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Socle Commun
Analyse 1
Exercices Résolus
Dr : D. Bouafia
Table des matières
5 Fonctions usuelles 11
5.1 Correction d’exercices série 5. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
5.1.1 Correction d’exercices suplémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
iii
Chapitre 1
2 2
X X
a Initiation : Pour n = 2, on a :
xk = |x1 + x2 | ≤ |xk | = |x1 | + |x2 |,(l’inégalité
k=1 k=1
triangulaire). Donc, P (2) est vraie.
1
1.1 Correction d’exercices série 1 1.1 Correction d’exercices série 1
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3 3
sup(An ) = sup(A2n ∪ A2n+1 ) = max{sup(A2n ), sup(A2n+1 )} = max 0, = .
2 2
3
Il est claire que max(An ) = et min(An ) n’existe pas, car sup(An ) ∈ An et inf(An ) ∈ /
2
3
An , ( An ⊂] − 1, 0]∪]1, ]).
2
6 Soit l’ensemble A6 = {sin( nπ 2
) : n ∈ N∗ }. On remarque la fonction f définie par f (x) =
nπ
sin( ) est périodique de période d = 2π. Donc, pour n = 0, 1, 2, ..., on obtient A6 =
2
{−1, 0, 1}, le reste est facile
Correction d’exercice 1.5. Soit le ensemble D = {x2 +y 2 : (x, y) ∈ R2 et xy = 1} Déterminons
la borne inférieure de D.
1 ∀(x, y) ∈ R2 , on a
(x − y)2 ≥ 0 ⇔ x2 + y 2 − 2xy ≥ 0
⇔ x2 + y 2 ≥ 2xy
⇔ x2 + y 2 ≥ 2 car xy = 1.
En peut écrire D comme suit
1
D = {x2 + : x ∈ R∗ }.
x2
Donc, 2 est un minorants de D et 2 ∈ D, (pour x = 1), c’est-à-dire min(D) = 2, d’où,
d’après les propriétes inf(D) = min(D) = 1.
1
? Posons f (x) = x2 + 2 , comme lim f (x) = +∞. Donc, D n’est pas majorée.
x x→∓∞
2 Exercice.
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Chapitre 2
2n + 1 2n + 1
lim = 2 ⇔ ∀ε > 0, ∃n0 ∈ N, ∀n ∈ N : n > n0 ⇒| − 2 |< ε.
n→+∞ n + 1 n+1
Soit ε > 0, alors,
2n + 1 1 1 1
− 2 = | | < ε ⇒ n > − 1. Donc, il suffit choisir n 0 = − 1 + 1 pour
n+1
n+1 ε ε
garantir l’implication précédente.
2 Exercice supplémentaire.
√
3 lim 2n + 1 = +∞. Alors, on a
n→+∞
√ √
lim 2n + 1 = +∞ ⇔ ∀ε > 0, ∃n0 ∈ N, ∀n ∈ N : n > n0 ⇒ 2n + 1 > ε .
n→+∞
6
2.1 Correction d’exercices série 2 2.1 Correction d’exercices série 2
6 Évident.
1 + 2 + ... + n n n(1 + n) n n 1+n −n
7 lim − = lim − = lim −1 = lim =
n→+∞ n+2 2 n→+∞ 2(n + 2) 2 n→+∞ 2 n + 2 n→+∞ 2(n + 2)
−1
. On note
2
n
1 + 2 + ... + n = (1 + n),
2
est une somme de n termes primiers d’une suite arithmétique.
8 Il y a un problème dans ce exercice (éliminer).
9 Reste comme exercice.
10 Exercice supplémentaire.
Correction d’exercice 2.4. Soit la suite de terme général
1 1 1 1
un = + + + ... + .
1×2 2×3 3×4 n(n + 1)
1 a b 1 (a+b)n+a a+b=0
1 On a : n(n+1)
= n
+ n+1
⇔ n(n+1)
= n(n+1)
⇒ a=1
b = −a = −1
⇒ a=1
1 1 1 1 1 1 1 1 1
2 lim un = lim [( − )+( − )+...+( − )+( − )] = lim [1− ]=0
n→+∞ n→+∞ 1 2 2 3 n−1 n n n+1 n→+∞ n+1
Correction d’exercice 2.5. Étudier la monotonie des suites suivantes et on en déduire leur
nature
1 a Pour tout ∀n ∈ N, on a :
2 2 −2
un+1 − un = (1 + ) − (1 + )= < 0.
n+2 n+1 (n + 2)(n + 1))
Donc, la suite (un ) est décroissante sur N.
La suite (un ) décroissante et bornée inférieurement par 1, car
2
> 1.∀n ∈ N : 1 +
n+1
Donc, d’après un théorème, (voir cours analyse-1) elle est convergente.
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b Il est claire que (un ) est croissante, et lim un = +∞, (un ) n’est pas bornée.
n→+∞
un+1
c Comme (un ) est strictement positive, alors, on peut comparer par 1, Donc,
s un
un+1 n2 + 2n
= , on remarque que
un n2 + 2n + 1
n2 + 2n
∀n ∈ N : n2 + 2n < n2 + 2n + 1 ⇒ ∀n ∈ N : < 1 ⇒ ∀n ∈ N : 0 ≤
s n2 + 2n + 1
n2 + 2n
< 1, d’où le résultat, (un ) est décroissante. Donc, (un ) est convergente,
n2 + 2n + 1
car elle est bornée inférieurement par 0.
d Pour tout n ∈ N, on a
n+1 n
X 1 X 1 1
un+1 − un = − = > 0,
k=1 n + k k=1 n + k 2n + 1
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2un + 3 2l + 3
lim un+1 = lim ⇔l= ⇔ (l2 + 2l − 3 = 0)
n→+∞ n→+∞ un + 4 l+4
⇔ (l = 1 ∨ l = −3),
on remarque que −3 ∈
/ [0, 1], alors, lim un = l.
n→+∞
k=n
1
Correction d’exercice 2.9. 1 Montrons que la suite un = n’est pas de Cauchy.
P
ln k
k=2
(un )n≥2 Cauchy si et seulement si
∀ε > 0, ∃n0 ∈ N, ∀p, q ∈ N : p > q > n0 ⇒ |up − uq | < ε (2.1)
1 1
Comme, pour tout n ≥ 2, on a ln n ≤ n, alors, ≥ . Donc, on aura,
ln n n
k=n
1
X 1 1 1
un = ≥ + + ... +
k=2 ln k 2 3 n
1 1 1 n−1 1
≥ + + ... + = ≥ .
n n n n 2
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1
On prend ε = , et soit n0 ∈ N, si en prend p = 2m, et q = m tel que m ≥ n0 . Alors, on
2
a
1 1 1
| up − uq |=| u2m − um | = + + ... +
ln(m + 1) ln(m + 2) ln(2m)
1 1 1
≥ + + ... +
m + 1 (m + 2) 2m
1 1 1 m 1
≥ + + ... + = ≥ ,
2m 2m 2m 2m 2
c’est-à-dire la condition précédente (2.1) n’est pas satisfaite. Alors, (un )n≥2 n’est pas de
Cauchy.
k=n
cos k
2 Montrons que la suite définie par un = est une suite de Cauchy.
P
k!
k=0
Alors, on vérifiant la condition (2.1). Soit ε > 0, et pour p, q ∈ N, (p = 2q + 1), on a
cos(q + 1) cos(q + 2) cos(p)
|up − uq | = + + ... +
(q + 1)! (q + 1)! p!
1 1 1
≤ + + ... +
(q + 1)! (q + 1)! (p)!
p−q q+1
≤ =
(q + 1)! (q + 1)!
1 1
= < < ε.
q! q
1 1 1
Donc, < ε ⇔ q > , il suffit choisir n0 = + 1, pour garantir (2.1). D’où le résultat.
q ε ε
k=n
(−1)k
Correction d’exercice 2.10. Soit la suite (un )n≥1 , telle que un =
P
k
.
k=1
3 Les suites (u2n )n≥1 et (u2n+1 )n≥0 sont adjacentes, donc elles sont convergente à la même
limite, alors (un )n≥1 est aussi converge (d’après un théorème voir cours analyse-1).
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Chapitre 3
1
3.1 Correction d’exercices série 3. 3.1 Correction d’exercices série 3.
2
x+2
1 lim+ = +∞, car lim+ (x2 ln x) = 0+ .
x2 ln x
=
x→0 0+ x→0
√ √
2 lim+ 2x ln(x + x) = lim+ 2x ln(x + x) = 0
x→0 x→0
√ √
+∞ si x > 0
1+x− 1+x2 −1+ 1
3 lim x2
= lim √1+x+√x1+x2 = −∞ si x < 0,
x→0 x→0 √
√
1+x− 1+x2
c’est-à-dire, lim x2
, n’existe pas.
x→0
√ √ −1
1+x− 1+x2 2 −1+ x1
4 lim 2 = lim √ −x +x
√ = lim √ √ = .
x x2 ( 1+x+ 1+x2 ) 1+x+ 1+x2
x→+∞ x→0 x→0 2
x
e ex
2 2
ex −ex 1−ex −x
5 lim2 = lim 1− x1
= +∞(−∞) = −∞, car lim = +∞.
x→+∞ x −x x→+∞ x2 x→+∞ x2
x2 −2|x| x2 −2x
b Si x < 0, on a lim x
= lim− x
= lim+ (x + 2) = 2. Alors, la limite n’existe pas.
x→0 x→0 x→0
√ √
8 Comme la fonction x 7→ x + 1 − 1 − x est dérivable sur ] − 1, 1[ en point 0. Alors,
√ √
x+1− 1−x
√ √ 0
1 1
lim x
= ( x + 1 − 1 − x)x=0 = √ + √ = 1.
x→0 2 1 + x 2 1 − x x=0
1 − cos x 1 − (1 − 2 sin2 x2 ) 1 sin x2 2 1
sin2 x2
9 lim = lim = lim 2 = lim = .
x→0 x2 x→0 x2 x→0 2 x4 2 x→0 x22 2
3 D’après
le résultat ceprécède,
on a
1 1
E +x xE +x2
x x 1
lim = lim = = 1.
x→0
E 1
−x
x→0
xE 1
−x2
1
x x
4 Exercice
5 Exercice
Correction d’exercice 3.4. On cherche s’il existe des valeurs de a, pour lesquelles les fonc-
tions suivantes sont continues au point x0 indiqué
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(
x+1
x3 +1
: x 6= −1, x0 = −1.
1 Pour f (x) = On a rappel que,
a : x = −1.
On a Df = R =] − ∞, +∞[, et
x+1 x+1 1 1
lim f (x) = lim = lim = lim 2 = .
x→−1 3
x→−1 x + 1 x→−1 (x + 1)(x − x + 1)
2 x→−1 x − x + 1 3
1
Donc, f est continue au point − 1 ⇔ f (−1) = a ⇔ a = .
3
x sin x1 : x 6= 0, x0 = 0.
2 Si g(x) = Alors, on a Dg = R =] − ∞, +∞[, et
a : x = 0.
(
∗ 1 ∀x ∈ R∗+ : −x ≤ x sin x1 ≤ x.
∀x ∈ R : −1 ≤ sin ≤ 1 ⇔
x ∀x ∈ R∗− : x ≤ x sin x1 ≤ −x.
1 f (x) = | x |, si x 6= 0,
1, si x = 0.
sin x
On a Df = R, et la fonction x 7→ est continue sur R∗ , donc, il faut étudier la
x
continuité de f au point 0, comme
sin x sin x
lim f (x) = lim = 1 = f (0), et lim f (x) = lim = 1 = f (0).
x→0 x→0 x x→0 x→0 x
> > < <
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2(−x) ln(−x)
lim f (x) = lim 1 − x − = 1,
x→0
<
x→0
<
x+1
c’est-à-dire, lim f (x) = 1. Donc f est prolongeable par continuité en x0 = 0 et sa pro-
x→0
longement f˜ est définie par
(
2x ln |x|
f˜(x) = 1−x− x+1
: x ∈ R − {−1, 0}
1 :x=0
ln(−x) ln(−x)
2 lim f (x) = 4 = lim f (x), car lim = (ln(−x))0x=−1 = 1
= −1 = lim .
x→−1 x→−1 x→−1 x+1 x
x=−1 x→−1 x+1
> < > <
Remarque 3.1. On peut prolongeant f par continuité sur R, sa prolongement fˆ est définie
par
2x ln |x|
1 − x − x+1
: x ∈ R − {−1, 0}
ˆ
f (x) = 1 :x=0
4 : x = −1
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Alors,
x
y = f (x) ⇔ y = ⇔ yx2 − x + y = 0.
x2 +1
Si y = 0 on a x = 0.
Si y 6= 0, alors, on a ∆ = 1 − 4y 2 (la discriminant ), il est claire que 0 ≤ 4y 2 ≤ 1. Donc,
∆ ≥ 0, et
√
1 − 1 − 4y 2
1
x= , accepter, x ∈ 0,
2y 2
∨ √
1 − 1 − 4y 2
x= , réfuser
2y
1
−1
Alors, on définit, f de 0, dans [0, 1] par,
2
0 √ :x=0
−1
f (x) = 1 − 1 − 4x 2
: x 6= 0.
2x
Soit x0 ∈ [a, b],, et pour tout x ∈ [a, b], x 6= x0 . Alors, d’aprés (3.4), si on pose x0 = x0 ,
on aura,
x − x0 < f (x) − f (x0 ) < x0 − x si x < x0
−|x−x0 | < |f (x)−f (x0 )| < |x−x0 | ⇔ ∨
x0 − x < f (x) − f (x0 ) < x − x0 si x0 < x.
On passe à la limite, on obtient lim f (x) = f (x0 ).
x→x0
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x 0 1 +∞
0 +∞
f (x)
e−4
2 a Montrons que l’équation f (x) = 0 admet une solution unique x0 appartenant dans
]1, 2[. On peut appliquier le théorème des valeurs intérmidiaires (T.V.I).
f continue sur ]1, 2[, et f (1) = e − 4 < 0, f (2) = e2 − 4 > 0. Donc, ∃α ∈]1, 2[, tel que
f (α) = 0
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Chapitre 4
Donc f est dérivable à droite de point x0 = 0 et la dérivée à droite en 0 est fd0 (0) = 1.
f (x) − f (x0 ) x2 + x
lim = lim = lim (x − 1) = −1.
x→x
<
0 x − x0 x→0
<
x x→0
<
Donc f est dérivable à gauche de point x0 = 0 et la dérivée à gauche en 0 égale fg0 (0) =
−1. D’ou le résultat, la dérivabilié de f en 0 n’est pas satisfaite.
2 Soit la fonction f (x) = (x − 2)[x], x0 = 2. Alors, Df = R, et on a
(x − 2)[x]
Si x ≥ 0, lim = lim [x] = 2. Donc, fd0 (0) = 2.
x→2
>
x − 2 x→2
>
(x − 2)[x]
Si x ≤ 0, lim = lim [x] = 1. Donc, fg0 (0) = 1. Comme fd0 (0) 6= fg0 (0), on en
x→2
<
x − 2 x→2
<
7
4.1 Correction d’exercices série 4. 4.1 Correction d’exercices série 4.
Correction d’exercice 4.2. On Calcule les dérivées n− ièmes des fonctions suivantes :
1 Soit a 6= 0, et f (x) = eax . f 0 (x) = aeax , f 00 (x) = a2 eax , et f (3) (x) = a3 eax , donc, on peut
en déduit que f (n) (x) = an eax , et puis, le résultat être assuré par récurrence.
2 2×2 2×2×3
2 Pour f (x) = 1+x1−x
. f 0 (x) = , f 00 (x) = , et f (3) (x) = , donc, on
(1 − x)2 (1 − x)3 (1 − x)4
2 × (n!)
en déduit f (n) (x) = .
(1 − x)n+1
3 Si f (x) = sin x. Alors, on a f 0 (x) = cos(x) = sin(x+ π2 ), f 00 (x) = − sin(x) = sin(x+2 π2 ), et
f (3) (x) = − cos(x) = sin(x + 3 π2 ), et par ce suite, on en déduit que f (n) (x) = sin(n) (x) =
sin(x + n π2 ). On a aussi un résultat analogue pour la fonction cos, qui est
π
f (n) (x) = cos(n) (x) = cos(x + n ).
2
Correction d’exercice 4.3. Est-ce-qu’on peut appliquer le théorème de Rolle au fonction sui-
vantes :
√
1 Si f (x) = 9 − x2 , x ∈ [−3, 3]. Alors, nous avons
a Claire, f est continue sur [−3, 3].
b f est pas dérivable sur ] − 3, 3[.
c f (−3) = 0, f (3) = 0. Par concéquant, le théorème de Rolle est applicable sur f.
0 : x = 0,
2 Si g(x) = 1 − x : x ∈]0, 1],
g n’est pas continue au point 0. donc, on ne peut pas appliquer le théorème de Rolle
sur g. malgré, les autres deux conditions sont vérifiées
3a Pour la fonction h(x) = |x + 1|, x ∈ [−3, 2], on a
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1
2
f (x) − f (0) x sin 1
lim = lim x = lim (x sin ) = 0 = f 0 (0).
x→0 x x→0 x x→0 x
D’où la dérivabilité de f sur R.
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1
0
3 f n’est pas contine au point 0. En effet, la fonction x 7→ 2x sin , elle est claire
x
1
continue sur R. Mais la fonction x 7→ cos n’est pas continue en 0, c’est-à-dire la
x
somme n’est pas continue en 0.
2
Correction d’exercice 4.6. Soit f une fonction dérivable en point a. On trouve lim f (a+h )−f h
(a+h)
.
h→0
Alors, on a
2 2 2
lim f (a+h )−f
h
(a+h)
= lim f (a+h )−f (a)+f
h
(a)−f (a+h)
= lim h f (a+hh2)−f (a) − lim f (a+h)−f
h
(a)
= 0f 0 (a) −
h→0 h→0 h→0 h→0
f (a) = −f 0 (a).
0
Correction d’exercice 4.7. On pplique la règle de l’Hospital pour calculer les limites sui-
vantes.
ln(x + 1) 0 √ 1
1 lim √ = (F.I). Comme ∀x > 0 : ( x)0 = √ 6= 0. Donc, d’après le théorème
x→0 x 0 2 x
de l’Hospital, on a √
ln(x + 1) 2 x
lim √ = lim = 0.
x→0 x x→0 x + 1
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Chapitre 5
Fonctions usuelles
11
5.1 Correction d’exercices série 5. 5.1 Correction d’exercices série 5.
1 − tan2 (a)
cos(2a) = .
1 + tan2 (a)
1 − tan2 (arctan(x)) 1 − x2
Donc, on aura cos(2 arctan(x)) = =
1 + tan2 (arctan(x)) 1 + x2
4 Pour x ∈ [−1, 1], posons D = arctan √ x . Alors, comme
1−x2
x
∀x ∈ [−1, 1] : tan(arcsin(x)) = √ .
1 − x2
Donc, on a
x
D = arctan √ = arctan tan(arcsin(x)) = arcsin(x)
1 − x2
Correction d’exercice 5.4. On résoudre l’équation
π
arctan(2x) + arctan(3x) = (5.1)
4
L’équation (5.1) est définie si et seulement si 2x, 3x ∈ R. Donc le domaine de définition est
D = R =] − ∞, ∞[.
5x
(5.1) ⇔ tan(arctan(2x) + arctan(3x)) = tan( π4 ) ⇔ = 1 ⇔ 6x2 + 5x − 1 = 0 ⇔ (x =
1 − 6x2
1 1
−1 ∈ D ∨ x = ∈ D). Donc, l’ensemble de solutions est S = −1, .
6 6
Correction d’exercice 5.5. Soient a, b ∈ R. Alors, montrons les formules suivantes.
1 Pour la formule ch2 x − sh2 x = 1. On a
ex − e−x ex + e−x
shx = et chx = .
2 2
Donc,
+ e−x 2 ex − e−x 2
x
e
2 2
ch x − sh x = −
2 2
−2x
2x
e +e + 2 − e − e−2x + 2
2x
= = 1.
4
√
2 Comme la fonction x 7→ ln(x + x2 + 1) est définie et dérivable sur R. Donc, pour tout
x ∈ R, on a,
x
√x+ √ 2
1
(ln(x + x2 + 1))0 = √x + 1 = √ = argsh0 (x).
x+ x +12 2
x +1
√
+ x2 + 1) + c, et on remarque que
Alors, argsh(x) = ln(x√
0 = argsh(0) = ln(0 + 02 + 1) + c ⇒ c = 0, d’où le résultat
√
∀x ∈ R : argsh(x) = ln(x + x2 + 1)
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Bibliographie
[1] J ACQUES D IXMIER. Cours de mathématiques du premier cycle, première année. Gauthier-
Villars. 1986.
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