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Projet Tutoré
Intitulé
Soutenu le :……/……/2020
RHAZZAL Meryem
Membres de jury :
1
AVANT TOUT
Amine
2
Remerciement
a su nous encourager tout au long de nos cheminement, ainsi que pour la confiance
d’encadrement.
la matière chimie à la faculté des sciences de Rabat pour leurs efforts d’enrichir nos
Nous voudrions témoigner toute nos gratitudes aux membres de jury pour
Enfin, nous tenons à exprimer nos gratitudes à toutes les personnes qui nous
3
Dédicace
être à la hauteur de l'amour dont ils ne cessent de nous combler. Que dieu leur
À celle que nous aimons beaucoup et qui a nous soutenons tout le long de
projet notre sœur Fatima Zahra RHAZZAL qui nous aidé à effectuer ce travail.
À toute nos familles et nos amis et tous ceux qui ont contribué de près ou de
loin pour que ce projet soit possible, nous vous disons merci.
4
Sommaire
Liste de figures ........................................................................................................................................ 6
Liste des tableaux .................................................................................................................................... 7
Liste des abréviations .............................................................................................................................. 8
Introduction générale.............................................................................................................................. 9
CHAPITRE I : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE............................................................................................... 11
I-Classification et nomenclature des phosphates : ........................................................................... 12
I-1- Les oxyphosphates: ................................................................................................................. 12
I-2- Les monophosphates : ............................................................................................................ 13
I-3 – Les phosphates condensés: ................................................................................................... 13
II- Analyse bibliographique : .............................................................................................................. 19
II-1-Travaux antérieurs relatif aux études structurales : ............................................................... 19
II-2-Travaux antérieurs relatif aux études spectroscopiques : ...................................................... 26
Chapitre II : METHODE DE SYNTHESE ET TECHNIQUES EXPÉRIMENTALES ......................................... 27
I- Synthèse du pyrophosphate K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O (M=Ca, Mg) :............................................. 28
I-1 Produits de départ :.................................................................................................................. 28
I-2 Méthode de synthèse :............................................................................................................. 28
II- Techniques expérimentales : ........................................................................................................ 28
II-1 Matériel utilisé en synthèse : .................................................................................................. 28
II-2 Techniques spectroscopiques : ............................................................................................... 28
Chapitre III : Résultats et discussion .................................................................................................... 31
I- Etude par spectrscopie infrarouge des pyrophosphates acides K(NH4)M(H2P2O7)2.2H2O (M=Ca,
Mg) : .................................................................................................................................................. 32
I-1-Rappel de la structure : ............................................................................................................ 32
I-2-Interprétation des spectres d'absorption infrarouge des pyrophosphates acides
K(NH4)M(H2P2O7)2.2H2O (M=Ca, Mg) :........................................................................................... 32
I-3-Estimation de la valeur de l'angle POP dans les diphosphates K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O (M=Ca,
Mg) : .............................................................................................................................................. 37
Conclusion générale .............................................................................................................................. 38
Référence: ............................................................................................................................................. 39
5
Liste de figures
6
Liste des tableaux
7
Liste des abréviations
IR : infrarouge.
T : transmittance.
Pi : phosphate inorganique.
Réf. : références.
ʋ : vibration d’élongation.
𝝆 : rocking.
𝛅: déformation.
TF : très forte.
F : forte.
M : moyenne à forte.
m : moyenne à faible.
f : faible.
tf : très faible.
c : vitesse de la lumière.
L : large.
ep : épaulement.
8
Introduction générale
Son nom vient du grec phos et pherein signifiant respectivement lumière et porter. En effet,
le phosphore blanc émet de la lumière visible dans l'obscurité quand il est exposé à l’air. [1]
Le phosphore (P) est un élément qui est largement distribué dans la nature. Il est considéré,
avec l'azote (N) et le potassium (K), comme un constituant fondamental de la vie des plantes
et des animaux [2], c’est pour cela a plusieurs domaines d’applications multiples :
-On s'en sert aussi dans les feux d'artifice, les allumettes et les armes incendiaires. Il est
utilisé pour la production d'acier, de bronze et d'autres produits. On s'inquiète de
l'épuisement de ses ressources d'ici un siècle. Les roches phosphatées exploitables se
concentrent en peu d'endroits : Maroc (plus du tiers des réserves mondiales), Chine (un peu
plus du quart des réserves mondiales), Afrique du Sud, États-Unis.
- Sous forme de phosphate, le phosphore est essentiel à l'Homme car il est présent
dans l'ADN. Le phosphore est présent dans les cellules où il sert de support à l'énergie
(Adénosine triphosphate). [1]
9
o Le premier chapitre va inclure l’étude bibliographique sur les diphosphates
hydrogénés, nous donnons des généralités sur les composés phosphatés, la
classification et la nomenclature de ces matériaux, Ce chapitre contiendra également
des travaux antérieurs relatif aux études structurales et spectroscopique.
10
CHAPITRE I : ETUDE
BIBLIOGRAPHIQUE
11
Dans ce chapitre, nous rappelons brièvement la classification et nomenclature des
phosphates et nous présentons une analyse bibliographique relative aux études
effectuées par diffraction des rayons X et par spectroscopie infrarouge sur les
pyrophosphates acide de groupement H2P2O7.
12
I-2- Les monophosphates :
Les monophosphates ou sels dérivés de l’acide H3PO4, sont caractérisés par
une entité anionique très simple : un groupement (PO 4)3- isolé. Ces groupements
consistent en un atome de phosphore central entouré de quatre atomes d’oxygène
situés aux sommets d’un tétraèdre. Ces composés sont appelés aussi des
orthophosphates.
Les monophosphates sont les plus nombreux, non seulement parce qu'ils sont
les premiers qui’ ont été étudiés, mais aussi parce qu'ils sont les plus stables et les
seuls phosphates qui se trouvent dans la nature, leur structure est constituée de
tétraèdres [PO4] isolés les uns des autres (Figure 2).
13
i) Polyphosphates:
Le premier type de condensation correspond à une liaison linéaire
progressive, en partageant les sommets des tétraèdres [PO4], cette association
conduit à la formation de chaînes finies ou infinies. La formule générale de ces
anions est donnée par:
[PnO3n+1] (n+2)-
• Pour n=2, l'anion est [P2O7]4- et les phosphates correspondants sont appelés
"diphosphates".
• Pour n=4, l'anion est [P4O13]6- et ses composés sont appelés les
"tétraphosphates". Dans ces anions finis, l'atome de phosphore appartenant à un
tétraèdre situé à une extrémité de la chaîne est appelé "phosphore terminal", tandis
14
que l'appartenance à un tétraèdre situé à l'intérieur de la chaîne est appelé
"phosphore interne".
Lorsque n devient très grand, le rapport O/P tend vers 3 et l'anion peut être
décrit comme une chaîne infinie d’entités (PO3)nn-. Les phosphates correspondants
sont communément appelés polyphosphates à longue chaîne ou plus simplement
polyphosphates (Figure 5).
ii) Cyclophosphates :
Le deuxième type de condensation correspond à la formation des anions
cycliques toujours construit par un ensemble de tétraèdres [PO4] partageant les
sommets menant à la formule anionique suivante:
[PnO3n]n-
15
Ces cycles sont maintenant bien caractérisés pour n = 3, 4, 5, 6, 8, 9, 10 et
12. Les figures 6, 7 et 8 représentent quelques exemples des cyclophosphates. Les
sels correspondants ont été pendant longtemps appelés "métaphosphates".
Aujourd'hui, on utilise une autre terminologie plus descriptive:
16
Figure 8: Le cycle P12O36 dans Cs3V3P12O36 [13].
Tableau 1: Résumé de la nomenclature ancienne et actuelle des deux premiers types des
phosphates condensés.
17
(n = nombre d’atomes de phosphore dans l’entité anionique.)
iii) Ultraphosphates :
Dans les deux premiers types de condensation (Polyphosphates,
Cyclophosphates), chaque groupement PO43- ne partage pas plus de deux de ses
sommets avec les groupements voisins. Tandis que dans ce troisième type, les
groupements PO43- partagent trois de leurs sommets avec les groupements
adjacents. Ce type de condensation se produit dans tous les phosphates condensés
dont les entités anioniques sont plus riches en P2O5.
18
[P(n+2)O(3n+5)]n-
Figure 10: Représentation du ruban infini formé par l’anion [P7O20]5- tel qu’il a été observé
dans YCaP7O20 [15].
19
nous citerons les principaux travaux qui ont été réalisés jusqu’à présent sur les
pyrophosphates acides possédant les groupements (H2P2O7)2-.
Plus tard, les cristaux d’Ag2H2P2O7 ont été obtenus par Averbuch-Pouchot et
coll. ces cristaux ont été obtenus par l’addition de l’acide nitrique dilué à une solution
d’Ag4P2O7 [24]. Ces auteurs ont montré que Ag2H2P2O7 cristallise dans le système
orthorhombique de groupe d’espace Fddd et ils ont, par la suite, utilisé ce composé
comme produit de départ pour la préparation de nouveaux diphosphate hydrogéné
suivant la réaction :
20
Rb2H2P2O7.1/2H2O présente une structure orthorhombique avec Pnma comme
groupe d’espace [26].
- Les composés K2MII(H2P2O7)2.2H2O (MII= Ni, Zn) [36-38] cristallisent dans deux
systèmes différents de symétrie triclinique de groupe d’espace Pī (Ci1) Z=2 et
orthorhombique de groupe d’espace Pnma (D2h16), Z = 4 tandis que les diphosphates
K2MII(H2P2O7)2.2H2O (MII= Co, Cu, Mn [37, 39,40]), existent seulement sous forme
orthorhombique Pnma (D2h16), Z = 4. Les diphosphates M2IMg(H2P2O7)2.xH2O existent
21
sous forment triclinique Pī (Ci1) Z=1 pour (MI=K / x=2) [41] et monoclinique pour (MI=
Na / x=4) de groupe d’espace P21/m avec Z=8 [42].
(a, b et c en Å ; α, β et γ en °)
22
a=6.8554Å(8), b=7.3124Å(9), c=7.5610Å(9) [36]
K2Ni(H2P2O7).2H2O
Pī, 1 α= 81.012°(2), β= 72.301°(2), γ=83.691°(2)
23
Rb2Zn(H2P2O7)2·2H2O a = 6.9573Å(1), b =7.3615Å(1),
c=7.7938Å(1), α = 81.851°(1),
Pī, 1 [44]
β=70.622°(1), γ=86.263°(1)
a = 7.0030Å(2), b=7.4400Å(2),
(NH4)2Mn(H2P2O7)2.2H2O Pī, 1 c=7.8777Å(2), α= 804440°(11), [45]
β=71.3590°(13), γ=87.4080°(12)
24
(NH4)3HP2O7.H2O Pī, 2 a = 9.13Å, b= 6.33Å, c = 9.96Å, [57]
α= 115.4°, β=77,2°, γ=109.2°
25
II-2-Travaux antérieurs relatif aux études spectroscopiques :
26
Chapitre II : METHODE DE
SYNTHESE ET TECHNIQUES
EXPÉRIMENTALES
27
I- Synthèse du pyrophosphate K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O (M=Ca, Mg) :
I-1 Produits de départ :
28
II-2-1 Théorie de la spectroscopie Infrarouge :
Les spectres d'absorption infrarouge des échantillons étudiés ont été obtenus
à l'aide d'un spectromètre FT-IR Biorad, FTS-40A (Figure 11) dont la gamme de
-1
fréquence est comprise entre 4000 et 400 cm et les enregistrements ont été
effectués à température ambiante avec KBr comme référence, La résolution
-1
spectrale étant de l'ordre de 2 cm . Des pastilles de 0,1508g de masse, formées
d'un mélange solide homogène de la substance à analyser (0,53%) et de KBr, ont
été utilisées (soit 0,8 mg de l’échantillon dans 150 mg de l’élément dispersant le
KBr).
29
Figure 11: Principe de la spectroscopie infrarouge .
30
Chapitre III : Résultats et discussion
31
I- Etude par spectrscopie infrarouge des pyrophosphates acides
K(NH4)M(H2P2O7)2.2H2O (M=Ca, Mg) :
I-1-Rappel de la structure :
Les données des rayons X des deux pyrophosphates acides des alcalino-
terreux K(NH4)Ca(H2P2O7)2 .2H2O et K(NH4)Mg(H2P2O7)2 .2H2O [68] ont été
collectés à 293K sur des monocristaux irréguliers et incolores.
32
1-Vibrations des molécules H2O et de l’ion NH4+ :
Les vibrations de valence des molécules H2O et de l’ion NH4+ (υH2O et υNH4+)
sont situées dans le domaine spectral 3600-3000 cm-1. Les bandes de vibration de
déformation de H2O et de l’ion NH4+ (δH2O et δNH4+) sont observées dans la gamme
1800-1600 cm-1, nous dénombrons, pour le diphosphate de Ca, deux bandes situés
à 1698 et 1648 cm-1. Pour le diphosphate de Mg, la même vibration est située à
1758 cm-1 sous forme d’une bande large. La bande de vibration de déformation
caractéristique de l’ion NH4+ (δNH4+) est observée, pour le diphosphate de Ca, à
1428 cm-1. Cette même vibration observée, pour le diphosphate de Mg, à 1419 cm -1.
33
5-Vibrations de valence du pont POP :
Ces vibrations apparaissent dans le domaine de fréquence compris entre 975-
700cm-1. En effet, nous observons, pour le pyrophosphate acide de Ca, 3 bandes.
L’intense due au mode de valence antisymétrique du pont POP (ʋas POP) située à
948 cm-1, les 2 autres d’intensités moyennes sont assignées aux modes de valence
symétrique du pont POP (ʋs POP) situées à 758 et à 728 cm-1. Pour le
pyrophosphate acide de Mg nous observons 3 bandes. Deux plus intenses situées à
950 et 927 cm-1 dues aux modes de valence antisymétrique du pont POP (ʋas POP)
et la bande moyenne située à 730 cm-1est assignée au mode de valence symétrique
du pont POP (ʋs POP).
(ʋas POP) du pont POP, sur les spectres vibrationnels de ces deux composés,
montre que la configuration du pont POP est coudé.
34
433
Transmission(%)
630
758
728
606
2342
1306
2810
1342 1698
525 586 1648
556
998 3200
948 11021197 1428
425
Transmission(%)
603
730
468 840
484
517 1758
550 1040 1306 2360
927
950 1100 1230 2813 3080
3180
1019 1190 1419
35
Tableau 4: Attribution des fréquences observées en infrarouge et en Raman dans
K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O. (M=Ca, Mg).
36
I-3-Estimation de la valeur de l'angle POP dans les diphosphates
K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O (M=Ca, Mg) :
Sur les spectres vibrationnels des diphosphates K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O
(M=Ca, Mg), l'existence des bandes de valence symétrique (ʋs POP) et
antisymétriques (ʋas POP) du pont POP montre que la configuration de l'ion H2P2O72-
est coudée. On peut alors utiliser la relation de Lazarev :Δ= (υas– υs) / (υas+ υs)
[69] et la courbe établie par A. Rulmont et coll. [70] (Figure14), pour estimer la valeur
de l'angle POP dans les pyrophosphates K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O (M=Ca, Mg). Les
valeurs approximatives de l’angle POP dans ces composés sont données dans le
Tableau 4.
Tableau 5: les valeurs approximatives de l’angle POP dans K(NH4)M(H2P2O7)2 .2H2O (M=Ca,
Mg).
K(NH4)Ca(H2P2O7)2 .2H2O K(NH4)Mg(H2P2O7)2 .2H2O
as -1
υ POP (cm ) 948 950
s -1
υ POP (cm ) 728 730
100 Δ 13.126 13.095
POP(°) 136.2 136.1
Les valeurs calculées de l’angle POP sont en bon accord avec d’autres
diphosphates [71-76]. Ceci confirme que POP est coudée et donc la symétrie de
H2P2O7 est C2v.
37
Conclusion générale
38
Référence:
[1] http://www.abhatoo.net.ma/maalama-textuelle/developpement-economique-et-
social/developpement-economique/energie-et-mines/phosphates/recherche-
scientifique-autour-des-phosphates.
[2] http://www.fao.org/3/y5053f/y5053f05.htm.
[3] D. E.C Corbridge., Bull. Soc. Fr. Min. Crist., 94 (1971) 171-199.
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[8] M.T .averbuch – pouchot, J.C Guitel., Acta Crystallogr. B33 (1977) 1613-1615.
[9] K. H. Lii, Y, B .chen, C.C. Su, et S. L. Wang, J. Solid State chem. 82 (1989) 156-
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39
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Série II (1993) 187-192.
[29] E. H. Soumhi, I. Saadoune, A. Driss, T. Jouini, Eur. J. Solid State Inorg. Chem,
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M.;Fejfarova, K. Acta Cryst., C61(2005) i120-i124.
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Brahim El Bali. Acta crystallographica section E. E59 (2003) i50-i52.
[39] A. Alaoui Tahiri, R. Ouarsal, M. Lachkar, B. El Bali and M. Bolte., Acta Cryst.,
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40
[42] Marie-Thérèse Averbuch-Pouchot and André Durif., Eur.J. Solid State
Inorg.Chem., t.29 (1992) 191-198.
[43] Brahim El BaliI, Francesco Capitelli, Aziz Tahiri Alaoui, Mohammed Lachkar,
Ivan da Silva, Angel Alvarez-Larena, et Juan F. Piniella. Z. Kristallogr. 223 (2008)
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42