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CONSTRUCTION
CVC
Chauffage - Ventilation -
Conditionnement d’air
Mars 2007
ITC - CVC 1
ITC - CVC 2
SOMMAIRE
1 CE QU’ IL FAUT SAVOIR AVANT DE COMMENCER P. 4
6 LA REGLEMENTATION P.122
ANNEXES P.150
ITC - CVC 3
CVC
ITC - CVC 4
1. CE QU’IL FAUT SAVOIR AVANT DE COMMENCER
ITC - CVC 5
1. CE QU’IL FAUT SAVOIR AVANT DE COMMENCER
1.1 Qu’est-ce qu’une installation de CVC ?
r ?
u ffe
ha
o ic
rqu
u
Po
?
Le chauffage est nécessaire pour f fer
compenser la baisse de a u
t ch
température due aux déperditions n
par les parois et par renouvellement mme
C o
d’air.
ITC - CVC 8
1. CE QU’ IL FAUT SAVOIR AVANT DE COMMENCER
1.4 Sur le Conditionnement d’air
?
ir
er i
nn uo
l’a
ti o rq
di ou
P
ITC - CVC 9
1. CE QU’ IL FAUT SAVOIR AVANT DE COMMENCER
1.4 sur le Conditionnement d’air
Teneur en eau
Installation Ts (°C) r (g/kgas) Ts (°C) r ou HR r (gd’eau/kgd’air sec)
Courbe de
A1 non non saturation
Type A oui non HR = 100%
A2 oui non
B1 non non
Type B oui oui B2 oui non
B3 oui oui
C1 non non
Type C oui/non oui
C2 non oui
Température sèche Ts (°C)
A1, B1, C1 : aucun paramètre ambiant maîtrisé
Types A et C : un seul paramètre de l’air affecté
A2, B2, C2 : un seul paramètre ambiant maîtrisé
Type B : deux paramètres de l’air affectés
B3 : deux paramètres ambiants maîtrisés
ITC - CVC 10
1. CE QU’ IL FAUT SAVOIR AVANT DE COMMENCER
1.5 Notions de confort thermique
ITC - CVC 11
Annexe
1. 12 IL
CE QU’ : Notions de base du
FAUT SAVOIR confort
AVANT DEthermique
COMMENCER
1.5 Notions de confort thermique
Température de l’air
4 Température résultante
Température des parois
paramètres
Humidité
principaux
Mouvements d’air
Données extraites du Mémento technique du bâtiment : Confort thermique
ITC - CVC 12
Annexe
1. 12 IL
CE QU’ : Notions de base du
FAUT SAVOIR confort
AVANT DEthermique
COMMENCER
1.5 Notions de confort thermique
ce qui peut se représenter graphiquement par le polygone du confort
ITC - CVC 13
CVC
ITC - CVC 14
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
ITC - CVC 15
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.1 Schéma général d’une installation Légende
1. LA PRODUCTION
1 Départ chauffage
2 Retour chauffage
3 Soupape de sécurité 3 bar
4 Manomètre
5 Contrôleur de débit
7 Vanne de chasse
8 Pressostat de sécurité de manque d’eau
10 Vanne de vidange
11 Remplissage du circuit chauffage
12 Compteur d’eau
13 Vanne d’isolement motorisée
14 Commande à distance avec ou sans sonde d’ambiance
15 Pompe d’injection
5 2. LE DECOUPLAGE
16 Bouteille de découplage
17 Purgeur automatique
4
18 Purge manuelle
3. LA DISTRIBUTION
19 Vanne mélangeuse 3 voies
20 Accélérateur chauffage
21 Entrée primaire de l’échangeur du préparateur d’ecs
22 Sortie primaire de l’échangeur du préparateur d’ecs
23 Pompe de charge sanitaire
1 2 3 4. LA PRODUCTION d’ECS
24 Préparateur indépendant d’eau chaude sanitaire
5. L’EMISSION DE CHALEUR
ITC - CVC 16
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
1 La production
A. La production propre
Mon point
de passage
obligé
ITC - CVC 17
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
1 La production (suite)
Le combustible utilisé pour produire la chaleur et alimentant le brûleur est souvent le gaz de ville Chaudière gaz à
brûleur atmosphérique
distribué à moyenne pression (4 bars) par Gaz de France jusqu’en limite de propriété où est
installé un poste de détente – comptage.
L’alimentation de la chaufferie à partir du poste de détente se fait généralement en tranchée en
tube PE gaz enterré jusqu’à un mètre de celle-ci avec mise en place d’un raccord mécanique
PE/acier et remontée en façade jusqu’à un organe de coupure (vanne) accessible de l’extérieur
et placée sous coffret avec verre dormant à 1.5 mètre environ du sol.
La pression d’alimentation de la chaufferie est généralement 300 mbars.
Chaudière équipée
d’un brûleur à air
Mon point soufflé
de passage Au delà d’une puissance unitaire de chaudière de 500 KW on utilise toujours
obligé
des brûleurs à air soufflé qui présentent en plus l’avantage de pouvoir être
équipés d’une régulation modulante permettant de faire varier leur puissance de 0 à 100%
meilleur rendement donc gain d’exploitation.
En dessous de 500KW, le surcoût d’une régulation modulante ne se justifie pas. Les
brûleurs à air soufflé sont alors en général à deux allures.
ITC - CVC 18
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
1 La production (suite)
Disconnecteur
Mon point Une des précautions de mise en œuvre concerne principalement la protection des chaudières vis à vis
de passage des retours froids qui entraînent des condensations acides dans le foyer et peuvent provoquer à terme
obligé
la perforation de celui-ci.
Une des solutions fréquemment utilisée est la mise en place d’une pompe de recyclage sur la
chaudière afin d’assurer un débit minimum d’irrigation qui maintient la température de retour au dessus
de la température de condensation (54°C pour les fu mées issues d’une combustion au gaz naturel).
ITC - CVC 19
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
1 La production (suite) 3 3
B. Mise en sécurité de la production
3
Pressostat
manque d’eau
2 Le découplage
Mon point
Lorsque la puissance de la production de chaleur n’est pas homogène avec le cumul des puissances
de passage installées, ou lorsque l’installation est composée de plusieurs circuits fonctionnant à des températures
obligé
différentes (circuit eau chaude sanitaire, circuits radiateurs, circuit aérotherme ), l’installation d’une bouteille
de mélange encore appelée bouteille de découplage est recommandée.
2 Le découplage (suite)
Dimensionnement : Diagramme permettant de dimensionner le diamètre intérieur des collecteurs et
bouteilles de découplage
Le Ø D du collecteur est dimensionné
pour des vitesses moyennes d’eau de 0.7 Utilisation du diagramme d’après
à 0.9 m/s. Le dimensionnement à 3 D du un exemple :
diamètre de la bouteille de découplage
1 Puissance installée 600 kW.
permet d’obtenir des vitesses moyennes
d’eau dans la bouteille inférieures ou 2 Lecture du débit nominal dans
égales à 0.1 m/s. La vitesse de 0.1 m/s la bouche primaire pour une ∆t de
ne doit en aucun cas être dépassée. 15 K ≈ 35 m3/h.
3 Lecture du Ø intérieur du
collecteur assurant une vitesse
d’eau égale à 1 m/s : 110 mm.
4 Lecture du Ø intérieur de la
bouteille de découplage assurant
une vitesse d’eau ≈ 0.1 m/s : 350
mm.
Pour 3 et 4, on choisit le Ø
intérieur du tube normalisé
existant immédiatement supérieur,
afin que la vitesse d’eau obtenue
soit < à celle souhaitée.
Il existe maintenant des chaudières qui ne nécessitent pas un débit d’eau constant ou une température d’eau à l’entrée élevée.
Dans ce cas-ci, la bouteille n’est pas forcément nécessaire.
ITC - CVC 22
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
3 La distribution
La distribution du fluide caloporteur (l’eau dans le cas de notre chaufferie gaz) est
assurée par une ou des pompes de distribution secondaire.
Mon point
de passage En général, on utilise des pompes doubles pour assurer
obligé
la continuité de distribution en cas de panne.
vannes d’isolement
manomètre différentiel placé en parallèle de chaque
pompe et entre vannes
vanne de réglage sur le retour
thermomètres sur le départ et le retour
manchons anti-vibratiles
Mon point
de passage
obligé En général, la robinetterie et les accessoires sont
de type taraudé jusqu'au DN 50 et à brides au delà.
Panoplie hydraulique
ITC - CVC 23
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
3 La distribution (suite)
Les réseaux de distribution primaire (en amont de la bouteille de découplage) et secondaire (en aval) sont
principalement réalisés en tube acier noir soit roulé et soudé (dit Tarif 1 / NF A 49-145) soit sans soudure (Tarif 10 /
NF A 49-112).
Le Tarif 1 est couramment utilisé jusqu’au diamètre nominal 50 et le tube Tarif 10 au delà.
En variante au Tarif 10, il peut être proposé le Tarif 19 / NF A 49-141. Il s’agit de tubes roulés soudés.
ITC - CVC 24
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
3 La distribution (suite)
Vannes
L’isolement des réseaux et le réglage des débits sont réalisés par : d’isolement
à boisseau sphérique
papillon
des vannes d’isolement
des vannes de réglage
Vanne de réglage
à prise de pression pour
lecture et réglage de débit
direct
Les réseaux de distribution doivent être calorifugés dans les locaux techniques et les zones non chauffées
comme les gaines techniques, les faux plafonds…
Dans les zones non chauffées l’utilisation de demi-coquilles de laine minérale avec revêtement film PVC
est fréquent mais une variante économique en Armaflex est également possible jusqu’à des diamètres
inférieurs au DN 65.
Pour les passages en extérieur, un produit d’étanchéité genre bitume à chaud est mis en place sur la laine
minérale avant la finition tôle isoxal.
ITC - CVC 25
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
3 La distribution (suite) Voir en annexe 1 :
Tableau de prédimensionnement
Mon point
de passage
obligé
En distribution terminale, le tube acier pour les radiateurs (diamètre mini 15x21)
ou le tube PER (Polyéthylène réticulé) (sous fourreau encastré en dalle pour les
systèmes hydrocâblés ou sans fourreau pour les planchers chauffants) sont
également utilisés.
Mon point
de passage
obligé Le dimensionnement des réseaux de distribution est fonction de la puissance à
véhiculer, de l’écart de température entre l’aller et le retour et d’une vitesse de
Perte de charge linéaire
circulation permettant de ne pas dépasser une perte de charge moyenne de 15
mmCE/ml ceci afin de limiter la puissance électrique des pompes de circulations à
∆P = ρ.V² / 2.g une valeur raisonnable.
L’unité employée pour définir le diamètre d’une canalisation est variable. On utilise
le diamètre nominal (DN15) , le pouce (½") ou les dimensions intérieures et
Vitesse du fluide
extérieures (15x21).
Masse volumique
du fluide
P = Q x ∆T x 1.163
Puissance en W Coefficient de transformation kcal/h en W
ITC - CVC 26
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
3 La distribution (suite)
Températures et débits
Les températures de distribution d’eau varient suivant les terminaux ou émetteurs. On rencontre :
Dans le cas d’un régime à température dite constante, la Dans le cas d’un régime à température variable, la
température d’alimentation des émetteurs varie très peu. température de distribution d’eau dans le circuit varie en
La régulation d’apport de chaleur se fait généralement fonction d’un paramètre qui est généralement la
par variation du débit d’eau dans l’émetteur (ex : la température extérieure : une vanne de régulation 3 voies
batterie terminale dans le cas d’une centrale de positionnée au départ du circuit permet le mélange de
traitement d’air) par l’intermédiaire d’une vanne 3 voies l’eau à la température de production du générateur avec
installée au droit du terminal. de l’eau à la température de retour du circuit d’utilisation.
Utilisation
Pour le chauffage d’ateliers, de magasins, de garages, de
salles de sport …. La hauteur d’installation varie de 3 à 5
mètres pour des températures d’eau chaude de 90/70 °C.
Nota : Pour des hauteurs supérieures, l’alimentation en eau surchauffée
s’impose mais ne se rencontre guère que dans les usines où une
production d’eau surchauffée centralisée est en place.
Principe de fonctionnement
La différence de chaleur entre le panneau et les masses
environnantes provoque un échange de chaleur par
rayonnement. Le réchauffage de l'air est le résultat de
l'échange par convection entre les masses réchauffées et
celui-ci.
Constitution
→ une paroi rayonnante en tôle d’acier dans laquelle
sont prévus des logements semi-circulaires
recevant des tubes véhiculant l’eau chaude. Panneau rayonnant
→ à chaque extrémité, un collecteur, soudé sur les tubes.
à eau chaude
→ au dessus, un calorifuge limitant l'émission vers le
haut.
ITC - CVC 29
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
4 L'émission de chaleur – Chauffage statique
C. Les planchers chauffants
Utilisation
Pour le chauffage d’immeubles, de logements, de bureaux, Plancher chauffant
d’halls d’entrée. à eau chaude
Constitution
Ils sont réalisés avec des tubes polyéthylène réticulé posés sur
un isolant et noyé dans une dalle de compression en béton
additionné d’un fluidifiant propre à chaque fabricant. Tube PER
Différents modes de fixation sont rencontrés (système sur dalles
d’isolation, système sur treillis, système sur rails…).
Il est important de suivre les préconisations de mise en oeuvre du fabricant et les essais sous pression
d’épreuve de 10 bars d’un mélange eau + antigel avec maintien de cette pression pendant 24 h puis
Mon point
maintien de la pression du réseau et ceci durant la phase de coulage et de prise du béton.
de passage Les tubes PER sont raccordés sur des collecteurs aller/retour placés généralement dans des placards
obligé
techniques.
Il est déconseillé de traverser un joint de dilatation et la mise en place de raccords noyés dans la dalle
est interdit.
Le régime de température d’eau est prévu pour que la température de contact de la dalle ne dépasse
jamais 28°C en tout point ce qui implique qu’en pr atique le régime 45/35°C est généralement adopté.
ITC - CVC 30
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation Mon point
de passage
obligé
4 L'émission de chaleur – Chauffage statique Attention, renvoi à la norme
EN 12.64.4 sur la mise œuvre.
C. Les planchers chauffants (suite)
Cf. Chapitre 7
ITC - CVC 31
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
Principe de fonctionnement
Les aérothermes peuvent fonctionner en recyclage complet
mais aussi en tout air neuf ou en mélange. Ils sont alors
équipés d’un caisson de prise d’air extérieur ou d’un caisson Aérotherme à eau chaude
de mélange.
Constitution
→ une carrosserie en tôle d’acier galvanisé ou pré laqué,
→ une batterie d’échange air/eau en tubes cuivre,
→ des ailettes aluminium ou tout acier,
→ un ventilateur.
Mon point
de passage
obligé
Dans les bâtiments de grande hauteur les aérothermes
sont souvent associés à des déstratificateurs.
Déstratificateur ou brasseur d’air
ITC - CVC 32
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.2 Les différents éléments d’une installation
Utilisation
Pour le chauffage de bureaux, de petits locaux…
Principe de fonctionnement
L’air repris dans le local est pulsé par un ventilateur au
travers d’une batterie à eau chaude.
Ils peuvent fonctionner en recyclage complet mais aussi
en tout air neuf ou en mélange. Ils sont alors équipés d’un
caisson de mélange avec prise d’air extérieure .
La constitution Ventilo-convecteur
→ 2 tubes avec une batterie alimentée soit
uniquement en eau chaude soit uniquement en
eau glacée ou fonctionnant alternativement
avec l’un des deux (système change over).
→ 2 tubes / 2 fils idem ci-dessus mais équipés en
plus d’une batterie électrique.
→ 4 tubes (2 pour eau chaude, 2 pour eau glacée).
ITC - CVC 33
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.3 Les autres types d’installation
1 Autres systèmes centralisés de production de chaleur
La chaufferie fioul
Principe identique à la chaufferie gaz. La chaudière est toujours à
air pulsé et le brûleur est alimenté en fioul soit de façon gravitaire
soit mécanique par des pompes à partir d’une cuve.
Le chauffage urbain
La chaufferie est remplacée par une sous-station dans laquelle des
échangeurs de chaleur prennent la place des chaudières.
La production peut être assurée par des chaufferies centrales, des
unités de cogénération ou de traitement d’ordures ménagères.
La chaufferie bois
Le combustible est ici le bois réduit en sciure. La technologie des
chaudières est différente du gaz ou du fioul.
L'alimentation en bois se fait automatiquement via des tapis
roulants ou des vis sans fin.
ITC - CVC 34
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.3 Les autres types d’installation
2 Systèmes autonomes
ITC - CVC 35
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.4 Cas particuliers des logements
Les chaudières sont souvent mixtes : elles assurent aussi la production d'eau chaude sanitaire.
Le vase d'expansion, la soupape de sécurité et la pompe de distribution sont souvent intégrés aux chaudières
La régulation est assurée par le thermostat programmable généralement placé dans le séjour et par des robinets
thermostatiques sur les émetteurs.
ITC - CVC 36
2. UNE INSTALLATION DE CHAUFFAGE
2.5 Critères de choix des différents systèmes
ITC - CVC 37
CVC
ITC - CVC 38
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
ITC - CVC 39
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.1 Schéma général d’une installation
ITC - CVC 40
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.1 Schéma général d’une installation
ITC - CVC 41
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.3 Les différents types de ventilation
1 La ventilation naturelle
ITC - CVC 42
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.3 Les différents types de ventilation
En hiver, les déperditions créées par l’amenée d’air extérieur doivent être
compensées par le système de chauffage.
ITC - CVC 43
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.3 Les différents types de ventilation
3 La ventilation mécanique double flux
Lorsque le taux de renouvellement d’air d’un local atteint 1.5 vol/h et plus la ventilation double flux s’impose sinon les
sensations d’inconfort se manifestent.
C’est une installation où le débit d’air neuf correspond au débit d’air neuf hygiénique.
Il est souvent judicieux, surtout dans les locaux à forte occupation, de prévoir simultanément une installation :
de soufflage, servant à l’apport d’air neuf correspondant au débit hygiénique
de reprise, permettant l’évacuation de l’air vicié.
En contrôlant précisément les débits d’air à mettre en œuvre, on peut, suivant les besoins, mettre les locaux en légère
dépression ou surpression. En outre, il permet de prévoir une récupération de chaleur sur l’air repris.
Généralement, une batterie de chauffage soit électrique, soit à eau chaude est prévue à l’aspiration du ventilateur de
soufflage pour réchauffer l’air neuf introduit en hiver à la température des locaux desservis (température neutre).
Le système de chauffage de base (radiateurs, ventilo-convecteurs, …) n’est alors dimensionné que pour combattre les
déperditions dites statiques de ces locaux.
Il existe de nombreuses possibilités pour disposer, en fonction du type de local et de son agencement, les ventilateurs
de soufflage et de reprise qui peuvent également être réunis dans un caisson monobloc.
Mon point C’est le système de ventilation le plus approprié pour la plupart des locaux à
de passage fort taux d’occupation : théâtres, cinémas, restaurants, salles de réunion …..
obligé
ITC - CVC 44
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.3 Les différents types de ventilation
3 La ventilation mécanique double flux (suite)
Dans ce système, c’est l’air que l’on utilise comme fluide caloporteur pour chauffer intégralement les locaux
desservis.
Dans ce cas, les débits d’air de soufflage sont nettement supérieurs aux débits d’air neuf réglementaire et la
différence peut être assurée par un recyclage partiel de l’air repris (fonctionnement en mélange). L’air
soufflé est alors réchauffé dans une batterie soit électrique, soit à eau chaude à une température supérieure
à la température souhaitée dans le local (entre 30 et 40°C). Le surplus de chaleur sert à couvrir les
déperditions.
Les taux de brassage d’air se situe généralement entre 2 et 4 vol/h y compris le débit d’air hygiénique
minimum requis.
ITC - CVC 45
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.3 Les différents types de ventilation
3 La ventilation mécanique double flux (suite)
C. La ventilation double flux assurant simultanément le refroidissement
Ces installations peuvent fonctionner soit en tout air neuf, soir en air
recyclé, soit en mélange et le refroidissement de l’air soufflé s’effectue
sur une batterie froide à détente directe ou à eau glacée (Cf. Chapitre 4)
placée sur le soufflage de l’air en amont du ventilateur.
Ventilation double flux avec
Les taux de brassage d’air se situent entre 5 et 6 vol/h y compris le
récupérateur à plaques
débit d’air hygiénique minimum requis.
ITC - CVC 46
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.3 Les différents types de ventilation
Les réseaux de ventilation mécanique contrôlée (VMC) qui assurent, sans recyclage,
l’extraction mécanique de l’air vicié dans les locaux à pollution spécifique (salles
d’eau, WC, offices…) avec des bouches à forte perte de charge, pour des débits
n’excédant pas 200 m3/h et par local. L’amenée d’air neuf naturelle ou mécanique, est
réalisée dans les locaux à pollution non spécifique. Les réseaux de VMC sont soumis
aux prescriptions des articles CH41, CH 42 et CH43 .
Dans les logements, les installations de ventilation sont de type VMC avec
entrées d’air dans les menuiseries et extraction dans les locaux à pollution
Mon point
de passage spécifique.
obligé
ITC - CVC 47
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
1 Les extracteurs et caissons de soufflage
Généralement l’extraction d’une installation de ventilation simple ou double flux se présente sous la forme
d’un caisson dans lequel le ventilateur monté sur plots anti-vibratiles est équipé à l’aspiration comme au
refoulement de manchettes anti-vibratiles MO atténuant les transmissions de bruit par vibration.
L’extracteur peut être équipé d’un pressostat de manque d’air permettant de renvoyer une
Mon point alarme en cas de panne moteur ou rupture de la courroie de transmission.
de passage
obligé
Il doit être également muni d’un organe de coupure électrique bi ou tri-polaire à proximité afin
de pouvoir intervenir en toute sécurité sur l’appareil. Caisson d’extraction
Le rejet de l’air doit être situé au minimum à une distance de 8 m de toute prise d’air ou de
tout ouvrant.
Les ventilateurs de soufflage dans le cas d’une installation double flux se présentent également
CAISSON DE SOUFFLAGE sous forme de caisson ayant les mêmes équipements qu’un caisson d’extraction mais dans
lequel comme vu précédemment peut être rajoutée une batterie chaude électrique ou à eau.
Avec batterie On rencontre différents types de ventilateurs :
eau chaude à entraînement direct
à entraînement poulie/courroie
Elle se rencontre sur les systèmes de ventilation double flux et permet la récupération de l’énergie
disponible dans l’air extrait avant rejet à l’extérieur.
L’air neuf extérieur est ainsi préchauffé gratuitement en hiver par échange indirect avec l’air extrait.
Le récupérateur à plaques
C’est un échangeur constitué de plaques ondulées, empilées perpendiculairement.
Le caloduc
C’est un échangeur qui referme un liquide en équilibre avec sa phase vapeur.
Le transfert de chaleur s’effectue par transformation de la chaleur latente ce qui explique la conductivité thermique.
L’échangeur rotatif
C’est un échangeur qui se compose d’un rotor constitué de plaques d’aluminium ondulées, enroulées et colées autour
d’un moyeu central.
Cet ensemble, entraîné par un moteur et une courroie de transmission, permet la rotation de l’échangeur. Grâce au
mouvement rotatif, la chaleur est récupérée au niveau des canaux passant alternativement dans le flux d’air chaud
puis dans le flux froid. Le rotor monté dans un caisson permet de raccorder aisément l’appareil directement sur les
réseaux de gaine ou de l’incorporer dans une centrale de traitement d’air.
L’échangeur à eau glycolée
Il est composé de 2 batteries d’échange dans lesquelles circule de l’eau glycolée au moyen d’une pompe de transfert.
Une des batteries prélève des calories sur l’air où elle est installée et la transféréet à l’aide du circuit d’eau glycolée
(fluide caloporteur) à l’air dans lequel est implantée la seconde batterie. Ex : transfert entre air extrait et air soufflé.
ITC - CVC 49
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
2 La récupération d’énergie
ITC - CVC 50
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
3 Les réseaux de gaines
L’un des éléments principaux de tout système de ventilation est le réseau de distribution d’air. Celui-ci est constitué d’un
ensemble de conduits linéaires et d’accessoires (coudes, tés, piquages, …) permettant d’acheminer les flux d’air vers les
zones à ventiler.
Le réseau est dans la majorité des cas en acier galvanisé mais il peut aussi être :
en aluminium (évacuation de gaz brûlés),
en inox (air saturé en eau, atmosphère corrosive),
ou en tôle noire (évacuation de l’air contenant des graisses).
Les conduits peuvent être circulaires, rectangulaires ou oblongs.
Mon point Les conduits circulaires sont livrés en longueur de 3 mètres et sont spiralés et agrafés.
de passage
obligé Les diamètres disponibles vont du diamètre 80 au 1250 mm en standard et jusqu’au 2000 mm en
consultation.
L’épaisseur de la tôle galvanisée est en général comprise entre 0.5 et 1.2 mm.
Les conduits rectangulaires sont utilisés dans les cas où les débits d’air doivent passer dans de faibles
hauteurs.
Il est souhaitable pour limiter les pertes de charge que le rapport Largeur/Hauteur se situe entre 2 et 3 .
Les épaisseurs de la tôle galvanisée sont fonction de la plus grande dimension.
Les conduits flexibles sont utilisés en terminaison de réseau pour raccorder la bouche d’insufflation
ou d’extraction au conduit rigide.
Sa flexibilité facilite grandement la pose compte tenu des dérives que l’on peut rencontrer dans le
positionnement des terminaux de ventilation.
Le conduit flexible est généralement en acier galvanisé avec ou sans calorifuge ou insonorisé mais peut
aussi être en aluminium.
Il doit être M0 (le matériel est incombustible) .
ITC - CVC 51
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
Les critères de qualité d’ambiance à obtenir conduisent à définir les paramètres des
conditions de propreté, de température et d’hygrométrie de l’air soufflé.
La diffusion de l’air traité dans la zone à contrôler présente donc une importance
majeure afin que :
io n de s
t
Posi hes et La disposition des bouches constitue un élément important d’une conception, laquelle doit prendre en compte l’existence des objets
c
bou tion à
susceptibles de perturber la diffusion : poteaux, retombées de poutres, luminaires……
ta t En effet, la présence d’obstacles dsans le champ du jet modifie la géométrie du soufflage et peut provoquer des perturbations gênantes (flux
adap nnemen turbulent) pour l’homogénéité des conditions ambiantes et en conséquence, des vitesses limites acceptables dans la zone
i ro
l’env d’occupation.
Une vitesse d’air résiduelle de 0.5 m/s est acceptable pour le chauffage d’un atelier de mécanique dont les opérateurs ne travaillent pas à poste
se d’air fixe.
Vites Elle ne l’est plus si les opérateurs effectuent un travail sédentaire (vitesse souhaitable de l’ordre de 0.3 m/s en chauffage) et surtout si
l’atelier est climatisé : une vitesse de 0.2 m/s doit alors être recherchée.
La température de l’air soufflé influe sur la géométrie du jet du fait de la différence de sa densité par rapport à l’air ambiant. L’air plus froid que
l’ambiant descend, l’air plus chaud monte.
é ra ture La température effective de l’air en limite de portée, dans la zone d’activité, constitue un élément important des sensations de courant d’air.
Te mp La température de soufflage est directement liée au taux de brassage dans les locaux de grande hauteur. Il faut prendre soin de souffler à des
températures inférieures ou égales à 40°C pour évite r la stratification.
Le respect de ces précautions améliore le confort et permet de réaliser des économies d’énergie.
ts t ypes Les bouches de soufflage directives peuvent être remplacées par des bouches à effet d’induction qui provoque le mélange de l’air soufflé à l’air
re n ambiant. En limite de portée la température de l’air sera proche de celle de l’ambiance et la sensation de courant d’air améliorée ou
Diffé ouches .2 supprimée.
de b itre 4.5 La gamme de diffuseurs disponibles, surtout pour le soufflage en plafond ou sous gaines, est importante. Citons :
hap
Cf. C Les diffuseurs circulaires à induction, non directionnels.
Les diffuseurs carrés ou rectangulaires, directionnels, à quatre, trois, deux ou une seule direction de soufflage.
Les diffuseurs linéaires…
ITC - CVC 55
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
4 Les diffuseurs d’air (suite)
B. Les applications particulières
Les cas difficiles concernent le soufflage de quantités d’air importantes (fort taux de brassage, Cf.
définition Chapitre 1) dans les locaux de hauteur ou de dimensions limitées ou dans ceux de très
grande hauteur.
Certains traitements d’ambiance nécessitent des taux de brassage très importants. Les
raisons principales peuvent être :
ITC - CVC 56
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
4 Les diffuseurs d’air (suite)
B. Les applications particulières
ITC - CVC 57
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
4 Les diffuseurs d’air (suite)
B. Les applications particulières
Mon point
de passage
obligé
Dans les locaux de grande hauteur, les difficultés résident surtout dans la maîtrise des flux
d’air chaud car la différence des masses volumiques provoque des effets de convection qui
conduisent les masses d’air chaud à s’accumuler dans les parties hautes c’est à dire hors
des zones à chauffer.
Destratificateur
L’effet de stratification est très important et se caractérise par un gradient vertical de
température pouvant atteindre 5 à 10°C entre la zone à chauffer et la partie supérieure du
local, ce qui réduit l’efficacité du chauffage et augmente la consommation d’énergie.
Par contre, si le chauffage par système à air reste une nécessité, il convient d’adopter des
dispositifs limitant les effets de stratification haute.
Ces dispositifs sont basés sur la diffusion forcée de l’air de haut en bas par des ventilateurs
qui rabattent l’air, ou par des diffuseurs d’air à flux hélicoïdal permettant d’améliorer
l’homogénéisation des températures sur de grandes hauteurs.
ITC - CVC 58
3. UNE INSTALLATION DE VENTILATION
3.4 Les différents éléments d’une installation
4 Les diffuseurs d’air (suite)
B. Les applications particulières
Mon point
de passage
obligé Pour le rafraîchissement des locaux de grande hauteur il est judicieux
d’utiliser la stratification basse favorisée par le soufflage d’air plus froid
que l’ambiance et surtout plus froid que les grands volumes situés au
dessus de la zone d’activité, où peuvent de surcroît être extraites les
pollutions éventuellement générées par le process.
Le boîtier de mécanisme peut être équipé de divers composants en fonction des contraintes de
sécurité du bâtiment :
fusible thermique 70°C
(le clapet se ferme lorsque le fusible détecte la chaleur, réarmement manuel)
fusible thermique 70°C et contact de fin de course
(permet le report de l’information de fermeture du clapet, réarmement manuel)
bobine électromagnétique 24 ou 48 Volts et contacts de début et fin de course
( fermeture par rupture ou émission de courant et report de l’information d’ouverture et
fermeture du clapet, réarmement manuel )
bobine électromagnétique 24 ou 48 Volts, contacts de début et fin de course, moteur
électrique de réarmement
(fermeture par rupture ou émission de courant, report de l’information d’ouverture et
fermeture de clapet et réouverture du clapet par le moteur)
Dans le cas des clapets coupe-feu rectangulaire, l’arrêté du 3 Août 1999 impose les règles
dimensionnelles suivantes :
1/3 < hauteur < 2
CLAPETS Largeur
ITC - CVC 61
CVC
ITC - CVC 62
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
SOURCE DE CALORIES
AIR :
Plus ou moins propre
+
SOURCE DE FRIGORIES
Neuf, repris
TRAITEMENT DE L’AIR
QUALITATIF/CLIMATIQUE
Le nem
i on
d it ’air DISTRIBUTION D’AIR
ITC - CVC 64
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
ITC - CVC 65
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
ITC - CVC 66
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
Elle peut-être CENTRALISEE ou DECENTRALISEE.
ITC - CVC 67
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
ITC - CVC 68
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
La condensation : 2 techniques
Tour de refroidissement
condensation par voie humide
tour fermée / tour ouverte
hauteur importante, faible encombrement au sol
niveaux sonores importants
traitements d'eau obligatoires : adoucissement, algicides…
! risque important de légionelles
Aérocondenseur ou dry-cooler
condensation par voie sèche
batterie d'échange à plat ou en V
faible hauteur, encombrement au sol important
existe aussi en système hybride
ITC - CVC 69
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
ITC - CVC 70
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
L’évaporation : 2 techniques
Les frigories du fluide frigorigène sont transférées à Le fluide frigorigène est directement amené dans
de l’eau : l’unité de traitement d’air :
Cette eau alimente les unités de traitement d’air Si la quantité de fluides alimentant les terminaux
Cas le plus fréquent en production centralisée est régulée, on parlera de volume variable de
réfrigérant
Réseau en tubes d’acier noir calorifugés, ∆T 5°
en général Réseau en tubes cuivre préisolés
ITC - CVC 71
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
Machines monobloc à condensation par air composées d’une unité extérieure et d’une ou plusieurs unités
intérieures.
Généralement; le fluide frigorigène est directement amené dans l’unité de traitement d’air, sans régulation de débit :
on parlera de détente directe.
Sont classés dans cette catégorie les équipements suivants :
Centrales de traitement d’air à détente directe
Splits-systems : mono et multi
Climatiseurs autonomes
Pompes à chaleur
2
ITC - CVC 72
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
Suite aux contraintes d'environnement (couche d'ozone) seuls les HFC (héxafluorocarbures) sont utilisés en
climatisation de confort, en particuliers :
R134a HFC pur
Avantages et inconvénients :
HFC Pur En cas de fuite, seul un complément de fluide est nécessaire.
Performances médiocres entraînant un surdimensionnement des machines de 25%.
Mélanges En cas de fuite, nécessité de renouveler tout le fluide frigorigène.
Coût des machines intéressant.
Cas du R22 :
Mon point Il s'agit d'un HCFC : hexachloroflurocarbure. C'est le seul encore en « usage ».
de passage Interdit à la vente en machine neuve.
obligé
Autorisé neuf jusqu'en 2010 pour l'entretien.
Autorisé recyclé jusqu'en 2015 pour l'entretien.
Interdit après 2015.
ITC - CVC 73
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
1 Les machines à compression
ITC - CVC 75
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
2 Les machines à absorption
ITC - CVC 76
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.2 Les sources de frigories
La machine à
3 Comparaison : compression / absorption absorption
La machine à Avantages :
compression Intéressant lorsque les besoins de climatisation sont
couplés à des besoins d'eau chaude (industrie).
Avantages : Excellent rendement en hiver : chauffage des locaux,
Profite de la tarification EDF: heures d'été du coût du gaz.
01/04 au 31/10
Technique éprouvée Inconvénients :
Nécessite une tour de refroidissement pour
Inconvénients : l'évacuation des calories hors période de chauffage :
Electricité très chère en hiver (01/11 au 31/03) hauteur, consommation d'eau, légionellose.
ITC - CVC 77
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
1 Principe d’une Centrale de Traitement d’Air
Le traitement qualitatif et climatique de l’air est assuré par une Centrale de Traitement d’Air.
Mélange = air neuf + air repris L’air diffusé est aspiré en partie à l’extérieur, en partie à l’intérieur
ITC - CVC 78
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
1 Principe d’une Centrale de Traitement d’Air
L’air introduit dans une centrale parcourt, en général, les étapes suivantes :
1. la filtration,
2. le traitement thermique : rafraîchissement, humidification, déshumidification,
chauffage,
3. la pulsion dans un réseau de gaine relié à un ensemble de locaux,
4. l’extraction depuis ces locaux.
Enfin, les systèmes de ventilation équipés d’une CTA sont du type double flux :
pulsion de l’air depuis la CTA,
extraction par la CTA ou par des extracteurs isolés.
ITC - CVC 79
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
Registre antigel
motorisé Caisson de
récupération à plaques Caisson de
Filtre plan mélange 3 voies
Filtre à poches
Filtre plan
Batterie Humidificateur
Ventilateur de reprise Ventilateur de
chaude à eau
Séparateur à goutte soufflage
extractible Batterie
Batterie froide à chaude à eau
eau glacée
ITC - CVC 80
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
Registre motorisé qui sert à protéger la CTA On peut trouver cet élément dans les traitements et
Registre en cas de panne ou de manque d’eau installation suivants :
antigel chaude dans le batterie de pré-chauffage. Ch Ch + Clim
Tout Air Tout Air
Mélange
Neuf Repris
Le registre antigel peut être utilisé pour
réguler le débit d’air neuf. X X X X
Mon point
de passage
obligé
ITC - CVC 81
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
On peut trouver cet élément dans les traitements et
installation suivants :
Tout Air Tout Air
Ch Ch + Clim Mélange
Neuf Repris
Filtration étage 1 Filtration grossière dite gravimétrique
– en général, filtres plans, filtre plissé. X X X X X
Mon point
de passage
obligé
Le contrôle de l’état des filtres se fait par mesure de la
différence de pression entre l’amont et l’aval du filtre. Si
celle-ci est trop élevée, il y a envoi d’une alarme, sur
l’armoire ou sur une GTC.
ITC - CVC 82
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
Récupérateur rotatif
Echangeur à plaques
Caloduc vertical
ITC - CVC 83
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
Mon point
de passage
obligé
ITC - CVC 84
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
On peut trouver cet élément dans les traitements et
installation suivants :
Tout Air Tout Air
Ch Ch + Clim Mélange
Batterie de Chauffage de l’air par passage de l’air à Neuf Repris
Batterie chaude
Mon point
de passage
obligé La régulation de l’apport énergétique se fait généralement par :
Par modulation du débit de fluide caloporteur si batterie à eau ou vapeur.
Par modulation de la puissance si batterie électrique (par étages ou triac).
ITC - CVC 85
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
On peut trouver cet élément dans les traitements et
installation suivants :
Tout Air Tout Air
Ch Ch + Clim Mélange
Neuf Repris
Rafraîchissement de l’air par passage de l’air à
Rafraîchissement travers une batterie alimentée par de l’eau X X X X
glacée ou un fluide frigorigène (détente directe).
Mon point
de passage La régulation de l’apport de frigories se fait généralement par :
obligé
Variation de débit si batterie à eau glacée,
Fonctionnement par étage de l’appareil de production en cas de détente directe.
ITC - CVC 86
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
Ajout d’eau dans l’air soufflé afin de maintenir un On peut trouver cet élément dans les traitements et
taux minimal d’humidité relative dans les locaux. installation suivants :
Humidification Se fait dans la CTA par : Tout Air Tout Air
Ch Ch + Clim Mélange
laveur Neuf Repris
rampe de pulvérisation
X X X X X
injection de vapeur
Humidificateur à rampes
Mon point
!
de passage Les systèmes à eau froide sont
obligé
sensibles au développement
des légionnelles.
RISQUE DE
LEGIONNELLE
ITC - CVC 87
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
Pour les locaux à empoussièrement contrôlé, on peut trouver en aval du ventilateur de soufflage un
Mon point
de passage filtre terminal haute efficacité (voir classification des filtres à l’annexe 4).
obligé
L’entraînement par courroie est une sécurité. A la mise en service, une modification poulie/courroie
permet l’ajustement du débit.
Si le débit d’air est supérieur à 10 000m3/h : détection fumée obligatoire.
ITC - CVC 88
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air
2 Composants d’une Centrale de Traitement d’Air
On trouve cet élément dans
les traitements et installation
suivants :
Tout Air Tout Air
Mélange
Neuf Repris
Reprise d’air :
Filtration gravimétrique X X* X*
Ventilation X X X
Récupérateur de calories X X
Caisson de mélange X
* Si récupérateur de calories
ITC - CVC 89
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.3 Le traitement de l’air Mon point
de passage
obligé Il peut y avoir plusieurs roof-top sur
3 Cas particulier des roofs-top un projet.
Electricité thermodynamique :
source froide réversible
Roof-top type :
Roof-top type : Unité autonome de
centrale de climatisation à
traitement d’air récupération de
ITC - CVC chaleur 90
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.4 La distribution de l’air
ITC - CVC 91
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.5 La diffusion de l’air
ITC - CVC 92
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.5 La diffusion de l’air
1 Les règles
Préférer les diffuseurs à forte induction car ils assurent le mélange de l’air soufflé avec l’air
ambiant et réduisent ainsi les écarts de température.
Eviter les diffuseurs plafonniers unidirectionnels car ils créent un jet plus violent.
Eviter de souffler sur les parois froides car cela risque de majorer l’inconfort par
refroidissement excessif de l’air.
Utiliser des diffuseurs motorisables car la forme des cônes de diffusion s’adapte à la
température de l’air soufflé.
Respecter les préconisations UNICLIMA :
ITC - CVC 93
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.5 La diffusion de l’air
2 Critères de choix
Exemples de
diffuseurs
ITC - CVC 94
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.6 Les terminaux
1 Classification des terminaux
Dans ce type de terminal, les frigories ou les Dans ce type de terminal, les frigories ou les
calories sont transmises au local par calories sont transmises au local soit par
convention forcée. rayonnement, soit par convection naturelle.
ITC - CVC 95
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.6 Les terminaux
1 Classification des terminaux
Au sens de la définition que l’on a donné au chapitre 1 (page 10) , les terminaux
actifs qui correspondent aux équipements de type B,
passifs (type A).
ITC - CVC 96
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.6 Les terminaux
1 Classification des terminaux
Le raccordement des terminaux sur les sources chaudes et froides peut se faire de plusieurs manières.
2 tubes / 2 fils 2 tubes VRV 2 tubes 4 tubes
1 2 change over 3 4
Source froide centralisée ou centralisée ou centralisée centralisée ou
décentralisée décentralisée décentralisée
Source chaude électricité directe centralisée, chaufferie ou centralisée, machine centralisée, chaufferie gaz
machine frigorifique frigorifique réversible en général
réversible
Coût d’installation La moins chère Un peu plus cher que 2 tubes / 2 fils La plus chère
Coût d’exploitation En général, le plus En général, intermédiaire entre les solutions 1 et 4 En général,le moins cher
chauffage cher A nuancer selon les régions
Les batteries Batterie froide /chaude incorporée dans un réseau de distribution d’air à l’entrée d’un local ou d’un
terminales groupe de locaux.
Idem pour les ventilos-convecteurs.
ITC - CVC 98
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.6 Les terminaux
2 Les terminaux actifs
+ -
Pas d’eau ni de fluide frigorigène au droit de Solution limitée car :
l’équipement. Nécessite des réseaux de gaines
Pas de condensation donc pas de pompes de dimensionnés pour assurer le taux de brassage
relevage ni de réseau de condensats. des locaux.
Solution intéressante car elle élimine les risques Ne s’utilise qu’avec une ventilation à double
de fuites en faux-plafond. flux de confort.
Nécessite un traitement d’air par façade.
ITC - CVC 99
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.6 Les terminaux
2 Les terminaux actifs
Les unités terminales à détente directe
Unité alimentée directement en fluide frigorigène :
La batterie à eau glacée est remplacée par une batterie fluide frigorigène
L’unité de compression/condensation est placée à l’extérieur du bâtiment. (Cf. chapitre 4, partie
Production frigorifique décentralisée)
Il existe des modèles : Froid seul
Réversibles = froid + chauffage thermodynamique
Ces appareils ont en général 2 vitesses de fonctionnement.
Tableau d’équivalence
PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
L’air chaud monte dans le faux-plafond via des grilles de transfert ou De l’air neuf (débit hygiènique en général, voire plus) est
des fentes injecté dans la poutre
Celui-ci est refroidi au contact de la batterie froide de la poutre L’air du local est aspiré au centre de la poutre par la
Sa densité augmentant en refroidissant, il redescend dans le local dépression créée par l‘injection d’air neuf
L’air neuf et l’air aspiré sont rafraîchis ou chauffés dans la
poutre puis soufflés dans le local par deux fentes latérales
Le débit d’air injecté dans la poutre dépend de la charge
climatique du local
LIMITE D’UTILISATION
Des petits tuyaux (plastique, cuivre) serpentent Des tuyaux (plastique, cuivre) sont noyés dans la
C IPE au dessus des dalles de plafond. dalle de sol
IN
PR
Celles-ci s’échauffent ou se refroidissent selon
Celle-ci s’échauffe ou se refroidit selon la
la température de fluide qui circule dans les
tuyaux température de fluide qui circule dans les tuyaux
Les frigories ou les calories sont transmises au Les frigories ou les calories sont transmises au
local par rayonnement local par rayonnement
S-
compléter l’apport de frigorie.
L E
Le système de ventilation prend donc en charge une partie du traitement climatique. Nécessite une
régulation pointue car la température de la dalle doit être constamment supérieure à la température
de rosée de l’air du local
Nécessitent une régulation par local. Régulation par zones de 150 m2 maximum.
Mon point
de passage
obligé La régulation doit éviter les condensations à la surface des émetteurs.
ITC - CVC 102
4. UNE INSTALLATION DE CONDITIONNEMENT D’AIR
4.6 Les terminaux
4 Tableaux de synthèse des terminaux
Aéroconditionneur
aérotherme x x x
Cassettes
cassettes x x x x x x
CTA de traitement d'air
centrale x x x x x
Climatiseur
climatiseur autonome
autonome x x x
Plafonds
plafonds x x x
Planchers
planchers x x x
Poutre
poutre froide
froide x x x x
Ventilo-convecteurs
ventilo-convecteurs x x x x x
VRV
VRV x x x
Conditions intérieures
Critères d’occupation
à respecter
des locaux
Données venant de
Besoins en traitement d’air l'architecte : hauteur
Chauffage d’étage, de plénum…
Type de ventilation
Refroidissement
Humidification Données venant du
Déshumidification BE Structure :
retombée des
poutres…
Le client est-il
utilisateur ?
O
N
UI
NO
Investissement réduit Confort optimisé
CVC
2 Régulation/programmation des installations
de CVC p.112
2 La régulation, pour apporter le meilleur confort et limiter les consommations d’énergie, et pour
optimiser le fonctionnement des installations.
Dans une installation de CVC, il est fait usage de l’électricité à tous niveaux :
Exemples :
Centrale de traitement d’air pour faire fonctionner les ventilateurs, les registres, les vannes 3 voies, …
L’électricien fournit et pose le câble L’électricien fournit et pose le câble L’électricien amène un câble à
d’alimentation de l’équipement, d’alimentation, compris protection, proximité de l’une des parties de
compris protection, depuis l’un de depuis l’un de ses tableaux électriques. l’équipement.
ses tableaux électriques. Ce câble est laissé en attente dans un
local technique.
Le chauffagiste branche son Le chauffagiste crée sa propre armoire Le chauffagiste branche son
équipement sur l’attente laissée par électrique. Il pose ensuite ses propres équipement sur l’attente laissée par
l’électricien. câbles et raccorde ses appareils sur ces l’électricien puis assure les liaisons
câbles. entre l’équipement principal et les
équipements secondaires.
Des câbles résistants au feu type CR1 (couleur orange) Des câbles courants type U1000RO2V
Ces câbles sont utilisés lorsque les équipements Toutes les autres applications
participent à la sécurité incendie du bâtiment.
Sont généralement câblés ainsi les moteurs de désenfumage
et les clapets coupe-feu (s’ils sont à bobines et commandés
par émission de courant)
Mon point
de passage
obligé Pour les clapets coupe-feu à bobines, c’est en général l’électricien qui les câble et les
raccorde au CMSI (Centralisateur de mise en Sécurité Incendie). Le report de
signalisation de la position des CCF est généralement réalisé par le chauffagiste.
L’information est transmise à un régulateur qui la compare à la consigne et transmet l’ordre d’ajustement aux actionneurs.
L’action peut être de 2 types :
Tout ou rien (TOR) Exemple : marche/arrêt, ouverture/fermeture
Modulante Exemple : ajustement de la température d’eau d’un réseau
La consigne peut être :
Fixe Exemple : température ambiante
Calculée par le régulateur Exemple : température départ d’eau en fonction de la température extérieure
Marche/arrêt chaudière si la température d’eau est trop basse dans la chaudière, le brûleur se met en
marche (brûleur 1 allure)
Puissance chaudière si la température d’eau est trop basse ou trop haute dans la chaudière, le
brûleur ajuste sa puissance
en faisant varier le débit de gaz (brûleur modulant)
en changeant d’allure (brûleur 2 allures)
Cascade chaudière si la température des retours de chauffage est trop basse, une chaudière
supplémentaire se met en service.
Marche/arrêt groupe froid si la température d’eau est trop haute dans le groupe froid (GF), le
compresseur se met en marche.
Puissance groupe froid si la température d’eau est trop basse ou trop haute dans le GF, le
compresseur ajuste sa puissance
en faisant varier sa vitesse (vis ou scroll)
en jouant sur le nombre d’étages en service (piston)
Cascade groupe froid si la température des retours d’eau est trop élevée, un groupe froid
supplémentaire se met en service.
Dans la régulation tout ou rien, la mesure se fait Dans ce type de régulation, le débit de fluide est plus ou moins grand selon
par un thermostat d’ambiance. Le fonctionnement l'écart de température entre la consigne et la mesure.
de l’émetteur est de type tout ou rien. On distingue les régulations :
→ Thermostatiques : de la cire (généralement) se dilate plus ou moins en
fonction de la température et agit sur un piston qui autorise plus ou
moins le passage de fluide
→ Motorisées : un moteur alimenté électriquement provoque le
Mon point déplacement de l'organe de régulation. Ce type de régulation nécessite
de passage un capteur et un régulateur séparés.
obligé
Pour les équipements avec ventilateur, il est possible de jouer aussi sur le fonctionnement du ventilateur.
ITC - CVC 114
5. PILOTAGE D’UNE INSTALLATION CVC
5.2 Régulation/programmation des installations de CVC
2 Fonctionnement des principales régulations
Chaque type de régulation est possible avec chaque type de terminal. Cependant, on rencontrera plus fréquemment les cas suivants :
Plancher eau chaude Sonde d’ambiance + capteur de sol Vanne motorisée Variation débit d’eau
Local équipé de radiateurs Bulbe Thermostatique déporté Vanne thermostatique Variation débit d’eau
Sonde d’ambiance Vanne motorisée Variation débit d’eau
Radiant gaz Sonde de rayonnement Contacteur M/A brûleurs
Ventilo-convecteur eau Sonde d’ambiance Vanne motorisée + contacteur Variation débit d’eau et débit d’air
Ventilo-convecteur électrique Sonde d’ambiance Contacteur M/A résistances et variation débit d’air
Batteries à eau chaude Sonde de température Vanne motorisée Ajustement de la fourniture de calories
Batterie électrique Sonde de température Contacteur Ajustement de la fourniture de calories
Batterie à eau glacée Sonde de température et sonde d'humidité relative Vanne motorisée Ajustement de la fourniture de frigories
Humidificateur Sonde d'humidité relative Contacteur Arrêt de la fourniture d'eau , de vapeur…
Ventilateur Pressostat Variateur de vitesse Variation du débit d'air
Récupérateur à plaques, à Sonde de température extérieure + sonde de reprise Moteur By-pass du récupérateur
changement d'état, rotatif
Récupérateur à eau glycolée Sonde de température extérieure + sonde de reprise Contacteur Arrêt pompe de transfert de calories
Les alarmes peuvent être générées pour des défauts ou pour des nécessités d’entretien.
Les alarmes générées pour « défauts » signalent à l’utilisateur qu’un problème a surgi sur tel ou tel équipement.
L’étanchéité des réseaux d’eau chaude et d’eau contrôlée par un pressostat manque d’eau
glacée
L’étanchéité des réseaux de gaz surveillée par une centrale de détection de gaz
TS : Télésignalisation. Il s'agit de transmettre une information d'état. Le signal est de type tout ou rien
(0/1, marche/arrêt)
TA : Téléalarme. Ici, l'état transmis est un défaut. Signal de type tout ou rien.
TM : Télémesure. Peuvent être transmises des indications de température, de pression, … Le signal
envoyé est de type 0/10 V ou 4/20 mA, la table de conversion étant programmée dans l'unité
centrale.
TQ : Télé-comptage. Si les équipements de comptage sont équipés d'émetteurs d'impulsions. Elles
peuvent être transmises à l'UC qui, grâce à une table de conversion, calcule la consommation. On
trouvera des compteurs d'eau, de calories, de gaz, des compteurs électriques.
TC : Télécommande. Cette fonction permet d'envoyer des impulsions qui seront analysées par les
automates et entraîneront un changement d'état du type tout ou rien principalement un
marche/arrêt. Elle est souvent couplée à un programme horaire hebdomadaire.
TR : Télé-réglage. Il s'agit ici de réguler les installations de CVC. En fait, on pourra dans l'UC
paramétrer les installations : intervenir sur les consignes, modifier les réglages.
Si depuis l'UC il est possible d'intervenir sur le paramétrage des installations, l'automate conserve le
pilotage des actionneurs (voir chapitre régulation). Ainsi, si l'UC est à l'arrêt, les automates gardent
la maîtrise complète des installations.
La liaison entre automate et UC est réalisée par un bus.
Le raccordement des points au bus se fait par l'intermédiaire de modules de communication :
Modules d'entrée pour les points du type TA, TS, TQ, TM
Modules de sortie pour les points TC et TR
Pour que l'ensemble des éléments puissent communiquer entre eux, il existe des protocoles de
communication. Pendant longtemps, on rencontrait le protocole Modbus/Jbus. De plus en plus, on
rencontre le standard LonWorks®. Il s'agit de protocoles ouverts, c'est à dire accessibles à tous.
Mon point
de passage
obligé
On rencontre parfois des protocoles fermés, accessibles aux seuls fabricants de telle ou
telle machine. Attention donc car il faudra développer des passerelles de communication
afin que le dialogue soit possible entre la supervision et la machine.
Les points gérés sont généralement des TS, des TA, des TQ et des TC.
CVC
Arrêté du 02 août 1977 modifié : relatif (entre autre) aux installations de gaz combustible situées à l'intérieur des bâtiments
d'habitation ou de leur dépendance
Ce texte traite de l'ensemble des prescriptions à respecter lors de la mise en œuvre d'un réseau de gaz dans un immeuble
d'habitation.
Arrêté du 23 juin 1978 modifié : installations fixes destinées au chauffage et à l'alimentation en eau chaude sanitaire des
bâtiments d'habitation, de bureaux ou recevant du public.
Ce texte comporte plusieurs titres qui méritent d'être cités : Titre I : Chaufferies
Titre II : Sous-stations
Titre III : Installations intérieures …
Dans cet arrêté sont données les exigences relatives :
d'une part aux dispositions constructives des chaufferies et sous-stations, aux conduits de fumée, aux moyens de lutte contre
l'incendie,
d'autre part aux systèmes individuels placés hors chaufferie, à la distribution et à l'émission de chaleur, à la distribution d'eau
chaude sanitaire (AM du 30/11/2005 modifiant l’article 36 de l’AM du 23/06/1978).
Texte de référence :
M
Z OO
Il est composé comme suit :
IT 263 du 30/12/1994 relative aux volumes libres intérieurs (atriums) dans les ERP
L'article 3 concerne plus particulièrement le CVC.
restent O
P
Hôtels - Pensions de famille
Salles de danse - Salles de jeux
O5
P5
O 11
P 14
O 14
P 15
généraux, le R
S
Etablissements d'enseignements - Colonies de vacances
Bibliothèques - Centre de documentation et de consultation d'archives
R 10
S8
R 19
S 9 - S 10
R 20 à R 23
S 11
tableau ci-après T Salles d'expositions T 13 T 25 - T 26 T 27
U 13 U 26 U 27
cite les articles U Etablissements de soins
- salles d'opération, anesthésie et réveil U 34
V Etablissements de culte V6 V7 - V8
définissant les W Administrations- Banques - Bureaux W4 W9
X Etablissements sportifs couverts X 10 X 19 X 20
exigences Y Musées Y8 Y 13 - Y 14 Y 15
Code du travail : articles R 235-4.8 à R 235-4.11 pour les bâtiments à construire ou à transformer.
Article R 235-4.8 : concerne le désenfumage
Articles R 235-4.9 à R 235-4.11 : concerne le chauffage des locaux
Arrêté du 05 août 1992 modifié relatif à la protection incendie et au désenfumage de certains lieux de travail.
Il met en application l'article R 235-4.8 du Code du Travail.
Dans la section 2, on y trouvera les dispositions à mettre en œuvre pour le désenfumage.
A noter que l'article 14 renvoie aux IT 246 et 263 précédemment citées.
Arrêté du 27 juin 1994 relatif à l'accessibilité des lieux de travail aux personnes handicapées.
Le désenfumage des refuges handicapés, lorsqu'ils existent, est demandé à l'article 3 § II.2.d.
Les dispositions pour assurer la sécurité et la protection contre l'incendie sont définies dans les articles :
R 122-1 à R 122-29 du Code de la construction et de l'habitation.
En application de l'article 122-4, a été pris l'arrêté du 18 octobre 1977 (modifié) définissant le règlement de
sécurité dans les IGH.
Le désenfumage y est abordé dans les articles GH 28 et GH 29 tandis que le CVC proprement dit l'est dans les
articles GH 35 à GH 39.
La méthodologie pour le désenfumage est définie dans une instruction technique provisoire datée du 07 juin
1974.
s’appliquant aux chaufferies de plus de 2000 kW : Pour les parkings de plus de 1000 places :
Arrêté type n°2910 modifié : Combustion
IME
Arrêté type n°2935 : Parcs de stationnement couverts
UP PR
et garages-hôtels de véhicules à moteur.
A noter que depuis le 01 janvier 2005, cet arrêté ne
s’appliquant aux productions frigorifiques dont la
puissance électrique absorbée > 50 kW.
S
s'applique plus qu'aux parcs de plus de 1000 places
Arrêté type n°2920 modifié : Installations de
s’appliquant aux entrepôts et la logistique :
réfrigération ou de compression fonctionnant à des
pressions effectives > 105 Pa Arrêté type n°1510 : Stockage de matières
combustibles en quantité supérieure à 500 tonnes dans
des entrepôts couverts.
s’appliquant aux tours de refroidissement : Cet arrêté est complété par l'arrêté du 05 août 2002 :
Arrêté type n°2921 : Installations de refroidissement Prévention des sinistres dans les entrepôts soumis à
par dispersion d'eau dans un flux d'air. autorisation sous la rubrique 1510.
Mon point
de passage
obligé
On trouvera sur le site aida.ineris.fr, la nomenclature
complète des ICPE.
La section 2 du titre III de la circulaire du 09 août 1978 traite de la ventilation des locaux. Elle autorise
plusieurs modes de ventilation selon les conditions définies dans les articles cités ci-après :
Art 63 : Généralités
Art 64 : Ventilation mécanique ou naturelle par conduits
Art 65 : Filtration (si cas de ventilation mécanique)
Art 66 : Ventilation par ouvrants extérieurs
Plus particulièrement :
Pour les logements, on appliquera les dispositions de l'arrêté du 24 mars 1982 modifié. Y sont définis le
principe de la ventilation par balayage ainsi que les débits d'extraction à mettre en œuvre selon la composition des
logements.
Pour les ERP, on se réfèrera directement au RSDT. Le CSTB a d'ailleurs édité en octobre 1988 un cahier spécifique
(n°2286) répertoriant les débits à mettre en œuvre d ans différents locaux et selon le type d'établissement.
Pour les lieux de travail, les valeurs de débit sont à rechercher dans le code du travail dans :
la section 2 du chapitre 2, sous-section 1 "Aération, assainissement"
la section 2 du chapitre 5, article R 235-2.7
Attention : Pour un même type de local, les débits diffèrent sensiblement entre les ERP et les lieux de travail.
Deux exemples :
Bureaux : 18 m3/h par occupant en ERP, 25 en réglementation du travail.
Salles de réunion : 18 à 30 m3/h par occupant en ERP (selon autorisation de fumer), 30 en réglementation
du travail
Date Titre
03/12/1974 Limitation de la température de chauffage des locaux
Nota : ne sont pas citées les normes relatives à la conception des matériels et aux calculs des caractéristiques
thermiques des parois et des ponts thermiques.
Ces normes sont en général disponibles via Welcom-Centre de documentation.
Via le protocole de Kyoto, la France s'est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre.
Le secteur du bâtiment représente une grande partie de ces émissions.
Cet engagement a été traduit par la RT 2000 puis maintenant par la RT 2005.
Bâti (Ubât)
Ventilation
Refroidissement
Chauffage
Apports
gratuits
ECS
Pertes Pertes Pertes
La RT 2005 aborde l’ensemble des postes ayant un impact sur les consommations d’énergie
La RT 2005 impose des performances minimales pour les matériaux et les équipements
La méthode de calcul associée (Règles Th-C-E) permet, sous certaines conditions de mise en
œuvre, la valorisation des énergies renouvelables.
dont les matériaux et équipements respectent les performances minimales décrites au titre III de l’arrêté
dont la consommation énergétique globale Cep est inférieure à une consommation globale de référence* : Cep < Cepréf
s’il est d’usage d’habitation et chauffé à plus de 90% par un énergie différente du bois, dont la consommation
énergétique liée au chauffage, au refroidissement et à la production d’ECS est inférieure à une consommation
maximale : Cep < Cepmax
et, dont la température intérieure conventionnelle des locaux classés en catégorie CE1** est inférieure à une température
intérieure conventionnelle de référence : Tic < Ticréf
En outre, les parois opaques ou vitrées du bâtiment doivent être telles que :
Leur coefficient de déperdition U soit inférieur par type de paroi à une valeur maximale : U < Umax (art.38)
Le coefficient global de déperditions par les parois et les baies Ubât soit inférieur à un coefficient maximal de
déperditions : Ubât < Ubâtmax (art.39)
* référence : le principe de la RT2005 est de comparer la performance de deux projets : ** CE1 : n’ouvrant pas de droits à
Le projet à réaliser avec ses caractéristiques propres (isolation et équipements) consommer de l’énergie pour le
Le même projet mais avec des caractéristiques de référence refroidissement – cf. art 8
Une interface est la conjonction des tâches de 2 intervenants, le premier risquant de mettre
en cause la qualité du suivant et l’achèvement de sa tâche conditionnant le commencement
de la tâche du second.
En principe les interfaces sont appréhendées dans les différents C.C.T.P sous le terme
« Limites de prestations avec les autres lots ».
Il est cependant recommandé dès le début du chantier d’établir un inventaire des interfaces,
de les répertorier et de les faire valider par les différents sous-traitants au fur et à mesure de
leur désignation.
Pour celles présentant un risque d’incidents, il est conseillé d’établir une fiche de traitement
et, lors des rendez vous de chantier, de constater l’exécution conforme ou de définir des
mesures correctives.
Les fiches d’interfaces permettent également aux entreprises de procéder à une réception
amiable et facilite la réception globale des travaux.
Les principales interfaces entre le lot CVC et les autres lots sont :
Le C.C.T.P, qui contient les données de base du projet (résultat à atteindre, moyens prévus pour y
parvenir, limites de prestations avec les autres corps d’état…)
Les plans
Le D.Q.E (Document Quantitatif Estimatif)
2 Analyse des offres
En dehors de la vérification quantitative de l’offre, une attention particulière doit être portée sur les limites de
prestations et les exclusions éventuelles que le sous-traitant pourrait insérer dans son offre.
Le chapitre 8 « Approche financière », doit permettre de situer le niveau de prix réel dans le cas d’installations
traditionnelles.
Si la participation à une cellule de synthèse s’avère nécessaire compte tenu de la complexité de l’opération
les modalités pratiques et financières doivent être discutées.
Les limites de prestations avec les autres corps d’état doivent être validées.
Il faut répertorier toutes les variantes possibles susceptibles d’être proposées au client et appréhender leur
incidence éventuelle sur les autres lots.
N’hésitez pas à solliciter la DT Fluides qui peut, dans le
cadre de l’Assistance Travaux, vous aider dans
Mon point l’analyse et le choix de votre sous-traitant
de passage
obligé
ITC - CVC 143
3. PRESENTATION
7. PRINCIPAUX POINTSDES
DEDIFFERENTS
VIGILANCE ELEMENTS D’UNE INSTALLATION DE VENTILATION
7.3 En phase études
Son bilan de puissance électrique avec ses besoins unitaires par attente
due au lot Electricité
Les notes de calcul
Calcul des déperditions (chauffage)
Apports internes et externes (rafraîchissement ou climatisation)
RT 2000 après lui avoir fourni les éléments constructifs de l’enveloppe des
bâtiments.
Les plans de réservations
Son planning d’exécution
Les plans d’exécution détaillés et la participation aux réunions de synthèse.
La fourniture des échantillons si ceux-ci sont demandés par le client.
La Norme Europé
Européenne EN 12599 de Juillet 2000 dé définit les procé
procédures d’
d’essai et mé
méthodes de
mesure pour la ré
réception des installations de ventilation et de climatisation
ITC - CVC 147
CVC
L’APPROCHE FINANCIERE
e lq u es
Qu Puissance de chauffe à installer pour les ouvrages fonctionnels : 50 à 60 W/m2
ratios s Puissance froid à installer pour la climatisation de confort : 80 à 120 W/m2
ANNEXES
8 AM 24/03/82 p.188
EAU CHAUDE
2" DN 50 54.5x60.3 172 7.41 0,88 1/2" DN 15 16.2x21.3 5.4 0,31 0,39
4" DN 100 107.1x114.3 1037 44.6 1.37 1 1/4" DN 32 37.2x42.4 47 2.67 0,68
5" DN 125 131.7x139.7 1765 75.9 1,55 1 1/2" DN 40 43.1x48.3 70 4.03 0,77
6" DN 150 159.3x168.3 2930 126 1,76 2" DN 50 54.5x60.3 129 7.41 0,88
8" DN 200 207.3x219.1 5755 247 2.00 2 1/2" DN 65 70.3x76.1 257 14.7 1.05
EAU GLACEE
EAU FROIDE
FILTRATION D'AIR
10000
1 à 10 100 à 1000 100000
ULPA HEPA
EUROVENT 4/4
EU14 EU13 EU12 EU11 EU10
DOP 0.3 µm (Mil Std 282)
≥ 99.999 % ≥ 99.99 % ≥ 99.97 % ≥ 99.9 % ≥ 95 %
EN 1822 (MPPS)
U17 U16 U15 H14 H13 H12 H11 H10
≥ 99.999995 % ≥ 99.99995 % ≥ 99.9995 % ≥ 99.995 % ≥ 99.95 % ≥ 99.5 % ≥ 95 % ≥ 85 %
HAUTE EFFICACITE MOYENNE EFFICACITE
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Taille
Batterie chaude
Puissance W
Régime de température entrée/sortie
d'eau chaude °C
Régime de température entrée/sortie d'air °C
Débit d'eau m 3/h
Batterie eau glacée
ITC - CVC
Puissance W
Régime de température entrée/sortie
d'eau chaude °C
Régime de température entrée/sortie d'air °C
Débit d'eau m 3/h
Ventilateur
Débit petite vitesse m 3/h
Débit moyenne vitesse m 3/h
Débit grande vitesse m 3/h
Régulation
Contrôle ouverture vanne eau chaude
Contrôle ouverture vanne eau glacée
Vérification boucle de régulation
Vérification communication superviseur GTB
Adressage ( N°)
Appareil maître ou esclave M pour Maitre ES pour esclave
Contrôles spé cifiques
Contrôle f iltre
Contrôle écoulement condensats
Accessibilité
157
FICHE DE TEST VENTILO-CONVECTEUR 2 TUBES
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Taille
Batterie chaude
Puissance W
Intensité absorbée A
Tension d'alimentation V
Thermostat de sécurité
Batterie eau glacée
ITC - CVC
Puissance W
Régime de température entrée/sortie d'eau
chaude
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Batterie chaude
Puissance W
Régime de température entrée/sortie °C
Régime de température entrée/sortie d'air °C
3
Débit d'eau m /h
ITC - CVC
Débit d'air
Contrôle de la pression statique amont PA
Mesure de débit d'air sur réseau aval m 3/h
Pression acoustique faire référence avec la F24
Dans le local traité à 1m20 du sol correspondant à la mesure de
Débit mini dba ce local
Débit maxi dba
Boite fermée dba
Régulation
Contrôle ouverture vanne eau chaude
Contrôle ouverture servo moteur régulateur débit
Vérification boucle de régulation
Vérification communication superviseur GTB
Adressage ( N°)
Contrôles spécifiques
Contrôle accessibilité
Pièces jointes
159
FICHE DE TEST BOITE DE DETENTE DE REPRISE A DEBIT
VARIABLE
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F04
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Débit d'air
Contrôle de la pression statique aval PA
Mesure de débit d'air sur réseau amont m 3/h
ITC - CVC
Dans le local traité à 1m20 du sol correspondant à la mesure de
Débit mini dba ce local
Débit maxi dba
Boite fermée dba
Régulation
Contrôle ouverture servo moteur régulateur de
débit
Vérification boucle de régulation avec la boite de
soufflage associée
Contrôles spécifiques
Contrôle accessibilité
Pièces jointes
160
FICHE DE TEST ECHANGEUR EAU / EAU
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Circuit primaire
Température entrée °C
Température sortie °C
Pression entrée bar
Pression sortie bar
ITC - CVC
Perte de charge bar
Débit m 3/h
Circuit secondaire
Température entrée °C
Température sortie °C
Pression entrée bar
Pression sortie bar
Perte de charge bar
Débit m 3/h
Régulation
Vérification boucle de régulation
Vérification des sécurités
Pièces jointes
161
FICHE DE TEST GROUPE DE PRODUCTION EAU GLACEE
REFROIDISSEMENT PAR EAU
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F06
Sy stème Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques
Puissance frigorifique KW
Puissance électrique KVA
Intensité absorbé A
Evaporateur
ITC - CVC
Pression entrée bar
Pression sortie bar
Perte de charge bar
Débit m 3/h
Température entée °C
Température sortie °C
Condenseur
Pression entrée bar
Pression sortie bar
Perte de charge bar
Débit m 3/h
Température entée °C
Température sortie °C
Régulation
Vérification boucle de régulation de mise en
cascade
Vérification des sécurités
Pièces jointes
PV de mise en service constructeur
162
FICHE DE TEST GROUPE DE PRODUCTION EAU GLACEE
REFROIDISSEMENT PAR AIR
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F07
Sy stème Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques
Puissance frigorifique KW
Puissance électrique KVA
Intensité absorbé A
ITC - CVC
Evaporateur
Pression entrée bar
Pression sortie bar
Perte de charge bar
Débit m 3/h
Température entée °C
Température sortie °C
Régulation
Vérification boucle de régulation de mise en
cascade
Vérification des sécurités
Pièces jointes
PV de mise en service constructeur
Fiche de test acoustique
163
FICHE DE TEST GROUPE DE DOSAGE
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Pompe
Temps d'impulsion
Fréquence d'impulsion
Bac de stockage
Capacité litre
ITC - CVC
Produit de traitement
Type de produit
Concentration
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Pompes
Type
Débit m 3/h
Puissance KW
ITC - CVC
Bache
Capacité litre
Déversseur
Type
Diamètre
Consignes
Pression de service bar
Test des securités
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques électriques
Tension V
Puissance vitesse 1 KW
Puissance vitesse 2 KW
ITC - CVC
Puissance vitesse 3 KW
Intensité vitesse 1 A
Intensité vitesse 2 A
Intensité vitesse 3 A
Vitesse sélectionnée
Réglage protection thermique A
Caractéristiques hydrauliques
Débit m 3/h
Pression aspiration bar
Pression refoulement bar
Pression différentielle bar
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques électriques
Tension V
Puissance KW
Intensité A
ITC - CVC
Vitesse de rotation tr/m n
Réglage protection thermique A
Ipsotherme raccordé oui non
Caractéristiques hydrauliques
Débit m 3/h
Pression aspiration bar
Pression refoulement bar
Pression différentielle bar
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques électriques
Tension V
Puissance KW
Intensité A
Vitesse de rotation maxi tr/m n
ITC - CVC
Vitesse de rotation mini tr/m n
Calibre protection magnétique A
Fréquence maxi Hertz
Fréquence mini Hertz
Rampe d'accélération s
Rampe de décélération s
Caractéristiques hydrauliques
Débit maxi m 3/h
Débit mini m 3/h
Pression aspiration au débit maxi bar
Pression ref oulement au débit maxi bar
Pression aspiration au débit mini bar
Pression ref oulement au débit mini bar
Pression dif férentielle débit maxi bar
Pression dif férentielle débit mini bar
Régulation
Vérif ication de la boucle
Réglage de la consigne bar
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Commentaires
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Caractéristiques électriques
Tension V
Puissance KW
ITC - CVC
Intensité A
Vitesse de rotation tr/m n
Calibre protection magnétique thermique A
Caractéristiques hydrauliques
Débit m 3/h
hauteur manomètrique bar
NPSH bar
Régulation
Vérification des secuités de niveau
Hauteur du niveau de démarrage m
Hauteur du niveau d' arrêt m
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques électriques
Tension V
Puissance KW
ITC - CVC
Intensité A
Vitesse de rotation tr/m n
Calibre protection magnétique thermique A
Protection ipsotherme
Caractéristiques aérauliques
Débit m 3/h
hauteur manométrique Kpa
angle de pales >°
Vérifications
coupure de proximité
asservissements
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques électriques
Tension V
Puissance GV KW
Puissance PV KW
Intensité GV A
Intensité PV A
ITC - CVC
Vitesse de rotation GV tr/m n
Vitesse de rotation PV tr/m n
Calibre protection magnétique thermique
GV A
Calibre protection magnétique thermique
PV A
Protection ipsotherme
Caractéristiques aérauliques
Débit grande vitesse m 3/h
Débit petite vitesse m 3/h
hauteur manométrique grande vitesse Kpa
hauteur manométrique petite vitesse Kpa
angle de pales >°
Vérifications
coupure de proximité
asservissements
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de
fonctionnement théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise
en service par celui-ci
171
FICHE DE TEST CENTRALE DE TRAITEMENT D'AIR A DEBIT CONSTANT
SIMPLE FLUX
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F16
nom et visa metteur au point indice
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur
Débit d'air m3/h
Pression totale pa
Pression disponible pa
Vitesse de rotation turbine tr/mn
Vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur KW
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Intensité moteur A
Calibre protection magnétique thermique A
ITC - CVC
Caractéristiques batterie eau glacée
Température entrée d'air °C
Hygrométrie entrée d'air %HR
Température sortie d'air °C
Hygrométrie sortie d'air %HR
Puissance frigorifique sensible KW
Puissance frigorifique totale KW
Régime de température d'eau °C
Débit d'eau m3/h
Perte de charge hydraulique Kpa
Perte de charge aéraulique Kpa
DN et type de vanne de régulation mm
KVS vanne de régulation KVSm3/
h
Filtration
Type préfiltres G
Type filtres F
Perte de charge préfiltre pa
Perte de charge filtre pa
Régulation
°C
consigne de température de soufflage été
°C
consigne de température de soufflage hiver
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
172
FICHE DE TEST CENTRALE DE TRAITEMENT D'AIR A DEBIT CONSTANT
DOUBLE FLUX
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F17
nom et visa metteur au point indice
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur de soufflage
Débit d'air 3
m /h
Pression totale pa
Pression disponible pa
Vitesse de rotation turbine tr/mn
Vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur KW
Intensité moteur A
Calibre protection magnétique thermique A
Pression totale pa
Pression disponible pa
Vitesse de rotation turbine tr/mn
Vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur KW
Intensité moteur A
Calibre protection magnétique thermique A
ITC - CVC
Perte de charge aéraulique Kpa
DN et type de vanne de régulation mm
KVS vanne de régulation 3
KVSm /
h
Régulation
°C
consigne de température de soufflage été
°C
consigne de température de soufflage hiver
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
173
FICHE DE TEST CENTRALE DE TRAITEMENT D'AIR A DEBIT CONSTANT
DOUBLE FLUX AVEC MELANGE
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F18
nom et visa metteur au point indice
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur de soufflage
Débit d'air 3
m /h
Pression totale pa
Pression disponible pa
Vitesse de rotation turbine tr/mn
Vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur KW
Intensité moteur A
Calibre protection magnétique thermique A
ITC - CVC
h
Filtration
Type préfiltres G
Type filtres F
Perte de charge préfiltre pa
Perte de charge filtre pa
Caisson de mélange
3
débit maxi de rejet d'air m /h
3
débit mini de rejet d'air m /h
3
débit maxi d'air neuf m /h
débit mini d'air neuf m 3/h
Régulation
°C
consigne de température de soufflage été
°C
consigne de température de soufflage hiver
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
174
FICHE DE TEST CENTRALE DE TRAITEMENT D'AIR A 2 VITESSES
SIMPLE FLUX
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F19
nom et visa metteur au point indice
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur
Débit d'air petite vitesse 3
m /h
Débit d'air grande vitesse 3
m /h
Pression totale grande vitesse pa
Pression disponible grande vitesse pa
rotation turbine petite vitesse tr/mn
rotation turbine grande vitesse tr/mn
petite vitesse de rotation moteur tr/mn
grande vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur PV KW
Puissance moteur GV KW
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Intensité moteur PV A
Intensité moteur GV A
Calibre protection magnétique thermique
PV A
Calibre protection magnétique thermique
GV A
ITC - CVC
3
KVSm /
KVS vanne de régulation
h
Filtration
Type préfiltres G
Type filtres F
Perte de charge préfiltre pa
Perte de charge filtre pa
Régulation
°C
consigne de température de soufflage été
°C
consigne de température de soufflage hiver
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
175
FICHE DE TEST CENTRALE DE TRAITEMENT D'AIR A 2 VITESSES
DOUBLE FLUX
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F20
nom et visa metteur au point indice
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur de soufflage
Débit d'air petite vitesse m3/h
Débit d'air grande vitesse m3/h
Pression totale grande vitesse pa
Pression disponible grande vitesse pa
rotation turbine petite vitesse tr/mn
rotation turbine grande vitesse tr/mn
petite vitesse de rotation moteur tr/mn
grande vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur PV KW
Puissance moteur GV KW
Intensité moteur PV A
Intensité moteur GV A
ITC - CVC
Caractéristiques batterie eau chaude
Température entrée d'air °C
Température sortie d'air °C
Puissance calorifique KW
Régime de température d'eau °C
Débit d'eau m3/h
Perte de charge hydraulique Kpa
Perte de charge aéraulique Kpa
DN et type de vanne de régulation mm
KVSm3/
KVS vanne de régulation
h
Régulation
°C
consigne de température de soufflage été
°C
consigne de température de soufflage hiver
Filtration
Type préfiltres G
Type filtres F
Perte de charge préfiltre pa
Perte de charge filtre pa
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
176
FICHE DE TEST CENTRALE DE TRAITEMENT D'AIR A 2 VITESSES
DOUBLE FLUX AVEC MELANGE
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F21
nom et visa metteur au point indice
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur de soufflage
Débit d'air petite vitesse 3
m /h
Débit d'air grande vitesse 3
m /h
Pression totale grande vitesse pa
Pression disponible grande vitesse pa
rotation turbine petite vitesse tr/mn
rotation turbine grande vitesse tr/mn
petite vitesse de rotation moteur tr/mn
grande vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur PV KW
Puissance moteur GV KW
Intensité moteur PV A
Intensité moteur GV A
ITC - CVC
Puissance calorifique KW
Régime de température d'eau °C
3
Débit d'eau m /h
Perte de charge hydraulique Kpa
Perte de charge aéraulique Kpa
DN et type de vanne de régulation mm
3
KVSm /
KVS vanne de régulation
h
Filtration
Type préfiltres G
Type filtres F
Perte de charge préfiltre pa
Perte de charge filtre pa
Caisson de mélange
3
débit maxi de rejet d'air m /h
3
débit mini de rejet d'air m /h
3
débit maxi d'air neuf m /h
3
débit mini d'air neuf m /h
Régulation
°C
consigne de température de soufflage été
°C
consigne de température de soufflage hiver
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
177
FICHE DE TEST CENTRALE DE TRAITEMENT D'AIR A VITESSE
VARIABLE FLUX AVEC MELANGE
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F22
nom et visa metteur au point indice
Valeurs Valeurs
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur de soufflage
Débit d'air à vitesse maxi m 3/h
Pression totale à vitesse maxi pa
Pression disponible à vitesse maxi pa
rotation turbine à vitesse maxi tr/mn
vitesse maxi de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur PV KW
Intensité moteur GV A
Fréquence maxi du convertisseur Hz
Fréquence mini du convertisseur Hz
ITC - CVC
KVS vanne de régulation
h
Filtration
Type préfiltres G
Type filtres F
Perte de charge préfiltre pa
Perte de charge filtre pa
Caisson de mélange
3
débit maxi de rejet d'air m /h
3
débit mini de rejet d'air m /h
3
débit maxi d'air neuf m /h
3
débit mini d'air neuf m /h
Régulation
°C
consigne de température de soufflage été
°C
consigne de température de soufflage hiver
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
178
FICHE DE TEST HUMIDIFICATEUR AUTONOME
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques
Débit vapeur Kg/h
Puissance KW
Caractéristiques électriques
ITC - CVC
tension V
Puissance KW
intensité A
Consignes
Consigne Hr% relative H%
limite haute au soufflage H%
Pièces jointes
Système Niveau
Valeurs Valeurs
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
Caractéristiques Commentaires
constructeur mesurées
Marque
Modèle
n° série
Type
Caractéristiques ventilateur
Débit d'air 3
m /h
Pression totale pa
Pression disponible pa
Vitesse de rotation turbine tr/mn
ITC - CVC
Vitesse de rotation moteur tr/mn
DN poulie moteur mm
DN poulie ventilateur mm
Puissance moteur KW
Intensité moteur A
Calibre protection magnétique thermique A
Pièces jointes
Courbe constructeur avec point de fonctionnement
théorique et réel
Rapport de mise en service constructeur si mise en
service par celui-ci
180
FICHE DE TEST EQUILIBRAGE RESEAUX AERAULIQUES
Système Niveau
Ventilateur référence :
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
repère antenne
dimension de la gaine m
2
section de la gaine m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
repère antenne
dimension de la gaine m
ITC - CVC
2
section de la gaine m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
repère antenne
dimension de la gaine m
2
section de la gaine m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
repère antenne
dimension de la gaine m
2
section de la gaine m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
repère antenne
dimension de la gaine m
2
section de la gaine m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
181
FICHE DE TEST EQUILIBRAGE ANTENNES AERAULIQUES
Système Niveau
Antenne référence :
voir fiche type/numéro/indice :
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
3
Débit / m h :
ITC - CVC
section de la gaine m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
Système Niveau
3
Débit / m h : au droit de chaque case diffuseur
Soufflage / Extraction
repère diffuseur
dimension de la gaine m
2
section utile m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
marque du diffuseur
type du diffuseur
ITC - CVC
repère diffuseur
dimension de la gaine m
2
section utile m
vitesse de l'air m/s
débit d'air m3h
marque du diffuseur
type du diffuseur
183
FICHE DE TEST EQUILIBRAGE ANTENNES AERAULIQUES AVEC
MODULES REGLABLES
Date Société titulaire du lot FICHE TYPE F28
nom et visa metteur au point indice
Système Niveau
Antenne référence :
Annexe 5 : Fiches tests lots fluides
repère module
diamètre de la gaine mm
pression statique pa
débit d'air m3h
marque module
référence type module
ITC - CVC
repère module
diamètre de la gaine mm
pression statique pa
débit d'air m3h
marque module
référence type module
repère module
diamètre de la gaine mm
pression statique pa
débit d'air m3h
marque module
référence type module
repère module
diamètre de la gaine mm
pression statique pa
débit d'air m3h
marque module
référence type module
184
Annexe 6 : Article CH28 du règlement de sécurité des ERP
Entrepôts couverts (stockage de matières, produits ou substances combustibles en quantité supérieure à 500 t dans des) à l'exclusion des
dépôts utilisés au stockage de catégories de matières, produits ou substances relevant par ailleurs de la présente nomenclature, des
tion
bâtiments destinés exclusivement au remisage de véhicules à moteur et de leur remorque et des établissements recevant du public.
i sa Le volume des entrepôts étant :
or 3
Aut
1. Supérieur ou égal à 50 000 m (A)
3, 3
l ar atio
Déc
D: Rubrique N° 2910 - Combustion
e
trôl
Combustion, à l'exclusion des installations visées par les rubriques 167-C (Elimination de déchets industriels provenant d'installations
Réfrigération ou compression (installations de) fonctionnant à des pressions effectives supérieures à 10 5 Pa, :
1. Comprimant ou utilisant des fluides inflammables ou toxiques, la puissance absorbée étant :
a) supérieure à 300 kW : (A)
b) supérieure à 20 kW, mais inférieure ou égale à 300 kW : (D+C)
2. Dans tous les autres cas :
a) supérieure à 500 kW : (A)
b) supérieure à 50 kW, mais inférieure ou égale à 500 kW : (D)
Rubrique N° 2921 - installations de refroidissement par dispersion d’eau dans un flux d’air