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de l’enseignement
andragogie, de la philosophie en seconde sous l’APC, de La philosophie en
terminales, de La dissertation et le commentaire en philosophie par l’exemple, il
participe à la formation des élèves-professeurs dans les écoles normales
d’enseignement supérieur.
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Déontologie : sens, enjeux et utilité
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Elle exclut tout rapprochement avec les
doctrines de partis, les statuts de syndicats, les
textes fondamentaux de groupes confessionnels
ou les règlements des administrations.
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soient les sentiments que chacun lui
inspire en particulier.
5. L’enseignant a le devoir de perfectionner
ses connaissances, sa didactique, les
pratiques pédagogiques et tout autre
procédé d’élaboration ou de transmission
du savoir.
6. L’enseignant ne doit pas présenter le
savoir comme un obstacle infranchissable
ou l’ignorance comme un état
irrémédiable. Il fondera la transmission
du savoir sur l’activité effective et la
démonstration tangible pour ne pas
risquer d’exclure ses apprenants par une
théorisation injustifiée.
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Ethique et l’agir de l’enseignant
__________________________________________
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Et c’est le but spécifique de l’éducation : la
formation harmonieuse, responsable, libre et
intégrale de la personne humaine ou son
développement plénier (Houédénou, 2017).
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des faits mal accomplis ou à accepter leurs
propres limites. Assumer les frustrations,
signifie respecter, endurer et supporter avec
patience quelques chose que nous ne
comprenons pas.
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La découverte de l’autre passe nécessairement
par la connaissance de soi, et, pour donner à
l’enfant et à l’adolescent une vision juste du
monde, l’éducation, qu’elle soit faite par la
famille, la communauté ou l’école, doit
d’abord lui faire découvrir qui il est. C’est
alors seulement qu’il pourra véritablement se
mettre à la place des autres pour comprendre
leurs réactions. Développer cette attitude
d’empathie à l’école est fécond pour les
comportements sociaux tout au long de la vie.
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Quelques qualités de l’enseignant
S’il est vrai que l’enseignant aujourd’hui est un
fonctionnaire d’Etat pour la plupart du temps, il
n’en demeure pas moins vrai qu’il exerce une
fonction exceptionnelle à cause de la tâche
d’éducateur qui lui a été confiée. Il a des
obligations particulières car, intervenant dans
un domaine du service social dont le but
fondamental est de promouvoir tout l’homme.
Selon Tsafak G. (1998), « l’avenir de l’élève
[l’étudiant] dépend pour une large part de l’éducation
reçue à l’école [l’université] » (p.48). Cela signifie
que l’influence exercée par l’enseignant exerce
sur les diverses facultés (intelligence, sensibilité,
sentiment, volonté, etc.) de l’apprenant est
considérable. Cette compréhension du métier
doit-être la même pour tous les enseignants
même ceux de l’enseignement supérieur. Ainsi,
toutes les catégories d’enseignants que compte
l’école aujourd’hui doivent avoir des qualités
qui faciliteraient l’accomplissement de leur
MISSION, car, en fait, être enseignant, c’est
devoir accomplir une mission.
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Mission de l’enseignant
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La conscience professionnelle
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Orientation de l’Education Nationale en
République du Bénin rectifiée par la loi 2005-33
du 06 octobre 2005 précise : « Les enseignants
doivent s’acquitter de leur mission avec conscience
professionnelle et efficacité » (article 67). Dans ses
alinéas 2 et 3, elle propose des sanctions : « Les
plus méritants sont récompensés par l’Etat et élevés
dans les divers ordres nationaux. Les enseignants qui
se révèlent défaillants dans l’exercice de leur fonction
et ceux coupables d’actes immoraux sont sanctionnés
conformément aux textes en vigueur». Car, la
conscience professionnelle prend sa source dans
le sentiment profond de la noblesse du rôle de
l’éducateur averti qui doit, avec courage,
s’acquitter régulièrement des multiples tâches
que commande l’exercice de sa mission qui lui
exige d’aimer les enfants comme le souhaite P.
Bertrand :
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n’abaisse pas l’homme ; il l’oblige
constamment au contraire à faire des
efforts pour atteindre un plus haut degré
de puissance éducative, il l’épure, l’exalte.
Il réussit bien plus souvent qu’on ne le
croit à faire de l’humble maître de l’école
un véritable artiste en son genre, c’est-à-
dire un pétrisseur d’âmes, un créateur de
caractères et d’individualités » (Traité de
législation scolaire, 1983, p. 157).
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Le sens social : se situer en tant qu’individu
dans un groupe et avoir conscience de ce
que l’on vit ;
Le respect de l’autre : prendre conscience
de l’autre en tant qu’individu, tenir
compte des besoins, écouter, … ;
L’adaptabilité : envisager les situations de
classe sous l’angle de l’apprenant et sous
celui de l’enseignant, accepter de se
remettre en cause et d’être remis en
question.
Les travaux de Paquay (1998, 2001) s’inscrivent
dans cette perspective et précisent six axes qui
convergent vers le cœur de l’identité
professionnelle du maître : être avant tout un
praticien réflexif capable d’apporter des
réponses inédites à des situations de classe ou
de vie scolaire mouvantes :
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Chercheur, qui est capable de remettre en
question ses pratiques et connaissances
pédagogiques en les actualisant ;
Instruit, c'est-à-dire qui dispose de la
culture générale la plus large possible
tant sur les plans humains, disciplinaires
que scientifiques ;
Personne humaine capable d’établir des
relations constructives avec l’ensemble des
membres de la communauté éducative ;
Pédagogue, qui a la capacité de
diagnostiquer et d’identifier les
difficultés et obstacles et de décider des
pratiques, les méthodes, les techniques et
stratégies les plus adéquates pour
conduire les situations d’apprentissage
ou résoudre les problèmes observés ;
Praticien, qui dispose des savoirs
accumulés lors de la formation initiale ou
continue. Voici la représentation de
l’enseignant dans l’exercice de sa
fonction.
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Personne
humaine
Maître
Chercheur
instruit
Praticien
réflexif
Praticien Acteur
social
Pédagogue
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Dans le domaine du savoir-être, l’enseignant est
essentiellement un « être-en-relation » avec les
apprenants, les collègues, les parents, la
hiérarchie, les différents milieux et organisations
gravitant dans et autour de l’école. Ces différents
univers, s’ils se côtoient, se méconnaissent et ne
se comprennent sans doute pas suffisamment. Si
les compétences relationnelles sous-entendent
l’instauration d’un climat favorable et propice
au dialogue, elles nécessitent également des
capacités à développer :
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professionnel pour le travail de qualité et
de réputation de l’établissement;
Avec les autres milieux gravitant autour
de l’école (dont les parents) : un dialogue
constructif favorisant l’ouverture de
l’école vers la société.
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Les devoirs de l’enseignant
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choix professionnels. Il doit également respecter
les normes de la profession et collaborer avec les
autorités éducatives. Ces dernières doivent
élaborer des codes et normes d’éthique et de
conduite de la profession. Pour Burke (1996)
également, l’enseignant doit assurer le service,
être présent à son poste de travail, assurer lui-
même les tâches qui lui sont confiées et répondre
devant ses supérieurs hiérarchiques de l’autorité
qui lui a été conférée et de l’exécution des ordres
qu’il a reçus. Il a l’obligation de servir l’Etat avec
loyauté et abnégation, respecter la hiérarchie du
fait qu’il a au-dessus de lui une autorité qui a
vocation pour le commander et lui donner des
ordres. Il doit également faire preuve de
discrétion professionnelle dans tout ce qui
concerne les faits et les informations dont il a
connaissance dans l’exercice de ses fonctions.
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pénalisés si on prend plus de temps pour les
mauvais ». On le voit, le débat ne se situe pas
d’abord sur le terrain pédagogique, mais éthique
: égalité et équité s’opposent comme deux
conceptions différentes et antagonistes de la
justice en matière d’éducation.
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fonction sociale et professionnelle de sa
discipline » (p. 1572). Autrement dit, il a le
devoir de ne plus être simplement un spécialiste
compétent dans son domaine, mais un citoyen
responsable et lucide, capable de situer celui-ci
dans un contexte global. C’est pourquoi « il sait
qu’il lui revient de poursuivre sa propre
formation tout au long de sa carrière » et
«actualiser ses connaissances et mener une
réflexion permanente sur ses pratiques
professionnelles » en vue de l’améliorer et de se
perfectionner.
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L’enseignant : un homme de culture
Un enseignant a rassemblé deux cent mille
francs CFA pour s’acheter les dix volumes de la
collection pédagogie pratique pour l’Afrique et ses
collègues se sont moqués de lui en disant : « toi,
tu construis ta maison en papier », une manière
de lui dire qu’il n’était pas opportun de
mobiliser une si forte somme pour ses livres
alors qu’il pouvait se procurer une parcelle avec
ladite somme. Cette ironie traduit le
comportement qu’adoptent présentement
certains enseignants qui font dos aux portes de
la culture générale et professionnelle.
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La loi d’orientation sur l’éducation du 10 juillet
1989 en France, en redéfinissant les finalités du
système éducatif, portait en germe une
modification profonde du statut de l’enseignant.
A côté des finalités traditionnelles comme
l’acquisition d’une culture générale, le
développement de la personnalité de l’élève ou
l’éducation à la citoyenneté, qui
s’accommodaient fort bien de la conception
charismatique analysée plus haut, deux finalités
nouvelles apparaissent.
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une parfaite maîtrise de soi, etc. Elles concernent
aussi et surtout sa relation avec les apprenants, à
leurs préoccupations, à leur milieu familial et
social, aux urgences entre lesquelles il est appelé
à trancher. Il ne lui suffit plus d’être
intellectuellement compétent et moralement
respectable, ni d’avoir une personnalité lui
conférant une « autorité naturelle » et un
«rayonnement exemplaire :». Il a également
l’obligation de posséder des capacités et
compétences relationnelles, disposer de
techniques de gestion et de résolution des
conflits, et surtout vouloir l’égalité non comme
un principe abstrait, mais comme un combat
quotidien nécessitant des outils et des méthodes.
Il en va de même pour l’insertion sociale et
professionnelle de l’apprenant. Dans la mesure
où il ne s’agit plus seulement d’une simple
socialisation (apprentissage des règles de base
de la vie en société) couronnée par une
éducation morale et civique, mais d’un accès à
l’autonomie dans toutes ses composantes -
intellectuelle, mais aussi économique, juridique,
-49-
politique, sociale, etc. Elle suppose que
l’enseignement ne se réduise pas à la
juxtaposition de disciplines ou de matières
définies comme les éléments d’une «culture
générale ». La société moderne étant en
évolution constante, elle implique pour
l’enseignant l’obligation de se tenir au courant
de ses évolutions, de ne pas les rejeter dans un
hautain mépris, de ne pas distinguer entre des
apprentissages «nobles» qui seraient de son
ressort et d’autres «subalternes» qu’on
abandonnerait aux familles ou aux
circonstances.
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L’enseignant : homme de la maîtrise de soi
L’enseignant a besoin d’une grande égalité
d’humeur. Pour ce faire, il doit se maîtriser
entièrement et éviter d’agir sous l’effet de la
colère car, « la colère est un aveu d’impuissance : on
ne règne sur les âmes que par le calme » (Traité de
législation scolaire, 1983, p. 158). La patience, la
prudence et la douceur sont alors des qualités
indispensables pour lui. Il essaie de créer dans la
classe ou dans l’amphithéâtre, un climat de
confiance qui favorise l’accès à l’acquisition des
connaissances et le développement des
compétences par tous.
-51-
aux autres des vertus que l’on ne pratiquerait
pas soi-même. Dans cette ligne, sa charge
d’éducation des apprenants l’oblige à éviter tout
harcèlement sexuel grâce à sa maîtrise de soi.
L’enseignant est d’abord un «modèle» en étant
exemple de valeurs qu’il veut que les élèves
apprennent. A ce titre, il enseigne moins par ce
qu’il dit que par ce qu’il fait, et en dernier ressort
par ce qu’il est car, il est impossible de
distinguer, dans le cas de l’enseignant, ce qui
renverrait à une déontologie professionnelle et
ce qui relève de la morale tout court. Car,
l’enseignement est peut-être le seul «métier» où
l’activité publique et vie privée, existence
professionnelle et personnelle se confondent et
se dissocient très difficilement.
Activé de recherche
-52-
La vie sociale de l’enseignant
L’enseignant est un homme public. Il doit être
courtois, correct et respectable. Il a l’obligation
alors de s’habiller correctement, d’avoir une
conduite irréprochable dans son milieu. En
République du Bénin, le problème est si
préoccupant que le ministre des enseignements
secondaire, technique et de la formation
professionnelle a été obligé de prendre une note
de service en interdisant aux enseignants de
porter des tenues peu recommandables pour
professer.
-53-
-54-
Avec cette note, espérons qu’on s’arrête
simplement à la notion qui explique toute
extravagance et toute malpropreté. La morale
professionnelle recommande une tenue propre
et correcte. Mais de grâce, une tenue correcte ne
signifie pas forcément une tenue française. Au-
delà de ce quiproquo, cette lettre vient à point
nommé d’autant plus que certains enseignants
s’habillent très mal et très souvent.
-55-
- tenue sale (surtout le col des habits déjà
portés, une journée entière) ;
- souliers avec du fer aux semelles ;
- pantalon sans sous-vêtement ;
- écouteurs dans les oreilles ;
- collier de rappeurs (grand et long) ;
-56-
Il doit éviter par exemple de se soûler et d’être
un débiteur insolvable. Il ne doit pas donner
dans le jeu des ambitions démesurées. Sa vie de
famille doit être un modèle (pas un troupeau de
femmes querelleuses, d’enfants mal nourris et
mal vêtus), s’il faisait le contraire, il porte
atteinte à sa propre honorabilité. Il est donc un
exemple vivant pour les écoliers, élèves ou
étudiants et le milieu.
-57-
pourront lui poser ses élèves qui le placent sur
un piédestal, qui ont une très haute idée de lui.
Sa responsabilité devant les élèves l’amène à se
garder de poser des actes qui soient en
contradiction avec sa mission. Il doit vivre ce
qu’il professe, c’est-à-dire qu’il doit être un
exemple, voire un modèle pour ses apprenants.
Rien n’est sans importance pour lui, même pas
sa tenue comme mentionné précédemment. A ce
sujet, Vaast (1985, p. 40) s’adresse aux
éducateurs en ses termes : « Vous n’êtes pas un
fonctionnaire très riche, hélas. Mais cela ne doit pas
vous empêcher d’être correctement et proprement
vêtu ». Par ailleurs, il souligne que : «[…] pas
d’attitudes nonchalantes, pas de cigarettes aux lèvres,
pas de mains dans les poches, pas de coiffures sur la
tête » (Vaast, 1985, p. 41).
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adopte au quotidien. Sa tenue, son langage, sa
conduite doivent à chaque instant manifester ce
qu’il prêche par l’exemple. Toujours pour
Hubert (p. 217), il faut que « l’enfant sente que
l’éducation s’identifie exactement avec la loi que
[l’enseignant] présente ». Dans ses comportements
de tous les jours, il doit refléter l’image d’une
personne admirable et respectueuse. Les actes
qu’il pose au quotidien doivent être en
congruence avec ses enseignements.
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dans l’évolution de l’humanité vers la paix, les
progrès sociaux et la compréhension mondiale.
-62-
Les facteurs d’attrait au métier d’enseignant
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primordiale dans l’éthique. Pour lui, « l’éthique
c’est, en effet, ce qui renvoie à ma responsabilité
propre, à la manière dont je suis capable d’offrir à
l’autre la possibilité d’une rencontre, le bonheur de
comprendre et la joie de savoir ». En d’autres
termes, l’éducateur a le devoir de susciter le
désir d’apprendre, le goût de l’effort et la
disponibilité à apprendre. En un mot, la réussite
de son métier dépend de l’engagement, de sa
capacité d’accueil des apprenants, de sa
compétence d’animation et de l’application de
l’éthique ainsi que de son grand sens de
responsabilité.
-64-
Enseignant : Un homme responsable
-65-
Enseignant : Un homme digne
-68-
CONCLUSION
-70-
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
-72-
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-78-
TABLE DES MATIERES
Avant-propos………………………………………3
Introduction………………………………………..5
Déontologie : sens, enjeux et utilité….…...…….. 6
Ethique…………………………………………….11
Quelques qualités de l’enseignant.......................17
Mission de l’enseignant………………………….18
La vocation professionnelle……………………..22
La conscience professionnelle…………………..24
Les devoirs de l’enseignant……………………..34
L’enseignant : un homme de culture…………...44
La maîtrise de soi…………………………………51
La vie sociale de l’enseignant…………………...53
Les facteurs d’attrait au métier d’enseignant….63
Enseignant : Un homme responsable ……….....65
Enseignant : Un homme digne……………….... 66
Conclusion………………………………………...69
Références bibliographiques…………………… 71
Table des matières………………………………..79
-79-
Dépôt légal : N° 10469 du 06 /07/2018
Bibliothèque Nationale du Bénin 3èmetrimestre
-80-