)
1. on calcule la différence A − B et on la met sous la forme d’un produit ou d’un quotient
û Polynômes du 1erdegré 2. on en fait un tableau de signes
−b 3. on déduit que sur un certain intervalle, A − B < 0 =⇒ A < B
−b x −∞ a
+∞
ax + b = 0 ⇐⇒ x = û Mes méthodes et formules (à compléter toi-même)
a ax + b signe de (−a) 0 signe de a
û Polynômes du 2nddegré
x −∞ +∞
Pas de racines dans R
p P (x) signe de a
<
0 z 1,2 = −b±i2a
−∆
∆
ax 2 + bx + c = 0
∆=0 x −∞ x0 +∞
∆ = b 2 − 4ac x 0 = −b
2a
∆> P (x) signe de a 0 signe de a
0
p
∆ x −∞ x1 x2 +∞
x 1,2 = −b±
2a
P (x) sig. a 0 sig. (−a) 0 sig. a
û Lecture graphique
a
• • •
Tangente en
a de coeff.
direct. f 0 (a) • f (a)
A
•
yB − y A
B f 0 (a) =
xB − x A
k 6= 0 k 6= 0
û Tableaux des dérivées et des primitives = 0± = ±∞ ± ∞ × ±∞ = ±∞
±∞ 0±
1 ∞ 0
xn nx n−1 xn x n+1 y = ln x
0×∞ (+∞) + (−∞) · · ·
n +1 ∞ 0
e0 = 1
• •
1 n 1 1 1
− n+1 , n 6= 1 − × En présence d’une FI, on peut développer, factoriser,
xn x xn n − 1 x n−1
• utiliser les "croissances comparées".
1 p 0 ln 1 = 0 ln e = 1
p 1 p 2 x û Croissances comparées :
x p x
2 x
1 ln x
1 ln x lim x n ln x = 0 lim =0
ln x x x→0+ x→+∞ x n
x
ex
1 ax+b lim x n ex = 0 lim = +∞
ex ex eax+b e x→−∞ x→+∞ x n
a
1 1 û Propriétés du logarithme Népérien et de l’exponentielle :
ku ku 0 ln(ax + b)
ax + b a ln ab = ln a + ln b ln a n = n ln a 1
ln = − ln b
1 ea+b = ea × eb (ea )n = ena b
un nu 0 u n−1 cos(ax + b) sin(ax + b)
a a p 1 ln ex = x
ln = ln a − ln b ln a = ln a
1 b 2
uv u 0 v + uv 0 sin(ax + b) − cos(ax + b) ea 1 eln x = x
a ea−b = e−a = a
eb e
1 −u 0
1
u u2 u0un u n+1 û Interprétation graphique des limites :
n +1
u u 0 v − uv 0 lim f (x) = ` =⇒ C f admet en ±∞ une asymptote horizontale d’équation y = `.
u0 1 1 x→±∞
v v2 , n 6= 1 − × lim f (x) = ±∞ =⇒ C f admet une asymptote verticale d’équation x = a.
un n − 1 u n−1 x→a
p u0 u0
u p ln u û Étude de position : û Équation de la tangente en a :
2 u u Pour étudier la position de C f par rapport à Cg , on
u0 étudie le signe de f (x) − g (x). y = f 0 (a)(x − a) + f (a)
ln u u0 p
u p 2 u
u
û Calcul d’une aire à partir d’une intégrale :
eu u 0 eu u 0 eu eu Cf Z b
A= f (x)dx Cg
a
A Z b
cos u −u 0 sin u u 0 cos u sin u A= ( f (x) − g (x))dx
Z b a
A 1
Vm = f (x)dx Cf
b−a a
sin u u 0 cos u u 0 sin u − cos u a b a b
~
v
6 6
û Argument de z : • •
1
2
arg (z)
x Adj
cos θ = |z| = Hyp
O ~
u x arg (z) = θ + 2kπ (k ∈ Z) avec
y Opp
arg (z) = − arg (z) sin θ =
=
|z| Hyp
¯ ¯ z¯ =
¯ |
û Écritures possibles de z : π• p p p p •0
− 12 O 1
z
− 23 − 22 2 3
|
2 2 2
z = x + iy (forme algébrique)
−y •
N (z) = |z|(cos θ + i sin θ) (forme trigonométrique)
x = αt + α0 t 0 + x A
x = αt + x A
v~1
(P1 ) −
u→ −→ − →
(
u~1
P : ax + b y + cz + d = 0 y = βt + β0 t 0 + y A y = βt + y A 1 , u 2 , v 2 coplanaires
(P 1 ) (P 2 ) ⇐⇒ −
d = −ax A − b y A − cz A v→, − u→, − v→ coplanaires
z = γt + γ0 t 0 + z A z = γt + z A
v~2 1 2 2
(P2 ) u~2
û On vérifie qu’un point ap- û On vérifie qu’un point appar- û On vérifie qu’un point appar-
partient au plan en rempla- tient au plan en remplaçant x, y tient à la droite en remplaçant x, y
çant x, y et z par les coordon- et z par les coordonnées du point et z par les coordonnées du point
nées du point puis en résolvant le système d’in- puis en résolvant le système d’in- n~2
û On trouve un point du plan connues t et t 0 connue t (P 1 ) ⊥ (P 2 ) ⇐⇒ −
n→ −
→
n~1
1 ⊥ n2
en affectant à deux variables û On trouve un point du plan en û On trouve un point de la droite (P1 )
des valeurs quelconques et en affectant à t et à t 0 des valeurs en affectant à t une valeur quel- (P2 )
déterminant la troisième quelconques conque
• ~
u et ~
v colinéaires ⇐⇒ il existe un réel k tel que ~ u = k~
v
0
x x
n~2
• ~
u et ~
v orthogonaux ⇐⇒ ~ v = 0 ⇐⇒ y . y 0 = 0 ⇐⇒ xx 0 + y y 0 + zz 0 = 0
u .~
v~1 (P 1 ) ⊥ (P 2 ) ⇐⇒ −
n→ −
→ − →
2 , u 1 , v 1 coplanaires
z z0
(P1 ) u~1
• ~
u, ~ ~ coplanaires ⇐⇒ il existe deux réels α et β tel que w
v et w ~ = α~
u + β~
v (P2 )
~n
x = ...
(P ) ⊥ (D) ⇐⇒ →
−
n et →
−
v colinéaires
y = . . . Équations de (D1 )
(P)
z = ... Pensez à distinguer les paramètres de
• Droite ∩ Droite : B
x = ... chaque représentation
(D 1 ) v~1
(D1 ) (D2 ) ⇐⇒ −
v→ −
→
y = . . . Équations de (D2 ) 1 et v 2 colinéaires
(D2 )
v~2
z = ...
v~2
x = ...
v~1
(D1 ) ⊥ (D2 ) ⇐⇒ −
v→ −
→
(D1 )
1 ⊥ v2
x = ...
y = . . . Équations de (D)
Pensez à distinguer
y = . . . (D2 )
Équations de (D)
z = ... les paramètres de
• Droite ∩ Plan : ou B
x = ...
z = ...
chaque représenta-
tion
Équation de (P ) y = . . . Équations de (P )
z = ...
p A (B ) B p(A ∩ B )
Allure graphique
A A et A partition de l’univers donc :
p(A)
p A (B ) B p(A ∩ B ) p(B ) = p(A ∩ B ) + p(A ∩ B )
= p(A) × p A (B ) + p(A) × p A (B )
b−a
Ω p(a 6 X 6 b) e−λa − e−λb NormalFRep(a,b,µ,σ)
d −c
NormCD(a,b,σ,µ)
p A (B ) B p(A ∩ B )
p(A)
A b −c
p(X 6 b) 1 − e−λb NormalFRep(-10ˆ99,b,µ,σ)
d −c
B p(A ∩ B ) NormCD(-10ˆ99,b,σ,µ)
p A (B )
à !
n
n Combinaison k n nCr k
k û Loi normale : recherche de µ et/ou σ
1. poser les contraintes de l’énoncé ;
2. les réinterpréter au sens : p(X 6 b) = p ;
û Question classique : on cherche la probabilité de réalisation d’au moins k succès b −µ
µ ¶
3. centrer réduire : p(X 6 b) = p ⇐⇒ p Z 6 =p;
σ
p(X > k) = 1 − p(X < k) b −µ
4. = FracNormale(p ,0,1) ou InvNorm(p ,1,0) ;
σ
5. résoudre l’équation ou le système d’équations d’inconnues µ, σ.
VII.1 Échantillonnage
Instructions Syntaxe CASIO Syntaxe TI
On prélève un Accès aux com- Menu PRGM PRGM puis CTL ou E/S
échantillon de mandes COM ou REL 2nd + tests
P OPULATION T OTALE É CHANTILLON
Probabilité d’appa- taille n
Fréquence
rition théorique d’apparition Afficher du texte "BLA BLA" :Disp "BLA BLA"
du caractère : p du caractère : f
Afficher(x) X :Disp X
2
p
n
f
1 1
f−p f+p
n n
2
On cherche la taille n de l’échantillon à prélever tel que p 6 A
n
×
B correspondante
¾
• a |b . . .. .
+
=⇒ a | (bu+cv)avec u et v ∈ Z. On dit que a divise toute combinaison linéaire de b et c. .
.
.
. . .
.
a |c
×
+
..
b
k1 b k2 ... b km
• Division Euclidienne : a = bq + r avec a ∈ Z, b ∈ Z∗ , q ∈ Z, 0 6 r < |b|.
.+
×
û Congruence dans Z
c c 12 ... c 1m
a 11 a 12 ... a 1k 11
• a et b sont congrus modulo n noté a ≡ b [n] si a et b ont le même reste dans la division euclidienne par n.
coefficient de la
2ième ligne a 21 a 22 ... a 2k c 21 c 22 ... c 2m 2ième ligne et de la
• a = bq + r ⇐⇒ a ≡ r [b] ⇐⇒ a − r ≡ 0 [b] ⇐⇒ a − r = bq ⇐⇒ b | (a − r )
2ième colonne
. . .. . . . .. .
. . . . . . . .
. . .
¾ . . .
a ≡ b [n] 1) a + c ≡ b + d [n] 2) ac ≡ bd [n]
• =⇒
3) ka ≡ kb [n], k ∈ Z 4) a p ≡ b p [n], p ∈ N a n1 a n2 ... a nk
c ≡ d [n] c n1 c n2 ... c nm
¾ ¾ p A (B )
a | bc b | a et c | a
• Gauss : =⇒ a | c et =⇒ bc | a
pgcd(a ; b) = 1 pgcd(b ; c) = 1
p A (A) A B p B (B )
• p est premier s’il admet exactement deux diviseurs : 1 et lui-même.
• Tout nombre entier n peut se décomposer en produit de nombre premier tel que : n = p 1 α1 × p 2 α2 × p B (A)
. . . p k αk . Le nombre de diviseurs de n est alors (α1 + 1) × (α2 + 1) × . . . (αk + 1).
p
• Critère de primalité : si n n’est divisible par aucun nombre premier inférieur à n alors n est premier. * Si l’état initial est décrit par une matrice colonne * Si l’état initial est décrit par une matrice ligne P 0
P 0 alors la somme de chaque colonne de M vaut 1 alors la somme de chaque ligne de M vaut 1
¾
p premier
• =⇒ p | a ou p | b
à !
p A (A) p B (A)
µ ¶
p | ab a µ
p A (A) p A (B )
¶
P0 = M=
¡ ¢
b p A (B ) p B (B ) P0 = a b M=
p B (A) p B (B )
P n+1 = M × P n =⇒ P n = M n × P 0
µ ¶ P n+1 = P n × M =⇒ P n = P 0 × M n
x
* État stable P = tel que P = M × P ¡ ¢
y * État stable P = x y tel que P = P × M