:
2.1- le structuralisme (wundt) :
La décomposition de l'expérience consciente en sensations, émotions et images. Ainsi les
processus mentaux pouvaient être mieux compris en les décomposant et en analysant leur
interaction.
Ne fournit pas une explication sur les causes du comportement, mais décrit certains faits
npartiellement vérifiés.
La difficulté d'objectiver les observations a fait en sorte que l'introspection ne pouvait pas
être reconnue comme une pratique scientifique.
N'offre pas de solutions aux problèmes concrets.
2.2- Le fonctionnalisme (Darwin) :
Il s'intéresse aux relations entre l'expérience consciente et le comportement. Il concerne
l'aspect fonctionnel et pratique des processus mentaux ainsi que la façon dont l'expérience permet à chacun de
fonctionner plus efficacement.
2.3- La psychanalyse (Freud):
c'est l'auteur de la théorie de la personnalité (ça, surmoi, moi). Cette théorie met l'accent sur
l'importance des motifs et conflits inconscients qui déterminent le comportement.
2.4- Le béhaviorisme (Skinner):
Il s'intéresse à l'étude du comportement strictement mesurable et observable. Remplacer les
études de processus mentaux par l'observation des relations entre stimuli et réponse.
2.5- La psychologie humaniste (Maslow) :
Accorde une grande importance à la personne et à son épanouissement. Elle privilégie la
conscience humaine, la connaissance de soi et l'aptitude à faire des choix, plutôt que l'influence du stimuli sur
le comportement.
5- La perception :
5.1- Définition : c'est le processus par lequel nous sélectionnons, organisons, interprétons et
récupérons l'information que nous transmet notre environnement.
5.2- Les facteurs influençant le processus de perception :
Caractéristiques de l'agent perceptif : expériences passées, besoins et motivation, valeurs,
attitudes, attentes, traits de personnalité.
Caractéristiques du cadre de perception : Contexte physique, contexte social, contexte
organisationnel.
Caractéristiques de l'objet perçu : discrimination figure et fond, intensité et taille, mouvement
et répétition, nouveauté.
3- La personnalité :
3.1- Définition : elle vient du mot latin « personna » qui désigne le masque du théâtre. C'est le profil
global d'un individu, c'est la combinaison des traits qui font de lui un être unique dans sa manière de se
comporter et d'entrer en relation avec autrui.
3.2- Principaux déterminants de la personnalité :
L'hérédité
la culture
la famille
les groupes et les rôles
les expériences de vie
3.3- Classification des traits de la personnalité :
Selon les cinq critères : l'extraversion, l'amabilité, l'application, la stabilité émotionnelle,
l'ouverture à l'expérience.
Les traits relatifs à l'adaptation affective : Personnalité de type A (impatience, désir de
réussite, perfectionnisme...), Personnalité de type B (tempérament calme, faible esprit de
compétition...).
Les traits relatifs à la conception personnelle du monde : l'autoritarisme (adhérer
scrupuleusement à des valeurs traditionnelles et à obéir à l'autorité établie) , le dogmatisme
(prévoir le monde comme une source de menaces et à tenir l'autorité légitime pour absolue).
Le machiavélisme : c'est la tendance à manœuvrer pour parvenir à des fins par tous les
moyens.
3.4- La dynamique de la personnalité :
C'est la façon dont l'individu intègre et organise toutes les composantes de tous les traits de sa
personnalité.
L'image de soi : c'est la conception que chacun se fait de son identité sociale, physique, spirituelle et
morale.
7 – Le pouvoir dans l'organisation:
7.1 – Définition : la faculté et la possibilité d'influencer un ou plusieurs individus ou groupes
d’individus afin de les inciter à poursuivre les objectifs de l'entreprise. Il s'exerce entre deux individus, entre un
individu et un groupe ou entre deux groupes.
Influence : processus de modification du comportement d'un autre.
Autorité : droit ou pouvoir de commander, de se faire obéir. Influence qui s’impose aux autres
en vertu d’un privilège, d’une situation sociale, c’est-à-dire du statut.
7.2 – Formes et sources du pouvoir :
Les pouvoirs de position (source organisationnelle) : pouvoir légitime, pouvoir de
récompense, pouvoir de coercition.
Les pouvoirs personnels (source individuelle) : pouvoir de référence, pouvoir d'expert, pouvoir
d'information.
Le pouvoir d'expert
L’individu dispose de compétences techniques ou scientifiques peu communes
ou de connaissance des processus administratifs.
Le pouvoir de référence
Les caractéristiques d’une personne qui incitent les autres à vouloir imiter ses
comportements. En d’autres termes, les personnes acceptent de subir son influence,
car elles l’idéalisent et l’estiment.
Le pouvoir d'information
La capacité d’un individu d’accéder à de l’information particulière et
privilégiée.
5 – Les stratégies de gestion des conflits :
L'évitement, l'accommodation, le compromis, la compétition, la collaboration.
L’évitement
est caractérisée par le refus catégorique de discuter de la situation problématique ou encore par un
certain attentisme. Ces personnes préfèrent ne pas s’engager dans la résolution du problème, et ce,
même si elles sont conscientes que cette attitude ne résout pas le conflit.
L’accommodation
Lorsqu’une des parties engagées dans un conflit est persuadée de ne pouvoir obtenir satisfaction, elle
a tendance à adopter une attitude conciliante. Autrement dit, en situation de conflit, ces personnes
permettent aux autres de satisfaire leurs intérêts au détriment des leurs.
Le compromis
Lorsque les individus en conflit adoptent
une attitude de compromis, ils consentent généralement à faire des sacrifices partagés. En effet, cette
attitude ne permet de satisfaire entièrement ni les intérêts des uns ni
ceux des autres.
La compétition
Les individus qui privilégient la compétition ont la ferme intention de satisfaire leurs propres intérêts
au détriment de ceux des autres. Il n’y a pas l’ombre d’un doute dans leur esprit : la situation exige
qu’une des parties soit gagnante et ce sera la leur.
La collaboration
Les personnes qui préfèrent la collaboration cherchent une solution qui permettra de satisfaire
pleinement les besoins des deux parties engagées dans le conflit
8 – Le leadership
le leadership est un processus par lequel un individu influence un groupe d’individus pour parvenir à réaliser
un objectif commun.
Se compose de 4 étapes : Assignation, implantation, évaluation, Récompense
Assignation : ou le leader planifie, dirige et donne des instructions ainsi que des ordres
Implantation : permet au leader de guider et d’offrir une forme de soutien aux subordonnées
Evaluation : ou le leader contrôle, évalue et porte un jugement sur le travail effectué
Récompense : ou le leader récompense, punit et faits des commentaires sur le rendement de ses subordonnés.
Approche axée sur les traits : les caractéristiques physiques (âge, taille, poid...), l'environnement social,
l'intelligence, la personnalité (confiance en soi, vivacité d'esprit...), les caractéristiques liées à la tâche, les
habiletés sociales et interpersonnelles.
Leadership transformationnel consiste à :
-Influencer les principaux changements dans les attitudes et les hypothèses des membres de l’organisation.
-Obtenir leur engagement à l’égard de la mission, des objectifs et des stratégies de l’organisation
Traits caractéristiques d’un leader transformationnel
Charismatique – Inspirant – Bienveillant - Stimulant.
Leadership transactionnel:
Comportement de leadership en grande partie centré sur :
• L’accomplissement des tâches qui s’imposent
• Le maintien de bonnes relations avec les subordonnés grâce à l’échange d’engagements relatifs à la
rétribution du rendement
Le changement organisationnel
Toute modification de l’équilibre fonctionnel d’un système de travail
Les causes de résistance au changement :
- Dimension individuelle : - objectifs logiques et rationnelles( temps requis pour s’adapter, manque de
ressources, effort demandé pour un nouvel apprentissage)
-causes psychologiques, émotionnelles( peur de l’inconnu, faible tolérance au changement,
besoin de sécurité)
- dimension collective : - facteurs sociologiques (vision étroite, opposition d’autres groupes ou
corporation, coalition politique)
- causes structurelles (climat de l’entreprise, mode d’introduction du changement,
fonctionnement organisationnel de l’entreprise, conditions du travail)
Le developpement organisationnel :
- Processus planifié et gérer par la direction, à lonque échéance
- Global et basé sur la collaboration
- Est entrepris pour que l’organisation devienne plus efficace et plus humaine
- Orienté ver l’action et la résolution des problèmes
- Permet d’utilisé l’approche systémique et systématique
- Suppose le recours à des agents du changement
- Entraine un apprentissage des principes
Chapitre1 2
1/ La démocratie industrielle, est une forme de démocratie qui règne au sein de l’entreprise caractérisé, par le
respect, la considération de l’autre et l’équité, elle consiste a faire de l’employé un partenaire à part entière,
reconnu par la direction et a ce que tous les employés peuvent s’exprimer et participer aux décisions.
Les nouvelles formes d’organisation peuvent contribuer à sa réalisation par plusieurs manières comme :
La participation de type consultatif ou décisionnel.
La participation à la gestion ou la participation à la propriété et aux profits.
La participation directe ou indirecte par voie de comités d’entreprise.
La participation conjointe à la gestion ou l’autonomie des travailleurs.
2/ la relation étroite qui existe est que si une entreprise cherche un productivité organisationnelle, elle doit
garantir la satisfaction des employés et plus les employés sont heureux, plus il sont productifs, et bien entendu
la satisfaction des employés passe inévitablement par une modification des modes de gestion, modification qui
repose essentiellement sur l’instauration de nouvelles formes d’organisation de travail.
3/ Similitudes :
une participation dynamique et efficace.
Amélioration de la qualité des relations humaines
Une meilleure circulation de l’information
Une plus grande satisfaction au travail et l’élargissement des compétences des travailleurs.
Les différences :
les membres d’un cercle de qualité est limité par contre celui du groupe semi-autonome n’est pas limité.
Les problèmes et sujet abordé par le cercle semi autonome sont précisé (qualité, cout …à alors que pour
l’équipe semi autonome ils travails sur tous les sujets lié au travail.
Les membres du cercle qualité se rencontre volontairement et périodiquement, alors que l’équipe semi
autonome sont forcement toujours ensemble.
Celui qui est le plus avantageux pour les employé est l’horaire comprimé, vu ces répercussions positives
multiples sur les employés et l’organisation.
5/ Le JAT consiste à fournir au client le nombre de produits qu’il demande au moment où il le souhaite, à
l’endroit désiré et dans le standard de qualité et de coûts fixés. Cela implique en premier lieu que l’ensemble de
la production soit assujetti à la demande du client (interne ou externe).
Et les techniques qui sont utilisée pour l’actualisé sont le suivi de la chaine de production, formation du
personnel, être à l’écoute permanant de la clientèle en identifiant toutes nouvelles tendances, connaitre sa
concurrence.
6/ Le différence qui existe entre GPV et GPO et GPD, c’est que aujourd’hui largement répandue, la GPO et la
GPD donne l’une comme l’autre des résultats inadéquat avec la tendance à promouvoir la qualité des biens et
service et la la clientèle, plus l’autonomie et la responsabilité professionnelle plus le travail d’équipe, l’utilisation
de réseaux et l’assouplissement des structurée, en revanche la GPV s’avère un outil d’orientation stratégique au
potentiel de développement inouï à tous les niveaux de l’organisation. satisfaction de
7/ Cette expression signifie que la personne peut connaitre et maitriser ses propres émotions, peut s’auto
motiver, et peut reconnaitre l’émotion de l’autre et avoir une capacité de vivre avec les autres.