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Exposé

Les différentes formes d’entreprise et leur statut juridique

Introduction
Une entreprise est une entité économique et sociale qui permet la production
et la vente de biens et de services répondant à un besoin par le biais de la mise
en œuvre de moyens humains et matériels. Il est indispensable pour toute
entreprise de prendre en compte sa relation avec chacun de ses partenaires
(fournisseurs, banques, clients..).Chacun peut accéder à l’indépendance
économique, ouvrir un commerce, une entreprise. Une série de formes juridiques
adaptées aux besoins économiques les plus divers s’offrent à son choix. La loi ne
lui impose aucune d’entre elles. Les diverses formes juridiques que peut revêtir
une entreprise sont les suivantes : Entreprise individuelle, Société simple (ne peut
être inscrite au registre du commerce), Société en nom collectif, Société en
commandite, Société anonyme, Société à responsabilité limitée, Société
coopérative, Association, Fondation, Enterprise uni personnel a responsabilité
limité .Quelques-unes de ces formes juridiques ne se prêtent qu’à des fins
spécifiques, tandis que d’autres conviennent particulièrement à tel ou tel genre
d’intérêts. L’exposé qui suit donne un bref aperçu de toutes les formes
d’entreprises possibles, en indiquant leurs caractéristiques principales et leurs
statuts juridique.

1. Entreprise individuelle
L’entreprise individuelle est celle qu’exploite un seul titulaire. Lorsque son
chiffre d’affaires atteint CHF 100 000 l’entreprise individuelle doit généralement
être inscrite au registre du commerce. Grâce à cette inscription, le nom (la raison
de commerce) de l’entreprise jouit d’une certaine protection, et le titulaire n’est
pas soumis à la poursuite par voie de saisie, mais à la poursuite par voie de faillite,
régime qui est notoirement favorable à son crédit. Quiconque est inscrit au
registre du commerce doit tenir une comptabilité. L’entreprise individuelle et son
titulaire ne faisant qu’un, la fortune privée répond également des dettes
commerciales. Fortune et revenu privés et commerciaux sont égale- ment
imposés en bloc.
a) L'EIRL (Entrepreneur individuel à responsabilité limitée),

C’est un régime d'entreprise individuelle où l'entrepreneur bénéficie d'une


responsabilité limitée. Ce n'est pas une nouvelle forme juridique d'entreprise mais
une option juridique ouverte à tout entrepreneur individuel depuis le 1 er janvier
2011.Tous les entrepreneurs individuels peuvent créer une EIRL. Sont donc
concernés :
 les commerçants,
 les artisans,
 Les professions liberals.

Lorsque ces entrepreneurs exercent leur activité au sein d'une entreprise


individuelle soumise au régime du réel, ils peuvent créer une EIRL. Lorsque ces
entrepreneurs individuels sont soumis au régime fiscal simplifié de la
microentreprise ou de l'autoentrepreneur, ils peuvent créer une AERL (Auto-
entreprise à responsabilité limitée).

b) EURL est une SARL (société à responsabilité limitée)

C’est une forme d’entreprise à associé unique. Elle est également appelée
SARL unipersonnelle. L'EURL présente un certain nombre d'avantages :

 elle permet à une personne seule de créer une société sans avoir à
s'associer ;
 elle limite la responsabilité de l'associé unique au montant de ses
apports;
 elle autorise la création d'une société avec relativement peu de
capitaux ;
 elle facilite la transformation en SARL ;
 elle rend possible le choix entre l'imposition sur le revenu ou sur les
sociétés.

Le montant du capital social est librement déterminé par l'associé unique


dans les statuts. Il doit être composé d'apports en numéraire (argent) et/ou
en nature (matériel, brevet...) et/ou d'apports en industrie (compétences
techniques...).En cas d'apport en numéraire, il est possible d'apporter
seulement le cinquième du capital et de libérer le reste dans un délai de
cinq ans à compter de l'immatriculation de la société.

2. Société simple
La société simple est celle que forment deux ou plusieurs personnes qui
s’unissent en vue d’un but commun, tant qu’elles n’ont pas choisi une autre
forme juridique (par ex. société en nom collectif, association). Dans le secteur de
la construction, la société simple est souvent appelée consortium. La société
simple est l’union commerciale la plus souple. Elle n’est liée à aucune forme. Bien
des partenaires forment une société simple sans du tout s’en rendre compte.
Toutefois, comme les membres d’une société simple encourent une
responsabilité personnelle et solidaire, une telle insouciance peut leur ménager
des surprises désagréables. Il y a société simple lorsque, par exemple, deux ou
plusieurs personnes s’unissent, sans s’inscrire au registre du commerce, dans l’un
des buts suivants:
• achat de terrain pour construire ou pour la revente;
• exploitation commune d’un cabinet ou d’une étude (médecins, avocats);
• organisation d’actions communes (communauté en vue d’encourager la vente
par exemple);
• tenue d’un bureau d’ingénieur;
• fondation d’une société anonyme (jusqu’à la constitution);
• formation d’une communauté d’entreprise.
Afin d’éviter des complications ultérieures, il est recommandé de consigner dans
un contrat écrit les principales dispositions régissant les rapports des associés, en
particulier celles qui dérogent aux dispositions de la loi. Elles peuvent porter par
exemple sur la répartition des bénéfices et des pertes, le droit de vote, la gestion,
les compétences, la dissolution de la société, les cotisations. La société simple
n’ayant souvent qu’un caractère provisoire et, partant, une durée limitée, ses
membres négligents trop souvent d’élaborer un contrat écrit. Vis-à-vis des tiers, la
société simple ne constitue pas une entité juridique. Elle n’est pas non plus une
personne morale, soit une union de personnes revêtue de la personnalité
juridique, et ne peut être inscrite au registre du commerce. Les actes juridiques
dirigés contre une société simple (poursuite, procès, etc.) le sont par conséquent
toujours contre les associés personnellement, qui sont aussi imposés
directement, la société simple ne l’étant pas en tant que telle. Si le rapport de
société ne doit pas apparaître à l’extérieur, une société tacite peut être formée.
Les associés conviennent alors que seul l’un d’eux intervient dans les rapports
avec les tiers (que ce soit le titulaire unique ou le seul répondant de l’entreprise
individuelle), et que la participation des autres ne vaut que sur le plan interne.
Dans ce cas, un seul associé répond vis-à-vis des tiers, tandis que l’associé tacite
ne répond que dans le cadre de la société, c’est-à-dire envers son partenaire,
conformément aux conventions passées entre eux. Il n’est pas toujours aisé de
tracer les limites entre la société simple et d’autres types de contrats, par 10
exemples le contrat de prêt avec participation aux bénéfices (prêt partiaire). A
côté d’autres indices, une éventuelle participation aux pertes, l’apport de fonds
propres ou un droit de discussion peuvent révéler un rapport de société.

3. Société en nom collectif


La société en nom collectif est formée de deux ou plusieurs personnes
physiques qui, sans limiter leur responsabilité, s’unissent, sous une raison sociale
qui doit être inscrite au registre du commerce, en vue d’exploiter une industrie ou
une entreprise commerciale. Il est souvent difficile de distinguer la société simple
de la société en nom collectif. Si le rapport entre partenaires est conçu pour une
certaine durée et si les associés exploitent une industrie sous une forme
commerciale, l’inscription au registre du commerce en tant que société en nom
collectif est généralement exigée. L’inscription lève tous les doutes quant à la
forme de l’entreprise, puisqu’une société simple ne peut être inscrite au registre
du commerce. Certes, la société en nom collectif, comme la société simple, n’est
pas une personne morale, mais elle est, à certains égards, traitée comme telle. Ce
fait apparemment singulier signifie qu’une société en nom collectif peut être sujet
autonome de droits et d’obligations, et qu’elle possède les compétences et les
fonctions inscrites au registre du commerce. Par contre, la société en nom
collectif n’est pas imposée pour elle-même. Comme dans la société simple,
chaque associé est imposé directement. Les associés répondent également, à titre
personnel et solidaire, des engagements de la société, mais c’est d’abord la
fortune de celle-ci qui doit être réalisée. Dans la société en nom collectif
également, il est recommandé de définir les rapports sociaux dans un contrat
écrit. Un tel contrat est d’autant plus nécessaire que la société est conçue pour
une certaine durée et constitue fréquemment la base d’existence de l’un au
moins des associés. C’est d’ailleurs pourquoi le contrat d’une société en nom
collectif contient aussi des dispositions propres au contrat de travail.

4. Société en commandite
La société en commandite est la forme d’entreprise où un associé au moins
répond de façon illimitée, les autres répondant jusqu’à concurrence d’un montant
déterminé. Il existe deux types de société en commandite :

a) La Société en commandite par actions :


La SCA est constituée de commanditaires et de commandités. Les commandités
sont responsables des dettes de la société. Le nombre de commanditaires ne peut
être inférieur à trois. Les commanditaires ont la qualité d’actionnaires et ne
supportent les pertes qu’à concurrence de leurs apports. Aucun capital minimum
n’est exigé, les premiers gérants sont désignés par les statuts. L’associé
commanditaire ne peut faire aucun acte de gestion engageant la société vis-à-vis
des tiers, même en vertu d’une procuration ; Sauf stipulation contraire des
statuts, le ou les gérants sont désignés par l’assemblée générale ordinaire des
actionnaires avec l’accord de tous les associés commandités.
La société en commandite par action peut se transformer en société anonyme ou
en société à responsabilité limitée. Cette transformation est soumise à l’accord
des deux tiers des associés commandités à moins que les statuts ne fixent un
autre quorum.

b) la Société en commandite simple:


La société en commandite simple est constituée d’associés commandités et
d’associés commanditaires. Les commanditaires (ceux qui financent) apportent
l’argent en numéraire ou en nature. Leur participation au capital ne peut être
faite sous forme d’apport en industrie. Les commandités (ceux qui se font
financer) s’occupent de la gestion et peuvent contribuer par des apports en
numéraire, en nature ou en industrie. La SCS désignée par une dénomination
sociale à laquelle peut être incorporé le nom d’un ou plusieurs associés
commandités et qui doit être précédée ou suivie immédiatement de la mention «
société en commandite simple » . Aucun capital minimum n’est exigé. L’associé
commanditaire ne peut faire aucun acte de gestion, engageant la société vis-à-vis
des tiers, même en vertu d’une procuration. Les gérants de la société sont
désignés par les statuts. Si ce n’est pas le cas, tous les associés commandités sont
considérés comme gérants. Si une personne morale est désignée comme gérant
d’une société en commandite simple, ce sont ses dirigeants qui assument la
responsabilité en cas de problème. La réunion d’une assemblée des associés se
tient, si elle est demandée soit par un commandité, soit par le quart en
nombre et en capital des commanditaires. Les décisions des associés
doivent être consignées dans un procès- verbal, indiquant tous les détails
(date, lieu, noms et prénoms, discussions, résumé des débats, vote, résultats). Le
procès-verbal doit être signé par chaque associé présent. La SCS dont le chiffre
d’affaires hors taxes, à la fin de l’exercice, dépasse 50.000.000 Dh (cinquante
millions de Dirhams) est tenue de désigner un commissaire aux comptes .

5. Société anonyme
La société anonyme (SA) réunit plusieurs personnes qui ont constitué un capital-
actions déterminé à l’avance, et dont la participation dépend du nombre de leurs
actions. Seul l’actif social répond des engagements de la société.
La société anonyme peut ne comprendre qu’un seul actionnaire. Contrairement
aux membres des sociétés de personnes mentionnées, ceux de la société
anonyme (actionnaires) ne répondent pas personnellement des engagements
sociaux. Au pire, ils perdent le montant des actions qu’ils ont souscrites.
Un simple contrat écrit ne suffit pas pour constituer une société anonyme. Un
acte authentique établi par un notaire, des statuts et l’inscription au registre du
commerce sont nécessaires à cet effet. Le capital doit être de CHF 100 000 au
minimum, dont CHF 50 000 doivent être versés, tandis que le solde doit l’être en
cas de besoin. Au lieu d’espèces, des apports en nature peuvent également
contribuer à former le capital social. On ne parle plus alors de fondation par
apports en espèces, mais de fondation par apports en nature. Les organes
suivants sont nécessaires à une SA:
• l’assemblée générale (AG) des actionnaires, qui est le pouvoir suprême de la
société;
• le conseil d’administration (CA), chargé de la gestion ou, si des directeurs et des
administrateurs assument celle-ci, de leur surveillance;
• l’organe de révision (OR), qui vérifie chaque année les livres de la SA et fait
rapport à l’assemblée générale (voir les exceptions sous le titre «organe de
révision»).
L’imposition distincte est aussi un aspect de la séparation conséquente qui existe
entre actionnaire et société anonyme. La SA est imposée à titre indé- pendant, en
tant que personne morale, même si un seul actionnaire détient toutes les actions.
Dans la pratique, on distingue la société anonyme privée (comptant un nombre
restreint d’actionnaires) de la grande société anonyme. Il sera toujours question
dans cette brochure de la société anonyme privée, allant de la SA aux mains d’une
seule personne à celle qui compte une vingtaine d’actionnaires et qui limite le
transfert des actions en prévoyant généralement un droit de préemption
(statutaire ou contractuel) des actionnaires. La grande SA, société de capitaux
proprement dite, dont les actions sont généralement cotées en bourse ou
peuvent tout au moins être librement transférées en tant que titres de
rendement, n’est pas traitée dans ce contexte. Elle pose encore d’autres
problèmes.

6. Société à responsabilité limitée


La société à responsabilité limitée (Sarl) est en réalité une mini société
anonyme. Le capital-actions est ici dénommé le capital social et les actions
deviennent les parts sociales. La révision de la loi a complètement remanié le
concept de la Sarl et, à bien des égards, a rapproché plus encore cette dernière de
la SA. Les associés ne répondent pas personnellement des dettes de la Sarl mais
seulement dans les limites du capital social versé par eux, qui doit globalement
s’élever à au moins CHF 20’000. La Sarl, comme la SA, doit avoir un organe de
révision (voir les exceptions sous le titre « organe de révision »). L’organe
suprême est l’assemblée des associés qui correspond à l’AG dans la SA. Il est vrai
que la Sarl ne connaît pas l’institution du conseil d’administration, cependant le
ou les associés gérants remplissent largement ces fonctions. Comme la SA, depuis
la révision du droit de la société anonyme de 1992, doit avoir un capital-actions
de CHF 100 000 minimum (dont CHF 50 000 entièrement libérés), la Sarl,
précédemment négligée, a regagné de l’intérêt pour les petites entreprises et
connaît un renouveau qu’attestent les nombreuses constitutions nouvelles. Il en
va de même grâce aux améliorations introduites en 2008 par la révision de la loi,
notamment l’abandon de l’exigence contraignante de la forme notariée pour les
transferts de parts sociales en Suisse.
Les différences avec la SA sont principalement représentées par des dispositions
relatives à la personne des associés, telles que :
• inscription obligatoire des associés au registre du commerce ;
• dispositions plus strictes en matière de transfert de parts sociales ;
• possibilité d’introduction d’une obligation de versements supplémentaires des
associés ;
• interdictions de concurrence ;
• possibilité d’introduction d’un droit de veto d’un associé.
On peut prévoir que la Sarl concurrencera aussi toujours plus les sociétés en nom
collectif, du fait qu’elle exclut le risque de responsabilité personnelle mais permet
cependant, comme on l’a vu, de tenir compte de considérations personnel

7. Société coopérative
La société coopérative est celle qui unit sept personnes au moins dans le
but de favoriser ou de garantir, par une action commune, des intérêts
économiques déterminés de ses membres. Exemples: coopérative laitière;
coopérative d’achat en gros. La société coopérative est une personne morale
autonome qui naît de l’approbation de ses statuts par l’assemblée générale et de
son inscription au registre du commerce. Un acte notarié n’est toute- fois pas
exigé, comme c’est le cas s’agissant de la constitution d’une SA ou d’une Sarl. En
général, une déclaration écrite suffit pour adhérer à la société. La sortie est réglée
par les dispositions statutaires, qui prévoient ordinairement un délai de
dénonciation et peuvent astreindre le membre sortant à verser une indemnité
équitable. Seule la fortune sociale répond en principe des engagements de la
société. Les statuts peuvent toutefois prévoir expressément que les associés sont
tenus de faire des versements supplémentaires, cette obligation pouvant être
illimitée ou restreinte à des sommes déterminées. Comme dans la SA, les organes
de la société coopérative sont l’assemblée générale (éventuellement l’assemblée
des délégués), l’administration et l’organe de révision (voir les exceptions sous le
titre «organe de révision»).Le nombre minimum de sept membres exigé pour la
fondation, de même que le «principe de la porte ouverte», qui interdit à la fois de
restreindre le nombre des associés et de fixer un capital social déterminé
d’avance, montrent que la société coopérative est une organisation d’entraide
étendue. Ce n’est donc guère la forme qui convient à une petite entreprise
commerciale.

8. Association
L’association est l’union de plusieurs personnes dans un but idéal et, en
principe, non économique. Elle naît de l’établissement de statuts écrits qui
contiennent des dispositions sur son but, ses moyens financiers et son
organisation (direction, organe de révision).Elle peut aussi exercer une activité
économique lorsque celle-ci est conciliable avec son but idéal. Tel est par exemple
le cas lorsqu’une association de femmes exploite un restaurant. Elle doit alors se
faire inscrire au registre du commerce. L’association est une personne morale
autonome. Ses membres ne répondent donc pas de ses dettes, sauf clause
contraire des statuts. Du fait qu’elle est nécessairement vouée à un but idéal,
l’association ne se prête pas à l’exploitation d’une entreprise. D’après la pratique
existante, des groupes d’intérêts qui visent un but économique sans toute- fois
exploité d’industrie, peuvent toutefois se constituer en association.

9. Fondation
La fondation consiste dans l’affectation de biens à un but déterminé. Ces biens
deviennent autonomes en tant que fondation. Cette dernière, par l’entremise de
son organe responsable, le conseil de fondation, à l’exercice des droits civils
comme toute autre personne morale. Une fondation peut être instituée par acte
authentique ou par testament. A l’exception de la fondation de famille, elle doit
être inscrite au registre du commerce. La volonté du fondateur, exprimée dans
l’acte de fondation, détermine l’activité commerciale que peut exercer une
fondation. Suivant le but de la fondation, c’est à une collectivité publique
qu’incombe la responsabilité de surveiller le respect de ce but (Confédération,
Canton, commune). A l’exception de la fondation de famille, les fondations sont
donc soumises à la surveillance d’une collectivité publique. Dans la vie
économique, les institutions de prévoyance organisées sous la forme de
fondations ont acquis une grande importance. Il est compréhensible que la
fondation ne soit pas la forme juridique qui convient le mieux à une entreprise.
D’autre part, le sort d’une entreprise peut être lié à une fondation et déterminé
d’avance pour une longue durée en fonction du but visé.

Conclusion
Devenir chef d’entreprise n’est pas chose facile et nécessite avant tout beaucoup
de volonté d’endurance et de patience. Il n’est pas donne à chacun de se lancer
dans l’aventure de l’établissement. Il faut donc s’engager dans la création
d’entreprise en sachant que ce n’est pas une simple formalité, que la route sera
longue et prêteuse, que rien ne sera définitivement acquis et qu’il faudra sans
cesse remettre l’ouvrage pour le métier . Le choix de la forme juridique à adopter
fait référence à des multiples critères objective (c’est à dire les contraintes fixes
par la loi) et subjective (c’est à dire ceux directement liés au projet et a son
avenir).

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