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Samuel MIMRAM
2000-2002
1 Divers
Relation d’équivalence : réflexive, symétrique, transitive
Relation d’ordre : réflexive, antisymétrique, transitive
|A ∪ B| = |A| + |B| − |A ∩ B|
|F| = p ⇔ |P(F)| = 2 p
|X| = p2 p−1
P
X∈P(F)
2 Algèbre générale
2.1 Divers
Un groupe monogène est isomorphe à Z ou à Z/nZ.
Signature de σ ∈ σn : ε(σ) = {i, j}∈P(|[1, n]|) σ( j)−σ(i)
Q
j−i
2.2 Groupes
(G, ∗) : ∗ est associative, G admet un élément neutre pour ∗, tout élément de G admet un symétrique pour ∗
H,∅
H sous-groupe de G ⇔ ∀(x, y) ∈ H 2 , x ∗ y ∈ H
∀x ∈ H, x−1 ∈ H
1
(G× , ×) est un groupe
Q
(Z/nZ)× est un groupe de cardinal ϕ(n) ϕ(n) = n i 1−
1
pi
Si m ∧ n = 1 alors ϕ(mn) = ϕ(m)ϕ(n)
mn m n mn
démo : τ : k 7→ (k , k ) et dim Im = m∧n
car m ∧ n = dim Ker
P T
: générateur de i ai Z : générateur de i ai Z
Théorème Chinois : si m ∧ n = 1 alors (Z/mnZ, +) est isomorphe à (Z/mZ × Z/nZ, +)
EQ DIOPH
p+1
Il y a 2 carrés dans Z/pZ démo : ϕ : (Z/pZ× , ×) → (Z/pZ× , ×) / x 7→ x2
1 ∈B
A
B sous-anneau de A ⇔ ∀(x, y) ∈ B2 , x − y ∈ B
∀(x, y) ∈ B2 , xy ∈ B
a est régulier : ax = ay ⇒ x = y et xa = ya ⇒ x = y
a régulier ⇔ a non diviseur de 0
Anneau intègre : non nul, commutatif, sans diviseur de 0
(A× , ×) : groupe des élémts inversibles
a est nilpotent : ∃n ∈ N, an = 0
Si a est nilpotent e − a est inversb d’inverse e + a + . . . + an−1
2
Caractéristique : ordre de eA dans (A, +)
La caractéristique d’un anneau intègre est soit infinie, soit un nb premier
Corps (K, +, ×) :
(K, +, ×) est un anneau, 0K , 1K , tout élément de K\{0} admet un inverse pour ×
1K ∈ L
∀(x, y) ∈ L2 , x − y ∈ L
L sous-corps de K ⇔
∀(x, y) ∈ L2 , xy ∈ L
∀x ∈ L\{0}, x−1 ∈ L
2.5 Polynômes
dim Kn [X] = n + 1
K[X] est un anneau principal
Polynôme P irréductible : divisible seulement par λ et λP (λ ∈ K∗ )
Un polynôme de degré n admettant n + 1 racines distinctes est le polynôme nul
P|Q ⇒ [P(x) = 0 ⇒ Q(x) = 0]
a racine de multiplicité k de P : ∀i ∈ |[0, k − 1]|, P(i) (a) = 0 et P(k) (a) , 0
P = λ[X n − σ1 X (n−1) + . . . + (−1)k σk X n−k + . . . + (−1)n σn ] avec σ1 = x1 + . . . + xn et σn = x1 ...xn (
PQ
n xi )
attention à la normalisation de P
Mettre les polyn̂ du 2nd degré ss forme canonique
Théorème de d’Alembert : C est algébriquement clos
Si P est scindé alors P0 l’est démo : multiplicités mi − 1, Rolle pr les racines distinctes
Opérateur aux différences finies : ∆ : P(X) 7→ P(X + 1) − P(X) ∆ = T − Id avec T : P(X) 7→ P(X + 1)
avec P ∈ K[X] tq deg P = n − 1 : deg(∆k P) = n − k donc ∆n P = 0
sur Cn [X] : Ker ∆ = C0 [X] et Im ∆ = Cn−1 [X]
T n P(X) = P(X + n) et T ∆ = ∆T donc ∆n P(X) = (T − Id)n P(X) = nk=0 (−1)k Ckn T k = nk=0 (−1)k P(X + k)
P P
⇒ P(n + 1) si on connait ts les P(k) avec k ∈ |[1, n]|
3
2.6 Polynômes et K-algèbres
Algèbre (A, +, ×, ·) :
(A, +, ×) est un anneau, (A, +, ·) est un K-ev et ∀λ ∈ K, ∀(x, y) ∈ A, (λ · x) × y = x × (λ · y) = λ · (x × y)
1∈B
B sous-algèbre de A ⇔ ∀(x, y) ∈ B2 , x + y ∈ B et xy ∈ B
∀λ ∈ K, ∀x ∈ B, λx ∈ B
Si K[a] est un algèbre de dim finie et P(a) inversible alors P(a)−1 ∈ K[a]
démo : ϕa : K[a] → K[a] / x 7→ xP(a) isomorphisme
3 Algèbre linéaire
3.1 Espaces vectoriels
Espace-vectoriel (E, +, .) :
(K, +, ×) corps commutatif, (E, +) groupe abélien, 1.x = x, (λ + µ)x = λx + µy, λ(x + y) = λx + λy, λ(µx) = (λµ)x
F,∅
F sous- de E ⇔ ∀(x, y) ∈ F 2 , x + y ∈ F
∀λ ∈ K, ∀x ∈ F, λx ∈ F
4
Hyperplan : noyau d’une forme linéaire non nulle (E , H et ∀a ∈ E\H, E = H ⊕ Ka)
H est soit un fermé de E, soit une partie dense dans E avec F ss- de E ⇒ F ss- de E : si H , H alors E ⊂ H
Soit f ∈ L(E, F) ; si Ker f et Im f sont de dim finie alors E est de dim finie
Théorème de la base incomplète : ∃B, L ⊂ B ⊂ L ∪ G
Si F ⊂ E alors dim F = dim E ⇔ F = E
dim(F + G) = dim F + dim G − dim(F ∩ G)
Théorème du rang : si f ∈ L(E, F) alors dim(Ker f ) + rg f = dim E dim f (H) + dim(H ∩ Ker f ) = dim H
dim Ker g ◦ f ≤ dim Ker g + dim Ker f
Codimension : dimension du supplémentaire
f injective ⇔ Ker f = {0}
Pn
Formule du binôme de Newton : si f et g commutent : ( f + g)n = k=0 Ckn f k gn−k
3.2 Matrices
Si C = A · B alors ci, j = nk=1 ai,k bk, j
P
t
(AB) = t Bt A
MB1 B3 (v ◦ u) = MB2 B3 (v) × MB1 B2 (u)
Matrice de passage de B à B0 : P = MB0 B (Id) X = PX 0
Rang : ordre maximum de tt ss-matrice carée inversible extraite
σ
ε(σ)aσ(1)1 . . . aσ(n)n
P
det A = σ∈ n ! ! ! !
A B A B I B A 0
det(AB) = det A det B det = det A det C démo : =
0 C 0 C 0 C 0 I
Pn
Développement suivant la j0 -ième colonne : det A = i=1 ai j0 (−1)i+j0 det Ai j0
Comatrice : matrice des cofacteurs : (−1)i+j det Ai j
At Com(A) = (det A)In A−1 = det1 A (t Com(A))
detB (v1 ,...,b,...,vn )
Formule de Cramer : xi = det A
5
(t A)−1 = t (A−1 ) A ∈ Sn (K) ∩ GLn (K) ⇒ A−1 ∈ Sn (K)
K = R ou C : GLn (K) est dense ds Mn (K) démo : M p = M + 1p In ; 1p < SpK (M) : det M p = χM ( −1
p
),0
Th de Hadamard : si A = (ai j ) ∈ Mn (K) tq ∀i, |aii | > nj=1 |ai j | alors A est inversible
P
j,i
démo : par l’absurde : X tq AX = 0 ; |xi0 | = max(|xi |) ; ... |ai0 i0 | <...
Sn Pn
Corol : Sp M ⊂ Di avec Di = {z ∈ C / |aii − z| ≤
i=1 j=1 |ai j |}
j,i
1 1 1 1
x1 xn · · · xn
Q
Déterminants de Van der Monde : . .. .. .. = (x j − xi )
.. . . . 1≤i< j≤n
n−1 n−1
x1 x2 ··· xn−1
n
démo : les xi tous , ? puis remplacer la dernière colonne par des X k
Les centres de Mn et GLn sont les matrices scalaires (λ Id) démo : avec les Ei j pr Mn ; avec (I + Ei j ) pour GLn
Le commutant d’un endomorphisme est une algèbre
K[A] ⊂ Γ(A) (commutant)
0 . . . 0 a1
.. ..
1 . . a2
Matrices de Frœbenius : A = .. . . .
→ tt polyn̂ est le polyn̂ caractéristq d’une matrice
. . 0 ..
0 . . . 1 an
3.4 Dualité
E est isomorphe à E ∗ (ont m̂ dimension)
Base duale : (e∗i )1≤i≤n tq e∗i (e j ) = δi j f ∗ = ni=1 f ∗ (ei )e∗i
P
Une base duale de E ∗ est la base duale d’une unique base de E
→ si on trouve (ei ) et (e∗i ) tq e∗i (e j ) = δi j alors (ei ) est une base de E de base duale (e∗i )
Les polyn̂ interpolateurs de Lagrange (W j )0≤ j≤n sont une base de Kn [X] et (ϕ∗i : P 7→ P(ai )) la base duale associée
7
4 Algèbre bilinéaire
gϕ : x 7→ ϕ(x, .) dϕ : y 7→ ϕ(., y)
Symétrique : ϕ(x, y) = ϕ(y, x) antisym : ϕ(y, x) = −ϕ(x, y) alternée : ϕ(x, x) = 0
ϕ antisym ⇔ alternée (en caractéristique , 2)
ϕ symétrique ⇔ gϕ = dϕ
dim S2 = n(n+1)
t t
L2 (E) = S2 (E) ⊕ A2 (E) dim L2 (E) = n2 2 démo : ϕ : M 7→ ( M+2 M , M−2 M ) isom
Identité de polarisation : ϕsym (x, y) = 12 [q(x + y) − q(x) − q(y)] = 14 [q(x + y) − q(x − y)]
q(x) = ni=1 x2i ϕ(ei , ei ) + 2 i< j xi x j ϕ(ei , e j )
P P
x et y st ϕ-orthogonaux : ϕ(x, y) = 0 x ⊥ϕ y
A⊥ϕ = {x ∈ E / ∀y ∈ A, ϕ(x, y) = 0} ss- de E
A ⊂ B ⇒ B ⊥ ⊂ A⊥ A ⊥ B ⇔ A ⊂ B ⊥ ⇔ B ⊂ A⊥
⊥ ⊥⊥
⊥ ⊥ ⊥
(F + G) = F ∩ G F ⊥ + G⊥ ⊂ (F ∩ G)⊥ F ⊂ F⊥ F⊥ = F⊥ {0E }⊥ = E
⊥ ⊥ ◦
dim H = n − dim H + dim(H ∩ Ker dϕ ) démo : H = [dϕ (H)]
E = H ⊕ H ⊥ ⇔ H ∩ H ⊥ = {0} démo : Ker dϕ ⊂ H ⊥ donc H ∩ Ker dϕ ⊂ H ∩ H ⊥
Si ϕ non dégénérée : pr tt H ss- de E dim H ⊥ = n − dim H
⊥
H⊥ = H (H1 + H2 )⊥ = H1⊥ ∩ H2⊥ H ⊥ + H2⊥ = (H1 ∩ H2 )⊥ E = F ⊕ G ⇔ E = F ⊥ ⊕ G⊥
P 1 ⊥
Contre-exemples : (l2 (N), ϕ) avec ϕ(u, v) = uk vk prendre R[X]
Si ϕ sur E, il existe une base ϕ-orthogonale (→ matrice diagonale) : base réductrice
démo : par réc, prendre x0 tq ϕ(x0 , x0 ) , 0 et E = (Kx0 ) + (Kx0 )⊥
Signature (p+ , p− ) de ϕ : p+ : dimension max d’un ss- H de E tq ϕ|H soit définie positive
Th d’inertie de Sylvester : ds une base ε ϕ-orthogonale, p+ : nb de φ(εi ) > 0, etc...
Recherche de la signature :
⊥
– parachuter la solution : E = F ⊕ G
– utiliser une décomposition de Gauss
– matriciellement : relations avec le det, la trace, les restrictions...
mettre sous forme de produit puis utiliser ab = 14 [(a + b)2 + (a − b)2 ]
Pn Pn Pn
– ex : i, j=1 ixi x j = ( i=1 ixi )( i=1 x j)
– avec les vl pr
– pr une forme positive [resp négative] : rg = n − dim Rad et Rad = Cône démo :
8
tt matrice symétrique réelle est diagonalisable avec matrice de passage orthogonale
∀M ∈ Sn (R), ∃Π ∈√On (R), √ ∃D ∈ Dn (R), D = Π−1 MΠ = t ΠMΠ
++ 2
: ∀S ∈ Sn (R), ∃! S , ( S ) = S démo : induits
Th de réduction simultannée :
si φ forme quadratq de (E, <|>) alors il existe une base de E <|>-orthonormée et ϕ-orthogonale
∀A ∈ S++ t t
n (R), ∀B ∈ Sn (R), ∃P ∈ GLn (R), PAP = In et PBP = ∆ ∈ Dn (R)
∀ϕ ∈ S2 (E), ∃!u ∈ S2 (E), ϕ(x, y) = <u(x)|y> = <x|u(y)>
Inégalité de Schwartz : si φ est positive, |ϕ(x, y)|2 ≤ φ(x)φ(y) |<x|y>| ≤ kxk kyk démo : avec φ(x + λy)
si φ est définie positive, |ϕ(x, y)|2 = φ(x)φ(y)
p ⇔ (x, y) liée
p p
Inégalité de Minkowski : si φ est positive, φ(x + y) ≤ φ(x) + φ(y)
p p p
si φ est définie positive, φ(x + y) = φ(x) + φ(y) ⇔ (x, y) positivement liée
Si ϕ est positive : Cône φ = Rad φ démo :
Une forme quadratique définie est soit positive, soit négative
démo : λ 7→ φ(x + λy0 ) admet au plus une racine donc φ(x)φ(y0 ) ≥ 0
⊥ ⊥ ⊥
E = F ⊕ G ⇒ E = F ⊥ ⊕ G⊥ et F ⊥ = G⊥ = F
⊥
E = F ⊕ G ⇔ F ⊥ G et F ⊥ ⊥ G⊥
E = Vect(ei ) ⇔ [Vect(ei )]⊥ = {0}
f autoadjoint positif :
k| f |k = Sup k f (x)k = ρ( f ) = Max |λ| démo : : k| f k|2 ≤ k| f ∗ ◦ f k| ≤ k| f ∗ k| k| f k|
kxk≤1 λ∈Sp( f )
k| f |k2 = k| f |k = k| f ∗ ◦ f |k
∗ 2
k| f |k = Sup |< f (x)|y>| démo : kxk = sup |<x|y>|
kxk≤1,kyk≤1 kyk=1
p
k|M|k2,2 = ρ(t MM)
9
démo : soit vl pr, soit u + u∗ sym dt b vc pr alors Vect(b, u(b)) stable par u
Topologie matricielle :
– S++
n : partie fermée de Mn (R)
– On (R) : partie compacte de Mn (R)
– GLn (R) : partie dense de Mn (R)
√
Si S ∈ Sn (R) alors ∃M ∈ Mn (R), S = t MM démo : avec M = S
Décomposition polaire : si M ∈ Mn (R) alors ∃O ∈ On (R), ∃S ∈ S+n (R), M = OS √
démo : M inversible puis densité sachant On (R) compact (ss-suite de On ) ou bien S = t MM et O = MS −1 conviennent
sup
Décomposition d’Iwasawa : si M ∈ GLn (R) alors ∃O ∈ On (R), ∃T ∈ Tn , M = OT démo : Schmidt
Avec H ∈ S++
n et K ∈ Sn , HK nilpotent ⇔ K = 0
t t −1
démo : ∃α ∈ S++ t t t
n , H = αα et HK = ααK = α(αK α) α : semblable à une diagb donc diagb
sup
Décomposition de Choleski : ∀A ∈ S++ t
n , ∃!S ∈ Tn , A = S S avec S à élémts diagonaux positifs
démo : ϕA prod scal de R (base canonq η) ; Schmidt : ∃r ϕA - tq ∀i, Vect(ηi , . . . , ηk ) = Vect(ri , . . . , rk ) et ϕA (ηi , ri ) > 0 ; soit S = Pηr alors :
2
A = t S In S avec S ∈ Tnsup
unicité : si A = t S S = t S 0 S 0 alors S S 0−1 = t S −1t S 0 ∈ Tnsup ∩ Tninf = Dn et t (S S 0−1)(S S 0−1) = In donc S S 0−1 = In
Symétrie (s2 = Id) : orthogonale ⇔ t MM = In et t M = M ⇔ Ker(s − Id) = (Ker(s + Id))⊥ ⇔ s end sym
p projection (p2 = p) : orthogonale ⇔ Ker p = (Im p)⊥ ⇔ p end sym ⇔ (IdE −p) end sym ⇔ Im p = (Ker p)⊥ ⇔ p∗ = p
⇔ k|pk| = 1 ou 0
p proj ortho ⇔ p∗ = p et ∀x, kp(x)k ≤ kxk
démo : kp(x)k2 = <x|p∗ p(x)> = <x|p(x)> ≤ kxk kp(x)k ; réciproque : appliquer l’inégalité à x + ty avec x ∈ Ker p
Ds une r : u end sym ⇔ Matr (u) ∈ Sn (R)
~
Réflexion d’hyperplan H : s(x) = x − 2<x|~ N> ~
N
2 kNk
~
<x|N>
Projection orthogonale sur H : p(x) = x − ~
N
~ 2
kNk
! !
cos θ − sin θ 1 0
Rotations (det = 1) SO2 : réflexions O2 \SO2 : semblables à
sin θ cos θ 0 −1
O3 :
– det = 1 : SO3 \{Id} : rotations axiales : axe tq f (v) = v et tr f = 1 + 2 cos θ
– det = −1 : réflexion / prod commutatif d’une rot et d’une réfl de plan ⊥ à l’axe de la rot : axe tq f (u) = −u et tr f = −1 + 2 cos θ
Signe de sin θ : signe de [v, f (v), u] avec u ∈ D et v ∈ E\D
Produit mixte (parfois noté Det) : det dans une ne dépend pas du choix de la
Si det u = 1 alors [u(x1 ), . . . , u(xn )] = [x1 , . . . , xn ]
<x|y> [x,y]
Mesure de l’angle orienté entre x et y en dim 2 : cos θ = kxk kyk sin θ = kxk kyk
<x|y> kx∧yk
En dim 3 : cos θ = | sin θ| = kxk
kxk kyk kyk
1 −−→ −−→
Aire algébrique du triangle ABC : 2 [AB, AC], etc. . . (pavé en dim n)
Rem : dim 2 ↔ dim 3 : [~u,~v] ↔ k~u ∧ ~vk
10
→− |a1 x1 +...+an xn −d|
Distance de M à l’hyperplan H de normale N(a1 , . . . , an ) : d(M, H) = √
P
avec H : a i xi + d = 0
a21 +...+a2n
Distance de M à la droiterD = Vect(~u) :
−−→ −−→ 2 −−→
dim 2 : d(M, D) = kAMk2 − <AM|~ u>
k~uk2
dim 3 : d(M, D) = kAM∧~uk
k~uk
avec A ∈ D
2
Droite D définie par P1 ∩ P2 : chercher P⊥P1 puis : d(M, D) = d(M, P1 )2 + d(M, P)2
−−−−→
|[A1 A2 ,~u1 ,~u2 ]|
d(D1 , D2 ) = k~u1 ∧~u2 k
Penser à : φ(x + µy0 ) = φ(x) + 2<[µϕ(x, y0 )] + |µ|2 φ(y0 ), puis poser ϕ(x, y0 ) = ρ0 ei θ0 et µ = λ e− i θ0
Produit scalaire hermitien : forme sesquilinéaire hermitienne définie positive → espace hermitien
att : <λx|y> = λ<x|y>
Endom normal : f ◦ f ∗ = f ∗ ◦ f
ds ce cas : k f k = k f ∗ k Ker f = Ker f ∗ Wλ = Ker( f − λ Id) est stable par f ∗ et Wλ = Ker( f ∗ − λ Id) (st normaux)
⊥
si λ , µ alors Wλ ⊥ Wµ Wλ stable par f f admet une de vc pr
f normal ⇔ f ∗ est un polyn̂ en f démo : polyˆ
n interpolateurs de Lagrange sur les vl pr de f
11
−−→
F ss- ⇔ {AM / M ∈ F } ss- de E
−−→ → − −−→ Pn λi −ΩA−→
λi Ai
Barycentre : G tq ni=1 λiGAi = 0 ⇔ ΩG = i=1 i
P P
Pn
λ (notation : G = i P
i λi
)
i=1 i
Le ss- engendré par (A1 , . . . , An ) est l’ensemble des barycentres des Ai
A convexe ssi ∀(M, N) ∈ A2 , [M, N] ⊂ A
−−−−−−−−−→ −−−→
f application affine ⇔ ∃ϕ ∈ L(E, F), ∀(M, N) ∈ E2 , f (M) f (N) = ϕ( MN)
−−−−−→
Affinité : f : E → E / P 7→ p(P) + λ p(P)P
4.3.1 Coniques
−−→ −−→
Conique : C = {M ∈ A / φ(OM) + f ∗ (OM) + k = 0}
−−−→ −−→ −f∗
Centre Ω de la conique : C = {M ∈ A / φ(ΩM) + k0 = 0} ⇔ dϕ (OM) = 2
⇒ unique si rg A = 2, droite ou ∅ si rg A = 1
Coniques :
– matrice M de la forme quad (attention aux 12 pr le coef de xy)
– det M : 2 2
– det M > 0 : ellipse : ax + by − 1 = 0 (ou pt unique si k = 0 ou ∅ si a < 0)
2
– det M = 0 : parabole : y = 2px (ou deux droites parallèlles : x2 − λ2 = 0 ou ∅)
2 y 2
x
– det M < 0 : hyperbole : a − b − 1 = 0 (ou deux droites concourrantes : αx2 − βy2 = 0 si k = 0)
( ∂Γ si tr M = 0 : hyperbole équilatère : xy = k
– ∂x = 0 ⇒ Ω(ω , ω ) ⇒ changement d’origine : Ω
∂Γ x y
∂y = 0
– vl pr λ1 et λ2 et directions propres v1 et v2 ⇒ changement de base
Ex : F(x, y) = α1 x2 +α2 xy+α3 y2 +α4 x+α5 y+α6 = 0 ⇒ α1 x2 +α2 xy+α3 y2 +F(ω x , ωy ) = 0 ⇒ λ1 x2 +λ2 y2 +F(ω x , ωy ) =
0 dans (Ω,~v1 ,~v2 )
Peut s’obtenir à l’aide d’une réduction de Gauss
En pol : ρ = 1+epcos θ p = ed : param ; e : excentricité (e < 1 : ellipse...) ; directrice : D : x = d
d(M, F) = e d(M, D) e = ac c2 = a 2 ± b 2
Paramétrages :
1−u2 2u
– cercle : x = R 1+u 2 , y = R 1+u2
12
Un arc paramétré de classe C1 est rectifiable (on peut définir sa longueur)
Rb →−
Longueur : L(Γ) = a k F 0 (t)kdt
Rb p Rb p
en pratique (en ) : L(Γ) = a x02 (t) + y02 (t)dt L(Γ) = a ρ2 (θ) + ρ02 (θ)dθ
Rt →−
Abscisse curviligne : s : t 7→ ε t k F 0 (u)kdu + k représentation normale de Γ (régulier) : F ◦ s−1 (t)
0
Arc normal : L([α, β], g) = |β − α| est normal : g = f ◦ s−1 avec f ∈ C1
1
Tt arc régulier de classe C admet un paramétrage admissible normal
∂F
Th des fonctions implicites : Γ = {(x, y) / F(x, y) = 0} et F ∈ C1 ; si ∂y (a, b) , 0 alors il existe W voisinage de (a, b) et U
∂F
(x,ϕ(x))
voisinage de a tels que : ∀x ∈ U, ∃ϕ(x), F(x, ϕ(x)) = 0 avec ϕ0 (x) = − Fy(x,ϕ(x))
∂x
4.3.3 Surfaces
~ ~
−−−→
Pt régulier : ∂∂xF (x0 , y0 ), ∂∂yF (x0 , y0 ) famille libre / grad G(x0 , y0 , z0 ) , ~0
−−−→
Plan tangent : éq avec le det pr une nappe (z = ϕ(x, y)) ou une fonction implicite (~n = grad G) : avec la normale
La tangente à un arc sur une nappe est une droite du plan tangent
Intersection avec une droite : G(Hλ ) = 0 : si λ0 est racine d’ordre ≥ 2, D est une tangente à Σ en Hλ0
4.3.4 Quadriques
rg Éq réduite Nature
2 2
x2
3 a2
+ by2 + cz2 = 0 singleton
2
x2 2
a2
+ by2 − cz2 = 0 cône
2
x2 2
a2
+ by2 + cz2 = −1 ∅
2 2 2
x
a2
+ by2 + cz2 = 1 ellipsoïde
2 2
x2
a2
+ by2 − cz2 = 1 hyperboloïde à une nappe (H1 )
2 2 2
x
a2
+ by2 − cz2 = −1 hyperboloïde à deux nappes (H2 )
2
x2
2 a2
+ by2 = 2zc paraboloïde elliptique
2
x2
a2
− by2 = 2zc paraboloïde hyperbolique
2
x2
a2
+ by2 = −1 ∅
2
x2
a2
+ by2 = 1 cylindre elliptique
2 2
x
a2
− by2 = 1 cylindre hyperbolique
2
x2
a2
+ by2 = 0 droite
2
x2
a2
− by2 = 0 deux plans sécants
1 x2 = 2py cylindre parabolique
5 Topologie
S
Topologie : ∅ et E ∈ T - A ∩ B ∈ T - i∈I Ai ∈ T
Topologie trace : TH = H ∩ T
Ouvert : voisinage de chacun de ses pts
Fermé : R\F est un ouvert ⇔ F ⊂ F ⇔ tt suite d’élémts de F a sa lim ds F ⇔ F = f <−1> (F 0 ) avec f ∈ C0
14
Voisinage : ∃U ∈ T , U ⊂ V
Connexité par arcs : ∀(a, b), ∃([α, β], ϕ), ϕ ∈ C0 , ϕ(α) = a, ϕ(β) = b
Les parties c p a de R sont les intervalles
Tt partie convexe ou étoilée d’un est c p a
L’image d’une partie c p a par une application continue est c p a
Le produit d’ c p a est c p a
Th du peigne : si C et les (Ai )i∈I sont c p a et ∀i, Ai ∩ C , ∅ alors C ∪ (∪i∈I Ai ) c p a
15
Si les (Ai )i∈I sont c p a et ∀(i, j), Ai ∩ A j , ∅ alors ∪Ai c p a
Toute partie c p a d’un est une partie connexe (i.e. tt partie à la fois ouverte et fermée est E ou ∅)
démo : mq si P , 0 alors P = A avec χP ◦ ϕ avec χP ∈ C0
Si f est localement cste sur une partie connexe par arcs alors elle est cste
6 Suites – séries
6.1 Suites
Suite arithmétique (un = u0 + nr) : ni=0 un = (n + 1) u0 +u
P n
2
n+1
Suite géométrique (un = u0 qn ) : ni=0 un = u0 1−q
P
1−q
Suite arithmético-géométrique (un+1 = aun + b) : soit l tel que l = al + b et se ramener à (vn ) = (un − l) géométrique
Suites récurrentes linéaires d’ordre 2 :
∆ > 0 ⇒ un = λr1n + µr2n ou ∆ = 0 ⇒ un = (λ + µn)r0n ou ∆ < 0 ⇒ un = ρn (λ cos nθ + µ sin nθ)
Suites récurrentes linéaires :
si P ◦ T (u) = 0 et si P(X) = hi=1 (X − λi )mi est scindé, une base des suites (un ) est (n s λni ) 1≤i≤h
Q
0≤s≤mi −1
avec : T : (un ) 7→ (un+1 ) ; on a : Ker(T − λ Id)m = Vect{(n0 λn ), (nλn ), . . . , (nm−1 λn )}
démo : réc avec ϕ : Ker(T − λ Id)m+1 → KN / (un ) 7→ (T − λ Id)(un ) ; mq dim Ker(T − λ Id)m+1 = dim Ker ϕ + dim Im ϕ ≤ m + 1 et
Im ϕ ⊂ Ker(T − λ Id)m ...
Suites f -récurrentes :
– domaine de déf
– graphe de f
– limites possibles
– existence de la limite : monotone / unique val d’adhérence
– (th du pt fixe → )
– recherche d’un domaine D tq f (D) ⊂ D
– avec f ∈ C1 : si f 0 ≥ 0, (un ) monotone si f 0 ≥ 0, f ◦ f % et (u2n ) et (u2(n+1) ) monotones de varient en sens contraire
(adjacentes)
1/α
Si un+1 = f (un ) avec un > 0, un → 0 et : ∃α, f (x) = x − axα+1 + o(xα+1 ) alors : un ∼ aαn
1
(0)
vn+1 −v1
démo : poser vn = u−α
n et mq vn+1 − vn → aα, puis Césaro : n
→ aα
Th d’interversion des limites monotones () : si ∀p, (an,p)n % et ∀n, (an,p) p % alors limn (lim p an,p ) = lim p (limn an,p )
démo : les limites existent ds R puis mq chacune est inférieure à l’autre
16
6.2 Séries
stg un ⇔ nk=0 uk
P
Dans un , ⇒
Si stg vn (vn ≥ 0 ) et un ≤ vn ou un = O(vn ) alors stg un
si un ∼ vn alors un ≥ 0 et stg un et vn st de m̂ nature
Si stg vn et uun+1
n
≤ vvn+1
n
alors stg un
Théorème de d’Alembert : si uun+1 → λ alors λ < 1 ⇒ stg un et λ > 1 ⇒ stg un
√ n
idem avec n un → λ (comparer avec stg kn )
Règle de Raabe-Duhamel : si uun+1 n
= 1 − αn + O( n3/2
1
) alors un ∼ nAα démo : bn = ln(nα un ) puis stg (bn+1 − bn )
Pn
u
Si un → ∞ alors vn = k=0n n → ∞
Si f C0 par morceaux et & alors : stg f (n) ⇔ f intégrable sur [a, +∞[
ei nθ
nα
: si α ≤ 0, si α > 1, si 0 < α ≤ 1 : si θ ∈ 2πZ, si θ < 2πZ
avec 0 < α ≤ 1 et θ < πZ, sinnαnθ et cosnαnθ démo : Abel
2 2 2 2 sin2 nθ
démo : si cosnαnθ ; cosnα nθ ≤ | cosnαnθ| d’où : cosnα nθ + sinnαnθ et cosnα2nθ = cosnα nθ − nα
Pour θ < πZ, sin nθ 6→ 0
démo : sinon sin[(n + 1)θ] = sin nθ cos θ + sin θ cos nθ → 0 donc cos nθ → 0 donc sin2 nθ + cos2 nθ = 1 → 0 !
Rayon de R = Sup{λ ∈ R∗+ / (an λn ) bornée} : |z| < R ⇒ stg an zn |z| > R ⇒ stg an zn
n n n
stg an z0 ⇒ |z0 | = R – ∀z ∈ C stg an z ⇔ ∀z ∈ C stg an z
R = Sup{λ ∈ R∗+ / (an λn ) bornée} = Sup{λ ∈ R∗+ / an λn → 0} = Sup{λ ∈ R∗+ / stg an λn } = Sup{λ ∈ R∗+ / an λn }
si an ≤ bn alors Ra ≥ Rb
an n+1
Stg an zn a m̂ rayon de que : |an |zn – λ · an zn – bn ∼ an – nα an zn – (n + 1)an+1 zn – n+1 z
+∞
Ra+b ≤ min(Ra , Rb ) si Ra , Rb ou si (an ) et (bn ) sont à supports disjoints alors Ra+b = min(Ra , Rb )
Le produit de Cauchy de deux est une de R ≤ min(Ra , Rb )
Les pts du cercle de sont soit tous soit tous , soit ? ? ? (⇒ si on connait la d’un pt...)
La stg an zn donc sur tt compact inclus dans le disque ouvert de
La fonction somme d’une est continue en tout z du disque ouvert de
Si la stg |an zn | en un pt du cercle de rayon R alors la donc sur le disque fermé de et la fonction somme est
17
continue sur ce disque
Si f ∈ C∞ et ∀x ∈ [0, a], ∀n, | f (n) (x)| < M [resp ∀x ∈] − α, α[, | f (n) (x)| < CBnn!] alors f est (0) démo :
2
Contre-ex : f (x) = e−1/x si x , 0 et f (0) = 0 est C∞ et non (0) : la série de M-L est nulle
7 Fonctions
7.1 Fonctions
(g ◦ f )−1 = f −1 ◦ g−1
f = o(g) ⇔ ∃V ∈ Va , ∀x ∈ V ∩ E, f (x) = ε(x)g(x) f = O(g) ⇔ | f (x)| ≤ M|g(x)|
f ∼ g ⇔ ( f − g) = o(g) ⇔ f (x) = (1 + ε(x))g(x)
Homéomorphisme : bijection bicontinue
( f −1 )0 (a) = f 0 ( f −1
1
(a))
si f ∈ C et ∀x, f 0 (x) , 0 alors f −1 existe et est Cn
n
Théorème de Rolle : si f ∈ C0 ([a, b]) et f ∈ D1 (]a, b[) et f (a) = f (b) alors ∃c ∈]a, b[, f 0 (c) = 0
Théorème des accroissements finis (faux ds Kn ) : si f ∈ D1 ([a, b]) alors ∃c ∈]a, b[, f (b) − f (a) = (b − a) f 0 (c)
démo : Rolle avec ϕ(t) = f (t) − t f (b)−
b−a
f (a)
Inégalité des
R accroissements finis (encore vrai ds Kn ) : ∀t ∈ [a, b], k f 0 (t)k ≤ g0 (t) ⇒ k f (b) − f (a)k ≤ g(b) − g(a)
b R b
démo : k a
f 0 (t)dtk ≤ a
k f 0 (t)kdt
f (x)− f (x0 ) f 0 (c)
Règle de l’hôpital : ∃c ∈]x0 , x[, g(x)−g(x0 ) = g0 (c) (⇒ passage à la lim)
démo : Rolle sur ϕ(x) = [ f (b) − f (a)]g(x) − [g(b) − g(a)] f (x)
k
(b−a)n+1 (n+1)
Formule de Taylor-Lagrange (⇒ ) : ∃c ∈]a, b[, f (b) = nk=0 (b−a) (k)
P
k! f (a) + (n+1)! f (c)
Pn (b−a)k (k)
Formule de Taylor-Young : f (b) = k=0 k! f (a) + o ((b − a)n )
k R b (b−t)n
Formule de Taylor avec reste intégral : f (b) = nk=0 (b−a) (k) (n+1)
P
k! f (a) + a n! f (t)dt
f (x)− f (a)
Convexe (e.g. x 7→ e x ) : ∀x, ∀λ ∈ [0, 1], f (λx + (1 − λ)y) ≤ λ f (x) + (1 − λ) f (y) ⇔ x−a %
f convexe ssi f 0 % ssi f 00 ≥ 0
Si f convexe alors ∀x, f (x) ≤ f (a) + (x − a) f 0 (a)
f (x)
R1
Penser à : x = 0
f 0 (tx) dt → existence d’un prolongement par continuité
2e méthode :
– intégrer pour montrer par réc : f ∈ C∞
– dériver pour obtenir une équa diff → la résoudre
– vérification
19
Penser aux fonctions créneau, pic, escalier, etc...
x→x0
fn (x) −−−−−−→ λn
x∈A
x→A
Si n→∞ alors f (x) −−−−−−→ Λ
n→∞ysur
A
y x∈A
f (x) Λ
x→x0
fn (x) −−−−−−→ λn λn
x∈A
Si fn de E dans F complet et si
n→∞ysur A
alors ∃Λ ∈ F, yn→∞
x→a
f (x) −−−−−−→ Λ
f (x) x∈A
Fonction réglée sur [a, b] : ∃(en ) ∈ (E[a,b] )N , en −−−−−−→ f (⇔ ∀x0 ∈ [a, b], f admet une lim à gauche et à droite)
sur [a,b]
Th de Weierstraß : si f ∈ C0 ([a, b], R) alors : ∃(Pn ) ∈ R[X]N , Pn −−−−−−→ f (analogue ds C)
sur [a,b]
X (1 − X) , on a : k=0 Ek = 1, nk=0 kEk = nX et nk=0 k(k − 1)Ek en dérivant
Pn
Ckn k n−k
P P
démo : avec les polyˆ n de Bernstein : Ek (X) =
t 7→ nk=0 Ckn (tX)k (1 − X)n−k ; d’où nk=0 k2 Ek = n(n − 1)X 2 + nX ; Pn ( f ) = nk=0 f ( nk )Ek −−−−−→ f
P P P
sur [0,1]
P 1 k Pn 2 n Pn P P
mq k∈An Ek (x) ≤ 4nη 2 où An = {k ∈ |[0, n]|, | n − x| ≥ η} avec k=0 (k − nX) Ek (X) ≤ 4 et | k=0 | ≤ | k∈An | + | k∈|[0, n]|\An |
f est de classe Ck par morceaux sur [a, b] ssi il existe une subdivision de [a, b] tq f |]ai ,ai+1 [ est Ck et prolongeable par continuité
sur [ai , ai+1 ]
Tt application continue par morceaux sur [a, b] est réglée sur [a, b]
Tt application continue sur [a, b] est limite uniforme d’une suite d’applications affines par morceaux
Si f est la lim unif sur R d’une suite de polyn̂ alors c’est un polyn̂ démo : mq Pn cste avec le critère de Cauchy
Th de Weierstraß trigonométrique () : tt fonction de C2π est la lim unif sur R d’une suite de polyn̂ trigonométrq
0,m 1
R 2π
, 2π 0 | f (t)|2 dt = k∈Z |ck ( f )|2
P
Théorème de Parseval : ∀ f ∈ C2π
R 2π
∀( f, g) ∈ (C2π )2 , 2π
1 P
0
f (t)g(t)dt = k∈Z ck ( f )ck (g)
20
τ : (C2π , <|>) → (l2 (Z), ϕ) / f →7 (ck ( f ))k∈Z conserve la norme donc est injective
∀ f ∈ C2π , [∀k ∈ Z, ck ( f ) = 0 ⇔ f = 0C2π ]
Si f ∈ C2π , il y a unicité du démo : f − g ∈ C2π et ∀k, ck ( f − g) = 0...
1,m
h i PN
Théorème de Dirichlet : ∀ f ∈ C2π , limN→∞ S N ( f )(x0 ) = 21 f (x+0 ) + f (x−0 ) avec S N (x) = k=−N ck ( f ) ei kx
2 π
R
Si f paire : a j ( f ) = π 0 f (t) cos( jt)dt et b j ( f ) = 0...
1 2π
R a20
Th de Parseval : si f ∈ C0,m alors f 2 (t)dt = 2
+ b2k )
P
π 0 2 + k>0 (ak
Rb
Lemme de Lebesgue : lim f (t) ei kt dt = 0 → avec cos kt...
k→±∞ a
1
démo : si f ∈ C : ; sinon f cste, puis en escalier, puis réglée
1 PN 1 sin[(2N+1) u2 ]
Noyau de Dirichlet : DN (u) = 2 + j=1 cos( ju) = N + 2 si u ∈ 2πZ, = 2 sin 2u si u < 2πZ
Rπ
0
DN (u)du = π2
Applications T -périodiques : ω = 2π T
RT
ck ( f ) = T1 0 f (u) e− i kωu du ck ( f 0 ) = i kωck ( f )
RT
Formule de Parseval : ∀ f ∈ C0,m , T1 0 | f (u)|2 du = k∈Z |ck ( f )|2
P
PN
Th de Dirichlet : ∀ f ∈ C1,m , 21 [ f (u+ ) + f (u− )] = limN→∞ k=−N ck ( f ) ei kωu
PN
Si f ∈ C0 ∩ C1,m , k=−N ck ( f ) ei kωu −−−−→ f (u)
sur R
RT RT
f [im]paire : a j ( f ) = c j + c− j = T2 0 f (u) cos( jωu)du b j ( f ) = i c j − i c− j = 2
T 0
f (u) sin( jωu)du
Si f ∈ C1,m : 12 [ f (u+ ) + f (u− )] = a20 + Nj=1 (a j cos jωu + b j sin jωu)
P
P∞ 2
1
k=1 k2= π6 démo : de f ∈ C0,m paire tq ∀t ∈ [0, π], f (t) = π − t
P 1 P 1 P 1 2π
Penser à : k2 = (2k)2 + (2k+1)2
7.5 Intégration
7.5.1 Calcul
Rb Rb
Intégration par parties : a
u0 v = [uv]ba − a
uv0
(permet de virer les ln) bien choisir la cste
Rb R ϕ(b)
1 0
Changement de variable : si ϕ C [-difféomorphisme] alors a f (ϕ(t))ϕ (t)dt = ϕ(a) f (u)du
R b(x) R b(x)
Si h : x 7→ a(x) f (t, x)dt alors h0 (x) = b0 (x) f (b(x), x) − a0 (x) f (a(x), x) + a(x) ∂∂xf (t, x)dt
R R R R
Th de Fubini sur les intégrales doubles : x y = y x att : sur des compacts avec f continue
Fractions
R x αt+βrationelles R:
α x 2t+p
Rx γ x+ p 2
t2 +pt+q
dt = 2 t2 +pt+q
dt + p 2 p2
dt = α2 ln(x2 + px + q) + a1 Arc tan( a 2 ) + C avec a2 = q − p4
(t+ 2 ) +q− 4
R x αt+β α x (2t+p)dt
R Rx dt
R x dt
(t2 +pt+q) j
dt = 2 (tR2 +pt+q) j
+ γ (t2 +pt+q) j
puis calculer Jn = (1+t2 )n
par réc avec une
x 2p+1 q
R cos x
2 p q
Polynôme en sin et cos : (sin t) (cos t) dt = − (1 − u ) u du avec u = cos t et vice versa si q impair
ou passer par les exp
FR en sin et cos : u = tan 2t (penser à 1 = sin2 + cos2 )
Règles de Bioche :
f (−t) = − f (t) : u = cos t f (π − t) = − f (t) : u = sin t f (π + t) = f (t) : u = tan t (hyperbolique : idem)
f (x) = P(x)eλx ⇒ F(x) = Q(x)eλx avec do Q = do P : dériver F puis identification
1 at+b n1
FR en x et ( ax+b
cx+d ) : u = ( ct+d ) d’où u d’où t
n n
√ p p
Intégrales abéliennes (en ax2 + bx + c) : z = x + 2a b
puis a(z2 + h) avec sh2 u − 1 = ch u :
21
√ √ √
1 + t2 → t = sh u 1 − t2 → t = sin u t2 − 1 → t = ch u
7.5.2 Intégrabilité
Une fonction bornée ou prolongeable par continuité est intégrable
Fonctions continues : intégrables sur un segment ; de même si la primitive est bornée
f intégrable Rssi | f | intégrable
x
Utiliser lim f (t)dt (d’abord vérifier que f intb)
x→∞
Rb Rb
Si g à valeurs ds R+ intégrable et si f = O(g) (resp f ∼ g) alors f intégrable et x f = O( x g) (resp ∼)
b b Rx Rx b R
x Rx
Si g à valeurs ds R+ non intégrable et f = o(g) (resp f ∼ g) alors a f = o( a g) (resp a f ∼ a g)
b b b b
→ recherche d’équivalents (eventuellement précédé par une )
∞ 2 2 0 2
R
ex : x
e−t dt ∼∞ ? rechercher h(t) tq h(t) e−t ∼ e−t ...
Changement de variable
R ϕ ∈R C1 strictement monotone (difféomorphisme)
si ϕ monotone : ϕ(I) f = I f ◦ ϕ × |ϕ0 |
1 Pn R1
Sommes de Riemann : n k=0 f ( nk ) −−−−→ 0
f (x)dx
n→∞
R n−1 1 Pn R1
impropres : si f est C0 , positive, monotone et intb sur ]a, b[ alors 0 n f ≤ n k=1 f ( nk ) ≤ 1/n
f
R ∞
si f est C0 , positive, & et intb sur R∗+ alors ∞
P
n=1 h f (nh) −
−−→ 0 f
h→0
Rb Rb
Formule de la moyenne : si g ≤ 0 alors ∃c ∈ [a, b], a f (t)g(t)dt = f (c) a
g(t)dt
Rb
en particulier : a f (t)dt = f (c)(b − a)
Rb Rb Rb
Inégalité de Cauchy-Schwartz : ( a f g)2 ≤ ( a f 2 )( a g2 )
22
R b R b
a
f ≤ a | f |
I
f = lim n I
f n (penser à l’appliquer sur un intervalle)
Intégration terme à terme : R R
si (uk ) suite de fonctions ds R ou C intb sur I tq stg uk sur I vers f alors si stg I |uk | alors f intb sur I, I | f | =
R P∞ P∞ R R R P∞ P∞ R
I k=0 |uk | ≤ k=0 I |uk | et I f = I k=0 uk = k=0 I uk
Théorème de continuité :
si f ds RR ou C continue sur D × I et ∀x ∈ D, t 7→ f (x, t) intb sur I et ϕ ≥ 0 intb sur I tq ∀(x, t), | f (x, t)| ≤ ϕ(t) alors
x 7→ g(x) = I f (x, t)dt est continue sur D
pour la continuité : penser à séquencialiser →
Théorème de dérivation :
mêmes hyp avec D intervalle de R et f tq ∂∂xf existe et vérifie aussi ces hyp alors g est C1 sur D et ∀x ∈ D, g0 (x) = I ∂∂xf (x, t)dt
R
Th de Cauchy-Lipschitz linéaire :
−−−→ −−→ −−→ −−−→ −
le pb de Cauchy y0 (t) = u(t)[y(t)] + b(t) et y(t0 ) = →
y0 admet une sol unique définie sur J entier
dim S H = dim F = n le rang d’une famille de solutions ne dépend pas de t
Changement de var t = ϕ(x) où ϕ est un difféomorphisme (bijection bidérivable) : poser z(t) = y(x) = y(ϕ −1 (t))
23
: si on connait une sp y∗ , poser : y = zy∗
ai y(x) = γ(x) avec γ(x) = P(x) polyn̂ [resp P(x) eλx ] chercher une ss la forme xm P(x) [resp xm P(x) eλx ] avec m multiplicité
P
de 0 comme racine du polyn̂ caractéristq
à variables séparables ?
∂Q
P(x, y) + y0 Q(x, y) = 0 avec ∂P∂y = ∂x et U étoilé ?
de Newton : y = f (y) : multiplier par y0
00
F(t, y, y0 ) = 0 y0 = f (t, y)
Si t n’apparait pas ds l’éq alors l’ensb des sols est “invariant par translation”
Solution maximale : on ne peut pas la prolonger
Th de Cauchy-Lipschitz : si U est un ouvert de R × E sur lequel f est définie et C 1 alors ∀(t0 , y0 ) ∈ U, il existe une unique
solution maximale (I, φ) de E (t0 ,y0 ) avec contrainte (t, y(t)) ∈ U
tt autre sol est une restriction de (I, φ)
il y unicité locale au pb de Cauchy : ∃ε tq ∃ une sol (]t0 − ε, t0 + ε[, ϕ)
Th de Cauchy-Lipschitz pr les éq du second ordre : sur l’ouvert U, avec g ∈ C 1 le pb de Cauchy : y00 = g(t, y, y0 ), y(t0 ) = α et
y0 (t0 ) = β admet une solution maximale unique (I, φ)
Tt solution non nulle de y00 = a(t)y0 + b(t)y admet un nb fini de zéros sur tt segment [α, β]
y(un )−y(l)
démo : compact → prendre une ss-suite d’élémts distincts qui cv vers l et y0 (l) = lim un −l
=0
0
Si y = f (t, y) avec f bornée alors tt sol max à un intervalle de déf égal à R
R b
démo : supposer ]a, b[ et prolonger en b car y(b) = y0 + t0
y0 (t) dt
R x hR x i
Lemme de Gronwall : f, u ∈ C0 ([a, b], R) tq ∀x ∈ [a, b], | f (x)| ≤ M + a
| f (t)||u(t)| dt alors | f (x)| ≤ M exp a
|u(t)| dt
x g0
R
démo : poser g(x) = M + a
| f (t)||u(t)| dt et majorer g
si M > 0
24
f C1 ⇔ a 7→ J f (a) C0
da f isomorphisme ⇔ det J f (a) , 0
∂hk Pn ∂gk ∂yi
Si h = g ◦ f alors ∂x j = i=1 ∂yi ∂x j
0 Pp ∂f
Si g(t) = f (u1 (t), . . . , u p (t)) alors g (t) = i=1 ∂xi [u1 (t), . . . , u p (t)] u0i (t)
Passage en polaires : x dx + y dy = r dr x dy − y dx = r 2 dθ
Si U ouvert convexe de R p et f ∈ C1 (U, Rn ) tq ∃M, ∀x ∈ U, k|d x f k| < M alors ∀(a, b) ∈ U 2 , k f (b) − f (a)k ≤ Mkb − ak
f est alors unif continue sur U
Si ∀x ∈ U, d x f = 0L(R p ,Rn ) alors f est cste sur U
−−−→
Formule des accroissements finis : avec f ∈ C1 (U, R) : ∃c ∈]a, b[, f (b) − f (a) = dc f (b − a) = < grad f (c)|b − a>
−−−→
∂f ∂f
−−−→
grad f = ∂x 1
, . . . , ∂x p
da (~v) = ∂∂~vf (a) =< grad f (a)|~v >
∂2 f ∂2 f ∂2 f
∂x2
(v) ∂x∂y (v) ∂x∂z (v)
∂2 f ∂2 f ∂2 f
Hessienne : H f (v) = ∂x∂y (v) ∂y2
(v) ∂y∂z (v)
qa (v) = t v · H f (a) · v
∂2 f ∂2 f ∂2 f
∂x∂z (v) ∂y∂z (v) (v)
∂z2
2
Si f ∈ C2 (U, R), pr ~v fixé : f (a + t~v) = f (a) + tda f (v) + t2 qa (v) + o(t2 ) démo : Taylor avec ϕ : t 7→ f (a + t~v)
f (a + h) = f (a) + da f (h) + 12 qa (h) + khk2 ε(h) avec limε(h) = 0
h→0
Pt critique a de f : da f = 0
Si f admet un extremum local en a alors da f = 0
Si a est un pt critique de f : a est un maximum [resp min] relatif de f ssi qa forme négative [resp positive]
Si a pt critique et si qa définie positive alors a min relatif strict de f sur U
Si f continue tq lim f (x) = ∞ alors f admet un min absolu qui est atteint
kxk→∞
Si A partie convexe et f convexe alors tt min relatif de f sur A est min absolu sur A démo : avec z t = x0 + t(y − x0 )
Passage en polaires : R∗+ ×] − π, π[→ ∆ / (r, θ) 7→ (r cos θ, r sin θ) est un C1 -difféomorphisme de bijection réciproque : (x, y) 7→
( x2 + y2 , 2 Arc tan √y 2 2 )
p
x+ x +y
Th de Fubini
Th du changement de variable :
! !
τ(u, D(x,y) du dv où D(x,y)
τ(U)
f (x, y) dx dy =
!U
f ◦ v) D(u,v) ! D(u,v) = Jτ(u, v) avec τ : (u, v) 7→ (x, y)
Représentation polaire : τ(U) f (x, y) dx dy = U f ◦ τ(r, θ)|r| dr dθ
! #
Représentation sphérique : τ(U) f (x, y, z) dx dy dz = U f ◦ τ(r, θ, ϕ)|r 2 sin θ| dr dθ dϕ
Pour l’ellipse, poser : (x, y) = (aλ cos t, bλ sin t)
∂k f ∂k f
Théorème de Schwartz : si f ∈ Ck , ∂xiσ(k) ...∂xiσ(1) = ∂xik ...∂xi1
div F~ = tr(da f )
∗
Forme différentielle : application de U ds R3
Forme différentielle exacte α : il existe un champ scalaire f (primitive de α) tq d (x,y) f = α(x, y)
~ −−−→ −→
Si α = <F|(dx, dy, dz)> on a : F~ = grad f (F~ dérive d’un potentiel scalaire) donc rot F~ = 0
∂P ∂Q
Forme différentielle fermée : vérifie Schwartz α = P dx + Q dy : ∂y = ∂x
Ensemble étoilé : ∃M0 ∈ A, ∀M ∈ A, [M0 , M] ⊂ A
Th de Poincarré : une forme différentielle définie sur un ouvert étoilé est exacte ssi elle est fermée
Rb Rb
Intégrale curviligne : I = a (Px0 + Qy0 + Rz0 ) dt = a α[ϕ(t)](ϕ0 (t)) dt
pr une forme différentielle exacte : I = f [ϕ(b)] − f [ϕ(a)] I ne dépend que des extrémités de l’arc
25
Formule de Green-Riemann : !
si α = P dx + Q dy forme différentielle, P, Q ∈ C1 , D domaine défini par un arc fermé Γ alors Γ α = D ( ∂Q
R ∂P
! R R R ∂x − ∂y )dx dy
1 1 2
Aire(D) = D dx dy = Γ x dy = Γ −y dx = 2 Γ (x dy − y dx) pol : α = 2 ρ dθ
26
8 Formules
8.1 Trigonométrie
8.1.1 Dérivées
√
Arg ch x = ln(x + √ x2 − 1)
Arg sh x = ln(x + x2 + 1)
1+x
Arg th x = 21 ln( 1−x )
8.1.2 Composées
cos(Arc cos x) = x ch(Arg ch x) = x
sin(Arc sin x) = x sh(Arg sh x) = x
tan(Arc tan x) = x√ th(Arg th x) = x√
cos(Arc sin x) = √1 − x2 ch(Arg sh x) = √ x2 + 1
sin(Arc cos x) = 1 − x2 sh(Arg ch x) = x2 − 1
cos(Arc tan x) = √ 1 2 ch(Arg th x) = √ 1 2
1+x 1−x
sin(Arc tan x) = √ x 2 sh(Arg th x) = √ x 2
√1+x √1−x
1−x2 x2 −1
tan(Arc cos x) = x th(Arg ch x) = x
tan(Arc sin x) = √x th(Arg sh x) = √x
1−x2 x2 +1
27
8.2 Primitives
f(x) F(x)
1
λ λx x ln |x|
α+1
−1
xα x
α+1
1
xn (n−1)xn−1
1 ax 1 x
eax a e a x
ln a a
ln x x ln x − x
1 1
cos2 x
tan x sin2 x
− cotg x
1 1
ch2 x
th x sh2 x
coth x
tan x − ln | cos x| cotg x ln | sin x|
th x ln(ch x) coth x ln | sh x|
1
sin x ln | tan 2x | 1
cos x ln | tan( 2x + π4 )|
1
sh x ln | th 2x | 1
ch x 2 Arc tan(e x )
1 1 x 1 1 a+x 1 x
a2 +x2 a Arc tan a√ a2 −x2 2a ln | a−x | (= a Arc th a sur ] − a, a[)
√ 1 x
Arg sh a = ln |x + x2 + a2 | √ 1 Arc sin a x
x2 +a2 a2 −x2 √
√ 1 ln |x + x2 − a2 | (= Arg ch ax sur ]a, +∞[)
x2 −a2
8.4 Divers
Anp = n!
(n−p)! (np ) = Cnp = p!(n−p)!
n!
n−p p
Cn = C n Cn−1 + Cn−1 = Cnp
p−1 p
an − bn = (a − b) n−1 k n−1−k
P
k=0 a b
Pn n(n+1)
k= 2
Pk=1
n 2 n(n+1)(2n+1)
k=1 k =
Pn 3 n2 (n+1)6 2
k=1 k = 4
n a1 +...+an
Comparaison des moyennes : 1
+...+ a1n
≤ n ≤ (a1 × . . . × an )1/n
a1
|u| − |v| ≤ |u − v|
|uv| ≤ 21 (u2 + v2 ) (car (|u| − |v|)2 ≥ 0)
0 0 2
zz + z z ≤ |z| + |z |02
(car 0 ≤ |z − z0 | = |z|2 + |z0 |2 − zz0 − z0 z)
28
k2 = i ⇔ k = ± 1−i
2
Pn−1 pk
k=0 ωn = n si p|n / 0 sinon
√
Arc cos ∼1 1 − x2 car Arc cos 1 = 0 donc Arc cos x ∼1 sin(Arc cos x)
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