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Techniques de la
commande électrique
Cours préparé par : E. Merabet
Introduction
Depuis que les moteurs électriques existent, l’utilisateur a cherché des moyens
permettant d’adapter la vitesse à son besoin ou encore de faire varier celle-ci si la demande
évolue.
Industriellement, il est souvent nécessaire de passer de la vitesse du rotor, en général
comprise entre 1400 et 3000 tours/min à des vitesses de l’ordre de quelques tours par
seconde, voire moins.
C’est le rôle du réducteur mécanique, qui permet ainsi au moteur de travailler dans sa
plage nominale, puissance, couple et rendement idéaux et éventuellement de confier à un
variateur le soin d’ajuster celle-ci en fonction de paramètres tels que débit, température,
niveau, etc.
Jusqu’à l’avènement des variateurs de vitesse électroniques, nous devions utiliser des
systèmes mécaniques d’adaptation ajustables ou des montages électriques plus ou moins
compliqués. La souplesse et le rendement n’était pas au rendez-vous.
Par contre, si l’utilisation d’un variateur électronique permet de piloter son moteur au mieux,
comme le demande le processus concerné, négliger les caractéristiques réelles du moteur et
le laisser fonctionner à des vitesses très basses ou au contraire trop hautes, même si cela
semble possible entrainera à assez court terme des désagréments.
Les entraînements électriques modernes sont utilisés dans la plus grande partie du
processus de l’industrie. Ces systèmes sont réalisés de divers composants de différentes
natures : alimentation statique ; moteur électrique ; systèmes de transmissions mécaniques ;
la charge, plus ou moins un circuit de contrôle sophistiqué.
Des évolutions importantes ont eu lieu ces dernières années grâce aux progrès réalisés
dans le domaine des matériaux, des principes de conversion, de l’électronique de puissance,
de la commande, des capteurs et des structures. Cependant, de plus en plus, les simulations
numériques approfondies deviennent un moyen économique non seulement pour spécifier les
composants principaux dans le modèle de l’entraînement mais aussi de trouver les solutions
pour les problèmes pouvant se produire lors de la mise en service.
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I. 1. 3 Transport I. 1. 4 Grue
I. 1. 5 Perceuse I. 1. 6 Aspirateur
2
Architecture d’un système d’entraînement
Environ 50% de l'énergie électrique produite est utilisée dans les entraînements électriques aujourd'hui.
3
Avantages d’un entraînement
•Dans un entraînement électrique statique, on convertit l’énergie électrique fournie au moteur pour que
celui-ci fournisse avec le minimum de pertes les caractéristiques mécaniques demandées par le
processus.
•Outre les économies d’énergie, cette technique offre des avantages supplémentaires qui peuvent être
déterminants dans le dimensionnement d’une installation.
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réseau impossible.
Avantage commande simple du vitesse fixée (invariante robuste, peu d’entretien
couple et de la vitesse de avec la charge)
manière indépendante
Utilisation 1. Production d’énergie 1. Production d’énergie 1. grand standard
(génératrices). (alternateurs). industriel.
2. application nécessitant 2. Application nécessitant 2. Entraînement divers.
une vitesse stable en une vitesse stable en 3. alternateurs en site
fonction de la charge. fonction de la charge. isolé (éolienne, micro-
3. Moteur simples : centrale hydraulique).
brushless, pas à pas
Diagramme 4 quadrants Г -Ω
5
Exemple d’entrainement électrique (ascenseur)
Exercices d’application
Exercice N°1
Un entraînement direct doit fournir une courbe de vitesse / temps montrée ci-dessous contre
un couple de charge constant de TL = 10Nm, pour une inertie de charge du moteur
J=0.02kgm2.
6
Exercice N°2
Moteur Réducteur
Masse
- D'un moteur, de moment d'inertie m = 0,008 kg.m2 qui tourne à la vitesse n = 1 450
tr/min.
- D'un réducteur, de rapport (6/145), et de moment d'inertie négligeable.
- D'un cylindre en rotation qui tourne à la vitesse n' = 60 tr/mn et dont l'inertie c = 2,4
kg.m2.
Le couple résistant de la charge est de 150 N.m à la vitesse de rotation n' = 60 tr/min.
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7 - Pour une raison quelconque, il y a rupture de la liaison entre le réducteur et le cylindre,
la masse «tombe» à la vitesse de 0,5 m/s. Afin d'assurer la sécurité, on a prévu un frein
mécanique capable d'arrêter la masse après 1 m de chute.
Calculer l'énergie et la puissance dissipée sous forme de chaleur par le frein, pour stopper la
charge en 4 s. On supposera que le mouvement est uniformément varié et on ne tiendra
compte que de l'inertie de la masse.
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Université Mohamed Elbachir El-Ibrahimi Faculté des Sciences et de Technologie
Département d’Electromécanique Master 1 : Commande électrique
Module : Techniques de la Commande Electrique Chargé de module : Dr. Elkheir Merabet
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Questions pour la révision
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Chapitre III Commande Scalaire de la Machine Asynchrone
INTRODUCTION
La commande des machines soit en courant alternative ou en courant continu est très
important dans les domaines techniques car il nous offre la possibilité de commandé notre
machine dans n’importe quel milieu et n’importe quelle condition de fonctionnement on
agissant sur les paramètres intérieur ou extérieur de la machine à l’aide des différentes
méthodes de contrôle.
La machine asynchrone est la machine électrique la plus utilisée dans le domaine des
puissances supérieures à quelques kilowatts car elle offre alors le meilleur rapport de qualité
prix. Bien que réversible.
La machine asynchrone est la plus fiable des machines électriques, la plus robuste de sa
génération, la moins coûteuse à la fabrication … »
Il y’a plusieurs type de commande qui sont utilisée pour la commande des machines
asynchrones comme la commande scalaire, commande vectorielle …….etc.
LE BUT
Le but de ce chapitre est le contrôle de la machine asynchrone par les deux
types de la commande scalaire afin de régler la vitesse du rotor quelque soit la
charge mécanique.
II-type de commande scalaire
Plusieurs commandes scalaires existent selon que l'on agit sur le courant ou sur
la tension.
Elles dépendent surtout de la topologie de l'actionneur utilisé (onduleur de
tension ou de courant). L'onduleur de tension étant maintenant le plus utilisé en
petite et moyenne puissance, c'est la commande en V/f (V sur f) qui est la plus
utilisée.
Cette commande est basée sur le modèle de la machine asynchrone en régime
permanant (modèle électromagnétique).
II-2-Modèle de la MAS en régime permanant :
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On note que la tension Vs est le même quelque soit le référence considérée :
Vs = RsIs + jωsФs
R2 r
'
VS
Ce 3 p( ) 2
S R2 ( L' 2 r ) 2
'2
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Figure -07 : Déplacement de la caractéristique Couple-vitesse
en fonction de la fréquence d'alimentation
En fait, garder le rapport constant revient à garder le flux constant. Quand la
tension atteint sa valeur maximale, on commence alors à décroître ce rapport ce
qui provoque une diminution du couple que peut produire la machine. On est en
régime de "Défluxage". Ce régime permet de dépasser la vitesse nominale de la
machine, on l'appelle donc aussi régime de survitesse (partie Ω>Ωs de la Figure
07).
Dans la zone linéaire (faibles glissements), cette famille de caractéristiques
Couple-Vitesse est tout à fait analogue à celle d'une machine à courant continu
où la tension d'induit constitue le paramètre de réglage de la vitesse. Ainsi pour
faire varier en boucle ouverte la vitesse d'une machine asynchrone doit-on faire
varier la fréquence d'alimentation au stator tout en maintenant le flux constant.
Les réglages de tension et de fréquence au stator de la machine sont obtenus
grâce à un onduleur de tension MLI. Les composantes fondamentales des
tensions statoriques forment un système triphasé équilibré. Leur valeur efficace
Vs doit être réglée de façon à maintenir le flux statorique constant pour ne pas
déclasser en couple la machine.
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Figure -08 : Principe de fonctionnement de l’onduleur
Ainsi, pour maintenir le flux ϕs constant, il faut que la tension efficace Vs soit
proportionnelle à la fréquence d'alimentation statorique :
Vs
s =
s
Toute fois, cette relation n'est pas valable pour des faibles valeurs de la pulsation
s car la chute de tension Rs.I1 due à la résistance des enroulements du stator
n'est plus négligeable devant le terme Ls.Io. Aussi envisage-t-on sur la plupart
des variateurs une compensation de cette chute de tension en augmentant
l'amplitude des tensions statoriques pour les faibles valeurs de s de façon à
maintenir s constant. D'autre part, si un fonctionnement en survitesse de la
machine asynchrone est envisagé, il n'est pas possible de dépasser la tension
statorique nominale (claquage des isolants). Le flux s est alors diminué de
même que le couple électromagnétique maximum.
30
Figure -09 : Principe de la commande V/f
31
II-4 - Stratégie de commande du convertisseur à MLI :
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II-4-1- Réalisation de l'asservissement de vitesse :
Afin d'asservir la vitesse de rotation, on rajoute une boucle externe qui, à partir
de l'erreur de vitesse, permet d'augmenter la fréquence des tensions statoriques
de façon à l'erreur de vitesse due au glissement.
PI
33
Park
32
34
Synthèse du régulateur
Régulateur de vitesse
ωmref + kiw 1 ω
+ K pw
S JS f m
-
ωm (k iw + kpwS)
= 2
ωref JS + (f + kpw)S + kiw
P(S) S2+2S+22
kpw 2J-f
kiw 22J
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Chapitre IV : Commande Vectorielle de la Machine Asynchrone (MAS)
Introduction
La commande vectorielle a été proposée pour la première fois par Blaschke en 1972,
cependant elle est restée au stade d’études théoriques et n’a pu connaître d’applications
pratiques avant le début des années 1980.
La machine à courant continu présente l’avantage d’être facilement commandable et
ce grâce au découplage naturel qui existe entre le flux et le couple, cependant elle est
coûteuse aussi bien à la construction qu’à sa maintenance et cela est du à la présence
du système balais collecteur. Donc l’emploi de la machine asynchrone commandée par
la technique de flux orienté se présente Comme une solution universelle.
Le but de la commande vectorielle et d’assimiler le comportement de la machine
asynchrone à celui de la machine à courant continu à excitation séparée, en découplant
la commande du couple et du flux. Grâce à cette nouvelle technique de commande et au
développement des microprocesseurs qui répondent aux exigences demandées en terme
de quantité de calcul traité et de rapidité, on arrive à obtenir des commandes de vitesse,
ou de couple de la machine asynchrone avec des performances comparable à celles des
machines à courant-continu.
De nombreuses variantes de commande vectorielle ont été présentées dans la littérature
technique que l’on peut classer de la façon suivante:
Mode d’alimentation
Commande en tension
Commande en courant
Détermination de la position du flux
Directe nécessite mesure du flux ou observation
Indirecte nécessite le contrôle de la fréquence de glissement
Acquisition du flux
Fondée sur un modèle du rotor
Fondée sur un modèle du stator
Observation de flux
Orientation du repère d,q sur
Flux rotorique
Flux statorique
Flux d’entrefer
1
d
q
s
is r r
ids
iqs
Cem
pLm
Lr
dr iqs qr ids
dids k 1
ids siqs s r Vds 2.a
dt Tr Ls
diqs 1
sids iqs k sr r Vqs 2.b
dt Ls
d dr Lm i 1 2.c
dt Tr
ds
Tr
dr
d qr Lm i 0 2.d
dt Tr
qs s r dr
d r 1 pLm
r iqs K f r Cr 2.e
dt J Lr
2
; M=Lm
de (equ. 2.d)
d sr L iqs
s r m et de (l’équ. 2.c) (3)
dt Tr r
d dr 1 L
dr m ids , alors
dt Tr Tr
Lm
dr ids , où s : opérateur de Laplace. (4)
1 sTr
Pour assurer à tout instant un couple maximal, le flux doit être maintenu à sa valeur
nominale. Pour les régimes de grandes vitesses, il faut garder un niveau énergétique
constant, donc il faut réduire le flux (voir figure IV. 2). Dans ce cas, le flux n’étant plus
constant, le découplage opéré disparaît et le contrôle du couple est difficile à assurer.
Figure IV.2 Bloc de défluxage (Opération à toutes les vitesses par action sur la fréquence)
D’après les équations (2.a) et (2.b), les tensions de référence dans le repère d, q
pour l’onduleur de tension sont :
3
dids k
Vds* Lsids Ls sLsiqs s Lsdr 5.a
dt Tr
diqs ks
Vqs* Lsiqs Ls sLsids Lsdr 5.b
dt Tr
Vdscom
i*ds
+
VdsL - V*ds
Régulateur
- +
ids
Vqscom
i*qs
+
VqsL - V*qs
Régulateur
iqs
- +
Avec
ks
Vdscom sLsiqs Lsdr 6.a
Tr
ks
Vqscom sLsids Lsdr 6.b
Tr
dids
*
VdsL Lsids Ls 7.a
dt
diqs
*
VqsL Lsiqs Ls 7.b
dt
4
Filtre(RLC) Onduleur
Redresseur Lf Rf
Tension de réseaux Ud de
G Uf
Cf O.T ωmes
tension
V(abc) s
(sref)
θs
(ref)
Porteuse triangulaire
ωsg,(ref) ωs ωr
P
+ +
Figure IV.4 Schéma de la commande découplée par orientation de flux
L’utilisation de la commande vectorielle indirecte avec orientation de flux rotorique, permet la réduction de
la complexité de la commande. En effet le schéma fonctionnel de la régulation de vitesse par la commande
vectorielle indirecte est présenté sur la figure.
Filtre(RLC)
Redresseur Lf Rf Onduleur
V(abc)s de ωmes
Ud Cf Uf
Tension de réseaux O.T
tension
Figure IV.5 Régulation de vitesse par la méthode indirecte avec le régulateur (PI).
5
Commande vectorielle directe
Pour la commande vectorielle directe, le module du flux rotorique sera contrôlé par contre-réaction. A cet
effet, un estimateur du flux rotorique r est implanté à partir des mesures des : ids, iqs et de la pulsation des
courants rotoriques r imposé à la machine.
Estimateur du flux
r dr
2
qr
2
(10)
Régulation de flux
Pour avoir un bon fonctionnement de la machine, le flux est maintenu à sa valeur nominale.
Φr(ref) + idsref Lm
Φest
k
- k p i Tr S 1
S
est (ki Sk p ) Lm
(11)
rref Tr S 2 S (1 k p Lm ) ki Lm
En imposant deux pôles S1,2 j , les paramètres du régulateur seront :
ki 2 2 Lr ( Lm Rr )
k p 2Lr Rr / Lm Rr
6
Le schéma fonctionnel de la régulation de vitesse par la commande vectorielle indirecte est présenté sur la
figure suivante :
ωsg,(ref) ωs ωr
Tr
P
défluxage Lm + +
iqs
Estimateur du
ids PARK
flux
Figure IV.7 Réglage de vitesse de la MAS par la méthode de commande vectorielle directe.
Exercice N°1
La commande vectorielle du moteur asynchrone se fait en régime dynamique dans le repère de lié
au champ tournant (d, q) après la transformation de Park.
1 - Donner les différentes transformations de Park et expliquer leurs intérêts.
2 - quels sont les critères de classification des différentes variantes de la commande vectorielle.
3 - quel est l’objectif d’utiliser une commande vectorielle par orientation du flux ? expliquer
comment réalise cette orientation.
4 - Quelle est la différence fondamentale entre la commande vectorielle directe et indirecte d’un
moteur asynchrone.
5 - Si on utilise la commande vectorielle par orientation du flux rotorique
a. représenter cette orientation dans repère de d, q.
b. déduire l’expression : du couple, du flux, et de la pulsation rotorique lorsque la MAS
fonction à flux nominal.
6 - quelles sont les grandeurs de réglage (contrôle) du couple et du flux.
7 - dans les deux méthodes de la commande vectorielle, comment calculer la positon du flux θs
8 - si on utilise le découplage par compensation des axes d et q dans le cas d’un onduleur de
tension.
a. Donner le schéma de ce principe.
b. donner les deux schémas réduits de la régulation des courants ids et iqs, et les
expressions des paramètres du régulateur PI (Kpi et Kii) (méthode utilisée placement
des pôles).
c. donner le schéma fonctionnel de la régulation de vitesse du rotor et les expressions
des deux paramètres de ce régulateur PI de la vitesse Kpw et Kiw
9 - quel est le problème détecté si la vitesse de référence dépasse la vitesse nominale ? proposer
une solution de ce problème et expliquer son principe.
7
Exercice N°2
On désire varie la vitesse du moteur synchrone de moyenne puissance par la technique de
commande vectorielle.
1 - quel est le convertisseur d’électronique de puissance utilisé pour alimenter le moteur.
2 - quelles sont les techniques de commandes peuvent utilisées pour générer les signaux
d’ouverture/fermeture des interrupteurs constituants le convertisseur d’électronique.
a. expliquer le principe de chaque technique.
b. si on utilise le couple électromagnétique comme grandeur de contrôle et le modèle du
moteur est obtenu après la transformation de Park dans le repère lié au champ tournant.
c. donner le schéma bloc de la commande vectorielle indirecte par orientation du flux
rotorique lors l’application de chaque technique (2.a).
Exercice N°3
1 - la figure ci-contre représenter
quoi.
2 - quel est le rôle d’estimateur du
flux rotorique, écrire les
équations de cet estimateur.
3 - si la vitesse nominale du
moteur est 1460tr/min, la
vitesse de référence égale
1500tr/min. Calculer le flux
rotorique de référence en
fonction de sa valeur nominale.
a. quel est le nom de ce
régime de
fonctionnement.
b. quel est le rôle principal
du bloc de défluxage.
c. dans le régime établi,
quelle est la valeur du
flux rotorique estimé.