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Gloire et pureté à mon Seigneur le Très Grand, béni soit à mes parents et les remerciements à mes frères et
sœurs. Chers élèves et enseignants, je vous demande de me pardonner pour tous les torts commis.
Confiez-vous à enseignants pour les réponses et détailles de ces exercices que je vous ai proposés. Si
vous trouverez des erreurs ; des méthodes concises ou des remarques afin d’améliorer notre œuvre,
svp contacter moi par sms au 90 10 89 59 en précisant l’exercice concerné.
An- Mathématique 3e édition (Volume 1), est une annale unique conforme au programme officiel
An-nour Mathématique,
nigérien, axé sur les chapitres suivants : nombres complexes ; similitudes planes directes ; probabilités ;
statistiques ; suites numériques ; calcul intégral et fonctions numériques. Il en a plus de 350 exercices
types bac corrigés. En effet ces exercices tirent leurs sources dans les documents des élèves tels que les
collections : IRMA, Delagrave, Terracher, Di mathème, Cube, Radial, Hachette, Durrande, CIAM,
Vuibert, Bordas, les examens, les planches d’exercices.... pour ne citer que ceux-là. Ces exercices sont très
pertinents.
Nous sommes ouvert à tout ce qui désire se lancer dans ce type de projet, d’éditer un ouvrage de
mathématique au collège ou au lycée. D’ailleurs, une annale corrigée de Physique-Chimie est en cours, nous
attendons votre participation à son élaboration.
Nul n’est parfait, la perfection appartient à Allah et Il l’a donne à celui qu’Il veut, donc nous
espérons nos suggestions afin d’aider nos frères et sœurs à réussir leur examen.
Gloire et pureté à mon Seigneur le Très Grand, béni soit à mes parents et les
remerciements à mes frères et sœurs.
Tous les remerciements sont à mes frères de la Mosquée de l’UAM de Niamey aux deux premier
rang le frère Lawali Salifou qui m’a aidé à avoir l’outils informatique et le tonton Moussa
Mahamadou en plus de l’outil informatique il est aussi mon producteur.
Sommaire
Pages
ALLAH MERCI
Auteur
contient . On a donc
Cours :
Dans , ensemble des nombres complexes, elle en a solutions sont des éléments de l'ensemble .
deux :
. est l'ensemble des nombres réels. C'est
La notation fut introduite par Euler, le grand
mathématicien suisse. Dans ce livre, on notera
à la droite. contient . On a donc .
l'ensemble des abscisses de tous les points d'une
place de , notation utilisée pour l’intensité en Dans l'équation n'a pas de solutions.
Cette équation a deux solutions notées et , ces
solutions sont des éléments de l'ensemble .
électricité.
Les nombres complexes sont aussi très utilisés en
géométrie, en particulier pour caractériser les est l'ensemble des nombres complexes. C'est
transformations ponctuelles. l'ensemble des nombres de la forme ou
, vérifiant l’égalité , et , ,
étant
est l'ensemble des entiers naturels. C'est
A. Rappel sur les ensembles :
des réels quelconques. contient . On a donc
.
Dans l'équation n'a pas de solution.
l'ensemble des entiers positifs ou nuls.
Il existe dans 1 élément noté tel que = – 1 | $ ′| || $ |′| et .@% $ :, .@%,
Tout élément de s'écrit sous la forme .@%:, BD.
ou , vérifiant l’égalité , et , ,
| | || et .@% , $
.@%,ABC.
est muni d'une addition et d'une $ ′ || $ 6′ 6AGHI%J JK , ILM%J JK ,C
étant des réels quelconques.
U
%,
(a IR , b IR) dans le plan complexe , S( est la partie imaginaire de , on note
Ou bien si le point M est l'image du complexe
complexe muni du repère %&; ( )*, +)*,, c'est à dire une est son écriture de la forme ||%GHI J ILM J,
mesure de l'angle polaire du point M dans le plan
)))))))*
)*, 34?.
mesure θ de l'angle orienté >( ou ||%GHI ILM ,, avec
|| 2 étant son module ;
.@%1, .@%, ABC et |1| ||.
b) Propriétés : •
.@%, J DB S( V
.@%, .@%, B ABC et || ||. T J ou étant son
.@%, DB
•
.@% , $ .@%, DB AD C argument.
Page 7 sur 229
Exemple 1 : Ensemble des points M d'affixe z tel que AGHI J ILM JC GHI% J, ILM% J,
6
J 6 et .@>
J ? ^ ABC
que où zA est l'affixe d'un point
J .
JK
%J#JK,
A et est un réel . Cet ensemble est une demi droite
||
J ||
|K|
J9 |K|
%JRJK,
d'origine A (A non compris dans cette demi-droite )
K
et dont l'angle avec la parallèle à l'axe des réels
$ K || $ |K | $
>J#J ?.
passant par A mesure radians.
′
1111
1 ||
J_ ||
RJ
`
J a
J
+
b
J
%J#B,
Formule d’Euler : W]
WU
#
c
R
c
GHI ou ILM
#
c
R
c
GHI% , ou ILM% ,
. .: V
.
J .:
JK 5 T
J J: ABC
Relations : W]
WU
#1
#
c R1
R
c
GHI ou ILM
et 1
AGHI%J, ILM%J,C. AGHI%J:, ILM%J:,C
b) Propriétés :
Formule de Moivre : W]
J WU
L’axe des abscisses est l’ensemble des points M NB : Tout nombre complexe non nul possède
d’affixe un réel, on l’appellera aussi « axe des réels » exactement deux racines carrées. De plus, ces deux
L’axe des ordonnées est l’ensemble des points
Exemple : racines carrées ; D m; o
racines carrées sont opposées l’une de l’autre.
M d’affixe un imaginaire pur : on l’appellera aussi «
axe des imaginaires purs ».
J J J
façons, soit par ses coordonnées cartésiennes %; , D , kh; l h kGHI E F ILM E Fl
Un point M distinct de O est repéré de deux
ou soit par ses coordonnées polaires %.; J,.
J J
D , kh; Bl kh; l
. On pose &e . avec . f . Le nombre
Soit M l’image du nombre complexe z tel que
J B
D , k 2h; l
J B J B
D , k 2h; l k 2h; l
l’équation (E) g, f .
racine évidente. On désire donc se ramener à des
produits de facteurs du premier degré ou du second
En générale les racines n-ièmes d’un nombre est factorisable dans alors qu’il ne l’est pas
))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient à la
3. Résolution d’une équation du 2nd degré :
Toute équation du second degré d’inconnue se
a) A coefficient réels :
∆r 0 ))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient au
peut avoir un discriminent ∆ soit t∆ V. Il y aura
∆w 0
segment [AB] privé des points A et B.
trois possibilités, d’avoir au moins une solution : ))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient à l’un
RR√∆ R#√∆
Si ∆r 0, alors et
des demi-cercles de diamètre [AB], privé de A et de
RR√R∆ R#√R∆
Si ∆w 0, alors et
))))))*; ))))))*
avec >4 4? ABC.
B (on précisera lequel sur la figure) ; même résultat
Si ∆ , alors l’équation admet une seule
R
))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient au cercle
solution
.
R
A, B et C sont alignés ~ P RN
de diamètre [AB], privé de A et de B.
R
solution
. ABC est un triangle direct rectangle en A
R
~ P N #.
Les autres propriétés sur les Nombres complexes : O RN
~ |O N | |P N |
ABC est un triangle isocèle en A
le milieu I de A44:C a pour affixe yW %y
y:,
le barycentre G de %4; z, et %4:; {, a pour
affixe y| z#{ %zy {y:, avec z { ; .
ABC est triangle rectangle isocèle en A
R
~ P RN .
O N
!\%, V
} ~ ~ T
.@%, ABC
ABC est un triangle équilatéral direct
B
R
~ P RN
[
%,
O N
} ~ ~ V
.@%, ABC
B Formule du binôme de Newton : M W]
!\%, V %( +, P ( + P ( + P ( +
R
} ; , ~ 1 ~ T
.@%, ABC
%( +, ∑D
PD ( +
RD D
!\%, V
} ; , # ~ 1 ~ T
.@%, ABC
Soit N l’affixe du point A et O l’affixe du point B.
Caractérisation de la médiatrice d’un segment.
seulement si e N [
J avec J réel quelconque.
U
J N.
Equation paramétrique d’un cercle : Méthodes de calcul sur les Nombres complexes.
B B
GHI E F ILM%, ILM E F GHI%,
plan) tel que …?
B B
Soient et . #. Soit A le point du
GHI E F ILM%, ILM E F GHI%,
d’affixe vérifiant :
plan d’affixe a. L’ensemble des points du plan
GHI ILM
5 GHI
#ZM | | . est le cercle de centre A et
GHI GHI EF
où ; B, ABC on a GHI #
R
dN O P ,. Posons dN
DR
où , ABC on a ILM #
O P , donc e d##. Plusieurs cas
Si D w 0 alors aucun point M ne peut J est un réel dans C; BA. L'ensemble E des
satisfaire cette égalité, donc l’ensemble E est vide.
points M tels que E4
))))))* ; ))))))*
4F J ABC est un cercle
Si k − h est nul alors l'égalité devient
e . passant par A et B privé des points A et B.
L'ensemble E se réduit donc au seul point G.
Si D r 0 est positif alors E est le cercle L'ensemble des points M d'affixe z tel que z
(ou la sphère dans l'espace) de centre G et de rayon est réel est l'axe des réels.
DR
d##. L'ensemble des points M d'affixe z tel que z
>deN )))))))* eO ))))))*?(
)))))))* eP )* D avec D ![ et est un imaginaire pur est l'axe des imaginaires purs.
d ; , donc G existe tel que dN )))))* O
))))))*
)))))* )* et (
Comment faire la linéarisation de polynômes
P )* un vecteur quelconque. D'après le trigonométrique ? %GHI , ou %ILM ,
théorème de réduction, nous pouvons écrire que :
deN )))))))* eO ))))))* %d ,e
)))))))* eP )))))))*. Devant On peut également utiliser les formules de
faire appel aux propriétés du produit scalaire : trigonométrie si .
))))))*
4|. ( )*
d##
. Là, plusieurs cas sont à envisager %GHI , GHI %, A GHI%,C
suivant la nullité du paramètre k.
%ILM , ILM %, A GHI%,C
Si D alors 4| ))))))*. (
)* , l'ensemble E est
g ou % , ou
%, ou et Si ∆r 0, alors
RR√∆
et
R#√∆
|g| 2 . On résout le système d’inconnus RR√R∆ R#√R∆
Si ∆w 0, alors et
2
et suivant : i V l’ensemble des Si ∆ , alors l’équation admet une seule
R
solution
.
J DB
J DB
D 2h
k 2h; E Fl avec D
E # F
discriminant ∆ dans la résolution ?
Comment déterminer les racines carrées du
m, , … , o et 2h WU# .
On pose tel que y ∆.
Soit )))))*
alors son affixe est y)))))*
O N .
2AU
%∆,C AW\%∆,C
i AU
%∆,C .V )))))* 6 |O N |.
Soit la distance 6y
W\%∆, R
Comment interpréter le quotient g N RP ?
O P
Comment résoudre les équations du second degré ?
Si || 8yRy 8 alors ACB est isocèle en .
Les méthodes de résolution sont souvent les y Ry
mêmes que dans IR : il faut d’abord essayer de
)))))))* Oe
Ne )))))))* ~ e RO
WU.
e RN On montre que W\>y
)))))* $ y
)))))* ? .
R
ou encore, on montre que .@ EORNF
)))))))* Oe
Ne )))))))* ~ .@ EeRO F B. P N
R e N Comment chercher l’antécédent d’un nombre a ?
Comment montrer que deux droites sont parallèle ?
z tel que %,
Chercher un antécédent de a, c’est déterminer
Deux droites sont parallèles si elles possèdent des Chercher l’image de a, c’est déterminer f(a).
vecteurs colinéaires. Il s’agit de montrer d’abord
que le rapport leurs affixes sont est un réel non nul. Comment montrer qu’un point A appartient au cercle
de centre I de rayon r ?
On calcule le module de W /.
Comment montrer qu’ABCD est parallélogramme ?
Ú Ú
R
%# ,
1 i √2 kcos E ª F
Ú cos En ª F 0 cos ~
#
1.
Ú Ú
Ú Ý
Ú Ú n ª 2πk ~ n 2 8k
i sin E ª Fl ; e R
© cos E F i sin E F i ; t V . AÞ iIR 5 n
Ú Ú
n ª 2πk ~ n 2 8k
i¡¡Þ iªÞ$¤ %iªÞ ,¤ 1¤ 1 cos%2π,
i sin%2π, ; iªÞ#¡¡ iªÞ $ i¡¡ iª$¤ 1 2m1 2k; 1 2k o avec n IN et k .
R % R,># √¢? RR√¢
cos%0, i sin%0, ; j Rµ Calculons C ¡ª %1,¡ª 1 et
√¢ #¢ ª
áÝ
ã ´áÝ
R√¢ % R,># √¢? √ àâ √ ¡¤ ¡¤ ¡¤ä
i ª $ Ý e ´© G¡¤ >√3e ä ? >√3? e
#¢ c ã
à á
¡¤ ¡ªä ¡¤ ä
√ R
´´Ý
e ´©
√ Ú
kcos E F
Ú
i sin E Fl ; Ù >√3? e . eä >√3? e .
Ú Ú
%1 2i,%3 i, 5%1 i, 5√2 kcos E F i sin E Fl
ª ª
Exercice 6 :
et | √3e ä √3Acos%θ, i sin%θ,C. Soit L.
Les entiers pour que M et M soient réels :
1.
2.
Þ Ú Ú
AÞ >√2? kcos En F i sin En Fl IR ~ 1
a) Déterminer la forme algébrique de .
•
ª ª
Ú
sin En ª F 0 sin 0 ~
b) Déterminer la forme exponentielle de 1 .
Ú
n ª 0 2πk ~ n 8k
c) Trouver le plus petit entier naturel n tel que
V ou encore sin En ÚF soit un réel positif.
t Ú
n ª π 2πk ~ n 4 8k ª 2. On considère le nombre complexe :
Ú
n ª 2π 2πk ~ n 8 8k
où les réels x et y ne sont pas tous les deux nuls.
0 sin 2π ~ t Ú .V a) Déterminer la partie réelle et la partie
n ª π ~ n 4 8k
1
imaginaire de en fonction de x et y.
Ø Ø √ √
¬ kcos E F ® sin E Fl ®
Correction :
√ √
Ý ª ª
¬ 2 2i 2√2 E i F 2√2e .
.
â
¬ Õ ®û
%Í ®ú, V alors Õ û . Or
¬
1.
√
³© %# ,© îµ #µ îµ%# ,
³
1111111
#ó
Rµ $ #µ î
2 2®.
¬ ®
√ √
a) 3.
áÝ
√ √
2 2® 2√2 E i F 2√2e â .
1
é
#
Í 5 Í
b)
#√ #√
©
ª ª V
soit un réel positif : ¬ = 8i ; ¬ ¢ 8®%2 2i, . Ainsi Í
c) Trouvons le plus petit entier naturel n tel que
Ré
16i 16 ; donc ¬ ª ¬ $ ¬ 8® $ 8® 64 donc ú © ª 5 ú ª
R√ R√
0 ~ Í%Í 3ú , 0 ~ Í 0 ou
õ á R¢õö © R
õ © #ö © déduire que GHI%d, # et ILM%d, #.
Í ú√3 ou Í ú√3 avec %Í; ú, ; %0; 0,. On doit
Correction : ; ½× , ½ et tan .
Ø
remplacer chaque valeur de Í dans ¬ Í ®ú et en
déduire ¬ :
#µ #µ
Þ #µ Þ ø
• Í 0 5 ¬ ®ú. 1. ¬ Rµ Rµ
Þ Rµ Þ ø c ý µ .
Í ú√3 5 ¬ ú√3 ®ú ú>√3 ®? . #µ %#µ,%#µ, #µR ©
¬ Rµ %Rµ,%#µ,
•
Í ú√3 5 ¬ ú√3 ®ú ú>√3 ®?. # ©
2. , donc forme
•
R ©
Les nombres complexes tels que
algébrique de z est ¬ # © ® # ©.
1
¬ ý µ cos%2, ® sin%2,
soit un
imaginaire pur sont ®ú ; ú>√3 ®? et ú>√3 ®?. V, on en déduit que
t
Exercice 7 : Soit et où R ©
¬ # © ® # ©
, , , sont des réels. R ©
1.
#
Montrer que, si |z| = 1, on a et cos%2, # © et sin%2, # ©.
R
Exercice 9 : Soit et .
. √R√
B
2. On suppose que .@%, í
. Déterminer la
Í ú Õ
c)
B
2Í 1 Õ En déduire la valeur exacte de GHI et de
En résumé on résout iÍ ú 1V 5 i2ú 1 ÕV
3.
B
ILM .
2Íú û 2Íú û
#ü Rü
pour obtenir Í
et ú
.
√ √¢ √ Ø Ø
Déterminer une forme trigonométrique de
¬ E ® F kcos E F ® sin E Fl et de .
1.
£ £
1. et
√ √ Ø Ø
¬ √2 E ® F √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl.
pour que % , et % , soient un réel positif.
2. Déterminer dans chacune des cas, les entiers
On pose g . Déterminer :
2. Déterminons:
√c√©
3.
³´ #µ √£#√ √£R√
Ì $ ®
La forme algébrique de g.
â
³© Rµ #µ î î
a) .
La forme trigonométrique de g.
a)
é
|Ì| 8 ´ 8 ´
³ |³ |
.
b)
©
B
³ |³ | √ En déduire la valeur exacte de GHI
b)
© ©
c) et de
ÕÖ%Ì, ÕÖ E ´ F ÕÖ%¬ , ÕÖ%¬ ,
³ Ø
B
³©
, donc ILM
.
Ø Ø
Ì kcos E F ® sin E Fl
Correction : Soit >√ ? et .
kE FRµ ÞE Fl
√© þ þ
³´ µþ
Ì ©
ý ´© .
√kE â FRµ ÞE â Fl ¤Ø ¤Ø
¬ >√3 ®? 2 kcos E £ F ® sin E £ Fl et
þ þ
³©
c)
1.
√£#√ √£R√
Ì ® î √ √ Ø Ø
i î
,V on en déduit la ¬ √2 E ® F √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl.
Ø Ø
Ì kcos EF ® sin EFl
3.
%¬ ,¸ 2Þ kcos En
¤Ø ¤Ø
F i sin En £ Fl IR # ~
£
2.
Ø √£#√ Ø √£R√
valeur exacte de cos et de sin ª . ¤Ø
ª n £ 0~n0
Ø
sin En ¢ F 0 sin 0 ~ i ¤Ø V
£ , donc
Exercice 10 : Soit z = 1 - i et z’ = 1 + i√. n £ π~n¤
; . 5×61r0 et
1. Déterminer la forme trigonométrique de z ; z’
Donner la forme algébrique de et de %¬ , 2 kcos E $
£ ¤Ø
F
£
i sin E $
¤Ø
Fl
K ¤ £ ¤ £
265cos×−®sin×265<0.
2.
K ¤Ø
n 2π ~ n ¤
3. Déterminer la forme trigonométrique de .
B
En déduire la valeur exacte de GHI E F. sin En £ F V
¤Ø
0 sin 2π ~ i ¤Ø£
£.
n £ π ~ n ¤
4.
´© ´©
%¬ , 2 kcos E $ F
¤Ø
donc n
Correction: z = 1 - i et z’ = 1 + i√3.
¤ ¤ £
, car
√ √ Ø
¬ 1 ® √2 E ® F √2 kcos E ª F
´©
i sin E ¤ $ £ Fl 2 r 0 et %¬ , 2 kcos E ¤ $
¤Ø R R £
®sin×4 ; ¬′1®3212®322cos×3®sin×3 ;
1.
i sin E $ Fl 2R Acos%×, ® sin%×,C w 0.
¤Ø £ ¤Ø
F
¬ ª 4Acos%×, ® sin%×,C. £ ¤ £
2. ¬ ª 4Acos%×, ® sin%×,C 4 et M
% , >√? kGHI EM F L ILM EM Fl WU # ~
³ Rµ Rµ√¢ R√¢ RR√¢
#µ $ Rµ ® . n
Ú
0 ~ n 0
³9 √¢ √¢ ª ª Ú
sin En ª F 0 sin 0 ~ t Úª V , donc
nª π ~ n 4
þ
c þ þ cþ
³ √ ø â √ ER R Fµ √
$ þ ý â á ý ´© µ
³K øá
3.
¡
n 0, car %¬ ,¡ >√2? kcos E0 $ ª F i sin E0 $
Ú
√ Ø Ø
kcos E F ® sin E Fl.
π41r0 et ¬2424cos4×π4isin4×π4−4<0.
√ Ø R√¢ Ø R√¢ √R√£
cos E F ª ~ cos E F
√ ª
2. .
Ø
n ª = 2π ~ n = 8
Ø
sin En ª F = 0 = sin 2π ~ t Ø V donc
n ª = −π ~ n = −4
î Ø
n = 8, car %¬ ,î = >√2? kcos E8 × ª F + i sin E8 ×
û ~ % ®, 0 ~
´´þ
Ø Ø
√2ý ´©
µ
√2 kcos E
F ® sin E Fl.
® et Õ û® avec ® ; 0.
On remarque que :
R√¢R √¢R
Ì ®
i
Ø
Ø
,V on en déduit
Ì √2 kcos E F ® sin E Fl
R
Interprétons géométriquement .@ EbR F :
c)
Ø
³ R³
ÕÖ E $ % F )))))*, &°
>&« )))))*? A2×C.
√£R√
sin E F ª . ³Ô R³%
1. Déterminer les nombres complexes non nuls, g ' ( où ; ; ' et ( sont des réels.
tels que , YZ aient le même module.
1. Calculer ' et ( en fonction de et .
2. Montrer que si z
= 1 et z ≠ 1 , alors le
#
Tels que g soit réel
2. Déterminer les ensembles des points M :
nombre complexe R est imaginaire pur. a)
B
b) Tels que g ait pour argument .
Correction :
#
|¬| 8 8 |1 ¬| 5 |¬| 8 8 5 |¬|. |¬| 1.
Correction : ; , on donne g R.
³ ³
1.
Posons ¬ Í ®ú 5 |¬|. |¬| Í ú 1 zt d’autre
Calculer ' et ( en fonction de et .
part |1 ¬| |1 Í ®ú| %1 Í, ú
1.
³# õ#µö# õ#µö# õ#µö# õRµ%öR,
1 2Í Í ú 1 5 Í . On en déduit Ì õ#µöRµ õ#µ%öR, õ#µ%öR, $ õRµ%öR,
³Rµ
¢ √¢
ú 1 5 ú ª 5 ú
õ © Rµõ%öR,#õöµ#ö%öR,#õRµ%öR,
ª
Ì ) ®*
õ © #%öR,©
. Ainsi les nombres
complexes z non nuls, tels que |¬| 8³8 |1 ¬| sont
õ © #ö%öR,#õ Rõ%öR,#õöR%öR,
Ì ) ®* õ © #%öR,© ® õ © #%öR,©
Rµ√¢ #µ√¢
et * õ © #%öR,© où %Í; ú, ; %0; 2,
õ © #ö © #õRö õ#Rö
)
On a |¬| 1 et ¬ ; 1; si ¬ Í ®ú 5 Í
les nombres et .
2. õ © #%öR,©
Tels que U
%g, ' soit négatif ou nul. ,.
privé de l’arc
a)
b)
ú Í 1.
d’affixe z est donc la droite D d’équation cartésienne centre A de rayon 2, montrer alors que M' = f(M)
44’ |¬ 1| $ |¬ K ®| |2 ®| √ 5.
3.
:8 ý : = 3 ~ = 3 ~ = 1, car :ý : = 1.
þ þ
¢ E R7Fµ ¢ E R7Fµ
© ©
8
¬ = 2® + ý µ7 = ¬ = ¬Ï + ý µ7 ~ ¬ − ¬Ï = ý µ7 ~
Exercice 22 : Linéariser
¤
ø @ Rø c@
raisonnement de sin¤ Í E F
Correction :
µ
donne
1. ® = −1 ; ® ¢ = ® × ® = −® ; ® ª = ® × ® = 1;
ILM¥ %µ, %¬ ¬,¤ £ %sin 5Í 5 sin 3Í
® ¤ = ® × ® × ® = ® et ® £ = ® × ® × ® = −1.
® ¡ª = ® ª×¤¡¢ × ® = −%® ª ,¤¡¢ = −1 et celle
10sinÍ.
2.
de ® ¡¤ = ® ª×¤¡¢#¢ = %® ª ,¤¡¢ × ® × ® = −®.
¢
½ IN, ® ª· = ® ª×· = %® ª ,· = %1,· = 1 ; ø @ #ø c@ ø @ Rø c@
>GHI ?>ILM ? E F $E F
3.
® ª·# = ® ª×·# = %® ª ,· × ® = %1,· × ® = ® ; µ
3.
%cos 6x 2 cos 4x cos 2x + 2,.
17.
B
¢ 18.
1
B
.@%, + BD, D
Exercice 23 : 19.
B
R B
Exprimer ILM ¥ en fonction de ILM . 20. .@ E
F + DB, D .
Exprimer ILM%?, en fonction de ILM ?.
1.
2. 21. .@%1, .@%, ABC.
B
.@%, ABC et || .
22.
Correction :
B
.@ E#F ABC et || .
23.
ILM ¥ en fonction de ILM : B
.@ E#√F ABC et || .
1.
24.
cos 5Í + ® sin 5Í %cos Í + ® sin Í,¤ . En développant
par la formule du binôme de Newton, on a : %cos Í + Correction : l’ensemble des points M(z)
® sin Í ,¤ |% + ,1 | On pose ¬ Í + ®ú et
C¤¡ cos¤ Í %® sin Í,¡ + ²¤ cos ¤R Í %® sin Í, +
1.
¬ Í ®ú, après tout calcul, on trouve %1 + ®,¬
²¤ cos¤R Í %® sin Í, + ²¤¢ cos ¤R¢ Í %® sin Í,¢ + 2® Í + ú + ®%Í ú 2,, donc |%1 + ®,¬ 2®|
²¤ª cos¤Rª Í %® sin Í,ª + ²¤¤ cos ¤R¤ Í %® sin Í,¤ 2 5 %Í 1, + %ú 1, 2, d’où l’ensemble des
cos ¤ Í + 5® cosª Í sin Í 10 cos¢ Í %sin Í, points M(z) cherché est le cercle de centre Ω%1; 1, et de
10® cos Í %sin Í,¢ + 5 cos Í %sin Í,ª + ®%sin Í,¤ rayon R √2.
cos ¤ Í 10 cos¢ Í %sin Í, + 5 cos Í %sin Í,ª + | + | | + |. Vous pourriez soit
®A5 cos ª Í sin Í + %sin Í,¤ C, on en déduit que sin 5Í
2.
utiliser la formule ¬¬ |¬| ou soit ¬ Í + ®ú. Ainsi
5 cos ª Í sin Í 10 cos Í sin¢ Í + sin¤ Í ou l’ensemble des points M(z) est la droite d’équation
ú 4Í 4.
ILM ¥ 5 sin Í 20 sin¢ Í + 16 sin¤ Í.
3. g % ,%1 , soit un imaginaire pur non
Exprimer ILM%?, en fonction de ILM ? : avec nul. Il suffit de remplacer z par ¬ Í + ®ú dans
le même raisonnement sin%3x, 3 sin x sin¢ x. l’expression Z, donc Ì Í + ú Í + ú +
2.
| | ||
obtient le cercle de diamètre [AB], privé de A.
8.
1
Vous pouvez aussi utiliser la méthode analytique pour
9.
| + + | 7 √
résoudre le problème posé.
B
.@% , + BD où D . Soit les
10.
1 1 + Î avec N%,
6.
Ø
11.
12. + 1 + 1 points «%®, et °%®,, ÕÖ%¬ ®, + 2×½
13. W\> ?
Page 23 sur 229
× A2×C ~ ÕÖ%¬, A2×C. L'ensemble Γ des
Ø Ø
ÏC ? 2×½. ÕÖ%¬ ®, n’existe que si
ÕÖ>¬))))))*
¬ ; ®, donc 5 ; «. On obtient la demi-droite ]AB]. points M d'affixe z du plan tel que ÕÖ%¬,
| | w | |. L’ensemble cherché est donc ÕÖ%¬, A2×C est le demi-axe de ordonnées constitué
le demi-plan ouvert Í r 0.
7.
des points dont l’affixe est un imaginaire pur de partie
| | ||. L’ensemble cherché est donc la
ABC et || .
imaginaire négative.
B
22. .@%,
8.
droite d’équation Í .
A2×C et |¬| 2, donc
¢Ø Ø
ÕÖ%®¬, ~ ÕÖ%¬,
9. 1 L’ensemble cherché est l’axe réel. ª ª
l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de O tel
Ø
que &° 2 et d’équation polaire ¾ .
10. L’ensemble cherché est donc le disque fermé de
centre I%1; 1, et de rayon R √2. ª
11. 1 1 Î avec N%,. L’ensemble cherché 23. .@ E F ABC et || .
B
#
A2×C |¬| , donc
³ Ø
.ÕÖ E#µF ª ~ ÕÖ%¬, 0
est le cercle de centre A%Õ, passant par l’origine O
et
I%1, et de rayon R 1.
12. L’ensemble cherché est donc le cercle de centre
l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de O tel
13. xy 1, l’ensemble cherché est donc l’hyperbole
que &° et d’équation polaire ¾ 0.
d’équation ú E.
.@ E F ABC et || .
B
#√
14. x y 0, l’ensemble cherché est donc la
24.
ÕÖ E#µ ¢F ¢ ~ ÕÖ%¬, ¢ A2×C et |¬| 1,
³ Ø Ø
réunion des bissectrices d’équations respectives ú x √
et ú x. donc l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de
Ø
15. 1 || ou Í ú 2Í 1 0, O tel que &° 1 et d’équation polaire ¾ ¢
.
et de rayon 3.
B þ
õ √¢
~ !# Eý µ á ¬F !# k ú
1. Montrer que tout élément de P à son image
17.
par f dans D.
ÍFl
ö √¢ ö √¢
® E 0~ Í 0 ~ ú Í√3,
2. Montrer que tout élément de D possède un
unique antécédent par f dans P.
l’ensemble cherché est donc la droite d’équation
ú Í√3. Correction : soient Ò m¬ / !#%¬, r 0o, B
B þ
1 ~ !# Eý ¬F
õ √¢
!# k ú m¬ /|¬| w 1o et 0%¬,
µ ³Rµ
á
³#µ
18. .
ÍFl
ö √¢ ö √¢
® E 0~ Í 0 ~ ú Í√3, ³Rµ
A0%¬,C 8 8 ©
õ © #%öR,©
, si ú r 0 ~ Í
³#µ õ #%ö#,©
1.
%ú 1, w Í %ú 1, ~ |¬:| w 1. Ainsi ¬
l’ensemble cherché est donc la droite d’équation
ú Í√3.
B
19. .@%, BD, D donc l’ensemble Ò, ¬ K 0%¬, B.
³Rµ ³K#
2. ¬ K B, ¬ K ³#µ ~ ¬ R³K ® Ò. Ainsi
¬ B, F! ¬ Ò, ¬ K 0%¬, ¬:.
cherché est la demi-droite d’origine O%0, et d’équation
Ø
polaire ¾ ª .
B
B Ø
20. .@ E
R F DB, D ou ÕÖ%¬, ¢ Exercice 26 :
Ø Ø
½× ½×, ½ donc l’ensemble cherché est Déterminer les racines carrées de ¥ .
£ 1.
la demi-droite d’origine O%0, exclu, et d’équation Trouver les racines cubiques de √.
Ø
polaire ¾ . Déterminer les racines cubiques de .
2.
3.
21. .@%1, .@%, ABC..ÕÖ%¬,
ÕÖ%¬, A2×C ou ÕÖ%¬, ÕÖ%¬, ÕÖ%¬,
4. Déterminer les racines quatrièmes de
√#√
× A2×C ou ÕÖ%¬, ÕÖ%¬, ÕÖ%¬, R#√
.
ÕÖ%¬, × A2×C, donc ÕÖ%¬, ÕÖ%¬, 5. Trouver les racines cinquièmes de .
Page 24 sur 229
³R Rµ ¢#µ
Correction : Les racines n-ièmes sont déduites de
³R
® ~ ¬ Rµ .
Fl avec D m, , … ,
J DB
D k 2h, E o.
2.
3. A%1,, B%2, et M%z,.
2Í 18 Í 9 Í H3 =>«5))))))*, °5 ))))))* , °5
))))))*? ÕÖ%®, Ø, soit >«5 ))))))*? Ø .
i 2ú 8 5 i ú 4 5 t H2 V donc les
V V ú ¸
Puisque °5 «5, le point M est sur la
Íú 6 Íú 6 Íú 6 ¢
médiatrice du segment [AB] qui a pour équation Í .
b)
R
l'équation ERF :
´©þ
¬ 2ý . I
µ
Í ú 9 Í
√¡£#L
On considère les points , et 4 d’affixes iÍ ú √106V ~ i V On en tire
les solutions sous la forme algébrique.
respectives y , y et y y.
3.
√¡£RL
2Íú 5 ú
immédiatement ¬ H M ®
√¡£#L √¡£RL
R
a) Interpréter géométriquement le module et un
argument de R.
N.
b) Montrer, à l'aide d'une interprétation y y , ∆ 2®√2, donc il y a deux
solutions complexes : z 1 i√2, z 1 i√2.
3.
géométrique que toute solution de l'équation
R
ERF , où désigne un entier naturel non nul, S O1 i√2; 1 i√2P.
a une partie réelle égale à . Résoudre alors dans Exercice 29 : Résoudre dans : J ![
R
l'équation ERF . Les nombres ,
b sont tous des réels.
Correction : ¬ F¬ ;1
√ K
³R
¬ ~ ¬ 2¬ 2 0, ∆ 4 w 0, donc í6 6
1.
³R
1. 2.
il y a deux solutions complexes :
Ø Ø
1 > √?||
z 1 i √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl .
3.
% bS} J, bS} J , avec
J ![ et 7 J 7 B.
Ø Ø
z 1 i √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl
4.
.
} J } J , avec J ![ et
5.
¢
;
¬ A1; ×C 1 et ¬ k1;
¤Ø Ø √¢
l ® .
6.
B B
7 J 7 . ¢ ¢
í , On cherche les nombres complexes
¬ ¹ý µ7 vérifiant l’équation ¬ î 1 ý µØ . (On doit
8.
í
7.
8.
¹î 1
en trouver huit distincts). On a donc le système
T V soit ¹ 1 et ¾ Ø#·Ø ou
Correction : Résoudre dans : J ![ 8¾ × 2½× %½ , î
V soit ¹ 1 et ¾ Ø#ª·Ø ou
4¾ 2½× %½ ,
Ø
î
a) Des racines complexes
avec ½ m0, 1, 2, 3o. L’ensemble
Ø ·Ø
¬· k1; E î Fl
b) Des racines réelles et distinctes
Ø
des solutions recherchées est : ¬¡ k1; î l ; ¬
c) Une racine double.
Calculer les racines dans chacun des cas.
¤Ø Ø ¢Ø ¤Ø
k1; l ; ¬ k1; l et ¬¢ k1; l.
LØ
î î î î î
d’affixes respectives
,
et
.
3.
aura : Õ 1 3® et û 4.
racine carrée de í :
à un même cercle Y dont on déterminera le centre et
a) Démontrer que ces trois points appartiennent
X 8 6®
3.
posons X Í ú® / iX Í ú 2®ÍúV
Démontrer que le triangle NOP est équilatéral.
le rayon.
|X| √8 6 10
Déduire le centre de gravité du triangle NOP
b)
Í ú 8
2Í 18 Í H3
et retrouver ainsi que le nombre complexe
est une
c)
iÍ ú 10 ~ i 2ú 2 5 t ú H1 .V
V V
2Íú 6 Íú 3 Íú 3 solution dans de l’équation .
X 3 ® ýV
Les racines carrées de í sont T Correction : Z ý á µ
X: 3 ®
©þ
√¢
®.
¬ %1 3®,¬ 4 0, ∆ 8 6® où les
X 3 ® ýV
Z Eý µ á F ý á µ ý R á µ
4.
þ âþ þ
√¢
racines carrées étaient T ®
X: 3 ®
. 1. et
¢
Z ¢ Eý
þ
¬
R#¢µ#¢Rµ
1 ® et ¬
R#¢µR¢#µ
2 2®.
µ
á F ý ص 1.
Q m2®; 1 ®; 2 2®o. 1 Z Z 1
√¢
®
√¢
® 0.
2.
))))))* 6 |zà z | 8
√¢ √¢
6zÂÃ ® ®8
1. Placer les points sur un dessin.
B
R
Montrer que ORP
.
b)
)))))* 6 |zÄ z | 81 ®8
√¢
6√3®6 √3 ; 6zÂÄ
2.
N P
ensemble 6 .
b) Montrer que le point A appartient à cet
Calculer ]>L√? et ]>L√?.
Correction : A>1 i√3?, B>1 i√3? et C%2,.
1.
]%, >y ?^%y, : On sait que >z i√3?>z Posons z x iy, ainsi 4%z z1, zz1 0
2. Montrons qu'il existe un polynôme Q tel que 5.
i√3, z 3, ainsi, il existe un polynôme Q tel que devient %x 2, y 4, donc l'ensemble Γ des
a)
P%¬, %z 3,Q%z,. points M d'affixe z qui vérifient 4%z z1, zz1 0 est
Résoudre dans ]%y, : Ce polynôme Q un cercle de Ω centre d'affixe – 2.
R 2.
3.
PE F
¢ ¢ gâ R¢gá #g© R¢g#
ensemble Γ¢ . á © 1
A est équidistant de B et de C, donc appartient à cet
â â
PE F 0 5 αª 3α¢ α
gâ R¢gá #g© R¢g#
â
]%, y y y y et on désigne
Exercice 37 : Soit un polynôme défini par
3α 1 0. D’autre part on remarque que dans ce
par z un nombre complexe non nul.
Montrer que ]%d 1111111. En déduire que si
Î , ]%d,
polynôme, l’inconnu z n’est pas affecté par un
signe, ]%d
Î , ]%d,
1111111 ] E F .
coefficient imaginaire dont son conjugué change de
deux solutions complexes de l’équation ]%y, . P%1 i, %1 i,ª 3%1 i,¢ %1 i,
2.
déterminer tel que ]%, %y z,%y z Î ,^%y,. ce qui prouve que 1 i est solution de ]%,. On sait
3. Montrer qu'il existe un polynôme Q à
1111111
pas affecté par un coefficient imaginaire dont son
conjugué change de signe, d’où ]%d Î , ]%d, h h
kg 2 Eû gF 2l ¬ k g 2 Eû gFl ¬
h
de déduire que d et d Î .
P%¬, %z α,%z α Î,Q%z, %z 1 i,%z
Exercice 39 :
1 i,%¬ Õ¬ û, %¬ 2¬ 2,%¬ Õ¬ û,
3.
par identification on aura : Q%z, ¬ 4¬ 13. On note y la solution dont la partie imaginaire est
positive, et y l'autre.
Résoudre dans ^%y, :
^%y, , ∆ 36 %6i, , donc il y
4.
y et y .
2. Donner les formes exponentielles des solutions
a deux solutions complexes : z 2 3i, z 2 3i.
Montrer que %y , est un nombre réel
Résoudre dans ]%y, :
S i; 1 i; 2 3i; 2 3io.
3.
m1
5.
Déterminer un entier tel que %y , est un
strictement négatif.
4.
]%, y y y y et on désigne par z
Exercice 38 : Soit un polynôme défini par
nombre réel strictement positif.
y í.
5. Déterminer la solution réelle de l'équation :
d
Calculer ]% L, avec % L, L. Déduisez y l'autre.
dont la partie imaginaire est strictement positive et
]%, %y z,%y z
Î , Ey F ^%y,.
3. Montrer qu'il existe un polynôme Q tel que
Correction :
z
Résoudre dans ]%y, . ¬ 2√3¬ 4 0, ∆ 4 w 0, donc il y a
deux solutions complexes : z √3 i, z √3 i.
4. 1.
S O√3 i; √3 iP.
Page 29 sur 229
¬ ¢ 2>√2 1?¬ 4>1 √2?¬ 8 %¬
þ þ
z √3 i 2ý µ et z √3 i 2ý Rµ .
Montrons que %y , est un nombre réel 2,%Õ¬ û¬ , %¬ 2,>¬ 2√2¬ 4? 0.
2.
3.
£ ¬ 2√2¬ 4 0, ∆ 8 >2®√2? , donc il y a
strictement négatif :
þ
%z ,£ E2ý F 2£ e Ú 64.
µ
deux solutions complexes : z √2 ®√2, z
þ ¸ ¿þ
4. %z ,¸ E2ý Rµ
F 2¸ ý Rµ . Le nombre √2 ®√2, donc S O2; √2 ®√2; √2 ®√2P.
z z √2 ®√2 √2 ®√2 2√2.
¿þ
¸Ø
complexe ý Rµ
®
£
c)
A%2,, B>√2 ®√2? et C>√2 ®√2?. On note
est un réel positif si est un multiple
de 2×; on peut donc prendre n = 12
le point I milieu du AABC.
2.
(ou 12k avec ½ ).
La solution réelle de l'équation : y í est 2,
puisque 2¢ 8.
5.
))))))* 6 |¬Ï ¬k | 2 et 6¬kÑ ))))))* 6 |¬Ñ ¬k | 2,
a) Placer ces points sur un dessin..
6¬kÏ
z ¢ 8 %z 2,%Õ¬ û¬ , 0. Après
))))))* 6 6¬kÑ
donc 6¬kÏ ))))))* 6 2, alors OAB est un triangle
b)
6.
tout calcul, z ¢ 8 %z 2,%¬ 2¬ 4, 0 ;
%&!, est la médiane issue de O et la bissectrice de
isocèle en O.
¬ 2¬ 4 0, ∆ 12 w 0, il y a deux solutions
&! ? $
)*; ))))*
complexes : z¢ 1 i√3, zª 1 i√3. l’angle AOB, donc la mesure de l’angle >l
c)
#y
Montrons que yRy : ¢Ø
¢Ø
ª î
7.
.
³´ #Å© √¢# #√¢R √¢
R# µ µ ®.
3. Déterminons :
Åá RÅâ √¢## √¢ √¢ ÅÆ #ÅÇ R√#µ√ √ √
zm 1 ®.
a)
|zm | 81 ®8 22 √2 et ÕÖ%zm ,
√ √
Exercice 40 :
b)
1. Soit l’équation : %j, )*; &!
>l ))))* ? ¢Ø
2½×.
î
>√ ? > √? í .
zm E22 √2F kcos E î F ® sin E î Fl.
¢Ø ¢Ø
a) Vérifier que 2 est solution de %j,.
E22 √2F cos î 1 ~ cos î
¢Ø √ ¢Ø 2R√
et de E22
¢Ø √ ¢Ø 2#√
Im(z1)w Im(z2). √2F sin î
~ sin î
.
Montrer que y y √.
Exercice 41 : Soit dans l’équation :
c)
2. On considère les points A, B et C d’affixes
respectives y , y √ √ et y √
y % KL,y %KL ,y ¥ .
√. On note le point I milieu du AC.
solution imaginaire pure y . Terminer la résolution
1. Montrer que cette équation admet une unique
a) Placer ces points sur un dessin.
b) Démontrer que le triangle OAB est isocèle en de cette équation dans . On appelle z1 et z2 les
1 i, et n« 6zoÏ
)))))* 6 |1 i| √2; n° 6zoÑ
)))))* 6 Résoudre dans l’équation %j, :
oe 6 |3 2i| √13. Donc
|2 3i| √13; n² 6z)))))* %, % ,¥ et vérifier qu’elle admet une
1.
¥
5n 4 ~ 5n
))))))* 2, l’ensemble des points M tels que racine réelle.
5« 5° 5² 4 est le cercle de centre G et 2. Vérifier que dans le plan complexe, les images
de rayon 2.
d’équation > ? .
des racines de (E) appartiennent au cercle (C)
P(z) = y >L √?y > L√?y íL et vérifier qu’elle admet une racine réelle.
sv ø %v,
Pour ½ 0 alors ¬ 1.
Rsv Rø %v, R
·Ø
Soit bi cette solution, donc P%bi, 0 alors Posons d ¤ et ¬ Í ®ú
1. P admet une solution imaginaire pur :
2.
P%bi, %bi,¢ 2>i √3?%bi, 4>1 i√3?%bi, ¬
%,#µ Þ%,
%,R#µ Þ%,
R%,Rµ Þ%, ¤Rª %,
8i 0. Après tout calcul et par identification, on
donc les
R %,# R¢
point le module. Ainsi on obtient : |z | 2, |z | 2 et 2Í 1 1
centre O et rayon 2 : Il s’agit de calculer pour chaque
¤Rª %, ¤Rª %,
(2).
|z¢ | 2; donc &M OM OM¢ , ce qui confirme
1
pas solution de l’équation, donc
% ,¥ % ,¥
1.
rþ
E F
/ ½ m1, 2, 3ou.
s # ø © #
Q i® sr R ®
% , % ,
2.
rþ
r E F
3. ø © R
# # #
4. R ERF ERF Exercice 45 : Résoudre dans :
Correction : Résoudre dans : % , % , , !" .
% , % , , !" .
1.
1 on peut directement remarquer que 0 est 2.
solution de cette équation. NB n’est pas solution de
1.
Observer que celle-ci admet exactement n − 1
. V
solutions, chacune réelle.
1
T
l’équation
¬ ¬ 5 ¬ ¬. ¬ or ¬. ¬ 1 donc ¬ ª 1 dont les
¢ ª
3. .
¬ = l %2 ®,
r
√¢
1 ® E √3F
tel que ½ m 1, … , = 1ox.
·Ø
Q T® cos ¸
•
2. % , % , , !" .
³#µ ¸
Exercice 47 :
©rþ
Posons q· ý , %¬ ®,¸ %¬ ®,¸ ~ E³RµF
E Fµ
¿
³# sr # ·Ø
q· ~ ¬ cot . Pour q¡ ®, n’a pas
2.
∑¸·
¡
%·õ, ø r@
"ý k∑ ¸
·
¡ l racines quatrièmes du nombre sont :
}~ õ
r }~r õ
¬¡ l¡ %1 ®, 1 ®
3.
%õ,Rø
ST ¸# %Í,
}~
"ý 0~
¿À´ %¿À´,@
•
}~¿ õ õRø @
• ¬ l %1 ®, 1 ®
A×C ~ ¬ l %1 ®, 1 ®
Ø ø @
cosA%= 1,ÍC. Si Í ; }~õ
; 1 et •
}~¿À´ %õ,Rø %¿À´,@ ¬¢ l¢ %1 ®, 1 ®
∑¸·
¡
ø r@
}~¿ õ
•
}~r õ õRø @
, donc
∑¸·
¡
%·õ, Ø
0 ~ sinA%= 1,ÍC 0 ~ Í 0 k¸#l. Exercice 48 :
}~r õ
Q ¸# /½ ý %= 1,½.
·Ø a)
Calculer et .
exponentielle.
algébrique.
Correction : Correction :
√.
¬ 1 ®√3 = 2 k
1. les racines cubiques de l’unité. 1.
√¢ Ø
l¢ 1 5 l· k1;
Ø
½l avec ½ m0; 1; 2o donc les ®l 2 kcos ¢
¢
®sin×32ý×3®.
a)
√¢
racines cubiques de 1 sont l¡ 1 ; l ®
¢
et
¬ = E2ý á µ F 2 2®√3 et ¬ ¢ = E2ý á µ F
þ þ
ªØ Ø √¢
l k1; l k1; l ®
¢ ¢
b)
8.
.
%2 ®,¢ %2 ®,%2 ®, %2 ®,%4 4®
Déduction de et : Comme on tourne
12®3+4®=6−4+8®+3®211®.
2.
c)
les racines cubiques du nombre sont :
a chaque fois de 60°, tous les exposants multiples de 3
3. ramèneront sur l’axe réel (un coup positif, un coup
Page 33 sur 229
B B KB
ILM E F ILM E F ILM E F.
négatif) ; tous les multiples de 3 +1 (comme 1, 4, 7, …)
seront sur la droite issue de O et passant par z, enfin
Exprimer le nombre complexe g P
tous les multiples de 3 + 2 seront sur la droite issue de
1.
2012 est un multiple de 4 (2012=4x503), on a ¬ ¡
O passant par z2.
sous la forme d’une somme d’exponentielles.
þ ¡
E2ý á µ F 2¡ ý ¤¡¢Ø 2¡ ý Ø 2¡ et
2. Déterminer une expression simplifier de Z.
¡¢
3. En déduire une expression simplifiée de C et
þ
¬ ¡¢ E2ý á µ F 2¡¢ ý ¤¡¢Ø ý Ø 2¡ ý Ø de S.
2¡¢.
Résoudre dans l'équation í
Correction :
%¬ 2,%¬ 2¬ 4, 0, ¬ 2¬ 4 0, ∆
2.
>2®√3? , les autres solutions sont ¬ 1 ®√3 et
1. C et S sont les parties respectivement réelles et
þ þ
imaginaires de Ì ² ®Q ∑L·
ý ´v·µ ý ´v
¬ 1 ®√3. Déduction des solutions dans de ©þ Iþ
∑¸·
¡>¸·?ý 7·µ 7µ ¸
² ®Q. Ainsi >1 ý ?
trigonométriques de et de , une expression de
¿9
%,, de N%, et de O%,.
7
2 ý ST ¸ . Par identification on a : ²
¸ ©
µ
Correction : Í un réel, Í ; 0 A2×C. On pose :
∑¸·
¡>¸·?%cos ½¾, 2¸ cos $ ST ¸ et Q
¸7 7
«%Í, 1 cos Í cos%2Í, cos%6Í,
∑¸·
¡>¸·?%sin ½¾, 2¸ sin $ ST ¸ .
¸7 7
∑·
¡%cos ½Í,
°%Í, sin Í sin%2Í, sin%6Í,
∑·
¡%sin ½Í,
Exercice 50 : On pose :
B B
P GHI EF GHI E F GHI E F et
KB
Q%Í, 1 ý µõ ý µõ ý µ£õ ∑·
¡ ý ·µõ
1.
1 ý
cþ âþ ©þ
µ
ý
µ
ý
µ
Q.
A, C (
. (R avec
B
Î, 5
W\%, W\%
Ø
sin sin
ªØ
sin
£Ø
sin
Ø
.
ªØ £Ø
Montrer que
. Calculer
. sin sin 5 r 0.
Vérifier que ( ( ( .
1.
©þ c©þ âþ câþ
Q Eý µ ý
µ
F Eý µ ý
µ
F
Montrer que, pour tout entier tel que
2.
2.
þ cþ
Ø ªØ £Ø
7 7 , on a ( (R . Eý µ
ý µ
F 2 cos 2 cos 2 cos
3.
et
Construire les images des nombres ( . ©þ âþ cþ þ câþ c©þ
Q Eý µ ý µ ý
µ
F Eý µ ý
µ
ý
µ
F
En déduire ( ( ( . þ c©þ ´vþ ©þ c´vþ
ýµý µ
1ý µ
1ýµ1ý µ
4.
©þ
√¢
Correction : Z ® ý µ cþ þ cþ ©þ c©þ ´vþ
á . ý
µ
3ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
c´vþ þ cþ ©þ c©þ âþ
©þ âþ c©þ ý
µ
3ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
Z Eý á µ F ý á µ ý µ
. câþ
Ø ªØ £Ø
ý 3 2 cos 2 cos 2 cos .
á
1. µ
Ø Ø Ø
1 Z Z 1 cos E ¢ F ® sin E ¢ F cos E ¢ F Ø ªØ £Ø
Posons 2 cos 2 cos 2 cos ,
Ø √¢ √¢
® sin E ¢ F 1 ® ® 0. Q V
5 ) ) 3 0,
l l l¢ l l Z l Z Q 3
∆ 4 12 % 2,% 6, les solutions sont :
l %1 Z Z , or 1 Z Z 0,
2.
R√∆ #√∆
donc l l l¢ 0. )K et )::
.
Montrons que, pour tout entier tel que R√∆ #√∆
Q peut être égal à ou à ;
3.
7 7 , on a ( (R :
•
R√∆ #√∆
þ peut être égal à ou à .
Initialisation : = 4, lª l 1 ® √2ý R â µ
•
R
a) Donner une expression simple de :
de .
b) Calculer la partie réelle et la partie imaginaire
Posons ¸ 5 = ∞ 5 0
Ø √¤
2.
Ø
Í cos E ¤ F, 4Í 2Í 1 0, ∆: 5, Í ª
,
Ø #√¤
donc cos E ¤ F
lim E¸ Q¸ F lim MØ $ NØ
%,
ã%, ª
.
= ∞
0
.
B B íB
GHI E ¥ F GHI E ¥ F GHI E ¥ F.
B íB
GHI E ¥ F GHI E ¥ F.
2. Ecrire la formule exprimant GHI en
B B
fonction de GHI ; en remarquant que B
¥ ¥
.
B B
Calculer GHI E ¥ F en fonction de GHI E ¥ F.
GHI E ¥ F GHI E ¥ F .
3. Démontrer que :
B B
En déduire .
progression géométrique.
b)
B
c) Calculer GHI E ¥ F.
ALLAH MERCI
Auteur
Translation K
Transformations usuelles
rapport .
plan : %e", D $ e". Autrement écrit, est une
rapport k signifie que pour tous points M et N du
Translation avec 4’ Z%4, : )))))))))*
44’ ?)*.
Écritures complexes : Z ?)* : K .
similitude toute application bijective qui multiplie
toutes les distances par un même réel k.
Homothétie
La similitude est composée d'une isométrie et d'une
rapport |k|.y K y y % , ou K .
Une homothétie de rapport k est une similitude de
homothétie.
Globalement, nous savons qu'il se divise en deux :
caractérisée par un centre Ω d’affixe % , et de
Éléments caractéristiques : Toute homothétie est
• WU mo
V.
D'un côté, il y a les isométries qui conservent
les angles orientés. On les appelle déplacements. Ce rapport tel que t H
YZ
Homothétie avec 4’ %4, : ))))))))*
sont les translations et les rotations.
• De l'autre côté, il y a celles qui les changent en Ω4’ Ω4 ))))))*.
leurs opposés. Elles sont qualifiées Écritures complexes d’homothétie : %Ω; , :
d'antidéplacements. Ce sont les symétries axiales et
les symétries glissées. y K y %y y , ~ y K y y % , avec
D et % D, ~ RD ou bien
K .
Une homothétie est une transformation du
Rotation K
d >
d ?
plan qui conserve les angles orientés. Par
conséquent, pour une similitude deux situations
|| 6
d 6 YZ ;
d’angle d AC avec t H V
La similitude est la composée d'un
YZ
déplacement et d'une homothétie.
Ω4 Ω4:
antidéplacement et d'une homothétie.
))))))* ))))))))* V.
Il existe deux types de similitude : les
directes qui conservent les angles orientés et les EΩ4, Ω4:F z
Écritures complexes de rotation : /%Ω; z, :
indirectes qui les inversent.
K
d % , ~ K
d >
d ?
avec
d et >
d ? ~
Les similitudes planes directes sont les
R
d
: , a et b complexes, ; .
transformations du plan d’expression complexe
ou bien K
d .
Les similitudes planes indirectes sont les Symétrie d’axe réel
34 34 K
)))))))* V
)*, 34? E
> ))))))))*F.
)*, 34:
indirecte peut avoir :
Aucun point fixe : c'est une symétrie Écritures complexes d’homothétie : : K 1.
glissée.
Les propriétés des similitudes
Avoir un unique point fixe. Elle est alors Toute similitude est la composée d'une
la composée d'une symétrie (axiale ou glissée) et
isométrie et d'une homothétie de même rapport.
d'une homothétie de rapport différent de 1. Réciproquement, la composée d'une isométrie et
d'une homothétie est une similitude.
= r ◦ h. ,
Page 39 sur 229
}
, l'équation est 0z=0 :
tout point est invariant ;en effet : est l'écriture
Ce tableau nous amène à deux conclusions :
}
; , l'équation est 0z=b :
complexe de l'identité du plan . Toute similitude f n'ayant aucun point
Une classification des similitudes Comment identifier une similitude plane directe ?
d .@%, ABC
similitude directe S z' = (-1)z voir ci-dessus
)))))))* , )))))))))*
)))))))*
Ωe:F ABC.
Plus de
ΩeK
Aucun Un seul deux .@ ð )))))))* ñ \
} EΩe
point fixe point fixe points Ωe
déterminer son centre Ω : R.
fixes
Homothéti
e, Rotation,
similitude plane directe ’ ?
Comment déterminer l’écriture complexe d’une
Composée
Similitud d'une
e directe rotation et Applicatio
Translatio
en déduit K D
d % ,
(conserve d'une n si on connait ces éléments caractéristiques, on
n
les angles homothétie identique
S : K D
d > D
d ?
orientés) (défini par
centre,
N V
T N′
Composée Symétrie
O′ O
Similitud
d'une axiale (un d’où
e
symétrie axe de
N′ RO′ N O′ RN′ O
indirecte Symétrie
axiale ou points
N RO N RO
(inverse glissée et .
glissée, et fixes, c'est-
les angles
N′ RO′ N O′ RN′ O
S : K
d'une à-dire une
orientés)
N RO N RO
homothétie infinité) .
… S AD ; d; c C afin de déterminer
On conclura positivement s’il est réel, non nul
et différent de 1 (si a =1, on a affaire à une
translation. Dans le cas de l’identité, a =1 et b = 0, on son écriture complexe.
a affaire à une homothétie …). Dans le cas (général)
K d V
point A par S ?
K
4.
caractéristiques de S : ′
donnée : Correction : La nature et les éléments
3 en .
4.
¢R√¢ √¢R √¢R
0 : ¬K E
ª ®F ¬
®
laissant le point invariant et transformant
B. On considère les points A, B et C d’affixes
respectives : N % ,, O % , et
3 en . 0%C, C 5 ¬Ä Õ¬Ä û et
4.
û ¬ Õ¬[ √3 ® 0 √3 ®
Ecrire et sous forme exponentielle et placer les
: ¬ K ¬ √3 ® c’est une translation de l
)*>√3 ®?.
points N et O d’affixes respectives et dans le plan
transformant A en B et C en D ;
complexe. On prendra b\ pour unité graphique.
0%A, B 5 ¬Ã լ û et
2.
0%C, D 5 ¬ Õ¬Ä û
2.
. á
produit scalaire : 𠪩ñ >Rª ? 6 8 2 ; 0, donc la
R
B Q%&,V 1 Õ$0û V~
T ~T
d) Préciser, en justifiant, la nature du
® Q%«, 1 3® Õ $ %2, û
On désigne par N, ! et © les affixes des
quadrilatère ODFE. 1.
û1
Õ ¢ ® V, d’où S est : ¬ ′ ®¬ 1.
¢
e)
R
points A, I et J. On pose g © RN. Calculer g.
! N
þ
¢ ¢ B
En interprétant géométriquement le module et un 2. Õ ® ý R © µ , donc kD ; d l.
argument de Z, déterminer la nature du triangle
3. On peut remarquer que S les images des points :
¢ ¢
¬« ®¬k 1 1, ¬ª ®¬Ï 1 1 3®,
AIJ.
¢ ¤ ¢ ¤
¬° ®¬Ñ 1 3i et ¬o ®¬e 1
Correction :
P(z) = y y Ky .
P%3, 3¢ 3 $ 3 9 $ 3 27 0,
1. alors l’image du rectangle OABC par la similitude S
! Q« %°, ~ !B))))* B°
))))))* ~ ¬¬ 2¬« ¬Ñ
))))* )))))*
b)
2 E2 ®F 3® 4 2® et Qª %², ~ ®
¤
®² ~ similitude directe s qui laisse 4 invariant et telle
b) Déterminer les éléments caractéristiques de la
¤
¬¯ 2¬ª ¬e 2 E 2®F 3® 5 ®. que 4 |%4 ,.
³± #³²
¬°
LRµ
c) . Correction :
³® |¬ª ¬° |
û
, alors ODFE est un carré. Soit bi cette solution, donc P%bi, 0 alors
P%bi, %bi,¢ 10%bi, 4%1 4i,%bi,
1.
³² R³Ô
ªRµR¢ ® ; |Ì| 1 et ÕÖ%Ì,
¤#µR¢ Ø
Ì ,
³± R³Ô
40%4 3i, 0.
f)
donc
)))*
EAI ; )))*
Ø
AJF , d’où AIJ est un triangle rectangle en A. b 10, d’où par vérification P%10i, 0.
Après tout calcul et par identification, on obtient que
Résolution dans
]%y, :
P%z, %z 10i,Az %1 2i, C 0 5 z
2.
Exercice 8 : On considère les deux rectangles OABC
%1 2i, 0 ou z 10i. Pour z %1 2i, 0,
affixes respectives y , y L, y L,
et DEFG où les points A, B, C, D, E, F, G ont pour
¥ ¥
z 4 2i et z 4 2i ou z¡ 10i.
y , yj L, yÙ L, y| . On 3. 4 %y ,, 4 %y , et 4 %y , :
considère la similitude directe S transformant O en
D et A en E.
Page 45 sur 229
Soit ce point A qui est défini par ))))))*
AM¡ AM))))))* ∆ %1 ®4, 4%5 5®, 5 2® alors les racines
))))))* )*. L’affixe u du point A est donc solution de carrées du ∆ 5 12® sont 3 2® et 3 2®.
a)
AM 0
#ªµR%¢Rµ, #ªµR¢#µ R#£µ
l’équation z¡ z z 3u 0 ou u
¡
i ¬K
1 3®
¢
Puisque M¡ est point invariant et que M
#ªµ#%¢Rµ, #ªµ#¢Rµ ª#µ
¬ KK 2®
s%M , alors )))))))))* )))))))))*
b)
M¡ M s>M ¡ M ?. Il s’agit de rechercher S m2®; 1 3®; 2 ®o
4 %,, 4 % ®, et 4 % ,.
Å© RÅv
Å´ RÅv
%4 , 4 et %4 , 4 .
l’expression trigonométrique ou exponentielle de . 2.
Ý
Å© RÅv √ R
e â. Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
Å´ RÅv
Donc Par conséquent, la similitude
directe s qui laisse M¡ invariant et qui transforme M en M et l’affixe y: de son image M’ par S.
a)
M , a pour rapport
√ Q%M , M 5 ¬µ´ Õ¬µ´ û et
Q%M¡ , M 5 ¬µ© Õ¬µv û
et pour détermination de son
Ú
angle . ³¶ R³¶
ª
¬µ Õ¬µ´ û Õ ´ ©
)))))))* ))))))*.
))))))* QP
4. Déterminer l’affixe du point A’, vérifiant
Posons z Í ®ú tel que z 5 12® puis on résout QN′ QO
a)
Í ú √5 12 13 Í ú 13
V 5 iÍ ú 5 V
5. Quelle est la nature du quadrilatère A’BC’D ?
i Í ú 5
2Íú 12 Íú 6
Correction :
Í ú 13
2Í 18
Í H3 N% ¥,, O% , ; P% , ;Q% ,.
iÍ ú 5 V 5 i 2ú 8 V 5 t ú H2 V alors
Íú 6 Íú 6 Íú 6 1. Placer les points N, O, P, et D.
les racines carrées du nombre complexe 5 12® sont
¬)))))* ¬Ñ ¬Ï 5 2® et ¬«e )))))* ¬e ¬« 5 2®,
2. Nature du quadrilatère ABCD :
3 2® et 3 2®. ÏÑ
Résoudre dans : donc ¬)))))*
ÏÑ ¬«e )))))* , ABCD est un parallélogramme.
¬)))))))*
ÏKÑ ¬Ñ ¬ÏK 5 2® et ¬«eK )))))))* ¬eK ¬« 5
a)
ÏKÑ ¬«eK
2®, donc ¬)))))))* cercle C' : AK E K |ý K ÕK | 6√3 ® 2®6 2, donc
b) Démontrons que le point E' est un point du
)))))))* , A’BC’D est un parallélogramme.
ý 1 ®√3 2 2® 1 ®>√3 2? et
E’ appartient bien au cercle C’.
Exercice 12 : L’unité graphique est 2cm. On désigne
√ .
Justifier.
4. Soient E et F les points d’affixes respectives
√ et √. Quelle est la nature du 1. Calculer les distances OA, OB et AB. En
quadrilatère OEAF ? Justifier. déduire la nature du triangle OAB.
5. Soit C le cercle de centre A et de rayon 2. Soit 2. On désigne par C l’image de A par la rotation
C' le cercle de centre A' et de rayon 2.Soit r la
B de centre O et d’angle . Déterminer l’affixe c du
rotation de centre O et d’angle .
point C.
a) On désigne par E' l’image par la rotation r du 3. On désigne par D l’image de A par
point E. Calculer l’affixe e' du point E'. l’homothétie de centre O et de rapport 2.
b) Démontrer que le point E' est un point du Déterminer l’affixe d du point D.
cercle C'.
Vérifier que :
>√ ?%
K ,. En
4. Placer les points A, B, C, D sur une figure
c) (unité graphique : 1 cm).
déduire que les points E, E' et D sont alignés. 5. Préciser la nature du triangle BCD en la
6. Soit D' l’image du point D par la rotation r. justifiant.
Démontrer que le triangle EE'D' est rectangle. 6. Soit E le symétrique de D par rapport à I,
þ
Correction : ® ý © µ .
milieu de [BC]. Montrer que le point E est l’image
de C dans la rotation de centre B et d’angle .
&» ?
)))))*, ))))))*
médiane et aussi bissectrice, donc >&«
1. les éléments caractéristiques de S : triangle OAB est isocèle, alors la droite (OH) est
þ
√¢
Õ 1 ®√3 2ý á µ et ¬ Rü RRµ 2®,
>&«, &°?
√¢
B
)))))* )))))* Ø
A2×C.
donc kD ; d ; Ω%,l.
&» ? ÕÖ ER¡F A2×C,
¼R¡
)))))*, ))))))*
Ø
¬ÏK >1 ®√3?¬Ï 2√3 1 ®√3 4. >&«
2.
®>1 ®√3?.
2#√¢ Ø Ø
kcos ® sin l
la similitude réciproque de S : ¬ i
,V on en déduit que
ª® ª
3. #√¢
Rµ√¢ √¢ ¢
>1 ®√3?¬ K 2√3 ~ ¬ K E F¬ ®. Ø √£#√ Ø √£R√
ª
cos et de sin
ª ª
.
¬¸ %2 2®,¬¹ 3 ® 3 3®
3. OM’ = 2AM (car S a pour rapport 2 ) on obtient donc:
a) AM = 1 . M est sur le cercle de centre A de rayon 1.
Page 48 sur 229
58 8 ®8 ,
¢#¢µ ¢ îL
))))* 8 6z¹ z½ 6 8
8z½¹
Exercice 18 : Soit ABC un triangle isocèle rectangle
en A de sens direct. On note D le symétrique de A
58 8 ®8 , donc
R#µ ¢ L
)))* 8 6z¸ z½ 6 8
8z½¸
par rapport à C.
1. Déterminer le rapport de la similitude directe
qui transforme D en C et C en B.
IEJF est un rectangle.
2. Soit Ω le centre de S .Que peut on dire du
¬ ′ Í ′ ®ú′V
5 et son angle A2×C.
R¤#¤µ Ø
Donc ¾ : ¬ ′ 4¬ 10, posons T
Rµ ¬ Í ®ú
d’où
¤
Í ′ 4Í 10V Í Í′
ª V
4. Nature du quadrilatère IEJF :
|z |
¢#¢µ ¢
L ¾:T 5 i
m¹ 6 ¹ zm
6z))))* 8 28 8 ®8 ú ′ 4ú
ú ú:
.
ª
Í ′′ Í: ú:√3 2√3 V
a) L'écriture précédente est celle d'une similitude
′′ ~
ú Í:√3 ú: √3
plane directe. Donc S est une similitude plane directe
Í ′′ 2Í 2ú√3 3 4√3V
b) les éléments caractéristiques de S :
áþ
Rµ
Õ 1 ® √2ý â µ et ¬¬ Rü #Rµ 1, ′′
¢Ø ú 2Í√3 2ú 6 2√3
donc kD √2 ; d ª ; W%,l.
. Et
Í ′′ 2Í 2ú√3 3 4√3V
′′ ~
ú 2Í√3 2ú 6 2√3
3. Soit z'' l'affixe de M'' et zG l'affixe de G.
B
donc kD 1 ; d ; 3%,l.
√
même transformation fait
′
correspondre à e′ %′,
′, le point e′′ %′′, ′′,, puis à QSQSQ `½ 1 ; : 2× ; O%0,a.
Exercice 24 : On désigne par \ un nombre
6.
e′′ le point e′′′ %′′′, ′′′,.
Calculer ′′ et ′′ en fonction de et , puis
définie par : ′ \ .
complexe non nul. Soit la transformation S
′′′ et ′′′ en fonction de et .
1.
3.
4. Calculer ILM E&e)))))))* ))))))))*F et GHI E&e
, &e′ )))))))* ))))))))*F.
, &e′ b) Quel est alors le rapport de cette similitude
En désignant par et ′ les affixes respectives
On appelle J l’angle de cette similitude.
directe ?
de e et de e′, déterminer ′ en fonction de . En
5.
½ m0; 1o.
·R¢
® avec
4.
#· ©
S soit une similitude plane directe : =® 2 5
complexe :
e)
= 2® et son centre est d’affixe :
a) pour que S ait le centre Ω:%, ;
µ
b) pour que S soit une translation dont on
)* ;
précisera l’affixe de son vecteur R¢µ
Pour = 2® alors ¬ #µ ¤ ¤ ®.
ª
respectives , et .
2.
%1 ®,%1 #, 2 3® ~ # ®.
¢ ¤
½ |Õ| |#| 8 ®8
¢ ¤ √¢ª
points 4 , 4 et 4 affectés des coefficients
a) Déterminer l’affixe du barycentre G des
respectifs , et .
b) .
Þ 7 ¤ ¤
tan ¾ 7 ¢ et sin ¾
√¢ª Discuter l’ensemble des points M% y, du plan
c) . Une valeur
approchée à 10R près de ¾ 1,49. 10 en radians. R
b)
tels que 44 44 44 où k est
d) l’image du cercle %&; . , par S est le cercle
¢ ¤
`«%2 3®,; 2√34a car ¬Ï E ®F ¬k 2
un nombre réel.
1.
û 2 3® ¬K %1 =®, ou ¬K %1 =®, racines carrées du – í .
a) S ait le centre Ω:%, ;
Í ú √8 6 10 Í ú 10
iÍ ú 8 V 5 iÍ ú 8 V
b) S soit une translation dont on précisera l’affixe
)* : =® 1 5 = ® et Í*%2 3®,
de son vecteur
Íú 3
µ
S soit une rotation : |=®| 1 5 = 1 ou 2Íú 6
= 1 et son centre est d’affixe : Í ú 10
2Í 2 Í H1
c)
iÍ ú 8
V 5 i2ú 18 V 5 tú H3 V alors
R¢µ ¤
Pour = 1 alors ¬ ®; Íú 3 Íú 3 Íú 3
Rµ
•
\ .
complexe L.
1. Trouver les racines carrées du nombre
61 # 6 |2® #| |1 ® #|
c)
61 # 6 61 Í ®ú 6 2%1 Í, ú
]%, Ly % L,y L
2. Soit l’équation définie par
62® # 6 6Í ®%2 ú, 6 2Í %2 ú,
|1 ® #| 61 Í ®%1 ú, 6 solution imaginaire pure y si ]%y, .
a) Vérifier que cette l’équation admet une
vecteur )*.
b) soit une translation dont on précisera l’affixe de son
44 44 44 où k est un
nombre réel. Posons
2MM¡ 2A%1 Í, ú C 2%1 Í, 2ú
Correction :
2MM 2AÍ %2 ú, C 2Í 2%2 ú, racines carrées du nombre complexe L.
MM %1 Í, %1 ú, en ajoutant membre Posons z Í ®ú tel que z 3 4® puis on résout
1.
Í ú 2Í 10ú 8 ½ ou Í ú √3 4 5 Í ú 5
%Í 1, %ú 5, 18 ½ iÍ ú 3 V 5 iÍ ú 3 V
P%¬, %¬ ®,%z az b,
complexe L. Résoudre dans l’équation définie
1. Trouver les racines carrées du nombre
P%¬, ¬ ¢ %a i,z %b ai,z ib
P%¬, ¬ ¢ 4iz %6 i,z 3i 1 par par y % L,y ¥L où on considère
identification on a : a 3i et b 3 i. U Y %y , w U Y %y ,.
y Ly L ,
]%, %¥ L,y %¥ íL,y ¥L
2. Soit l’équation définie par
∆ 9 4%3 i, 9 12 4i 3 4® dont les
racines carrées sont 2 ® et 2 ®.
solution réelle y si ]%y, .
a) Vérifier que cette l’équation admet une
¢ RR ¢ ##
zK 1 i y et y 1 2i
Donc S m®; 1 ®; 1 2®o ]%y, %y y ,`y % L,y ¥La.
b) Montrer que
Ta 5a 5a 1 0V 5 Ta¢ 5a 5a 1 0V
¢
d) S soit une translation :
W W#
Õ ® 1 5 #%1 ®, 2 2® 3a 8a 5 0
3a 8a 5 0
#µ #µ #µ
# Rµ Rµ $ #µ
#µ#µR
2® Pour 3a 8a 5 0, ∆ 64 60 4 alors
îR î# ¤
aK 1 et aK ¢. On vérifie les valeurs de
)* est û
µ Rµ
Affixe de son vecteur ® 1 2® £ £
a dans l’équation a¢ 5a 5a 1 0
¤ ¤ ¢ ¤ ¤
• Pour a ¢ alors E¢F 5 E¢F 5. ¢ 1
125 125 25 5 20 ; 0 ce qui prouve que
¤
a ¢ n’est pas solution de P%¬,.
¬ ¬4 ¬ 1 ; ¬ K ¬4 ¬ 3 2® et
4 k % ,l ; 4 k l et 4 milieu du
\ –RL
Å9 R³ ³ R³
¬ ¬4 ¬ 1 ® alors k 8 ÅR³ Ä 8 8³ R³ 8
2.
È ´
%R#µ,# %RRµ,
A4 4 C 5 z ©
R%W#,#µ%WR,
Ä
©
|2 2i| 2√2 or
#µ ³ R³
8 µ 8 2 2i a ª
.
³ R³
%4 , 4 et %4 , 4 .
Donc θ arg E³© R³v F arg%2 2i, ª A2πC
³ R³ Ú
c%ÈÀ´,À%Èc´, È
³ R³ R %R#µ,
´ v
a ³© R³v â
–´cã È
©
R %R#µ,
a)
´ v
© ©
c) Déterminer l’écriture complexe de S.
Ý
û >1 keä ?¬ E1 2√2ý R â F 1 2® a
RWR#W#µ%WRRW, WRRµ%W#,
AWR#µ%WR,C
R#W#µ%R#W,
S : ¬ K %2 2®,¬ 1 2® WRRµ%W#, Rµ #Wµ
a %WR,%#µ, $ Rµ %WR,
T ′ \.
¬µv Õ¬µv %1 ®, k1 %WR,l
W #Wµ
Trouver le rapport k’ et l’angle ^: de SoT. û
4.
W%#Wµ,%WR#Wµ,
SoT%¬, SAT%¬,C ¬ ′ %2 2®,¬Ç%³, 1 2® ou û
ª%WR,
B
¬ %2 2®,A \C 1 2® ou
b) S soit une rotation d’angle de mesure :
þ
#Wµ
a %WR, ý ® ~ 1 #® 2®# 2®
′
µ
©
¢µ
½ ′ |2®%2 2®,| |2®|. |2 2®| 4√2
complexe L.
Ú Ú
θ arg%2 2i, arg%1, arg%i, ª π
1. Trouver les racines carrées du nombre
K
^%, y y L.
2. Soit l’équation définie par
θK ª π ª %1 4 2, A2πC
Ú Ú Ú ¤Ú ¢Ú
ª ª
Page 55 sur 229
R¢R√¢Rµ>R√¢? R¢#√¢Rµ>#√¢?
zK y et y
solution imaginaire pure y si ^%y, .
a) Vérifier que cette l’équation admet une
Donc S T x
R¢R√¢Rµ>R√¢? R¢#√¢Rµ>#√¢?
;
^%y, %y y ,` % , a.
b) Montrer que
]%, y y % L,y L
Résoudre dans % , Soit y cette solution, donc P%a, 0 alors
3.
où U Y %y , w U Y %y ,.
c)
P%a, aª 4a¢ 6a %6 2i,a 3 2i 0
a.
a 1 V
Ta 4a 6a 6a 3 0V 5 T
ª ¢
]%, y y % L,y L y
3. Soit l’équation définie par
2a 2 0 5 a 1
.
Montrer que ]%y, %y y ,^%,.
solution réelle y si ]%y, . P%¬, %z 1,%¬ ¢ 3z 3z 3 2i, ¬ ª
a) Vérifier que cette l’équation admet une b.
^%, y y L.
³© R³á R¢#√¢Rµ>#√¢?#
R¢R ¢Rµ>R ¢?#
RRµ√¢#√¢Rµ
#µ√¢R√¢#µ
³´ R³á R#µ√¢R√¢Rµ Rµ√¢#√¢#µ
Soit y L cette solution, donc Q%bi, 0 alors
√ √
2.
T 3b 3 0 V 5 Tb 1V
þ þ
³© R³á
ø á Rø
c þ þ
% , .
∆ %3 i, 4%2 3i, 6i dont les racines carrées
c)
¬ K ý á µ ¬ ®√3ý á µ E
©þ þ þ
√¢
iF ¬ ®√3ý á µ . Déterminer le nombre complexe \ pour que T
que T soient une rotation. Préciser son centre.
3.
B
Exercice 30 : On désigne par \ un nombre
soit une rotation d’angle de mesure .
|# ®| 1 ~ # 1 1 5 # 0. On peut aussi
2. T soit une rotation :
\ ¬ %1 1 2®, 5 ¬ µ 1 donc
•
µ
Rµ
3. pour affixe ¬ # ¢ ®.
son point est invariant. • |# ®| |2| ~ # 2 ® et son centre Ω a
Rµ
pour affixe ¬ # ¢ ®.
5. ToS soit une similitude plane directe de
kD √; l : ′ %\ ,Ê%³,
B
#® 1 5 # ®.
S soit une similitude directe de kD ;
B
l Déterminer les nombres complexes d et
pour que l’application %, d soit associée à
3. : 1.
©þ ©þ þ þ
#® 2ý á µ ~ # 2ý á µ $ ý R © µ 2ý µ √3 ®. B
# ®, S : ¬ ′ ¬ = ®, S est une
la rotation de centre A et d’angle .
Quelle relation doit-il exister entre , , b
translation de vecteur Í* d’affixe = ®.
4.
2.
pour que C soit le transformé de B dans cette
Exercice 33 : On désigne par \ un nombre réel. On
Quelle relation doit-il exister entre , , b
rotation ?
3.
N , O et P \.
considère les points A, B et C d’affixes respectives :
pour que B soit le transformé de C dans cette
rotation ?
1. Démontrer qu’il existe une similitude plane
directe S qui transforme A en B et B en C.
¬Ñ ¬e Ë ~ û ý á µ Õý R á µ .
2.
þ þ
lesquels S est une homothétie de rapport . Donner 1. S est de la forme ′ , donc S est une
3.
RR√ ′
)*. Pour
Pour \ , ¬ ′ ¬, donc son est vecteur Í* 0 \ , ¬ ¬ 1, donc son vecteur est Í* l )*.
\ , ¬ ′ ¬ 2, donc son vecteur est Í* 2l
)*. Pour \
R#√
¬ ′ ¬ 1, donc son vecteur est
: # ý
B þ
µ
®~
,
2. S soit une rotation d’angle
©
Í* l
)*.
# ® S soit une rotation d’angle B : #¢ ý á µ ~
þ
√ √
i V. Pour \
√
,
√
#· k1; l, avec ½ m0; 1; 2o, les valeurs de #
3.
Ø#·Ø
# ®
√ √
son centre a
¢
¢R√¢Rªµ√¢
>®√2? ~ # ®√2 ou # ®√2. Pour \ √,
son centre a pour affixe ¬
î
S soit une homothétie de D í : # 8
.
¢
µ √R R#µ√
son centre est ¬ . Pour \ √,
%2, ~ %# 2,%# 2# 4, 0 ~ # 2
4.
# ¢ ¢
0 ~ # 2 ou # 2# 4 0 ~ # 1 ®√3
Rµ√R RRµ√
affixe ¬ # ¢ .
ou # 1 ®√3.. Pour \ , son centre a pour
son centre a pour
B þ
4. \ √
R
, ¬ E√2ý
R µ
â F ¬® £ £
affixe ¬ Rî . Pour \ √, son
′
þ
Rµ RRµ
2ý R µ
© ¬ ® et ¬ R√¢#µ√¢ R√¢#µ√¢
#µ ¤
centre a pour affixe ¬
. S est une similitude
Rî
. Pour
kD ; d ; Ω E
plane directe caractérisée par :
B RR
Fl.
¥
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\ √, son centre a pour affixe ¬ 3. Démonter que, quel que soit le réel m, l’image
R√¢Rµ√¢ √¢#µ√¢
O’ de O par S appartient à une droite dont on
Rî
. donnera une équation cartésienne.
þ
\ , ¬ ′ 8®¬ 4 2® 8ý R © µ ¬ 4
4. Est-il possible de déterminer m pour que
5.
Rª#µ #¢ªµ
2® et ¬
l’application S soit :
#îµ £¤
. S est une similitude plane a) une translation ?
directe caractérisée par : b) une rotation de centre O ?
B #¢ªµ
kD í; d ; Ω E Fl.
Dans le cas d’une réponse positive, préciser la ou les
£¤ valeurs de m et donner les éléments géométriques de
Calculer ′ [
%′, et ′ !\%′, en
a) similitude plane directe.
%# ®,%Í ®ú, √ %#
√
¬′ 1, ~
fonction de , et \.
b)
2.
#Í ú #
√ √ √ √
On se borne désormais au cas \ . e′ est Í′
i
.V
l’image de e dans une transformation .
2.
ú Í #ú
√ √
Quelle est une équation de l’ensemble º des
′
#
3. l’image O’ de O (0 ;0) par S appartient à une
√ √
Í′
Quelle est une équation de l’ensemble º des droite: t V,
points e tels que ′ soit réel ? ú 0
b)
′
équation cartésienne Í # .
√ √
Correction : \ ![ S : % ,%\ ,.
′
4. Est-il possible de déterminer m pour que
þ
\ , ¬ ′ ®¬ 1 ® ý R © µ ¬ 1 ® et
S soit translation %# ®, 1 ~ # √2
l’application
1. √
Rµ
¬ #µ ® . S est une similitude plane directe
® et son vecteur est Í* 2Á*.
a)
B
caractérisée par : kD ; d ; Ω%®,l. √
%# 1,
\ ; .
b) S soit une rotation de centre O :
0 ~ # 1 0 ou bien 8 %# ®,8 1 ~ #
√
%¬ 1 ®,%#¬ ®, 0 ~ ¬ 1 ® ou
2.
1 ~ # 1 ou # 1. Pour \ , ¬ ′ ý â µ ¬,
a) áþ
¬ W ®. B
donc kD ; d ; &%,l.
¬ ′ %¬ 1 ®,%#¬ ®, #¬ #¬ #®¬ þ
B
Í ′ #Í #ú #Í #ú ú 1V Pour \ , ¬ ′ ý â µ ¬, donc kD ; d ; &%,l.
b)
®¬ ® 1 ~
ú ′ 2#Íú #ú #Í Í 1
.
Exercice 39 :
Í ′ Í ú Í 1V
\ , ′ Résoudre dans l’équation : í .
ú 2Íú ú 1
3. .
On considère les points N, O, P, d’affixes
1.
» : ¬ ′ ®!" ~ "ý>¬ ′ ? Í ú Í 1
respectives : N , O √, P √,
2.
0 ~ ú H√Í Í 1 .
a)
R L
2. Le triangle ACM est inscrit dans un cercle et le
par la rotation r de centre Ω(-1) et d’angle .
côté [AC] et un diamètre du cercle, donc ce triangle est
2. Soit t la transformation qui à tout point M
d’affixe z associe le point M’ d’affixe K √.
rectangle en M. Le point H est le milieu de [BC]. Les
triangles OHM et OHM' sont isométriques puisque
&»5′ Ø. Donc HM =
a) Caractériser la transformation t. [OH] est commun aux deux triangles, OM = OM' =
b) Déterminer la forme complexe de tor. En rayon du cercle (C) et &»5
déduire ses éléments géométriques. HM' , H est aussi le milieu de [MM'] et le quadrilatère
3. Que peut-on dire explicitement de la nature BMCM' est un parallélogramme. De plus, BM = CM
puisque M st sur la médiatrice de [BC], donc BMCM'
de tor ?
Ø. L'angle de la similitude S
est un losange. Comme (CM) et (BM') = (BN) sont
parallèles, alors 5z°
Ø
Correction :
ÑÑ
Ú
: ¬ ¬
est . Le rapport de la similitude S est égal à CÑ : On a
K
¢
1. r (centre Ω(-1) et d’angle ) AC = AB + BC = 10. Soit O le centre du cercle de
Ý Ý Ý
ý %¬ ¬ , ~ ¬ K ý ¬ ¬ E1 ý á F
á
á
diamètre [AC]. Alors AO = 5 et OH = OC – CH = 3.
Dans le triangle OHM rectangle en H, on applique le
®F ¬ ® . L’image ¬ÏK %¬Ï , : ¬ÏK
√¢ √¢
E
théorème de Pythagore : HM = 4. Dans le triangle BHM
Ý
√¢ √¢ √¢ √¢
E ®F ¬Ï ® E ®F ý R á ®
rectangle en H, on applique le théorème de Pythagore :
BM2 = BH2 + HM2 = 22 + 42 = 20, et
√¢ √¢
BM = BM' = CM = CM' = 2√5.
1 ® . On applique le théorème de Thalès dans le triangle
t : ¬ ¬ ®√3.
K ACM, avec B sur [AC], N sur [AM] et (BN) // (CM) :
ÏÑ ÏÑ ÏÑ$Ce £$√¤ £√¤
; d’où z° ¡ ¤ et
2.
ÑÑ
Ïe ÏC Ïe
translation du vecteur Ð
)* d’affixe ®√3, puisque Õ 1
a) Caractériser la transformation t : t est la
ÏÑ$ÏC £$ª√¤ √¤
«z Ïe ¡ ¤ . Dans le triangle AMC
CÑ
(¬ K Õ¬ û)
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• Hérédité : Supposons qu’il existe = IN tel que
AM2 = AC2 – MC2 = 100 – 20 = 80, soit AM = 4√5.
rectangle en M, on applique le théorème de Pythagore :
¸ á¿þ
¸# µEáþ%¿À´,F
¬¸ EF ý . Alors ¬¸# E F ý
µE F
â â
√¤ î√¤
Donc MN = AM – AN = 4√5
La
¤ ¤
.
ÑÑ £√¤ ¤ ¢
$ .
formule est vraie au rang n+1.
CÑ ¤ î√¤ ª
Le rapport de s est égal à Conclusion : on a démontré par récurrence que quel que
¸ á¿þ
soit = IN, ¬¸ E F ý
µE F
â
3. L'image de (d) par S est une droite passant par B
.
les points e , e , e , e et e :
image de M et perpendiculaire à (d), soit la droite (AB).
4. Le point N étant le centre de la similitude S, b)
¢¸Ø
l'image de (M'N) par S est une droite perpendiculaire à c) 5¸ a pour affixe ¬¸ qui a pour argument ª
;
¢%¸#î,Ø
5¸#î a pour affixe ¬¸#î qui a pour argument
(M'N) passant par N, soit la droite (AM).
ª
5. L'image de M' est à l'intersection des images des
Donc ÕÖ%¬¸ , ÕÖ%¬¸#î , A2×C.
¢¸Ø ¢¸Ø
6×
droites (M'N) et (d), donc à l'intersection de (AB) et
ª ª
.
Comme ¬¸ et ¬¸#î ont le même module et un même
(AM).Donc S(M') = A.
E F
i et c = 1 + i.
GR
.
b) Construire les points e , e , e , e et e . 1. Calculer
R
. En déduire que le triangle ABC
est rectangle isocèle. Proposer les méthodes de
n, les points e et e #í sont confondus.
c) Montrer que pour tout nombre entier naturel
résolutions.
Prouver que les triangles e e e et 2. On appelle r la rotation de centre A telle que
e e e ont la même aire.
3.
r(B) = C.
Préciser la valeur exacte de cette aire. a) Déterminer l'angle de r et calculer l'affixe d du
E F
z' = 2 + i - i e ä .
centre A et d'angle - .
y 9 RG
Le triangle ABC est donc bien rectangle isocèle en A.
2ème méthode : l'écriture complexe d'une rotation : c) Montrons que yKRG est un réel : D'après ce qui
)))))*, AC
>AB )))))*? >AB
)))))*, )u*? >u )))))*? ÕÖ%û Õ,
)*, AC Å9 R RàãÓ
précède, on déduit : ÅKR R #àãÓ. Or, un nombre
)))))*, AC
ÕÖ% Õ,. >AB )))))*? ÕÖ E F ÕÖ%®,
R
hR
)))))* et AB
)))))* sont
complexe z est réel si et seulement si il est égal à son
A2×C.
Ø
On en déduit que les vecteurs AC
11111 1111111
conjugué. D'après les règles de calculs avec les
Å 9 R RàÔÓ àãÓ # Å9 R
orthogonaux. (On pouvait aussi utiliser le résultat de conjugués, on a : ðÅKRñ ðRó#àÔÓ ñ àãÓ # ÅKR
RàãÓ Å9 R
)))))* et AB
)))))* sont
cours suivant : si A, B et C sont trois points distincts du
R
plan, alors : est imaginaire pur AC
hR
R #àãÓ
. Ce qui prouve ÅKR est un réel.
)))))*, AC
)))))*? Ø A2×C.
a)
A2×C, donc θ >AB
Ø
b) Soit la rotation r de centre le point I et d’angle
B
Calculons l'affixe d du point D = r(C) : .
1er méthode : L'affixe d du point D = r(C) est donc : d =
Démontrer que le point B image du point A par la
rotation r a pour affixe O > √?.
-i(-1 + i) + 2 = 3 + i.
)))))* W
))))* et
Justifier.
[BC]. Son image Γ', par r, est donc le cercle de diamètre Soit les points E et F tels que : j
)))))* W
))))*. Que peut-on conjecturer pour les droites
2.
Ù
[r(B)r(C)] = [CD].
3.
Montrons qu'il existe un réel J k; k Ò
(BF) et (CE) ? Valider cette conjecture à l’aide
α) d’une démonstration.
l ; l /y YL^ : Le centre du cercle Γ est le point Correction :
! et N √
Ω d'affixe 1. (Milieu de [BC]). Le rayon de Γ est 1.
Comme M ∈ Γ, on a : ΩM = 1C'est-à-dire : |z − 1| 1.
¬ ® ®%¬ ®, 5 ¬ ®¬ 1 ®. Donc ¬Ñ
2.
¬ E F %2 2®, 2®.
#µ
®>√3 2®? 1 ® 1 >® √3?. La rotation est
3.
#
une isométrie, donc IA = IB = 2. 4. Montrer que E F :
Justifions que le point B appartient au cercle : #µ ¡
Initiation : = 0 ~ ¬¡ E F ¬¡ 4 (vraie).
#µ ¸
la question 1. a. Le point B appartient donc au cercle §. Hérédité : supposons que = !z, ¬¸ E F ¬¡
La rotation est une isométrie, donc IA = IB = 2, d’après
est
vraie, montrons alors que = !z, ¬¸#
#µ ¸# #µ ¸# #µ ¸#
c) Calculons l’affixe du point C : Par définition du
milieu ͬ
õÔ #õd
soit 0
√¢#õd
~ Íe √3. De E
F ¬¡ ¸# E
F ¬ ¡ 4 E
F
:¬
#µ #µ #µ ¸ #µ ¸#
E F ¬¸ E F $ 4 $ E F E F ¬¡ (vraie).
öÔ #öd #öd
même ú¬ soit 1 ~ úe 0. Conclusion
¸
¬e √3. Remarque : on aurait pu dire que C est #µ
Conclusion : = !z, ¬¸ E F ¬¡ .
l’image de B par la rotation r. Exercice 46 :
)))))*
AE IB )))* entraîne que (AE) et (IB) sont parallèles, donc
c) Montrer que b’ et c’ ont des nombres
conjugués.
(AC) est perpendiculaire à (AE). Dans le triangle EIF la 3.
droite (IA) est à la fois hauteur et médiane : ce triangle a) On appelle M, N, P et Q les milieux respectifs
des segments [CB], [BB’], [B’C’] et [C’C]. On note
est donc rectangle isocèle en I.
m, n, pet q leurs affixes.
Par la rotation r : - B a pour image C, - F a pour image
Ú
b) Montrer que l’affixe n du point N est égale à
#√
E. Par définition de r rotation d’angle , la droite (BF) a > √?. En déduire que les points O, N et C
pour image la droite perpendiculaire (CE). sont alignes.
c) Montrer que n + 1 = i(q + 1). Que peut-on en
Exercice 45 : On considère les points A0 et A1 déduire pour le triangle MNQ ?
d'affixes respectives 4 et 2 + 2i. Montrer que le quadrilatère MNPQ est un carré.
1. Montrer que A1 est l'image de A0 dans une Correction :
similitude directe S de centre O dont on précisera les
éléments caractéristiques. Résoudre dans l’équation :
¬ ¢ 8 ¬ ¢ 2¢ %¬ 2,%¬ 2¬ 2 , 0,
1.
2. Donner l'écriture complexe de S.
¬ 2¬ 2 0, ∆ 2 >®√3? ,
3. Soit A2 = S(A1). Déterminer l'affixe de A2 .
4. Montrer que par récurrence, pour tout entier
donc Q O2; 1 √3®; 1 √3®P.
#
naturel n, que E
F .
2.
þ
et K ý á µ . Les points P, Q et R étant les milieux
4. Calculer les affixes a’, b’, c’ des points A’, B’
et C’ images de A, B, C par cette transformation.
respectifs des segments [AB], [B'C] et [C'A], on peut
þ
þ
5. Les points P, Q et R sont les milieux des
ø á #
écrire : 4 ; < et ý á µ .
K# K
segments [A’B], [B’C], [C’A] et ont pour affixes p, q,
r. Calculer p, q, r. a,
B
Montrer que .
% ,.
Faire une figure.
þ þ
þ
Rø á ø á #
b, 4 ý µ
et <
á
6.
þ þ
ý %4 ,. Donc RQ = |q – r| RQ |< |
ý µ µ
7. En déduire la nature du triangle PQR.
á á
þ
%4 ,8 |4 | RP et ERP
)))))* ; )))))*
RQF
8ý á
µ
0 : z' = (1 + i)z + 1.
c)
)))))* ; )))))*
a) ABCD est un carré direct de centre O,
Ø √
AOF . Et AO AC AB. Donc
ª
directe S qui transforme AHB en AHC. doncEAB
Ø √
b) Le centre de S est le point H; l'image de A est le
ª
l'angle de la similitude s est et le rapport est .
)))))* )))))*F Ú, alors l'angle de S est Ú. Le rapport de S
point C et l'image de B est le point A. Comme
EHA , HC
b) L'image de C par S est le point D, car
ÖÄ ÖÂ )))))*
EAC ; )))))*
Ø
ADF . Et AD AC.
√
. ª
ÖÂ ÖÃ
est égal à
c) Une similitude directe conserve les angles, donc c) Les images des points B et C par S sont les points
l'image d'une bissectrice est une bissectrice, donc O et D, donc l'image de la droite (BC) par S est la droite
l'image du point d'intersection de deux bissectrices est (OD).
le point d'intersection des bissectrices images. Ainsi, d) L'image du milieu I de [BC] par S est le milieu
La droite (HJ) est la bissectrice de l'angle AHC
les droites (BI) et (AJ) sont perpendiculaires.
þ
√ #µ #µ
û 0 et Õ ý â µ ; donc ¬ K E F ¬.
, . De même,
qui est un angle droit, donc AHJ
Ú
4.
ª Exercice 52 : Soit N, O, C et Q les points du plan
, . Donc le centre de la similitude S' qui
BHI
Ú
ª
Ú
complexe d’affixes respectives : N √ ,
transforme HIJ en AHB est H et l'angle égal .
ª O √ ; P √ et Q √.
, ainsi que le
ABC, alors K est sur la bissectrice de HBA Q .
6. Si K est le centre du cercle inscrit du triangle
point I, centre du cercle inscrit de AHB. Donc les points 3. Déterminer la nature du quadrilatère ABCD.
B, I et K sont alignés.
4. On considère la rotation r de centre B et
B
d’angle . Soient E et F les points du plan définis
Exercice 51 :
E
√¢
® F¬ 1. 8 8ý á µ Eý R á µ 1F 16ý á µ . Déduction de O est un
√¢ √¢ point de la droite (BB’) : EOB )))))* ; OB:
))))))*F ÕÖ EKF
¬ª E ® F ¬Ï 1 E ® F >√3
×, OB OB: sont colinéaires et O est un
)))))* et ))))))*
Ø Ø
b)
®+1=2−3®. ¢ ¢
√¢ √¢
¬° E ® F ¬e 1 E ® F >√3 ®?
point de la droite (BB’).
7®√3 14 E ®F 14ý á µ d’où EOC )))))* ; OC:
))))))*F
þ
√¢
K Ø Ø
ÕÖ E F
×, les droites (AA’), (BB’) et
Exercice 53 : Unité graphique : 0,5 cm. On note j le
B ¢ ¢
nombre complexe
. On considère les points A, B (CC’) sont concourantes en O.
22.
A’ l’image de B par la rotation de centre C et a)
B
¢
d’angle , B’ l’image de C par la rotation de centre
Z ¢ Eý á µ F ý ص 1 et 1 Z Z 1
©þ
B
A et d’angle , C’ l’image de A par la rotation de b)
√¢ √¢
® ® 0.
B
|%Õ ¬, %û ¬,Z % ¬,Z|
centre B et d’angle .
|Õ ûZ Z ¬ ¬Z ¬Z | |Õ ûZ Z
c)
¬1ZZ2ÕûZ2Z22.
1. Placer les points A, B, C, A’, B’ et C’.
2. On appelle a’, b’ et c’ les affixes respectives
d) Montrons que MA+MB+MC est minimale
lorsque M = O : |¬ + ¬ K + ¬::| 7 |¬| + |¬:| + |¬::| avec
des points A’, B’ et C’.
On admet que bK √. Montrer que les ¬, %û ¬,Z % ¬,Z| |Õ ûZ Z| 22,
un point de la droite (BB’).
d)
droites (AA’), (BB’) et (CC’) sont concourantes en O. cette valeur est le minimum de MA+MB+MC et il est
3. On se propose désormais de montrer que la obtenu lorsque z = 0, soit lorsque M est en O.
distance MA+MB+MC est minimale lorsque M = O.
b) Calculer la distance OA + OB + OC.
c) Montrer que j3 = 1 et que 1+ j + j2 = 0.
d) On considère un point M quelconque d’affixe z
du plan complexe. On rappelle que a = 8, b = 6j et c
suivantes : 6% , % ,
%b ,
6
= 8j2. Déduire des questions précédentes les égalités
6 b 6 .
Correction : Z ý á µ .
= O.
©þ
ÕK 6ý á µ %û , ~ ÕK 14.
2.
þ
a)
ALLAH MERCI
Auteur
de éléments de c. Il y en a donc !
n'est pas connu ou ne peut pas être prévu avec une
totale certitude.
Selon le Petit Larousse, une probabilité est la
« mesure des chances de réalisation d'un événement V. Combinaison :
aléatoire ». Une combinaison est une collection de p objets pris
De façon générale, la théorie des probabilités simultanément parmi n, donc sans tenir compte de
modélise des situations concrètes et permet de l'ordre d'apparition. Elle est dite simple si on ne
ce qui correspond à × Ø :
incompatibles si ils n’ont aucun résultat en commun,
Ú%,
MHX/Y ÙY GI ÜÝH/ÞYI
cas possibles.
G/Ù%,
G/Ù%c,.
Î ={1,3,5}
jet d’un dé, si A={2 ;4 ;6} alors N MHX/Y ÙY GI ÚHIILÞYI
c
ensembliste probabiliste boule, on note son numéro (ou couleur), on la remet
c
Ensemble Univers
nombre de résultats possibles est donné par .
dans l’urne et on répète le même tirage à p fois. Le
c
Elément Eventualité
Sous-ensemble Evénement Tirage simultané :
mo
ou partie Dans un tirage simultané, on tire en une fois p
c
élémentaire
× Intersection
« A ou B »
Evénement
Î
e) Indépendance :
YZ
de A et B « A et B »
Ensembles Evénements Dire que deux événements A et B sont indépendants
× Ø Ensembles
complémentaires contraires signifie que : p(A∩B) = p(A)×p(B).
Evénements La notion d’indépendance est une notion
disjoints incompatibles probabiliste, alors que la notion d’incompatibilité est
Soit un univers c.
5. Probabilité d’un événement :
Remarques
La probabilité Ú%, d'un événement A de
Il faut faire attention a ne pas confondre « être
• indépendants » et « être disjoints ».
l'univers est la somme des probabilités des En particulier deux événements A et B disjoints ne
la probabilité de l'événement c certain est
éventualités qui composent A; peuvent pas être indépendants quand ils sont de
égale à 1 : Ú%c, ;
• probabilités non nulles.
Ú%/, Ú %,
Ú%×,
Soit X prend les valeurs , , , … , avec
correspondre un nombre réel.
Ú%,
Ú , Ú , Ú ,…, ÚM définies par :
. •
ÚL Ú%ß ,.
On a alors les équivalences pour A et B de les probabilités
Ú% × , Ú %, $ Ú%, Ú %, $ Ú%, L’ensemble des couples % ; Ú , est appelé loi
probabilités non nulles :
•
Î
•
• Ú %, Ú %, . de probabilité de X. On la présente en général sous
ß
L’arbre pondéré est un outil de calcul de probabilité forme d’un tableau :
Ú%ß , Ú ÚM
conditionnelle. Ainsi il utile de le dresser afin de … …
répondre à toutes les questions posées : … …
b) Espérance mathématique de X :
× Î,
Î × et
Î× Î . Un nœud est un point d'où
On appelle variance de X le nombre réel noté á%ß,
d) Ecart-type de X :
Comment reconnaitre un cas d’équiprobabilité ? On tente de reconnaître une loi classique : loi
de Bernoulli, loi binomiale…
Dans l’énoncé, on reconnait les termes :
Sinon, on cherche les valeurs k que peuvent
éléments élémentaires ayant la même prendre la variable aléatoire et on donne tous les
probabilité soit d’être choisis ou soit d’apparition probabilités sous formes de P(X = k).
tirage au hasard Comment reconnaît-on une loi binomiale ?
dé parfait ou équilibré ou non truqué ou non On repère des mots clés dans l’énoncé, par exemple :
pipé
« X la variable aléatoire qui compte le nombre
Comment calculer une probabilité p(A) ? de … »
soit on la retrouve dans l’énoncé. « on répète de manière identique et
indépendante l’expérience… »
soit on applique la formule d’équiprobabilité
b.%N,
qui correspond à %N,
b.%c,
en dénombrant tous
les cas favorables à A.
O 9 3 12
question
p%H, Ä
åæ%Ω,
H : « la personne joue ni pour A ou B » :
Ä
åæ%Ö, ¡¡R¢¢RîR¢
0,36.
O2 « oui à la 2e question posée » p>O ? î L
¡¡
p>N × N ? 0,277.
¤
ans passés et doit continuer sa refondation » D : « connaissant au moins un de ces sujets ».
î
1. Le candidat tire successif sans remise au
Exercice 3 : Au Niger à l’assemblée nationale, une hasard 2 papiers. Déterminer la probabilité de ces
commission réunit 14 députés dont 10 hommes afin événements.
de présenter une feuille de route à la baisse de 2. Le candidat tire simultanément au hasard 2
niveau des élèves. Parmi les hommes, il ya 5 hommes papiers. Déterminer la probabilité de ces
qui parlent la langue haoussa et 6 autres parlent la événements.
3 9
Ha
4
Z
Card%C, C¡¡ C¤¡ C¤¡ 2450,
C : « connaissant un et un seul de ces sujets »
à partir de G/Ù% Ò , G/Ù% × ,
Total
a) avec répétition :
Ú AÚ% × Ù,C EF , KíK.
Exercice 5 : Une assemblée de quinze (15) hommes
b) sans répétition :
Ú AÚ% × Ù,C EF Kí, . R.
et cinq (5) femmes élit un comité composé d’un
1 5 4%m o, V
Calculer la probabilité des événements suivants :
¢
i
4%mû, o, 4%mûo, 4%mo,
A : « de former un comité de même sexe » . en
B : « de former un comité de sexe différent » ¢
4%mÕo, 4%mo,
¡ ¤
vice-président qui est un homme »
V
déduit i ª ª
Correction : Card%Ω, Aª¡ 116280 4%mûo, 4%mo,
D : « avoir au moins une femme dans le comité ».
L
¢
¢
ª
£ ª
Card%A, Aª¤ A¡¤ Aª¤ A¡¤ 32880, suppose que l’on a défini une probabilité sur c telle
A : « de former un comité de même sexe »
alors p%A,
Ä
åæ%Â,
0,2827.
que : %m, o, ; %m, bo, et %mo, .
Ä
åæ%Ω,
1 5 4%m o, .
alors p%D,
Ä
åæ%,
0,7182.
Ä
åæ%Ω,
Exercice 6 : Soit l’univers c m, , bo. On suppose
sont numérotées de 1 à 6. Il note la probabilité de
Exercice 9 : Diallo dispose d’un dé dont les faces
que l’on a défini une probabilité sur c telle que :
%m, o, ; %m, bo, d et %m, bo, . l’évènement « le résultat du lancer est ».
Montrer que l’on a d .
Sachant que ; ; ;
¥ et .
1.
Correction : Ω mÕ, û, o. On sait que 4%Ω,
4%mÕo, 4%mûo, 4%mo, 1, alors comme a) Calculer , , , , ¥ et .
4%mÕ, ûo, 4%mÕo, 4%mûo, ç ; 4%mû, o, b) Calculer la probabilité des événements :
4%mûo, 4%mo, et 4%mÕ, o, 4%mÕo, 4%mo, A « obtenir un numéro pair » ;
Ë, on peut ajouter 4%mÕ, ûo, 4%mû, o, 4%mÕ, o,
B « obtenir un nombre premier » ;
A4%mÕo, 4%mûo,C A4%mûo, 4%mo,C
C « obtenir les diviseurs de 6 ».
A4%mÕo, 4%mo,C Ë ç or 4%mÕ, ûo,
2. Diallo lance deux fois de suite ce dé en
4%mû, o, 4%mÕ, o, 2A4%mÕo, 4%mûo,
supposant qu’il est non pipé. Calculer la probabilité
4Ëç et 4Õ 4û41, alors on en déduit que
des événements suivants :
Ë ç 2.
D « obtenir deux chiffres identiques » ;
E « obtenir le 1er chiffre est 6 » ;
Exercice 7 : Soit l’univers c m, , b, o. On
suppose que l’on a défini une probabilité sur c telle
F « obtenir une somme inférieure ou égale à 4 ».
Correction : d’un dé : Ω m1,2,3, 4, 5, 6o et 4µ la
que : %m, , bo, ; %m, bo, et %m, bo, . probabilité de l’évènement « le résultat du lancer est ® ».
Déterminer %mo, ; %mo, ; %mbo, et %mo,.
4%mÕo, 4%mûo, 4%mo, 4%m o, 1, alors 4 34 24 24 64 154 1 5 4
a)
p%X 0,
Ävá $ÄáI îª
¡ 0,381818 ;
4%F, 4%m1,1o, 4%m1,2o, 4%m1,3o, 4%m2,1o,
F « obtenir une somme inférieure ou égale à 4 »
Äá´©
p%X 2,
Äá $Ä©I
©
0,12272 ;
Äá´© ¡
p%X 3,
Äáá $ÄvI
0,004545 .
Exercice 10 : Moussa dispose d’un dé cubique dont
les faces sont numérotées respectivement : ; ; ; Äá´© ¡
¥ ; ; . Il suppose que, lors d’un lancer, la
probabilité d’apparition de chaque face est D, avec parlant foulfouldé et zarma p%X f 2, ¡ 0,127
î
b) Probabilité pour qu’il ait au moins 2 députés
a) Déterminer D.
VI. Lancer de pièce de monnaie :
b) En déduire la probabilité de chaque du dé.
Une pièce de monnaie possède deux faces : pile,
Correction : notée « P » et face, notée « F ».
Moussa joue à pile (P) ou face (F) avec une %, pièce
Exercice 12 : Lancer d’une (1) pièce de monnaie
a) Déterminons D : D D :
de monnaie mal équilibrée qui tombe sur face trois
4%Ω, 4£ 4£ 4£ 4¤ 4ª 4¢ 1 5 fois sur sept.
1. Il lance une fois de suite cette pièce. Calculer
3 $ 3½ 5½ 4½ 3½ 1 5 ½ .
la probabilité de tous les éléments élémentaires.
2. Il lance 10 fois de suite cette pièce, calculer la
probabilité des événements suivants :
b) probabilité de chaque du dé :
£ ¤ ª ¢
4£ ; 4¤ ; 4ª et 4¢ .
A « obtenir des résultats uniques » ;
B « obtenir au moins une fois face » ;
C « obtenir au moins deux fois faces » ;
Exercice 11 : Au Niger, une conférence réunit 12 D « obtenir au plus une fois pile » ;
députés. Tous parlent haoussa, 5 parlent foulfouldé, E « obtenir au plus deux fois piles » ;
6 parlent zarma et 3 foulfouldé et zarma. F « obtenir cinq (5) fois piles » ;
On choisit au hasard et simultanément 3 députés. G « obtenir au moins cinq (5) fois piles » ;
1. Calculer la probabilité des événements : H « obtenir autant de fois pile que de fois face ».
3. Il part chez son cousin et ils définissent un jeu
Si on a 10 fois « P » p%A,
¡ ¢ ¡R¡
2. Il lance fois de suite cette pièce.
¡ ª ª´v
C¡ EF EF ´v . a) Il suppose que = , calculer la probabilité
des événements suivants :
C’est l’événement « 1 "Õll=ý 0Õý" ».
B « obtenir au moins une fois face »
A « obtenir au moins une fois face » ;
p%B, p%X f 1, 1 p%X 0,
B « obtenir au moins deux fois faces » ;
¢ ¡ ª ¡ ª´v ´v Rª´v
1 C¡
¡
EF EF 1 ´v ´v 0,9962.
C « obtenir au plus une fois pile » ;
D « obtenir au plus deux fois piles » ;
30×497100,9683.
la probabilité d’obtenir au moins une fois face soit
supérieure à 0,98 à l’issue de lancers ?
Correction : Lancer d’une (1) pièce de monnaie
1. lance deux fois une pièce
D « obtenir au plus une fois pile » a) L’ensemble Ω des éventualités est c =
p%D, = p%X = 0, p%X = 1, = C¡
ª ¡ ¢ ¡
¡
EF EF m%],; %Ù,o = m%,; %,; %,; %,o. Et le nombre
¢ L ¢´v ª¡×¢I de résultats obtenus est G/Ù%c, = = . Comme la
ª
C¡ E F E F = ´v = 0,00299.
´v pièce de monnaie est discernable et non truquée alors
Ú%A¢ , = G/Ù%c,© =
H « obtenir autant de fois pile que de fois face » G/Ù%Â ,
ª ¤ ¢ ¤
Ú% × , = ; × = mo ã
3. X la variable aléatoire égale au gain
à l’issue d’une partie : ß = m−; o.
card% × , = 1, donc Ú% × , = ;
a)
Loi de probabilité de X
exprimé en fonction de \.
Nous somme dans un cas de loi binomiale de paramètre
E= 4; 4 F dont la probabilité est en générale
Il appelle Y la variable aléatoire égale au gain
p%X k, CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.
a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?
¡ ª
d) Combien doit-il miser pour que son jeu soit
¤
1 Cª¡ EF EF 1 â £ 0,9375.
équitable ?
G/Ù%,
card%A, = 2¡ = 1, donc Ú%, = G/Ù%c, = .
p%X 2, 0,3125 Cª EF EF 0,6875.
G/Ù%,
ã card%C, = 3, donc Ú%, = G/Ù%c, = − = .
− EF
Þ
r 0,02 5 w 0,02 5 2Þ r ¡,¡ 5
D « obtenir au moins deux faces » Soit D = m%FF,o
= ln 2 r ln E¡,¡F 5 = r 5,6438, d’où
= ¥. G/Ù%,
ã card%D, = 1, donc Ú%, = G/Ù%c, = − = .
ß = m; ; o
B « obtenir des résultats uniques » ; 3.
C « obtenir au moins une face » ; a)
p%X = 0, = pm%FF,o = ª ;
D « obtenir au moins deux faces » ; b) Loi de probabilité de X
E « obtenir au plus une pile » ;
p%X = 1, = pm%PF,; %FP,o = ª = ;
F « obtenir au plus deux piles » ;
p%X = 2, = pm%PP,o = ª.
3. Il appelle X la variable aléatoire qui
x
correspond au nombre de piles obtenues.
0 1 2
p%X = x
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
, 1 1 1
Expliquer la probabilité Ú%ß f ,.
b) Etablir la loi de probabilité de X.
4 2 4
Montrer que j%ß, = . Que peut-on en Probabilité Ú%ß f , est la probabilité d’obtenir
c)
G/Ù%,
à%ß, j>ß ? Aj%ß,C : card%A, 1, donc Ú%, .
donc le jeu est favorable.
G/Ù%c, í
à%ß, 0 $ 1 $ 2 $ 1 0,5
e)
ª ª
soit B m%PPP,; %FFF,o ã card%B, 2,
B « obtenir des résultats uniques »
á%ß, 2à%ß, ã ê%X, 20,5 0,707. G/Ù%,
donc Ú%, .
G/Ù%c, í
Í C∞; 0A, F%Í, p%X w Í, 0 ;
f) Fonction de répartition de X
"(b(
".
Í A0; 1A, F%Í, p%X w Í, ;
C « obtenir au moins une pile » c’est l’évènement
ª C m%PPP,; %PPF,; %PFP,%FPP,; %FFP,; %FPF,%PFF,o
Í A1; 2A, F%Í, p%X w Í, ;
¢
G/Ù%,
ª ã card%C, 7, donc Ú%, .
Í A2; ∞A, F%Í, 1. G/Ù%c, í í
E%Y, ª %4 # 30 2# 30 #, ª .
¤£RªW
c) l’espérance mathématique de Y : a)
p%X 0, pm%PPP,o î ;
b) la loi de probabilité de X.
Valeur de \ pour que son jeu soit équitable ?
p%X 1, pm%PPF,; %PFP,%FPP,o î ;
¤£ ¢
E%Y, 0 5 # ª 14 F.
d)
p%X x ,
Etablir l’ensemble c des éventualités pour ce
1 3 3 1
1.
8 8 8 8
jeu. En déduire le nombre de résultats obtenus.
P%= 1, CÞ#
Þ# Þ#
Þ#
EF EF
b)
B. Moussa lance 2n fois une pièce de monnaie
%Þ#,! %Þ#,%Þ#,$%Þ,!
ª%Þ#,© $Þ!$Þ!$© .
équilibrée, où n est un entier naturel non nul.
%Þ#,!$%Þ#,!$©%À´,
Ú%M#,
1. A-t-on plus de chance d’obtenir 4 piles en
%Þ#,%Þ#,$%Þ,!Þ!$Þ!$© #
ª%Þ#,© $Þ!$Þ!$© %Þ,! % #,.
Ú%M,
lançant 8 fois la pièce que d’obtenir 6 piles en
lançant 12 fois la pièce ?
X k m0; 1; 2; 3; … ; no.
2. On note P(n) la probabilité d’obtenir n piles 3. X le nombre de piles en lançant 2n fois la pièce
en lançant 2n fois la pièce.
p%X k, CÞ
Loi de probabilité de la variable aléatoire X :
ï ÞRï
a) Exprimer P(n) en fonction de n.
Ú%M#, #
Montrer que, pour M W] , % #,. ï
EF EF
Ú%M,
Espérance mathématique : E%X, np
b) .
3. Il désigne par X le nombre de piles en lançant
2n fois la pièce. Exercice 17 :
Déterminer la loi de probabilité de la variable 1. Diallo jette quatre (4) fois de suite une pièce. Il
aléatoire X et préciser son espérance mathématique. définit X la variable aléatoire qui correspond au
Correction : Lancer de pièces (plusieurs pièces) nombre de faces obtenues.
D m%n pièces de pile,; %n pièces de face,o ã déduire l’écart type de Y, notée á%éï,.
D « obtenir au plus une face » 0 ou 1 d) Calculer la variance de Y, notée V(Y). En
Probabilité Ú%ß , :
a) 1. Nous somme dans un cas de loi binomiale de
paramètre E= 4; 4 F dont la probabilité est en
p%X 0, p%aucune pile, 1 ¿ ¿ .
b)
¿ R
générale p%X x , CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.
B. lance 2n fois une pièce de monnaie équilibrée, a) ß m; ; ; ; o
où n est un entier naturel non nul.
p%X 0, Cª¡ EF E1 F
¡ ªR¡
b) Loi de probabilité de X.
â £ ;
1. Il s’agit d’un schéma de Bernouilli avec 2n
p%X 1, Cª EF E1 F
ªR
lancers et une probabilité de succès pour chaque lancer
ª ª
de . La probabilité d’obtenir 4 piles en lançant 8 fois â £ ª ;
p%X x , 1 1 3 1 1
16 4 8 4 16
E%X, 4 $ 2.
numérotés par 1 et 2. Moussa lance fois de suite
Un (1) pièce de monnaie porte deux (2) côtés de faces
Variance de X : à%ß, j>ß ? Aj%ß,C
MÚ% Ú, et á%ß, 2MÚ% Ú, (loi binomiale).
d)
%Y/ ñYZ ; Y/ ñYZ; Y/ ñYZ, %?, ï, y,.
cette pièce de monnaie truquée en formant le triplet
élémentaires de c.
2. Calculer les probabilités des éléments
Í A4; ∞A, F%Í, 1. c ZYÞ âY ? et ?, ï, yc ZYÞ âY ?= YZ y=.
4.
« obtenir au moins une face » c’est Trouver a et b pour que Ú%, = Ú%,.
l’événement 1 "Õll=ý 0Õý". Soit A Dans cette question, %, , WU satisfait les
2.
Si ? ï y alors ß%?, ï, y, ;
E= 4; 4 ªF dont la probabilité est en générale
Nous somme dans un cas de loi binomiale de paramètre
¢
•
Si ? ï y alors ß%?, ï, y, ;
p%Y y , CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.
•
Si ? ï y ¥ alors ß%?, ï, y, ;
é m; ; ; ; o
Si ? ï y alors ß%?, ï, y, .
•
a)
•
¢ ¡ ¢ ªR¡
b) Loi de probabilité de Y
p%Y 0, Cª¡ E F E1 F
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
ª ª ªâ ¤£
; b) Etablir la loi de probabilité de X.
¢ ªR
¢
p%Y 1, Cª E F E1 F ¤£ ;
c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).
ª ª ªâ
¢ ªR
d) Trouver a et b pour que le jeu soit équitable.
¢ ¤ª ¤ª
p%Y 2, Cª EªF E1 ªF ¤£;
l’ensemble c des éventualités :
Correction :
ªâ
¢ ¢ ¢ ªR¢ ¡î ¡î
p%Y 3, Cª¢ EªF E1 ªF ¤£ ; Nombre de résultats obtenus G/Ù%c, í.
1.
ªâ
p%Y 4,
¢ ª ¢ ªRª
Cªª EªF E1 ªF
î î
¤£ . L’ensemble c est défini par
ªâ
%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,;
0 1 2 3 4 cT x.
%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,.
y
p%Y y , 1 54 108 81
Probabilités des éléments élémentaires de c :
12
Ú%?, ï, y, %? ï y, .
2.
256 256 256 256 256
p%1, 1, 1, a%1 1 1, b 3a b ;
c) Espérance mathématique :
E%Y, = ∑¸µ
y p%Y = y , = =4 (Loi binomiale).
p%1, 1, 2, a%1 1 2, b 4a b ;
¢
E%Y, = 4 $ ª 3.
Variance de X : à%é, j>é ? Aj%é,C p%1, 2, 1, a%1 2 1, b 4a b ;
p%2, 1, 1, a%2 1 1, b 4a b ;
d)
MÚ% Ú, et á%é, 2MÚ% Ú, (loi binomiale).
p%2, 2, 2, a%2 2 2, b 6a b ;
¢ ¢ ¢
V%Y, 4 $ ª $ E1 ªF ª. á%é, 0,86.
p%2, 2, 1, a%2 2 1, b 5a b ;
ú C∞; 0A, F%ú, p%Y w ú, 0 ; p%2, 1, 2, a%2 1 2, b 5a b ;
e) Distribution de la fonction de répartition deY
m%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,o ã card%A, p%X 350,
Ä´ $Ä´ $Äv́ $Äv́
´ ´
0,1666 ;
4.
ĩ⠣
4 5 p%A,
åæ%Ω, ¢£
#h et B m%x, y, z,
åæ%Â, ª
p%X 450,
Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́
0,1666 ;
Ω tel que x=2 et
ĩ⠣
p%X 600,
Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́
0,1666 ;
z=2=;;;;;⟺pB=cardBcardΩ=236a+b. ĩ⠣
p%X 700,
Ä´ $Ä´ $Äv́ $Äv́
´ ´
0,1666 ;
D’une part p%A, = p%1, 1, 1, p%1, 1, 2, ĩ⠣
12a 3b ;
C « le chiffre marqué est au plus 3 » ;
15a 3b ;
E « obtenir un nombre divisible par 3 » ;
p%X 4, p%2, 2, 2, 6a b.
F « obtenir un nombre premier » ;
x 2 1 0 4
G « obtenir 3 ou 5 » ;
E%X, 6a 1.
2. Moussa définit X comme étant la variable
aléatoire correspondant à la somme des cinq chiffres
observables sur les faces du dé.
E%X, 6a 1 0 5 a £ ;
d) Trouvons a et b pour que le jeu soit équitable
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
p%Y 15 y, p% un 5 ou un 6,
¤
¢£
5 » I E × G m3; 6o × m3; 5o m3o
I « obtenir un nombre divisible par 3 et obtenir 3 ou ;
G/Ù%c, .
tableau. Puis on dénombre le nombre de cas favorable. C « obtenir une somme supérieure ou égale à 10 ».
Ú%ß 7 ¥, ¢£ 027777.
##¢#ª
G « obtenir un chiffre pair et un multiple de 3 » ;
• H « obtenir un chiffre pair et diviseur de 3 » ;
m%4, 5, 2,; %4, 2, 5,; %5, 2, 4,; %5, 4, 2,; %2, 5, 4,; %2, 4, 5, o 2.
G/Ù%,
ã card%A, 6, donc Ú%, G/Ù%c, ,
jet prend les valeurs m1; 2; 3; 4; 5; 6o ã
Nous aurons un couple de 2 jets (jet1 ; jet2) où
Ú%, 4%2; 2, 4%2; 4, 4%2; 6, 4%4; 2, Il appelle d et les nombres qui apparaissent sur les
A « obtenir deux (2) chiffres pairs »
ILM%d ,.
aléatoire réelle qui à chaque lancer associe le réel
¤#¢¡#ª#¢¡#¢£ ª¤
4%6; 6, ªª 0,3287.
ªª a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?
c) X : somme des points obtenus.
b) Etablir la loi de probabilité de Y.
• loi de probabilité de X : pour déterminer les c) Calculer l’espérance mathématique : E(Y).
valeurs prises par X, il est commode de dresser un
déduire l’écart type de Y, notée á%é,.
d) Calculer la variance de Y, notée V(Y). En
tableau à double entré (dé1 ; dé2) et d’addition les
chiffres situant en intersection entre une colonne et une
e) Donner la distribution de la fonction de
favorable : G/Ù%c, %, .
ligne du tableau. Puis on dénombre le nombre de cas répartition de Y.
Ainsi ß m; ; ; ¥; ; ; í; K; ; ; o
Correction : Nous somme dans cas d’équiprobabilité
p%X 2, p%X 3,
ª
cartésien 5 G/Ù%c, , donc il y a 36
car les dés cubiques sont non pipés D1 et D2., produit
ªª ªª
p%X 4, ªª ; p%X 5, ªª ; façons de coupler un nombre d avec un nombre .
; ;
¡ ¡