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ECONOMIE
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1. L’état et le fonctionnement du marché
- L’État cherche à améliorer l’information disponible sur les marchés (via loi ou autorité
de régulation comme l’AMF sur les marchés financiers).
- Interdiction pratiques non concurrentielles : entente et position dominante.
- L’externalité caractérise le fait qu'un agent économique crée, par son activité, un effet
externe en procurant à autrui, sans contrepartie monétaire, une utilité ou un avantage
de façon gratuite, ou au contraire une désutilité, un dommage sans compensation.
- 1) Externalité positive : embellissement des paysages par les agriculteurs.
- 2) Externalité négative : pollution du fait d’une activité industrielle.
- L’État cherche à inciter les externalités positives (subventions) et combattre les
externalités négatives (taxes).
- Les biens publics : biens, services ou ressources qui bénéficient à tous (éclairage
d’une ville). Financement des biens publics par l’impôt.
- Soutien de la demande grâce à des politiques économiques (avec pour objectifs par
exemple : croissance, plein-emploi, justice sociale...) et redistribution d’une partie des
richesses produite par la nation.
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2. Inégalité des richesses dans le monde
- Fracture entre pays riches et pays pauvres :
- Richesse par habitant (écarts PIB),
- Seuil de pauvreté (2 dollars par jour, 50% de la population mondiale vit en dessous),
- Conditions de vie (malnutrition, espérance de vie réduite, analphabétisme...).
- Développement économique des pays émergents : ouverture économique (libéralisation des
échanges à l’intérieur, ouverture au marché mondial, investissements étrangers, gain de
croissance), prise de positions dans les pays développés (investissements dans les entreprises
des pays développés), croissance soutenue et amélioration de la productivité.
- Conséquences négatives du décollage économique : atteintes à l’environnement (pollution
importante, déforestation...), le creusement des inégalités internes (entre catégories de population,
entre régions...).
- La courbe de Lorenz et l’indice de Gini : Représente la répartition des revenus et du patrimoine.
Cette courbe est située en 0 et 1. 0 correspond à une égalité parfaite et 1 le cas où un seul
individu détient toutes les richesses.
- La répartition primaire rémunère les facteurs de production (travail et capital) c’est le revenu
perçu par les ménages.
- La répartition secondaire des revenus a pour objectif de corriger les inégalités issues de la
répartition primaire (prélèvement d’impôts, de cotisations sociales et versement de revenus
de transfert (allocations logement, RSA, indemnités chômages).
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EXTRAIT FICHES DE REVISION BTS
Droit
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3. Les contrats entre professionnels
Pour un contrat, il y a ce que l’on appelle l’autonomie de volonté, définit par 3 principes :
▪ Liberté contractuelle : les parties sont libres de contracter ou non, avec le cocontractant de leur choix, et en
précisant librement l’objet du contrat,
▪ Force obligatoire du contrat : les parties qui se sont librement engagées sont tenues de respecter le contrat,
▪ L’effet relatif du contrat : seuls ceux qui ont voulu ce contrat sont tenus par celui-ci.
▪ Le consentement : volonté des cocontractants, c’est la rencontre entre l’offre et l’acceptation et doit être exempt
de vices,
▪ La capacité : c’est l’aptitude à conclure un contrat,
▪ L’objet : ce que les parties ont voulu, la prestation du contrat (donner, faire, ne pas faire) ou la chose. Il doit être
déterminé, licite, réel et possible,
▪ La cause : motivation des parties quant au choix de ce contrat. Elle doit être licite et réelle.
Période précontractuelle : pourparlers pour définir les clauses du contrat et avant-contrat pour lier les parties avant la
conclusion du contrat (ensemble des conditions du contrat). L’avant contrat peut être par exemple une promesse
unilatérale de contrat.
• Clause d’indexation (prix révisé en fonction d’un indice ayant un rapport direct avec l’objet du contrat),
• Clause dédit (les parties peuvent se retirer du contrat en payant une somme fixée au préalable),
• Clause limitative de responsabilité...
Inexécution du contrat par l’une des parties : rupture du contrat et réparation de son préjudice.
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4. Commerce électronique
Commerce électronique : Activité économique par laquelle une personne propose à distance, et par voie électronique,
la fourniture de biens ou services.
Obligation du cybervendeur :
- Possibilité de se retracter 14 jours après la livraison du bien ou la conclusion du contrat de prestation de service
- Livrer un bien conforme dans les délais prévus
- Paiement sécurisé
Processus de passation de commande :
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EXTRAIT FICHES DE REVISION BTS
MANAGEMENT
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5. Les styles de direction
• Autoritaire : aucune confiance accordée aux salariés. La communication est descendante. Motivé par la
crainte et les sanctions.
• Paternaliste : le dirigeant communique avec ses salariés, il est attentif à leur bien-être, mais parallèlement
les ordres ne sont pas discutables.
• Consultatif : confiance des managers qui consultent les subordonnés avant de prendre une décision,
communication à double sens.
• Participatif : confiance totale, participation des salariés aux décisions, fort esprit d’équipe.
• Le leader : ses valeurs, la confiance accordée, sa formation, son goût du risque, sa vision...
• Les subordonnés : prise de responsabilités, implication dans l’entreprise, adhésion aux décisions de la
direction...
• Le contexte : valeurs et image de l’entreprise, nature de la décision, urgence de la décision, taille de
l’entreprise...
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6. Les prises de décisions
• Stratégique (long terme) / direction générale / relation de l’entreprise avec son environnement.
• Organisationnelle (moyen terme) / directions des services / gestion des RH, des finances...
• Opérationnelle (court terme) / chefs d’équipe / utilisation des ressources pour développer l’activité.
- Processus de décision d’un manager : identification d’un problème, recherche d’une solution, prise de décision, mise en
œuvre de la décision et contrôle.
- Les contraintes qui affectent la prise de décision : budget nécessaire, temps nécessaire, contraintes de l’environnement
dans lequel évolue l’entreprise, faiblesses des connaissances et compétences du décideur, manque d’informations en
rapport avec la décision, perception des risques différente
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