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Numéro de Réponse
la question inscrite Niveau cognitif Note Composante RAP Type de question
Amérique du Nord : la fin des banlieues?
1. B G 1 1 – CM
2. C G 1 1 – CM
3. C G 1 1 – CM
4. B G 1 1 – CM
5. C G 1 1 – CM
6. B G 1 1 – CM
7. C G 1 1 – CM
8. D G 1 1 – CM
9. A G 1 1 – CM
10. D G 1 1 – CM
La gestion de l’eau : un défi mondial
11. D Y 1 3 – CM
12. A Y 1 3 – CM
13. D Y 1 3 – CM
14. C Y 1 3 – CM
15. D X 1 3 – CM
16. A X 1 3 – CM
17. A X 1 3 – CM
18. – Z 4 3 – RÉ
Héros entre quatre murs
19. C Y 1 2 – CM
20. D Y 1 2 – CM
21. D Y 1 2 – CM
22. D Y 1 2 – CM
23. C X 1 2 – CM
24. D X 1 2 – CM
25. D X 1 2 – CM
26. C X 1 2 – CM
27. B X 1 2 – CM
Français langue première 12 – Examen A 1108 – Corrigé Page 1
Numéro de Réponse
la question inscrite Niveau cognitif Note Composante RAP Type de question
Paris
28. C Y 1 3 – CM
29. B Y 1 3 – CM
30. D Y 1 3 – CM
31. C Y 1 3 – CM
32. A X 1 3 – CM
33. A X 1 3 – CM
34. C X 1 3 – CM
35. D X 1 3 – CM
36. C X 1 3 – CM
Numéro de Réponse
la question inscrite Niveau cognitif Note Composante RAP Type de question
Réponse – Question de synthèse
37. – Z 12 5 – RÉ
Composition
38. – C 24 6 – RÉ
Composante orale
39. – O 8 7 – ORAL
40. – O 24 7 – ORAL
41. – O 16 7 – ORAL
La gestion de l’eau :
un défi mondial
1 Des bâtiments énergétiquement vertueux exhibant fièrement des panneaux solaires et des transports
maîtrisés ne suffisent pas à faire une ville « durable » : il existe aussi des réseaux souterrains, invisibles,
mais essentiels. La gestion de l’eau constitue en effet une des clés du bon fonctionnement du milieu
urbain. L’eau et la ville font rarement bon ménage. Les grandes concentrations d’individus génèrent de
graves pollutions des milieux aquatiques. Dans les pays développés, cent cinquante ans de travaux
ininterrompus n’ont pas permis de concilier les exigences du cycle de l’eau avec l’émergence des
grandes mégapoles. Les villes des pays en voie de développement affrontent aujourd’hui les mêmes
difficultés, sans avoir ni le temps ni l’argent pour les résoudre.
2 « Au début du XIXe siècle, les excréments des citadins européens étaient recueillis dans des fosses
qu’on vidangeait périodiquement », raconte Bernard Chocat, du groupe de recherche Rhône-Alpes sur
les infrastructures de l’eau (GRAIE). « L’augmentation de la population urbaine a vite posé des
problèmes d’insalubrité. D’où la réalisation progressive du réseau d’eau potable et du tout-à-l’égout. »
L’idée est empruntée au fonctionnement du corps humain. L’eau est comme le sang. Elle irrigue la ville,
se charge des miasmes et les évacue loin des habitants, leur évitant ainsi de vivre dans l’insalubrité.
L’expérience française
3 Les premières stations d’épuration n’apparaissent aux États-Unis qu’au début des années 1930. Paris est
la première ville française à se doter de bassins de traitement en 1940. Les différents plans de
financement portés par les agences de l’eau ont petit à petit permis l’équipement des villes de la
métropole. Entre 1990 et 2003, les dépenses en traitement des eaux usées d’une France à 80 % urbaine
ont grimpé de 6,3 à 11,2 milliards d’euros. Pourtant, la France n’arrive pas à suivre les échéances
imposées par la directive européenne sur les eaux résiduaires urbaines de 1991. Cet automne, le
Parlement européen a menacé Paris d’une amende de plusieurs centaines de millions d’euros pour des
rejets excessifs en phosphore et en azote dans les rivières.
L’expérience marocaine
5 Ces questions sont des problèmes de riches. Dans les villes des pays pauvres, qui se gonflent de milliers
de nouveaux habitants tous les jours, la gestion urbaine de l’eau est une gageure. Les agglomérations
grandissent trop vite et de façon anarchique, sans schéma d’urbanisme. Les quartiers se construisent au
gré des arrivées des campagnes dans des pays encore très largement ruraux. Tanger est une ville assez
représentative de ces difficultés. C’est par centaines que débarquent les paysans du Nord marocain,
attirés par une cité en plein développement. Le port compte officiellement 750 000 habitants. En réalité, le
million est largement dépassé.
6 L’approvisionnement en eau des quartiers champignons de la périphérie ne peut passer que par des
fontaines, ce qui oblige les femmes à de fréquents allers et retours. L’évacuation des eaux usées se fait
par les oueds. L’été, quand ces cours d’eau sont à sec, ils se transforment en égouts à ciel ouvert se jetant
directement dans la baie. En 2000, le Club Méditerranée a ainsi fermé l’un de ses plus beaux sites. La
mer puait.
7 Dans un partenariat public-privé prôné depuis quelques années par l’ONU, la gestion de l’eau a été
confiée à Amendis, une société propriété à 50/50 des pouvoirs publics marocains et de la multinationale
française Véolia. La société franco-marocaine tente de résoudre un sacré casse-tête :
« La consommation d’eau passe de 20 litres par jour et par habitant aux fontaines de quartier à 130 litres
quand on apporte l’eau au robinet dans la maison », explique François de Rochambeau, directeur général
adjoint d’Amendis. « On ne peut donc pas créer un réseau d’eau potable sans faire en même temps les
égouts. Or les quartiers existent déjà. Donc, pour faire passer le réseau d’évacuation, il faut détruire des
immeubles construits illégalement. » Le réseau d’égouts s’étend pourtant et la station d’épuration de
Tanger vient d’être inaugurée.
Et l’avenir?
8 Les objectifs du Millénaire pour le développement, adoptés par l’ONU en 2000, imposent pour 2015
qu’au moins la moitié des 1,2 milliard d’individus sans eau potable et la moitié des
2,4 milliards sans assainissement soient enfin équipés. Dans le contexte actuel d’un exode rural massif, il
est probable que les États n’y arriveront pas.
Loïc Chauvreau
Question 18 : Quel procédé littéraire l’auteur utilise-t-il pour présenter les problèmes reliés à la
gestion de l’eau?
Explique et appuie ta réponse à l’aide de citations et/ou d’exemples tirés du texte.
La réponse sera corrigée pour les idées et pour l’expression écrite et doit avoir environ 150 mots.
Réponse attendue :
La comparaison est utilisée pour mettre en lumière les différences entre les situations vécues dans les pays
riches et les pays en développement.
Explication satisfaisante Citations et/ou Exemples pertinents
Croissance de la population
• « L’eau et la ville font rarement bon ménage. Les grandes
concentrations d’individus génèrent de graves pollutions des
milieux aquatiques. » (paragraphe 1)
• « Dans les pays développés, cent cinquante ans de travaux
ininterrompus n’ont pas permis de concilier les exigences du
cycle de l’eau avec l’émergence des grandes mégapoles. »
(paragraphe 1)
• « Dans les villes des pays pauvres, qui se gonflent de milliers de
nouveaux habitants tous les jours, la gestion urbaine de l’eau est
une gageure. Les agglomérations grandissent trop vite et de façon
anarchique, sans schéma d’urbanisme. » (paragraphe 5)
• « Les objectifs du Millénaire pour le développement, adoptés par
l’ONU en 2000, imposent pour 2015 qu’au moins la moitié des
1,2 milliard d’individus sans eau potable et la moitié des 2,4
milliards sans assainissement soient enfin équipés. Dans le
contexte actuel d’un exode rural massif, il est probable que les
États n’y arriveront pas. » (paragraphe 8)
Note : Une explication commande une reformulation de la part de l’élève. Elle devrait être fondée sur l’information
dans le texte et non sur des connaissances préalables. L’élève est tenu de prendre en considération et
d’analyser toutes les informations pertinentes pour arriver à une explication satisfaisante. L’élève qui ne tient
compte que d’une partie de l’information disponible, affiche une compréhension partielle de la situation. Une
citation ne peut constituer une explication valable que si l’explication est donnée dans le texte. L’élève ne fait
alors que du repérage.
Note : Toutes les autres formulations jugées équivalentes peuvent être admises par les correcteurs.
Note : Toute nouvelle réponse jugée pertinente doit être soumise au chef de groupe avant d’être admise par
les correcteurs.
4
Vue d’ensemble
L’élève manifeste une très bonne compréhension du texte et de la question
et fonde sa réponse sur des éléments explicites et implicites.
L’élève formule sa réponse de façon étoffée. Il utilise de façon critique des éléments
tirés du texte. Il transmet et organise les idées et les éléments du texte avec beaucoup
de clarté et de cohérence. Il démontre une très bonne maîtrise des conventions de la
langue.
3
Vue d’ensemble
L’élève manifeste une bonne compréhension du texte et de la question
et fonde sa réponse principalement sur des éléments explicites et implicites.
L’élève formule sa réponse de façon adéquate. Il utilise de façon appropriée
des éléments tirés du texte. Il transmet et organise les idées et les éléments du texte
avec clarté et cohérence. Il démontre une bonne maîtrise des conventions de la langue.
2
Vue d’ensemble
L’élève manifeste une compréhension partielle du texte ou de la question
et fonde sa réponse sur certains éléments.
L’élève formule sa réponse de façon partielle. Il utilise des éléments du texte et établit
quelques liens entre eux. Il transmet et organise les idées et les éléments du texte avec
une certaine clarté et cohérence. Il démontre une maîtrise acceptable des conventions
de la langue.
1
Vue d’ensemble
L’élève manifeste une compréhension limitée du texte ou de la question.
L’élève formule sa réponse de façon simple. Il utilise des éléments tirés du texte. Il
transmet et organise les éléments du texte sans grande clarté et cohérence. Il démontre
une maîtrise insuffisante des conventions de la langue.
0
L’élève ne répond pas à la question.
L’élève tient des propos choquants.
Pas de réponse
Aucune réponse n’est écrite dans l’espace prévu.
1 annihiler : anéantir
Paris
1 Il y a cinq ans et demi, je crus faire un beau coup en quittant le
Canada, mes amours, pour aller à Paris, capitale du monde civilisé.
2 Paris! c’est un nom qui donne le vertige et j’étais allé me jeter dans le
gouffre. J’étais seul, sans appui, ignorant le sombre et délicieux enfer
où s’engloutissent tous les jours tant de vigoureuses espérances.
6 Je tombai donc dans cet immense Paris, et dès le premier jour j’eus peur. Il n’est pas de solitude plus
déserte qu’une grande ville où l’on ne connaît personne.
7 J’errai, et bientôt je sentis le vide, l’angoisse, le vague saisissement de l’inconnu. J’étais venu plein
d’illusions et rien ne me frappait. Je marchai sans but. Je vis passer le flot de la multitude, cet océan de
têtes toujours renouvelées qui vont et viennent, confuses, tourmentées, sombres, avides, inquiètes. Je
me sentis seul. Puis un accablement subit s’appesantit sur tout mon être, l’angoisse étreignit mon cœur;
mon front se couvrit de sueurs et je m’assis haletant, près de défaillir, sur un des bancs qui se
trouvaient le long du chemin. Je restai longtemps dans cette prostration; car, lorsque je me levai, des
flots de lumière tombaient sur moi de toutes parts; la foule joyeuse et blasée se rendait aux théâtres, aux
cafés, aux concerts; les équipages ruisselaient sur le boulevard, les boutiques étincelaient, l’air était
chargé de parfums et l’on entendait au loin le murmure bruyant de la grande ville s’ébattant dans les
plaisirs avant de se plonger dans la nuit.
8 Je partis lentement. De sinistres présages commençaient à s’éveiller dans mon esprit; l’horrible doute,
précurseur du désespoir, saisissait mon esprit pour la première fois. Le bruit retentissant de la ville, les
mille séductions de l’élégance, la grandeur des monuments, le raffinement du luxe, tout cela
m’apparaissait comme autant de pompeux supplices imaginés pour les malheureux. Oh! quelle
9 Alors le regret amer, le remords déchirant pénétrèrent en moi. Il me vint en souvenir les vieilles forêts
d’Amérique où j’avais tant rêvé, les rives profondes du grand fleuve où souvent j’avais bercé avec les
flots mes joyeuses pensées d’avenir. Je me rappelai mes amis et mon cœur vola vers eux sur un flot de
larmes; je les nommai tous, je leur parlai; un instant je fus emporté près d’eux, mais, l’instant d’après,
l’affreuse réalité retomba sur moi de tout son implacable poids…
10 Il était tard quand je rentrai à mon hôtel. Je montai à ma chambre, je m’assis en soupirant et me mis à
réfléchir. La lassitude avait succédé à l’accablement. Mais le ciel m’a donné une nature élastique,
prompte à la réaction. Je sentis de nouveau mon sang s’animer, j’eus honte de tant de faiblesse et
m’arrachant à ma torpeur, je me mis à marcher précipitamment. Un flot d’idées nouvelles bondit à mon
cerveau; c’était l’énergie réparatrice et vigoureuse qui reprenait son empire. Une voix me dit qu’on n’est
pas vaincu avant la lutte et qu’il reste toujours à l’homme quelque chose qui survit à toutes les défaites,
l’espérance.
11 J’étais seul, je me sentis renaître, ou plutôt non, je n’étais pas seul. Qu’est-ce que l’isolement quand la
foule des souvenirs vous enveloppe, quand tout le passé vous accompagne, quand l’espoir et le regret,
se combattant, forment autour de vous une atmosphère brûlante? On n’est jamais seul quand on pense
et qu’on se souvient.
12 J’avais quelques manuscrits; je les rassemblai, je les relus; je me dis : « On doit être avide de connaître
tout ce qui se passe en ce moment en Amérique; voilà cinq ans que l’Europe a les yeux tournés vers
elle; commençons par un article de journal; s’il est accepté, je verrai bien ensuite ce que je puis faire. »
13 Et je me mis à travailler fiévreusement. Un premier article! Savez-vous ce que c’est qu’un premier
article? C’est l’épreuve terrible de l’initié. S’il en sort victorieux, l’avenir est à lui. Je me creusai la tête
pour donner à mon article une originalité saisissante, je dis des choses certainement ignorées, je fis des
considérations toutes neuves. En voyant mon nom au bas de cet article qui cependant n’était qu’une
ébauche inconnue, j’eus un frémissement. Oh! qui ne connaît pas les émotions d’un début? Qui n’est
pas familier avec ces combats intérieurs de l’espoir et de la crainte qui vous laissent haletant, effrayé,
enchanté, inquiet et rassuré tout ensemble? On se dit que ce qu’on a fait est admirable, qu’il est
impossible de ne pas réussir, et l’on est épouvanté. Mais l’espoir l’emporte; la jeunesse, la confiance en
soi, l’élan de la volonté sont comme le torrent qui bondit sur l’obstacle, ou l’enlève quand il ne peut le
franchir.
14 Je m’endormis au milieu de chimères souriantes; mon sommeil fut bienfaisant; quand je m’éveillai vers
onze heures, ma chambre me parut enchantée. Le soleil essayait de m’envoyer quelques-uns de ses
rayons joyeux; mille rumeurs s’élevaient du sein des rues, mais ce n’était pas ce bruit de la veille,
étourdissant, fatigant, mêlé de notes aiguës, de clameurs douloureuses, c’était un vaste concert plein de
force et d’harmonie, la grande ville au travail. Je me levai à la hâte, brûlant de voir Paris dans sa
fiévreuse activité; je ne le redoutais plus : au contraire, il me tardait d’aspirer son souffle puissant, de
saisir le sein toujours gonflé où s’alimentent le génie défaillant, l’espérance lasse d’attendre.
Arthur Buies
DIRECTIVES : Réponds à la question 37 dans ton cahier de réponses à la page portant le titre
« Question de synthèse ». La note attribuée sera basée sur la pertinence des exemples
et de l’explication fournie ainsi que sur la qualité de l’expression écrite.
37. Compare et analyse la relation que le personnage entretient avec la ville dans le poème
« Héros entre quatre murs » à celle du personnage dans le texte en prose « Paris ».
Question de synthèse
Question 37 : Compare et analyse la relation que le personnage entretient avec la ville dans
le poème « Héros entre quatre murs » à celle du personnage dans le texte en
prose « Paris ».
Réponse suggérée :
Les élèves doivent expliquer que, dans les deux cas, la relation avec la ville est capitale parce qu’elle a
une influence sur le vécu des personnages. Cette influence se vit de façon différente.
Dans « Héros entre quatre murs », le personnage se réfugie dans l’imaginaire pour contrebalancer les
effets déshumanisants de la ville. Elle est source d’aliénation et c’est dans l’imaginaire qu’il retrouve
sa dignité d’être humain.
Dans « Paris », malgré le fait que le personnage principal connaisse des débuts difficiles, la ville
devient essentielle à son épanouissement. C’est là qu’il y puise sa motivation et son inspiration ainsi
que les moyens pour réaliser ses ambitions.
« L’imaginaire est ton logis « Oh! quelle désillusion m’avait surpris tout à
Au gré et au fil des histoires » (vers 27 et 28) coup,… » (paragraphe 8)
« Tu deviens en ouvrant un livre « … de toutes les figures qui passaient, pas une
Un héros entre quatre murs » (vers 31 et 32) qui me fut connue… » (paragraphe 8)
Cette liste ne contient pas toutes les réponses possibles. Les points seront attribués en fonction du
contenu et de l’expression écrite.
maîtrise des conventions de la maîtrise des conventions de la acceptable des conventions de insuffisante des conventions
langue. langue. la langue. de la langue.
commet de rares erreurs commet quelques erreurs commet des erreurs commet des erreurs
d’orthographe qui ne nuisent d’orthographe qui ne nuisent d’orthographe qui peuvent d’orthographe qui sont
BARÈME DE NOTATION POUR LA QUESTION DE SYNTHÈSE
pas à la compréhension. pas à la compréhension. distraire mais ne nuisent pas à fréquentes et qui peuvent nuire
la compréhension. à la compréhension.
0 Pas de réponse
L’élève ne répond pas à la question. Aucune réponse n’est écrite dans l’espace prévu.
L’élève tient des propos choquants.
Page 13
FRANÇAIS LANGUE PREMIÈRE 12
BARÈME DE NOTATION POUR LA COMPOSITION – TEXTE ARGUMENTATIF
L’argumentation est sophistiquée. La position liée au sujet est clairement énoncée et tous les
6 arguments présentés soutiennent cette position. Les arguments sont développés avec
profondeur et clarté. Le texte est organisé de façon cohérente. Le vocabulaire est précis, varié
et approprié au texte argumentatif. La maîtrise des conventions de la langue est excellente. Les
rares erreurs ne nuisent pas à la compréhension.
La composition valant cinq points est de très bonne qualité.
L’argumentation est très convaincante. La position liée au sujet est clairement énoncée et la plupart
5 des arguments présentés soutiennent cette position. Les arguments sont développés avec clarté. Le
texte est organisé de façon cohérente. Le vocabulaire est varié et approprié au texte argumentatif. La
maîtrise des conventions de la langue est très bonne. Les quelques erreurs ne nuisent pas à la
compréhension.
La composition valant quatre points est de bonne qualité.
L’argumentation est convaincante. La position liée au sujet est énoncée et quelques arguments
4 présentés soutiennent cette position. Les arguments sont développés de façon efficace. Le texte est
organisé. Le vocabulaire est varié. La maîtrise des conventions de la langue est bonne. Les erreurs
peuvent distraire mais ne nuisent pas à la compréhension.
La composition valant trois points est suffisante.
L’argumentation est superficielle. La position liée au sujet est énoncée et certains des arguments
3 soutiennent cette position. Les arguments sont développés de façon sommaire. Le texte est organisé.
Le vocabulaire est adéquat. La maîtrise des conventions de la langue est acceptable. Les erreurs sont
fréquentes et peuvent nuire à la compréhension.
La composition valant deux points est insuffisante.
2 L’argumentation est simple. La position liée au sujet est vague. Le texte se résume à une liste
d’arguments. Le texte n’est pas organisé. Le vocabulaire est familier. La maîtrise des conventions de
la langue est insuffisante. Les erreurs nuisent à la compréhension.
La composition valant un point est faible.
1 L’argumentation est à peine amorcée. La position est inexistante. Le texte n’est pas organisé. Le
vocabulaire est familier. La maîtrise des conventions de la langue est nettement insuffisante. Les
erreurs empêchent la compréhension.
Le niveau «0 » est un cas exceptionnel.
• l’élève n’a fait aucun effort pour traiter le sujet ou il a simplement reformulé le sujet proposé ou
l’information fournie;
0 • l’élève n’écrit qu’une phrase;
• l’élève tient des propos grossiers;
• l’élève est hors-sujet.
* Toute composition notée zéro doit être vue par le chef de section.
Pas de L’élève n’a écrit aucune réponse.
réponse