manière presque automatique et de F qui de plus en plus change
et perde les assurances qu’elle avait dans le passé et qui avaient été construites de manière rigide. Simone
cherche à mettre en scène le fait qu’on a lutté contre une société figée mais pour cette lutte on a quand même
pris des éléments et on les a figées aussi. On s’est dits : les choses sont comme ça, on va suivre les règles
qu’on se pose et tout cela ne peut être que comme nous le voulons. Donc pas de mariage, on se raconte tout.
Il suffit d’avoir une complicité. C’était une discipline mais qu’il fallait respecter afin que tout se passe de
manière parfaite alors que ils se rendent compte chez l’homme et la femme qui est impalpable.
« je ne sais pas » c’est un peut le refrain constant de X, il le dit toujours.
« Désert d’ennui tiède » c’est un désert, un ennui mais il est quand même agréable, tiède. Ambigüité
constante qui est presque normale quand on passe d’une vision à l’autre.
Importance du silence et le fait que avec rien, mais par sa présence, X parle, elle parle à l’âme de F, elle lui
dit beaucoup de chose. Rien que parle le fait d’être là, ça devient un problème car cela empêche, considère F,
de réfléchir.

Séries d’événement qui finalement n’apportent pas de grandes différence sauf le fait de souligner toujours
plus ce changement de F, qu’elle ne saurait pas capable de maitriser jusqu’au but, tout en ayant la conviction
de le maitriser.
Il y a un problème à travers le présence de la correspondance intime que X découvre et elle découvre aussi le
fait que F a une relation avec Gerber, son homme et elle se fâche car cela aussi la met en cause et lui
provoque tout un retour de manque d’estime de soi qu’elle a est donc elle ne peut pas pardonner F.
F demande à plusieurs reprises d’être pardonnée, elle s’imagine d’obtenir ce pardon car elle avait fait
beaucoup de choses pour elle, alors que X elle ne lui pardonne pas. F décide alors que elle doit agir et
comme elle avait pris conscience à un certain moment que X existait, la seule solution c’était alors de ne plus
faire exister X. Elle va la tuer avec le gaz et X va mourir et tout le monde va considérer que c’était un
suicide.

Slide « final du roman »  c’est le premier acte que F fait seule. Son acte n’appartenait qu’à elle. P ne
pourra pas comprendre pourquoi elle a fait cet acte. C’est un acte seul pour trouver son identité, pour sortir
d’une situation de dépendance. C’est un acte extrême sur lequel Simone a été attaquée. Au fait elle a dit que
c’est de l’imaginaire, c’est le défoulement à travers le fait de raconte « je raconte quelque chose pour pouvoir
mieux la digérer ». souvent Simone suit les éléments psychanalytique. Le fait de raconter ce qu’on éprouve
et on ressent, de verbaliser les choses ou de les écrire et les rendre publique fait en sorte que le haine, la rage,
ce qu’on éprouve disparait. Simone va dire que c’est une transposition de son vécu certes, mais c’est une
transposition romanesque tant et si bien qu’elle et Olga sont devenues amies mais c’est une amitié qui va se
casser au moment où Olga va découvrir les lettres entre Sartre et Simone et donc elle va comprendre qu’ils
avaient joué avec elle.

X présenter comme une femme sans but, qui aime se laisser vivre et qui ne veut pas avoir une vit construite,
déterminée (pas avoir un travail, pas avoir des obligations vis-à-vis des autre). Alors que F lui propose une
organisation. Même le trio est une organisation. Elle impose sa vision de vie et des choses.
X comme elle veut se laisser vivre, elle accepte mais elle n’intériorise pas, et donc elle continue de vivre
comme elle le veut. Elle va donc devenir un être menaçant qui a un vie à elle.
Le roman est une sorte de évolution de tout ce qui fait grandir la haine vers X. Haine pour avoir réveillé une
conscience, et elle a réveillé une conscience en démontrant qu’elle est une femme qui peut ne pas être une
intellectuelle mais qui a tout simplement envie de vivre comme elle le veut et cela détruit la sensation, la
volonté de croyance de F qui pensait de pouvoir maitriser le monde en organisant les choses à travers ses
idées et connaissances.

Slide « la reprise de la consicence »  Question des lettres : souvent les critiques disent que ce sont des
problèmes qui ont paru des années après alors que ce problème des lettres est présent déjà dans l’invités.
C’est Catherine Poisson qui analyse les lettre de la correspondance entre Sarte et Simone.
A travers les lettres on a compris qu’il a avait véritablement un jeu intellectuel.
Voilà comment le roman et la vie se mettent ensemble.

Le texte est une évolution, une sorte de détachement de F vis-à-vis de P mais intéressant qu’elle reprend
aussi tout une série d’idées qui étaient de Sartre et qu’on retrouve dans les textes de Sartre.
Slide « ce qui parait et ce qui existe »  « il s’agit d’existence qui ont des passages à vide » c’est un peu ce
que Sartre disait dans l’être et le néant : il y a des existences et des moment où on ne fonctionne pas, on ne
comprend pas les fonctionnement de nous même. Mais surtout Sartre dit : « quand on vit, il n’arrive
rien…. ».
Il n’est pas le seul à penser ainsi, aussi Proust, mais c’est véritablement une idée que Simone a partagé avec
Sartre. Aussi le fait que quand on vie il n’y a pas de commencement, c’est le commencement la chose la plus
importante car c’est le commencement qui permet de rêver et imaginer le futur et donc mettre ensemble rêve
et réalité. Une des choses/problème importantes qui ressortent de ce roman c’est l’incapacité de se mettre
dans la vision de l’autre, de sortir de ses idées à soit et de laisser l’esprit libre de regarder les choses comme
les autre les voient. Cela se signifie de se mettre en discussion et de peut être comprendre que les autre
peuvent avoir une vision meilleure, différente, que je ne connais pas et ça veut dire que j’ai mal construit,
mal positionné mes idées jusqu’à maintenant.

Idée de Sartre de l’en-soi, être conscient qui est figé, qui n’a pas la capacité de changer et qui n’est pas
conscient de soit même. L’être conscient est figé, si quelque chose d’autre se passe il se passe ailleurs et il se
passe car elle doit se confronter avec une partie incontrôlable de soi même. Avec ça il y a le fait qu’il y a
l’autrui, il y a l’autre, qui est une entité diffèrent, on peut pas l’absorber, l’intérioriser. L’autre existe, comme
X.

Problème du corps  Sartre a parlé du corps comme quelque chose de psychique car c’est le psychique qui
le fait bouger là aussi d’une manière qu’on parvienne pas à comprendre quels sont les éléments qui
déterminent une certaine réaction. Il y a toujours quelque chose d’incompréhensible, impalpable qui se met
en jeu.

Pouvons-nous dire que F est un compromis entre le caractère de P et X ? Non, elle, F, apporte quelque chose
de différent, la réflexion sur les personne et sur comment elle réagissent. Pierre et X sont déterminés. Pierre
dans le sens de dire que le choses sont comme ça, qu’il est un intellectuel et tout le monde doit dépendre de
lui, X de dire qu’elle se laisse vivre.

Jusqu’à ici c’è Simone de Beauvoir au moment de la 2 guerre mondiale. C’est un roman qui sort pendant la
guerre et donc qui présent un rapport de couple qui est mis en discussion avec des idées nouvelle mais
intériorisées. Le fait que une femme Ukrainienne est présent physiquement dans la vie réelle est absolument
éliminé du romans. Ce n’est pas la culture de l’autre qui intéresse, le rapport à l’autre, mais c’est le rapport
avec soi-meme, la mise en discussion de soi. C’est l’intériorisation des problème qui est présenté dans le
texte.

Autre écrivain qui écrit pendant la guerre : VERCORS


Il nous présent un autre problème fondamental. Il ne s’agit pas d’un couple mais de l’impossibilité de
constituer un couple à cause de la culture et de la situation de guerre.
Vedi slide  il a envie pendant la guerre de comprendre comment il peut faire quelque chose et donc il
travail dans la presse clandestine et il est le fondateur des édition de minuits.
Cet élément de silence que va revenir de manière important (vedi slide).
C’est lui-même qui décide ses éditions qui sont encore aujourd’hui une maison d’édition important en
France, fondé pendant la guerre pour permettre que certaines œuvres pendant la guerre soient publié.
Vercors c’est un pseudonyme qui vient de cette idée de ne pas se faire reconnaitre.
Le silence de la mer : film qui a été tire toute de suit de sa guerre a partir de ce conte long (pas roman) par
Jean-Pierre Melville. Le film a eu énormément de succès et de discussions.
En 2004 on l’a représenté a nouveau à la télé français : idées qui continuent de solliciter une attention et
réflexion car les problèmes sont importants.

Vedi slide « Résumé »  C’est un général un texte sur les rapports humains, quand on est pas d’accord sur
la vision du monde, quand on voit les choses de manière différente. Vercors il est centré sur une maison,
l’oncle et sa nièce (pas comme dans le film). La famille continue de vivre normalement mais ne répondant
jamais à cet officier qui tout le jour entre et le conte est presque un monologue que l’officier fait quand il
rentre à la maison, mais toujours en ne pas ayant une réponse de l’autre coté. L’officier met en scène ses
idéaux, ces d’une merveilleuse union entre Allemagne et France.
L’officier c’est un musicien qui rêve de dire que si on met ensemble la musique, la culture allemande et la
culture française c’est un monde merveilleux et il le pense par amour pour la France. Il pense qu’il faut
laisser passer ce moment difficile et essayer de vivre ensemble.
On est dans un village de la France et il y a un moment où l’officier est appelé à Paris, où il se rend compte
que ses idéaux n’ont pas de place et son idée de faire fusionner deux culture, personne ne la prend en
compte, surtout les allemands. Il se rend compte que ses chefs ont la seule idée de détruire l’autre, la France.
Alors il revient dans cette famille française, tout déçu, il comprend qu’il vivait dans un monde idéalisé et qui
n’a pas de place dans la réalité. Le texte subtilement fait comprendre que cette prise de conscience, cette
volonté de dire « excusez-moi je me suis trompé, j’avais un idéal mais je me suis rendu compte que le choses
ne vont pas se passer comme ça » fait ressortir tout ce que la nièce avait éprouvé pour cet homme cultivé,
bon, gentil, pas du tout agressif et c’est elle qui brise le silence à la fin quand il s’en va en lui disant
« adieu » . Adieu car il est claire qu’il avait demandé d’aller sur le front et on comprend qu’il va se faire tuer
car il a compris qu’il avait vécu dans un idéal qui ne pourra jamais se réaliser.

Voilà l’histoire d’un amour impossible, un texte très lu, diffusé, grand succès, mais où les critiques ont été
nombreuses car il met en scène pour certains un officier allemand qui ne correspond pas à la réalité car on
estime qu’il a quand même donné un présentation trop positive en ne comprenant pas tout à fait la volonté de
Vercors, une volonté de présenter deux âmes, présenter comment les choses extérieur conditionnent la
possibilité d’interagir entre les personne.
Vedi slides « Les critiques » aussi le texte de Maeterlinck mettais en scène rapport entre un allemand et
une belge et impossibilité de se comprendre. Il y a quand même un passage (on l’a vu avec Mille et
Demaison) où on met en scène une tentative de compréhension, mais la 2 guerre mondiale fait tourner
l’autre, l’étranger soit dans l’élimination car on réfléchi sur soi même des textes qui mettent en scène
l’impossibilité de se parle, quand il y a des situation forte, atroce, déterminé de l’impossibilité de mettre
ensemble deux culture, inutile, dit Vercors, de rêver un monde où a culture dépasse tout car cela est
impensable.

Slide « Titre »  titre a apporté des discussions. Le conte ne parle pas de la mer, on est dans la campagne ou
à Paris. Les interprétations sont nombreuses.
1 interprétation : ne regardons pas à la superficie des choses, ne regardons pas à ce qui apparait de l’extérieur
car aussi quand on regarde à la mer on ne regarde que la surface mais il y a beaucoup de choses qui se
passent au dessus. Il y a une vie, des bruits, des êtres vivants qui sont là, donc même si on se tait, même si le
français ne répondent pas, il y a quelque chose qui bourge, on est vivant. La calme qu’on retrouve sur la
surface ça ne veut pas dire qu’on est inerme, il y a un monde au dessus.
Motivation phonique : mer=mère. France qui a choisi le silence car c’était une attitude Française par rapport
à l’occupation allemand. Donc référence à ça, au silence de la France car au moment de l’occupation
allemande, souvent les français se sont résignés, il n’ont pas réagit. Discussion forte. Ce silence a caractérisé
l’attitude de la France face à l’occupation allemande.
Le silence de l’amer : le silence de l’amertume de certaines moments qu’on a vécu.

Choix d’un titre qui pose le problème fondamental : ce n’est pas parce que se tait et qu’on agit en ne pas
hurlant qu’on accepte certaines choses. Il y a une résistance passive aussi importante.
Titre qui souligne l’importance de toute façon l’importance du silence pour dire que dans le silence on peut
agir, il y a des choses qui se passent dans le silence.
11/03/20
Le roman de Vercors c’est un regard sur les rapports humains en temps de guerre.
C’est l’histoire d’une famille française qui est obligée de loger chez elle un officier allemand (l’occupant) en
moment d’occupation allemande et qui décide de lutter à travers le silence. Les critiques ont été virulentes
parce que la mise en scène de deux cultures différentes dans un moment de guerre était une mise en scène un
peut particulière car on mettait en scène ce qu’on appelait le « meilleur des allemands », un homme gentil,
cultivé, correcte vis-à-vis de l’autre.
Vedi slide. Tentative de mettre en évidence un rêve, le rêve de la « merveilleuse union » (dit par l’officier)
entre la France et l’Allemagne.
Il y a une guerre mais après cette guerre il va y avoir des choses merveilleuses pour la France et l’Allemagne.
Tout est véritablement idéalisé, ça sera le plus haut niveau de l’intelligence.
Si cette guerre est la base pour arriver à cette merveilleuse union, il ne la regrette pas.
Ne considérons pas ce qui est en train de se passer, considérons seuls le résultat, l’union entre France et
Allemagne.
Cet amour de la France lui vient de son père. C’est quelque chose qui nous présente comme intériorisé par le
protagoniste et aussi idéalisé.
« limite géographique jamais définie » : dans la limite avec l’Allemagne il y a l’Alsace et la Loraine,
territoire que est passé souvent sous le control allemand et français. Il y a un endroit aujourd’hui importante
car endroit où l’Europe peut se constituer, les gens essayent de se confronter, de dépasser cette situation de
lutte (deux langue, deux culture) entre France et Allemagne pour ses territoires.

Autre élément important : on nous présente le protagoniste comme musicien. Musicien qui est obligé de se
confronter avec la guerre et qui est convaincu du fait que c’est à travers cette guerre il y a aura un possibilité
d’union.

Slide : on présent une situation familiale et tranquille. C’est à travers les bruits que les chose s’annoncent
(nous entendimes marcher ). On présente une situation de normalité. Il ne dit pas qu’elle vit une homme,
mais on parle d’une silhouette, situation de ne pas voir toute de suite l‘identité.
Immédiatement c’est le silence qui est mis en scène.
L’officier à la porte est immédiatement présenté comme quelqu’un qui n’arriva pas comme conquérant,
l’officier enter en disant « s’il vous plait ».
Ce silence va devenir important, il essaye d’analyser et comprendre quel est le jeu à l’intérieur de ce silence.
L’officier assume son rôle, mais pour saluer. Il s’enlève la casquette en signe d’hommage.
La description qu’on fait de cet officier est de quelqu’un qui ne se conduit pas come un conquérant.
Le nom de l’officier est français. Nom qui suggère qu’il est formé par les deux cultures. Réaction immédiate
à cela. Un des premières choses qu’il dit est « je suis désolé ». Il regrette la situation.
On met en scène des deux coté les réactions de deux personnes qui sont en situation d’attente, mais il y a un
harmonium. Quand les textes sont cohérents et bien construits nous apporte aussi les logiques qui se cachent
dans le texte. Il y a un officier allemand présenté comme un musicien. De l’autre coté il y a des gens qui
aiment la musique.
Il dit « s’il vous plait », donc il ne réagit pas de manière violente au silence, en ajoutant que c’est un cas de
nécessité et que tout sera tranquille. Description qui dit encore qu’il est gigantesque. Impression d’un
occupant qui donne une image de soit comme personnage très grand.

Slide « sa tête ». On dit qu’il est gigantesque mais qu’il ne fait pas peur car il est un peut replié sur soi même.
La description de ce ennemie est ambivalente. On dit qu’il est grand, impressionnant, mais aussi bon, les
yeux paraissent claire, donc on le regarde et on essaye de le comprendre. Il est présenté de manière négative,
pas négative, même si impressionnant.
Le silence va devenir le protagoniste de ce rapport entre des personnes qui n’ont pas quelque chose l’une
contre l’autre, mais seulement à cause de la situation de guerre.
Sorte d’intente, l’officier comprend qu’il aurons cette attitude et la compréhension fait en sorte qui lui, il
surit, mais sans ironie, il a compris et pour cela il va continuer à parler tout le temps à chaque fois qu’il
rentre. Il essaye de casser le silence en racontant de sois. Presque monologue mis en scène, il raconte da sa
vie, ses espoirs, son père.

Slide « pendant un mos la même… ». L’officier dit que son père était amoureux de la France, lui a appris à
connaitre la France mais il avait aussi vu qu’il y avait des gens cruelles en France. Le père suivait de près la
France dans son économie, littérature et politique. Le père lui disait qu’il ne devait pas connaitre la France si
non conquérant. Le père dit que la France ne lui plait pas, car il y a des personnages qui ne lui plaisent pas.
Père allemand est un homme cultivé et qui aime la France mais qui enseigne que la France actuelle doit être
soumise à l’idéologie allemande.
Comme pour se justifier, il dit qu’il est musicien, pour dire « comprenez moi, je suis un artiste, j’aime
connaitre les pays et les culture ». c’est un musicien qui compose la musique, non qui exécute. Pas une
habilité manuelle, mais il sait créer quelque chose d’important. Référence au silence implicite. Silence c’est
fondamental, remplit certains moments dans la musique.
En ce qui concerne la première guerre mondiale il y a avait la vision économique, politique tragique de la
guerre mais confrontation constante entre 2 cultures différentes (entre culture avec une c et avec un k). c’est
par amour de la France que selon lui il faut s’unir sur la pensée allemande.

Slide « où est la différence » Pour montrer son amour pour la France et son idéal d’union, l’officier va parler
beaucoup de la bibliothèque. Le protagoniste dit que si on regarde les choses, les choses sont les mêmes par
tout, il n’y a pas des grands différences. Le feu est toujour fait avec du bois et il y a une flamme mais ce n’est
pas ça ce qui compte, ce qui compte c’est ce que sort de cela, la lumière et la chaleur. La lumière sort de la
réfraction des objet. Metaphore pour dire comment elle voit les choses.
Ame comme élément fondamental, elle caractérise les personne et les choses, qui donne du sens aux choses.
L’allemand qui regarde la bibliothèque des Français, rangé par ordre alphabétique, il lit le grands noms de la
littérature française qui ont influencé la culture et la littérature du monde entier. Il aime toucher les livres, il
prononce ces noms avec admiration.
On met en scène un allemand admiratif pour la France et qu’il dit que chaque pays à ces écrivains
importantes, mais quand on va en France, on ne sait pas quel est l’auteur le plus importante.
La raison sous intendue de son idée de l’union merveilleuse entre France et Allemagne. Si on met ensemble
le deux on aura quelque chose d’exceptionnel car la France à la littérature, l’Allemagne la musique.

Slide « la bibliothèque » : texte qui parle de la bibliothèque dans Le silence de la mer.
Présentation très simple de la pièce, il y a une cheminée, un harmonium, on décrit ses objectes qui
deviennent important car ils représentent une culture. Le silence de la mer a été proposé au cinéma mais très
souvent proposé au théâtre.
Chacun peut essayer de comprendre ce qu’il ressent à travers ces objets. Il y aune présentation de la
bibliothèque qui vient à la fin parce que c’est un objet à l’intérieur de la pièce mais il représente l’âme d’une
famille, d’une culture, plus d’autres objets. On comprend avec cette présentation l’importance des objets et
aussi des livres, qui ne représentent pas un objet en tant que tel mais tout ce qu’il y a à l’intérieur.
Bibliothèque pas précisément décrite, pas importante. Ce n’est pas parce que c’est un objet précieux que
c’est important mais ce pour ce qu’il représente. On peut être dans n’importe quelle situation, elle est capable
de donner la même lumière, c'est-à-dire ce qu’elle représente. La valeur de la bibliot est dans l’imaginaire
que ces livres ont été capable de construire, ce qu’il ont apporté aux gens.
Vercors quand il met en scène et la liste des musicien et celle des écrivains, il est convaincu que rien qu’en
disant ces noms, tout le monde comprend la richesse qu’il y a derrière de ces noms.
C’est la France qui est caractérisée par ce raffinement mais l’officier torve aussi que l’Allemagne a aussi sa
spiritualité dans la musique.
Ce n’est pas important l’endroit, l’important c’est avoir en face de soi des gens qui ont conscience de
l’importance incomparable de la littérature. C’est n’est pas important si maintenant il gardent le silence,
l’Allemagne va gagner et après il y aura cette union merveilleuse.
Idée de fusionner les cultures pour pouvoir créer un couple dans les personnes.
Slide « il y a un très jolie conte » : représentation de la vision de l’officier par rapport à la rencontre de
l’Allemagne et France et par rapport à son idéal de les mettre en semble. Même si l’Allemagne n’est pas fin,
est sauvage, l’histoire de la Belle et la bête nous dit que les choses peuvent se faire. Le belle va se rendre
compte qu’il existe une âme aussi chez la bête. C’est ça qui compte et pas la façon extérieure de gérer les
choses. L’Allemagne peut être considéré brutale, maladroite, violente, mais elle a une âme et si la belle
accepte de regarder à cette âme, elle sentira que la prison disparait, elle va cesser d’haïr.

Slide « page 33 », c’est un défit important, on a un idéal et on va accepter le défis de casser le silence et don
commencer non pas à parler à l’autre mais à pénétrer l’âme de l’autre, à comprendre ce qu’il y a derrière ce
silence et pour le faire il va mettre en acte ce monologue constance, censé le faire connaitre et faire connaitre
son âme. C’est un défi qui lui plait.

Slide dopo : De l’autre coté les français il ne réagissent pas, il décident de garder le silence mais dans leur
attitude il y a quelque chose de convaincu que l’ennemie ne va pas leur faire du male.
Ne pas démontrer qu’on a peur, faire ne sorte que la personne qu’on a en face de nous comprenne que pour
nous elle n’existe pas et pourtant le fantômes existe, il n’a pas de corps mais il a une âme d’une certaine
manière. Mise en scène de la par de Vercors de la grandeur française qui est toujours accueillant, incapable
d’enfoncer les autre même si les autre luttent contre les français.
On met en scène deux ennemies institutionnels, ce sont les institution qui ont décidé de faire la guerre et qui
assument des attitudes vis-à-vis du manque de liberté qu’on impose au français et pour l‘allemand en
essayant d’afficher ses idéaux au de là des institutions.

Slide dopo : « le plus à l’aise » car il avait accepté ce défi, il voulait convaincre les autres que l’âme est
importante et que si on accède à l’autre à travers l’âme on parvient parler, se comprendre, dépasser les
incompréhensions. Les français commencent à admirer le fait de lutter pour cet idéal, pour réaliser quelque
chose dans la non violence, dans la calme, seulement en essayant d’utiliser la force de la compréhension, de
la volonté de se faire comprendre par l’autre. C’est la raison pour laquelle l’officier est le plus à l’aise, car il
a compris le silence de la belle et il est en train de se faire connaitre pour faire en sorte qu’elle change idée et
qu’elle voit l’âme.

Slide dopo con cattedrale : présentation d’un personnage qui vit dans le passé, dans l’imaginaire, dans la
construction de l’imaginaire d’une ville, pays, culture. Il continue de dire qu’on vit les choses de la même
manière. Il éprouve pour Nuremberg ce que les française éprouvent pour Chartres. Avec des exemples
différentes, l’idée de mettre ensemble deux cultures apparemment selon lui différentes mais que dans
l’intériorité profonde ont les mêmes sentiments, la même façon de regarder aux objets, y voir à l’intérieur,
les ancêtres, l’âme, la grandeur.

Slide « cela est dur » : c’est comme s’il disait « Je comprend votre position car je suis un officier ennemi,
mais même un ennemi a tant de choses dans son âme ». explication de la part de Vercors de son personnage,
un personnage qui rêve, qui idéalise, qui quand il se confronte avec la réalité, il est très déçu et d’y faire face.
Moment dans le texte qui va anticiper ce qui va se passer par la suite avec le moment où l’officier est appelé
à Paris. La jeune fille délicieuse avec laquelle il voulait se marier qui a un moment de violence qu’il n’est pas
capable d’accepter.

Slide « il regarda pensivement » : explication de la vision de l’allemand, vision qui dit que les allemand sont
dures, comme cette jeune fille qui arraches les pates à l’insecte et c’est la raison pour laquelle il a voulu
rester dans son coté avec la musique. Certes, cette solution n’était pas la meilleure pour avoir du succès, mais
cela n’avait pas d’importance. Il est conscient que le politiciens de son pays sont comme ça, mais il rêve que
si ont fait cette union il y a beaucoup de choses à apprendre de la part des français et on pourra créer un
couple, faire grâce à l’amour, quelque chose de positive. Amour dans le sens de compréhension de l’autre, de
ses défaut, tentative de faire en sorte de les influencer, changer l’autre par rapport à ce que nous somme.
Mais c’est un amour partagé, raison pour laquelle l’officier insiste pour essayer de convaincre les français.
A un certain moment l’officier est appelé à Paris. Il sort de a situation de campagne et il va en ville et là il
comprend ce que les allemand sont en train de faire en France : la détruire. Ces idéaux à lui ne sont pas
partagés par ces comandants, par les instructions qu’on lui donne. Donc il revient vers la maison des français
et il demande pardon dans le sens « j’ai compris que c’est un idéal à moi, que je me suis trompé », il est déçu
par toute la situation. Tout en étant déçu et en ayant la vision des choses éclaircies, il va quand même rester
un officier.
Pendant la première guerre mondiale Maeterlinck avait mis en scène la même chose : le caractère allemand
qui est lié, de la part des français, à l’institution. C’est l’institution qui prime donc je ne peut pas même pas
de me rebeller et réagir différemment.
L’officier arrive à dire « d’accord, les allemand vont détruire la France, la France va mourir au lieu de
devenir partenaire avec nous, alors je vais mourir moi aussi ». Il est conscient mais il va demander de partir
au front, et donc à mourir.

Les critiques à Vercors ont été nombreuses pour la mise en scène de ces idéaux allemand qui n’étaient pas
acceptable à l’époque. Alors que l’édition écrite pendant la guerre se termine avec la nièce que finalement
répond, casse le silence en disant adieu à l’officier. Dans la réédition Vercors ajoute une phrase  :
l’institution, obéissance comme quelque chose de plus forte même quand on n’est pas d’accord avec ce que
l’institution est en train de faire.

Il est vrai que pendant cette première partie du XX sicle, les romans ne mettent pas véritablement en scène
un union mixte, on discute beaucoup et on raisonne.
Avec L’invitée c’est la mise en scène de comment l’autre nous pose de question, nous fait interroger sur nous
même mais on ne pense pas au fait que l’autre a une autre culture. L’importance est de réfléchir sur soi-
même.
L’Afrique du nord pour la France va devenir un point important sur le couple mixtes par la suite, mais en
cette période là ce n’est pas très représenté (par la part des écrivains français). Il y a une série d’autres choses
qui entrent en scène, mais l’analyse du couple encore n’est pas très présente.
Après la guerre, la présence d’étrangers en France fait en sorte que le thème de l’union mixte devient plus
important dans la réalité, mais dans le texte ce sera un commencement qui se va faire petit à petit. La France
va commencer discuter du rôle de la femme et du rôle du couple mais il fait attendre encore pour que les
écrivains français représentent les couples mixtes.

16/03/20
Jusqu’à maintenant c’est la partie avant la 2 guerre mondiale et pendant la guerre. Période où les discussions
étaient nombreuses, on se posait des questions à cause du shock de la première guerre mondiale. On voulait
participer à la reconstruction de quelque chose de nouveaux. Avec l’arrivée de la 2 guerre mondiale la
situation parait différente. L’espoir qu’on avait après la 1, de pouvoir reconstruire quelque chose, se perd, et
la littérature cherche son publique, le publique c’est d’une période qui apporte des nouveautés importantes
(tv, radio), ce sont des nouveautés qui captivent l’attention du publique et qui offrent beaucoup de place à
l’imaginaire. De l’autre les gens tournent vers l’histoire, vers les évènements qui sont en train de se passer.
Naissance des livres de poche. Après la guerre on a fait beaucoup d’argent et on veut pousser les gens à
continuer à lire, donc on propose au lecteur les chef d’œuvres du passé et le publique ne suivent pas les
écrivain qui ont envie de discuter, on resta au contraire dans le passé, on ne se pose pas des questions sur le
présent. Le publique n’est pas tellement entré dans les discussions que certains écrivains proposent.
Il y a 2 filière littéraire qui se proposent et qui correspondent à l’époque.
Slide « C’était les années 50 » 
- on présentait ces années là avec le bal, l’amusement, il y a joie de vivre. On avait étain enfermé, tout
était détruits, on voulait seulement jouir de la vie. Les gens qui veulent jouir de ce moment là va se
tourner vers des lectures classiques (écriture classique ou néoclassique)
- littérature nouvelle avec les écrivain qui se questionnent pour trouver quelque chose de différents
(écriture novelle)
Ceux qui proposent une écriture nouvelle, appelles les nouveaux romanciers, discutent sur comment on peut
raconter au moment où on est déçus, ces romanciers ont intériorisé cette « ambivalence » de la guerre, ça
veut dire quoi raconter quelque chose et écrire un romans ? Comment on peut sortir de la façon d’écrire qu’il
y avait auparavant et construire quelque chose de nouveau ? On pourrait changer le langage, les contenus. Ils
se questionnent.

Natalie Sarraute dit : il est inutile de construire des situations, un lieu imaginaire pour sortir de la situation
réelle, l’important est de voir les sous entendus quand on parle. N. Sarraute va le dire dans L’ère du soupçon,
qui s’inspire d’une vision de Stendal. Soupçon : on doit toujours se questionner à propos de quelque chose,
chaque fois qu’on me dit quelque chose, je doit avoir l’attitude de celui qui soupçonne pou essayer de
comprendre vraiment. Il faut donc faire ressortir ce qui apparait comme étant la réalité : si je regard quelque
chose, je le vois en fonction de mon état d’âme dans ce moment, d’une manière subjective dans une certaine
situation. Donc ce n’est jamais la même chose pour moi et ce n’est jamais la même chose pour les autres. On
cherche de continuer l’approche des surréaliste pour dire qu’il n’ya pas une réalité mais plusieurs réalités qui
se proposent.
Saraute propose un exemple en partant de Voltaire, qui avait essayer de donner le même prénom à deux
personnage différents. Cela pousse le lecteur à s’interroger toujours. Ce sont des chose qui vont toujours plus
en profondeur (on en parlait déjà avec les policiers des années 30, du défis du lecteur qu’on veut voir s’il est
intelligent pour voir ce qui se passe). Maintenant on va encore plus loin, on veut l’attention constante du
lecteur pour essayer de comprend pas un vision original mais la vision du lecteur. Volonté de dire  : essaye de
comprendre la vision de l’autre, même si l’autre te propose quelque chose que tu ne comprend pas. Essayer
de voir les choses à travers ses yeux et sa vision de voir les choses.
Beaucoup de textes qui mettent en scène le je (biographique, partiellement biographique, pseudo
biographique) pour essayer de captiver le lecteur et l’obliger de penser d’une manière différente de ses
habitudes.
On a l’habitude d’avoir de point de repère pour construire dans ma tète les personnage (maison, travail, lieu,
objets), éléments qui me permettent, en suivant ma vision du monde, de le situer, alors que maintenait on
essaye de ne pas fournir cela pour changer les choses.
La période propose donc le monologue intérieur, considérée la chose meilleur pour parvenir à ce but.
Volonté de déconstruire la structure du romans auxquels on était habitués. On propose des romans qui sont
parfois en séquence, en tableau mais qui n’ont pas véritablement des liens construits entre eux car l’écrivain
suit le flux de sa pensée, qui n’est pas schématique, pas logiques. On veut pas un narrateur en mission, qui a
déjà en tète le parcours de ses personnage, dans l’idée qu’un personne réelle sait ce qui se va passer.
But : que le lecteur puisse entrer de plusieurs manière dans le romans. Il cherche à rejoindre l’idée de
l’auteur mais chacun peut la rejoindre de manière différente.
C’est un moment où on passe du récit construit à travers les actions, une logique, à une récit de pensée, qui
ne suit pas la logique mais qui se fait porter par les passions, par les angoisses. Ce mécanisme que les
écrivains mettent en place, ce désir de captiver le lecteur, c’est quelque chose qui ne va pas réussir car le
lecteur a changé, il a trouvé dans la télé, le cinéma, ce moment pour voyager avec l’imaginer, une chose
qu’un jour demandait au roman. Le roman est en impasse aussi parce que il propose cet écriture nouvelle
dans la formes et dans les contenus.

Vedi slides « une écriture nouvelle »


Changements dans les contenus : il y a quelque chose qui continue de la fin des années 30 et fin de la guerre.
Sartre est très actif, il perd le plus le contact avec le publique. Le rapport avec le publique est plus difficile.
Sartre c’est celui qui fait discuter (il refuse le Nobel). Figure de quelqu’un qui cherche. Il pose le problème
du rôle de l’écrivain et il dit que l’écrivain a un rôle mais s’il ne fait rien, il est en situation dans son époque.
Il est conscient qu’en refusant le prix, il dit quelque chose. On entre dans l’histoire simplement par le fait
qu’on existe à un certain moment de l’histoire. L’écrivain est responsable, il dialogue si non pas avec le
lecteur, avec le monde autour de lui.
Slide « l’écriture nouvelle » : Nouveau roman : étiquette, tentative de chercher quelque chose de différent.
« Nouveau roman » parce que je cherche quelque chose de diffèrent car l’écrivain de doit pas repeter les
découvertes de ces prédécesseurs. Il faut aller avant car le passe n’a pas nous apporté quelque chose de
nouveau vu qu’on est arrivé à la 2 guerre, il faut chercher, essayer de comprendre pourquoi l’homme arrive à
ce point-là.
On va comprendre d’être seuls et on a peur d’être seuls. En écrivant des romans nouveaux qui s’interrogent
et qui cherchent à changer les chose mais qui ne trouvent pas le grand publique, qui ne vont pas toucher
véritablement le publique. Thoorens crée un sorte de group, mais c’est ce group là qui va par la suit marquer
le changement.

Simone de Beauvoir va toucher le publique avec Le deuxième sexe. Ecrit en 49 mais qu’elle méditait depuis
longtemps.

Slide présentation de LE DEUXIEME SEXE faite par Daniel Armogathe.


En pensant à L’invitée et au couple Sartre-Beauvoir, c’est finalement le romans où Simone dit « je propose
une réflexion sur la condition féminine pour essayer de faire en sorte que les gens puissent réagir, avoir
conscience de cette situation. En partant de quelque postulat fondamentaux, Simone écrit les fait les plus
divers, à l’appui d’une thèse qu’on peut résumer ainsi (la majorité des femmes…. ). D.A la présent comme
ayant une idée précise. Le texte veut proposer la vision d’un patriarcat qui était important mais parfois elle
nuance et elle essaye de comprendre aussi la vision masculine.
Quelqu’un dit qu’elle va l’écrire en trop peu de temps pour véritablement métriser la biologie, la physiologie,
l’histoire, la sociologie. On commence à l’attaquer sur cela.
Le parcours du texte est long et il sera pleinement reconnus en ’96. C’est une écrivaine qui a lancé la
discussion mais c’est une discussion qui très lentement sera diffusée. Toutefois ce n’est pas de l’avant-garde,
on essayera de proposer au publique son succès. On sera donc pour ou contre cette vision qui va changer le
rapport au couple, qui va proposer u insinuer des idées différentes qui vont s’affirmer petit à petit.
Le texte s’appui sur des données historiques, sur la sociologie, sur les mythe, donc elle fait un travail qui
veut présenter un parcours de recherche, non pas aller dans la perversion, érotisme.
On parle de ce texte comme un texte fondateur, comme Le Discours de la méthode et d’autres.
Simon est tellement en avance sur ce temps qui ne sera pas accepté par personne, d’un coté ou de l’autre
chacun y trouvera quelque chose à redire, mais beaucoup de femme enregistrent ce qu’elle à écrit.

Il y eu quand même une tentative d’élargir la discussion et de faire en sorte que le publique s’y attache et
c’est François Mauriac, écrivain et sorte d’homme politique, qui le fait.
Il s’attache a des publication qui S va faire sur les temps modernes en publiant des textes, La femme et les
mythes, qui petit à petit ont construit la vision de la femme qu’on a aujourd’hui.
Ce sera dans cette idée de publier des parties de ce corpus gigantesque pour le grand publique, ce sera
l’initiation sexuelle de la femme qui fait scandale et Mauriac dira « nous avons atteint la limite de l’abject »
avec l’idée de proposer une discussion publique. Si je manque de logique je peux plus facilement justifier
certains élans, certains pensées érotiques qui ont la possibilité d’être présentés. tentative de Maurica de dire
« je pense avec l’idée d’avoir la réaction du publique, une réaction qui n’existe pas ni dans le positif ni dans
le négatif ». Dans la coté des intellectuels, Simone est défendue par certains alors que d’autres soulignent le
fait que elle s’occupe de la jouissance, du plaisir, elle ne considère pas la réalité des choses, que dans la vie il
faut faire des sacrifices et lutter pour les choses.
Elle a été critiquée par la gauche, qui souligne que S est en train de focaliser l’attention sur le mal et
d’enlever une certain attention au capitalisme. Focaliser l’attention sur le rapport homme-femme c’est
esquiver le vrai problème. Memel si d’une autre coté ils disent que la libérations de la femme ne peut se faire
dans une monde qui soit socialiste.
La réaction de Mauriac n’a pas de succès ni dans le bien ni dans le mal, mais les idées que S propose, restent.
Pourquoi on est arrivés à cette discussion ? il y a quelque chose de profond qui font en sorte que les
intellectuels se divisent et ne sont pas toujours d’accord sur cette vision du couple en général et du rapport
entre les hommes et les femmes.

Importance de Freud qui a donné son empreint à son époque qui a change sa façon de voir. Il commence à
présenter son idée d’un monisme sexuel qui peut se présenter de manière ambigüe si on ne le regarde pas
attentivement. Son discours concerne l’inconscient, Freud dit « ok les différences physique mais ce qui va
tout jouer c’est que dans la construction de l’enfant, la jeune fille ne va pas tenir en compte sa formation
physique, elle va toujours envier le garçon qui a toujours quelque chose en plus que lui. Et le garçon qui
regarde a l’autre a peur de la castration et donc chacun regarde a l’autre et don la libido prend ses
connotations pendant l’enfance et l’enfance c’est quelque chose qui revient. D’une coté elle est formatrice de
l’inconscient des personne, de l’autre c’est dans l’enfance qu’on donne les habitudes sociale pour structurer
la société. C’est donc dans l’extérieur qu’on détermine les situations (vedi slides Freud).
C’est un des fondement aussi de Simone : tout se fait dans l’inconscient et donc tout se construit petit à petit.
Monisme sexuel : dans l’inconscient, dans les représentations inconscientes du sujet, homme ou femme, la
différence de sexe n’existe pas. La bisexualité est le corollaire de cette organisation moniste, donc les deux
sexe. Là entre en jeu le fait que si la femme reste plus attaché à la mère on va vers son propre sexe, si le
garçon reste plus attaché au père va vers son propre sexe. Idées qui se mettent en place qui sont pas toute à
fait claires, construites, mais qui construisent 2 écoles :
- école viennoise, celle de Freud qui va dire « inutile de parler des différences physiques, l’important
est dans l’inconscient et dans l’inconscient il n’y a pas des différentiations entre homme et femme »,
donc tout ce qui se passe dans la différenciation dérive de la construction de la société.
- école anglaise : la différence est fondée sur l’anatomie
A’ la confusion s’ajoute aussi la confusion que Freud va être défendu par des psychanalystes importantes
(vedi slides).
Deuxième sexe c’est un texte important pour la culture française mais en Angleterre et Etats unis il y avait
des discussions importantes qui s’étaient faites.

Quand on a commencé à discuter le travail de Simone on a relevé des fautes dans les citation ou manques de
notes. Comme elle veut présenter ses texte comme des texte scientifiques, beaucoup de personnes relèvent
les fautes. Il faut quand même considérer l’époque, où il n’y avait pas l’attention philologique qu’on a eu par
la suite dans la construction des textes. C’est vrais qu’il y a des imprécisions mais c’est quand même un texte
important.

Slide « Simone de Beaucoir affirme que ». Simone dans le 2 sexe nous veut présenter l’aliénation féminine,
c’est la chose qui revient le plus souvent, mais elle analyse aussi la femme. Dans cette aliénation donc la
femme est présent. (vedi slide)
Il y a une distinction de la femme qui mais que se soit une femme mystique, amoureuse, narcissique, elle n’a
pas d’espoir possible pour l’indépendance.

Slide « Deux tome » La structure du texte montre sa complexité et comment elle a voulu analyser tout les
aspects.

I tome
Destin
Histoire
Mythe : 3 chapitre et dans le 2em elle présent différents écrivains et leur vision, construction, présentation des
mythes.
Le regard est porté sur ce qui a été le parcours de la femme dans le siècle
II tome
On entre plus dans une époque plus récente pour analyser le parcours qu’une femme fait d’habitude dans sa
vie 
1 partie : comment elle est gérée pendant l’enfance, comment elle vit son état de jeune fille, comment elle est
initiée à la sexualité, que représente d’elle dans le système la lesbienne.
2 partie : la femme se marie, la femme vit dans la société de manière plus ou moins intégrée.
Elle cherche à analyse tous les aspects possible de la situation de la femme.

Slide « Tome II »  phrase qui est souvent reprise dans les citations de Simone. « On ne nait pas femme, on
le devient ». ce qu’on reproche parfois à Simone c’est que elle présent la femme mais son raisonnement
pourrait être considéré correcte aussi pour un homme. C’est une discussion qu’elle va prendre en main elle
aussi, mais là elle commence en disant qu’il faut qu’on commence à essayer d’étudier notre rapport à l’autre,
c’est la seule manière pour essayer de comprendre comment les choses se mettent en place.

Slide « situation »  on captive les femmes avec l’image du bonheur et non pas de l’amour.
Deux filière de manière de présenter les textes, mais il y a quelque chose que des deux coté on garde  : idée
de la conservation du passé, la conservation de tout ce qu’on connait. D’une coté il faut le garder, de l’autre
il faut le rejeter.
L’eau qui coule, c’est ça qu’on fait miroiter.
D’un coté on dit que le bonheur c’est maintenir le statu quo, de l’autre coté l’homme doit combattre, se
dépasser, progresser ver la totalité de l’univers et l’infinité de l’amour. La beauté de ce parcours vers
l’avenir, la fusion de l’homme avec l’univers, la femme n’est pas dedans. C’est quoi le bonheur ? c’est
garder la situation qu’on a, l’assurance des chose. L’homme doit combattre pour les choses, avancer, mais il
va le faire seul.
La femme alors a défaut d’amour (vedi slide)
Elle utilise les future pour parler d’un passé, c’est comme un future constante pour la femme depuis toujours
son futur est avoir un sentiment tendre, administré, être fermé dans un monde. Son future à elle est lié au fait
qu’elle va perpétuer l’espèce humaine.
Le femme pour arriver à être partie du future elle doit passer à travers à l’homme, la femme trouve la
justification de son existence dans l’homme. C’est la description de la vision de Simone par rapport à la
vision de la femme à ce moment là.
Elle fait référence à Henry Bordeaux pour parler des valeurs bourgeoise.
Elle dit de faire attention au fait que tout cela se construisait parce que l’homme avait un attachement
importante à la famille alors que aujourd’hui l’homme a perdu cela et c’est seulement la femme qui garde la
valeur de la maison, pour l’homme cela est devenu quelque chose de matérielle, elle n’a plus une âme, il
s’intérêt seulement aux objets. Il ne s’intéresse pas à l’intérieur car il accède à l’univers tout entier, il a la
possibilité de dire « je vais lutter pour quelque chose d’importante, pour que les choses soient meilleures ».

Sartre a été différent. Le Sartre publique a appuyé Simone, le Sartre de la correspondance est un Sartre qui
incite Simone à écrire, qui donne les indication pour faire ce travail, qui le partage aussi car dans une certaine
manière il y retrouve beaucoup de sa théorie sur l’existentialisme (un des reproches qu’on fait à Simone).
C’est une reproche qu’on lui fa car certaines disent qu’il y a trop de Sartre donc elle n’a pas fait propre son
discours. Pas trouvé des article consacré à cela.

Le discours c’est le fait que l’homme de plus en plus n’a pas d’intérêt vers la maison dans le sens complet du
terme car il a des projets plus importants à l’extérieur et c’est la femme qui garde l’esprit de maison.
Elle construit dans sa maison l’extérieur et l’histoire (vedi slide). Le foyer devient pour elle le centre du
monde et même son unique vérité, la seul possibilité de regard vers l’extérieur. Sort de contre univers. Foyer
devient une sorte de ventre. La vérité c’est à l’intérieur de maison, ce qui se passe au dehors ça ne fait pas
partie de la réalité.
Quand elle est complètement enfermée la femme se sent reine.
Quand on dit que Simone est la première dans le monde francophone qui a des protagonistes importants du
monde anglophone (vedi Virginia Woolf).

Slide Woolf  c’est un texte qui regarde l’intérieur, mais c’est un moment différent. La protagoniste essaye
de constituer un group et cherche à l’intérieur du group comment gérer les émotions, comment construire des
convergence émotionnelles. Simone prend cela pour dire que dans la famille il y a des émotions qui peuvent
être partagées. Il y a donc d’un coté la fonction du group est l’aspect thérapeutique du group qui est
transposé par Simone dans le cadre de la famille.

17/03/2020
Il y avait 2 filières qui se définissent à travers l’écriture :
-écriture néoclassique
-écriture qui vise à changer les choses, qui commence à mettre en discussion le romans, de la part des
écrivais dans ce monde qui change et qu’on veut changer pour essayer de trouver quelque chose de nouveau,
qui va être pris en considération à travers la construction du romans et donc de la façon dans la quelle on
présent le personnage et à travers le contenu : on doit pas avoir un fluxe continue, un raisonnement derrière,
mais qui doit suivre les mouvements de l’âme.
Cela parce que on essaye de captiver un lecteur qui est distrait car il vient de sortir de la guerre. Finalement
on peut retourner à vivre et donc il n’y a pas envie de penser au sens du monde, de l’homme et de la
psychologie. C’est un public qui accepte volontiers le cinéma, la télé, choses qui peuvent lui permettre
d’avoir un imaginaire sans devoir se poser des questions philosophiques. C’est dans ce cadre qui arrive la
publication de Le deuxième sexe, un livre pour les femme, écrit par une femmes et qui suscite des réactions
contraires.
Considération de base c’est que c’set un livre qui va toucher la famille, la construction de base de la société.
Comme il se présentait come un livre universitaire, scientifique, qui considère l’histoire de la femme à
travers l’histoire, les mythe, la biologie… on le critique car ce n’est pas bien construit.
Les idées atteignent les femmes qui commencent à réfléchir sur la chose mais le texte se va diffuser en tant
que lecture très lentement. Les traductions vont se faire avec du retard, en Italie après 10 ans.
C’est un livre qui ne plait pas aux conservateurs car on le considère contraire à la famille et qui ne plait pas
non plus à ceux qui veulent révolutionner les choses car on lui reproche de centraliser le problème dans un
lutte entre homme et femme, ce qui va détourner l’attention, d’après eux, du problème du capitalisme.
Pourtant il y a des passages dans le texte, ou Simone dit que un monde où l’homme et la femme seraient
égaux est possible et elle dit que cette possibilité on l’imagine lié à la révolution soviétique. Elle dit qu’il y
avait les même conditions de travail, même salaire, même idée de liberté, de mariage seulement que Simone
change son opinion dans la suite et dans le texte il y a cela. Le problème que Simone se pose c’est de dire
qu’il y a une solution, une possibilité, mais est-ce que pour attendre cette possibilité ça suffit de changer les
loi où il y a quelque chose d’autre ? elle voit ce quelque chose d’autre dans un malaise chez les hommes et
femme, dans la société, qui ne serait pas touché par le lois. Il faut alors comprendre avant ce qui se passe
chez l’homme et la femme.

Slide « page 276 » : Elle analyse donc le mariage. Les choses ont commencé déjà un peu à changer, on n’a
plus la structure telle qu’on avait avant mais le problème c’est que la femme ne tire pas de cette situation une
satisfaction.
Simone met le concept philosophique plus lié au quotidien. L’immanence c’est ce qui existe, la
transcendance c’est ce qu’il y a au de là de nous. pour Sartre l’homme est un être qui se projette vers dieu,
qui a une sorte de progression, d’immanence à la transcendance, alors qu’ici, Simone dit que l’homme n’a
plus cette volonté d’aller vers l’absolu, vers quelque chose de transcendent, mais il s’enferme dans son être
réel. C’est un concept qui est encore discuté. Là, à la suite de la pensé de Sartre, elle utilise ce mot c’est une
reproches qu’on lui fait. Elle utilise ce terme à la suite de Sartre pour nuancer la position de Sartre. Mais
Simone va essayer de mettre ce concept philosophique dans le discours de l’amour. Elle se demande que se
passe-t-il, où je peux me situer quand il y a le désir ? pour Sartre c’est un problème contradictoire, le désire
pour lui met en scène un problème de contradiction car l’homme cherche à posséder l’être humain, à
l’intégrer en soi et de cette manière il annule le désir un fois qu’il est satisfait. Sartre n’arrive pas à sortir de
ce problème. Simone souligne beaucoup plus l’aspect réelle de la chose en le sortant du concept
philosophique tout en utilisant les mots.
La famille, le mariage, est devenu quelque chose qui enferme les gens, qui conduit les gens à uns solitude,
une solitude à deux mais en dehors du monde, en dehors de une possibilité d’avancer dans le monde.
Un solitude à deux car il n’y a même plus le rapport avec les enfant, le rapport à la famille. A l’intérieur de la
famille même il y a une division car les intérêts sont différents.
Ce sont les conditions dans lesquelles le rapport à l’autre se fond qui sont en train de changer
fondamentalement la femme et la faire devenir une marâtre et mégère, donc quelque chose de négatif.

Slide dopo : elle met souvent en l’avance, en évidence le fait que et pour la femme et pour l’homme il y a des
situation dans laquelle il y a des ambigüité, contradiction qui se présentent. Femme qui joue au même temps
sur ses point fort et faible et elle le fais non pas parce que elle calcule ses action pour attendre un résultat
mais car elle continue d’avoir des réaction sur la passivité qu’on lui a imposé pendant longtemps.

« pag 636 » Elle dit qu’on est dans une situation de passage, d’évolution, mais une situation qui exprime
pour le moment un grand malaise de deux coté.
Pour Simone la féminité est un produit de la société. Ça c’est une différence par rapport à Sartre. Pour Sartre
la féminité c’est implicite, il y a une nature féminine. Simone dit qu’on nait pas femme, on le devient, elle
considère qu’il y a quelque chose qui s’opère à travers la société. La féminité c’est quelque chose
d’important qui se crée à travers l’éducation et qui n’est pas implicite. Se perpétuera cette féminité, cette
façon de la société de se conduire vis-à-vis des femmes.
Elle met en cause le rapport aussi de l’homme, le problème n’est pas seulement lié à la femme mais aussi au
malaise que l’homme même ressent dans cette situation.

Féminitude : expression que Simone va utiliser. Négritude concept qui commence à circuler dans les années
3’,40, qui veut la recherche de la parte du monde noir, de leur identité. Recherche d’une identité. Simone va
utiliser féminitude. Terme qui ne va pas avoir du succès mais démontre sa vision des choses.
Pour sortir de cette situation que la société a imposé à la femme. ( ? ultima frase slide féminité).

Slide « Chioma Faith » : commentaire tiré d’un article qui tourne le discours du coté de la religion.
Elle dit que la personne elle-même doit réagir, s’imposer, chercher son chemin.
[interruzione] Situation qui s’est construite pendant des siècle, mais la femme doit quand même opérer.
C’est le même discours qu’on faisait concernant la négritude en disant que c’est vrai qu’il y a une histoire de
négritude mais les gens doivent prendre en main la situation. Simone fait le même discours pour les femme.

C’est là le centre du discours de Simone : ok, les choses se sont passées comme ça, ça sera difficile, mais la
femme a cela comme trajet possible, le fait de s’assumer elle-même. Est c’est la raison pour laquelle elle va
dans les années 60 revenir en arrière par rapport au discours sur la révolution russe en disant que non, c’est
pas à travers les lois qu’on va arriver à cela car le problème c’est celui de dépasser le malaise que les
personnes ressentent en ce moment.

Slide « Julia Kristeva », même récemment, même une intellectuelle comme elle reviennent sur l’importance
du discours de Simone. Julia dit on n’en est pas sortis, années 50,60 période qui va caractériser la pensée
jusqu’à nos jours. Cette double filière reste, les discussions sont en cours, il y a eu des grands changement.
Discussion qui sont de base persistent.

Il y a une écriture néoclassique : écrivains qui cherchent à garder le statut quo, cherchent à ne pas changer les
choses, à retourner vers le passé pour oublier la guerre peut-être. Ecriture qui porte les traces des souffrances
de la guerre. Toute guerre porte avec soi le problème de la mémoire : ceux qui sortent de la guerre, le
souvenir de ce qui c’est passé et tellement douloureux qu’on essaye de l’oublier et la guerre met aussi en
scène le rapport à l’autre. On commence à voire que l’autre il est là, aussi pour me tuer. La guerre a crée cela
aussi à l’intérieur des famille car il n’y avais pas la tranquillité des rapports normales et cela a apporté une
sorte de pensée rétrospective qui existe, dans un manière différente dans les deux filières. Dans l’écriture
néoclassique on privilégié le thème de l’amour sans les mettre en discussion.

SUSANNE LILAR
Exemple d’écriture néoclassique. Elle commence à écrire toute de suite après la guerre. 20 ans après la
publication du Deuxième sexe, on y revient avec Susanne Lilar qui va faire discuter encore une fois et
réfléchir sur le problème.
Le Burlador : c’est un exemple de comment toute de suite après la guerre, si le roman n’attire pas le
publique, le théâtre oui.
Lilar se demande pourquoi le burlador doit être un homme, il peut être aussi une femme, et le séducteur peut
être masculin ou féminin ? elle souligne l’importance de l’amour. Le burlador c’est quelqu’un qui aime chez
Lilar. Manière différente de proposer le mythe, le passé, par rapport à d’autre.
Le faite d’aller vers le mythe pour traiter des arguments n’est pas spécifique au monde néoclassique (aussi
Sartre ou Camus). Ce sont des mythe repris pour parler de politique, de la guerre. C’est tout un théâtre
engagée qui veut faire réfléchir le publique et petit va devenir importante.
Même époque : Beckett, qui fait réfléchir sur a situation de l’homme perdu dans le monde.
Autre qui mettent en scène la duplicité de l’homme.
Il y a un monde théâtrale qui commence à bouger mais au départ, toute de suite après la guerre c’est le type
de théâtre qui propose Lilar qui impacte le plus sur le publique.

Slide :« Tous les chemins mènent au ciel » pièce qui concerne l’amour. Idée de l’amour porté dans sa vision
extrême, l’amour dépasse tout. Elle met en scène le monde du béguinage. (béguines : femmes qui depuis le
moyen âge décident de vivre entre elles pour prier, femmes qui s’enferment dans un monde pour prier et
aider les autre si c’est necéssaire). C’est dans ce monde fermé où arrive un chevalier pris par un désir
d’absolu, la possession spirituelle. Idée de deux coté de ne pas aller vers la vie physique de l’amour mais
d’avoir une idée d’amour de l’absolue. Elle commence à éprouver quelque chose pour le chevalier donc elle
commence à sentir le pois du péché. Elle s’inflige des punitions. Elle voudrais que à travers a souffrance, le
cœur se taise mais ce n’est pas comme ça, l’amour vit toujours, l’amour ne peut pas rester dans l’idéale.
L’homme (personne) est constamment (comme disait Simone pour les femme) partagé par le contrôle et le
désire de vivre au fond ce qu’il ressent.
Lilar représente les années toute de suite après la guerre et on a beaucoup de textes importantes qui
paraissent dans les années 50,60.
Comment Lilar se situe par rapport aux deux filières ?
Avant garde : discussion qu’on propose dans les textes
Néoclassique : vision plus classique du rapport à l’autre
Dans le deux cas on propose un réflexion sur l’amour.
20 année des discussion, parfois en donnant par acquis que le couple en tant que telle (comment on l’avait
vue jusqu’à la guerre) n’existe plus.

Paul Morand : écrivain qui a eu succès dans les années 20,30 mais dans la deuxième guerre il a eu des
problèmes politique donc mal vu même si reconnu innocent, le public ne le suivi plus jusqu’à la publication
de Hécate et ses chiens.
Hécate c’est une déesse triple (céleste, marine, terrestre), elle protège tous ceux qui se déplacent et les
chiens. C’est une histoire d’amour entre Clotilde et le narrateur qui se passe en Afrique, une Afrique qui
n’est jamais décrite, seulement élément qui peut renvoyer à l’imaginaire occidental (sì, ha detto occidentale).
L’utilisation du mythe c’est pour dire qu’il va présenter ce qu’il y a de caché, de multiple, d’une personne
qui a plusieurs personnalité, facette, donc va dire les ombres de la vie psychique. Le protagoniste découvre
petit à petit que la personne avec laquelle il va avoir une situation d’amour et relation, est une personne que
la nuits est complètement différente car elle va chercher des enfants africains pour son plaisir et elle parvient
à le faire devenir en partie part de son jeu. En partie parce que lui ne parviendra pas à devenir comme elle, à
aller jusqu’au but comme elle. C’est mise en scène des trouble, de comment on peut être double et comment
il y a une grande différence entre ce qu’on apparait aux autre et la réalité.
Texte qui fit un grand scandale mais il reste dans l’histoire littéraire car on les disait un texte très moderne
car il n’y a pasun espace décrit (on dit qu’on est en Afrique mais on comprend par pourquoi en Afrique sinon
pour dire qu’il a mis l’animalité, la parie plus profonde de l’homme), on ne dit pas le moment où tout cela se
passe et la construction c’est en séquence qui suit le problème psychologique quand le personnage découvre
ce qu’il fait la femme. Pas véritablement un suivi temporelle.
C’est un exemple pour dire que quand on met en scène le couple dans lez textes qui visent une sorte de
révolution, en général c’est pour souligner des aspects négatif de la femme et qui peuvent aller dans la
pornographie et perversion. Couple qui ne peut pas exister vraiment. La femme encore un fois, c’est
l’évolution à partir du mouvement surréaliste, la femme n’est jamais celle qu’on voit et l’homme par rapport
au monde surréaliste a perdu cette volonté, souhait de l’imaginer, la voir et contraint à se confronter avec la
réalité, avec la double facette ou multiple de la femme.

Au même temps on a d’autre textes, comme ANTOINE ET JULIE de SIMENON.


Couple qui est présenté dans sa vie normale. On a des description très précises, on connait même l’adresse,
on a des actions qui s’enchainent l’une après l’autre. Couple, femme qui est riche, l’homme pas riche, famille
de la femme voit mal ce mariage, l’homme réagit à cela de manière négative car il commence à boire. Le fait
d’être souvent ivre fait de sorte qu’il traite mal sa femme jusqu’au moment où la femme tombe malade,
maladie de cœur, le médecin lui dit qu’elle ne doit pas éprouver des fortes émotions, elle doit prendre des
médicaments si non elle va mourir. Mais Antoine un jour où elle est malade, va dans une femme et s’oublie
de lui amener les médicaments et elle meurt. Le résultat de cela c’est que la mort de sa femme le fait
réfléchir mais Simenon reste un peu dans la vision que Simone de Beauvoir nous propose : Antoine réfléchit
pour dire que maintenant il a compris et elle est devenu meilleur donc c’est le sacrifice de la femme qui
permet l’homme de devenir meilleur.
Le problème de base c’est le même d’un coté et d’un l’autre : la conscience d’être homme c’est quelque
chose d’important mais on peut aussi faire semblant. Lui il se retrouve aussi en disant qu’il n’est pas un
homme et il fait semblant d’être un homme.

Alain Robbe-Grillet, La jalousie : texte important pour l’époque. Lui aussi il parle d’un « trio » mais il le
construit dans cette vision de l’objet. Il faut conduire le lecteur à avoir la même vision du narrateur car
chacun voit les choses à sa manière donc il peut décrire une réalité que les autre ne voient pas. Donc
importance de faire comprend à l’autre quelle est notre vision.
Alain dit que le sentiment qu’il éprouve dans le moment où il regarde l’objet devient quelque chose de
fondamentale et c’est cela qu’il doit parvenir à transmettre. L’importance de l’objet on le retrouve aussi dans
le titre « la jalousie ». La jalousie est être jaloux de quelqu’un mais aussi la persiane della finestra. Possibilité
de voir aussi que la lumière passait donc le regard pouvait se faire vers l’extérieur. Jalousie au même temps
sentiment et objet.
Explication qu’il donne : je ne te dis pas les raisons pour lesquelles il est jalouse mais je te dis sa façon de
regarder aux choses et de la façon dans laquelle il regarde les choses tu peux comprendre les raisons qui lui
mènent au délire. Il y a une méfiance constante qui va lui conduire à cela. Preotagoniste qui n’a pas de nom,
même pas la femme. Seulement l’aman présumée (on vit avec les doutes du protagoniste) a un nom, une
identité.

Ce qui se passe dans cette période là à travers certains textes.


Lilar, écrivaine qui va faire le fil conducteur pour arriver à la fin des années 60.

LA CONFESSION ANONYME (cinema Benvenuta)+ HIROSCHIMA MON AMOUR


Dans le cadre du néoclassicisme ce sont les deux texte qui ont eu les succès consacré aussi par le cinéma.

La confession anonyme met en scène deux protagonistes et deux vision du monde. D’un coté un italien,
Livio, de l’autre une suédoise. Présentation des parcours que les protagonistes font c’est un parcours italien
(il se connaissent à Roma) qui va de la Villa des mystères, une villa dont on dit qu’elle a des dessin qui
peuvent représenter une maison des plaisir à l’église de Notre Dame de Pompéi, donc la sacralité la plus
complète.

18/03/20
Années 50 sont importants. Si d’un coté ces grands écrivains définissent la période et tout ce qui va se passer
dans la suite, il sont toujours dans les discussions et il n’attachent pas vraiment le public qui est par contre lié
à des écrivains plus classiques qui présentent des arguments qui plaisent depuis toujours comme l’amour, les
mythe. A la fin des années 50 on va définir ce qui s’est passé et on va créer le nouveau roman (étiquette,
appellation commune qui définit quelque chose qui s’est passé). Cela commençait à être perçu comme une
expérimentation constante. De l’autre coté toutefois il faut comprendre (Dit Natalie Sarraud ?), que c’est une
nécessité intérieure que les écrivains commencent à avoir qui reste bien souvent dans un cercle assez limite
qui n’as pas un lien fort avec la vie de ce moment là. Questionnement que les écrivains se posent restent  :
pourquoi faut-il continuer à écrire dans une situation pareille ? à quoi ça sert ? Il dit qu’en voyant la situation
où il sont en train de vivre, il est impossible de se taire.
Nathalie Sarraud dit de faire attention à considérer tous ces changements comme une expérimentation mais il
y a une nécessité de compréhension qui vient de l’intérieur. Donc à coté de ceux qui commencent à croire
que l’homme est une sorte d’arithmétique de besoins, il y a d’autres qui disent qu’il faut découvrir la
nouveauté et ne pas répéter le passé mais on peut le faire seulement en allant à la découverte de l’homme (en
général), de ce qui ressentent, il faut aller chercher plus au fond dans la compréhension. Et seront surtout les
femmes écrivaines qui vont s’attacher à cela.
Années 20, 30, les discussions venaient surtout des écrivains homme, discussion autour de l’amour, couple,
désir, alors que dans les années 50 on va retrouver de nombreuses écrivaines femme qui mettent en scène ces
problématiques.

LA CONFESSION ANONYME – SUSANNE LILAR


Met en scène le récit d’une passion entre la Suède et l’Italie. Protagoniste suédoise et un homme italien, qui a
un certain rôle politique en Italie. Protagonistes qui ne sont pas jeunes, pas une passion entre des jeunes gens
mais entre deux personnes qui ont déjà un vie, une maturité derrière eux.
Lilar dit qu’elle n’a pas écrit un récit de passion mais un récit SUR la passion, SUR l’amour. Elle dit de ne
pas faire attention à l’histoire tant que telle mais il faut réfléchir à ce qu’elle propose par rapport au rapport à
l’intérieur d’un couple.
Texte assez fort qu’il faut comprendre dans l’intention de l’auteur. Roman qui a fait beaucoup discuter aussi
parce que le grand publique aime des histoires comme ça, l’écrivain aussi le dit. Roman tiré d’une histoire
personnelle. Ce qui a suscité de la discussion c’est que La confession anonyme et Le divertissement
portugais paraissent les deux en 1960, presque simultanément mais le divertissement (aussi tiré de la vie
personnelle) est signé, la confession non. Les critiques ont joué sur le fait qu’il y avait là la confession d’un
situation amorale, un texte trop fort pour quelqu’un que comme Lilar était la femme du ministre de la justice.
Donc c’était une prise de position importante, elle a déclaré que c’étaient des expérience personnelles, du
vécu bien des années après. C’est une façon facile d’approcher les choses que l’écrivain ne doit jamais être
confondu avec le narrateur et là il y a la volonté de dire que en littérature la recherche qu’on peut pas
exprimer ou faire dans la réalité. C’est un lien important avec la littérature mais que l’histoire personnelle
n’entre pas tellement dans la considération de ce texte.
« la cérémonie de l’amour peut s’exprimer seulement en littérature, à travers la médiation du roman ». Il y a
un cérémonial de l’amour important pour Lilar mais il met en scène les deux opposé, le nord et le sud. Texte
contre un certain puritanisme qui n’accepte pas que l’amour et le sexe soit conjoint. L’éros il faut le vivre.
L’amour vu dans une période différentes, avec des discussions philosophique de base différentes. L’année
1960 est capitale pour la politique française car c’est l’année des révoltes, de la décolonisation et ce sont des
choses qui se sont préparé dans les années 50. C’est un amour qui est dans un cadre nouveau, intellectuelle,
politique, sociale, qui doit s’assumer ce qu’il y a derrière.
L’unité perdue c’est ce moment de fusion, c’est voir dans le moment d’union quelque chose d’absolument
parfait auquel il faut essayer d’arriver. Il faut atteindre ce moment d’unité parfaite.
Cet amour-passion on peut le retrouver dans ce « chef d’œuvre de l’éros », comment on l’appelle aussi ce
roman, pose plusieurs questions. A la base du roman il y a la question de quel est le rôle de l’amour dans nos
vies, comment se manifeste-t-il, est-ce quand on parle d’amour il y a des limites  ? quand je prouve un
sentiment d’amour, je dois être limité à ce que la société et la famille pense où je peux essayer d’atteindre
cette unité perdue, cette unité dans les grecque qui est la recherche de l’absolue. Quels sont les obstacle
qu’on retrouve face à cela ? Lilar reprend plusieurs fois dans d’autre texte le fait que quand on parle de
surréalisme, d’amour fou, est-ce que c’est véritablement de la folie ou est simplement le fait que ce que nous
ressentons puisse vraiment ressortir ?
Ce sont les question que Lilar se pose et que on ne trouve pas en tant que telles dans le romans mais on les
perçois comme éléments sous-jacent dans le texte qui donnent des réponses importantes.

Slide « Livio, la vie entre imagination et réalité »  Met en scène dans le texte de Lilar le problème du
dédoublement. Lilar pose le problème aussi du théâtre.
Théatre c’est une autre façon de considérer la vie, au contraire « mentant mal (du moins quand il le faisait
pas nécessité et non par jeu) »  le jeu est quelque chose de positif, n peut mentir par jeu, on peut etre
différent pas jeu, tout cela fait partir de quelque chose qui met en jeu notre personnalité alors que la nécessité
c’est quelque chose de négatif et qui rend la mensonge quelque chose de négatif.
Problème du rapport à la vérité, le vrai fait pauvre, cela dépend de comment nous considérons cette vérité car
s’il n’y en a qu’une, alors on est pauvres, le vrai en tant que vision unique des choses, alors qu’il y a
plusieurs vérité. Pour Lilar la vie est un théâtre car souvent pour vivre il faut porter un masque.
Lilar a joué, discuté autour du fait que tout le monde porte un musque et on lui a reproché qu’elle luttait
contre l’idée de porter un masque mais qu’elle avait publié sous anonymat et cela aussi est porter un masque.
Une des raisons pour laquelle elle a ensuite essayer de faire une sorte d’autobiographie mais sans y parvenir
véritablement. Raison pour laquelle il faut pas considérer les situations personnelles de l’écrivain pour ne
mettre en jeu que le narrateur qui cherche et lutte contre idée de porter un masque. Elle se demande si c’est
nécessaire de dévoiler son visage. Est-t-il possible d’arriver à une partie de cette vérité, essayer de
comprendre une petite partie de vérité ? cela existe ou non ?

Slide « L’amour sacral » : extrait tirai du livre « un couple », que Lilar a écrit 10 ans après La confession
anonyme. Elle met en scène les différentes possibilité : ceux qui considèrent l’acte sexuelle dégradant, ceux
qui le vivent à l’intérieur du mariage et d’autre qui, comme les protagonistes, pour lesquels il est
naturellement sacré, élément pour communiquer ce sacrée, pour atteindre le divin.
Pauvre non pas dans le sens économique mais gens qui ne parviennent pas véritablement à réfléchir sur les
choses.
Si on se met dans la coté de la religion, de la morale qui enseignent séparation entre corps et esprit ça ne peut
pas être différent, mais si la personne n’a pas certains instrument elle-même la situation n’est pas différence.
Capter le signe : je soi vivre en écoutant l’autre, capter les signent que son regard, son attitude, sa façon
d’être me transmettent.
Si je ne suis pas capable de comprendre les signes, ce que l’autre ne me dit pas ce qu’il pense et ressent, que
je comprend dans son attitude et façon de parler, de réagir, là je suis impuissante à aimer.
Si on se focalise sur le physique et l’action en tant que telle, l’amour est sale, s’il y a rien d’autre que cela ce
n’est pas intéressant, tout est sale si on ne laisse pas vivre au même temps l’imagination, ce qu’on ressent
dans l’âme et qui construit dans ma tète l’image de l’autre.

Slide « page 8 » : Si on regarde à la différence entre les texte qui voulaient appartenir au roman nouveau et
ceux néoclassique, ce roman décrit les endroits, pour dire finalement que les endroits (les chambres) non pas
de caractère. Façon pour souligner que ce n’est pas ça l’important. C’est quelque chose qui n’entre pas dans
le rapport entre les deux. Elle met en scène le rapport entre les deux protagoniste, un rapport un peu ambigüe
car il passe de la violence à l’extrême douceur.
Cette mécanique brutale est accompagnée par quelque chose qui prend son cœur, âme.
Elle commence a comprendre que Livio est en train de suivre un rituel, elle accepte, elle dit qu’elle est
l’épouvantée. C’est un rituel, un jeu, une façon de se rapporter à l’autre qui dépasse les stéréotype. Elle
comprend qu’il va la traiter comme une chose, mais elle se dit qu’il va le faire dans une situation, contexte,
qui va véritablement changer les choses car elle va accepter, être présent, y jouer avec. A ce moment là tout
le parcours qu’on va faire ensemble c’est un parcours qui va vers la connaissance de soi, ver une catharsis
vers quelque chose de très positif.
C’est toujours une façon de mettre ensemble de éléments contrastants pour dire de quelle manière il jouent
ensemble, on doit pas toujours considérer les choses comme opposées, différentes, mais comme des éléments
qui peuvent jouer ensemble.

Slide « désir et chasteté » : « la chair présente mais domptée », je devais y être avec le physique mais en
même temps avec la tète, l’esprit, l’âme. Tout ensemble.
On comprend qu’il y a un parcours à faire ensemble, que ce ne sera pas facile et qu’il faut passer par
certaines étapes, mais c’est le fait d’avoir un programme commun, idéal commun, que va profiter à l’amour.
Je veux aller au but de mes sensation, de ce que j’éprouve dans ce rapport d’amour.

Slide « le cérimonial érotique » : l’auteur souligne en italique qu’ils ne savaient pas : importance avec l’âge
de comprendre certaines choses. Les gens qui se disputent, qui mêlent leur jeux dans la rue, il ne faut pas le
jalouser, dire qu’il sont jeunes, car ce que nous avons appris dans notre vie est plus importante, notre façon
de vivre le rapport à l’autre, l’amour, est quelque chose de plus profond.
Le profane est celui qui ne sait pas comprendre le sacral, donc celui qui n’atteint pas le sacral. Si je veux
atteindre au sacral je dois comprendre les signes que l’autre m’envoie, ne pas m’appuyer sur le matériel, sur
les choses concrètes, mais vivre avec la compréhension des signes.
Phrase du bateau et première phrase visent à insérer une vision poétique aussi, elle nous conduit vers des
moment d’érotisme en créant un moment de poésie car elle ne veut pas que ce soit de la pornographie mais
que ce soit un moment de compréhension, de sacral.
Dans le récit c’est la femme qui raconte à une autre personne son histoire.
La nature, ce théâtre magnifique de la nature, il faut pas la regarder de l’extérieur, elle est capable de faire
entrer dans les situation les plus profonde, il faut aller de l’autre coté du décors, au de là de la théâtralité,
entrer dans les éléments profonds.
Dans ce jeu de théâtre lui aussi va-t-il disparaitre ? est-ce que je suis en train de disparaitre de la réalité ?
Sourire de publicité. C’est mettre constamment ensemble ce qu’on ressent, ses pensée avaient suivi un
parcours analogue. Il est important de faire un parcours ensemble, ce parcours ensemble permet d’aller au
delà de certaines chose, comme qu’elle savait que c’était un homme qui disait à trois femmes à la fois qu’il
était à la fois. Volonté d’aller au delà du vécu banal. C’est dans ce cadre qu’elle met la phrase stéréotype de
la cousine qui dit que les italien ne sont pas fidèle. D’un coté les stéréotypes ou la réalité extérieure,
banalisée et de l’autre coté la compréhension profonde qu’on peut avoir avec l’autre.

Slide « entre mensonge et vérité » : Plusieurs fois dans le texte on se demande qu’est-ce que c’est mentir et
qu’est-ce que c’est la vérité. Livio ment à 3 femmes avec lesquelles il dit qu’il est fidele, mais est-ce qu’il est
une mensonge importante ou il faut dépasser cette mensonge là au moment où on vas chercher quelque chose
d’autre, le sacral ?
Si je me fonde sur a partie la plus extérieure, il y a les mensonges et les vérités partielle mais ce n’est pas
cela qui l’intéressent.
Présentation d’un homme qui n’a pas de problèmes à avoir plusieurs femme et à mentir, dans cette vision
extérieur de l’homme lui-même, homme qui agit en considérant que la femme est malhonnête quand elle
provoque, donc c’est elle qui met en marche certaines éléments. Elle reprend tout ce que Simone mettait en
avant en disant que la société est en crise des deux coté les hommes et le femmes sont mal alaise. C’est, dit
Susanne Lilar, la partie extérieure de la vie.
Au moment où Livio commence à avoir un rapport qui est un parcours qui vas vers d’autres choses, il
comprend que c’est une sorte de rôle qui avait joué ni sans gloire ni sans plaisir et qui lui apportait de
problème car la femme avait commencé à pleurer, ne comprenant pas pourquoi il était violent, dans quel
discours, le discours que les contraires doivent pouvoir aller ensemble. Donc la douleur, la joie, la violence,
la douceur, tout peut être mise ensemble.

Slide « ce récit ne me laissa » : Livio est en train de lui raconter ses aventures, sa façon de se conduire avec
les femmes, ça lui a fait du mal mais c’est un mal qui produit quelque chose de positif. Mise ensemble,
toujours, des différence plus que des contraires, il faut éprouver tout, la douleur, la joie, désir, chasteté. C’est
l’épine qui me fait connaitre véritablement les sensations profondes de l’amour. Elle se rend compte que
dans ce jeu il y a quelque chose de nouveau pour elle qui ne correspond pas à l’amour qu’elle avait éprouvé
auparavant mais qui devient une sorte de religion.

Slide « c’est dans ces dispositions » : extrait qui met en scène le moment où on sort du réel pour vivre
quelque chose de sacré, pour s’abandonner à quelque chose de sacré. Cela se produit pour un geste, quelque
chose qui le déclenche et cela n’a pas d’importance où on se trouve car le monde devient un monde en 2 fait
de sensations.

Slide dopo : Elle était en train de vivre quelque chose de spirituel, d’englobant toute le monde qu’elle ne
pensait rien. « J’était demeurée incroyablement chaste » : les contraire qui se mettent. La provocation par
rapport à la morale courante, aux habitudes, aux visions. J’était chaste car j’ai suivi ce que je voulais.
Quand on vis des moments comme ça on est presque dans l’irréel, dans le rêve. Encore une fois l’évolution
des idées surréalistes qui mélangent rêve et réalité, mais alors que à l’époque surréaliste c’étaient les objets
qui provoquait l’interrogation que l’homme était très intellectuel, mais ici c’est l’acte en tant que tel qui m’a
conduit en dehors du monde, à vivre quelque chose comme si j’était dans un rêve.

Slide « L’abord du batiment de briques » : Villa des mystère, Pompéi, où il y a une salle qu’on définit
comme une salle des rituels d’initiation de la femme avant son premier rapport sexuel.
1 photo : femme qui commence à être préparée
2. L’épouvantée : celle qui a un grand voile qui est épouvantée de ce qu’elle voit par la suite
3. une femme agenouillée en train de couvrir un phallus et qui va être flagellée
C’est à ce rite que Lilar nous revoit en l’adaptant un peu à son discours.
Salon des mystère car on ne sait pas quand il va commencer ce rite d’initiation et dans les fresque quand
l’initiation se termine la femme embauche une dance et c’est une dance qui va conduire au-delà des sens et
donc c’est à travers la douleur qu’on arriva à l’extase. Elle prend cette description en mélangeant les idées.
Bordel : initiation avant la première nuit de noce, mais si on le lit différemment c’est une bordel et donc une
maison de crime.

Slide « oui, ces figures figées au mur » : elle est en train de reconstruire son parcours d’initiée à l’amours à
travers ce rapport avec Livio. Depuis le début elle a suivi ce rite important, qui à travers l’autre et la peu fait
arriver à la connaissance. Il faut passer par là si n veut véritablement aller au fond de l’homme, de l’âme, de
la connaissance de nous-mêmes.

Slide dopo : ce que Lilar écrit quand elle reprend son histoires dans le Moments Merveilleux
Il n’ y a pas un amour humain, terrain et un amour divin, il n’y a pas des division, l’amour est un seul e il
faut, en démarrant de l’amour humain, petit à petit apprendre aller vers le divin, l’extase, l’absolu.
Ce n’est pas l’acte qui compte mais le sentir à l’intérieur de cela et surtout le sentir par rapport à l’autre, la
compréhension mutuelle de l’autre. C’est un peu aussi reprendre encore une fois les idée de Simone de
Beauvoir quand elle essayé dans les idée et dans son vécu, de construire un rapport avec Sartre qui puisse
aller au delà du rapport physique pour être quelque chose de plus complet. Simone continue encore de
détacher le physique et le spirituel alors que Lilar dit que l’amour est un seul et pour arriver à l’amour divin
je doit faire une progression de connaissance en démarrant de l’amour humain.

Slide dopo : Livio l’entraine dans l’église, elle a vu et compris son rite d’initiation, ce qu’elle a vécu et elle a
pensé que c’était là l’amour sacral et Livio l’amène dans un lieu d’habitude considéré sacrée, l’église.
Choquante simultanéité d’un coté d’avoir compris ce parcours laïque d’initiation au sexe, de l’autre coté il
lui met les chapelet dans les mains.
Ce Livio qui apparait comme un don juan, qui n’apparait pas comme l’exemple de la morale catholique, il
est fortement lié à ce Principe féminin, à la vierge Marie, il croit être protégé mais c’est l’histoire qui fait ça,
c’est le temps.
Il y a donc quelque chose dans le spirituel de fondamental et là encore une fois il ne faut pas le séparer des
choses de la vie, qui peuvent être vu de l’extérieure, physique et parfois perçues de manière négative.

Slide dopo : C’est le fait de pénétrer les symboles, l’histoire, l’âme de quelqu'un. On voit ailleurs dans le
texte la différence entre une suédoise qui ne parvient pas, ne pourrait pas à parvenir à comprendre. Dans une
âtre partie du texte elle va parler de Swedenborg qui lui qui regarde à l’amour physique comme quelque
chose qui conduit à dieu donc qu’il y a quelque chose chez nous, mais il faut le ressortie. Comme pour dire
que les différences entre les cultures sont forgées par la société elles aussi, forgées par la pensée qui se fige
parce que nous pouvons tous vivre les choses de la même manière.

Le texte on a des termes « agenouillée, prosternée », qui reprennent les stéréotype de la servitude volontaire.
La femme est volontairement servile et Lilar reconnait cette tendance des femmes où d’elle-même, on ne
sait pas, elle essaye de dire qu’il faut le reconnaître pour savoir le maitriser car il y a une grande différence
entre le fait de vivre cette situation en se disant « je suis tenue à le faire, c’est comme ça qu’on fait, que c’est
le rapport à l’autre » et cela serait négatif, alors que si on le vit comme un rituel sacral, cela peut être
différent.

30/03/2020
La confession anonyme met en scène entre une pianiste suédoise, renommée, qui s’appelle Benvenuta et un
homme important, politique et qui a 60 ans. Cela donne plus de force au discours de Lilar, un discours sur
l’amour qui doit aller au de la de réalité, qui doit etre nouveau. Fait de crée un liaison, mettre ensemble le
désir physique et désir métaphysique. Texte qui approche plusieurs questions : est-ce que l’amour fou et
vraiment fou ou est-ce qu’il y a quelque chose de plus intime, d’incompréhensible aux autres que a société
peut définir fou mais qui ne l’ai pas. Elle dit que l’amour est un jeu, mais dans la mesure où quand on joue
on vit dans un monde autre, dans des illusions, dans des scènes différentes. On joue parce que on se cherche,
on se donne, on se refuse, on essaye de voir toute le réaction pour aller vers quelque chose qui rassemble un
idéal et qui touche le divin. Cet amour donc devient une sorte de cérémonie, typique du monde latin, du
passé. Mais l’homme doit assumer cela et chercher cette fusion.
Dans la confession anonyme finalement c’est la présentation d’une femme qui se rend à cet amour et à
l’homme, qui le suit et Lilar va dire que cette servitude volontaire est une constante de l’éros féminin, ça fait
partie du monde féminin et les scènes de Pompéi c’étaient des scène de prosternation et Lilar va dire que ce
n’est pas question de changer d’attitude mais question de comprendre et vivre différemment les choses. Il
faut essayer de vivre cela comme un rituel qui devient important.

Slide « entre l’amour humain et l’amour divin » : c’est une manière de voir l’amour qu’elle avait repris dans
le texte « j’avais lu sur ce visage… ».
« devant l’amour médiateur » (c’entra con platone ?): l’amour véritable c’est celui qui met ensemble corps et
âme. Dans une recherche de l’immortalité, comment peut on mettre ensemble corps, âme et immortalité ? il y
a les corps qui pose des problèmes et donc la recherche de la manière pour aller vers l’immortel ou vers dieu.
Donc la recherche de quelque chose que Platon va définir comme une sorte de diable, un médiateur entre le
ciel et la terre (12 :30), entre les immortels et le mortels. Lilar va reprendre ce discours dans les année 80
quand elle va répondre à Sartre et elle va recommencer cette discussion sur l’importance de l’amour
médiateur par rapport à Sartre qui voyait les choses complètement séparée. L’amour pour Lilar est
médiateur, est quelque chose que si on le vit comme quelque chose de sacré va nous conduire vers le divin.
Pour Lilar il y a un amour profane et parfois elle le défini raisonnable, qui est soumis à la société, aux autres,
aux situations et il y a un amour sacré qui ne tient pas en compte tous ce qui est autour de lui et qui ne vit que
pour lui. C’est apprentissage constante qui commence en vivant un amour à la limite profane pour aller de
plus en plus vers l’amour divin. Elle dans un autre texte « le couple » elle va définir ce que pour elle ce sont
les vrais amants ».

Slide « L’amour sacral et les vrais amants » : inutile de chercher à l’extérieur, c’est en nous qu’on a ce que
nous sentons, ce moment là et ce qu’on sent en ce moment là est quelque chose de sacrée.
L’amour est un mystère, il y a quelque chose de tellement important et profond dans l’amour, en connexion
avec dieu qu’il n’as pas d’importance ce que les autres disent car s’ils ne connaissent pas cela, il ne sont pas
en train de vivre que un caricature. C’est une caricature ce que d’habitude on a l’impression de vivre comme
amour. Le problème est ce qu’on ressent en soit, qui doit nous conduire vers quelque chose de mystique, que
prend le corps et l’âme au même temps. Et puis les vrais amants sont ceux qui savent reconnaitre le sacral
mais aussi il doivent avoir une pensée différente et philosophique.

Slide « confession anonyme pag 73 » : Milton e Swedenborg. Milton, le paradis perdu, le champs sacré de
l’amour, comme vision la plus sacrée. Amour aussi comme victoire intérieure, qui a quelque chose qui nous
conduite vers quelque chose de divin. Il n’ya rien de vulgaire dans les pages de Milton, mais vision céleste.
C’est Sw que souligne le plus dans le sens que la protagoniste est suédoise et elle se tourne vers un suédoise
qui a voulu la liaison entre amour et le mysticisme. Texte qui nous conduit vers cette vision mystique de
l’amour. L’homme pour Sw est grand mais il n’est qu’un petit parcelle d’un homme grand que le monde et
en train d’aller composer, comme si c’était un puzzle de petit parcelle, chacun apporte à cet homme
gigantesque une petite partie de soi. Idée qui elle reprend en melangeant différents idées pour arriver à l’idée
de l’androgène primitif que nous aspirons à recomposer dès ce monde. Idée de faire partie d’un tout, vers la
recomposition sur terre de quelque chose d’important.

On a besoin de quelque chose d’autre, de quelque chose qui puisse mettre ensemble le physique et le
métaphysique. Elle commence avec ses amants philosophiques. Elle ne les cite pas mais il semble qu’il
pense aux discours philosophique qu’on faisait au XV et XVI siècle. C’est la volonté de définir l’amour en
termes philosophiques.

Abravanel c’est un espagnol qui va devoir quitter son pays, à Rome il écrit en ébreu et en italien Dialoghi
d’amore, dans lequel le protagoniste Philon dit que Sophie éveille en lui amour et désir. Sophie répond que
cela n’est pas possible. De là une analyse sur l’amour, le bonheur pour arriver à dire eue «  l’amour qui se fait
pas la contemplation est imparfait dans ce monde… »vedi slide. Fuite vers le passé pour dire comme Lilar
dans sont texte elle fait référence à des théorie qui étaient très présentes dans le passé et elle dit souvent que
l’amour nouveau, nouvelle conception qu’on propose de l’amour, n’est pas nouvelle. Aller vers un union
corporelle et spirituelle.

Slide « L’amour raisonnable » - Le couple (essay). Lilar écrivaine qui represente les discussion qui se font en
opposition à d’autres vision de l’amour. Toute de duite après la guerre on a une écriture plus ou moins
d’avant-garde et une plus ou moins classique, il y a aussi des visions différentes par rapport à l’amour et
Lilar essaye de trouver une position à elle.
Pendant toute la première partie du siècle, idée que l’amour était fortement lié au mariage, on l’appelait
l’amour conjugale.
Elle est en train de dire pourquoi on est arrivé à la situation du XX siècle. Amour raisonnable c’est amour qui
te permet de vivre ensemble, qui mit ensemble une série d’éléments comme amitié, estime, confiance mais
cela n’est pas de l’amour.
C’est un amour raisonnable mais qui ne tien pas en compte l’amitié, la confiance, il prend ses sources plus
sur des questions économique que sur des questions sentimentales et ils veulent continuer une certaine
situation qui met l’homme en situation d’avoir plus d’avantages, privilèges, par rapport au mariage.

Slide dopo : elle met en discussion l’idée de c’est quoi un couple. Un couple n’est pas quelqu'un qui a trouvé
dans les formalité son existence, mais est représentée par ceux qui veulent être ensemble et ont envie de
rester ensemble longtemps.
Il y a quelque chose dans la femme qui la caractérise et ce n’est pas son physique. Elle met en discussion
l’existence qu’il y a quelque chose qui caractérise le féminin et cela ne veut pas dire qu’elle ne défend pas la
femme, sa volonté de s’affirmer et de sortir de certains schémas qui avaient caractérisé le monde jusqu’à ce
moment-là.

Slide « En défense de l’amour » : il y a toujours des cas, exceptions mais comme on est en train de discuter
l’amour raisonnable, on l’a mis en discussion en disant qu’il n’est pas important, on commence aussi à parler
de mort de l’amour contre lequel elle est en train de lutter. Dans la vision qu’elle propose les situations qui
se sont crées jusqu’à maintenant ont fait de l’amour une pauvre chose qui s’est vidé de sa force.
On liait l’amour au mariage et donc à une certaine conception de l’amour et tout ce qui était en dehors était
quelque chose qui ne voulait pas être pris en compte alors que au moment où on essaye de enlever ce lien
entre mariage et amour en prétendant qu’il y a un possibilité d’amour aussi en dehors du mariage, voilà que
ceux qui défendent le statut quo disent que c’est la mort de l’amour.
Si on enlève à l’amour la possibilité d’atteindre au divin, on enlève la partie la plus importante de ce
moment-là. On est dans une crise qu’on considère un crise de couple, de mariage mais de fait cela est le
résultat d’un crise plus grande, celle du sacré.

Slide « on voit l’optique que je me suis assignée » : l’amour totale dans toute ses facettes, c’est chacun qui
connait les sacrée de son rapport. Erotique nouvelle, inouïe, non pas parce qu’elle est différent du passé dans
les actes mais elle entièrement assumée, vécue d’0une manière différente, plus ressentie et libre.

Slide « vers l’androgyne » : elle parle de volonté d’union et d’aller vers l’androgyne, de reconstituer
l’indistinction perdue. Platon point de départ pour Lilar et sa théorie. Platon disait que l’homme et la femme
était fait de manière telle qu’ils étaient presque rond (plusieurs jambes), l’ensemble est rond. C’était des être
qui couraient très vite, fortes, indépendantes et à un certain moment dieu décide de trouver une solution au
fait que cette idée de force et indépendance les rendait irrespectueux vis-à-vis de la divinité. Donc il décide
de les couper en deux pour le rendre plus faible mais aussi plus nombreux et donc avoir plus de personnes
qui l’adorait. Ces deux moitiés se cherchent constamment. Lilar voit cette recherche d’une unité importante.
Il y a aussi au XX siècle la découverte des hormones, de ce qui va permettre de mieux définir du point de vue
physiologique les hommes et les femmes et existence de deux groupes différents. Quand Lilar écrit ce texte
on est déjà avancé mais on est en train d’approfondir la chose, de la discuter et donc idée d’unité originelle
prend pour elle une forme importante.

Slide « Vers l’androgyne » : dernières suggestion de Freud sont celles qu’il donne dans les années 40 de
l’importance de cette influence du féminin et masculin qui va être repris par Jung qui (’40-’50) va parler
d’animus et de anima donc il va au delà du sexe et de la phtisiologie et il dit que dans chacun de nous il y a
un partie de animus au masculin et de anima au féminin. Chacun doit gérer ces deux aspects qui sont
présents en chacun en mesure différente. La question du masculin et féminin pour Jung n’est pas seulement
quelque chose de physique, il y a quelque chose d’autre. Il y a un animus et anima, un sentir masculin et
féminin présent dans nous de manière de % différent. C’est là qui commence à jouer et qui devient une base
importante pour certains intellectuelle qui disent inutile de raisonner pour division stricte et Lilar va
interpréter cela comme la recherche de cette unité perdu, complémentaire dans l’autre.
Des sociologue parlent de la sexualité comme d’une nostalgie de la continuité perdue. Sorte de continument
revivre cette recherche de l’autre. Il y a le sexe mais il y a quelque chose qui n’est pas lié au sexe dans le
sens physique mais qui le complète. C’est pourquoi le mythe de l’androgyne c’est le mythe du coupe et du
retour au paradis. Androgyne met ensemble les deux parties séparés qui se recherchent mais au même temps
il représente un état paradisiaque dans lequel il y avait une complexitude, un ensemble qui était complet.

Slide « Cette conception de la sexualité » : c’est l’écart qui tend à se combler mais en deuxième plan tout le
reste même l’idée de quelque chose de plus vaste et cosmogonique. Elle dit qu’il y a une symbolique
importante, la symbolique que j’ai besoin de l’autre, que pour exister dans la façon la meilleure possible, je
doit récupérer cette moitié. Inutile de regarder à l’amour comme une expression seulement du désir ou
seulement de l’amitié, de l’estime, l’amour est quelque chose qui doit mettre ensemble les deux manière
forte et sans tenir en compte de ce qui se passe autour.

Slide « découverte des hormones » : on est dans la compréhension de quelque chose de nouveau qui est en
train de se définir scientifiquement et qu’elle essaye d’expliquer de manière philosophique et de manière
aussi métaphasique. Il y a quelque chose de pas tangible, plus important été le vrai amour comporte aussi
cette partie.

La confession anonyme et Hiroshima textes qui ont été utilisé comme base pour faire des films qui ont eu
beaucoup d’attention et succès. Toute de suite après la guerre le grand publique n’était plus passionné par
lire des romans car il y avait le cinéma qui était un moyen qui permettait de manière facile d’aller vers un
imaginaire, inventer histoires, il satisfaisait désir d’imaginaire du public. Il y a des œuvres littéraires reprises
au cinéma en collaboration avec l’écrivain. Benvenuta en partie, scénario Hiroshima écrite par M Duras.
Moment où littérature et cinéma voyagent ensemble.
Pourquoi ? une certaine renommée mais pas toujours, c’est le fait de travailler ensemble. Les question qu’on
se pose concernent plus l’aujourd’hui que ce moment-là où l’utilisation de l’image et la narration se
discutaient entre intellectuel, metteur en scène et écrivain (58 :00).

Quand on fait un film en démarrant d’une œuvre littéraire, de qui est la paternité  ? film qui ont donné une
grand notoriété à l’œuvre littéraire mais qui l’ont complètement effacée par la suite. A l’époque les écrivain
et metteurs en scène travaillent ensemble donc le film appartient au metteur en scène, texte à l’écrivain, il y a
là une co-paternité.
Question de la fidélité : pour Benvenuta le film n’est pas tout à fait fidèle, on met ensemble deux œuvre de
Lilar.

Slide « Benvenuta » : on comprend que les discours niveau que cette histoire d’amour comme d’autre, ce qui
intéresse c’est cette liturgie su sexe que Lilar n’approuvait pas totalement car ce n’était pas une liturgie du
sexe mais de l’amour mais terme de liturgie rend compte de la compréhension du profond du texte.

Slide dopo : ce n’est pas le premier film que Delvaux met en scène à partir de textes littéraux et cela souligne
la volonté de mettre ensemble texte et sa diffusion vers le grand public à travers le cinéma. Le texte littéraire
met en scène les éléments nouveaux de discussion et le cinéma rend ses idées au public.
Au même temps ce qui souligne aussi c’est le fait qu’on commence à donner au public la sensation de devoir
comprendre que le réel n’est pas seulement ce qu’on voit mais il y a une grand partie de notre imaginaire
dans ce que nous appelons « réel », notre façon de regarder les choses sont dans notre réalité et le cinéma va
mettre cela en jeu, il peut le faire de manière très frappante et le public va être souvent dérouté. D’un coté
c’est la volontè d’obliger le lecteur ou spectateur à réfléchir sur les choses et dire qu’on est en train de suivre
les mouvements de l’âme et l’âme n’a pas une logique.

Slide « Sans dévier un seul instant de la ligne » : [audio salta] Delvaux a repris ce que Lilar avait ressenti et
voulu reprendre dans sont texte.

Lide « les éléments surnaturels n’ont aucune place… » : présentation du film mais qui met en scène aussi
quelque chose qu’on trouve aussi dans le texte littéraire. C’est idée du réalisme magique, qui est un élément
qui entre en scène au début du siècle avec l’art d’abord qui peu être définie comme partie du
postimpressionnisme. C’est une volontè de représenter la volonté mettant en scène qu’elle a quelque chose
de particulier, de vivant en soit qu’on sait pas véritablement définir. On définit souvent le
postimpressionnisme comme réalisme magique, idée vues avec les surréaliste (de prolongation), c’est
construire l’objet en démarrant de son intériorité, voir les choses que l’objet peut me donner. Querelle
constante qu’aujourd0hui aussi on finit par le mettre en discussion constamment.
Réalité et imaginaire fusionne dans les années 50 et cinéma a joué un rôle importante pour faire comprendre
ce que la littérature essayait à démontrer avec plus des problème parce que le cinéma fonctionne par images
et le spectateur comme privilégié dans la conscience du protagoniste ne peut démêler le vrai de l’imaginaire
mais il le voit alors que en lisant le texte el dit ne pas comprendre. Le rôle du cinéma est important considéré
que ce réalisme magique est constamment repris, ce sont les grands écrivains que mettent cela en jeu
constamment et le cinéma va profiter de cela et trouver quelque chose d’important pour communiquer les
nouveauté et nouvelle façon de ressentir les choses.
Si je dis qu’il y a de l’imaginaire parce que quand je regarde un objet ou une situation ma vision est
différente de celle qu’on peut avoir une autre personne il y a quelque chose qui se passe dans mon cœur, tète,
âme, comme je peut faire pour représenter cela dans le cinéma quand je peut utiliser seulement des éléments
du réel.

Slide « réalisme magique » : vedi appunti su slide.


Slide « il fallut attendre six ans ». Mélanger les histoire dans le film, deux histoires séparé dans le film qui
pose le problème de l’existence d’un lien entre les choses qu’on sait pas véritablement définir, il y a des
éléments qui décident de notre vie et amour ? vedi slide appunti
Titre qui souligne le fait de mettre ensemble imaginaire et réel, le réel est la perception immédiate, construit
aussi avec ma perception.

Différence entre fantastique et réalisme magique : réalisme magique est plutôt une définition liée au
fantastique sud-américain arrivé en Europe dans les années 20 pour indiquer le mélange entre réel et
imaginaire. Fantastique : définitions différentes, à l’intérieur de ce que d’habitude on dit fantastique il a
aussi le merveilleux (pacte avec lecteur pour lequel je sait qu’on est en train de parler de quelque chose qui
‘existe pas comme diable, être, anges, il y a un pacte avec e lecteur), l’étrange (celui qui est plus près du
réalisme magique, construction d’un texte dans lequel le lecteur est mit à douter mais il trouve a solution à la
fin, le texte va lui suggère que l’histoire est dogué, il a rêvé, il trouve une solution), le fantastique pure (celui
qui fait une hésitation entre lecteur mais c’est pas trouver une solution). Réalisme magique près de l’étrange
mais.

Slide « l’éveil d’une conscience » : on cherche à éveiller les conscience pour créer quelque chose de
nouveau. Il y a un monde de confusion, je te le présente de manière telle que tu puisse retrouver quelque
chose de profond qui constitue ton je autrement tu est un assemblage d’éléments décidés par d’autre que tu
mélange avec ce que tu voudrais être, tu mélange en toi de la confusion mais je cherche à travers la littérature
et film à construire cela et je vais le faire aussi en te mettant face à un étranger (culture différent ou parce que
tu ne le connait pas).
Année 50,60 on essaye de réagir à cette déconstruction du couple qui est en train de se mettre en place.

31/03
Le rapport avec l’étranger commence à prendre appui depuis les années ’60. Un rapport avec l’étranger qui
est différent par rapport à une période précédente où l’étranger était celui qui marquait les différences.
C’était l’ennemie comme pendant la guerre mondiale. On commence à regarder à l’autre comme quelqu’un
qui peut me permettre de mieux me connaitre. Il va m’aider à construire un monde différent même s’il peut
être un parcours qui peut aussi être difficile. Les psychologues disent que quand on arrive à un moment où
l’autre entre de manière forte dans notre vie, ça correspond à un malais de la civilisation, du dans la grande
majorité des cas, au fait qu’il y a un désagrégation de structure, c’est-à-dire que la société change et
n’accepte plus des structures précédentes. Cette volonté de désagrégation apporte avec soi un nationaliste,
une défense de soi collective, dans le sens que la grande majorité va suivre ça.
Années ’60 ce sont les années centrales du XX siècle, ce sont les années des indépendances des colonies, fin
des années ’60 ce sont les années de changement et des grandes révolutions surtout économique. Dans la
période de grandes guerres il y a un texte qui met en scène toutes une série d’éléments de base qui mettent en
scène la désagrégations des structures, notamment la désagrégation de l’idée de famille et du couple et le
rapport avec l’autre au même temps. Il y a quelque chose d’importants qui se passe aux années ’50-’60.
Comme les structures deviennent faibles l’important c’est au fond de nous, ce qu’on ressent à l’intérieur de
nous et ce qu’on ressent étant universel, c’est le rapport à l’autre qui peut aider.
Donc il y a une sorte de recherche de comment pouvoir s’approcher, se connecter à l’autre, comment
partager des idées, émotions, comment dire quelque chose que parfois on ne parvient même pas à se dire. Il y
a une sorte de camera stagna (sas de non-conflit), endroit où les choses sont à l’abri de l’extérieur, il y a des
moment où on peut entrer en communication avec l’autre en cherchant à s’isoler. Cela permet de créer un
espace différent hors de la réalité, ou qui fait partie de notre réalité, un espace qui prend tout en compte,
c’est-à-dire, où tout est possible dans cet espace, je ne me donne pas des. (discours sur l’arabe, unir et
désunir au meme temps) ; c’est la recherche de quelque chose qui puisse me permettre d’arriver à la
possibilité d’attendre quelque chose de plus, le devin, qui ne fait pas partie de la matérialité de mon quotidien
donc les émotions entrent en jeu de manière très importants. Les émotions entrent don en jeu de manière très
forte et il le font à travers Marguerite Duras.
MARGUERITE DURAS
Ecrivaine qui regarde au cinéma et donc qui écrite de manière différent en ayant en tète une possibilité
filmique et écrivaine comme LILAR qui étant belge, elle appartenait au monde francophone et
germanophone, DURAS aussi appartient à ce monde plurilingue et pluriculturel.
Difficile de la classer, elle vit dans une époque où les intellectuels changent les choses, ceux qui veulent
changer les chose se rangent du coté du nouveau roman, mais son intrigue est claire. Elle-même elle dit « je
ne me classe pas ». Elle apporte quelque chose de nouveau dans son regard à l’histoire, l’histoire se construit
avec les personnages au fur et à mesure que les choses avancent. [Slide 31]
Quand on parle d’elle on peut retrouver des critiques parfois qui sont l’un différent de l’autre, qui ne vont pas
dans la même direction, c’est la complexité de la lecture de Duras.
« Ma vie est un film mal interprété ». C’est elle-même qui le dit. Ecrivain qui jeu un peu avec sa présence
dans les textes et les critiques se sont demandé beaucoup si les textes qu’elle écrit sont autobiographiques, s’i
s’agit de bio-fiction: il faut regarder au texte, il se rapport avec l’auteur.
Un autre critique demarre d’un frase de Duras qui dis « simplement moi, je suis peut-être une chambre
d’écho » : elle ne fait qu’enregistrer les choses qui se passent à l’extérieur. C’est l’écho de ce qu’on a, les
histoire pas seulement du monde, mais les histoires de son intérieure. Pour elle l’écrivain fait l’écho aux
autre. Il est évident que certaines répétitions marquent son écriture romanesque (la plupart de ses texte traite
le thème de l’impossibilité de l’amour et il sont peuple des protagonistes qui vont en quête d’un amour idéale
et don non-réalisable.).
L’amour et la mort sont partie de ses ouvres et aussi l’impossibilité d’une vie de couple; souvent l’amour est
coutuayé par la mort, la mort est présent, elle permet de vivre l’amour de manière importante. C’est un des
éléments importants du XX siècle, surtout dans la première partie de son existence, elle a due se confronter
avec deux guerres, donc la mort est constamment présent. Sont nombreux les écrivain qui ont opposé le
problème philosophique de quel est notre rapport à la mort et Duras l’associe avec l’amour. Est-ce que la
mort nous permet de vivre l’amour de manière importante ? D’autres vont dire que c’est le résultat d’une
passion inconfessable, que l’amour représente quelque chose qu’on peut pas dire dans la société où on vit
(rapport avec le désire qu’on a déjà vu). D’autre vont dire que c’est un dialogue sans épaisseur, dit de
manière non pas négative mais comme volonté de laisser libre le lecteur de donner un sens profond. Les
éléments obscurs sont suggérés mais on laisse que le lecteur le comprend.
Vedi slide Marguerite duras et l’ailleurs.
Duras et né en Cochinchine, elle dit « je suis créole », donc une sorte de métissage, comme si elle veut
souligner je suis d’ailleurs, de là-bas. Dans le cas spécifique elle a vécu dans un endroit où il y avait encore à
son époque une grande différence entre les européens et les indigènes. Il y avait des situations difficiles. Sa
famille l’a habituée à un regard différent à l’autre, un regard différent par rapport à l’époque. C’est la vision
d’une gamine qui habite à l’extérieur de la ville, où il n’ya pas des différence, où on vit tous ensemble. C’est
quelque chose d’importante, qui forme/maque la personne à travers une culture qui n’est pas la culture de la
famille. Et de ça devient la condamne à l’ailleurs. [Slide 36] C’est la vision de quelque chose d’obligatoire
qui n’est pas choisit. «  je serais écrivain » ce serà la ma façon de pouvoir raconter quelque chose, seul
l’écriture pourra rendre ce sentiment de séparation irrémédiable. On est déchiré de ce moment
d’éloignement, qu’on nous conduit vers ce que la famille considère la terre natale, mais qui ne fait pas partie
du monde de la petit fille. Ce sentiment de dépossession est le fondement de son écriture. Quand on est au
contact avec une autre culture, elle entre en nous, elle fait partie de nous, il y a certaines métaphores et
expressions qui entrent dans la façon de voir les choses : quelque chose qui nous forge, même
inconsciemment. Culture qui nous forge de la même manière que l’autre culture de base.
[Slide 37, De l’esprit de l’écrivaine…] Je regarde le monde de manière différent, et l’autre me considère
différent, je partage toutes les choses différentes, je fais partie de cela.

HIROSHIMA MON AMOUR, un texte écrit en collaboration. Le cadre dans lequel tous se joue et la
production/tournage d’un film sur la paix, un film franco-japonais. [Slide 38] un des comédiens qui doit
jouer dans ce film rencontre un architecte japonaise, ils ont une relations, ils sont à Hiroshima, donc il y a
une relation très étroite à la guerre et c’est un enjeu constant de passé et présent, un passé qui revient et qui
échappe au même temps, donc il y a un problème de rapport à la mémoire et au fait que parfois on essaye de
mettre en second plan, d’éloigner tout ce qui nous a fait du mal. Se sont des personnages anonyme, le texte
va les appeler elle et lui. But : je ne raconte pas l’histoire d’une personne, mais une histoire qui peut être
vécu par énormément de gens. Mais tous restent un peu vague, on ne sait rien de quand ils se rencontrent, de
quelle est la raison pour laquelle deux personnes se rencontrent, voir les endroits comme ils les voient. Un
autre élément important est la perte et la douleur. La possibilité de comprendre moi. On laisse au lecteur la
possibilité de voir les endroit comme il le veut sauf de endroit cité de manière plus précise (Hiroshima et
Neverre en France).
Autre élément important : la perte, la douleur et la compréhension de soi, la possibilité de voir qui on est et
ce que nous pouvons ressentir dans le rapport aux autres.
Le film est véritablement la transposition du texte. [Slide 4, Résumé et texte] Si on va faire un résumé du
film ou du texte, il y a peu de choses, put d’éléments, il y a un amour, une histoire du passé qui se passe
pendant la guerre, il y a la paix qui contrebalance la guerre et des scène d’une crudité forte. Cela pour
présenter cette horreur qui un film sur la paix ne peut pas éliminer.
Le metteur en scène décide d’enlever la partie en italique, l’importance la bombe atomique, pour montrer les
corps nu. On voit qu’ici le réalisateur n’a pas respecté l’écriture de Duras. Alors que Duras veut commencer
dans le texte par mettre la contraposition (typique dans la période de mettre en scène des contrapositions très
fortes), pour dire dire qu’ils font partie du même monde, de la même humanité ; le metteur en scène décide
de centraliser tout cela sur les corps nus et il va jouer sur ces corps, il met tous ensemble, des corps qui sont
les corps de deux amants mais qui sont brutalisés par l’explosion. La peau englobe et l’amour et Hiroshima :
tout est représenté ensemble. Peau qui dès le début englobe en elle et l’amour et la mort. Recherche de
quelque chose qui représente l’unité des contraires. Premières images du film et c’est ce que Duras
souhaitait : montrer la douleur à travers les images, c’est elle qui dit qu’elle est allé voir au musé tout ce qui
représentai Hiroshima, idée de voir les choses par al représentation d’elles.
Annexes du texte : Duras va expliquer dans ses annexe ce qu’elle veut, ce qu’elle entend, elle va faire deux
portraits : de japonais et de la française.
[Slide 43, portrait du japonais] Comme dans la femme et l’homme nu, c’est la mise en scène de l’autre avec
l’explication de l’autre, parce qu’il faut comprendre sa culture, ses attitudes, comment il est : ici c’est
l’inverse car l’autre est autre parce qu’il n’est pas moi. C’est une personne différent de mo, mais je ne dois
pas le comprendre, le fréquenter PARCE QU’il a une culture différente, là c’est une piège de l’exotisme
parce que si je le classe différemment, ça devient un racisme, même s’involontairement, mais ce la veut dire
« te est différent de moi » : donc la mise en scène de l’autre pour essayer de souligner le fait non pas qu’on
est différent mais qu’on est tous pareil même si on a des traits différents. Chaque homme et femme doit être
pris en compte pour lui-même. La porté profonde du film n’est pas une histoire d’amour entre un japonais et
une française mais la porté profonde est ailleurs (vedi dopo).
Il s’agit de stéréotypes (Monsieur Butterfly) : histoire qui relate d’une histoire vraie qui dates des années ’60,
histoire d’un occidental qui va en Indochine Monsier Butterfly c’est ici le lien avec Rossini et madame
Butterfly.
On parle de racisme involontaire : si je dis « ce type-là est japonais », je le classe comme quelqu’un qui est
différent de moi, et donc je commence à le regarder et l’examiner comme étant quelque chose qui ne
correspond pas à ce que je pense. Et pour la Duras ça devient un racisme involontaire, tu es en train de créer
une fracture entre les personnes en considérant tour simplement l’aspect qu’ils sont et donnant pour acquis
qu’à travers cela ils sont différent. En disant simplement « il est japonais, italien, français » on entre dans des
stéréotypes qui créent des fermetures. C’est involontaire parce que c’est quelque chose qui se perpétue, de
manière importante même si n’est pas volontaire.
Anti franco-japonais : elle dit je mets en scène un film sur la paix franco-japonais pour dire qu’il n’y a pas de
différences, c’est un film qui garde au-delà de cette différenciation franco-japonais autrement serait inutile de
le faire. Faire en sorte que ce film franco-japonais devient quelque chose qui représente tout le monde.
[Slide 44, pag 152] Le protagoniste est international : on va laisser les enjeux nationalistes. C’est quelqu’un
qui pour se trouver à son aise partout et qui capable d’écouter l’autre, être attentif aux messages même
implicites que l’autre lui donne. Elle d’insère dans le discours de l’époque qu’on a déjà vu : le rapport avec
une seule femme, l’amour conjugal, dans une structure fermée alors que il faut pouvoir vivre l’amour quand
il se présent. L’amour ne se mesure pas sur la durée, sur la construction qu’on fait d’une histoire d’amour,
mais l’amour peut être aussi un moment de rencontre, limité dans le temps, bien court, mais quelque chose
de vrai. C’est quelque chose qui lui arrive soudain, il n’a pas l’habitude de courir après les femmes, il a laissé
parler son cœur à un certain moment et qui a vécu ce qu’il ressentait.
Le portrait de la française fait toujours par M. Duras : [slide 45] le regard devient un élément fondamental
dans son œuvre, dans son plot. Le regard comme étant l’élément central de la vie de chacun. L’importance de
comment on voit les choses : c’est quelque chose qui va au-delà de nos action. L’amour la jette dans le
désordre de l’âme aussi à travers l’importance du regard, des autres vis-à-vis d’elle, car c’est à travers le
regard on peut exprimer ce qu’on a dans l’âme et on peut exprimer que quand on éprouve de l‘amour pour
quelqu'un on entre dans une mécanique qui n’est plus gérable (Stendal, considéré comme le maitre de
l’analyse de l’âme). On sous-entendant que ‘amour n’est pas une questions seulement physique, mais
l’amour comme le regard est une condensé biologique et culturelle. Elle est amoureuse de la’mour : elle est
attentif à ce qui se passe en elle.
Résumé pour comprendre ce portrait : pendant la guerre cette française a aimé un allemand. Ils se
rencontraient en cachette, mais un jour ils ont été découverts et l’allemand a été tué et elle a été tendu
d’abord et puis fermé par la famille et chassé et donc quand elle dit qu’elle a eu beaucoup d’occasion pour
mourir d’amour ce qu’elle n’est pas morte avec son amant à ce moment là, elle traine cette tristesse, ce mal
de vivre. Un sursitaire c’est quelqu’un qui n’est jamais prêt à vivre le présent. On voit la volonté de souligner
de ne considérait pas les contradictions comme étant l’une la contradiction de l’autre, le contraire sont en
relation: le contraires peut aller ensemble. Elle raconte l’histoire au japonais, cette histoire du passé, cet
amour pour l’allemand, une histoire qu’elle a perdu, car elle a été déshonoré, mais une histoire qui l’a
marqué pour sa vie, qui l’a faite comme elle est.
[Slide 47] c’est la capacité de vivre le passe, le récit, la narration du passé qui permet la verbalisation du
passé qui fait qu’elle peut aller vers ce nouvel homme. Se livrer cœur et âme ne signifie pas se donner
physiquement mais de se dévoiler complètement, en essayant de sortir de nous, ce qui nous caractérise, ce
qui nous a formé. En essayant de sortir de nous, de ce qui nous a formé pour se donner à l’autre
complètement. Prise de position par rapport au discours du mariage, selon elle le mariage n’est pas quelque
chose de défini par la société et le règle mais c’est définit par comment le personnes définissent et ressentent
le lien qu’il y a entre elles. A l’époque c’était une prise de position forte.
Ultime righe slide.  Elle lui donne la survivance, elle parvient avec la rencontre avec le japonais, à se
donner, à donner la chose la plus chère au monde, sa survivance, sa douleur profonde d’avoir raté quelque
chose, le fait qu’il y a quelque chose en toi qui a du survivre dans la douleur, dans la fatigue et umiliation qui
a troublé la force de le faire.
Ces sont des avant texte de la Duras qu’elle à écrit pour introduire son œuvre. [Slide 48] On se rencontre par
tout le monde : l’amour est bref : c’est l’idée de la femme anonyme et d’expliquer pourquoi elle ne donne
pas l’importance à la rencontre. Mais à ce qui se passe entre eux, comment ils vivent cela, quel est le résultat.
Banal de dire que cette rencontre a produit l’effet de passer une nuit ensemble ou qu’ils se sont aimé: cette
est pour elle la banalité de la rencontre mais l’intéressant est la psychologie de la rencontre en un japonais
selon la définition « national » mais qui est un homme avec des caractéristique qui on fait surgir à cette
femme des réaction. Cette connaissance a fait surgir en elle des choses qui portent à la liaison amoureuse.
[Slide 49, Synopsis 2] on ne veut pas définir les personnages, mais les situations, l’amour et l’agonie,
situations contradictoires mais qui peuvent aller ensemble. Ils sont là ils sont en train de vivre quelque chose
qui a en soi et l’amour et la mort. On n’a pas des personnes mais des personnalités, en effet ils restent
anonymes.
01/04
But : faire comprendre qu’il a une possibilité de communication, ce qu’on ressent est partagé, ne produit pas
des différence. Le but est de faire considérer au lecteur la vérité profonde et ne pas regarder à la superficie
des choses. On met en scène un homme qui parait décidé dans ses positions et une femme qui est sursitaire,
qui renvoie les choses à demain qui ne décide pas véritablement. C’est une rencontre fortuite de la quelle on
ne connait pas les modalités car l’important n’est pas comment le rencontre va se passer mais ce qu’il y a
après. Il y a l’œuvre de Duras mais le metteur en scène va dire à Duras de compléter l’ouvre avec une série
de description, qu’on a lu hier, pour construire les personnages. C’est une demande de la pat du metteur en
scène de construire les personnages, de décrire leur passé, leu intérieur, c’est la justification de ce qui se va
passer, tout ce qui leur précède et qui va les former.
Hiroshima est un élément historique important, on va faire un film pour souligner que la souffrance est la
même partout, pour démontrer que les guerres les persécutions construisent les identités personnelles, des
histoires personnelles. Parfois quand il est difficile de se comprendre et comprendre les situations, celui qui a
vécu les mêmes souffrances c’est celui avec qui on parvient le plus à interagir. On parvient comme ça à se
comprendre plus facilement. On trouve dans le texte des attitudes contestataires : 20 ans après la guerre les
gens n’ont pas envie de parler de ça, alors qu’on leur propose la violence, la dureté, mais on propose ce
problème que l’amour doit être vécu de manière profonde et que le couple ne doit pas etre vecu de manière
institutionnelle mais que c’est un couple parce qu’ils vivent en mêmes temps des sensations profondes qui
construisent des identités.
Les personnes n’ont pas envie de revivre ces souffrances, ici on va montrer un couple qui est formée par la
souffrance donc l’importance de la rencontre. Il y a quelque chose de positif que nous oblige à un regard
différent, si on voit des contraires on a la tendance à dire voilà c’est quelque chose que je ne partage pas,
alors qu’on doit nous habituer qu’il n’y a pas des différences mais des regards différents. Les différent nous
suscite donc, nous éveil, nous suscite des réflexion importantes.

IIGM : décision que les Américains vont prendre pour éliminer le Japon.
[Slide 51 Hiroshima 1945] Texte pour montrer la cruauté de la chose ; le film la donne de manière efficace.
La base de violence et de douleur est bien représentée.
Slide dopo -> Il y les guerres et le bombes qui sont loin de l’Europe mais au même temps en Europe il y a
une guerre vécu de manière aussi importante par sa famille, ce qui fait que Duras prend des positions fortes
contre les allemand et contre la politique en général car elle commence à entre très active dans le cadre du
parti communiste, mais il y a des incompréhension qui font qu’elle se détache petit à petit de la politique
active. Cela pour dire que c’est un texte qui prend des positions importantes de point de vue politique et de
l’évaluation de la société, et de comment il faudrait réagir. Elle a été très dure contre les Nazis et la position
de l’Allemagne. Elle a été un personnage public exprimant dans les années ’50 ses idées politiques. Dans ce
texte est important le rôle que la mémoire joue : elle est contre la guerre, elle veut souligner le passé, mais
elle veut souligner aussi le rôle de la mémoire. C’est qui se passe après la guerre c’est une volonté d’oubli,
une envie de recommencer à vivre sans se focaliser sur le passé. Il y a donc un problème des documents : on
commence à se détacher de la guerre et elle est quand même en nous, dans les sentiments, alors on va dire
que le problème c’est que dans les documents il n’y a pas des l’essentielle vérité : on connait les faits mais on
ne parvient pas à sentir vraiment les choses qui se sont passé 20 auparavant si on n’a pas vécu cela. On
parvient pas à sentir veritablement les choses. Primo Levi dans La memoria umana écrit la meme chose.
Qu’est ce qu’on fait de la mémoire ? du partage des choses ? [Slide 53]
Pimo Levi dit : attention à la mémoire car c’est quelque chose qu’on nourrit de manière positive car on
ajoute des choses mais on nourrit aussi en obligeant des choses. Cela touche aussi les protagonistes. Thpme
de la mémoire.
On a parlé de la politique, centrée sur la nationalité : idée d’appartenir à un group institutionnel. La Duras,
déjà pour son vécu sur deux Pays différents, est contraire à cette idée.
Slide « La question idéologique » : ce n’est pas qu’il ne faut avoir une patrie, mais il faut aimer aussi la
patrie des autres. Il ne faut pas qu’il y ait des différence entre nous et les autres. A chaque fois qu’elle parle
de ce concept de patrie qui est vécu à l’excès car on est pendant la guerre, elle va jouer de manière ironique
sur cela pour se moquer de qui pense qu’il y a une différence à défende. Elle cite l’honneur honneur ne
compte plus rien. Il faut laisser des gens libres. Amour qui se tourne come quelque chose de négatif car les
patries sont en guerre. Elle est contente d’avoir aimé, d’avoir aimé, patrie et honneur ne justifient rien, il faut
laisser les gens libre de s’aimer.
TEXTE : [Slide 55] lui-elle. Le début du ce texte. Intitulé de la slide parce que c’est intéressant de
commencer une œuvre littéraire pas seulement en medias res (on commence pesque à la moitié d’un
discours, il n’y a pas une introduction, on n’explique pas du début ) mais aussi on commence par nier
quelque chose, c’est une négation que vise la construction de quelque chose, l’idée de connaitre quelque
chose qui porte les personnages à vouloir discuter de quelque chose. C’est un contradictoire. L’homme
continue dans la répétition, Idée de dire tu as vu un hôpital mais tu ne sais pas ce qui s’est passé  : c’est pas
parce que t’as vu un bâtiment que tu peux dire que t’as vu quelque chose. C’est un décalage entre ce que
l’un ou l’autre prétend. Quand on dit « j’ai vu Hiroshima » on dit qu’on a vu la matérialité, mais Hiroshima
est le symbole de la douleur, donc on ne peut pas dire que on l’a vu.
Slide dopo  Face à lui qu’il dit « tu n’as rien vu », elle non seulement elle dit « j’ai vu », mais elle va dans
les détails pour confirmer quelle a raison de dire qu’elle a vu mais quand elle va dans les détails elle ne dit
rien si non s’appuyer sur la même chose à plusieurs reprises, donc il y a un jeu de la répétition comme si
répéter les mots peut lui donner plus de force. « et j’ai vu ce musée 4 fois ». Les objets, les matériaux sont
comme les documents, ont la même valeur : je ne comprends pas véritablement ce que signifie la bombe, ce
que signifie pour des femmes qui se réveillent sans cheveux. Ici commence un jeu qui va être présent dans
tout le texte : le mélange de la période et des choses. La protagoniste dit dans son explication « je sais que au
moment de la bombe il y a eu un chaleur épouvantable, et quand aujourd’hui je suis dans la place de la paix,
j’ai chaud. », c’est comme si j’était là eu moment de la bombe. Le présent se mélange au passé, elle dit cela
pour soutenir son discours, mais il continue en disant que non, elle n’a rien vu.
Beaucoup de référence au regard, on voit la volonté de souligner l’importance du regard. C’est ce qui permet
de mieux comprendre l’autre, d’entrer dans l’autre. On doit faire attention à comment le texte va utiliser la
vue, le regard. J’ai vu-Tu n’as pas vu – on donne une valence différente au regard. La Duras sort de la vision
traditionnelle, elle utilise le regard avec une façon particulière.
[Slide « Un regard en contre-courate] Rôle importante du regard : je maitrise tout, j’ai tout sous mes yeux. Le
regard montre la vision d’une société, si on pense au rôle de la femme, les femmes devaient avoir toujours
les yeux baissés autrement elle était provocante ou provocatrice, tandis que l’homme devait véritablement
regarder les choses. Mais Duras pour le problème en disant que cela est superficielle, que cela ne va pas
véritablement dans la profondeur des sensation « essayons de considérer le regard de manier différente » :
nous impose comment voir les choses et Duras va souligner la superficialité de ça et suggère un regard
profond, regarder de manière différente.
[Slide 59] Tout se joue sur le regard : les gens regardent de façon superficielle, ils ne comprennent pas, il ne
voient que la superficie des choses, de deux personnes qui s’embrassent de manière scandaleuses (selon
eux », alors que lui il est en train de vivre quelque chose de plus fort et importante, mais elle, qui comprend
l’importance de ce qu’elle lui a dit, elle ferme ses yeux et elle ne regarde pas, elle élimine les regard car c’est
quelque chose d’intérieur qui va lier par la suite, elle va dire je vais t’oublier parce que cet homme lui est
servi pur se rappeler de quelque chose du passé. Ce qu’elle met en évidence c’est qu’il y a un regard
superficiel, un regard qui permet de voir les choses de manière extérieure (comme els gens) et il y a le
regard, celui qui permet de comprendre la profondeur de l’être humain, le regard qui cherche à comprendre
pas l’attitude mais l’âme. Celui qui permet de comprendre les personnes et les consciences. Ils se regardent
sans se voir (fin du roman). On peut regarder de deux manière différentes, un extérieur et l’autre qui permet
de voir l’intériorité, là c’est quelque chose de rare.
[Slide « il se regardent sans se voir »] Pour souligner que le texte s’ouvre et se ferme sur l’importance du
regard : ce regard et cette action de voir prend forme dans la négation finale, ils se regardent sans se voir
pour toujours, parce que l’histoire est terminée. Ils ont aidé à la reconstrution de leur identité, ils on vecu un
moment ensemble pour revivre des moments importants du passé, qu’ils ne voulaient pas véritablement
savoir, qu’ils existent en nous et qui nous ont forgé. Finalement l’autre disparait et devient quelque chose de
symbolique. Ils se rapprochent à la ville : la ville devient ce qui m’a permet de récupérer quelque chose de
moi-même. Cette histoire de quelque jour a permis quelque chose de profond et important qui est la reprise et
la reconstruction de l’identité de la protagoniste.
On a vu qu’on joue sur le sens double du verbe voir et le regarde : ce double, cette présence constante de ces
deux vision, qui peuvent être contradictoires est constant dans le texte, le contraire est toujours présent. Il
sert à dire que quand on est surs de quelque chose, quand on possède une vérité, quand on a une idée de
definie, est-ce que ça correspond à quelque chose ? Est-ce que je suis toujours sincère ? ça veut dire quoi,
dire la vérité ?
[Slide « Les contraire : la vérité existe-t-elle ?] Il s’interroge, il est douteux, elle répond qu’elle ment et
quelle dit la vérité parque ce qu’elle dit elle le dit à un certain moment et peut être une vérité à ce moment là,
dans cette situation et avec ces personnes, mais aussi pas la vérité dans un autre moment. C’est l’ambiguïté
du personnage qui fait la différence, qui fait qu’en nous il y a toujours des contrastes importants. Concision
des expression que Duras utilise dès le début. C’est une façon de construire le texte pour permettre au lecteur
de s’interroger. On parle aussi de texte muet, qui ne va pas dans l’explication donc le lecteur a la possibilité
de comprendre ce langage condensé, qui va dire le moins possible. (Pour– Julia Kristeva c’est le langage de
la douleur, qui ne va pas dans le détails, un langage qui ne trouve pas ses mots, typique après la guerre,
quand on parvenait pas à dire véritablement la douleur). Duras veut que le lecteur s’interroges et qu’il se
donne des réponses.
[Slide « Tu mes tues »] Le contraires ensemble, dans un phrase très réduite. Dan un interview elle dit « il faut
distinguer… ». Il y a des dialogues qui tombent dans le silence : pas parce qu’il n’y a rien autour, amis parce
qu’il sont isolée en eux même, il n’y a pas toujours de réponse, afin de solliciter le lecteur et à gérer lui-
même les idées. Aspect central du texte est cela : la française lui raconte ce qui s’est passé pendant la guerre
à Nevers donc on change d’Hirochima et de cette guerre et on revient à la guerre en Europe. Page importante
parce qu’on a un mélange de vue. Elle parle d’elle-même à la troisième personne. Et puis elle entre dans le
discours de l’allemand qui lui dit « nous irons en Bavière ». Elle raconte son regard sur la place : il y a une
confusion de rôle et des personnages. Elle est là avec le japonais et le japonais devient l’allemand (tu n’est
pas mort). Elle mélange les personnes elle est en train de revenir en arrière et de parler avec ce jeune
allemand, elle devient racontable. C’est ce que Duras essaye de faire ça : raconter la guerre, non pas en tant
que guerre matérielle mais en tant de souffrance donc l’expérience personnelle devient collective. Une
souffrance qui va toucher le gout d’un amour impossible. Il y a des amour impossible qui sont déterminés par
la société, des institutions. Au même temps, au moment où on est capable de verbaliser, de raconter, la
mémoire va disparaitre « regarde comme je t’oublie » : la vie continue, j’ai absorbé cette histoire, j’ai été
capable de la verbaliser, verbaliser la honte, la douleur et donc une fois que j’ai verbalisé cela, cela disparait
en tant qu’ image mais il est en moi, il m’a formé. Il faut donc essayer de réfléchir sur les choses et le texte
le dit voilà la raison pour laquelle j’ai voulu ce texte, elle dit que les reconstructions ont été faite les plus
sérieusement possibles [Slide 64].
C’est toujours la mise en discussion : on ne peut pas faire d’autre que faire penser les autres, rendre les gens
pensifs, mais une fois qu’on l’ai fait, pourquoi tu pleur ? Tu pleur d’une idée, d’un vision ? Tu n’a pas vécu
cela. ( 01:09 :00)
Enjeux des espaces : Hiroshima très important, aussi dans le titre. Espace symbolique, l’histoire ne se
construise pas dans les rue d’Hiroshima. Les textes classiques décriraient plus précisément les espace, tandis
que les espaces ici sont ouverts, ils ne détermines pas l’histoire sinon de manière symbolique. Ils le font
parce que cette idée de mettre en scène la force de textes de Duras, est la cohérence. On a parlé des contraire,
du double rapport entre regarder, car on voit des univers parallèles. Le contraire port aux univers parallèles.
[Slide « Des univers parallèles »] Théorie de Einstein qui a beaucoup influencé la littératures des années 20,
entre les deux guerres elle a influencée le écrivains qui se sont tournés ver la fantastique et la science fiction.
Cette théorie a continué et donc ce doute qu’on ne connait qu’une petit parte de notre monde et existence se
traduit en littérature : comme un pourquoi définir une ligne pour vivre de manière simultanée, pourquoi des
contraires ne peuvent pas exister ensembles ?
Deux endroits, Hiroshima et Nerevs, deux univers complètement lointains qui font partir de deux pays
différents, mais qui d’une certaine manière sont ensemble.
Toujours duplicité qu’elle lui le parvient à comprendre. Ces parties du texte montrent la duplicité. Façon de
dire : je t’aime, de suis heureux avec sa femme mais il est avec elle, mois aussi je suis heureux d’être avec toi
mais j’aime mon mari. Moment de défilé, de protestation, mais on est seuls.
Voilà la construction constante en double, on a Hiroshima et Nevers, les images qui se fondent et confondent
entre: Hiroshima fait revivre un passé qui l’avait fait sortir de son existence, dans le sens qu’elle avait effaccé
les sentiments, donc elle a trouvé à H. la possibilité de trouver quelqu’un qui pouvait ressortir la même
douleur et de la partager avec quelqu’un qui pouvait la comprendre. Lui aussi il n’a rien vu du jeune
allemand mais il peut la comprendre, même si tout simplement pour l’aider à faire ressentir la douleur, faire
raconter cela et donc faire ne sorte que les images du passé peuvent devenir des images en non pas quelque
chose qu’on veut oublier. Les images du passé ne sont pas quelque chose qu’il faut oublier, et fuir. Il y a
quelque chose de plus dans la rencontre, elle est capable d’entrer dans quelque chose de plus dans sa
mémoire et elle est capable de la raconter.
Page 81 : ce n’est pas un hasard qu’on s’est rencontrés, tu a été capable d’entrer en quelque chose de plus qui
a permis que je suis capable de fait ressortir quelque chose de moi et me raconter.
Il y a trois possibilités que Duras donne au metteur en scène. Mais le contenu est le même. Ils parlent de sa
jeunesse parce qu’il est là le problème. On n’a risqué de ne pas le faire. Je suis allé vers ta jeunesse parce que
j’avais compris que c’était là qu’il y avait problème où c’était là que tu commençait à être comme tu est
aujourd’hui, donc la possibilité de cette rencontre. Texte qui est très profond dans la présentation de
personnage tout en etant un texte qui essaye de dire le moins possible dans un langage qui se réduit au
maximum.
6/04
Résumé de ce qu’on a déjà vu : il y a des choses qui évoluent à partir de la II gm et qui arrivent jusqu’à nous.
Dans les années ‘60 il y a une volonté de casser le rythme, de casser quelque chose de rigide dans la société,
dans les mœurs, dans la vision d’ensemble et cela se fait en mettant en évidence parfois la recherche d’une
unité et qui est prise petit à petit comme l’importance de l’ambivalence. Il y a deux parties différentes qui
cherchent à s’unir, à se compléter et d’interrogent, prennent conscience d’une ambivalence. Cela est
fondamentale et va mettre en discussion l’homme et sa façon d’être au mond.. L’autre chose importante qui
prend place c’est le regard à l’autre, qui devient un regard pour le connaitre e de se regarder soi-même de
l’autre côté. Pour prendre le discours des années ’60 on voit une série de dates qui concernes les
indépendances des colonie: c’est un moment très important pour ce que tout cela produit comme résultat de
point de vue de la pensée. Dans le 1960 (moment clé) beaucoup de pays africains gagnent l’indépendance,
Senghor va l’appeler l’année magique. Il y avait à l’époques des intellectuels africains qui ètait au parlement
à Paris. Il y avaient des connexions. Cela est le résultat de ce qui s’était passé pendant la II GM quand on a
inséré les africains dans la défende de la France en leur disant de combattre le racisme d’Hitler et une fois la
guerre terminé cette idée est restée.
1955 : moment où le pays colonisé se retrouvent en Indochine pour discuter ensemble. Il y a tout un
mouvement qui se fait à travers cet épisode politique et qui va changer les choses.
Ce changement produit l’attention à deux filières/directions: on va retrouver un changement important dans
l’analyse du couple dans certains textes qui met en avant le rôle de la femme et l’analyse du rapport non pas
à l’intérieur du mariage où quelque chose d’institutionnalisé, mais entre deux personnes. De l’utre coté
persiste l’analyse du couple dans le sens de analyser comment le couple peut vivre à l’intérieur d’un culture
différent ou bien comme deux cultures différentes peuvent avoir un ménage ensemble.
Première direction avec Orlanda, la deuxième avec Trois femmes puissantes.
Ce sont deux directions importantes qui sont en train de rester aujourd’hui même si la première, celle de
l’analyse du rapport entre deux personnes devient un peu plus faible et la seconde, du rôle des culture à
l’intérieur de la société devient un peu plus présente.
Première filière : l’analyse des rapports entre deux personnes, analyse du rapport à l’autre là où il y a une
volonté de compréhension de l’autre, lié à l’amour et simplement avec le désir de voir comment les choses
fonctionnent. C’est aussi la mise en discussion de cette guerre entre masculinité et féminilité, une guerre
théorique, des constrictions faites pour maintenir le mariage et qui avaient caractérisé le XX siècle. Freud qui
est un des grandes bases de ces discussions, avait souligné ces distinctions constantes en disant que le rapport
entre homme et femme était une enigma jamais résolu. Freud souligne comment la femme elle est formée
sans la possibilité en dehors de la possibilité d’analyser et s’analyser, analyser ce qu’elle ressent mais aussi
de ne pas le montrer. C’est donc une femme qui a des secrets et donc une narration fragmentaire. C’est ce qui
va caractériser les derniers décennies mais en valorisant cela : la fragmentation c’est parce que je parviens à
dire ce que je veut dire. Je ne cherche pas une logique, je cherche à faire ressentir ce que e suis en train
d’éprouver. La grande différence c’est que Freud va dire qu’il y a un rôle pour la femme, cette narration est
vue comme négative mais qui va caractériser l’écriture féminine. Ce qui va évoluer c’est ce rôle de la femme
à l’intérieur de la famille. Ce qui parait rester c’est cette narration fragmenté qui est vu par Freud de manière
négative mais qui va devenir quelque chose de caractérisant l’écriture féminine, de toute manière comme une
élément important car il souligne le fait qu’on dit ce qu’on ressent.
Freud disait qu’on habitue la femme à ne pas être présente, à ne pas parler et dire ce qu’elle ressent et donc
du fait d’avoir depuis longtemps habitué à cela, même quand on commence à lui dire qu’elle peut parler et
qu’elle peut essayer de parler, elle n’a pas l’habitude de parler de ce qu’elle ressent et donc la femme
propose une narration qui est fragmentaire, qui n’est pas complète. De cette vision négative mais importante
de cette vision d’un difficulté à parler, il en sort quelque chose de caractérisant non seulement la femme mais
une époque : la narration fragmentaire, la narration d’une chose non pas parce que je garde toujours une fil
logique, mais je parle en disant ce que je ressent en ce moment là. Manque de fil logique dans la narration,
qui se construit à travers le sentiment, ce que les personnages ressentent et non pas à travers une écriture.
Cela caractérise l’écriture féminine, si cela existe ? Peut être que non, il y a une façon de regarder les choses
qui concerne plus l’âme féminine (pas les femme) (vedi animus et anima de Yung). Ecriture féminine non
pas dans le sens d’écrite par les femmes, mais avec une sensibilité féminine qui est une sensibilité qui
caractérise cette âme, anima, comme l’a définie Yung ( ?).
Aussi il va y avoir une différence importante dans la représentation du désir, quelque chose qui traverse tout
le siècle. On ne retrouve pas véritablement un fil conducteur, les discussions sont nombreuses et aussi il y a
la mise en discussion de la psychologie, qui avait changé la vision de la société, du rapport entre homme et
femme, commence à être mise en doute. D’un coté on a Freud qui disait qu’il ne pouvait pas dire les chose
différemment, il constate les choses de manière rigoureuse, et de l’autre il y a Sartre, qui ajoute au discours
de F. l’émotion. Selon lui il y a quelque chose que F ne prend pas en compte, l’émotion (vedi slide).
Le psychologue ne va pas donner de l’importance à l’émotion. Cela c’est pour dire que c’est une période où
tout ce met en discussion, se mélange.
Année importante 1968, année de révolution, pas pour la prise du pouvoir politique, c’est une volonté de
changer la pensée, changer la façon d’approcher les choses, la manière de vivre qui veut dire la manière
d’écrire, le rapport au vécu. Lyotard va dire en 1969 « attention quand on considère le rapport avec le monde
il faut considérer aussi que le désir est en tout (même quand on parle d’économie ou politique), tout, la
motivation, le rapport aux autres, est centré dans le désir donc la subjectivité devient fondamentale. Désir au
centre de tout, considération du désir comme quelque chose qui est au centre de notre monde, donc si nous
changeons notre rapport au désir, nous changeons aussi notre rapport au monde. En prenant en compte que le
désir est au centre, nous pouvons changer les choses.
C’est l’ambivalence qui est au centre [Slide 8 Texte de Blanchot] texte qui donne l’idée de dire comment
faire pour changer les situations, et B. focalise sur le fait que l’homme est capable d’être satisfait, de voir
plus loin de ce qu’il atteint jusqu’à ce moment là. Comme si l’homme était arrivé à ne plus avoir désir de
rien, expérience limite. Cela oppose la vision d’un homme qui a déjà tout atteint. Aspect philosophique
important car il y a une évolution lente qui se fait dans des discussions qui résultent ambivalentes. Une
atmosphère révolutionnaire qui entre dans l’écriture de l’époque. Les écrivains qui mettent en scène le
rapport à l’autre dans des analyses ou situations sentimentales, ne vont pas véritablement suivre cette
subversion des règle, mais c’est quelque chose qui va quand-même conditionner cette époque. On va donc
retrouver quelque chose d’importante qui est la mémoire (Perec, écrivain qui essaye de nous faire
comprendre certaines éléments).
Slide « Le jeu de la mémoire » texte de Perec. Le problème du rapport que je peux avoir avec moi-même, de
ce que je dis et fait, bon il dit « j’écrit un texte sur moi mais même souvenir sont faux » cela fait partie de
cette opposition entre la vie, la règle du jeu que l’on se donne et le paroxysme et de la vie réelle. C’est le
rapport avec qui je suis, de quelle manière je me rapport à moi-même, est-ce quand je me vois dans mon
passe, est-ce que je me vois d’une manière univoque, de la même manière, ou est-ce que la narration que je
me fais des choses varie ? De quelle manière je me vois ? est ce que je me vois de manière univoque ? en
même moment où on commence à se mettre en discussion, à chercher à analyser l’homme et la femme,. On
met encore en discussion les règles de l’écriture de manière encore un peu plus forte on a vu dans les années
40, un début de cette mort de l’auteur, pour dire que c’est une période de révolution, on n’est pas
véritablement dans la subversion des règles, de pousser à l’extrême la force et le pouvoir de l’écriture, mais
on est dans cette atmosphère révolutionnaire, dans ce moment qui cherche à travers la pensée de changer les
choses.
Les choses évoluent de manière très lente, mais continuent et on arrive dans les années ’70-80  à discuter du
deuxième sexe de S. de Beauvoir. Quant il apparu, ce texte était en avance et dans les années 70il est repris
pour le mettre en discussion et c’est Susanne Lilar qui le fait.
Presque 20 ans après on va dire qu’elle a été au sommet de la gloire mais elle a paralysé sur son le discours
psychologue, sexologue. On a jamais essayé de comprendre véritablement jusqu’au but son discours. C’est
cette neutralisation des sexes qui ne pleut pas à Lilar et qui va produire des discussions à plusieurs niveaux.
Ce sont des textes entrés dans le milieu intellectuel, c’est un cahier de sociologie celui de Lilar.
Slide « encore des discussions » . La mise en discussion des femmes, comment réagissent elles, si elles
réagissent, c’est non pas la justification, mais les écrivains hommes ne présentent pas véritablement des
histoires du couple, il mettent en scène un couple mais c’est pour dire autres choses, pour analyser l’Europe ,
le rapport à l’autre et pas pour analyser les enjeux du couple ; les écrivains féminins mettent plus en scène le
couple, le rapport à l’autre dans un cadre de lien entre deux personnes, analysent les liens entre homme et
femme. Les femmes se mettent elles même en question. C’est un moment où ce qu’on avait vu naitre, prend
véritablement forme après la guerre, l’œuvre la plus en relief dans ce cadre c’est Le deuxième sexe. Vedi
slide dopo con diverse contraddizioni di De Beauvoir. C’est importante la différence temporelle, s’attacher à
regarder de près le texte de Simone et l’analyser dans toutes ses contradictions est du au fait qu’on le reprend
20 ans après. Le texte de B. est important parce qu’il arrive à une certaine époque, il pose certains problèmes.
Si on le regarde du point de vu d’une logique forte, il y a des mélanges que Lilar fait aussi, de mélanger le
coté philosophique et le coté plus vécu, mais il faut le prendre comme un texte inséré dans son époque et qui
a eu un impacte très impacte. On peut reconnaitre les rapports entre homme et nature une philosophie
sartrienne. On va focaliser le fait que les idées évoluent, les idées sont toujours là, on discute sur les mêmes
textes 20 ans après.
Vedi altra slide : Dans la rediscutions de tous ces théories, philosophique ou non, on arrive toujours souligner
de plus en plus cette possibilité de faire vivre ensemble les deux moitiés, de ne pas avoir une sexions nette,
mais que les deux moitié s’entrelacent. Susanne Lilard cherche aussi l’appui du point de vue médicale. Ce
qui reste c’est cette possibilité de deux parties de se compléter ensemble.

JACQUELINE HARPMANN – Les écrivains (hommes et femmes) qui vont analyser le couple ou le rapport
à l’autre en général ont des expériences multiculturelles, elle est belge. Elle a des moments où l’écriture
s’arrête et elle étudie et elle devient psychologiste. C’est une écriture classique, elle garde une structure
syntaxique assez classique mais elle propose dans tous les textes une analyse profonde des sentiments, de ce
qui conduit les hommes et les femmes à agir et elle met cela constamment en discussion. Texte  : Orlanda.
Pose de manière plus forte le thème du rapport à l’autre. Intéressant la référence avec Orlando de Virginia
Woolf . J.H. pour travailler à ses idées s’inspire à Virginia Woolf, très fragile pour nature psychologique.
Pour son époque elle est à l’avant-garde. Dans toute une série de discussions, la France était un peu plus en
arrière en ce qui concerne le thème du couple et de la femme, par rapport à l’Angleterre non pas en tant que
réflexions mais en tant que diffusion des discussion qu’on faisait. V.W va avoir un grand succès pour une
œuvre dans la quelle on trouve toute une série d’élément dont on est en train de parler à la fin du siècle. A la
fin du siècle quelque chose persiste dans le temps. Orlando c’est l’histoire de quelqu’un qui traverse le siècle,
parfois il s’endort et il se réveil dans le sexe opposé. C’est une sorte de biographie, d’une vision de ce que
V.W aurait souhaitait par rapport à sa compagne (la voir transforme en un homme), c’est un roman
introspectif, qui analyse ce que le protagoniste ressent.
Orlanda – résumé : protagoniste, 35 ans, professeur de littérature anglais, elle est en train de lire Orlando de
V. Woolf, texte plain de renvois littéraires, elle est en train d’attendre un train et en lisant ce texte elle rêve
de pouvoir pénétrer le corps et l’âme d’un garçon qui elle rencontre sur le train. Volonté de voir ce qui se
passe dans l’autre, non seulement pour voir ce que l’autre ressent mais surtout pour essayer de faire vivre la
partie masculine qu’elle a en elle, à travers cela elle réfléchit sur le fait que quand elle était gamine, elle
voulait faire les jeux des gamins et en grandissant à cause de la société elle avait supprimé cette partie
masculine et elle s’interroge sur cela en créant Orlanda et c’est Orlanda qui va vivre les expérience que Aline
aurait souhaité vivre. Il y a des personnages stéréotypés qui montre la société de l’époque à l’intérieure de
laquelle la protagoniste essaye construire un parcours de désirs différents.
C’est pour souligner qu’elle ne va pas décrire quelque chose de réel dans le corps mais qui est réel dans
l’esprit, c’est la pensé qui est mise en compte. Orlanda est le récit d’une transmutation étonnante : le fait de
pouvoir essayer de comprendre ce qui est refoulé en nous ; entrer dans l’autre pour pouvoir se comprendre,
donc cette partie masculine d’Aline prend possession du corps de Fabien et la conscience du sien sera écrasé
pour donner la vie à une autre créature qui est Orlanda. On va reprendre le discours animus-anima. L’anima
est la partie féminine dans l’homme qui se forme dans l’homme à travers son éducation, il rencontre des
femmes, avec les quelles il interagit, donc il absorbe quelque chose de cela, il peut l’absorber de façon
positive ou négative, mais l’anima c’est la partie qui est formé dans l’homme en contact avec les femmes. La
même chose pour animus dans la femme : partie masculine de la femme qui prend forme dans les rapports
avec les homme qu’elle rencontre dans la vie. Selon cette théorie en chacun de nous il y a cette double
composante et on aime l’autre quand on perçoit des similarité de son propre animus ou anima. C’est la base
de ce qui gère ce changement qui a opéré dans la deuxième moitié du XX siècle.
Slide « Orlanda, première journée d’une première époque », donc il ya une première époque très longue et
une seconde époque : à l’intérieure de ces époque il y a des premières journées. La scène inaugurale se
déroule à Paris. C’est la scène qui marque le début de quelque chose, nous on sait qu’il y a quelque chose qui
va commencer. D’un côté la première phrase nous dit qui on est en train de vivre une fiction, mais une
fiction réelle car nous dans des indication qui sont repérables (Paris, gare du nord, brasserie de l’Europe), un
fiction qui a des liens très forts avec le réel. L’utilisation d’un terme psychiatrique, pour nous dire que dans
la banalité du décors, il y a quelque chose que va se passer dans l’âme (terme psychiatrique).
Indication temporelle, indication de banalité du moment (elle mange un œuf) et aussi une protagoniste, Aline
Berger, qu’on nous présente comme quelqu’un de tranquille, dans le sens qu’elle ne fait pas quelque chose
d’extraordinaire mais au même temps anxieuse, elle organise son temps et son travail à l’avance. Il y a un
narrateur qui intervient et qui prend les distances du personnage. Description de quelqu’un qui est venu a
Paris pour étudier et faire des recherches, elle est toute plongée dans ce monde de la recherche. Elle lie et
relie le passage d’Orlando ou se passe la transformation. Là on trouve l’importance du passage de Virginia
Woolf dans lequel le personnage se réveil en ayant changé le sexe.

7/04
Orlanda – Les nom pourrait suggérer quelque chose dans les deux langues qui sont présentes dans le texte ,
les deux noms vont dire conduire, essayer de mettre en ordre. C’est ce que ce texte cherche a faire  : mettre de
l’ordre dans l’ame d’Aline, essayer de voir comment les choses avancent. Elle le fait s’inspirant de V.W.
L’auteur dira dans un interview que c’était un hommage à V. W car certains critique avaient parlé d’un
plagiat. Elle dit que ce n’es pas un. Elle nous présent un personnage qui a déjà 35 ans, qui enseigne qui est
présenté comme une sorte de recherche, habitué à réfléchir mais au moment où le texte commence, elle est
en fusion avec le texte qu’elle est en train de lire. Le texte s’ouvre avec cette citation en anglais dans laquelle
il y a l’apparition d’une de trois ladys qui avancent qui son la pureté, la charité et la modestie. Elle sont en
train de danser autour d’Orlando, qui est en trance, il y a des trompettes qui sonnent  : c’est le moment où il
arrive la vérité, lui il se réveil en étant femme. C’est la présentation de ce moment là, présentation que la
narratrice présent en anglais dans le texte.
Slide « et si on changeait de sexe’ » : Si on regarde le texte, la première partie est en troisième personne, la
protagoniste est présentée en 3ème personne et puis on va passer à l’on collectif : un discours qui est fait pas
seulement de la narratrice mais aussi de l’écrivain. C’est une entrée de la parte de la protagoniste dans un
discours qui avait été fait auparavant par non seulement par la narratrice mais la narratrice qui se pose en
écrivant. Aline qui est présentée à la 3ème personne et on va le voir dans le texte constamment qui se mélange
avec la narratrice. Là c’est le moment où Aline prend la parole et se pose le problème de changer de sexe et
abandonner une partie de sois, la partie la plus timide. Donc il y a une partie de moi qui en toi n’est pas à
l’aise. Idée non seulement d’aller connaitre la partie masculine mais démet cette partie là. La prise en
conscience de soi : il y a une partie de soi qui est mal à l’aise dans un corps de femme. C’est le désir d’être
un garçon, conscience de dire « là je serais vraiment capable d’aimer quelqu’un car je n’ai pas peur car c’est
aux filles qu’on apprend la pudeur et à ne pas ressentir ce qu’elles ont envie de ressentir ».
Slide « l’Amérique… » : l’inconnu est en face. Le problème c’est regarder à l’âme, sentir soi-même, ce
qu’on pense et qu’on ressent. C’est le moment dans le texte où on donne naissance à un double, cette
division des personnages va créer non pas seulement le double mais un triple dans le sens qu’il y aura aussi
Orlanda, donc l’androgyne. Les psychanalystes disent que ce moment du dédoublement c’est le moment du
désespoir, dans le quelle une certaine fragilité ressort pour essayer de résoudre un problème, pour le quel on
imagine, on crée un alter égo. « Tu » c’est la partie la moins courageuse de soi, la partie qui a été plus que
d’autre conditionnée. Il y a le monde autour de nous et il y a une partie de nous qui ne parvient pas à réagir à
ce que les autres nous imposent. C’est donc un « je » qui se met en discussion, qui se voit par rapport à des
désir, de souhaits qu’elle ressent.
La curiosité est la plus importante. Le sexe, ce n’est pas une question physique, anatomique, c’est quelque
chose qui concerne l’âme, ce qu’on ressent. Les opération sont opérations qui ne représentent pas le véritable
enjeux de l’esprit. Elles habillent d’une certaine manière le corps mais ce n’est pas à travers le physique que
le désir peut opérer. « Je » est un autre, et c’est un autre qui me fatigue.
CFR Lettre de Rimbaud, « e est un autre » renvoi évident à Rimbaud. C’est le premier manifeste de la poésie
moderne : dérèglement de tous les sens. Le poète moderne est un prévoyant. Le « je » est un autre : le « je »
est construit par les autres qui le forgent mais J.H va dire qu’elle aimait l’autre, il y a une multitude des
personnes qui me forgent et me forment mais ce « je » qui est forgé par les autres il me fatigue et je voudrais
bien le quitter.
Il n’y a pas une différence, mais dans la citation qui fait J.H, mise en italique, il y a un renvois à Rimbaud, à
son discours sur le dérèglement de tous les sens, mais en le reprenant. Rimbaud dit « je est un autre » donc
j’ai besoin d’un quelqu’un d’autre pour me comprendre, une sorte de miroir ≠ elle dit « je est mille autre »
dans le sens que ce n’est pas la personne que je choisi et je cherche, avec qui je discute, qui me renvoie à
mon image mais c’est une société, milles personnes qui me conditionnes et ce je qui accepte ces
conditionnement, me lasse ( ?). le lien c’est parce qu’elle renvoi à ce discours de Rimbaud, discours plutôt
intimiste de R « je me rapport à quelqu’un pour me connaitre », elle l’élargit en disant « c’est les milles
autres personnes avec qui je me rapporte, qui forment la société et qui conditionne ce je qui me fatigue et qui
ne me plait pas » :
Slide « Le garçon blond vient de commander… »Elle est attirée par ce personnage car il est fort même s’il
est mal tenu. Elle essaye de voir si elle peut faire quelque chose, si elle peut à travers lui arriver à quelque
chose. Construction du personnage masculin : c’est la partie masculine de Aline qui parle, la partie qu’elle a
ignorée. C’est pourquoi le texte garde ce masculin. C’est la partie masculine qui dit qu’elle est emprisonné
dans le corps d’un personnage de femme raisonnable, pour lequel TU a opté. Le « tu » c’est l’autre partie
d’elle-même, tu a opté, décidé de me suffoquer, de me laisser de coté et voilà que je suis emprisonné. Le
reproche c’est aussi de dire que tu considère que la personne que tu a construite est une personne naturelle.
C’est l’expression ‘un désir le plus profond, celui qui rend toute chose magnifique même s’il y a des
problèmes. Simplement le fait d’être dans un corps d’homme serait magnifique. Lui aussi il sera meilleure
avec moi. Elle lui apportera quelque chose qui lui manque. Le problème : c’est tellement magnifique être un
garçon qu’elle ne comprend pas pourquoi il est si triste, je vais essayer de comprendre, de voir pourquoi ce
désir qui est pour moi quelque chose de magnifique, à lui ne lui apporte pas de la splendeur. C’est la vision
de l’autre : moi je rêve d’être un garçon et j’ai en face de moi un garçon qui est triste, il a un trésor qui
devrait dépasser tout problème, mais ce n’est pas comme ça.
C’est le discours avec l’autre partie de soi, elle pense qu’elle va faire cela et ‘autre partie de soi qui dit que
cela n’a pas de sens. Cela rend Aline ennuyeuse et elle dit « La chose est décidée, je change ». La décision et
après le doute.
Slide : « Cela ne se peut pas , c’est incroyable ». C’est la description d’un rêve, l’impossible qui nous conduit
dans un monde autre, ou les différences n’existent pas où je peut vraiment sentir ce «  je » indissolu ( ?).
Reprise de l’unité, de cet ensemble de masculin et féminin : je peux le vivre, je sais que je suis. La seule
chose qui compte c’est la chose que je sais ce que je suis et ce que je suis en train de faire. C’est ma
détermination pour essayer de pouvoir ressentit, exister.
« Aline est là bas » : c’est le moment de la séparation, où ce dont elle avait rêvé ce réalise, ce qu’elle avait
proposé comme impossible. Aline est donc là bas et je suis ici. C’est le regard vers Aline, donc vers la partie
féminine de soi, une personne attentive, qui donne de l’importance à la santé, qui se rappelle de son enfance,
le père entre en scène et ce détachement du moi. Le moi est en face. Elle entre dans un autre qui n’oppose
pas d’opposition. Elle parvient à entrer dans un corps et dans une âme, sans que cette âme réagisse.
« je viens d’accomplir l’impossible » : les autre vont considérer cet impossible comme de la folie, mais c’est
la force de vouloir d’essayer le tout, de se jamais poser des obstacle, de jamais considérer une chose
impossible. Selon J.H en général on considère que des amants qui se trouvent en cachette, qui cherchent à
réagir à la société qui ne permet pas certaines choses de manière furtive, elle pensent de réaliser des choses
impossible, mais non, elle dit, ce n’est pas ça, c’est pas une question de braver le monde, d’aller contre la
forme, l’impossible c’est le fait d’essayer toujours de réaliser ce qu’on ressent. Ce n’est pas de réagir face à
ce que les autres imposent, mais c’est de réagir en fonction de ce dont j’ai envie de manière profonde.

Slide dopo : « c’est pire », mal tenu c’est quand même extérieure. Il y a toujours l’admiration, rien que par le
fait que l’autre est un homme, donc représente son désir le plus profonde depuis toujours. Elle commence à
vivre ce corps dans l’hésitation constante et à essayer de le comprendre et voir comment une femme réagit
dans le corps d’un homme. Elle commence à sentir qu’un corps vit (il est triste parce qu’il a mal à la tète), ce
n’est pas seulement réaliser ses désirs à elle, mais qu’il a sa vie à lui.
De fait je suis femme, je ne suis pas un homme voir que dans un homme, je suis quelqu’un qui est train
d’essayer de comprendre comment il réagit, vit, pense. Elle commence à voir que entrant dans un corps
d’homme il y a les deux aspects masculin et féminin, et il est ridicule quand il pense quelque chose de
différent. Le mélange n’est pas total : il y a une partie féminine et une partie masculine qui reste présente non
seulement mais aussi il y a une façon de voir les choses qui reste personnelle.

Slide « Je me lève ». Entre en scène le physique, le regard est fondamental, ce regard change les choses, et
donc si je suis plus ou moins grande la façon de voir les choses est différente. Pour elle c’est toujours le fait
d’avoir pu pénétrer ce corps qui reset la chose la plus importante. Il y a toujours un passage masculin
féminin, elle va vers la partie féminine de soi, celle qui a des médicamente, car elle est soucieuse de la santé,
le féminin retourne. Mes pensées de tout à l’heure ce sont les pensées de la partie qui avait décidé d’aller
vers le masculin, ce sont des pensés courageuses qui font peur à la partie féminine d’Aline, donc sont des
pensées qui la perturbent et elles fiat des efforts pour l’écarter. Quand on a cette partie de soi qui a envie de
se montrer et que on considère mauvaise, il faut de la concentration pour essayer de la repousser.
Constatation du fait que Aline a refoulé sa partie masculine, et toute sa volonté de réagir, de vivre une
certaine partie de soi. Je me reconnais dans l’attitude que Aline est en train de montrer, ce n’est qu’une
apparence pour se sentir aimée.

Slide « Elle lit ». Aline retourne à sa lecture de Woolf, Orlando. Barbey d’Aurevilly, auteur du XIX siècle
quelqu’un qui est fasciné par le crime et le bonheur dans le crime (le bonheur dans le crime c’est aussi le titre
d’un roman de J.H), c’est la présentation de la partie refoulée d’Aline qui ressort avec ses préférences de
lectures qui mettent en scène les désirs les plus profonds. A chaque fois cette présentation de la femme qui
décide de refouler une partie plus masculine, énergique, désireuse, forte, comme quelque chose de négative,
mais c’est la partie la plus vivante. « Je bien compris » parce que l’Aline qui est train de lire Orlando et qui a
des problème à comprendre ce texte, là, la partie masculine, il la comprendre (V.W).
C’est la femme qui entre dans un autre corps et qui commence à voir quelque chose d’horrible, c’est la
sensibilité de la femme qui sert à voir les deux parties. « Dans ma poche droite », donc la poche droite de
Lucien, celui dans lequel elle est entrée. Donc la description de l’extérieur d’Aline qui est jolie, elle devrait
plaire mais ce n’est pas comme ça que le choses se passent, parce qu’elle ne regarde pas les gens, elle n’est
pas présente, elle ne se rapporte pas aux autres, il ne voit non plus l’homme qui marche près d’elle.. Cette
partie qu’il a quitté, cette partie vivante, regarde tout, elle ne profite pas de fait qu’elle peut regarder les gens.
Elle reproduit dans l’homme la même situation d’Aline, quelqu’un qui refoule les choses. Il reproduit dans
l’homme la même situation que chez Aline, de quelqu’un qui refoule les sensation, alors que la partie
masculine d’Aline regarde cet homme avec intérêt. C’est la provocation que se soit du coté féminin ou
masculin, c’est la provocation qui rend les choses vivantes.
C’est une considération constante sur l’autre, analyse constante. L’expérience intéressante était de regarder
quelqu’un, de voir comment il était beau, de le suivre et le provoquer, c’était provoquant mais elle peut le
faire seulement maintenant qu’elle est dans le corps d’un homme. Aline, la partie qu’elle a quitté, elle pense
à son corps, sa santé, à être attractive, mais elle ne sait pas à quoi ça sert cette beauté qu’elle est en train de
cultiver. Mise en scène de comment on fait pas véritablement attention à qui on est, notre évaluation de nous
même n’est pas très objective et donc cette idée de ne jamais avoir des succès, de ne jamais intéresser les
autres, une fois que je le regarde de l’extérieur, les choses peuvent changer, il y a des regards sur la beauté
d’Aline qui se posent. Elle attire les hommes mais elle ne l’a même pas jamais vus. C’est une perception
d’Aline qui est différente de cele qu’elle avait d’elle-même quand elle était dans son corps.

Narrateur – c’est une constant de la part du narrateur et de l’écrivain de vouloir créer une illusion de ne pas
maitriser le texte, car en réalité c’est un texte très maitrisé : le rapport entre masculin et féminin est bien
maitrisé : si on démarre avec une Aline présentée à la 3 ème personne, pui il y a la 1ère personne qui entre et qui
dialogue avec son alter ego, (ou son ego de départ si on veut).
Dans le moment où elle décide de changer : c’est le dialogue entre celle qui est devenue Orlanda et entre
Aline dans la reconnaissance l’une de l’autre et le texte les met constamment en scène de cette manière-là.
Slide « Elle regarda passivement Orlanda » L’avoir réalisé l’impossible c’est grâce au fait de croire à l’âme.
Il y a tout un questionnement qui se fait tout au long du texte.
Il y a des choses qu’on peut pas explique, mais ce qu’il ya dans l’âme et dans la pensée sera toujours difficile
de l’expliquer.
Sylvie Vanbaleen – ce jeu de renvois constant qui se passent dans le texte c’est parce que c’est magnétique.
Ceci explique pourquoi Aline est peu à peut attiré par Orlanda, sans savoir pourquoi. Vedi slide. Importance
des mythes c’est quelque chose que dans la 2 ème partie du XX siècle revient souvent pour expliquer le rapport
à l’autres. Mythes qui sont fondamentaux. Discours Jung sur animus et anima. Les critiques vont vers
l’humoristique mais c’est plutôt le fait que le fait de l’unité es quelque chose qu’on veut plus considérer mais
qui devient important et elle le souligne d’une manière qui peut paraitre dans le discours du fantastique, mais
c’est plutôt la mise en scène de la puissance de l’âme et la force de la pensée.
Slide « Vers la compréhension d’Orlando » Finalement Alina croit comprendre les enjeux, toujours avec un
texte de la Woolf à les mains et elle reprend le texte. C’est le même moment du texte, au moment où Aline
pense avoir compris le texte n’est plus en anglais mais en français, le texte de Woolf est absorbé par la pensé
d’Aline, elle ne cite plus l’autre, elle intériorise. Il faut aller chercher car il y a quelque chose d’autre, on
réfléchit sur le fait que il y a quelque chose qui manque. Passage important, c’est le moment où Aline trouve
une réponse à ce moment du transe, du passage du fait qu’on est un garçon à une fille : elle dit que c’est
l’allégorie du passage de l’enfance à la puberté. Cette Aline masculine qui à un certain moment, le jour des
premières règles, ce jour là toute est allégorie du passage du moment de l’enfance à celui de la puberté.
Il faut considérer que J.H est une psychalaniste. Recherche de comment mettre ensemble le féminin et le
masculin. Harmand è molto dalla parte di Simone de Beauvoir, infatti influenza del Secondo sesso su
Orlanda. Deuxième sexe anche se ha contraddizioni ha ciblè il tema nel suo profondo.
Nella metà del XX secolo non tutto di riassume in termini di discussioni sul genere, ma c’è una filière che ha
scritto tanto su questo. Tra le due guerre, i due aspetti (avanguardia e discorso sul desiderio e genere) vanno
un po’ assieme, sono temi che troviamo nella scrittura classica e anche in quella di avanguardia. Dopo la
Seconda guerra mondiale (70,80,90) le due cose si dividono e queste discussioni di genere restano legate a
una scrittura più classica.
Fine del XX e inizio XXI la scrittura migrante è l’elemento nuovo nel discorso sulla coppia.

8/04
On peut faire des liens avec l’époque plus récente, avec JALLOUN [CFR slide 37]. Il y a des moments où
l’historie va très vite et ici l’imaginaire est utile pour continuer et c’est une façon de faire une sorte de
changement d’imaginaire en nous. On est en train de vivre un moment qui fait partie de l’histoire. Il y a les
deux introspections d’analyse et d’autre culture qui arrive : comment les autres cultures entrent dans la
littérature française ? l’italienne par exemple entre à travers la figure du père ; l’algérienne avec la famille.
Les autres cultures entrent de manière un peut différente. Si on pense à la culture italienne qui entre dans la
littérature francophone, elle entre beaucoup à travers le rôle du père plutôt qu’à travers le rôle du couple.
Cela est valable aussi en partie pour la littérature magrébine mais en générale on trouve dans ce mélange de
cultures une représentation du couple qui prend aussi en compte la famille.
JALLOUN : on parle de lui comme l’écrivain francophone comme l’écrivain le plus traduit et connu et parce
qu’on a beaucoup discuté de lui, considéré comme quelqu’un qui fait partie de la littérature française. Il
donne une représentation du monde magrébin qui a suscité des réactions. Il propose dans le bonheur
conjugale (texte de 2012), titre qui est une sorte de contraire de ce que le texte propose, où on dit que le
couple est un infère car homme et femme ont 2 visions complètement différentes et car il n’y a pas de place
dans le couple pour aimer. Cela produit 2 protagonistes dont l’homme considère la femme comme
responsable de ce qui lui arrive de négative et la femme a une grande haine pour l’homme. Se sont les
écrivain francophone qui introduisent cette analyse du couple en ante que telle, à l’intérieure du mariage,
qu’on avait perdu dans les années 70/80/90, quand on allait plus dans l’introspection, donc le rapport
personnel à l’autre. Le monde autour du couple institutionnelle. Il insère aussi le problème du famille plus
que duc couple et du père à l’intérieur de cela.
Thème : le rôle de la culture de l’autre ou des cultures différentes à l’intérieur du couple.
MARIAMA BA : Une si longue lettre, lettre d’une femme à une amie et Mariama Ba a le courage de parler
de polygamie. Mariama Ba vient d’une famille riche qui lui a permis d’étudier, son père a été ministre de la
santé au Sénégal, elle se marie, elle a 9 fils, elle divorce et elle commence à défendre les droit des femmes et
des épuise (andando) contre cette tradition de la polygamie.
Ils sont des textes qui attirent l’attention et qui posent des questions nouvelles à l’intérieur du panorama
français. Elle donne des tableaux de la vie africaine, ce que Fatou Diome va faire aussi et aussi Marie
Ndiaye. Difféence : la Ba est du Sénégal est vit au Sénégal, comme Fatou Diome qui vit en France mais elle
a fait toute une partie de sa vie au Sénégal, alor que Marie N’Diaye est née et elle a vécue en France.
Marie NDIAYE, mère française et père sénégalais, elle commence à écrire assez jeunes et avec Trois
femmes puissantes elle gagne le prix Goncourt, ça montre comment le public a été intéressé, prix qui
donnent une grande résonnance aux œuvres. Un autre texte de l’autrice est Papa doit manger – c’est une
pièce de 2003 qui est en répertoire fixe de le Comédie française et ça c’est très rare, car la Comédie française
travaille sur des textes classique, sur des texte qui sont considéré comme faisan t partie de la grande
littérature française. C’est l’histoire d’un couple mixte, le père est parti il y a 10 ans auparavant et la famille
s’inquiète et cela produit une série des discussion par rapport aux blancss et noir, Afrique et Europe. Cela
souligne une manque de dialogue. Les gens ne parviennent pas à se parler, ils arrivent à se parler seulement
si on parle d’argent. qui arrive seulement si on parle d’argent, c’est l’argent qui est le lien. Personnages assez
négatifs, sauf la mère qui est une personne qui a envie de comprendre et de mettre ensemble les chose.
Ndiaye est une écrivaine écoutée, suivie et qui pose souvent le problème de comment le couple fonctionne.

Le livre le plus dérangeant, où on analyse, on cherche à comprendre comment les choses fonctionnent entre
les personnes. Elle rejet l’étiquette d’écrivain francophone et métis. Beaucoup des débats, et de la part de
l’Europe et de la part de l’Afrique, non pas sur e fait si on est africain ou européen mais quelle est la
représentation qu’on donne. Elle se dit française, elle dit qu’elle n’a rien à faire avec l’Afrique, elle a un père
africain qui l’a quittée quand elle avait 1 ans, donc elle n’a jamais eu à faire avec elle, elle ne se considère
pas africaine, métisse ou francophone. Selon elle on peut pas définir écrivain africain celui qui n’écrit pas en
Afrique où qui publie en autre pays. Elle dit qu’elle n’a rien à faire avec l’Afrique.
Métisse ou africaine ? Je ne suis pas africaine. J’ai seulement le père sénégalais qui m’a abandonné. J’étais
élevée dans une culture française. Il n’est pas question de peaux ou de pays mais d’imaginaire, comment on
pense, on a été formé. C’est la présentation de trois femmes qui sont très fortes (article slide 48).
Ben Jalloun apporte la culture de leur pays, les écrivains qui ont des origines, mais qui sont française mais
qui apportent aussi des situation, et on a des écrivain mixtes (comme Diome) qui ont vécu un peu en Afrique
et un peut en Europe qui essayent d’apporter un regard nouveau.
Le thème est la force intérieure qui manifestent les femmes. Trois femmes qui mettent en scène le rapport
avec l’autre : Nora avec le père, Fanta avec le mari et Khady avec l’homme de sa famille et avec l’homme
avec lequel elle va faire un trajet pour arriver à essayer de prendre le bateau pour fuir le pays et arriver en
Italie ou Espagne, mais elle n’arrive pas à le faire.
Slide « étranger dans les regard des autre » : il n’est pas question de peau ou de pays mais il est question
d’imaginaire, comment on réagit au chose, comment on pense, comment on a été forgé.
C’est la présentation de 3 femmes qui sont fortes. Le premier conte parle d’une africaine habitant la France et
une africain habitant l’afrique ; le deuxième entre une africaine et une français et le troisième entre deux
africains. présent le lien avec le père qui lui s’adresse pou avoir aide.
C’est la condition humaine qui prime par rapport au discours du couple même si celui est très présent.
Nora : première protagoniste est une africaine qui vit en France, elle n’a jamais connu son père qui est partie
avec le frère, il est rentré au Sénégal et maintenant il a des problèmes et le fils aussi. Nora a paris est devenu
un avocat de succès, donc le père l’appelle pour avoir de l’aide. C’est à elle que le père s’adresse pour
résoudre le problème.
Le deuxième conte présente la vision de la part masculine, avec le mari. Fanta est rentré au ays après avoir
vécu en France avec un mari français qui n’est pas à son aise. Fanta l’aide a vivre en afrique.
Khady est celle qui pour faire le voyage va se prostituer pour donner l’argent à l’amine qui la considère très
peu du point de vue de personne mais qui en même temps pense constamment à elle et qui finalement quant
elle meurt il regrette un peu ce qu’il lui a fait.
Puissantes dans le sens qu’elles sont déterminantes pour la vie des autre mais il y a assi une autre série de
personnages féminine, la belle mère de khady, chassé après la morte de son marie, donc elle se retrouve
seule ; il y a la mère de Rudy, il y a une série des femmes qui réagissent (c’est la belle-mère de Khady qui la
chasse à la mort de son mari et donc qui détermine la vie de Khady par la suite et donc son parcours tragique.
Elle sont présentées comme soumises à un destin, et au même temps dans l’imaginaire, dans la construction
elles ont toutes un rôle (une avocat, une enseignante, une gérante ( ?) ),
Les critiques diquent que sont 3 femmes puissantes dans les sens qu’ elles ont défendu leur identité, mais elle
l’ont défendue en essayant d’être au service de l’autre, d’être indispensable à l’autre. En plus il n’y a pas une
famille derrière les trois femmes ; elles on du se créer elle-même, trouvé leur indépendance.
Article - L’affirmation de soi [Slide 52]. Elle dit qu’elle a été capable d’être elle-même devant à des
situations très difficiles, les situations difficiles permettent quand même l’affirmation de soi. Se sont des
femmes absolument qui parviennent à donner une affirmation de soi et la puissance en elles est non pas à
l’intérieur de la société mais c’est une puissance dans l’affirmation de ce qu’elles sont en tant que personnes
et femmes.
L’importance de cet élément qui nous met en scène des culture différentes. Aussi un élément important la
polygamie. Comment ressentir/évaluer/juger un texte que nous propose une culture différente ? faut-il la
critiquer, la comprendre ? C’est la grande discussion. Il y a des écrivains qui mettent en scène et qui forment
notre imaginaire et nous aident à essayer dans un partage de culture plus que dans l’évaluation qui est
toujours difficile de porter juges par rapport à des cultures différentes. Cette polygamie qui est construite sur
une structure sociale.
Fatou Diome : écrivaine qui va souligner ce problème lié à la polygamie dans un texte. Présentation d’elle-
même de Marianne porte plainte. Marianne c’est la France, sorte d’appel à la France pour dire que la France
qui a été capable d’avoir des écrivains tellement importants qui ont forgé la pensé en europe, elle doit
maintenant se plaindre de la situation vis-à-vis de la confluence des cultures différence. Elle se présente avec
la double provenance. Elle a dit qu’elle a subi une série des choses négatives quand elle est arrivée en
France, elle a été mal traitée, pour lesquelles il fallait voir en soi et en ce qu’on voulait pour parvenir à les
dépasser. Elle y est parvenue et elle s’cet établie en France. Elle dit donc qu’il faut lutter, que la défense est
présente dans le couple africain. Elle souligne le rôle de la religion, même si c’est plus la tradition, le rapport
aux familles, le fait d’être dans un système aussi économique qui rend les choses comme elle sont et qui
empêches les femmes de dire « je voudrais sortir de cette situation ». C’est n’es pas en imposant les choses
qu’on peut essayer de les changer, on discute, on laisse libre les gens de choisir en sachant que le temps et la
determination est la chose fondamentale. C’est un peut le discours de Diome quant elle dit qu’elle présent de
situation pour que le gens comprennent qu’il ay a d’autre façon de gérer la vie, de penser, de voir. Polygamie
comme lecture misogyne des textes religieux. Lecture et dénonce pour faire comprendre qu’il y a un autre
moyen de vivre. Essayer d’entrer dans la culture de l’autre pour voir comment les choses se construisent et
ne pas appliquer des évaluation occidentales sur des textes qui présentent une culture différent.
Geneviève DAMAS, Patricia – compréhension de comment la des couple d’origine culturelle se forme. Une
recherche de dire l’importance de l’amour, il y a des visions différentes mises en scène comme des
monologues, chacun dit sa vision des choses.
Tout cela pour essayer de dire qu’il faut toujours faire attention à l’autre même s’il n’y a pas des cultures
différence mais aussi à l’intérieur de la même culture l’attention l’autre est très importante. La chose la plus
difficile à évaluer dans ce texte à évaluer est qu’elle met tout cela dans la bipolarité, une maladie où il y a
une double personnalité qui parfois fait en sorte que ce qui fait l’une n’est pas dans la mémoire de l’autre
partie de la même personne. Tentative de dire qu’il y a des unités qui se cherchent, dans le masculin et
féminin qui se cherchent il y a une façon double de voir le chose, qui correspond à une maladie. Son idée est
de rester plus dans la vision sociale commune, c’est-à-dire que c’est une maladie de ne pas avoir de la
cohérence, de voir le chose parfois contradictoire, mais est-ce qu’il peut y avoir quelque chose de positif
dans cela ? Est-ce que l’amour peut justifier l’acceptation des choses contradictoires ? texte qui met en scène
une blanche et un noir avec toute une série d’élément qui peuvent causer des problème, qu’ils arrivent ou pas
à résoudre, toujours en soulignant l’importance du regard, qui veut dire l’importance de la compréhension
profonde de l’autre, essayer d’entrer dans l’autre pour voir quel est le mécanisme de la personne.
Donc si on regarde au parcours qu’on a fait, on avait démarré d’ une vision du couple règlementée par une
les lois, les habitudes, les traditions, par une série d’éléments qui déterminaient le couple et les personnes.
Epoque où on a commencé à étudier la femme et l’homme par la suite doc on a commencé à s’interroger sur
la puissance de l’esprit et de l’imaginaire. En même temps, parfois en cherchant une fuite, cette introspection
assez forte on a vu qu’il avait l’exotisme qui avait besoin d’explications, de souligner le fait que c’était un
rapport à une culture différente qu’on pouvait pas comprendre si on l’expliquait pas véritablement dans les
détails. Mais au même temps c’est le désire qui prend forme : la narration du désir, la prise en compte du
désir, un désir qui est et masculin et féminin, et qui prend de plus en plus place à traves aussi une affirmation
des femme qui prennent en compte le fait de s’analyser. Elle se retrouvent ainsi avec une certaine liberté ou
volonté de liberté, et cette liberté que produit-elle? Comment peut-on la gérer ? de quoi on a véritablement
envie ? cela devient une négation de l’exotisme dans le sens qu’on commence à dire qu’il n’y a pas des
différence. On va pas regarder l’autre comme un objet fascinant, l’autre est une personne et on doit
comprendre cet être, qui va expliquer une façon de vivre différent mais qu’on doit pas insérer dans des
stéréotype généraux qui doivent focaliser cette personne là.
Au meme temps que je cherche à comprendre l’autre, je vois en l’autre une sorte de miroir, et dans ce miroir
je me trouve, je retrouve certains aspects de moi. Voilà ma recherche d’unité avec la partie
masculine/féminine qui est en moi et que j’essaye de laisser émerger. Discours de l’importance de l’animus
et anima, de la reconnaissance aussi de cet aspect homosexuel qui chacun a en nous et donc ce rapport qui
prend de plus en plus de place et de rôle. Et puis l’insertion dans la littérature française d’ écrivains qui ce
n’est pas qu’ils veulent représenter une culture autre, mais qui sont eux-mêmes porteurs d’une culture
d’autre, ils écrivent un imaginaire différent au départ mais qui est en train d’entrer dans l’imaginaire collectif
général pour lesquels on ne fait plus des différent, on se dit que cela fait partie de notre monde, dans l’idée de
dire qu’on fait partie d’un seul imaginaire ? Non, il y a des imaginaire qui se forgent sur une culture
différente mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas la possibilité de se comprendre, de se fusionner, vivre
ensemble avec des imaginaires différents.
Donc la littérature est importante parce qu’elle nous ouvre des espaces où les imaginaires peuvent fusionner
sans problème dans l’attente que même dans la quotidienneté nous puissions vivre cette compréhension
fondamentale et importante de l’autre.

Analyse : idées portantes. Choisir un élément central dans l’ouvre, une filière et voir comment se développe.
E plus insérer l’ouvre dans le parcours qu’on a fait.

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