Devoir à rendre 

:
La sociométrie de Moreno et le test sociométrique

Dans le cadre de notre analyse, il me semble qu’il serait

avant tout judicieux d’introduire quelques notions qui nous paraissent
primordiale afin de mettre en place tous les éléments nécessaires pour
notre étude de cas.
Commencent d’abord par la définition de la sociométrie qui est
considérée comme étant une méthode de recherche quantitative
généralement utilisée en sociologie et en psychologie sociale.  Elle
vise à mesurer les relations sociales au sein d'un groupe spécifique, à
évaluer des données individuelles et générales. Premièrement
introduite au début du 20éme siècle où elle a vu le jour aux Etats-
Unis. Grace aux efforts ainsi qu’aux recherches intensives du
psychologue et thérapeute viennois Jacob Levy Moreno. Cette
nouvelle conceptualisation a donné naissance aux méthodes qui
feraient de la sociométrie une technique capable d’étudier, de
diagnostiquer et de prédire la dynamique des interactions de groupe et
sociales, à la fois dans des groupes de quelques membres et dans des
contextes sociaux beaucoup plus complexes et de plus en plus grands.
Le psychiatre viennois et étudiant de Sigmund Freud a eu son premier
contact avec l’étude sociométrique lorsqu’il a collaboré à
l’organisation d’une colonie de réfugiés dans son pays. Ainsi,
connaissant de visu les différents problèmes rencontrés dans des
groupes de personnes, Moreno a essayé d’organiser ces groupes et
leurs membres selon une planification sociométrique.
À partir de 1925, Jacob Levy Moreno s'installe à New York et
développe dans ce contexte une base théorique solide pour sa méthode
sociométrique. Il a testé sa méthode à grande échelle dans la prison de
Sing-Sing, dans la ville où il résidait. Ce test vous donnerait une vue
beaucoup plus détaillée sur les multiples variables qui influencent les
relations personnelles entre différents groupes dans un contexte
physique spécifique.
Maintenant et après avoir plus ou moins introduit les points les plus
culminants du sujet de façon générale nous allons ainsi pouvoir nous
focaliser sur l’analyse du cas échéant.
Le premier tableau traite de pointage des réunions spontanées car en
effet tout du long d’une semaine de travail, le nombre de personnes
assistant aux réunions varie. On constate ainsi que Evel, Pheres et
Noreau ont assisté à plus de la moitié des réunions spontanées soit
8/14 réunions. Quand d’autres comme Olive, Doures et Floure n’ont
pu assister qu’à 2/14 des réunions qui ont étaient donné. On peut ainsi
voir à partir du tableau que le facteur de présence des membres du
groupe diffère d’une personne à une autre et ce suivant le degré
d’engagement de chacune.
La deuxième étape, vient alors pour solidifié la précédente et l’on
constate donc que Phéres interagît le plus avec son entourage (56
interactions), avec un certain penchant envers Loura, Evel et Brendo.
Nous on concluant donc que ce groupe éprouve le plus d’intérêts entre
eux.
La troisième étape porte sur l’identification des leaders. Cette dernière
se fait à base du nombre d’interactions entre les membres de chaque
groupe. L’intervalle qui détermine cette interaction sa situe entre 7 et
6.
Pour ce qui de la quatrième étape on remarque que les Leaders des
deux groupes rouge et bleu entretiennent une certaine relations avec
tous les membres de leurs groupe respectif à l’exception d’Olive du
groupe rouge et Flouné du groupe bleu, qui n’ont en vérité établie
aucun semblant d’échange avec leurs congénères.
La cinquième et avant dernière étape consiste à identifier les tensions
éventuelles qui pourraient potentiellement échoir et causé un problème
au niveau de la dynamique du groupe, et ceci est basé sur le score des
interactions situés entre 3et4. Chose qui indique l’absence des
barrières psychologiques entre les membres.
Le repérage des médiateurs, se trouve être le sujet traiter lors de la
sixième et dernière étape ; Elle se base ainsi sur le processus
d’interaction externe. C’est le concept d’interprétation entre les
champs sociaux ; Suivant les données Phéres et Rothe, Verne et
Sylvain sont liés de relations qui permettent le passage fluide et claire
de l’information.

En fin mots, je dirais que La sociométrie contribue à

l'application de méthodes de mesure quantitative dans le oui de
certains groupes et de certaines structures sociales et nous aide à
comprendre les capacités, les interactions et le bien-être mental, à la
fois au niveau du groupe et de chacun de ses membres.